Là où le mouton fait défaut
La chèvre est appelée Majesté.
(proverbe turc)
Y aurait-t-il un parallèle effroyable entre la Conférence de Bilderberg et celle de Wannsee ?
Balayons tout de suite les drapeaux « Complotiste ! » qui s’élèvent à cette simple évocation. Et tâchons de décrypter la logique des faits. Retour sur une année et demie de crise du Covid.
D’abord on a terrorisé la planète avec un virus bidon bidouillé en laboratoire.
Ensuite on a agité le spectre d’une pandémie effroyable qui allait décimer une bonne part de l’humanité.
Tout de suite après nous avoir saisis, on nous a assuré que seul un vaccin pourrait un jour nous sauver.
De messages alarmistes en mesures fantaisistes, on nous a interdit de nous approcher les uns des autres sous peine d’être arrêtés, et on a abrégé les souffrances de nos vieux dans leurs EHPAD.
Comme si cela ne suffisait pas, on a interdit aux médecins de prescrire les seuls traitements qui eussent pu nous guérir, sous peine d’être radiés du Conseil de l’Ordre.
Peu après, on s’est acharné à fabriquer de faux « décès » et de faux « cas » pour entretenir la psychose et justifier d’autres mesures insensées. En achetant les médecins et en manipulant les statistiques.
Pour ajouter l’exaspération à la terreur on a supprimé toutes nos libertés, on nous a enfermés durant des mois. Ce qui n’a eu pour seul effet que de faire flamber les contaminations.
On s’est bien efforcé de faire s’effondrer l’économie, de façon à ruiner petits commerces, patrons de restaurants ou de discothèques. Histoire d’assurer un ronflant transfert de richesses vers les grandes multinationales dont la cote a explosé au Dow Jones.
Une fois que nous étions tous bien déprimés, suicidés ou ruinés, on nous a assuré que nous pourrions revenir à une vie normale à condition de nous faire vacciner.
On a soigneusement omis de préciser que ces injections n’étaient en aucun cas des « vaccins ». Qu’elles n’avaient aucune efficacité prouvée, et que de toutes façons il allait falloir rester confinés.
Cerise sur le gâteau leurs redoutables effets secondaires allaient décimer une partie de la population beaucoup plus rapidement et efficacement que le virus lui-même. Grâce aux adjuvants toxiques inclus dans ces vaccins, et aux variants fabriqué à l’aveugle par notre système immunitaire violé par l’ARN messager. Rendant d’ici l’automne prochain l’épidémie totalement hors de tout contrôle, comme le pronostiquent les épidémiologistes.
Surfant sur la panique liée aux 2e, 3e, 4e vagues, on a accéléré le processus vaccinal à échelle industrielle. Mobilisant jusqu’aux vétérinaires pour administrer la mort en série dans des « vaccinodromes » qui n’ont plus rien à envier aux chambres à gaz.
Des experts de premier plan, des lanceurs d’alertes, des spécialistes en épidémiologie, en génétique, en pharmacie, en économie, en droit ont tenté de nous alerter. De même que les journalistes ou de simples citoyens qui ont relayé leurs publications. Ils ont tous été traqués sans relâche, dénoncés, censurés, intimidés, culpabilisés, pénalisés, jetés en pâture à l’opinion comme de dangereux « complotistes ». Parfois même arrêtés et internés de façon arbitraire, sans aucun procès, comme dans n’importe quelle dictature totalitaire.
Les enfants placés dans les écoles de la République – les seules désormais habilitées à délivrer un enseignement – ont subi dès l’âge de six ans un matraquage idéologique systématique, à un rythme sans nom. Ils ont été empêchés de respirer, de jouer, de se parler, de se toucher, isolés, masqués, testés sans l’accord de leurs parent, torturés physiquement et psychiquement, sommés de dénoncer leurs parents déclarés « sectaires » quand ceux-ci osaient critiquer à la maison la politique actuelle, et parfois retirés de leur famille.
A ceux qu’on a conduits par cohortes entière vers le Saint-Graal, cette piqûre annoncée comme le messie, on n’a surtout pas expliqué que ces faux vaccins allaient permettre de les tracer. Qu’un certificat vaccinal numérique sous forme de nanoparticules encryptables déjà testées était inclus comme cadeau-surprise dans le cocktail qu’on leur a injecté.
Pour les y préparer on leur a fait accepter que désormais ils devraient se munir d’un passeport santé adopté par l’Union Européenne. Une sorte de sésame qui les autoriserait désormais à voyager, à se déplacer, ou à se rendre dans des lieux publics dont l’accès serait réservé à ceux qui pourraient ainsi prouver qu’ils sont bien vaccinés.
On a moins insisté sur le fait que ce nouveau passeport serait bientôt relié à d’autres fichiers, étendu à d’autres fonctions. Comme c’est déjà le cas aux Etats-Unis : état civil, carnet de santé, casier judiciaire, données bancaires et financières, et autres big data pourtant confidentielles livrées à la discrétion de Big Business et de Big Pharma. Un outil de contrôle absolu des populations à l’échelle mondiale, comme il n’en avait jamais été conçu dans aucune dictature auparavant.
Alors que des couples, des familles, des communautés, des nations se déchiraient pour savoir qui avait raison ou tort et ce qu’il fallait faire de ce climat d’extrême confusion, la population a très vite été divisée en deux catégories de citoyens opposés : les bons et les méchants. Les bons ce sont tous ceux qui obéissent sans broncher aux consignes sanitaires et ne posent jamais de questions : masque, distanciation, gestes barrière, confinement, couvre-feu, tests, vaccinations… Les méchants ce sont ceux qui s’émeuvent des libertés saccagées, des effets néfastes de ces mesures absurdes, de leur caractère inutile ou dangereux. Ceux qui refusent d’être transformés en troupeau de moutons sagement conduits à l’abattoir. Ou pire : qui refusent de se soumettre, osent le dire et descendre dans la rue pour défendre les libertés.
Bref, le monde était divisé en deux camps : ceux qui cèdent à la peur et se laissent gentiment humilier, infantiliser, déresponsabiliser, ôter toute dignité, toute liberté, toute humanité. Et ceux qui résistent, refusent de rentrer dans le rang, et luttent à la mesure de leurs moyens contre une dictature infernale qui s’abat chaque jour de plus en plus sur la planète entière.
Aux premiers on remettait des bons points et on promettait le Salut, la Lumière, la « sortie du tunnel » comme le répètent à l’envi les ministres, hélas toujours repoussée à plus tard. Pour finir on les accoutumait par paliers à se laisser glisser vers un asservissement total, à se laisser réduire à l’état de bétail, de marchandise ou de simples esclaves d’un système déshumanisé.
Les autres seraient tout bonnement condamnés à disparaître, d’une façon ou d’une autre. Mis au ban de la société, interdits de tout, ils finiraient par craquer et rentrer dans le rang. Les plus irréductibles parmi les réfractaires aux vaccins seraient emmenés de force dans de véritables camps de concentration baptisés « centres de confinement ». Là ils seraient vaccinés et pucés de force, puis rééduqués. Au pire on n’entendrait plus parler d’eux.
Ne nous leurrons pas, ces camps existent déjà bel et bien ! Beaucoup ont été ouverts en 2020. Aux Etats-Unis, au Québec, en Allemagne, en Australie, en Nouvelle Zélande… Le Danemark pourrait bientôt contourner une loi les autorisant qui avait été retirée après neuf jours de blocus du Parlement par le peuple. Et bien sûr c’est en Chine qu’on compte les plus gigantesques de ces camps. Un pays qui fait figure de modèle à suivre. Ce n’est pas nouveau : David Rockefeller en visite dans la République Populaire du Président Mao au beau milieu des années 1960 s’était enthousiasmé à son retour aux Etats-Unis pour ce régime qui savait si bien s’y prendre pour contrôler ses populations ! La Chine des années 2020 et son système de crédit social qui empêche toute vie possible hors du cadre prévu par le régime est sans équivoque l’exemple à imiter pour toutes les nations occidentales.
Si l’on ajoute à ce tableau sinistre les déclarations appuyées de tel ou tel oligarque comme Bill Gates, Jacques Attali, George Soros ou Klaus Schwab vantant les vertus de l’eugénisme et de la réduction programmée des populations, on comprend qu’on n’a pas du tout affaire à un délire complotiste mais à un authentique programme d’extermination massive à l’échelle mondiale.
Une folie qui n’est pas nouvelle puisque certains théoriciens du libéralisme et oligarques partisans du mondialisme en vantaient déjà les vertus dès le 18e ou 19e siècle.
Aujourd’hui cette oligarchie qui dirige le monde et contrôle absolument tous les pouvoirs dispose de tous les moyens nécessaires pour mener à terme cette stratégie macabre : moyens financiers, économiques, scientifiques, politiques, policiers, industriels, logistiques, administratifs, médiatiques, numériques.
Annette Wievorcka, historienne et scientifique, a écrit : « Auschwitz est le symbole de ce qui peut se passer quand les droits de l’homme ne sont pas respectés. »
Et Imre Ketesk, écrivain et ancien déporté, d’ajouter : « Auschwitz n’a pas été un accident de l’Histoire, et beaucoup de signes montrent que sa répétition est possible […] Auschwitz ne constitue pas un cas d’exception, tel un corps étranger qui se trouverait à l’extérieur de l’Histoire normale du monde occidental, mais bien l’illustration de l’ultime vérité sur la dégradation de l’Homme dans la vie moderne. »
Aujourd’hui non seulement les droits de l’homme ont tous été confisqués, mais pire, ils sont toujours revendiqués chaque jour par cette idéologie progressiste détaillée à toutes les sauces, comble du mensonge et credo des mondialistes. Une idéologie qui prétend œuvrer pour la paix, le bonheur de l’humanité et le sauvetage de la planète. Mais qui avance depuis quarante ans et plus des politiques dont les conséquences sur l’humanité sont l’exact opposé des buts annoncés. Le mensonge absolu.
Quant à une éventuelle Shoah de l’humanité à laquelle il semble difficile de nier que nous assistions aujourd’hui, elle n’est que l’aboutissement final de la logique matérialiste et scientiste qui s’est incarnée du point de vue politique dans ce que le capitalisme et le communiste ont produit de pire. Comme l’avait prophétisé George Orwell dans sa dystopie 1984.
Une logique qui a trouvé son aboutissement et sa justification avec cette idéologie progressiste inventée à partir du 18e siècle par une oligarchie bancaire et financière anglo-américaine. Une oligarchie claire sur sa stratégie et ses buts – conquérir le monde – et qui a réalisé en à peine deux siècles une véritable OPA sur les économies mondiales comme sur tous les pouvoirs politiques. En détruisant patiemment les états-nations, condamnés à être engloutis dans un Nouvel Ordre Mondial totalitaire, technosécuritaire, inégalitaire, ploutocratique et transhumaniste, tout entier contrôlé par une poignée d’oligarques. Un Ordre qui s’apprête à étendre son empire sur chaque individu, et qui entend contrôler grâce aux nouvelles technologies chaque aspect de la vie privée. Jusqu’à nos corps, nos pensées, nos interactions, nos actes et nos mouvements bientôt entièrement pilotés par la Matrice.
Ce n’est pas de la science-fiction. Il suffit pour s’en convaincre d’écouter Klaus Schwab, Président du Forum Economique Mondial et transhumaniste militant, vanter dans une vidéo publiée sur YouTube les mérites de la nouvelle interface numérique développée sous forme de puce implantable dans le cerveau par la firme d’Elon Musk, ainsi que des smart dusts, ces « poussières intelligentes » mises au point sous l’égide de la fondation de Bill Gates et incluses dans les vaccins, qui permettront d’ici à peine dix ans de relier chaque individu à l’Intelligence Artificielle et de contrôler à distance ses émotions, ses réflexes, ses pensées… Le Meilleur des mondes en version XXL.
Le plus cynique et abject, c’est que tout ce cauchemar en cours de réalisation est justifié au nom de valeurs humanistes vidées de leur sens et retournées en arme de destruction massive contre les esprits. Comme les droits de l’homme, la paix, le progrès, la sécurité, le développement durable ou la prévention des risques politiques, économiques, sanitaires.
Cette 3e Guerre mondiale déclarée à l’humanité, cette Shoah planétaire a commencé en 2020. Elle se poursuivra dans les prochaines années si nous ne faisons rien. En commençant par l’élimination médiatique, sociale et politique des brebis galeuses : ces non-vaccinés réfractaires au rouleau compresseur, qui rapidement détruira le reste de l’humanité ou la réduira à un cheptel de robots humains amendables, modifiables et commercialisables en pièces détachées. Puis par leur élimination bactériologique et physique programmée.
Le parallèle entre ce qui nous est présenté aujourd’hui comme une simple « vaccination » et la Solution finale peut évidemment scandaliser. Sauf que cet événement sans doute resté dans la mémoire collective comme le plus dramatique de l’Histoire récente de l’humanité, l’archétype de tous les génocides de masse et de toutes les exterminations au nom d’une idéologie, est en passe d’être largement dépassé.
L’extermination planifiée des Juifs d’Europe par le régime nazi durant la Seconde guerre mondiale n’a en effet concerné « que » 6 millions d’êtres humains sauvagement assassinés dans des conditions d’une barbarie sans nom. Avec application, méthode, persévérance, la complicité des forces vives de toute une nation et la collaboration des pays conquis.
Cette nouvelle extermination de masse que la conscience peine à concevoir ne concerne pas seulement aujourd’hui 6 millions d’êtres humain, mais mille fois plus ! Jusqu’à 6 milliards 300 millions d’hommes, de femmes, d’enfants et de vieillards sur 7,8 milliards de Terriens pourraient être ainsi condamnés à mourir pour satisfaire les délires de milliardaires psychopathes authentiquement diaboliques.
C’est tellement inconcevable que peu arrivent à admettre cette éventualité comme un danger réel et très actuel.
Et pourtant, si l’on se fit à certains objectifs affichés, on pourrait en arriver à des telles extrémités. A titre d’exemple, les Georgia Guidestones souvent cités sont un mystérieux monument de granit érigé le 22 mars 1980 en pleine forêt près d’Elberton en Géorgie aux Etats-Unis. Nul ne sait quelle organisation a passé commande pour ce monument en forme de tabernacle, dont l’origine reste à ce jour officiellement inconnue. Ce qui est certain, c’est qu’il comporte des inscriptions sous la forme de « commandements » adressés à l’humanité et traduits en 8 langues. Des prescriptions destinées à orienter les hommes pour les temps futurs. Le premier de ces commandements est explicite :
« Maintenez l’humanité en dessous de 500 millions d’individus en perpétuel équilibre avec la nature. »
Beaucoup ont tenté de minimiser cet avertissement étrange comme une supercherie ou un cas isolé alimentant les théories du complot. Ou de le réduire à simple un canular imaginé par une quelconque secte de riches allumés.
Sauf qu’un tel objectif de réduction massive des populations décrit dans ce monument est loin d’être un cas isolé. A titre d’exemple le très sérieux milliardaire philanthrope Bill Gates, fondateur de Microsoft et de la fondation qui porte son nom, très actif depuis vingt ans pour financer des programmes de vaccination massive très controversés et responsables de millions de morts dans les pays du tiers-monde, avait prévenu lors d’une conférence publique en 2010 que notre système économique était incapable d’absorber l’augmentation de la population mondiale à son rythme actuel. Et qu’il fallait donc envisager des mesures pour réduire cette augmentation, sinon la population elle-même. Avançant un objectif de réduction de 15% pour les années à venir. Et précisant parmi les moyens permettant d’atteindre cet objectif qu’on pouvait facilement arriver à réduire la population de 15% « grâce aux vaccins ». Vous avez bien lu : grâce aux vaccins !
15% ça n’est certes pas 6 milliards de personnes, mais c’est déjà 1,350 milliard d’âmes (rapportées à la population du monde en 2010). Soit 225 fois plus que la Solution finale tout de même.
On comprend dès lors la raison de cette course contre la montre et de cet acharnement insensé à vouloir vacciner toute la population d’un pays, en France ou ailleurs, en mobilisant tous les moyens de l’Union Européenne, les laboratoires susceptibles de produire en urgence, les moyens médicaux, logistiques, médiatiques, une telle propagande mise en œuvre, et le pognon de dingue que tout cela coûte.
Car il faut faire vite. Avant que le pot-aux-roses ne soit exposé au grand-jour d’une façon tellement obvieuse qu’il devienne possible de le nier. Déjà le barrage se fissure et prend l’eau de partout. Chaque jour des centaines de scientifiques dans le monde alertent l’OMS et les opinions publiques sur les réels dangers de ces faux vaccins, sur les effets secondaires qui aujourd’hui tuent plus de monde que le virus lui-même, sur l’apparition de nouveaux variants de plus en plus dangereux directement dus à ces injections criminelles et à leurs effets incontrôlables sur le système immunitaire. Des médecins « complotistes » avaient alerté dès avril 2020 et expliquant ce qui allait se passer avec ces vaccins. Personne n’avait voulu les écouter. On a même été jusqu’à interner de force l’un d’entre eux, le Professeur Jean-Bernard Fourtillan, dans un H.P., en l’accusant d’être un calomniateur et un fou mystique. Comme au bon vieux temps de Staline.
Me revient comme en écho ces instructions laissées aux directeurs des usines de la mort nazies par des fonctionnaires paniqués face par l’arrivée des troupes russes ou américaines aux frontières du Reich : « Il faut plus ! Plus d’efficacité ! Plus de productivité ! Plus d’unités traitées par jour ! Plus de capsules de Zyklon B ! Plus de trains ! Plus de chambres à gaz pour éliminer les preuves ! Plus !… » On croirait entendre Macron écumer face à ses ministres impuissants et aux lenteurs de la bureaucratie… Tel Hitler réfugié dans son bunker promettant la Cour martiale à des généraux incapables.
Il y a quelque chose de surréaliste, de terrifiant et de dérisoire dans ce parallèle pourtant bien fondé. Sommes-nous vraiment à l’aube d’une telle hécatombe ? La réponse est oui. Aucun doute n’est désormais permis et aucun revers de manche ne pourra en conjurer l’obsédante réalité, en ourdissant quelque procès en hérésie complotiste destiné à évacuer cette mauvaise conscience qui nous taraude.
Et parce que le pire n’est jamais sûr mais demeure toujours une menace, il faut aujourd’hui redoubler d’efforts pour dénoncer preuves à l’appui ces horreurs et faire échouer ce plan diabolique. Car non seulement c’est possible si un nombre critique de citoyens s’engagent dans ce combat, mais c’est la seule voie possible si l’on croit encore en l’humanité. Et si l’on veut que nous restions des humains.
Selon une étude réalisée récemment par un groupe de sociologues à partir de statistiques relatives aux émeutes qui se sont déroulées dans plusieurs pays du monde au cours des décennies écoulées, il suffit que 10% de la population se soulève, en s’engageant dans une insurrection ou dans la désobéissance civile, pour faire tomber un régime.
Il ne s’agit pas seulement de faire tomber la dictature incarnée par une marionnette comme Macron, mais tout un système à l’échelle du monde. Un système qui contrôle tous les pouvoirs par le biais de la finance et de la monnaie.
Il faudra sans doute du temps, des efforts, de la persévérance, du sang et des larmes. Mais la conscience collective a déjà commencé à opérer sa mue et ne pourra plus s’arrêter. La lumière continuera de faire reculer le mensonge et la peur. Partout. Jusqu’à ce que cet empire du Côté obscur, fils maudit de la Raison et de la loi du plus fort, s’effondre de lui-même comme un château de cartes. Il suffit de dire non. De rester éveillés, ouverts, solidaires, de témoigner et de faire front.
Dont acte : « Puisse l’histoire des camps d’extermination retentir pour tous comme un sinistre signal d’alarme. » (Primo Lévi)