Journée mondiale d’hommage aux victimes des « vaccins » : les dessous d’une hécatombe

Mis en avant

Le 13 mai prochain aura lieu dans plusieurs villes françaises, européennes et du reste du monde, une journée pour dénoncer les effets indésirables des « vaccins » anti-Covid.

Pour dénoncer aussi l’omerta criminelle sur les effets néfastes de ces injections. Notamment dans des pays comme la France où dirigeants politiques et autorités de santé refusent toujours d’admettre leur réalité et leur ampleur, deux ans et demi après le début des campagnes publiques de vaccination de masse.

Des effets niés ou minimisés pour continuer à écouler les doses, bien qu’ils aient causé des millions de décès dans le monde. Du moins partout où ces « vaccins » ont été imposés à des populations désorientées comme le seul remède prétendument efficace contre le Covid. Sans aucun bénéfice objectif pour les protéger des contaminations, des effets de la maladie, y compris les formes les plus graves, empêcher les personnes injectées d’être hospitalisées ou de mourir du Covid.

Plusieurs associations de médecins, des spécialistes, des juristes, des avocats représentant les victimes ou leurs familles, mènent depuis 2021 un combat acharné pour faire valoir ces préjudices, obliger les médecins tétanisés à déclarer ces effets indésirables directement liés aux « vaccins », obliger les responsables corrompus à reconnaître leurs erreurs à vouloir piquer toute la population, faire enfin éclater toute la vérité, et obliger les laboratoires criminels à verser des indemnisations.

Eux qui connaissaient parfaitement les effets désastreux de ces « vaccins », ont menti sur leur efficacité et leur innocuité, et ont continué sciemment à vendre des milliards de doses pour engranger des centaines de milliards de dollars de bénéfices.

Ces effets indésirables sont aujourd’hui parfaitement connus et répertoriés. Ils sont recensés depuis décembre 2020 par les agences de pharmacovigilance, notamment en Europe. 2 millions d’effets indésirables et 20.000 de décès directement liés aux « vaccins » avaient déjà été recensés en juin 2021 par les agences de pharmacovigilance européennes. Soit moins de 6 mois après le début des campagnes de vaccination. On a explosé toutes les statistiques de pharmacovigilance depuis.

Des campagnes lancées tambour battant en Europe en janvier 2021, sous l’égide de la Commission européenne et de son omniprésente Présidente Ursula van der Leyen. Laquelle est aujourd’hui poursuivie pour corruption et dissimulation de preuves (les fameux SMS échangés avec Bourla) par un tribunal belge, pour avoir acheté des milliards de doses au Président de Pfizer (Young global leader comme elle), sans commission scientifique préalable pour statuer sur l’opportunité d’acheter en nombre ces doses, et sans l’accord des autres membres de la Commission sur ce calendrier précipité.

Ces effets indésirables – certains relativement bénins comme des violents maux de tête après l’injection, d’autres fatals comme des thromboses et AVC – sont aujourd’hui reconnus officiellement dans bon nombre d’Etats.
 
Aux États-Unis, le CDC (Center for Disease Control) qui gère la surveillance des maladies au niveau fédéral, et la FDA (Food & Drug Administration) qui délivre aux laboratoires pharmaceutiques les autorisations de délivrance de médicaments, les ont officiellement reconnus depuis plus d’un an.

Le gouverneur de Floride Ron DeSantis a même voulu faire interdire en janvier 2022 le pass sanitaire, l’obligation du port du masque et la vaccination. L’Etat de l’Iowa examine un projet de loi visant à pénaliser tous ceux qui feraient la promotion de ces prétendus « vaccins ».

Leurs effets néfastes et parfois mortels font l’objet d’indemnisations financières versées aux victimes par certains gouvernements.

A Singapour, l’Etat indemnise depuis 2021 avec un fonds spécial les familles des personnes décédées suite aux « vaccins ».

En Allemagne, des citoyens demandent aujourd’hui à l’Etat de faire de même.

Idem en Australie, l’un des pays qui avait pourtant décrété des mesures sanitaires parmi plus dictatoriales pour un pays occidental (comparables à la Chine), avec la Nouvelle-Zélande de l’ex-Première ministre Jacinda Aspern, Young global leader du Forum de Davos, comme Macron, Biden, Trudeau, Scholz, Sunak, Sanchez et bien d’autres dirigeants occidentaux corrompus.

La vérité sur ces effets indésirables et les morts des « vaccins » progresse donc désormais tel un tsunami irrésistible.

De même que la divulgation décomplexée sur les plateaux télé, dans des médias mainstream, dans l’opinion publique intoxiquée par trois ans et demi de propagande insanitaire orchestrée par les laboratoires, leurs actionnaires comme BlackRock, les fondations qui les financent comme la Fondation Gates et les Etats corrompus. Une propagande relayée par des conseils scientifiques bidons, des ministres et des médias, tous corrompus par les mêmes.

Pas un jour aux Etats-Unis sans que la chaîne Fox News, proche des Républicains et critique envers le pouvoir actuel, n’évoque ces nouveaux scandales liés à la gestion de la crise sanitaire, l’origine du virus, les faux « vaccins », les dommages historiques causés aux victimes abusées par leurs dirigeants.

En Allemagne la chaîne publique ZDF a tout récemment consacré une émission entière à ces effets secondaires, et demandé leur indemnisation par l’Etat.

La France fait figure d’exception : un ilot de silence au milieu de l’Europe, plus proche pour la liberté d’expression de la Corée du Nord que de la Suède ou la Norvège. Les choses pourraient rapidement changer avec un Président usé, impopulaire à 90%, emporté par « la foule » vers la sortie, et qui pourra difficilement achever son mandat

Sans parler des nombreux médecins qui évoquent maintenant sans crainte cet effondrement immunitaire comparable au sida dont ils sont témoins chez certains patients injectés à partir de la 3e dose.

Un effondrement immunitaire spectaculaire, au sujet duquel alertait le Professeur Luc Montagnier (qui en a vu d’autres), dans cette déclaration courageuse 5 jours avant de mourir:

« Les personnes vaccinées seraient bien inspirées de faire le test du sida. Elles seraient surprises du résultat, et pourront demander des comptes à leur gouvernement !« 

Certains avaient osé insulter le Prix Nobel découvreur du virus du sida, en le traitant de « complotiste » et de « gâteux« .

Ce que le Professeur a omis volontairement de dire en direct sur ce plateau télé, c’est que les applications civiles et médicales ne constituaient qu’une partie seulement des programmes développés dans ces labos ultra pointus et ultra protégés de recherche en génie génétique.

En effet, une grande part des recherches conduites dans ces laboratoires très surveillés comme le laboratoire P4 de Wuhan construit par la France au nom de la coopération scientifique franco-chinoise, et inauguré en 2011 par le Premier ministre Bertrand Cazeneuve le directeur de l’INSERM Yves Lévy (mari d’Agnès Buzyn), comportent presque toujours un volet de recherche militaire.

Il faut en effet savoir que, bien que les armes bactériologiques soient interdites par la Convention de Genève et qu’elles ne soient pas officiellement développées par les pays signataires de cette Convention comme la France, la majorité des recherches effectuées aujourd’hui dans le monde sur des budgets militaires le sont pour des programmes d’armes non conventionnelles. Car celles-ci sont beaucoup moins coûteuses, tout aussi efficaces mais beaucoup plus discrètes et ciblées que les armes stratégiques (bombe atomique) : armes chimiques, bactériologiques, électromagnétiques (bombes, canons et fusils électromagnétiques de l’US Army), sismiques (séismes déclenchés), climatiques (HAARP et programmes d’ingénierie climatique reconnus officiellement par le Pentagone « pour lutter contre le dérèglement climatique« …), psychédéliques, etc…

Plusieurs spécialistes du génie génétique ont d’ailleurs confirmé depuis le Covid que les laboratoires P4 créés ces dernières années par les Etats-Unis, le Canada, l’Europe, le Royaume-Uni ou la France (et souvent délocalisés vers des pays d’Asie du Sud-Est comme la Corée du Sud, Hong Kong ou la Chine, plus conciliants avec la législation), travaillaient en réalité essentiellement sur des programmes militaires de développement d’armes bactériologiques. Et plus accessoirement sur des programmes civils destinés à mettre au point de nouveaux vaccins.

Les Etats-Unis sont d’ailleurs impliqués dans la genèse du virus SARS-Cov-2, tout comme ils sont dans les recherches menées au laboratoire franco-chinois de Wuhan. Comme l’ont prouvé les mails divulgués lors du Faucigate qui a démontré la responsabilité d’Anthony Fauci, responsable depuis 1984 des programmes de santé publique aux Etats-Unis, dans la préparation et le déclenchement de la crise du Covid.

Quant aux intentions délibérément eugénistes dans cette propagation volontaire du virus à partir de Wuhan (et peut-être dans d’autres foyers simultanés, en Iran et en Italie du Nord), il est assez difficile d’en douter, connaissant les intentions assumées de presque tous les oligarques impliqués dans cette crise.

En tout cas s’agissant des « vaccins », aujourd’hui les faits sont là. Et ce sont les menteurs subventionnés des ministères et des médias redresseurs de « fake news » qui se retrouvent aujourd’hui en situation d’accusés. Alors que ceux qu’ils calomniaient hier en les accusant de « complotistes » sont aujourd’hui réhabilités, écoutés et même remerciés pour leur courage.

A ce sujet, il faut noter le revirement spectaculaire du réseau social LinkedIn, propriété de Microsoft. Un des GAFAM les plus largement impliqués dans le volet numérique de ce cirque covidiste.

Notamment parce qu’il détient depuis 2019 le brevet d’une technologie à base des nanoparticules incluses dans le cocktail vaccinal et destinée au traçage des personnes vaccinées. Développée par le MIT de Boston, elle a fait l’objet de tests officiels en 2020 au Kenya et au Malawi sous l’égide de la Fondation Gates. Comme l’ont rapporté des médias mainstream comme Le Monde, Les Echos ou LCI.

Microsoft est aussi l’un des initiateurs du projet ID 2020. Un conglomérat discret réunissant parmi ses fondateurs la Fondation Rockefeller, la Fondation Gavi (vaccins), Accenture et Microsoft. Avec comme partenaires des multinationales stratégiques comme Facebook, Mastercard et autres géants de la tech. Son but : développer l’identité et le contrôle numériques (des populations) au plan mondial. Et coupler les nouveaux outils de contrôle des données personnelles (état civil, données médicales, carnet de vaccination, données bancaires…) aux monnaies numériques actuellement mises en place partout dans le monde, puis à la future monnaie unique numérique mondiale. L’outil ultime de contrôle des populations.

Un projet qui associe étroitement l’Union européenne, à travers son identité numérique européenne et son portefeuille numérique européen, actuellement mis en place par la Commission européenne. De même que la BCE met en place aujourd’hui son euro numérique, à l’image du dollar, du rouble, du yen ou du yuan numériques. Au passage, la BCE s’est arrogée en 2022 le droit de contrôler toutes les opérations bancaires sur tous les comptes de particuliers gérés par les banques dans tous les Etats membres de la zone euro. En violation complète du droit européen sur le secret bancaire et la vie privée.

Il y a encore deux ans, la censure sur LinkedIn était impitoyable concernant certaines vérités qui dérangent, même sourcées, validées par des experts et publiées dans des médias mainstream. Notamment la réalité sur les tests PCR, l’inefficacité ou la dangerosité des « vaccins ». Relayer de telles infos équivalait à une fermeture arbitraire et immédiate du compte pour non-respect des standards LinkedIn, sans aucune explication ni recours possible.

Même politique de censure arbitraire chez Facebook, réseau asocial champion de la chasse aux « fake news« .

Aujourd’hui, de nombreux décideurs – PDG, banquiers, médecins, généraux – discutent très ouvertement des dérives du Covid et des volets opaques de ce scénario de basculement contrôlé baptisé Great Reset. Un scénario détaillé par Klaus Schwab, Président du Forum de Davos, dans un livre publié en 2020[i], et destiné à nous faire basculer par étapes grâce à des chocs successifs vers une société dystopique, totalitaire, sans libertés, dominée par un Caste élitiste qui contrôle tous les pouvoirs, et gère des populations réduites en esclavage, surveillées par des AI, reformatées par des techniques transhumanistes et vouées à un dégraissage eugéniste « pour sauver la planète ».

Certains qui avaient été accusés de complotisme, ont été suspendus deux ans sans indemnité pour avoir refusé de se faire vacciner, ont perdu leur emploi, ont été condamnés au bûcher professionnel, raillés par les médias, ou qui se sont fait radier par le Conseil de l’Ordre, sont aujourd’hui réhabilités. Comme le Professeur Perronne, débouté de sa chefferie du service de maladies infectieuses à l’hôpital de Garches en 2021, puis réhabilité sans bémol par le Conseil de l’Ordre en 2022, et lavé de tout soupçon de « complotisme ».

Certains d’entre eux ont porté plainte contre les calomniateurs. Ils ont ajouté leur voix aux millions de plaintes dans le monde destinées à faire reconnaître officiellement les préjudices causés par les vaccins de la mort, indemniser les victimes, leurs conjoints ou leurs familles, exposer les crimes, faire condamner les coupables et rétablir la vérité.

Selon les juristes, cela prendra sans doute beaucoup de temps. 10 ans au bas mot, d’après certains. D’autant que la Justice elle aussi est largement corrompue.

Depuis 2020, Reiner Fuellmich, avocat international allemand et d’autres juristes appellent à un Nürnberg du Covid. Afin d’exposer publiquement les crimes, condamner les coupables qui ont imaginé, planifié, déclenché, organisé, couvert cette Shoah mondiale qui cible 8 milliards d’êtres humains.

Et qui se sont enrichis en vendant des vaccins tueurs. En interdisant qu’on hospitalise les malades en détresse respiratoire jugés non prioritaires en raison de leur grand âge, de leur infirmité ou état de santé.

En interdisant qu’on leur délivre autre chose que du Doliprane, et surtout pas ces traitements mis à l’index car réputés pour leur efficacité, et qui auraient permis de les sauver.

En euthanasiant par décret [ii] les vieux dans leur EHPAD. En terrorisant la population avec une fausse « pandémie » fabriquée par l’OMS, et démesurément déformée par les médias alarmistes dès novembre 2019.

En imposant des mesures absurdes, liberticides et contre-productives. Comme la distanciation sociale, le masque, les confinements et couvre-feux à répétition, les milliards de tests PCR utilisés en dépit des méthodes préconisées par leur inventeur et leurs fabricants, la falsification des données épidémiologiques pour faire croire à des « vagues » successives, et justifier le prolongement d’une dictature légale (état d’urgence sanitaire), la fermeture des lieux publics, la surveillance policière des populations, la vaccination obligatoire, le pass sanitaire et le traçage numérique dans le but de fliquer tout le monde…

Comme un symbole de cette folie, le groupe Pfizer, propriété de BlackRock comme la plupart des leaders du secteur pharma, est aujourd’hui sur le banc des accusés. Son PDG Albert Bourla est poursuivi par d’innombrables plaintes pour falsification ou dissimulation d’études scientifiques, concernant l’efficacité et les effets secondaires des injections ARNm, entrave à la Justice, empoisonnement, homicide volontaire, crime contre l’humanité, et corruption.

Cela ne dérange nullement cet homme ni sa firme, qui a déjà accumulé un record de condamnations pour crimes et se voit chaque année obligée de verser des millions d’amendes depuis 10 ans. Une ligne comptable insignifiante dans son business plan highly bankable

C’est pourtant largement à son initiative que débutait fin 2020 la plus grande opération de « guerre » de l’Histoire humaine, annoncée plus d’un an auparavant. Alors qu’il faut au bas mot 20 ans à la recherche pour développer un vaccin efficace contre un nouveau virus. Qui plus est, avec une technologie totalement nouvelle, sans aucun recul ni étude indépendante prouvant son efficacité.

Une opération digne du Débarquement de Juin 1944, préparée dans le plus grand secret et saupoudré de quelques annonces pour tester l’opinion, qui mettait en œuvre des moyens considérables pour terrasser un virus de grippe quasi inoffensif[iii], qui aura causé au total moins de victimes dans le monde que la grippe saisonnière de 2019 !

Une campagne de vaccination massive sur tous les continents, pilotée de main de maître simultanément dans 65 Etats occidentaux par une entreprise privée américaine : le cabinet de conseil McKinsey.

Un véritable Etat dans l’Etat, qui s’est substitué aux conseillers, ministères et services administratifs des Etats concernés, pour la partie conseil comme pour la partie mise en œuvre de la politique vaccinale, pass sanitaire compris. Et dont le dirigeant en France n’est autre que Victor Fabius, fils du Président du Conseil constitutionnel et ancien Premier ministre (condamné dans l’affaire du sang contaminé) Laurent Fabius. Rien que du beau monde.

Un scénario relayé par ces Etats et leurs conseils scientifiques bardés de conflits d’intérêts avec des labos comme Pfizer, Moderna ou Gilead, des agences de santé et des médias subventionnés, tous archi corrompus. Au bénéfice d’une industrie pharmaceutique qui constitue le secteur le plus corrompu et le plus corrupteur de l’économie mondiale.

Une industrie financée par des fondations privées, comme la Fondation Bill & Melinda Gates, la Fondation Gavi pour les vaccins, la Fondation Rockefeller ou la Fondation John Hopkins. Toutes championnes de la corruption et du crime organisé.

Rappelons que le « milliardaire philanthrope » Bill Gates, condamné par la justice américaine au cours de la décennie 1990 pour abus de position dominante de sa firme Microsoft, et violation de la loi antitrust, s’était refait une virginité en léguant une partie de son immense fortune héritée de sa famille et constituée par son empire informatique dans une fondation à son nom, destinée à financer des programmes humanitaires de santé dans les pays du tiers-monde.

Un « investissement » absolument pas désintéressé, mais au contraire extrêmement rentable, qui lui avait notamment permis de s’assurer le quasi contrôle financier d’un des secteurs les plus bankable de l’économie mondiale, en finançant ses labos les plus rentables.

Mais aussi de « racheter » l’OMS : une ONG mondialiste dépendante de l’ONU, jusque-là financée par les subventions de ses Etats membres. A la surprise générale, face à la gabegie corruptive et aux décisions sanitaires iniques de ce « machin » vendu aux firmes pharmaceutiques, Donald Trump avait décidé en 2020 de retirer les Etats-Unis de l’OMS !

Cet organisme est donc désormais sous la coupe majoritaire d’une fondation privée qui en est le principal mécène. Et qui lui dicte ses grandes orientations, pour le plus grand bénéfice des rapaces de Big Pharma et ses actionnaires.

La Fondation Gates s’était singularisée dans les années 2000 et 2010 en lançant des campagnes de vaccination massive et expérimentale sur populations pauvres des continents africain, asiatique et d’Amérique latine. Elle prétendait alors vouloir éradiquer des épidémies comme la méningite, la malaria ou la variole, alors que cette dernière était déjà éteinte quand la campagne de vaccination fut lancée.

Ces campagnes d’apprentis sorciers ont malencontreusement provoqué l’effet inverse de celui escompté. A savoir une reprise spectaculaire de ces épidémies. Au point que les vaccins contre la variole du couple Gates sont aujourd’hui considérés par les épidémiologistes comme le vecteur principal de propagation de cette maladie dans le monde !

Un scénario qui n’est hélas pas nouveau. Et dont les véritables causes ne laissent pas d’interroger.

En effet, en 1919 déjà, une autre fondation célèbre, la Fondation Rockefeller, inventeur et mécène de la toute jeune industrie pharma, avait lancé une campagne de vaccination massive contre la méningite destinée en priorité aux GIs américains à peine revenus du front après l’Armistice de 1918. Des centaines de millions de doses de vaccins à base de virus atténués furent ainsi injectés à toute une population jeune et en bonne santé. Le résultat fut cataclysmique, puisque ces vaccins sont aujourd’hui jugés responsables de la propagation de la bien mal nommée « grippe espagnole« . Laquelle a causé tout de même 50 millions à 100 millions de morts dans le monde en seulement 3 ans. Soit davantage que les deux guerres mondiales réunies.

La Fondation de Bill Gates n’est toutefois pas en reste. Puisque ce sont plusieurs millions d’Africains, d’Indiens ou de Sud-américains parmi les plus pauvres qui ont succombé aux effets secondaires de ses campagnes de vaccination mortifères.

Auxquelles s’ajoutent plusieurs centaines de milliers de femmes indiennes stérilisées par ces injections (chiffres officiels). Ce qui vaut à la fondation Gates d’être interdite de séjour depuis plusieurs années sur le sol indien.

Malgré les preuves et les condamnations, la fondation génocidaire continue toujours bon enfant son travail d’extermination des populations. En toute impunité.

Il faut dire que Bill et ses amis qui ne cachent plus leurs intentions ouvertement eugénistes. Et ne craignent pas la Justice, puisqu’ils ont largement les moyens de corrompre les tribunaux qui pourraient leur réclamer des comptes. A savoir l’ensemble des tribunaux nationaux, européens, ou internationaux, comme la Cour de Justice Internationale.

Cette dernière a d’ailleurs été saisie en 2021 par le Barreau des Avocats Indiens d’une plainte pour crime contre l’humanité à l’encontre de Bill Gates, Anthony Fauci et Tadros Ghebreyesus, directeur de l’OMS, suite à l’interdiction par l’OMS d’utiliser l’ivermectine pour soigner le milliard d’Indiens touchés par le redoutable variant Delta. Après que le gouvernement indien avait décidé de recourir aux traitements plutôt qu’à la stratégie vaccinale, inefficace, pour traiter sa population. Avec un succès qui permit l’écrasement immédiat du pic épidémique du variant Delta, qui atout de même causé des centaines de milliers de morts en quelques mois en Inde.

Quant aux objectifs de dépopulation mondiale liés aux vaccins, Bill Gates en a clairement fait état à plusieurs reprises dans ses déclarations et conférences publiques. Notamment lors d’une conférence Ted Talk aux États-Unis en 2010[iv] sur le thème de la population mondiale. Au cours de cette conférence, le milliardaire philanthrope a brossé un exposé implacable devant un auditoire médusé, en démontrant chiffres et schémas à l’appui que l’économie mondiale ne pourrait plus dans les années à venir nourrir une population dont la croissance démographique exponentielle devenait incontrôlable. Théorie qui paraît plausible, mais ne fait nullement l’unanimité chez les démographes et spécialistes de l’agriculture mondiale. Bill Gates a cependant rassuré son auditoire en indiquant qu’on pouvait résoudre le problème en jouant sur le paramètre « P » – Population – de l’équation. Rires gênés dans l’assistance… Avant d’ajouter :


« Si ont fait un bon boulot, un très bon boulot, on peut réduire de 15% la population mondiale en 10 ans, grâce aux nouveaux vaccins, aux politiques de santé publique, et au contrôle de la procréation ! » (Sic)

Bill Gates n’a jamais démenti cette déclaration de guerre implicite et cynique faite à toute l’humanité.

Une déclaration reprise depuis par lui-même et d’autres oligarques fanatiques des programmes eugénistes de dépopulation mondiale.

Comme George Soros (Open Society), Jacques Attali[v], Elon Musk, ou Laurent Alexandre.

Tous par ailleurs promoteurs infatigables de l’idéologie transhumaniste, dont les nouvelles injections expérimentales à ARNm sont une illustration.

Autre précision importante : l’industrie des vaccins, qui connaît un développement spectaculaire et des investissements records depuis 20 ans, est engagée depuis 1993 dans une compétition féroce mais discrète pour produire de nouveaux vaccins.

Mais surtout pour produire de nouveaux virus par génie génétique. Des virus brevetés, condition nécessaire pour s’en assurer la propriété, et percevoir ainsi des royalties sur les vaccins correspondant produits par ces mêmes labos.

Les progrès dans les techniques de manipulation génétique ont en effet connu un bond de géant ces dernières décennies. Elles permettent aujourd’hui de fabriquer des virus modifiés à partir de souches animales, auxquelles ont ajoute des gains de fonction afin de les rendre ces nouveaux virus compatibles avec l’homme. Ils peuvent alors s’intégrer facilement aux cellules humaines, alors qu’ils seraient normalement rejetés par le système immunitaire, le temps de muter pour s’adapter et trouver la bonne clé pour s’accrocher aux cellules et intégrer leur ADN pour se reproduire. Comme le VIH, à l’origine dérivé du LAV, virus du sida chez certaines espèces de singes.

En 2020, le Professeur Luc Montagnier était venu présenter sur CNews les résultats des travaux de son équipe de recherche sur le séquençage du génome du virus SARS-Cov-2, récemment isolé et tenu pour responsable de l’épidémie de Covid-19. A la stupéfaction générale, il avait présenté la preuve irréfutable que ce virus ne pouvait qu’avoir été fabriqué volontairement en laboratoire à partir de manipulations génétiques. Et que son ARN modifié comportait 4 insertions évidentes du VIH.

Avant d’ajouter pour rassurer un Pascal Praud hagard, que cette méthode était souvent utilisée par les labos de recherche médicale dans l’espoir de mettre au point un vaccin contre des maladies comme le sida. Cette technique vaccinale expérimentale s’appuie non sur des virus atténués, comme pour les vaccins « classiques », mais sur un virus porteur dans lequel on introduit des fragments du virus cible, dans le but hypothétique de provoquer une réponse immunitaire spécifique chez les personnes auxquelles on injecte le cocktail vaccinal.

C’est le principe théorique qui prévaut dans le concept de virus à ARN modifié (ARNm).

Une technologie nouvelle, largement expérimentale, qui consiste à « livrer » à l’intérieur de l’ADN humain une protéine d’enveloppe (Spike) du virus contre lequel on souhaite immuniser les personnes vaccinées. En utilisant par exemple un virus pathogène de chauve-souris, de grippe aviaire ou de grippe porcine génétiquement recombiné, qui va pouvoir s’accrocher aux cellules humaines, et « livrer » à l’intérieur de la cellule une portion du code génétique du virus ciblé. L’ADN humain ainsi piraté fera le reste, transformant la cellule hôte en usine à fabriquer des particules virales, qui seront à leur tour libérées à l’intérieur mais aussi souvent à l’extérieur du corps. Le pari fou de cette technique sophistiquée est que le système immunitaire va produire une réponse immunitaire spécifique dirigée contre le virus que l’on cherche à éradiquer. En se retournant en quelque sorte contre lui-même.

Au passage, le fait de pirater ainsi l’ADN conduit à une mutation irréversible du génome humain, mutation qui s’avère transmissible aux descendants. Il s’agit donc d’une modification délibérée de type transhumaniste de l’espèce humaine.

Pour les labos qui produisent ces chimères, le business model de ces nouveaux « vaccins » est fondé sur un objectif théorique de substitution de l’immunitaire naturelle par une immunité artificielle. La première étant non spécifique et pas toujours efficace immédiatement, le temps que le corps trouve la parade ; la seconde étant en principe spécifique donc efficace. Mais elle oblige les personnes qui mettent le doigt dans cet engrenage vaccinal à devoir se faire injecter des doses de rappel mises à jour tous les trois mois, en espérant être ainsi protégées contre l’apparition inéluctable de nouveaux variants.

Double, triple, quadruple, quintuple bingo !

Sauf que ce beau joujou admirable sur le papier n’a jamais marché ! Pire, ses effets sont catastrophiques.

Malgré les efforts démesurés de la propagande vaccinale, les faits demeurent têtus. Toutes les études indépendantes réalisées depuis plus de deux ans conduisent aux mêmes conclusions.

Tout d’abord il faut savoir que ces « vaccins » anti-Covid ont été commercialisés au prix d’une corruption d’une ampleur inédite dans l’Histoire, par des firmes criminelles pressées d’engranger des bénéfices record, et qu’ils ont été imposés de façon frauduleuse aux populations. Puisqu’il n’est légalement possible d’autoriser de tels essais expérimentaux qu’à condition qu’il n’existe aucun traitement pour soigner la maladie.

Ce qu’on a vainement tenté de nous faire croire par une vaste entreprise de corruption des chercheurs, de la presse scientifique[vi], des médecins, des agences de santé, des gouvernements et des médias. Alors que, selon plus de 200 études scientifiques indépendantes dans le monde, il existe de nombreux traitements, peu coûteux, disponibles et très efficaces contre le Covid, à tous les stades de la maladie : plus de 98% d’efficacité pour l’ivermectine, y compris sur les formes graves.

A l’inverse, les injections imposées de façon souvent obligatoire suite à un terrorisme médiatique doublé d’un matraquage de propagande destiné à donner l’illusion de leur efficacité, d’une chasse aux sorcières contre les propos dissidents et de contraintes dictatoriales sur les populations, n’ont prouvé jusqu’à présent rigoureusement aucune efficacité ! Contrairement à ce qui est martelé comme des mantras par des ministres corrompus comme Olivier Véran, par les labos eux-mêmes et repris en chœur par les journalistes.

En effet, toutes les études et statistiques officielles reprises par les agences de santé du monde entier, en Israël, premier pays à avoir massivement vacciné, aux Etats-Unis, au Canada, en France, le confirment : ces soi-disant « vaccins » n’empêchent aucunement les personnes injectées d’être contaminées. Au contraire ils affaiblissent leur système immunitaire, et les rendent moins résistantes aux nouvelles attaques virales. Selon une étude israélienne, en 2021 les vaccinés ont été 16 fois plus contaminés que les non-vaccinés.

Ces injections n’empêchent pas non plus les personnes injectées de transmettre le virus. Au contraire, elles les transforment en super propagateurs de protéines Spike. Puisque l’organisme qui tente de s’en débarrasser excrète par la peau et par voie aérienne des milliards de particules virales, qui vont infecter à leur tour d’autres personnes autour d’elles. Lesquelles présenteront parfois les mêmes symptômes que le Covid-19, sans qu’on puisse les différencier.

Contrairement aux mensonges martelés par les médias pour tenter de trouver une ultime justification aux doses de rappels destinées à écouler les stocks achetés par la Commission européenne, les vaccins Covid n’ont jamais protégé qui que ce soit des « formes graves ». Ces cas graves tant médiatisés et qui font tant flipper les accros aux messages anxiogènes diffusés à la télé. Toutes les statistiques prouvent aujourd’hui le contraire, à savoir que ceux qui développent des formes graves ou décèdent du Covid depuis 2021 sont majoritairement des personnes vaccinées ! Alors que les non-vaccinés dont le système immunitaire reste intact ont pour la plupart bénéficié d’une immunité collective face à une épidémie qui est aujourd’hui éteinte, et dont les répliques sont insignifiantes et extrêmement peu pathogènes.

En revanche, ceux qui payent depuis deux ans le plus lourd tribut aux vaccins et au Covid sont les jeunes ! Enfants, adolescents, jeunes sportifs et jeunes adultes vaccinés sont ceux qui meurent aujourd’hui le plus du Covid (i.e. des vaccins).

Quant à l’hécatombe produite par les effets secondaires et les décès directement liés aux injections, c’est tout simplement du jamais vu dans toute l’Histoire de la médecine, de la vaccinologie et de la pharmacovigilance !

N’importe quel autre médicament en phase d’essai thérapeutique avec délivrance d’une ATU (Autorisation Temporaire d’Utilisation) sous conditions, aurait été immédiatement stoppé. Et son développement aurait été définitivement abandonné au vu de tels résultats. Mais dans le cas des vaccins anti-Covid, on a continué et on continue toujours d’administrer la mort à des milliards d’êtres humains.

Sans compter que, selon les estimations, à peine 8% de ces effets secondaires redoutables constatés chez les personnes vaccinées seraient déclarés. Par incertitude ou par ignorance des médecins, par incrédulité, parfois par corruption. Et surtout par peur d’être montrés du doigt, de se voir désigné comme un « complotiste« , et pour certains d’être radiés par le Conseil de l’Ordre.

Quels sont ces effets néfastes des « vaccins » ?

L’hyper prolifération anarchique de protéines de pointe baptisées Spike dans l’organisme se traduit rapidement chez beaucoup de personnes injectées par des phénomènes inflammatoires, qui surviennent quelques heures à quelques semaines après l’injection. Et qui peuvent affecter tous les organes, du cerveau aux testicules en passant par le cœur, le foie, les reins, la rate, le pancréas, les intestins, la peau, les yeux, les os…, produisant des effets catastrophiques.

Thromboses, cancers foudroyants, embolies pulmonaires, néphrites, hépatites, pancréatites, troubles circulatoires, cardiaques, neurologiques, cérébraux, ophtalmiques, œdèmes, retards de règles, stérilités définitives chez les jeunes femmes et les jeunes hommes… Sans compter les innombrables morts subites qui affectent des présentateurs télé en direct sur leur plateau, des sportifs de haut niveau foudroyés en plein match, des militaires et policiers durant leur service. Des phénomènes liés à l’effort physique intense, cause de crises cardiaques ou d’AVC. Tous survenant chez des sujets jeunes, en parfaite santé, sans aucun antécédent.

Le 13 mai une partie du monde regardera ailleurs, ou tentera de ridiculiser cette initiative courageuse en la présentant comme « des délires de complotistes ».

Une autre partie du monde ouvrira les yeux et commencera à admettre que les premiers avaient raison. Ils rendront hommage aux victimes décédées à cause de cette politique du Mensonge institutionnalisé et du sacrifice d’une part de l’humanité sur l’autel du dieu Mammon et de ses grands prêtres psychopathes prêts à tout pour obtenir plus de pouvoir.

La vérité mettra encore du temps à gagner toutes les consciences. D’autant qu’entre temps, nos bourreaux nous ont déjà concocté d’autres réjouissances comme autant de « chocs » pour nous asservir : guerre Otano-russe en Ukraine et menace de 3e guerre mondiale, crise énergétique et hyperinflation (prévues par Klaus Schwab dans son livre), crise climatique et autres catastrophes « naturelles », Intelligence artificielle menaçant de prendre le contrôle de l’humanité…

Il ne faut pas nous laisser impressionner par ces mises en scène. Mais rester inflexibles quand il s’agit de défendre l’identité et la dignité humaine violées par les expériences transhumanistes, les libertés et droits individuels saccagés par la dystopie sécuritaire qu’on nous impose « pour notre bien », l’irruption de sentinelles numériques au cœur de nos vies, dans nos corps, nos cellules, nos cerveaux, nos pensées, nos choix personnelles pour éradiquer non pas des virus menaçants, mais notre esprit critique et libre-arbitre.

La seule issue à ce cauchemar réside dans l’élévation et l’unification des consciences au plan mondial. L’exposition des crimes contre l’humanité perpétrés par une poignée de fanatiques depuis 3 ans doit nous inciter non pas à leur faire rendre gorge dans le but de nous venger, mais à poser les garde-fous nécessaires pour qu’une telle horreur ne puisse jamais se reproduire. Et qu’une écrasante majorité d’humains choisissent en conscience de s’engager ensemble dans une autre voie, qu’elle choisisse d’épouser un autre futur.

Alors seulement, quand nous seront sortis des ténèbres, les choses commenceront.


[i] Klaus Schwab & Thierry Malleret : Covid-19, The Great Reset (Forum économique mondial, 2020)

[ii] Décret n° 2020-360 du 28 mars 2020 complétant le décret n° 2020-293 du 23 mars 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire. Ce décret signé Edouard Philippe demandait explicitement aux médecins d’EHPAD de prescrire du Rivotril, un sédatif létal à fortes doses, au titre de « soins palliatifs » aux personnes âges suspectées de Covid et présentant des symptômes d’infection respiratoire.

[iii] Sauf dans de très rares cas ultra médiatisés pour des personnes très âgées ou très malades

[iv] https://www.youtube.com/watch?v=DtkfWaCzsas

[v] Jacques Attali milite depuis 1979 dans ses livres et conférences en faveur de l’euthanasie des vieux qui plombent l’économie française. Ce qu’a par ailleurs confirmé de Christine Deviers-Joncourt dans un livre de témoignage publié récemment où elle évoque des déclarations explicites sur ce sujet au cours de dîners au domicile de Jacques Attali. Cette politique eugéniste défendue par beaucoup d’oligarques dits « progressistes » a d’ailleurs été évoquée quasiment mot pou mot par la très macroniste députée Renaissance Amélie de Montchalin, dans un tweet qu’elle a publié le 23 avril 2023 et qui a fait scandale.

[vi] Cf. le scandale du Lancet en 2021suite à une fausse étude bâclée publié dans la prestigieuse revue afin de discréditer les traitements à base d’hydroxychloroquine et d’azithromycine

Transparency International, cette ONG mondialiste qui « lutte contre la corruption » pour que vous ne la voyiez pas !

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« Transparency International », l’ONG « anti-corruption » de la Banque Mondiale, se soucie plus de son éviction par le Kremlin que des crimes contre l’humanité commis par les amis de Macron.

Agacé par un mail de désinformation envoyé hier par cet organisme auquel j’avais naïvement adhéré il y a quelques années, je partage ce recadrage éthique qui remet quelques pendules à l’heure. Et invite ceux qui seraient appâtés par les néons de s’enfuir à toutes jambes.

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Dear Transparency International,

For the past 10 years I have been a great supporter of your movement, especially concerning some corruption issues in France during François Hollande’s presidency.

However, since Macron was elected, I have been very shocked to see that your movement never pointed out any of the numerous objective high corruption facts in Macron’s way of governing and conceiving democracy.

Same thing concerning the Covid crisis.

No word about the worrying conflicts of interests between scientists, politicians, medias, private world foundations like Bill Gates’ one, Gavi, Rockefeller or John Hopkins, all involved in the pandemic, the WHO, the pharmaceutical industry and its share-holders like BlackRock.

No single word about the hundreds of billions of dollars of criminal profits made by Pfizer and other Moderna which sold illegal experimental products with absolutely no proven efficiency, but with millions of worrying side-effects and deaths established by official bodies in the whole world.

No word about some private American company like McKinsey that steered the same Health and vaccination policy in 65 Western states in 2021.

No word about the hundreds of prosecutions brought before national and international courts by victims of the illegal prohibition of efficient treatments against Covid-19, the prosecution by the Board of Indian Lawyers before the ICC against Tadros Ghebreyesus (Director general of the WHO), Anthony Fauci and Bill Gates, after WHO forbid the Indian government to treat people dying of Delta variant with ivermectine.

No word about the fake study commanded by Gilead Sciences and published in The Lancet to discredit hydroxychloroquine.

No word about the proven links between Pope Francis and Albert Bourla (CEO of Pfizer) and Melinda Gates.

No word about the unpreceded attacks on freedom and democracy thar are the dictatorial measures like repeated lockdowns, vaccination pass, masks, travels and protest bans, censorship on press and social networks, mass monitoring of population, police repression, arbitrary arrests of dissident scientists and inquisition of thoughts…

Today, 93% of French workers are declared against an unfair law project imposed by BlackRock to destroy our retirement and social system.

Paris streets have been overwhelmed with garbage hips and angry demonstrators for one week…

And your only concern in your last newsletter is about some Russian bullshit???

Oops! I’m sorry: I forgot that Transparency International was created 20 years ago by former employees of the World Bank.

Probably they were less specifically concerned about “corruption” than by broadcasting some “progressive” propaganda about what should and should not be considered by the public as a worrying “corruption” topic.

And Transparency International – which should be rebranded Opacity International – is surely nothing more than some other GNO invented by masters of social engineering to manufacture opinion.

As a journalist with a rigorous attention to ethics, a long experience and a strong deontology, I will from now on take great pride to inform my followers about the evident partisanship of your movement.

Best regards,

Christophe Claudel

L’HEURE DE VÉRITÉ : LE PEUPLE DE FRANCE A RENDEZ-VOUS AVEC L’HISTOIRE MONDIALE !

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La mort de Robespierre (gravure anglaise)

« Voici l’heure, et c’est maintenant. »*

La fuite à Varennes de l’imposteur ouvre la voie à la victoire du Peuple.

Selon certaines rumeurs, Macron aurait fui dès hier soir le pays. Après le soulèvement unanime et légitime de la rue pour dire NON à son ultime trahison : ce coup d’Etat du 49.3 pour imposer au forceps sa réforme des retraites, après avoir soufflé le chaud et le froid et fait planer le suspens durant des semaines. Après des mois de feuilleton politique et médiatique. Des années si l’on considère que cette réforme fut engagée en 2019, juste après les violences policières destinées à mater la révolte des Gilets jaunes, achetés pour quelques milliards de plus, et juste avant l’état d’urgence insanitaire et la guerre imaginaire contre le Covid.

Aujourd’hui, c’est l’heure de vérité !

Pour le peuple. Pour la France. Pour le monde entier.

Soit nous nous unissons tous pour mettre définitivement KO le mondialisme, ce régime abject, cette dictature des pourris et des lobbies illustrée par cette « réforme BlackRock » que rejettent 90% d’entre nous.

Soit on baisse une fois de plus les bras. Et alors c’en sera fini de la liberté et de l’humanité.

Car ne nous y trompons pas. Je le répète depuis trois ans : comme pour la crise sanitaire, la France, pays traditionnellement le plus rebelle au monde, est un verrou, un levier, un test pour les oligarques. Si les Français plient, l’Europe suivra, et le monde à sa suite. Si la France se soulève, si elle montre l’exemple, si elle résiste et se montre prête à tout pour renverser ce pouvoir scélérat, alors le Great Reset et le Nouvel Ordre Mondial rejoindront rapidement les poubelles de l’Histoire.

L’heure est grave et cruciale. La Phase 3 du Great Reset est en train de s’engager, sans que les médias vérolés n’en soufflent mot. Après la plandémie de Covid, « fenêtre d’opportunité » pour précipiter des basculements stratégiques et accélérer l’avènement de la gouvernance mondiale.

Klaus Schwab, gourou de Macron et autres pantins mondialistes qui font semblant de gouverner les « démocraties », avait tout annoncé dans son livre paru en 2020.

Phase 1 : guerre imaginaire contre un virus fabriqué balancé sciemment à Wuhan, confinements autoritaires, inutiles et destructeurs, vaccins tueurs, outils de traçage numérique, destructions sectorielles… Phase 2 : guerre en Ukraine, Reset énergétique et climatique, pénuries déclenchées, hyperinflation, spéculation sur les denrées alimentaires… Nous entrons maintenant dans la Phase 3, la plus critique du scénario.

Avec ce crash du siècle annoncé depuis des années par les experts financiers, désormais bien amorcé aux États-Unis avec le nième relèvement du taux directeurs des banques centrales, et la faillite de 3 banques américaines ce mois-ci.

Viendra ensuite le chaos : 3e guerre mondiale et guerres civiles, provoquées partout afin de justifier la Phase 4 du plan : une répression policière mondiale, avec une accélération du contrôle numérique des populations, la suppression définitive de toutes les libertés et de la propriété privée, la concentration des populations dans des grandes villes. Et enfin la Phase 5 : l’introduction de monnaie unique numérique mondiale d’ici 2030, la mise en place d’une société totalitaire et esclavagiste, le transhumanisme et la dépopulation mondiale afin de sauver la planète et mieux gérer la flambée démographique.

Certains avaient pourtant tout compris à l’avance. Dès 2020, ils ont tenté de réveiller et d’alerter leurs concitoyens tétanisés par la mascarade covidiste. Aujourd’hui la vérité sort partout. Les esprits s’éveillent. Les peuples demandent des comptes aux criminels qui les ont trahis, abusés, ruinés, empoisonnés, qui ont tué leurs parents et leurs enfants.

Alors il est plus que temps d’aller régler son compte au petit poudré terré dans son beau Palais refait à neuf de l’Elysée, avec sa vieille, ses michetons et ses drag queens.

Puisque jamais il ne voudra démissionner, puisque l’armée a renoncé à le déposer, puisque le Parlement corrompu n’osera jamais engager l’Article 68 de la Constitution pour prononcer la destitution de cet imposteur criminel coupable de haute trahison, puisque Pinocchio préfère se débiner comme un lâche, alors faisons lui plaisir : allons le chercher ! Comme il nous provoquait à le faire il y a peu. Par les couilles, et pour lui faire subir le sort qu’il mérite.

Car même Louis XIV lâché par les siens et décapité par la Convention, même les pires dictateurs comme Néron, Hitler, Staline, Pinochet, Ceausescu, Bokassa ou Saddam Hussein, ne méritaient pas le sort que le peuple en colère doit maintenant réserver à cette lie de l’humanité drapée dans les habits de la vertu républicaine, humaniste et progressiste.

« Aux armes citoyens ! »

La première d’entre elles doit toujours rester la vérité. Et la dernière. Quels que soient les moyens que l’obstination des imposteurs à s’arroger, concentrer et conserver tous les pouvoirs en usant de terreur et de tyrannie nous pousse à utiliser, au nom du droit imprescriptible des peuples à défendre leur existence, leur identité, leur liberté, leur souveraineté, la justice, leurs droits et leur avenir.

*Evangile selon Saint-Jean 4 :23

Le monument « Georgia Guidestones » détruit par une explosion !

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Lire l’article de Fox 7 (en anglais) : Explosion ‘destroyed’ portion of Georgia Guidestones, GBI says


Une explosion d’origine inconnue survenue aujourd’hui a détruit une large portion du Georgia Guidestones, relançant les spéculations sur l’origine et le propriétaire de ce monument énigmatique érigé il y a 42 ans aux Etats-Unis.

La presse américaine est en ébullition contrôlée pour commenter cet événement, qui résonne d’une étonnante manière comme un « attentat » dirigé contre un symbole sombre de l’Amérique, sans raison précise, au milieu de nulle part. Un attentat qui n’a causé aucune victime, sinon cet empilement de granit qualifié par certains de « satanique »… Et ce 21 ans après les attentats du 11 Septembre dirigés contre le World Trade Center, le Pentagone et la Maison Blanche, et attribués à l’époque au milliardaire saoudien Oussama Ben Laden et à son organisation « terroriste » Al Qaeda (créée à l’origine avec l’aide de la CIA pour contrer l’armée soviétique en Afghanistan).

Soyons clairs : il ne s’agit pas d’un simple fait divers sans intérêt, qui se serait produit à 7.000 km de chez nous, dans une obscure forêt de Géorgie.

Ceci est une déclaration de guerre ! Et un acte symbolique d’une puissance imprévisible.

Peu de Français connaissent l’existence et la signification du Georgia Guidestones. Hormis quelques fans de scoops « complotistes« .

Le Georgia Guidestones est un monument érigé en 1980 aux Etats-Unis dans l’Etat de Géorgie, sur une colline en pleine nature. Il est formé de 4 mégalithes de granit gris posés debout vers le ciel, surmontés d’un chapiteau. La forme de ces mégalithes et leur disposition rappellent un peu le mégalithe noir qui apparaît plusieurs fois dans film « 2001 Odyssée de l’espace » de Stanley Kubrick.

Hormis sa disposition qui en fait une horloge astronomique marquant avec précision les solstices, et qui l’assimile pour certains au site de Stonehenge, ce monument comporte des inscriptions gravées dans la pierre, qui se présentent comme une série de 10 « commandements », des « guides » pour un avenir radieux adressés aux générations futures. Ces commandements sont rédigés en 7 langues : anglais, espagnol, swahili, hindi, hébreu, arabe, mandarin et russe.

Le premier de ces commandements précise : « Maintenez l’humanité en-dessous du seuil de 500 millions afin de préserver un bon équilibre avec la nature. »

Les autres sont du même acabit : bien gérer la reproduction et améliorer l’espèce, unir l’humanité grâce à une nouvelle langue, réguler les passions, équilibrer les droits individuels avec les devoirs collectifs… En enfin : « Ne soyez pas un cancer pour la terre. Laissez de la place à la nature. Laissez de la place à la nature« …

Un mélange d’écologie, de mysticisme new age et d’eugénisme. On croirait presque entendre le grand gourou planétaire Klaus Schwab s’adresser au public du Forum de Davos.

Pourtant, personne ne connaît l’identité du commanditaire de ce monument, aussi coûteux que mystérieux, érigé pour le compte d’un groupe qui a tenu a rester anonyme. Ce qui autorise toutes les spéculations. Mais la façon particulière dont ces commandements ont été rédigés et disposés évoque une sorte de secte millénariste obsédée par des périls qui menaceraient la planète et l’humanité, et pétrie d’une spiritualité new age, pseudo pacifiste et inquiétante. Ou bien un milliardaire illuminé pétri d’eugénisme.

Pris séparément, tout porterait à croire à un mauvais gag. Ou au projet d’un fêlé. Mais rapproché avec d’autres injonctions du même style, on peut aisément imaginer que ce monument s’inscrit bel et bien dans un projet macabre pour l’humanité en des temps apocalyptiques.

Un projet qui fait écho par exemple à ceux élaborés depuis quelques décennies par des membres de l’élite financière au pouvoir. Comme celui de « Great Reset« , publié par Klaus Schwab, Président du le Forum Economique Mondial, six mois après le début de l’épidémie de Covid. Mais aussi à d’autres prospectives stratégiques pour l’avenir conçus par des officines mondialistes, comme des grandes fondations privées telles que la Fondation Rockefeller, Rothschild, Bill Clinton, John Hopkins ou Bill & Melinda Gates. Ou encore des organismes plus officiels comme l’ONU, avec son Agenda 2030.

Un Agenda 2030 pétri de bons sentiments écologistes et axé autour de 17 Objectifs mondiaux pour un développement durable. Lesquels prévoient notamment qu’à l’avenir l’humanité devra être concentrée dans des grandes mégalopoles de 100 millions d’habitants, afin de laisser de vastes zones livrées à la nature, interdites de toute habitation, activité ou circulation. Du moins pour le commun des mortels que nous sommes. Ceci afin de préserver la nature et la biodiversité, donc de sauver la planète. Nul mention du contrôle des populations qui est évidemment l’objectif de ce projet orwellien de type écolo-fasciste : à la lettre près les recommandations des fameux commandements du Georgia Guidestones, érigé 40 ans plus tôt.

Faut-il également rappeler les déclarations de certains oligarques, apôtres infatigables du Nouvel Ordre Mondial, de la monnaie unique, du transhumanisme… et de l’eugénisme ? Comme Tonton Bill Gates, le « milliardaire philanthrope« , comme aiment le nurnommer affectueusement les journalistes mainstream. Ou Jacques Attali, et d’autres, tous militants dévoués en faveur d’une politique mondiale de réduction de la population. Ces imprécations ne peuvent que rappeler les commandements étranges gravés dans la pierre au milieu de nulle-part par une secte inconnue.

Quoi qu’il en soit, ce Georgia Guidestones est devenu un symbole pour la « Résistance« . En effet, pour beaucoup de citoyens mobilisés contre le projet d’asservissement de l’humanité par une élite, résumé dans le projet de Great Reset du Forum économique mondial, ce monument représente, à tort ou à raison, le totem de la dictature mondialiste, technosanitaire, transhumaniste et eugéniste, qui avance à grand pas depuis le début du Covid.

Parvenir à le détruire est donc un acte fondateur et admonitoire, qui signe un renversement de tendance.

Un peu comme dans le film Terminator, l’objectif numéro 1 de la Résistance était de détruire Skynet. Ce super-réseau planétaire qui avait été piraté pour déclencher « Le Jugement Dernier« , une attaque simultanée sur toutes les villes de la planète à partir de tous les missiles nucléaires, afin de détruire ce cancer qu’est l’humanité, et permettre ainsi à la vie de repartir à zéro, dans un monde désormais régi par les machines.

Soit dit en passant, ce scénario est à peine une métaphore du projet transhumaniste actuel, qui ambitionne d’éradiquer une bonne part de l’humanité jugée inutile, trop maligne ou inadaptée, et de soumettre le reste du troupeau à un contrôle total par des AI, grâce aux nouvelles technologies.

Détruire le Georgia Guidestones, c’est un peu comme si en 1941, alors que les Etats-Unis venaient d’entrer en guerre et de faire basculer la balance des forces en présence, un commando allié était parvenu à faire exploser l’immense croix nazie qui ornait la toit du Reichstag.

LE ROI EST NUL : Lettre ouverte à mes amis de gauche qui s’apprêtent à réélire Macron « pour faire barrage à l’extrême droite »


Précisons tout d’abord pour ceux qui me connaissent mal : je ne suis pas vraiment de gauche, je ne suis pas vraiment de droite (clivages dépassés). Je ne suis pas non plus « ni de droite ni de gauche » (nihilisme trompeur). Je suis ET de droite ET de gauche. Et surtout, je plane au-dessus de la mélasse, souverainement, en refusant les labels : Liberté, Liberté chérie !

Delacroix : La Liberté guidant le peuple

Un père résistant dès le 18 Juin, qui nous a soulés toute sa vie avec son Général. Un grand-père jaurésien gazé dans les tranchées et déporté en Silésie. Côté maternel, on a toujours voté socialiste. Par conviction ou par esprit de contradiction.

Depuis ma majorité, j’ai voté pour à peu près tout l’échiquier politique, selon les scrutins et les enjeux : UDF, RPR, libéraux, chrétiens-démocrates, radicaux, PS, écolos… Et même pour Mélenchon en 2017 ! Mais on ne m’y reprendra plus.

Homme révolté et républicain convaincu, j’ai toujours fui les extrêmes, révolutionnaires ou fachos confondus. Je n’ai aucune complaisance envers cette vieille extrême droite française, rance, antisémite, xénophobe, longtemps rangée derrière Papy Le Pen. Je combats sans relâche les Soral, les Dieudonné, les Renaud Camus, les Faurisson, Civitas ou La Manip Pour Tous. Mon père ce héros a combattu les « collabos« , il a failli finir fusille par un peloton allemand à la Libération. Dans la famille Claudel, originaire des Vosges, on résiste aux Prussiens depuis 1870. On casse volontiers du Boche, pas les Bougnouls. Mes amitiés et engagements traduisent une passion éclectique pour l’autre, pour l’ailleurs et la couleur, pas des fixettes identitaires.

Le 21 avril 2002 j’ai pleuré, horrifié. En 2017 je me suis abstenu au second tour, trop lucide sur le profil Macron, mais pas franchement convaincu par la dédiabolisation du FN. J’ai la mémoire longue.

Durant la campagne des présidentielles 2017, j’ai tenté d’alerter mes amis, encore tétanisés par le choc du 21 avril 2002 et manipulés par les médias et une clique de politicards décomposée. J’ai mis en lumière les dangers de cette candidature Macron tombée du ciel, de ce parti fantoche bidouillé par McKinsey. J’ai multiplié articles polémiques et exhortations dans les dîners en ville pour debunker le nouveau prodige propulsé par Bilderberg en 2014, adoubé par ses pairs de Rothschild, sous emprise et perfusion financière de ses mentors, Attali, Nestlé, Arnault, Drahi, Niel, Bergé… toute une kyrielle d’oligarques qui l’ont savamment biberonné et puissamment doté. Une marionnette lancée par des agences de comm, flanqué d’une success story bidon, d’une marâtre incestueuse transformée en Blanche neige au bras de son Prince charmant formant un couple factice. J’ai multiplié les arguments quant à cet aréopage inédit en politique de mécènes issus de la finance, des multinationales, de Big Pharma. J’ai démonté ce programme aussi vide que racoleur concocté comme une étude conso par McKinsey (encore lui). Et dénoncé la manipulation orchestrée depuis2012 par une presse unanimement béate et aux ordres. En vain.

Le sketch de l’élection surprise de 2017, pipeautée de A à Z. La plus grande arnaque électorale de l’Histoire de la Ve, et de la République tout court. Un cas d’école de la manipulation, de l’ingénierie sociale, de la corruption et de la main mise de Big Finance, des lobbies anglo-saxons et européens sur notre démocratie et nos institutions. Un scénario bien huilé à l’avance par les stratèges néolibéraux, méthodiquement implémenté sur fond d’abstention chronique, de suspicion envers les élites politiques, de dégagisme, de faillite des partis traditionnels et d’affaires très opportunément lancées à quelques semaines du premier tour pour dézinguer un favori LR déj élu. Deux scrutins entachés de fraudes massives : le fameux logiciel Dominion, déjà, requis pour agréger les résultats aux Etats-Unis dans des ordinateurs d’une société privée américaine, sans contrôle du Ministère de l’intérieur. La même tactique favorable aux « redressements de tendance » que celle utilisée pour faire élire en 2021 la marionnette pédophile et sénile Joe Biden contre l’encombrant populiste Trump.

Une victoire annoncée du jeune premier Macron contre un repoussoir utile désigné et chouchouté par les médias : la méchante sorcière du FHaine échappée de son manoir hanté de Montretout.

Un affrontement idéal pour faire élire en creux un inconnu et dissoudre l’offre politique dans un mirage selon la stratégie, encore et toujours, des néolibéraux américains, chantres du « progressisme » et inventeurs du concept du ni ni pour mettre fin à un bipartisme de pure façade.

Déjà en 2017 je pressentais le danger absolu incarné par cette marionnette téléguidée, sans consistance, aux costumes bleu métal et au sourire Ultra Brite. Et l’identifiais comme l’instrument d’un fascisme d’un nouveau genre, beaucoup plus sournois, duplice, déterminé et préoccupant que le fascisme franchouillard, raciste et homophobe de Papa Le Pen. Comme si la fifille, jeune avocate de jeunes rebeux délinquants ou clandos et qui avait viré son papounet ne pouvait s’affranchir de cette étiquette de Fille du Diable.

Une nouvelle forme de Dictature En Marche, plus que de République. Un totalitarisme masqué identifié à raison par des philosophes de gauche comme Onfray selon le crible des dystopies orwelliennes, oligarchique, ploutocratique, ultralibérale, mondialiste, hyper inégalitaire, antidémocratique et pseudo woke. Un projet mondial fondé sur l’imposture, l’autoritarisme et la manipulation des consciences, résolu à briser les Etats-nations pour imposer son Nouvel Ordre Mondial au service d’une Caste : cette vieille oligarchie anglo-saxonne qui depuis le 18e siècle au moins déploie son projet de conquête du monde par le fric, la monnaie et la dette des États. Tout en se drapant dans une vertu humaniste, une rhétorique progressiste, pseudo éthique, pacifique, universalité, et aujourd’hui écologique. En caressant toutes les causes woke dans le sens du poil. Cf. l’Agenda 2030 et les 17 Goals pour un développement durable de l’ONU, le Great Reset de Klaus Schwab, ou les projets des « milliardaires philanthropes » Bill Gates, Elon Musk, Jeff Bezos, Ray Kurzweil et autres apôtres assumés de l’eugénisme et du transhumanisme.

Le grand cirque du Covid est entre temps passé par là. Il a réveillé bien des consciences assoupies quant aux projets des puissants qui gouvernent le monde par « machins » interposés, et leur vision dystopique pour l’avenir de l’humanité, c’est à dire le nôtre.

La France efficace et juste, slogan du jeune prodige de Rothschild en 2017, et son « Projeeeeeeet » aussi creux que mensonger concocté comme une étude consommateurs par McKinsey (encore lui), son absence radicale de vision, d’ancrage et d’expérience politiques, d’étayage même formel de type culturel ou intellectuel, mise à part une référence usurpée à Paul Ricœur, son désintérêt manifeste pour la France et les Français, pour le peuple, pour l’éthique républicaine (selon ses collègues de Rothschild), au bénéfice de promesses hors sol, d’un européisme intransigeant et de quelques poncifs droits-de-l’hommistes, ajoutés à un profil psychologique de parfait pervers manipulateur narcissique… Tout ça me semblait relever davantage d’une stratégie marketing pour vendre une grosse arnaque que d’un vrai projet disruptif et moderne pour la France. En réalité, un projet de rupture avec ce qu’avait été la politique dans ce pays depuis 70 ans, dirigé CONTRE la France et les Français.

Depuis cinq ans on a vu ce qu’il en était.

L’affaire Benalla, la crise des Gilets jaunes, la réforme des retraites, immédiatement suivies par la crise du Covid, sont passées par là. Ajoutées aux petites phrases, aux dérapages, aux conflits d’intérêts record des ministres des gouvernements Philippe et Castex : beaucoup d’yeux se sont décillés sur la vraie nature de ce régime, dont j’avais pressenti très tôt l’arrogance, le caractère mensonger, illégitime, destructeur et l’ignominie.

Et surtout ce glissement imperceptible d’une démocratie déjà largement factice vers une authentique dictature d’un genre nouveau, même si beaucoup refusent d’en admettre l’évidence, tant elle prétend se draper dans les oripeaux de la vertu progressiste, en s’efforçant de préserver les apparences et la rhétorique républicaines.

Le point de bascule fut pour moi la crise sanitaire et la plandémie de Covid, que je couvre comme journaliste indépendant depuis deux ans et demi. Cet événement unique dans l’Histoire du monde et qui en a berné plus d’un a aussi réveillé beaucoup de consciences avachies dans le confort consumériste et les certitudes idéologiques du monde d’avant. Paradoxalement, l’isolement forcé dû aux confinements à répétition a rapproché des consciences autant qu’isolé les corps. Et les a ramenés brutalement vers l’essentiel. Vers des valeurs humaine et universelles, mais aussi vers les fondamentaux de cette Ve République malmenée comme jamais par les grands argentiers du monde aux commandes de leur marionnette favorite utilisant une *petite épidémie » (Jacques Attali) pour précipiter des basculements à l’échelle mondiale selon une stratégie du choc (cf. Klaus Schwab et Thierry Malleret : Covid-19, The Great Reset, Forum Publishing Juillet 2020).

Deux ans après le début de l’épidémie en France, l’Etat de droit qui n’est plus qu’un lointain souvenir. Balayé par l’état d’urgence sanitaire devenu de facto permanent, tant qu’on peut justifier d’une pseudo épidémie en fabricant des *cas » avec des tests PCR faux à 98% et impuissants à mesurer une progression épidémique selon leur inventeur le Pr. Malone et leurs fabricants. « Etat d’urgence sanitaire » : un OVNI juridique fustigé par les constitutionnalistes et les hommes politiques perspicaces, intègres et réfractaires à la manipulation (comme Asselineau ou Dupont-Aignan), car fondamentalement contraire à la lettre et l’esprit de la Constitution. Une notion jusque-là inconnue, fondée sur un concept inexistant dans droit français, européen ou international. Un quasi état de guerre et une mobilisation générale (cf. l’allocution solennelle de Macron le 16 mars 2020 annonçant le premier confinement) pour terrasser une grippe équivalente en termes de décès réels à la grippe saisonnière (cf. notamment le rectificatif sur le site officiel du CDC en juin 2020 révisant à 8% le nombre réel de décès dus au Covid).

Qu’est-ce qu’une dictature ? Nos représentations sont biaisées par l’exemple encore très frais dans les mémoires des dictatures militaires, fascistes, nazie, communistes, stalinienne, maoïste, coréenne, castriste, ou khomeyniste qui ont ensanglanté le dernier siècle.

Il faut revenir à l’Histoire et à l’étymologie. Relire Hannah Arendt. Et se projeter dans les dystopies totalitaires futuristes évoquées dans les romans d’anticipation politique d’auteurs du 20e siècle comme George Orwell ou Aldous Huxley. Des « romans » inspirés de la montée des fascismes et des dictatures du 20e siècle, qui dissimulent derrière la fiction une connaissance factuelle et idéologique précise des projets dystopique de l’oligarchie anglo-saxonne et de ses cercles élitistes dont les deux auteurs étaient proches sinon membres. Un mix parfait de ce que le communisme et le capitalisme sauvage ont offert de pire à l’humanité. Et qui resurgit de façon hideuse et angoissante près d’un siècle plus tard dans cette fascination de l’élite actuelle pour le modèle totalitaire chinois. Déjà au moment de la guerre froide, David Rockefeller de retour d’un voyage dans la Chine de Mao en pleine ère Nixon s’était ébahi dans une interview à Time Magazine de l’efficacité du régime de Pékin pour contrôler les masses et mater toute opposition…

La dictature du hochet Macron piloté par cette même oligarchie est plus sophistiquée. Pleins pouvoirs au chef de l’Etat comme aux temps des dictateurs romains certes, conseil de défense opaque se substituant au conseil des ministres pour les sujets importants, sans jamais rendre compte au Parlement, aux médias et à la Justice car protégé par une impunité judiciaire en cas de décisions avérées criminelles. Parlement aux ordres sommé de voter en urgence des lois liberticides. Conseil d’Etat et Conseil constitutionnel corrompus, aux membres bardés de conflits d’intérêts, à commencer par Laurent Fabius, Président du Conseil Constitutionnel, dont le fils Victor est associé-dirigeant de McKinsey France. Justice également corrompue par les lobbies et sous tutelle de l’exécutif, qui se contente de classer sans suite les plaintes sans les examiner…

Que dire de ces médias mainstream totalement et unanimement corrompus, rachetés par des milliardaires tous sponsors de Lobbynocchio ? Et – comble de l’imposture – chargés de vérifier la conformité des médias indépendants aux mensonges d’Etat, traquant le moindre écart à la doxa gouvernementale comme au temps de Goebbels ou Staline. A commencer par l’AFP, 2e agence de presse mondiale et de loin la plus corrompue, machine à produire des fake news. Et ses affidés : Le Monde, L’Express, L’Obs, Libé, Les Echos, BFM TV, France Télévision, Radio France… tous le doigts sur la couture du pantalon pour diffuser la Bonne Parole et traquer les hérésies. Et pour certains estampillés CheckNews pour vérifier les publications des journalistes dissidents et des internautes « complotistes » sur des réseaux sociaux comme Facebook ou LinkedIn (filiale de Microsoft).

Que dire de cette Police de plus en plus réfractaire à appliquer des de ordres contraires aux grands principes, mais utilisée par le pouvoir comme ultime rempart pour se protéger plutôt que pour protéger les citoyens et la paix sociale ? Une Police doublée par Macron d’une milice privée formée en trois mois et encadrée spécialement pour tabasser les manifestants jeunes ou vieux, Gilets jaunes, avocats, infirmières ou pompiers qui se dressent contre La Dictature En Marche, et faire le plus de dégâts possible. Et qui n’hésite pas à infiltrer les manifs déguisée en faux Black blocks pour discréditer les mouvements hostiles au régime, justifier une répression sévère et tuer dans l’œuf toute insurrection légitime naissante.

Diversion.

La très opportune guerre en Ukraine déclenchée par Poutine un mois avant le premier tour est une aubaine pour le Président le plus impopulaire de la Ve. Grâce à elle, les médias ont pu s’épargner l’inévitable et catastrophique bilan du quinquennat. Oubliés Benalla, les Gilets jaunes, les violences policières, les cadeaux aux plus riches, le Covid, les mesures sanitaire… Pas un mot sur le pass vaccinal (levé le temps des présidentielles et législatives mais dont le rétablissement est déjà annoncé pour septembre). Oublié le million de chômeurs en plus en 2020, les milliers de PME, d’artisans, d’entrepreneurs et d’indépendants ruinés pour satisfaire les objectifs de concentration économique du Great Reset. Tabou absolu sur les milliers de jeunes hommes et femmes stériles, les enfants, ados et jeunes adultes décédés des suites du vaccin, les effets secondaires en hausse exponentielle telle qu’on n’a jamais vu pour des essais thérapeutiques dans toute l’Histoire de la médecine et de la pharmacovigilance. Oubliés les conflits d’intérêts entre Macron, ses ministre, LREL et la Fondation Gates, Pfizer, Moderna, Gilead ou Pasteur. Et bien sûr BlackRock ou Vanguard qui possède tout ce petit monde.

On a voulu nous faire oublier fissa toutes les avanies qu’on nous a fait subir. En qualifiant d’inadmissible le fait de parler de violences policières dans un Etat de droit (la morale, toujours la morale…) En menaçant d’emmerder les non-vaccinés jusqu’au bout pour diviser un peu plus un pays exsangue après 2 ans de plandémie durant laquelle la France a fait figure de tête de pont européenne de la dictature sanitaire. Et enfin en culpabilisant ceux qui oseraient voter pour cette fameuse extrême droite.

Tous les candidats présélectionnés pour figurer au sketch du premier tour selon le processus antidémocratique des signatures se sont sagement abstenus d’aborder frontalement tous ces sujets. Au risque sinon de se voir étriller par des journalistes en ordre de bataille pour défendre la citadelle de la Vérité contre tous les propos « complotistes » ou « d’extrême droite ».

Alors ? A la veille du Grand Soir de Big Brother 2.0, Marine 2022 est-elle réellement d’extrême droite ? Sommes-nous toujours à l’époque de la Cagoule, des phalanges, de Barrès, de Pétain, du GUD ou de l’OAS ? Evidemment que non. Marine peut-elle se résumer à son ascendance pour faire surgir des spectres ? Ou se laisser amalgamer avec la vraie extrême droite actuelle, ultra minoritaire ? Les identitaires suprémacistes blancs, les antisémites professionnels comme Soral, Dieudonné, Faurisson, les intégristes cathos de Civitas, les porteurs de croix gammées et et amateurs de quenelles infiltrés au milieu des islamistes dans les manifs anti-Hollande du Printemps Républicain en 2016. Certainement pas !

Ce stratagème ne sert qu’à compenser l’absence d’arguments des détracteur paniqués. ET à nous faire oublier le bilan, l’absence de programme et l’illégitimité du Président le plus impopulaire, avec 5% de voix seulement pour son parti aux dernière régionales. Le reste n’est qu’enfumage et truquage des chiffres.

Alors tout est bon : sondages bidon annonçant le score trois mois à l’avance (Macron stagnant pendant 10 semaines à 25% d’intention de vote, alors que des sondages moins officiels comme celui de RTL vite retiré du site montraient que 88% des électeurs voulaient le dégager), médias chargés d’exciter et d’égarer l’opinion, jusqu’à cette improbable candidature Zemmour inventée de toutes pièces, financée par le sakozyste Bolloré et quelques soutiens de LREM pour fissurer le vote Le Pen et affaiblir la finaliste. Opposition contrôlée. Comme LFI et son ténor, discrètement soudoyés pour « faire barrage… » Objectif : faire réélire à tout prix Lobbynocchio. Même si sa rivale est beaucoup plus système-compatible et manipulable qu’il n’y paraît, eu égard notamment à ses déboires financiers. Et sans doute rachetée par Bilderberg depuis 2015 au moins.

N’empêche : entre deux maux, choisir le moindre. Pour la démocratie. Pour le peuple. Pour la France. Et pour le monde, auquel celle-ci a beaucoup à apporter en offrant une vision civilisationnelle, éthique et politique à la mondialisation et au Nouvel Empire de la finance.

Inutile de rappeler que parler d’extrême droite s’agissant de Marine 2022 relève franchement du burlesque. On a changé d’époque. Et pas plus que Roussel serait l’homme avec un couteau entre les dents, un suppôt du stalinisme ou un promoteur du goulag, la fille de l’homme du détail n’a plus grand-chose de commun avec son père, n’était son encombrant patronyme. Dégagés les nazis, les potes d’Assas, du GUD, les antisémites, les racistes, les casseurs de Bougnoules, les antigaullistes, les nostalgiques de Pétain. Philippot qui a orchestré la mue est un ancien souverainiste chevènementiste propulsé dans le giron de Marine par Paul-Marie Coûteaux, député souverainiste européen et girouette politique passé de Mitterrand au FN. Et les petits lieutenants proprets Odoul et Bardella sont des bons garçons plus proches du gendre idéal que du Waffen SS.

Quant aux thèmes qui dérangent dans le programme du RN et de sa candidate, notamment le triptyque immigration-islamisme-insécurité, rares sont les politiques clientélistes et démagogues comme Mélenchon qui ne se sont pas ralliés aux évidences, après des décennies de laxisme, de complaisance et de lâcheté. Seule erreur : cette référence idéologique empruntée à la vieille extrême droite (et à Renaud Camus) au fameux « grand remplacement ». Une référence ni pertinente ni rassembleuse, qui marque sans doute le manque de réflexion en profondeur sur ces sujets.

Croire que Marine Le Pen ou son parti constituent aujourd’hui un danger pour la démocratie, un risque de coup d’Etat, de guerre civile, de faillite économique ou de fracturation de la France, c’est soit extrêmement stupide, soit d’une mauvaise foi outrancière. Et c’est surtout se tromper crassement de diagnostic !

Car celui qui nous a sciemment menti, nous a méprisés, abusés, terrorisés, divisés, qui nous a livrés aux appétits d’une oligarchie cynique, qui a objectivement détruit l’Etat et l’Etat de droit, bafoué le principe de séparation des pouvoirs, corrompu tous azimuts, détruits des secteurs entiers de l’économie, mis un million de personnes au chômage en 2020, ruiné les finances de l’Etat, saccagé le système de protection sociale, appauvri les classes moyennes et populaires, creusé les inégalités, enrichi de façon indécente ses amis les plus riches, mis toute la population sous contrôle, vendu les domaines régaliens au privé, terni gravement la fonction présidentielle, fait alliance avec l’islamisme des Frères musulmans, laissé se développer les réseaux mafieux islamistes, ignoré la culture française et la culture tout court, encouragé la vulgarité, c’est bien Macron !

Naevius Sutorius Macro dit Macron

Un OVNI à l’image de son illustre homonyme, le prêteur romain Naevius Sutorius Macro dit Macron, ami de Caligula, expert dans l’art des tromperies et manipulations, et assassin de l’empereur Tibère.

En élisant pour la seconde fois Macron, par paresse, par suivisme ou par défaut, on vote réellement pour un système qui nous asservi comme aucun autre dans l’Histoire, Pas même Rome, l’Eglise, la monarchie absolue, le Reich ou le Parti unique chinois.

Si vous voulez savoir à quoi ressemblera pour sûr le monde et la France dans dix ans, relisez 1984, Le Meilleur des mondes, ou allez revoir Matrix. Ce monde d’après qui vient à grand pas, ce monde peuplés d’esclaves, « les inutiles » soumis aux AI et à une micro élite de « dieux » (Laurent Alexandre, apôtre du transhumanisme et ami de Macron) comme dans le film Zardoz, n’est en aucun cas une chimère « complotiste ». Lisez au besoin les ouvrages de Klaus Schwab, patron du Forum Economique Mondial, sur le Great Reset. Tout y est et en détail. Lisez les essais d’Attali, visionnez ses conférences et vidéos depuis 40 ans. Lisez les rapports de la Fondation Rockefeller sur l’avenir du monde, l’Agenda 2030 et les 17 Goals de l’ONU, ou l’ID 2020 et 2030. Et écoutez attentivement les déclarations des Bill Gates, Anthony Fauci, Elon Musk, Ray Kurzweil et autres psychopathes qui ont tous misé sur leurs poulains politiques pour mettre en œuvre leur meilleur des mondes, ces Young Global Leaders comme Macron, Trudeau, Lagarde, Johnson, Pécresse ou Bertrand.

Ce n’est pas un hasard si lors du grand débat de l’entre-deux-tours opposant pour la seconde fois le sortant Emmanuel Macron à sa rivale préférée Marine Le Pen, cette dernière a tant insisté pour parler du peuple et de sa souveraineté, principe au cœur de notre République et de notre Constitution. Mais aussi sur sa volonté de restaurer la démocratie tant abîmée par cinq ans de macronisme. Ce régime autoritaire, liberticide et populicide qui déshabille la République pour la prostituer à l’avidité sans limite des grands prêtres du dieu Mammon.


A ceux qui ont peur de se salir, sachez que le vote blanc reste une option honorable. J’y ai eu souvent recours face à un dilemme cornélien.

Bonne fin de semaine à tous et bonne réflexion. Surtout allez voter ! Même si les dés sont pipés et si les résultats seront fatalement « redressés », le vote reste un signal envoyé à ceux qui nous gouvernent.

« Faire barrage à l’extrême droite » ou « faire barrage au grand remplacement »: deux projets symétriques ?

Alexandre Cabanel . l’Ange déchu (détail)

Ça y est, le sort est jeté ! : « Avada Kedavra ! » Comme les sorciers de Poudlard embarqués dans une croisade contre le Mal, les croisés de la démocratie lancent leur formule magique pour élever un rempart et sauver Marianne assiégée, dans un remake pathétique de 2017.

Il y a cinq ans en effet, Emmanuel Macron et Marine le Pen avaient été tous deux hissés au second tour au terme d’une dramaturgie bien huilée à l’avance et soigneusement mise en scène par les médias. Face au vide abyssal du « Projêêêêêêt » macronien, La méchante Maléficia échappée de son manoir hanté de Saint-Cloud avait été conviée à jouer le rôle de repoussoir utile : l’incarnation parfaite du Mal, face au nouveau messie seul à même de la repousser vers les ténèbres.

Faire barrage à l’extrême à l’extrême droite devint alors le slogan ultime des Machiavel du ni-ni pour exhorter le peuple au sursaut républicain et défendre la démocratie menacée. Menacée par qui, par quoi, et comment ? Peu importe puisque ce type de harangues-réflexes s’appuient sur des ressorts irrationnels. L’important c’est que ça fonctionne. Et ça a fonctionné. Pour le meilleur et surtout pour le pire.

Certes, malgré les efforts de Marine et de ses conseillers, l’ex-chevèvementiste Florian Philippot en-tête, pour dédiaboliser le Front National, celui-ci traînait toujours une réputation de sulfureuse de parti fasciste, raciste, grouillant de néonazis, de nostalgiques du pétainisme, de xénophobes, d’antisémites, de bouffeurs de Bougnouls et autres révisionnistes. Un parti héritier des sombres heures de la Collaboration, hostile à la démocratie, à la République, au progrès social, aux droits de l’homme… Un spectre terrifiant pour les bonnes âmes politiquement correctes.

Cinq ans plus tard, le FN rebaptisé Rassemblement National ne fait plus peur à grand monde et s’est débarrassé de cette image hideuse qui lui collait aux basques. Ses deux lieutenants les plus médiatisés, Julien Odoul et Jordan Bardella, font chacun figure de gendre idéal. Bien proprets, bien rasés, ils s’expriment poliment, ne font jamais de provocation gratuite ni d’écart de langage. Quant au programme présidentiel de Marine 2022, il comporte un important volet social, des thèmes populaires que ne renierait pas le PC, centrés sur le thème du pouvoir d’achat, la préoccupation numéro 1 des Français. La thématique sécuritaire, de l’immigration et de l’Islam radical, qui constituait son cœur de métier et sur laquelle plus personne ne peut aujourd’hui faire l’impasse, a même été édulcorée. Face à un Éric Zemmour au discours plus cash, Marine Le Pen apparaît presque comme une maman rassurante et une modérée.

A l’aube du premier tour, Marine Le Pen talonne Emmanuel Macron dans les intentions de vote. Et serait presque en position de l’emporter au second tour, si l’on en croit les sondages. Quant au candidat qui ne fait pas campagne et se retranche dans son costume de Président, sa réélection présentée systématiquement comme acquise, et même sa présence au second tour, ne semblent plus aussi assurées.

Face à la panique, pas question pour lui de débattre. Aborder frontalement la question de son bilan susciterait l’unanimité de ses rivaux pour le déchiqueter, et risquerait de fédérer l’opinion pour le dégager. Restent les vieilles ficelles et les mantras politiques : va pour faire barrage à l’extrême droite.

Si le duel annoncé Macron-Le Pen au second tour se confirme, l’enjeu stratégique pour ceux, à droite comme à gauche, qui ne veulent pas de Macron pour cinq ans supplémentaires, sera de convaincre les électeurs que ce remake sur le thème éculé du barrage à l’extrême droite n’est qu’une imposture, qu’elle ne repose sur rien mais risque de leur voler l’élection. Car à supposer que la démocratie ait encore un sens et que les élections soient autre chose qu’une mascarade, le seul moyen de rendre au peuple un peu de sa souveraineté serait précisément de lui ouvrir les yeux sur les mensonges dont on l’abreuve et les spectres qu’on agite pour lui faire avaler des fables dans le but de l’endormir un peu plus.

Mais pour faire vibrer ce peuple moutonnier bien mois réfractaire qu’on le dit, encore faut-il lui vendre un supplément d’âme. Comme lui confier une mission vertueuse, héroïque, historique, en dressant des barricades contre le retour du grand méchant loup. Un sketch quasi messianique sans cesse rejoué qui opposent les forces du Bien et les forces du Mal. Enfin, pour le coup juste les forces du Mal contre un courant d’air.

Car inutile de gratter derrière le slogan, la pochette-surprise est vide. Plus personne en effet n’est aujourd’hui capable de donner une définition claire et convaincante de cette extrême droite qui suscite tant d’effroi. Les partis et les personnalités qualifiés d’extrême droite, Le Pen, Zemmour, Dupont-Aignan, Philippot, Asselineau, ont-ils réellement pour projet de renverser la République ? De mettre en place une dictature militaire dans ce pays ? D’enfermer la moitié de ses habitants dans des camps ?  De faire régner l’ordre et la terreur en mettant en place un Etat policier ? Le supposer relève de la psychiatrie.

Au contraire tout ceux-là n’ont pour ambition que de restaurer les fondements historiques, juridiques, institutionnels et éthiques de « la France », leur dada. Une France qu’ils disent menacée par la corruption, la gabegie des gouvernements précédents, l’Europe de Maastricht, l’Islam radical, la finance mondialiste, la perte de la souveraineté, la perte du sentiment national, la trahison des principes républicains, les assauts du wokisme et de la cancel culture.

Donc s’il s’agit vraiment de faire barrage à quelque chose, c’est plutôt sur un registre moral, pour ne pas risquer de perdre son âme en se rendant complice du retour de la Bête. une bête qui ne survit qu’en référence aux tourments d’un lointain passé, que presnaue tous n’ont pas connu.

S’agissant du climat social éruptif qui sévit en France aujourd’hui, il est ainsi courant de comparer la situation actuelle à celle des années 1930, marquée par la montée des fascismes et des nationalismes. Mais honnêtement, comparer Marine Le Pen, Éric Zemmour, Nicolas Dupont-Aignan ou Florian Philippot aux ligues fascistes, royalistes ou intégristes, ça tient du burlesque !

Bien sûr, Le Pen ce n’est pas juste un patronyme, c’est aussi une marque de fabrique. Le spectre de Jean-Marie, figure emblématique de l’extrême droite française d’après-guerre, plane sur le parti, et contamine toute la frange souverainiste et populaire de la droite, comme la malédiction des Templiers sur les rois capétiens. Il y a quelque chose de moyenâgeux dans cette évocation d’une extrême droite quasi satanique qui n’est plus. Comme un égrégore qui reviendrait hanter les couloirs de la politique. On en viendrait presque à regretter les dérapages de Jean-Marie qui lui donnait du corps pour justifier l’anathème.

Mais si l’on refuse de céder aux dramatisations outrancières, les slogans concernant l’extrême droite ressemble au vieux slogan publicitaire du soda Canada Dry il a un nom d’alcool, la couleur de l’alcool, mais ça n’est pas de l’alcool ! Le frisson sans la damnation. Et ces slogans alarmistes fonctionnent sur les mêmes ressorts symboliques : la référence à la Prohibition. Prohibition légale d’un produit qui corrompt la jeunesse et les mœurs pour l’alcool, prohibition morale pour des idées dangereuses accusées de corrompre la démocratie pour le label extrême droite. Une façon de mettre à l’index, de renvoyer dans la marge, d’exclure ce qui ne saurait être toléré, excusé ni même écouté, parce que marqué a priori du sceau de l’infamie.

L’extrême droite, c’est comme une maladie honteuse. Toute compromission avec ses membres, ses idées, son vocabulaire, ses symboles vous rend aussi vulnérable que la vérole qui s’abat sur le bas clergé breton. Plombé, grillé, infréquentable. Rien d’étonnant à ce que ce soient ceux qui ont défendu avec le plus d’ardeur des mesures sanitaires absurdes et dressé des bûchers contre les complotistes durant la crise du Covid qui se retrouvent aujourd’hui vent debout contre le retour de la Peste brune.

Une fois de plus les manipulations politiques jouent sur la peur, l’émotionnel et l’irrationnel. Le pire c’est que ça marche.

Pourtant il ne reste en guise d’épouvantail qu’une incantation obsessionnelle. YOU KNOW WHO – Celui dont il ne faut pas prononcer le nom : voilà l’ennemi ! Qu’il existe ou non, là n’est pas la question. Plus il est invisible, plus il terrifie. Et le simple fait de l’invoquer suffit à lui faire prendre forme humaine.

La peur ne fait pas que rendre réel ce qui n’existe pas. Elle ôte à ceux qui s’y abandonnent toute capacité créatrice pour s’inventer leur propre réalité. Il n’est pas meilleur moyen de fasciner et manipuler une foule que de lui faire croire à un ennemi imaginaire. Ceux qui crient au loup en évoquant la menace de l’extrême droite pour forcer à voter contre sont des illusionnistes qui abusent le peuple avec leurs tours de passe-passe. Leurs méthodes de fascination sont les mêmes que celle d’un Hitler dont ils raniment le spectre, avec son projet de souder l’opinion allemande contre les Juifs. Un comble !

L’extrême droite qui renaît de ses cendres et s’automatérialise face au péril électoral : voilà la preuve la plus flagrante de la puissance du mythe en politique !

Le projet de Macron est vide ? Le mirage Macron est depuis longtemps éventé ? Son bilan laisse une France en lambeaux, des Français éreintés, un coq gaulois plumé, un peuple exsangue, déprimé, volé, trahi, brisé ?… Peu importe. Reste la botte secrète de l’extrême droite.

La gauche, France Insoumise, Verts, PC, trotskystes, et ce qu’il reste du PS réunis, excellent dans cet exercice. Et bien sûr la Macronie qui ne serait jamais parvenue à kidnapper le pouvoir sans recourir à cet artifice.

Notre imaginaire national est traversé par la thématique du grand péril, de l’ennemi héréditaire, incarnations du mal absolu. Et celle de la mobilisation générale, du sursaut national, des barricades, du barrage ou de la Résistance. Comme celle de la conjuration des Justes, du sursaut des consciences à l’heure décisive pour engager la bataille finale. De Vercingétorix à de Gaulle en passant par Charles Martel, Jeanne d’Arc ou Robespierre, les héros du Panthéon national incarnent tous le soulèvement de l’âme nationale contre un ennemi extérieur. Et le récit des guerres contre les invasions normande, anglaise, sarrasine, ottomane, contre les armées contre-révolutionnaires, prussiennes ou nazies, rehausse le mythe national d’une nation qui se dresse face à ses assaillants, et se révèle à elle-même dans ce combat héroïque.

Dans le cas du mythe de l’extrême droite, le péril n’est pas territorial mais idéologique et moral : l’enjeu c’est ici la survie d’un socle de valeurs communes résumé par l’invocation magique de « la Démocratie », « la République » ou « les Droits de l’homme ». Et donc, dès qu’on évoque des thèmes brûlants comme l’immigration, l’Islam ou l’insécurité, les culbutos jaillissent de leur bocal en hurlant : « Pas touche aux immigrés ! Pas touche aux musulmans ! » En prêtant à ceux qui ont l’audace de briser l’omerta et de parler des sujets qui fâchent des intentions génocidaires. Au risque de transformer ces sujets en tabou, de fourbir des arguments à cette extrême droite qu’ils voudraient renvoyer dans son cagibi, et de se transformer de facto en alliés tacites des islamistes, comble de l’ironie, parfois au nom même de la laïcité !

Quant à cette théorie du grand remplacement, reprise par Éric Zemmour et Marine Le Pen, et qui fait bondir les pourfendeurs de l’extrême droite, elle a été introduite dans les années 2010 par Renaud Camus, à partir d’idées développées dans l’entre-deux-guerres par des figures de l’extrême-droite française xénophobe et antisémite comme Drumont ou Barrès. Elle repose sur l’affirmation qu’il existerait en France un processus de substitution de la population française et européenne par une population non européenne, originaire en premier lieu d’Afrique subsaharienne et du Maghreb. Ce processus conduirait à un changement de civilisation soutenu, voire organisé par une élite politique, intellectuelle et médiatique qualifiée de remplaciste, qui maintiendrait à ce sujet une conspiration du silence et serait motivée pour ce faire par l’idéologie ou par l’intérêt économique.

Qu’en est-il réellement ?

Ce qui est indéniable, c’est que l’immigration existe et progresse à un rythme croissant, en dépit des efforts annoncés pour l’encadrer : 2 millions d’immigrés légaux ou illégaux en plus durant le quinquennat Macron, la plupart liés au regroupement familial. Son absence de maîtrise et son rythme rapide bouleversent les équilibres démographiques et sociaux, avec un impact économique, politique, culturel, et sécuritaire lié notamment à la concentration des populations issues de l’immigration dans des quartiers à la périphérie des grandes villes. Un facteur de plus qui empêche l’intégration de ces populations dans la population française. Et qui favorise la stratégie de victimisation, de récupération, d’endoctrinement et de séparatisme conduite par les mouvements islamistes (djihadistes, Frères musulmans…) en direction des personnes d’immigration musulmane. Avec un objectif d’infiltration, de subversion et de substitution au sein des sociétés démocratiques visant à retourner ces populations contre le pouvoir en place. De même, les rapports de Police le montrent, la montée de la délinquance et des violences urbaines, sont très majoritairement le fait de jeunes issus de l’immigration. Tout ceci est largement documenté.

Compte tenu du contexte et des enjeux, dénoncer le laxisme sinon la duplicité des gouvernants en ce qui concerne les politiques migratoires, l’insécurité, le développement du communautarisme, le renoncement à assimiler les nouveaux arrivants, les discours victimaires sur les minorités, ou l’abandon des territoires perdus à des maffias islamistes, est non seulement justifié mais relève de l’urgence.

Là où le bât blesse, c’est dans cette paresse intellectuelle qui accrédite les raccourcis et les amalgames réunis autour du fameux triptyque Immigration-Islam-Insécurité. Car ces enjeux sont complexes et ne se résument pas à des formules. Au risque de confirmer des préjugés en désignant des boucs émissaires pour résoudre les tensions. L’immigré, le musulman ou le jeune de banlieue n’est pas à lui seul la cause des problèmes de la France. Les étrangers qui viennent en France, ceux qui se sentent attachés à leurs origines, à un pays, à une culture ou à une religion autre que celles qui ont fait la France, comme ceux qui viennent des quartiers, ne sauraient être accusés d’ourdir un projet machiavélique pour remplacer le peuple français par un autre. La plupart ont pour simple désir de vivre heureux en France, d’y trouver leur place, d’être respectés pour ce qu’ils sont tout en se montrant reconnaissants pour ce que la France leur offre. Ce qu’incarne précisément et revendique Éric Zemmour dans son parcours personnel, et qu’il reproche aux autres, en leur faisant le procès de ne pas faire de même.

Sauf que ceux que ces discours sur le grand remplacement pointent, les immigrés de confession musulmane, sont par ailleurs des cibles, des instruments pour d’autres qui cherchent à les manipuler. Ce qui ne fait que renforcer leur malaise, leur sentiment de ne pas être reconnus, leur incapacité à s’identifier à ce pays, le leur pour une bonne part, où ils peinent à s’intégrer, et qu’ils finissent parfois par haïr, pas dépit plus que par mépris. Un jeu qui nourrit les crispations identitaires, le ressentiment et les rivalités mimétiques, au lieu d’élever les différences vers une identité commune, inclusive, harmonieuse et apaisée.

Quant à cette stratégie dénoncée par la théorie du grand remplacement qui consisterait à utiliser les flux migratoires pour fragiliser et déstabiliser des Etats comme la France, elle existe bel et bien. Mais son objectif n’est pas de substituer une population à une autre. Ainsi les islamistes ne cherchent pas à engager un combat frontal pour conquérir de nouveaux territoires et islamiser tous ceux qui y vivent. Encore moins à éliminer toute la population indigène pour la remplacer par une autre venue de l’extérieur. Leur stratégie repose essentiellement sur la subversion. Subversion de l’Islam réduit à sa version la plus radicale, suppression des autres composantes, renversement des régimes trop complaisants avec les valeurs occidentales, contrôle des institutions musulmanes et imposition de la charia dans toutes les strates de la société, pour les pays musulmans. Subversion par l’entrisme, l’instrumentalisation des principes démocratiques, notamment la laïcité ou la défense des minorités, pour les retourner contre les Etats démocratiques. Corruption et subversion politique des élus à tous les niveaux par une politique communautariste, clientéliste et maffieuse. Il faudrait aussi ajouter la subversion économique et financière de la part d’Etats islamistes pour lesquels la manne pétrolière est un moyen de corrompre leurs partenaires occidentaux, et de financer des organisations terroristes comme Al Qaïda, le Hamas ou Daesh : Arabie Saoudite, Qatar, Koweït, Brunei.

Mais les islamistes ne sont pas les seuls engagés dans un projet de conquête globale fondé sur une stratégie qui utilise l’immigration et l’Islam, avec des méthodes d’entrisme, de corruption et de subversion. Il n’est pas absurde de dresser un parallèle entre ce projet islamiste et celui du Nouvel Ordre Mondial déployé par les mondialistes. Lesquels cherchent également à utiliser les flux migratoires, le communautarisme, les revendications minoritaires, notamment religieuses, le multiculturalisme, les causes antiraciste, indigéniste, anticolonialiste, et pourquoi par l’islamisme, pour jouer des tensions identitaires et communautaires, dissoudre le sentiment d’appartenance nationale, et à terme détruire les Etats-nations pour les intégrer dans le Nouvel Ordre Mondial et les remplacer par un gouvernement mondial dirigé par une élite. Là encore, si l’on s’intéresse de près à l’Histoire et du mondialisme, ceci n’est pas une chimère. Cependant, dissoudre les identités nationales qui refusent de se fondre dans le grand Indifférencié mondialiste, ce n’est pas la même chose que de vouloir remplacer une population par une autre.

La théorie du grand remplacement pèche par ses obsessions, notamment celle, xéno-phobique, qui assimile l’autre à un danger, entretien des peurs à son sujet, et ne conçoit la relation d’altérité que sous l’angle de la concurrence mimétique. L’alternative pour les immigrés qui vivent en France et qu’on accuse de vouloir prendre la place des Français, ce n’est pas de repartir chez eux ou de devenir plus français que les Français. L’idée d’une identité pure qu’il faudrait préserver à tout prix de toute pollution extérieure est évidemment un fantasme, qui a fait le lit de l’idéologie hitlérienne. Il n’y a pas de race pure, il n’y a pas d’identité pure, pas de nation, de peuple ou de culture pure. Depuis que l’homme existe et se déplace, les peuples, les nations, les cultures se sont nourries d’apports et d’emprunts extérieurs. Même le peuple juif fondé sur un idéal de pureté rituelle et ethnique s’est constitué depuis les temps bibliques jusqu’à l’Israël contemporain à partir d’une multitude de tribus et de peuples venus s’agréger au « peuple élu », et de mixités consenties avec les nations où des Juifs vivaient en diaspora.

Le concept de pureté comme la théorie du grand remplacement sont des mythes. Ce qui fait l’équilibre et la solidité d’une nation comme la France, ce n’est pas le pourcentage de Français de souche qui la composent, ni son maintien au-delà d’un seuil critique. C’est la conscience que partagent ses membres de leur Unité, d’une langue, d’une culture, d’une Histoire, de valeurs, d’une manière d’être et de penser qu’ils partagent en commun et qui les rendent singuliers. Un patrimoine collectif qu’il faut entretenir et développer si l’on est attaché à ce pays.

Ceux qui fantasment sur le grand remplacement faute d’une pensée globale suffisamment lucide et pertinente susceptible de comprendre les grands enjeux du siècle, et d’une vision de la France dans le monde à venir, se condamnent à se recroqueviller sur une identité réactive, à rester prisonniers d’un passé qui n’est plus, ou qui n’a jamais été. Définir et prétendre défendre la France au travers du prisme d’un danger qui la menacerait, c’est finalement poser la question de son existence, de son identité et de sa survie de manière négative. La meilleure façon d’éviter de voir la France disparaître dans le Nouvel Ordre Mondial ou le Califat mondial, c’est en fait d’affirmer haut et fort ce qu’elle est, et surtout de la faire vivre.

N’est-ce pas précisément ce que fit le Général de Gaulle en juin 1940, alors que la République venait d’être remplacée par Vichy et que les troupes SS défilaient sur les Champs-Elysées ? Il ne suffisait pas de crier « Non à l’extrême droite ! » ou « Dehors sales Boches ! » Mais il fallait incarner la Résistance. Incarner la permanence. Incarner la France : « Moi, Général de Gaulle, j’appelle… »

De la même manière, ceux qui aiment la France et veulent la défendre devraient se préoccuper d’abord d’incarner la France, d’ÊTRE LA FRANCE de la manière la plus exemplaire possible. Non pas en se définissant contre un ennemi, mais en rassemblant ses enfants avec tous ceux qui l’aiment. C’est, encore, le sens de cette phrase de l’Appel du 18 juin : « Car la France n’est pas seule ! Elle n’est pas seule ! Elle n’est pas seule ! »

Incarner la France, c’est sortir du piège du narcissisme franco-français. Ce qui fait la France, ce n’est pas qu’elle vit recourbée sur elle-même, dans la peur d’être submergée. C’est qu’elle est forte, sûre d’elle-même, sans avoir besoin de bomber le torse. Et surtout qu’elle est ouverte vers le monde, en dialogue avec le monde. Pas seulement avec les autres nations, mais avec le monde. Parce que la France porte en elle un projet civilisationnel pour le monde. Et c’est pour cela que le monde aime la France. Un projet humaniste et universaliste authentique, enraciné et rayonnant, pas une idéologie désuète ni une simple ambition hégémonique.

Rongée par la culpabilité postcoloniale, la France a perdu conscience de ce qu’elle est, de ce qu’elle vaut. Et s’abîme dans le souvenir de ce qu’elle a été. Cette mortification doloriste est du pain béni pour ceux qui la convoitent pour l’avaler, ces diables islamistes ou mondialistes qui sont le seul et vrai péril aujourd’hui. Une culpabilité qui a asséché son désir de grandeur, son élan et son rayonnement, avec cette hauteur et cette générosité qui la caractérisent. Un drame que semble moins connaître le monde anglo-saxon, dont le modèle communautariste, plus ségrégationniste qu’assimilationniste, repose sur une indifférence à l’autre, là où le modèle français, résumé par la devise Liberté Egalité Fraternité, se fonde sur le souci de l’autre, et le souci de tous. Non pas vivre ensemble, mais faire corps.

Faire barrage à l’extrême droite ou au grand remplacement procède d’un même désir inconscient, et d’une même langueur de ne plus faire corps,. Une envie de ressusciter ce corps qui n’est plus autour de l’Idéal démocratique ou de la Nation. Avec dans les deux cas le sentiment d’une urgence artificiellement poussée à son paroxysme. Mais une telle prétention a les traits du pastiche, et le visage du désespoir. Car on ne fabrique pas un corps avec des idées ou des souvenirs. Pour faire corps il faut embrasser l’autre.

C’est le drame de la mauvaise conscience postcolonialiste qui ne sait plus comment redonner leur place et leur légitimité à ses enfants venus d’ailleurs qu’elle se sent coupable d’avoir opprimés puis abandonnés. Et qu’elle ne défend que sous l’angle victimaire et des grands principes.

De même pour les tenants du grand remplacement qui se sentent blessés et menacés par ces accusations, et qui voudraient jeter au loin ces enfants ingrats et pique-assiette, comme un père à qui on aurait volé son héritage.

Si extrême droite et grand remplacement ne sont pas des thèmes équivalents ni symétriques qui se renforceraient ou s’annuleraient, ils sont un faux problème, un problème mal posé qui rate sa cible et nous égare, en repoussant toujours à plus tard les nécessaires prises de conscience.

Face aux périls réels pour la survie du modèle français et de la nation française que représentent le fascisme théocratique des islamistes et le fascisme ploutocratique des mondialistes, deux formes bien réelles de totalitarisme, l’un fondé sur une utopie messianiste, l’autre sur une dystopie transhumaniste, la France n’est pas désarmée. Elle n’est pas non plus isolée. Elle est juste endormie, anesthésiée, intoxiquée par la propagande des uns et les angoisses des autres.

Répéter les mêmes formules ne peut que l’exténuer davantage, accroître la cécité intellectuelle et morale ambiante, et faire perdre de vue les vrais enjeux de l’époque.

C’est pourquoi les Français devraient refuser de se laisser manipuler par les flippés de l’extrême droite comme par les obsédés du grand remplacement. Et ne surtout pas choisir en suivant ces emballages rhétoriques qui ne veulent rien dire. Mais écouter leur bon sens et suivre leur intuition.

Car toute cette agitation stérile ne profite bien évidemment qu’au seul candidat qui pose un réel problème : Emmanuel Macron. Lequel se garde bien de prendre la parole sur la réalité de son bilan comme de son projet en ayant le courage d’affronter les critiques, mais se contente d’aligner des postures et des monologues plus creux les uns que les autres, la seule chose qu’il sache vraiment faire.

Une chose est sûre : ceux qui s’apprêtent à voter pour lui pour faire barrage à l’extrême droite et conjurer la thématique stigmatisante du grand remplacement auront avec Macron l’un et l’autre. A la fois le fascisme totalitaire qui vient, tapi derrière le mensonge progressiste, incarné par la marionnette de McKinsey. Et celui de l’Islam radical allié objectif du précédent, qui l’utilise pour précipiter son agenda mondialiste.

Et pour finir ils n’auront plus qu’à pleurer le grand remplacement de leurs illusions démocratiques, humanistes, antifascistes, par une dictature froide et implacable qu’ils n’avaient pas vu venir, et dont ils ont refusé de reconnaître les signes, au nom de leurs obsessions et par crainte d’être accusés de complotisme.

Si Marianne se laisse aller à une commettre une telle erreur, elle finira comme une pucelle qui choisit d’épouser un riche notable pour ne pas se faire violer par des rustres, mais qui se retrouve vendue à un diable bien plus méchant par celui à qui elle avait offert sa dot et son pucelage.

Si Marianne se laisse aller à une telle erreur, elle finira comme une pucelle qui choisit d’épouser un riche notable pour ne pas se faire violer par des rustres, mais qui se retrouve vendue à un diable bien plus méchant par celui à qui elle avait offert sa dot et son pucelage.

Le « contrôle social », ce mot poli pour ne pas dire « la dictature »

A peine rangées les matzot et la vaisselle de Pessah, et à quelques jours de Yom HaShoah, journée commémorative de la Shoah et fête officielle en Israël, les citoyens israéliens ont été informés qu’ils devront présenter un passeport vaccinal ou un résultat de test négatif pour avoir le droit d’assister aux cérémonies du Jour de la Shoah. Jour symbolique puisque la Shoah est précisément cet événement unique dans l’Histoire du peuple juif qui a failli signer son extermination définitive, et qui a aussi précipité la création de l’Etat d’Israël trois ans après la libération des camps.

Ce choix n’est pas anodin. C’est même l’une des étapes-clés dans le basculement vers une nouvelle forme de dictature technosécuritaire, dont Israël représente sans doute aujourd’hui le champion absolu au sein du monde occidental, dépassant même la Chine dans le zèle pour instaurer de nouvelles normes de surveillance et de contrôle social.

Alors que ces « vaccins » sont toujours réputés inefficaces pour limiter la propagation du Covid dans la population, alors que leur dangerosité est en revanche chaque jour étayée par la multiplication des décès et autres effets secondaires gravissimes qui leur sont imputés, alors que des médecins tirent chaque jour la sonnette d’alarme et alertent l’OMS sur l’implication vraisemblable de ces injections expérimentales dans la création de nouveaux « variants » beaucoup plus virulents que le virus SARS-Cov-2 initial, voilà un exemple typique qui confirme la théorie « complotiste » selon laquelle toute cette tragi-comédie sanitaire autour du Covid déployée depuis un an et demi ne serait qu’un moyen d’imposer des mesures coercitives, de restreindre drastiquement les libertés individuelles en empochant un pactole au passage, et surtout de contrôler et surveiller les populations avec des moyens technologiques totalement inédits.

S’il est un secteur d’activité qui a connu un boom sans précédent depuis l’épidémie de Covid, en tout cas bien plus important qu’avec la vague terroriste des décennies 2000 et 2010, c’est sans nul doute celui de la sécurité : nouvelles milices privée destinées à suppléer la Police nationale, armes de répression policière et antiguérilla urbaine type armures, casques, armes de poing, fusils LBD, gaz lacrymogènes, lances ou chars d’assaut anti-émeutes, drones, caméras de surveillance intelligentes, reconnaissance faciale, algorithmes prédictifs, systèmes de surveillance d’internet et des réseaux sociaux, satellites d’observation et bien sûr réseau 5G : voilà un marché hyper florissant. On pourrait y ajouter les masques, les blouses, les hublots, les tests, les écrans de protection et autres gadgets destinés plus à rassurer et à entretenir la psychose sanitaire qu’à protéger.

Sans oublier les nouveaux systèmes de contrôle transhumaniste des populations qui ne tarderont pas à entrer en action, comme ces nanoparticules connectées baptisées smart dusts (poussières intelligentes) vantées par Klaus Schwab, Président du Forum Economique Mondial, déjà incluses dans les vaccins, et développées jusqu’en 2020 par le MIT de Boston et Microsoft sous le patronage financier de la Fondation Bill & Melinda Gates. Ou la nouvelle puce d’interface numérique implantée dans le cerveau actuellement mise au point par la firme Neuralink spécialisée dans les neurosciences du milliardaire Elon Musk. Des inventions qui font froid dans le dos et pulvérisent toutes les limites imposées autrefois à la science au nom du respect de la dignité humanité et des libertés. Les nouvelles Gestapo version postmoderne et les professeurs Mengele qui s’affairent sur notre avenir rivalisent d’inventivité pour déployer une panoplie de moyens technologiques de contrôle des masses dignes des scénarios de science-fiction les plus sophistiqués, comme Le Meilleur des mondes ou Matrix.

Le nouveau passeport santé désormais généralisé en Israël et bientôt imposé par l’Europe à tous les pays membres de l’Union constitue une étape-clé dans ce glissement progressif vers un contrôle total sinon totalitaire des populations, que beaucoup n’hésitent pas à raison à qualifier de dictature technosanitaire.

Au recours massif aux techniques d’ingénierie sociale déployées depuis plus d’un siècle pour formater les opinions publiques et entretenir l’illusion de la démocratie dans des sociétés entièrement manipulées par les discours officiels et les médias, s’ajoute aujourd’hui un objectif de contrôle social mis en place palier par palier au nom de la sécurité. L’Etat-Providence devenu Etat protecteur se fait Etat-tyran, selon une logique dystopique qui rappelle étrangement la vision orwellienne de 1984. Il impose toujours plus de contraintes, d’interdits, de normes et de restrictions dans l’exercice des libertés publiques et les droits des individus. Avec une surveillance et un contrôle absolus, qui rendent toute notion d’intimité et de vie privée totalement caduque.

Puisque l’impératif catégorique des sociétés postmodernes et mondialisées est désormais la sécurité, une valeur et un objectif qui prime sur toute autre priorité, en particulier la liberté ou la vie privée, les états aspirés vers cette tentation normative, répressive et totalitaire imposent partout un règne de la transparence totale et de la norme absolue imposées à tous.

Dès lors, non seulement les libertés individuelles sont réduites à néant, mais des notions aussi essentielles en démocratie que le respect de la vie privée, du secret médical, des données personnelles, bancaires, des relations interpersonnelles ou intracommunautaires, volent totalement en éclat. Tout est désormais soumis à un droit de regard absolu, imprescriptible et totalitaire de la part de l’Etat. Mais aussi de diverses firmes privées qui y ont accès de façon discrétionnaire et se les approprient sans aucun contrôle des citoyens : banques, compagnies d’assurance, société de transport, compagnies aériennes, multinationales de grande consommation… Avec un contrôle sans limite sur les données personnelles et la vie privée de chaque individu.

Cette traque obsessionnelle s’étend aux moindres faits et gestes des personnes privées. Y compris leur vie la plus intime, familiale, amoureuse ou sexuelle. Et bien sûr à tout ce qui touche leur état de santé. Notamment ces fameuses « vaccinations », qui si elles ne sont pas partout explicitement imposées sous peine de sanctions, deviennent incontournables pour toute personne qui entend conserver un minimum de vie sociale, se rendre dans un lieu public, au restaurant, interagir avec d’autres, voyager ou user de son argent comme bon lui semble.

Ce contrôle absolu des individus n’est pas fortuit. Il est la résultante d’une stratégie de très longue date élaborée par une oligarchie bancaire et financière qui avait fait du contrôle des états, des économies mais aussi des individus par la monnaie un objectif essentiel et un levier de pouvoir imparable. Cette stratégie s’est vue considérablement dopée depuis quelques années par le recours systématique à la technologie et à la maîtrise du Big data comme outil de contrôle d’une puissance et d’une latitude inespérées.

Nous sommes donc en train de basculer bel et bien dans un nouveau type de société. Et ce basculement n’est en aucune façon un accident ou une parenthèse dans l’évolution normale des sociétés. Il s’agit réellement d’une rupture, voulue, pensée et planifiée à grande échelle. Avec à la clé un transfert des souverainetés, des pouvoirs et des richesses qui sera irréversible et définitif.

Le passeport santé est en effet une étape essentielle vers l’assujettissement total des individus à un système de contrôle numérique global conçu pour être efficace et incontournable à l’échelle de l’humanité. Et dont l’étape suivant constitue après la destruction des économies et le regroupement des acteurs économiques, bancaires et financiers en conglomérats massifs selon la logique du Great Reset, l’instauration d’une monnaie numérique unique mondiale destinées à remplacer toutes les autres monnaies, et son encryptage dans ces fameuses nanopuces implantées dans le corps de chaque individu grâce aux « vaccins » et totalement contrôlées par l’Intelligence Artificielle. Le contrôle financier, social et même psychologique des populations sera alors absolu, si l’on en croit notamment Klaus Schwab, fervent partisan de cette évolution sidérante.

L’ironie effrayante veut que les plus grands « progrès » dans ce basculement totalitaire et transhumaniste soient aujourd’hui réalisés sous l’impulsion d’une clique de dirigeants corrompus d’un Etat comme Israël, et soient appliqués de façon arbitraire par ses propres dirigeants sur un peuple qui a failli disparaître dans l’entreprise de déshumanisation totalitaire et eugéniste la plus effroyable dont le 20e siècle ait accouché.

La Solution vaccinale

Là où le mouton fait défaut
La chèvre est appelée Majesté.

(proverbe turc)

Y aurait-t-il un parallèle effroyable entre la Conférence de Bilderberg et celle de Wannsee ?

Balayons tout de suite les drapeaux « Complotiste ! » qui s’élèvent à cette simple évocation. Et tâchons de décrypter la logique des faits. Retour sur une année et demie de crise du Covid.

D’abord on a terrorisé la planète avec un virus bidon bidouillé en laboratoire.

Ensuite on a agité le spectre d’une pandémie effroyable qui allait décimer une bonne part de l’humanité.

Tout de suite après nous avoir saisis, on nous a assuré que seul un vaccin pourrait un jour nous sauver.

De messages alarmistes en mesures fantaisistes, on nous a interdit de nous approcher les uns des autres sous peine d’être arrêtés, et on a abrégé les souffrances de nos vieux dans leurs EHPAD.

Comme si cela ne suffisait pas, on a interdit aux médecins de prescrire les seuls traitements qui eussent pu nous guérir, sous peine d’être radiés du Conseil de l’Ordre.

Peu après, on s’est acharné à fabriquer de faux « décès » et de faux « cas » pour entretenir la psychose et justifier d’autres mesures insensées. En achetant les médecins et en manipulant les statistiques.

Pour ajouter l’exaspération à la terreur on a supprimé toutes nos libertés, on nous a enfermés durant des mois. Ce qui n’a eu pour seul effet que de faire flamber les contaminations.

On s’est bien efforcé de faire s’effondrer l’économie, de façon à ruiner petits commerces, patrons de restaurants ou de discothèques. Histoire d’assurer un ronflant transfert de richesses vers les grandes multinationales dont la cote a explosé au Dow Jones.

Une fois que nous étions tous bien déprimés, suicidés ou ruinés, on nous a assuré que nous pourrions revenir à une vie normale à condition de nous faire vacciner.

On a soigneusement omis de préciser que ces injections n’étaient en aucun cas des « vaccins ». Qu’elles n’avaient aucune efficacité prouvée, et que de toutes façons il allait falloir rester confinés.  

Cerise sur le gâteau leurs redoutables effets secondaires allaient décimer une partie de la population beaucoup plus rapidement et efficacement que le virus lui-même. Grâce aux adjuvants toxiques inclus dans ces vaccins, et aux variants fabriqué à l’aveugle par notre système immunitaire violé par l’ARN messager. Rendant d’ici l’automne prochain l’épidémie totalement hors de tout contrôle, comme le pronostiquent les épidémiologistes.

Surfant sur la panique liée aux 2e, 3e, 4e vagues, on a accéléré le processus vaccinal à échelle industrielle. Mobilisant jusqu’aux vétérinaires pour administrer la mort en série dans des « vaccinodromes » qui n’ont plus rien à envier aux chambres à gaz.

Des experts de premier plan, des lanceurs d’alertes, des spécialistes en épidémiologie, en génétique, en pharmacie, en économie, en droit ont tenté de nous alerter. De même que les journalistes ou de simples citoyens qui ont relayé leurs publications. Ils ont tous été traqués sans relâche, dénoncés, censurés, intimidés, culpabilisés, pénalisés, jetés en pâture à l’opinion comme de dangereux « complotistes ». Parfois même arrêtés et internés de façon arbitraire, sans aucun procès, comme dans n’importe quelle dictature totalitaire.

Les enfants placés dans les écoles de la République – les seules désormais habilitées à délivrer un enseignement – ont subi dès l’âge de six ans un matraquage idéologique systématique, à un rythme sans nom. Ils ont été empêchés de respirer, de jouer, de se parler, de se toucher, isolés, masqués, testés sans l’accord de leurs parent, torturés physiquement et psychiquement, sommés de dénoncer leurs parents déclarés « sectaires » quand ceux-ci osaient critiquer à la maison la politique actuelle, et parfois retirés de leur famille.

A ceux qu’on a conduits par cohortes entière vers le Saint-Graal, cette piqûre annoncée comme le messie, on n’a surtout pas expliqué que ces faux vaccins allaient permettre de les tracer. Qu’un certificat vaccinal numérique sous forme de nanoparticules encryptables déjà testées était inclus comme cadeau-surprise dans le cocktail qu’on leur a injecté.

Pour les y préparer on leur a fait accepter que désormais ils devraient se munir d’un passeport santé adopté par l’Union Européenne. Une sorte de sésame qui les autoriserait désormais à voyager, à se déplacer, ou à se rendre dans des lieux publics dont l’accès serait réservé à ceux qui pourraient ainsi prouver qu’ils sont bien vaccinés.

On a moins insisté sur le fait que ce nouveau passeport serait bientôt relié à d’autres fichiers, étendu à d’autres fonctions. Comme c’est déjà le cas aux Etats-Unis : état civil, carnet de santé, casier judiciaire, données bancaires et financières, et autres big data pourtant confidentielles livrées à la discrétion de Big Business et de Big Pharma. Un outil de contrôle absolu des populations à l’échelle mondiale, comme il n’en avait jamais été conçu dans aucune dictature auparavant.

Alors que des couples, des familles, des communautés, des nations se déchiraient pour savoir qui avait raison ou tort et ce qu’il fallait faire de ce climat d’extrême confusion, la population a très vite été divisée en deux catégories de citoyens opposés : les bons et les méchants. Les bons ce sont tous ceux qui obéissent sans broncher aux consignes sanitaires et ne posent jamais de questions : masque, distanciation, gestes barrière, confinement, couvre-feu, tests, vaccinations… Les méchants ce sont ceux qui s’émeuvent des libertés saccagées, des effets néfastes de ces mesures absurdes, de leur caractère inutile ou dangereux. Ceux qui refusent d’être transformés en troupeau de moutons sagement conduits à l’abattoir. Ou pire : qui refusent de se soumettre, osent le dire et descendre dans la rue pour défendre les libertés.

Bref, le monde était divisé en deux camps : ceux qui cèdent à la peur et se laissent gentiment humilier, infantiliser, déresponsabiliser, ôter toute dignité, toute liberté, toute humanité. Et ceux qui résistent, refusent de rentrer dans le rang, et luttent à la mesure de leurs moyens contre une dictature infernale qui s’abat chaque jour de plus en plus sur la planète entière.

Aux premiers on remettait des bons points et on promettait le Salut, la Lumière, la « sortie du tunnel » comme le répètent à l’envi les ministres, hélas toujours repoussée à plus tard. Pour finir on les accoutumait par paliers à se laisser glisser vers un asservissement total, à se laisser réduire à l’état de bétail, de marchandise ou de simples esclaves d’un système déshumanisé.

Les autres seraient tout bonnement condamnés à disparaître, d’une façon ou d’une autre. Mis au ban de la société, interdits de tout, ils finiraient par craquer et rentrer dans le rang. Les plus irréductibles parmi les réfractaires aux vaccins seraient emmenés de force dans de véritables camps de concentration baptisés « centres de confinement ». Là ils seraient vaccinés et pucés de force, puis rééduqués. Au pire on n’entendrait plus parler d’eux.

Ne nous leurrons pas, ces camps existent déjà bel et bien ! Beaucoup ont été ouverts en 2020. Aux Etats-Unis, au Québec, en Allemagne, en Australie, en Nouvelle Zélande… Le Danemark pourrait bientôt contourner une loi les autorisant qui avait été retirée après neuf jours de blocus du Parlement par le peuple. Et bien sûr c’est en Chine qu’on compte les plus gigantesques de ces camps. Un pays qui fait figure de modèle à suivre. Ce n’est pas nouveau : David Rockefeller en visite dans la République Populaire du Président Mao au beau milieu des années 1960 s’était enthousiasmé à son retour aux Etats-Unis pour ce régime qui savait si bien s’y prendre pour contrôler ses populations ! La Chine des années 2020 et son système de crédit social qui empêche toute vie possible hors du cadre prévu par le régime est sans équivoque l’exemple à imiter pour toutes les nations occidentales.

Si l’on ajoute à ce tableau sinistre les déclarations appuyées de tel ou tel oligarque comme Bill Gates, Jacques Attali, George Soros ou Klaus Schwab vantant les vertus de l’eugénisme et de la réduction programmée des populations, on comprend qu’on n’a pas du tout affaire à un délire complotiste mais à un authentique programme d’extermination massive à l’échelle mondiale.

Une folie qui n’est pas nouvelle puisque certains théoriciens du libéralisme et oligarques partisans du mondialisme en vantaient déjà les vertus dès le 18e ou 19e siècle.

Aujourd’hui cette oligarchie qui dirige le monde et contrôle absolument tous les pouvoirs dispose de tous les moyens nécessaires pour mener à terme cette stratégie macabre : moyens financiers, économiques, scientifiques, politiques, policiers, industriels, logistiques, administratifs, médiatiques, numériques.

Annette Wievorcka, historienne et scientifique, a écrit : « Auschwitz est le symbole de ce qui peut se passer quand les droits de l’homme ne sont pas respectés. »

Et Imre Ketesk, écrivain et ancien déporté, d’ajouter : « Auschwitz n’a pas été un accident de l’Histoire, et beaucoup de signes montrent que sa répétition est possible […] Auschwitz ne constitue pas un cas d’exception, tel un corps étranger qui se trouverait à l’extérieur de l’Histoire normale du monde occidental, mais bien l’illustration de l’ultime vérité sur la dégradation de l’Homme dans la vie moderne. »

Aujourd’hui non seulement les droits de l’homme ont tous été confisqués, mais pire, ils sont toujours revendiqués chaque jour par cette idéologie progressiste détaillée à toutes les sauces, comble du mensonge et credo des mondialistes. Une idéologie qui prétend œuvrer pour la paix, le bonheur de l’humanité et le sauvetage de la planète. Mais qui avance depuis quarante ans et plus des politiques dont les conséquences sur l’humanité sont l’exact opposé des buts annoncés. Le mensonge absolu.

Quant à une éventuelle Shoah de l’humanité à laquelle il semble difficile de nier que nous assistions aujourd’hui, elle n’est que l’aboutissement final de la logique matérialiste et scientiste qui s’est incarnée du point de vue politique dans ce que le capitalisme et le communiste ont produit de pire. Comme l’avait prophétisé George Orwell dans sa dystopie 1984.

Une logique qui a trouvé son aboutissement et sa justification avec cette idéologie progressiste inventée à partir du 18e siècle par une oligarchie bancaire et financière anglo-américaine. Une oligarchie claire sur sa stratégie et ses buts – conquérir le monde – et qui a réalisé en à peine deux siècles une véritable OPA sur les économies mondiales comme sur tous les pouvoirs politiques. En détruisant patiemment les états-nations, condamnés à être engloutis dans un Nouvel Ordre Mondial totalitaire, technosécuritaire, inégalitaire, ploutocratique et transhumaniste, tout entier contrôlé par une poignée d’oligarques. Un Ordre qui s’apprête à étendre son empire sur chaque individu, et qui entend contrôler grâce aux nouvelles technologies chaque aspect de la vie privée. Jusqu’à nos corps, nos pensées, nos interactions, nos actes et nos mouvements bientôt entièrement pilotés par la Matrice.

Ce n’est pas de la science-fiction. Il suffit pour s’en convaincre d’écouter Klaus Schwab, Président du Forum Economique Mondial et transhumaniste militant, vanter dans une vidéo publiée sur YouTube les mérites de la nouvelle interface numérique développée sous forme de puce implantable dans le cerveau par la firme d’Elon Musk, ainsi que des smart dusts, ces « poussières intelligentes » mises au point sous l’égide de la fondation de Bill Gates et incluses dans les vaccins, qui permettront d’ici à peine dix ans de relier chaque individu à l’Intelligence Artificielle et de contrôler à distance ses émotions, ses réflexes, ses pensées… Le Meilleur des mondes en version XXL.

Le plus cynique et abject, c’est que tout ce cauchemar en cours de réalisation est justifié au nom de valeurs humanistes vidées de leur sens et retournées en arme de destruction massive contre les esprits. Comme les droits de l’homme, la paix, le progrès, la sécurité, le développement durable ou la prévention des risques politiques, économiques, sanitaires.

Cette 3e Guerre mondiale déclarée à l’humanité, cette Shoah planétaire a commencé en 2020. Elle se poursuivra dans les prochaines années si nous ne faisons rien. En commençant par l’élimination médiatique, sociale et politique des brebis galeuses : ces non-vaccinés réfractaires au rouleau compresseur, qui rapidement détruira le reste de l’humanité ou la réduira à un cheptel de robots humains amendables, modifiables et commercialisables en pièces détachées. Puis par leur élimination bactériologique et physique programmée.

Le parallèle entre ce qui nous est présenté aujourd’hui comme une simple « vaccination » et la Solution finale peut évidemment scandaliser. Sauf que cet événement sans doute resté dans la mémoire collective comme le plus dramatique de l’Histoire récente de l’humanité, l’archétype de tous les génocides de masse et de toutes les exterminations au nom d’une idéologie, est en passe d’être largement dépassé.

L’extermination planifiée des Juifs d’Europe par le régime nazi durant la Seconde guerre mondiale n’a en effet concerné « que » 6 millions d’êtres humains sauvagement assassinés dans des conditions d’une barbarie sans nom. Avec application, méthode, persévérance, la complicité des forces vives de toute une nation et la collaboration des pays conquis.

Cette nouvelle extermination de masse que la conscience peine à concevoir ne concerne pas seulement aujourd’hui 6 millions d’êtres humain, mais mille fois plus ! Jusqu’à 6 milliards 300 millions d’hommes, de femmes, d’enfants et de vieillards sur 7,8 milliards de Terriens pourraient être ainsi condamnés à mourir pour satisfaire les délires de milliardaires psychopathes authentiquement diaboliques.

C’est tellement inconcevable que peu arrivent à admettre cette éventualité comme un danger réel et très actuel.

Et pourtant, si l’on se fit à certains objectifs affichés, on pourrait en arriver à des telles extrémités. A titre d’exemple, les Georgia Guidestones souvent cités sont un mystérieux monument de granit érigé le 22 mars 1980 en pleine forêt près d’Elberton en Géorgie aux Etats-Unis. Nul ne sait quelle organisation a passé commande pour ce monument en forme de tabernacle, dont l’origine reste à ce jour officiellement inconnue. Ce qui est certain, c’est qu’il comporte des inscriptions sous la forme de « commandements » adressés à l’humanité et traduits en 8 langues. Des prescriptions destinées à orienter les hommes pour les temps futurs. Le premier de ces commandements est explicite :

« Maintenez l’humanité en dessous de 500 millions d’individus en perpétuel équilibre avec la nature. »

Beaucoup ont tenté de minimiser cet avertissement étrange comme une supercherie ou un cas isolé alimentant les théories du complot. Ou de le réduire à simple un canular imaginé par une quelconque secte de riches allumés.

Sauf qu’un tel objectif de réduction massive des populations décrit dans ce monument est loin d’être un cas isolé. A titre d’exemple le très sérieux milliardaire philanthrope Bill Gates, fondateur de Microsoft et de la fondation qui porte son nom, très actif depuis vingt ans pour financer des programmes de vaccination massive très controversés et responsables de millions de morts dans les pays du tiers-monde, avait prévenu lors d’une conférence publique en 2010 que notre système économique était incapable d’absorber l’augmentation de la population mondiale à son rythme actuel. Et qu’il fallait donc envisager des mesures pour réduire cette augmentation, sinon la population elle-même. Avançant un objectif de réduction de 15% pour les années à venir. Et précisant parmi les moyens permettant d’atteindre cet objectif qu’on pouvait facilement arriver à réduire la population de 15% « grâce aux vaccins ». Vous avez bien lu : grâce aux vaccins !

15% ça n’est certes pas 6 milliards de personnes, mais c’est déjà 1,350 milliard d’âmes (rapportées à la population du monde en 2010). Soit 225 fois plus que la Solution finale tout de même.

On comprend dès lors la raison de cette course contre la montre et de cet acharnement insensé à vouloir vacciner toute la population d’un pays, en France ou ailleurs, en mobilisant tous les moyens de l’Union Européenne, les laboratoires susceptibles de produire en urgence, les moyens médicaux, logistiques, médiatiques, une telle propagande mise en œuvre, et le pognon de dingue que tout cela coûte.

Car il faut faire vite. Avant que le pot-aux-roses ne soit exposé au grand-jour d’une façon tellement obvieuse qu’il devienne possible de le nier. Déjà le barrage se fissure et prend l’eau de partout. Chaque jour des centaines de scientifiques dans le monde alertent l’OMS et les opinions publiques sur les réels dangers de ces faux vaccins, sur les effets secondaires qui aujourd’hui tuent plus de monde que le virus lui-même, sur l’apparition de nouveaux variants de plus en plus dangereux directement dus à ces injections criminelles et à leurs effets incontrôlables sur le système immunitaire. Des médecins « complotistes » avaient alerté dès avril 2020 et expliquant ce qui allait se passer avec ces vaccins. Personne n’avait voulu les écouter. On a même été jusqu’à interner de force l’un d’entre eux, le Professeur Jean-Bernard Fourtillan, dans un H.P., en l’accusant d’être un calomniateur et un fou mystique. Comme au bon vieux temps de Staline.

Me revient comme en écho ces instructions laissées aux directeurs des usines de la mort nazies par des fonctionnaires paniqués face par l’arrivée des troupes russes ou américaines aux frontières du Reich : « Il faut plus ! Plus d’efficacité ! Plus de productivité ! Plus d’unités traitées par jour ! Plus de capsules de Zyklon B ! Plus de trains ! Plus de chambres à gaz pour éliminer les preuves ! Plus !… » On croirait entendre Macron écumer face à ses ministres impuissants et aux lenteurs de la bureaucratie… Tel Hitler réfugié dans son bunker promettant la Cour martiale à des généraux incapables.

Il y a quelque chose de surréaliste, de terrifiant et de dérisoire dans ce parallèle pourtant bien fondé. Sommes-nous vraiment à l’aube d’une telle hécatombe ? La réponse est oui. Aucun doute n’est désormais permis et aucun revers de manche ne pourra en conjurer l’obsédante réalité, en ourdissant quelque procès en hérésie complotiste destiné à évacuer cette mauvaise conscience qui nous taraude.

Et parce que le pire n’est jamais sûr mais demeure toujours une menace, il faut aujourd’hui redoubler d’efforts pour dénoncer preuves à l’appui ces horreurs et faire échouer ce plan diabolique. Car non seulement c’est possible si un nombre critique de citoyens s’engagent dans ce combat, mais c’est la seule voie possible si l’on croit encore en l’humanité. Et si l’on veut que nous restions des humains.

Selon une étude réalisée récemment par un groupe de sociologues à partir de statistiques relatives aux émeutes qui se sont déroulées dans plusieurs pays du monde au cours des décennies écoulées, il suffit que 10% de la population se soulève, en s’engageant dans une insurrection ou dans la désobéissance civile, pour faire tomber un régime.

Il ne s’agit pas seulement de faire tomber la dictature incarnée par une marionnette comme Macron, mais tout un système à l’échelle du monde. Un système qui contrôle tous les pouvoirs par le biais de la finance et de la monnaie.

Il faudra sans doute du temps, des efforts, de la persévérance, du sang et des larmes. Mais la conscience collective a déjà commencé à opérer sa mue et ne pourra plus s’arrêter. La lumière continuera de faire reculer le mensonge et la peur. Partout. Jusqu’à ce que cet empire du Côté obscur, fils maudit de la Raison et de la loi du plus fort, s’effondre de lui-même comme un château de cartes. Il suffit de dire non. De rester éveillés, ouverts, solidaires, de témoigner et de faire front.

Dont acte : « Puisse l’histoire des camps d’extermination retentir pour tous comme un sinistre signal d’alarme. » (Primo Lévi)

Le pangolin, la chauve-souris et le petit Mandarin : les désordres de la nature aux secours de l’Oncle Picsou

La théorie de la transmission « zoonose » du coronavirus (de l’animal à l’humain) est un classique de la littérature scientifique s’agissant des nouvelles épidémies. Mais qui fait rarement l’unanimité des chercheurs. Pour ce qui est du Covid, elle pourrait venir s’ajouter aux œuvres de La Fontaine sous le titre d’une nouvelle fable intitulée « Le pangolin, la chauve-souris et le petit Mandarin« . Une farce tellement échevelée, digne des pires machins complotistes, que plus aucun scientifique sérieux n’ose aujourd’hui l’évoquer, de peur de se ridiculiser.

Plus personne en effet dans le milieu scientifique comme dans les médias ne se risque depuis bientôt un an à évoquer le sujet et à spéculer sur l’origine de ce virus mystérieux, pourtant observé sous toutes les coutures et disséqué en menus morceaux depuis son apparition en Chine à l’été 2019. Un sujet devenu très vite un tabou dans tous les médias mainstream, dès l’extension « pandémique » du virus hors des frontières de la province de Wuhan fin 2019. Silence radio, mieux valait assommer le grand public de commentaires alarmistes en diffusant en boucle les images de Wuhan en état de siège. Et ce bien que le sujet soulève de nombreuses questions à propos de cette grippe dont la cause était unanimement présentée comme un nouveau virus transmis à homme par un innocent fourmiller dont la viande est couramment consommée en Chine. Une grippe présentant dans ses formes les plus graves des symptômes respiratoires sévères et aussitôt transformée en pandémie du siècle.

D’un coronavirus somme toute banal, on est ainsi passé à un « paranovirus », dont le mode de contamination n’était plus les mains mal lavées ou l’air ambiant (encore une fable…) mais les médias entrés en éruption sismique. Un scénario de psychose mondiale provoqué à dessein par quelques lobbies qui y avaient intérêt. Une reproduction en grandeur XXL et en beaucoup plus dramatique de celui qu’on nous avait déjà servi en 2009 lors de l’apparition d’un foyer de grippe H1N1 au Mexique. Un virus qui avait immédiatement enflammé les esprits et les écrans plus que les thermomètres, et ce durant près d’un an. Assurant au passage à Gilead Science (déjà…) la vente très profitable aux gouvernements affolés de la planète de milliards d’unités de vaccin et de Tamiflu, tous aussi inutiles, toxiques et inefficaces que le remdésivir que le même labo a tenté de nous refourguer en 2020 en corrompant au passage les plus grands scientifiques, les gouvernements, les agences de santé et le Lancet, pour couler son principal concurrent l’hydroxychloroquine ! 100 millions de doses de vaccin furent ainsi achetée en 2010 par le gouvernement de Nicolas Sarkozy, lesquelles finirent quasiment toutes à la poubelle, non sans avoir coûté au passage près d’un milliard d’euros au contribuable français.

Même scénario avec le Covid-19 et les petits arrangements entre Macron et ses généreux mécènes pharmaceutiques. Sauf que cette fois le jackpot a fait exploser la banque, la dette de la France, plusieurs secteurs économiques, et la tête des Français.

Mais revenons à la fable du pangolin…

Depuis 2019, les preuves se sont tellement accumulées pour étayer l’hypothèse troublante d’un virus créé artificiellement par l’homme en laboratoire par manipulations génétiques, que même les épidémiologistes et les « experts » autoproclamés les plus corrompus habitués des plateaux télé sont aujourd’hui à court d’arguments sérieux pour étayer la thèse initiale du pangolin. Un pangolin qui figurait pourtant en bonne place sur la couverture du magazine britannique (détenu par les Rothschild) The Economist, dont le très attendu hors-série annuel consacré à l’année suivant mettait en scène fin 2018 et pour l’année 2019 un étrange pangolin glissé au milieu d’autres symboles tout aussi étranges : fragment d’ADN, smartphone (5G), code-barre, etc… Et ce plus de 6 mois avant l’apparition de l’épidémie en Chine.

Le premier en France à avoir enfoncé la digue de la langue de bois à propos de l’origine du coronavirus fut bien entendu le Professeur Luc Montagnier. Célèbre immunologue, empêcheur de tourner en rond, Prix Nobel de médecine et codécouvreur du virus du sida. Lequel n’en était pas à son coup d’essai s’agissant de révélations sulfureuses. Le vieux professeur un brin narquois avait alors jeté un vent polaire en direct sur le plateau de Cnews. Interrogé par Pascal Praud sur l’origine du coronavirus, il avait en effet révélé une découverte stupéfiante de son équipe de recherche : le séquençage du génome du virus SARS-Cov-2 responsable du Covid-19 et son analyse par algorithmes informatiques avaient fourni la preuve irréfutable que ce virus ne pouvait être d’origine naturelle. En effet le génome du SARS-Cov-2, responsable du Covid-19, présente plusieurs « insertions » dont un petit fragment du génome du VIH, rétrovirus responsable du sida. De telles insertions ne peuvent avoir être réalisées qu’en laboratoire ; elles ne peuvent scientifiquement être le résultat d’une mutation ou d’une anomalie génétique d’origine naturelle liée à une quelconque transmission de l’animal à l’homme. Ce type de manipulations est d’ailleurs souvent réalisé par les chercheurs en génie génétique. Notamment dans l’espoir de mettre au point de nouveaux vaccins. Une technique employée depuis des décennies pour tenter de créer un vaccin efficace contre le VIH, en utilisant des composantes de virus courants type coronavirus, et en y insérant un fragment de l’enveloppe du VIH reconnus par les récepteurs des lymphocytes, de façon à produire une réponse immunitaire dirigée contre le VIH en cas d’infection, une fois ce vaccin injecté dans le corps humain.

Le Pr. Montagnier ne fut évidemment pas le seul à larguer une telle bombe. De nombreux scientifiques et équipes de recherche de renom avant et après lui ont également publié les résultats de leurs travaux dans des revues scientifiques mettant en avant les preuves de cette origine humaine du virus. Au point qu’elle apparaît aujourd’hui difficilement contestable. Même des médias officiels comme France l’ont d’ailleurs récemment évoqué comme une hypothèse plausible, levant un voile pudique sur les questions dérangeantes qu’elle soulève : pourquoi cette hypothèse n’a pas été évoquée avant ? Comment le virus a-t-il pu être disséminé depuis un laboratoire de recherche P4 situé à Wuhan : par accident ? Intentionnellement ? Et si oui à quelles fins ?… La France était-elle effectivement impliquée dans la gestion de ce laboratoire de Wuhan ? A quel titre ? Participait-elle aux recherches qui y étaient menées ? Se pourrait-il aussi qu’elle soit impliquée dans cet « accident ». Et pourquoi les autorités chinoises ou françaises n’en auraient-elles rien dit ?

Le spectre de Tchernobyl plane sur ce qui pourrait devenir le plus grand scandale sanitaire du 21e siècle, après le précédent quoi en a connus beaucoup.

Ces révélations, d’abord vite évacuées comme des « thèses complotistes » (le Pr. Montagnier fut accusé d’être un « complotiste gâteux » et ses travaux furent aussitôt discrédités et censurés dans les médias et sur les réseaux sociaux comme Facebook) ressemblent en tout cas à astéroïde géocroiseur qui vient périodiquement menacer la mare aux canards et autres médias alignés sur la doxa scientifique et médiatique officielle. Pour laquelle le coronavirus responsable du Covid, comme tous les autres coronavirus récents, ne peut être que le fruit d’un accident de la nature, une mutation observée lors de sa transmission zoonotique à l’homme : pangolin, chauve-souris, oie sauvage ou autre. Un scénario bien huilé et resservi de nombreuses fois à propos de plusieurs épidémies précédentes plus ou moins dangereuses ou létales, et réputées dues à une transmission zoonotique : grippe aviaire, grippe H1N1, SRAS, MERS, etc… La plupart de ces grippes à coronavirus étant supposées suivre peu ou prou le même modèle, même si cette hypothèse est remise en cause.

Une façon au passage de battre sa coulpe, puisque l’homme est accusé d’être responsable de ces déséquilibres qu’il cause au milieu animal en mettant en péril les grands équilibres écologiques et zoologiques de la planète pas une surproduction, une surconsommation, notamment de viande animale, la déforestation, la destruction des milieux naturels et le déplacement d’espèces animales qu’elles entraînent, exposant dangereusement les villes et les populations au risque de transmission de nouveaux virus véhiculés par certains animaux sauvages. Les sanglots de l’homme blanc en version Avatar

En pointant ainsi la responsabilité de l’homme à propos des mutations génétiques qui engendrent de nouveau virus et des maladies parfois mortelles qui mettent en péril sa santé, on entretient parmi les populations touchées une culpabilité bien utile pour leur imposer ensuite toutes sortes de maltraitements : matraquages médiatiques anxiogènes (l’un des outils de l’ingénierie sociale depuis un siècle), surveillance renforcée, isolement des individus suspects, distanciation sociale, port permanent de la muselière réglementaire, internement à domicile, ou dans de centres de confinement créés pour l’occasion, tests à répétition aussi inutiles qu’inefficaces (mais très rentables), servant à justifier des 2e, 3e ou nième « vagues » imaginaires qui laissent s’étouffer les épidémiologistes sérieux, elles-mêmes servant à justifier des reconfinements et couvre-feux sans fin, les fermetures arbitraires et totalement inutiles de lieux publics, restaurants, salles de sports, de spectacle et autres lieux récréatives qui eussent permis d’alléger le poids des mesures sanitaires, de la déprime générale et de la destruction des économies et des personnes jetées à la rue ou l’extrême pauvreté. Des mesures multipliées jusqu’à exaspérer les populations afin de les contraindre aller se faire tester, vacciner, revacciner, de se faire tracer par des applis de flicage numérique, de signer des attestations absurdes, de se munir d’un passeport santé, demain (ou dès aujourd’hui si l’on en croit Bill Gates) inclus dans les vaccins eux-mêmes grâce aux « smart dusts », puis d’être pucés et encore plus surveillés, de renoncer une à une à toutes leurs libertés.

Tout ça pour servir les intérêts des actionnaires de quelques labos cyniques et criminels. Et ceux des multinationales qui profitent de la redistribution économique et financière (le fameux Great Reset de Klaus Schwab) provoquée par ce choc épidémique.

Le pauvre petit pangolin a bon dos ! Comme toutes ces savantes théories scientifiques qui nous expliquent par le menu détail à propos des mécanismes de mutation génétique comment ce méchant coronavirus serait « apparu ». Face à toutes ces magouilles, ces crimes contre l’humanité et le bon sens, ce cynisme et cette obstination à nous rabaisser au rang chair à pâté pour chien de milliardaire.

L’éthique scientifique, médicale et pharmaceutique, mais aussi politique et médiatique, a du plomb dans l’aile : de nombreux acteurs scientifiques de premier plan comme Raoult, Perronne, Toussaint Toubiana, Fouché, ne cessent de le rappeler de semaines en semaines depuis un an et plus. Et derrière ces exemples flagrants de corruption manifeste se cache d’autres responsabilités : celles de scientifiques qui n’ont pas le courage ou l’intelligence de remettre en cause des théories qu’ils prennent pour acquises. En croyant toujours comme les foules ignares aux mythes de « l’objectivité », de la « rationalité » ou de la « vérité scientifique ».

Les théories du complot, auxiliaire de la propagande officielle

Emmanuel Macron, polichinelle façonné et propulsé au sommet de l’Etat par une oligarchie qui s’en sert depuis comme d’une poupée ventriloque, n’aurait jamais pu être conduit vers la victoire selon une pantomime bien huilée par avance au terme de son « élection » de 2017 sans un auxiliaire de scène indispensable appelée Marine Le Pen, hissée comme lui au second tour des présidentielles pour lui servir de repoussoir utile.

Ce jeune héros aux yeux bleus, au sourire Sensodyne et au verbe christique, ce sauveur providentiel de la démocratie fabriqué selon un storyboard rigoureux par des officines de marketing politique et des médias de propagande, n’aurait jamais pu conquérir la Toison d’or dans l’imaginaire romanesque de cette la fable électorale sans parfaire son mythe en s’opposant au personnage caricatural de la méchante sorcière échappée de son manoir hanté de Saint-Cloud pour répandre l’effroi et le mal sur le royaume de France.

Le spectacle pathétique offert par sa rivale lors du débat télévisé du second tour avaient des allures quasi providentielles : la méchante Maléficia « antisystème » se caricaturant elle-même alors qu’elle tentait de ridiculiser son adversaire en l’accusant d’être le jouet des lobbies.

De la même façon, tout discours officiel construit sur des mensonges mais érigé en dogme ou en vérité absolue n’aurait aucune chance de s’imposer face à la raison critique sans un épouvantail destiné à en perturber l’exercice et son levier corolaire d’ingénierie sociale bien connu : la peur et la culpabilité, érigées comme repoussoir inhibiteur face à des théories taxées d’hérésie, qui constituent l’envers caricatural honteux de ce pouvoir aussitôt réhabilité comme vertueux.

C’est le principe des théories du complot qui fleurissent de plus en plus en marge des discours officiels. Avant d’être récupérées par le pouvoir en place et les discours de propagande qui le soutiennent comme bouc émissaire commode sur lequel projeter le doute, le ressentiment, la colère et la violence plus ou moins légitimes du peuple envers les élites. Des ferments de révolte habilement retournés contre les fauteurs de troubles qui propagent ces rumeurs, accusés de vouloir injustement briser par des fausses révélations et de fausses théories la confiance entre ce peuple et ses élites.

Ainsi les théories du complot, même si elles ne sont pas véhiculées par le pouvoir lui-même mais prétendent au contraire en dévoiler le caractère illégitime hideux, spéculatif, criminel, imposteur, peuvent tout à fait à l’occasion s’avérer utiles à celui-ci.

Notamment quand elles sont détournées, raillées, grossies et discréditées pour entretenir par opposition l’illusion de sa vertu et de sa bonne foi. Ces théories et leurs promoteurs sont alors assimilées à des falsifications volontaires, des fake news, des calomnies, des propos délirants, paranoïaques, à des élucubrations construites de toutes pièces pour égarer les esprits naïfs, suspicieux, ou pour se faire mousser.

Présentées sous l’angle de l’invraisemblable, de l’obsession complotiste, et donc du pathologique opposée au bon sens, à la raison, comme des histoires effrayantes à dormir debout, fruit d’un imaginaire fertile et dérangé, les « théories complotistes » prêtent plutôt à rire et à hystériser les débats pour mieux es escamoter qu’à débattre sereinement du fond du sujet.

Ce qu’il faut comprendre c’est que le caractère vrai ou faux des théories importe en réalité fort peu. Le critère discriminant qui prévaut ici n’est pas la vérité mais la moralité. Laquelle sert à justifier une politique et la mise en œuvre de moyens selon des buts qui ne sont pas nécessairement ceux affichés mais qui paraissent justes. Puisque le pouvoir en question est accusé d’être immoral et illégitimité, il importe avant de tout de réasseoir dans l’esprit de l’opinion une image forte de moralité publique et de légitimité de l’autorité qu’il incarne. Sur la base du contrat social qui est supposé la fonder.

Ainsi dans l’exemple de la crise sanitaire du Covid-19, l’important n’est pas tant de déterminer sur le fond qui a raison ou tort, si les masques sont vraiment utiles pour empêcher la propagation du virus comme le prétend le Comité scientifique, une grande partie du corps médical et le gouvernement, ou s’ils sont inefficaces comme le répète depuis un an l’OMS sur la base d’observations statistiques, ni de savoir si l’hydroxychloroquine est vraiment efficace pour soigner la maladie comme l’ont démontré les essais cliniques réalisés par l’IHU de Marseille et une centaine d’autres partout dans le monde, ou si elle est inefficace voire dangereuse compte tenu d’importants effets secondaires comme ont tenté de le faire croire le laboratoire Gilead, les scientifiques et les médias qu’il a corrompus.

La recherche d’hypothétiques vérités scientifiques sur la base d’une méthode expérimentale et scientifique, et d’un consensus toujours fluctuant entre des experts chargés de les établir, n’est absolument pas l’enjeu. La vérité scientifique n’est plus aujourd’hui une valeur, si tant est qu’elle ne l’ait jamais été dans l’esprit de ceux qui s’y réfèrent. La vérité scientifique est un argument rhétorique et politique qui sert d’autres intérêts que ceux de la science, et d’autres valeurs. Comme l’efficacité, la rentabilité économique ou le profit au service d’un marché et de ses acteurs : celui de la santé, des laboratoires pharmaceutiques et de leurs actionnaires, engagés dans une compétition farouche pour se tailler des parts de marché et en récolter les dividendes. La vérité n’est vraiment pas leur souci. Seul importe quel chiffre d’affaires tel médicament présenté comme efficace pour soigner telle maladie est susceptible de générer.

Ainsi la vérité n’est qu’une affaire de discours et de rhétorique pour emporter un capital de confiance et des parts de marché, permettre à des partenaires de ces laboratoires, décideurs publics et institutionnels notamment souvent financés par eux, de valider des choix en matière de politique de santé qui leur soient favorables.

L’éthique, qu’elle soit médicale ou pharmaceutique, la déontologie, ne sont donc plus à proprement parler des priorités encore moins des fins en soi, mais des outils dans la palette de management de ces multinationales et de leurs dirigeants cyniques uniquement préoccupés de rentabilité à court terme.

Dès lors, peu importe que le caractère mensonger de leur prétention à guérir, l’efficacité ou l’innocuité réelle de leurs produits, ou le caractère ultra corruptif voire criminel de leurs méthodes soit avérés et puissent être révélés. L’important est que ces révélations ou ces rumeurs souvent fondées ne compromettent pas leurs objectifs. La vertu n’est pas plus un cadre qu’une exigence du management institutionnel pour ces grands labos. Lesquels ne se soucient même plus de se construire une image de bienfaiteurs de l’humanité. Ils ont d’ailleurs acté que toute contravention au droit et à l’éthique avait un coût. Et le budget contentieux et règlements juridiques fait depuis longtemps partie de leurs comptes d’exploitation prévisionnels, afin de couvrir les inévitables procès qui leur sont attentés compte tenu de leurs méthodes. Mais les niveaux de rentabilité dans le secteur pharmaceutique sont tels, avec des médicaments souvent très peu coûteux à produire et vendu 10 fois leur prix de revient voire beaucoup plus, que la part de leur chiffre d’affaires consacrée à financer des procès est relativement négligeable.

Dans ce bras de fer permanent qui ressemble au combat de David et Goliath entre Big Pharma et les lanceurs d’alertes ou les associations de victimes, l’occurrence des théories du complot est un élément providentiel. Il permet de plaquer et confirmer une image a priori négative pour tous ceux qui critiquent les labos, dont l’activité et l’utilisation de leur produits soumis à prescription est en principe encadrée par des autorités réputées intouchables : organismes de recherche, académies de médecine et de pharmacie, agences de santé publique, agences de délivrance du médicament, autorités de contrôle industriel et de pharmacovigilance, ordre des médecins, facultés de médecine et de pharmacie… A tel point qu’il devient très difficile de contester les pouvoirs en place soutenus par ces autorités.

Et ce même si aujourd’hui chacun est conscient que les modes de décision et de validation en matière de santé, entre pouvoir politique, pouvoir scientifique et pouvoir économique, laissent une place très grande à la corruption, compte tenu notamment de l’énorme pouvoir financier de ce dernier, et d’une stratégie systématique qui est la sienne de promouvoir ses intérêts et positions dominantes en ayant massivement recours à la corruption à tous les échelons décisionnels.

Face à de tels mastodontes et en dépit de leurs méthodes, les théories du complot apparaissent comme un adversaire bien dérisoire et vite balayé. D’autant qu’il est très facile quand on détient le pouvoir économique et financier de corrompre, de faire taire, d’éliminer ces perturbateurs ou d’acheter les juges pour réduire au silence les agitateurs de consciences importuns.

Qui plus est, quand elles sont le fait d’un seul homme ou d’un groupe isolé, relayées par des réseaux souterrains sous les traits de la rumeur, du bouche-à-oreille, aujourd’hui par des chaînes YouTube ou des groupes sur les réseaux sociaux, sans véritable légitimité, sans caractère officiel, sans professionnalisme avéré, ni caution académique pour en garantir la pertinence. Il est encore plus facile de les tourner en dérision. Surtout quand c’est une autorité reconnue qui se charge de prononcer cette condamnation en hérésie.

Ainsi lors la crise sanitaire de 2020, des autorités scientifiques, médicales, universitaires, professionnelles, politiques et médiatiques furent très largement et dès le début mises à contribution dans les médias pour instruire le procès en accusation contre ces dangereux « complotistes », accusés de propager de fausses rumeurs, d’égarer les esprits, de relativiser ou de rassurer à tort les populations quant à la dangerosité du virus et de l’épidémie. Des menteurs, des affabulateurs, des fous, des inconscients, des criminels, des mauvais citoyens, des ennemis de la raison, de la santé, de la nation ou d’humanité. Rien que ça.

Il était en effet essentiel de faire croire aux braves gens déboussolés qu’il ne fallait surtout pas prêter attention à ce genre de théories vénéneuses, mais au contraire les condamner et les exorciser de leurs consciences. Au nom de la raison, de la vérité scientifique et de l’intérêt général.

Peu importe l’iniquité de tels procès dignes de ceux de Moscou contre une partie du corps médical, y compris parmi les plus éminents spécialistes. Sur l’origine controversée du virus avec le Professeur Montagnier, sur la responsabilité de la France et celle de l’Institut Pasteur dans la fabrication en laboratoire du virus avec le Professeur Fourtillan, sur les traitements efficaces contre le Covid-19 avec le Professeur Raoult et cette cabale incroyable orchestrée par le lobby pharmaceutique contre les travaux de son équipe sur l’hydroxychloroquine, sur les erreurs et les mensonges des politiques et des autorités sanitaires avec le Professeur Perronne, sur la dangerosité des nouveaux vaccins avec le Docteur Louis Fouché, le Docteur Henrion-Caude ou le Docteur Wolmer.

L’important étant de faire plus de bruit que ceux qui contestent les vérités officielles, par un martelage médiatique systématique relayé par les réseaux sociaux, une concurrence de buzz, avec un rapport de forces déséquilibré entre l’autorité publique et ses détracteurs, accusés de mensonges, de complotisme, de charlatanisme (comme Didier Raoult par le Conseil de l’Ordre) et d’hérésie scientifique.

Ce rapport de forces biaisé et hypocrite entre un pouvoir objectivement enfermé dans une attitude coupable, mensongère, corrompue et délictueuse sinon criminelle, prétendant incarner l’autorité, la légitimité, la vertu, le bon droit, la vérité et œuvrer pour l’intérêt général, et quelques détracteurs présentés a priori comme minoritaires ou isolés, ne représentant que leur seule parole et désavoués par leurs pairs, frondeurs, illégitimes, menteurs, ou répandant des thèses ne reposant sur rien de concret assimilées à des « théories du complot », repose non pas sur un débat entre arguments scientifiques évalués par une autorité impartiale, ni même soumis à l’appréciation de tous, mais sur des discours et des accusations ad hoc jetés en pâture à l’opinion, comme dans une farce de Molière ou une tragédie antique.

In fine c’est à la plèbe, flattée par le pouvoir et manipulée par les médias, et donc à la pauvre victime déclarée, qu’il revient de prononcer le jugement et de rétablir la vérité, en confirmant sa « souveraineté » et son penchant majoritaire pour la sagesse et la raison à coup de sondages tripatouillés. Une façon de résoudre la crise d’autorité implicite et de court-circuiter toute velléité frondeuse en confirmant finalement la bonne foi et le bien-fondé des décisions prises par nos bons médecins, notre bon Prince et de ses bons ministres. Et en condamnant de facto à l’opprobre public, aux basses fosses de la dérision et de l’ignominie, les méchants sorciers affabulateurs, jeteurs de sort et complices de ceux qui propagent la méchante peste.

Comme dans la fable du pangolin et de la chauve-souris sur l’origine zoonose du virus, le procès des hérétiques est un épisode joué d’avance, surjoué et rejoué à l’infini par les acteurs chargés de l’incarner pour occuper la populace. Comme ces bateleurs publics qui rejouent indéfiniment la saga des mythes héroïques tirés des récits d’Homère et autres Avengers hollywoodiens.

Les théories du complot sont comme des contes. Les bons et les méchants sont toujours les mêmes. Il est donc très pratique de les retourner pour en faire des repoussoirs et des machines d’ingénierie sociale afin de manipuler et retourner l’opinion, la canaliser dans les couloirs vertueux de la Pensée unique, et contenir le débat public derrière des bornes bien balisées et acceptables par le pouvoir, qui ne risquent pas de remettre en cause son action et sa légitimité selon le Droit et des grands principes.

Ces manipulations sont au cœur de l’illusion de démocratie propre à la société du spectacle dans laquelle nous sommes entretenus depuis des décennies. On met en scène une histoire, une dramaturgie et des faux débats pour occuper les esprits et bavasser sur des sujets-leurres. Comme l’écologie, le racisme, le séparatisme, la pédophilie ou les féminicides… Ou la dernière petite phrase clivante de tel ou tel ministre. Non que ces sujets n’aient pas leur importance. Mais ils permettent avant tout de dévier l’attention du public des vrais sujets plus épineux, que le pouvoir en place ne souhaite surtout pas aborder. Occuper ainsi la scène médiatique, les intellectuels de cour et les talk-shows pour neuneux, saturer les discours, afin de masquer les vrais enjeux et d’éloigner les consciences des zones d’ombres où le pouvoir peut exercer ses manœuvres et poursuivre ses buts en toute liberté, sans attirer curiosités et critiques.

Tout ce qui se situe hors du périmètre discursif et éthique autorisé, soigneusement évité par les médias officiels et les intellectuels de cour gardiens du temple de la Doxa, dans cette zone d’ombre qui échappe à la loi et à l’exercice de la démocratie, relève indifféremment donc tous pour ceux qui oseraient s’y aventurer des « théories du complot« .

Journalistes d’investigation et médias indépendants ? Chercheurs autodidactes ? Lanceurs d’alertes ?… Tous « complotistes » !

Il n’y aucun intermédiaire, aucune nuance possible dans cet ordonnancement manichéen de la vérité, qui oppose la parole officielle – forcément juste, vraie, loyale, dévouée à sa mission – et la controverse illicite qui dévie des canons du « débat » imposé – forcément hérétique, infondée, déviante, criminelle ou pathologique. Débat imposé qui n’est qu’une mise en scène destinée à conforter le pouvoir en calibrant les critiques, les petites impertinences et bouffonneries envers le fait du Prince.

Réappropriées, amplifiées, déformées, caricaturées et amalgamées par les défenseurs du pouvoir et de la Doxa officielle, les théories du complot servent donc de bouillon corrosif et émétique pour dissuader les plus suspicieux de trop y goûter. Et d’accessoire commode au pouvoir pour conforter ses discours et son autorité.

C’est même un outil rhétorique et politique du pouvoir en soi. Puisque la notion même de « théorie du complot » qui suppose l’existence de tels complots et prétend que ceux-ci sont le fait d’un pouvoir occulte ou dissimulé derrière le pouvoir apparent, n’est désignée par nature que comme une théorie. Et qu’elle ne repose donc sur rien de factuel et de vérifié, sans quoi elle ne serait plus une théorie, un axiome, une hypothèse, une supposition, mais bien une suite logique de faits avérés, et donc une réalité. En somme, la théorie du complot serait condamnée à n’être qu’un spectre, une chimère, un drame imaginaire toujours rejoué. Ce qui en soin constitue de façon ironique une théorie du complot… Ceux qui en accusent d’autres de souscrire à des théories du complot sont eux-mêmes des complotistes puisqu’ils voient dans leurs détracteurs un gigantesque complot de complotistes qui ourdissent des complots intellectuels pour leur contester leur pouvoir et leur probité. L’arroseur arrosé.

Ce rapport de fascination mimétique entre les prétendus complotistes et d’authentiques comploteurs qui s’arrangent entre eux pour retourner sur les premiers l’accusation de complot en prenant l’opinion à témoin a quelque chose de dérisoire et de comique. Une sorte de jeu de cour de récré du style « c’est pas loi c’est lui ! » pour savoir qui est le plus gros menteur. Un jeu de dupes qui ne gruge que les imbéciles et les faux-culs.

Or des complots politiques, il en a toujours existé. De grand empires de l’Antiquité aux récentes élections américaines, en passant par Sun Tse, Néron, Machiavel, les Borgia, les Médicis, Shakespeare, la Révolution française, les Procès de Moscou, la saga des Kennedy ou les liens entre CIA et Al Qaeda, il n’y a pas un pays ni une époque de l’Histoire qui y ait échappé.

La nature humaine et la politique étant ainsi faites, il serait vraiment très naïf de croire qu’il puisse exister un quelconque pouvoir qui soit totalement exempt d’intrigues et de complots. La seule question qui vaille c’est quels types de complots ? Qui les ourdit ? Au nom de quels intérêts ? Comment ? Avec quels moyens ? Quels discours ? Et dans quels buts ?

Et surtout comment s’arrange-t-on habilement pour faire en sorte qu’un « complot », serviteur le plus commun de l’appétit de pouvoir, de l’ambition ou de la cupidité, rende possible de faire basculer l’Histoire et de manipuler des institutions et des rapports de forces à son avantage ? Tout en ne paraissant jamais en être un. Mais comment s’y prend-on au contraire pour faire en sorte que la manœuvre employée et ce qu’elle comporte de répréhensible s’apparente à une légitimité, continuité, une normalité, une cause juste ou un bien supérieur ?

Engeôlés dans la mauvaise conscience, la cécité morale, le politiquement correct et les bons sentiments, les politiques et les médias voudraient nous faire croire que non seulement ils n’ont pas d’autre ambition à titre personnel que de servir la France, mais en plus que Marianne serait éternellement drapée dans une vertu virginale hiératique, telle une vestale grecque ou une sainte carmélite. Or qu’apprennent ces braves professionnels de l’embobinage à Sciences Po ? Si ce n’est à passer leur vie à se mêler aux bons complots pour servir leur carrière. A emprunter les bons courants, infiltrer les bons cercles, convoiter les bonnes places. A jurer fidélité à des mentors utiles pour mieux les assassiner ensuite. A distiller méchancetés et calomnies sur leurs rivaux. A utiliser intelligemment les cagnottes publiques pour servir leur intérêt personnel. Et à cacher au bon peuple une fois arrivés au pouvoir des vérités pas toujours bonnes à dire, au nom du secret défense ou de la raison d’Etat

Et l’on voudrait nous faire avaler que ce qui vise à nous en dire plus sur cela tout cela ne constituerait qu’une sale histoire de « théories du complot » ? Allons bon ! C’est au contraire le noyau dur et tout l’art du politique. Qui n’est pas un métier d’enfants de chœur, encore moins cette jolie fable d’une cause noble réservée à des âmes élevées, qui se résumerait au « gouvernement des affaires de la cité » (polis), comme les petits maîtres en sciences politiques nous le ressassent. Des berceuses alambiquées pour endormir les simples d’esprit.

Au final ce que cache ces théories du complot et leur réfutation, ce n’est pas des crimes et des des déviances dans l’exercice déclaré orthodoxe du pouvoir dont chacun a parfaitement conscience. Ce n’est même pas le scandale de l’hypocrisie consensuelle qui les recouvrent, au nom d’un prétendu intérêt général qui n’est que l’entendement de quelques élites autour d’objectifs et d’intérêts communs maquillés en projet éthique.

Ce que révèle la persistance des théories du complot, c’est le retour du refoulé de l’éthique collective et de la morale publique. Et le mensonge sur un contrat social perverti depuis longtemps par les élites qui en sort héritières. L’obsession des affaires et la soi-disant « moralisation de la vie politique » qui prétend y apporter remède n’est qu’une mascarade dans les jeux du pouvoir et des contre-pouvoirs pour faire oublier que celles-ci ont totalement disparu. Et que face à ce vide éthique et de sens le peuple réclame un aggiornamento sans oser en préciser la forme.

Le peuple se rue à l’occasion et se repait de ces affaires et de cs théories du complot qui discréditent les élites au pouvoir comme dans une fête foraine où il peut décompenser son ressentiment accumulé contre elles. Mais sans jamais vraiment oser remettre en cause fondamentalement leur légitimité. L’échafaud électoral en cas de haine concentré sur un candidat sortant est un succédané de guillotine. Mais le peuple français qui n’a jamais été réellement démocrate sinon en apparences et est resté au fond monarchiste aime à se rejouer éternellement la tragédie du régicide, sans jamais passer à l’acte, ni remettre en cause la légitimité de son autorité.

Le cas de conscience majeur que nous vivons, c’est celui d’un système qui a cessé depuis longtemps de fonctionné, a été kidnappé par une caste élitiste pour servir ses intérêts et non le peuple ou la nation dans un simulacre de démocratie totalement fallacieux. Avec un peuple qui n’a plus aucun moyen d’expression pour dire non à cette imposture que la rue. Et encore, cette option est désormais rendue impossible par la dictature sanitaire mise en place au prétexte de lutter contre l’épidémie de Covid, et l’interdiction de manifester qui en découle.

Ne reste plus que le terrain de la morale. Lui aussi pipé par les discours admis ou interdits. Ce rapport de forces autour des « théories du complot » est donc l’ultime rempart dans une guerre menée par les élites cotre le peuple pour les asservir en totalité. Et non contre un virus sans réelle gravité transformé en étendard de la Grande Terreur, et une épidémie qui ne tue que 0,05% de la population, mais au nom de laquelle on déploie un arsenal de mesures liberticides jamais mis en oeuvre dans toute l’Histoire, même au temps des grandes pestes médiévales qui avaient décimé plus du quart de la population européenne.

Mais cette lutte perdue d’avance au nom du bien et du mal ne conduira à rien. Car l’enjeu n’est pas manichéen, à savoir qui a tort ou raison, qui dit vrai ou faux ou si telle décision est bien ou male. L’enjeu est le Sens. Tout d’abord quel ressenti nous attachons-nous ? A ces peurs fabriquées pour nous soumettre ? A la souffrance que les décision absurdes qui sont prises génèrent en chacun de nous ? Ou à la soit d’autre chose qu’elles attisent au fond de nos consciences meurtries ? Ressenti mais aussi Direction : où allons-nous aujourd’hui ? Où ces politiques iniques nous conduisent-elles ? Et comment infléchir le cap pour revenir au supportable, sinon à la raison ? Nous, Français. Et surtout nous, humains. Ressenti, Direction, mais aussi Signification : quel sens donner à ces épreuves ? A quel Sens collectif décidons-nous de nous rallier pour orienter notre destin commun ? Quelles valeurs choisissons-nous d’adopter, et surtout d’appliquer pour orienter nos engagements et leur donner force, cohérence, efficacité au nom du bien commun ?

On le comprend : il est urgent d’aller bien au-delà du bien et du mal, c’est à dire du Jugement. De sortir des cavernes et des nimbes de la conscience, des rumeurs et des complots pur accéder à la pleine conscience de la Révélation. Non pas tant la révélation des fautes commises par certains, des crimes et des culpabilités, en vue d’un quelconque châtiment expiatoire qui ne ferait qu’on préparer la répétition selon les lois du mimétisme. Mais des mécanismes qui nous ont conduits à les laisser se déployer. Jusqu’à nous conduire dans ces enfers où nous nous abîmons aujourd’hui.

Et de voir par contrepoint comment nous en sortir collectivement. Sans attendre en endurant que les choses se dénouent d’elles-mêmes. Sans chercher à renverser la table et faire la révolution, ou des procès sanglants. Mais en utilisant les mêmes énergies, les mêmes moyens, pour servir un avenir collectif lumineux et des desseins librement consentis.

Cela s’appelle l’Eveil. Au-delà duquel il n’y a plus de théories mais la pleine conscience de ce qui Est. Et de l’expérience que nous en faisons librement, collectivement et consciemment. Plus de complots puisque tout se réalise en pleine lumière. Plus de rapport de forces mais une conjonctions d’efforts communs vers le bien commun à l’échelle du monde, admis comme la seul voie possible et profitable à tous, c’est à dire à toute notre espèce, et non plus seulement une élite, une nation ou une catégorie d’humains déclarés a priori supérieurs ou plus favorisés que d’autres.