Ebola : Le retour de l’intox

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Voilà des mois qu’on nous bassine avec Ebola.

Et pas un jour ne se passe maintenant sans que tous les médias mainstream entretiennent la psychose en faisant leurs unes sur Ebola : 55 minutes par heure la semaine dernière sur BFM TV. Contre 10 secondes sur les manifs géantes à Hong Kong pour réclamer plus de démocratie : du jamais vu pourtant depuis Tian’anmen en 1989 !

Deux poids deux mesures. Sur-désinformation d’un côté et manipulation des consciences d’un côté, politique de l’autruche de l’autre.

La raison de ce gap stupéfiant ? Business is business voyons !

Pour ne pas être accusé de partialité, voici les faits.

Ebola n’a tué jusqu’à présent que quelques milliers de personnes depuis son apparition (788 formellement identifiés et attribuables à Ebola selon l’OMS) : une broutille si l’on compare aux centaines de milliers de morts victimes de la malaria chaque année. Et du sida qui touche 40 millions de séropositifs dans le monde.

Comme la grippe aviaire, comme le SRAS, comme H1N1 et comme d’autres épidémies qu’on nous annonce déjà pour bientôt, c’est un peu comme les crises financières en cascade qui font leur come-back tous les 3 ou 4 ans depuis 2008. Et sur lesquelles spéculent allègrement les financiers de Wall Street.

Comme me le rappelait lors de la faillite de Lehmann Brothers un ami éditeur de « La Lettre », une publication confidentielle de stratégie adressée à tous les décideurs français : « Mon pauvre Christophe, tu penses que les banques et les traders vont tirer les leçons de cette crise ? Mais elles spéculent déjà sur la prochaine !…  »

Pour les épidémies c’est un peu le même topo.

Mon premier métier était consultant en stratégie chez ABC, un cabinet de conseil de direction créé par 4 anciens McKinsey et dont l’un des principaux clients était Rhône Poulenc Santé. J’ai bossé par ailleurs pendant 10 ans avec des clients du secteur pharma et en connais fort bien les rouages.

Plus tard j’ai travaillé à AIDES et côtoyé ceux qui au ministère ou au sein des directions de labos élaboraient la stratégie prophylactique et curative pour tenter d’enrayer cette sinistre épidémie de sida qui a emporté à l’époque beaucoup de mes amis.

J’ai aussi entamé un doctorat de sciences sociales à l’EHESS et mon sujet de recherche était l’éthique des affaires dans le secteur pharma. Je connais donc bien la musique.

Ce matin encore je discutais avec deux amis médecins à propos d’Ebola.

Ce qu’il faut comprendre c’est que presque tous les labos spéculent allègrement non pas sur des traitements qui guérissent mais sur des molécules qui rapportent.

Pour cela ils manipulent allègrement opinions publiques et décideurs institutionnels, achètent les « prescripteurs » (les médecins) grâce à une armada de visiteurs médicaux très bien formés et très bien payés afin de les convaincre de prescrire leurs médicaments. Voire s’adonnent à des pratiques de corruption active pour soudoyer les médecins les plus influents et les leaders d’opinion en matière de santé publique afin de favoriser leur stratégie commerciale face à leurs concurrents.

Car l’industrie pharma est l’un des secteurs économiques où la compétition est des plus féroces . Et où les bénéfices sont les plus gigantesques, avec la finance, le pétrole et l’armement.

S’agissant des épidémies je sais que beaucoup auront peine à me croire, mais bon nombre de labos n’hésitent pas à spéculer sur des épidémies afin d’écouler à prix fort leurs stocks de vaccins et de traitements vite bidouillés, plus ou moins efficaces et plus ou moins dangereux en terme d’effets secondaires.

On l’a vu avec H1N1 et la gabegie politique et économique que la pression entretenue sur les gouvernements du monde entier pour vendre des milliards de vaccins a entraîné : Roselyne Bachelot, alors ministre de la santé de Sarkozy, doit encore s’en mordre les doigts…

Ce qu’on sait moins c’est que le laboratoire qui détenait l’exclusivité de la licence du Tamiflu, le seul traitement sensé être efficace pour guérir cette grippe et qui a vendu sous licence des milliards de boîtes de Tamiflu via des labos partenaires, avait alors pour CEO et principal actionnaire un certain Donald Rumsfeld : néoconservateur américain, co-inventeur du concept de « guerre préventive » et ex-secrétaire d’Etat sous l’administration Bush, fervent partisan des guerres conduites en Afghanistan et en Irak notamment. Vous me suivez ?…

Plus troublant encore H1N1 est un virus « mutant » (génétiquement modifié ?), à peine différent de celui de la grippe espagnole, qui avait disparu en 1918 après avoir décimé des centaines de millions d’êtres humains. Contrairement à la tuberculose dont certains foyers étaient restés actifs et qui a réapparu ces dernières années notamment chez les personnes SDF.

Le virus de la grippe espagnole a ainsi réapparu « miraculeusement » au Mexique en mars 2009 : du jamais vu de mémoire d’épidémiologiste ! Suscitant alors Outre-Atlantique puis à l’échelle planétaire une panique sans précédent et abondamment entretenue par les médias pro-républicains américains (eux-mêmes détenus pour beaucoup par des industriels de l’armement).

Seule question à se poser dès lors : « A qui profite le crime ? »

Aux labos et à leurs actionnaires qui ont vendu des milliards de vaccins et de molécules aux gouvernements américains, européens et chinois. La France n’était alors pas la seule à « tomber dans le panneau ». Et Sarkozy pressé de mettre en place une campagne de vaccination massive de la population française, a sans doute rendu un fier service à ses amis Bush et consorts dont il est l’intime.

Le même scénario est en train de se déployer tranquillement sous nos yeux ébaubis et ignorants des « ins and outs » de cette stratégie à l’œuvre pour nous faire avaler la couleuvre.

D’abord on nous annonce une nouvelle épidémie. Ensuite on compte les premiers morts. Puis on agite la peur en précisant que la menace se rapproche de nos frontières. On commente abondamment chaque décès et chaque cas hospitalisé. On prétend d’abord qu’il n’y a aucun traitement. Et puis miracle ! Pas plus tard qu’hier on nous annonçait à 15h30 sur BFM TV que la femme hospitalisée à Madrid avait reçu un traitement jugé efficace et que son cas s’était sensiblement amélioré…

La suite, vous la devinez.

Donc ne soyons pas naïfs, arrêtons de croire tout ce que les médias nous racontent et sachons raison garder. Cette manipulation va encore atteindre ses buts : psychose et dollars à la clé.

O tempora, o mores !

le « cas » Zemmour

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Éric Zemmour est exécré par beaucoup, ici et ailleurs.

A raison : il cherche sans cesse et délibérément à provoquer, à prendre le contre-pied de la pensée dominante, de l’esprit bobo et racoleur des médias et des maitres à penser de l’époque. Et se singularise par une complaisance coupable et outrancière à l’égard des idées les plus populistes voire extrémistes du paysage politique français.

Sur le principe, se démarquer du discours dominant et chercher des vérités alternatives est plutôt une qualité intellectuelle. Pour un journaliste c’est même a priori un exercice salutaire et une exigence qui témoignent d’une lucidité sans complaisance à l’égard du Zeitgeist.

Mais sur le fond il s’égare, perd toute crédibilité intellectuelle, tout sens critique et éthique. Il tord la réalité pour l’amener à ses propres fantasmes et fixations obsessionnelles : sur l’immigration, sur l’Islam, sur la gauche, sur Mai 68, sur la culture, la jeunesse, le rap ou les banlieues.

Il s’en prend à tous et n’épargne personne, surtout pas ceux qu’on célèbre, qu’il doit sans doute envier, encore moins les vrais penseurs et les vrais écrivains, dont il jalouse vraisemblablement la hauteur et la notoriété.

Au lieu de faire du journalisme avec un souci d’objectivité et de rigueur, de croiser et de citer ses sources et de tenter d’élaborer une vision « positive » de la société et des enjeux contemporains, il se contente de renvoyer l’image d’un monde chaotique, d’un pays en déclin, d’un avenir bouché et apocalyptique, d’une classe politique coupable de précipiter la nation droit dans le mur.

Et de désigner avec hargne tous les coupables. Notamment ces « idéologues » de la gauche, des idéaux libertaires, et leur idéologie « déconstructiviste » héritière de Foucault et chère aux bobos, dans leur jeunesse si prompts à contester la société bourgeoise et capitaliste. Ces enfants gâtés et hédonistes embarqués dans la grande récré révolutionnaire de Mai 68.

9782226254757gAinsi Deleuze et Guattari, qu’il stigmatise dans son dernier livre Le Suicide français comme les promoteurs d’une idéologie qui aurait inspiré toute une génération pressée de virer à coup de pavés le vieux Général, et dont l’inconscience devenue doxa majoritaire une fois ces agités boboifiés et arrivés au pouvoir aurait ruiné le pays, détruit ses valeurs et sonné le glas définitif de la « civilisation » française.

Dans cette entreprise de critique radicale et souvent violente des erreurs des siècles passé et présent, dans cette volonté de déverser une haine nostalgique envers un 21e siècle qu’il dit détester, il en vient à livrer un pastiche désenchanté du réel, angoissé, ultrapessimiste et très subjectif, voire consciemment malhonnête.

Et flirte délibérément avec des idées nauséabondes qu’on voit hélas faire florès aujourd’hui en ces temps de « crise systémique », de confusion, de dépression, de cynisme, d’individualisme et de plongée sombre de nos esprits égarés et de l’âme française dans les abysses les plus glauques de l’Histoire. « Climat de guerre civile » assène-t-il ? Sur ce point comment lui donner tort, hélas, hélas, hélas ?…

Car entre le constat, en partie fondé et les conclusions, Zemmour choisit le parti du pire. Quant aux remèdes il n’en propose absolument aucun. Et se défend qu’on on le lui reproche en arguant qu’il n’est qu’un « essayiste » et non un politicien. Simple prophète de l’apocalypse et ayatollah de l’anticommunautarisme qui emprunte aux extrémistes de droite leur rhétorique « antisystème ».

Ce faisant il suscite révolte, indignation, ulcération, nausée.

Un juif séfarade qui drague pour le Rassemblement bleu Marine et défend Vichy, c’est non seulement absurde mais aussi totalement odieux. Et pitoyable.

Depuis qu’il occupe le devant de la scène médiatique il n’a cessé de pousser l’outrance toujours plus loin jusqu’à devenir abject. Ex-membre du tandem Zemmour-Naulleau dans l’émission On N’est Pas Couché sur France 2, il en a été viré en 2011 à la demande de Catherine Barma, productrice de l’émission, suite à des affrontements violents avec des invités qui lui ont valu de multiples plaintes d’auditeurs indignés, et ce malgré l’amitié indéfectible que lui vouent Laurent Ruquier et son partenaire Eric Naulleau en dépit de leurs désaccords politiques.

Ses livres sont en général moins caricaturaux et outranciers que le personnage de polémiste audiovisuel ou ses chroniques. Car il prétend réfléchir. En tout cas il  sait écrire.

Mais Zemmour s’arrête au surgeon. Pour mieux dissimuler la propagande qu’il relaie sous un fatras d’écrivassier et une pseudo analyse historique vite bâclée.

Zemmour n’est pas historien, lui-même ne le revendique pas. Mais un vulgaire chroniqueur télé et un polémiste agacé.

Zemmour n’élabore pas une pensée ; tout juste ne fait-il que produire une poussée.

Ses touches d’escrimeur verbeux ne sont en général pas dépourvues de pertinence. Même si les préjugés à l’emporte-pièce et le parti pris idéologique brouillent sa vision du réel et l’emportent toujours sur l’objectivité et la rigueur de l’analyse.

On peut et on doit ne pas être d’accord avec lui, combattre cette idéologie décliniste, passéiste et qui sent le soufre. Même si force est de reconnaître que même s’il n’est ni l’étoffe d’un vrai philosophe comme Finkielkraut ni d’un historien comme Paxton – qu’il torpille dans son dernier livre – ou même d’un essayiste qui ferait sens et qu’il prétend être comme Jacques Attali, Zemmour est un polémiste qui a un certain talent intellectuel indépendamment de ses positions indéfendables.

Zemmour restait encore relativement fréquentable il y a quelques années. Mais aujourd’hui son personnage de trublion des plateaux télé qu’il s’est taillé pour exister, son outrance verbale, ses provocations systématiques, sa surenchère permanente, sa sympathie à peine voilée pour les idées extrémistes et antisémites du FN, sa façon d’en relayer la propagande et de réhabiliter par le détour le régime de Vichy sur fond de préférence nationale le rendent infréquentable et abject.

Sera-t-il demain le teckel de l’immonde Dieudonné ? Qui sait, on peut désormais s’attendre à tout…

Car comment peut-il désormais continuer à pousser le bouchon trop loin ? Inviter le Mémorial de la Shoah de Yad Vashem à Jérusalem à nommer Pétain « Juste parmi les Nations » comme ironise Charles Enderlin sur sa page Facebook ? Devenir le biographe thuriféraire de Jean-Marie Le Pen ? Et pourquoi pas réhabiliter Hitler comme un prophète visionnaire qui aurait voulu sauver l’Occident de l’apocalypse bolchevique ? Et dont son idole Vladimir Poutine serait aujourd’hui l’avatar hybride du Führer et du Petit père des peuples ?

Nous assistons en tout cas en direct à l’autopsie d’un naufrage intellectuel et moral.

Quel gâchis et quelle honte !

Car on ne peut le nier, Zemmour est un homme intelligent, même s’il est gouverné par ses affects et hanté par ses propres démons. La mauvaise conscience. Le ressentiment. La frustration existentielle. L’abdication morale et politique devant les sirènes de la rancœur et les succubes de l’apocalypse.

Zemmour déploie sa fascination grossière pour Bonaparte et le Général. Même si l’on sent poindre entre les lignes un grief cuisant, un reproche inavouable, une ire contenue contre le héros de la France libre qui aurait trahi les Français et sacrifié rapatriés et harkis en livrant l’Algérie française aux mains de ses bourreaux indépendantistes.

Zemmour n’est nullement gaulliste. D’ailleurs il travestit et dénature la statue du héros de la France. En fait un héritier de Maurras. Se réapproprie le mythe pour l’asseoir au beau milieu du panthéon lepéniste. Quelle magistrale imposture !

Une sympathie vite refoulée pour l’OAS?… Qui se conjugue à des prévenances et des excuses manipulatrices pour l’extrême droite française. Accusée à tort par la gauche d’avoir fomenté les attentats antisémites de la rue Copernic, de la rue des Rosiers, la profanation du cimetière de Carpentras ou l’assassinat des écoliers juifs de Toulouse.

Car si l’on met en perspective son discours trompeur, on démasque l’illusionniste et on révèle le propagandiste.

Zemmour maquille derrière un paravent d’outrances calculées l’idée que l’ennemi de la France c’est le Musulman. Allié indéfectible au nom de la solidarité de l’Oumma des terroristes du Fatah, des mollahs iraniens, des barbares du Hamas, des stratèges d’Al Qaeda, des djihadistes de Daech et de leurs financiers qataris, saoudiens ou turcs.

Le Rubicon qui sépare Zemmour de Dieudonné, Faurisson, Soral ou Meyssan, c’est le soutien aux terroristes. S’il a des mots durs pour l’arrogance des dirigeants sionistes, Zemmour reste un Juif. Et ne peut donc sacrifier sa judéité sur l’autel de la haine du Musulman. Vendre la terre de Sion et l’héritage de la Haskala (Les Lumières du Judaïsme), dont il n’est pourtant pas l’héritier contrairement à l’Ashkénaze Finkielkraut, à une poignée de barbares qui ont juré de décapiter tous les sionistes et leurs alliés croisés.

N’empêche. La ligne rouge est franchie. Celle qui sépare l’honnêteté morale et le vrai patriotisme du pacte avec le diable.

Pour continuer exister dans le landerneau médiatique franchouille, Zemmour a choisi de céder à la tentation faustienne. Sauf que Faust après avoir consacré sa vie à la Connaissance, s’était épris de la jeunesse et de la beauté. Et voulait vivre pour en jouir enfin, au soir de sa vie. Zemmour lui se noie dans la laideur et l’ignominie. Conchie les jeunes. Et ignore le Beau, qui élève et exalte au lieu d’abaisser l’âme dans les plus sombres chakras.

Son dieu n’est pas la Vérité, la Connaissance, la Justice, le Bien ou le Beau. Mais la Célébrité. Pour fasciner la populace, il se pare des habits d’un bouffon de farce sinistre, d’un spectre d’Halloween, D’une banshee dévorant l’âme des égarés dans les landes brumeuses et froides.

Délicieux dans le privé aux dires de ceux qui le connaissent sans pour autant partager ses opinions, Zemmour est abject en public. Et l’assume avec orgueil.

C’est un écrivain moyen et un réac aigri, qui ne comprend rien à l’époque dans laquelle il vit, la déteste lui préfère le Grand siècle.

Son erreur coupable est d’avoir fait le choix de vendre son âme au diable pour exister médiatiquement, construire sa propre notoriété et assurer sa propre gloire. Au risque de prendre le parti masochiste d’être détesté de tous.

Car comment croire que Zemmour ne serait habité que du seul désir d’être un apôtre désintéressé de la Vérité, contre vents et marées et selon un esprit de sacrifice ?

Quand on est un écrivain médiocre et qu’on le sait, quand on se contente de faire du journalisme polémique et racoleur, de chauffer l’audimat au lieu d’écrire de vrais livres (mais qui en écrit aujourd’hui alors qu’on n’a jamais autant publié ?…), on est sujet à toute les compromissions, intellectuelles ou morales.

Et si Zemmour fustige avec acharnement l’avachissement coupable de ses contemporains dans les caniveaux intellectuels de la pensée unique, de l’esprit du temps et de la bobasserie triomphante, c’est finalement pour mieux se vautrer dans les égouts les plus repoussants d’une idéologie qui renonce à toute pensée, à toute liberté, à toute crédibilité, à faire réellement autorité et à révéler le Sens.

« Ebola, Ebola? »: You’d better call your « Mammon »!…

What a big bullshit!!!

Ebola is nothing but a big worlwide brainwash to prepare us to buy soon some vaccines and medecines… Nothing else!

Like H1N1, other flues, artificial epidemies and panics spread by labs and organized by governements to sell their shit and make huge profits out of our naïvety…

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FACTS: Ebola killed just a few thousands of people over 7+ billions or earthlians.

Whereas malaria kills EVERY YEAR HUNDREDS of THOUSANDS of people on this planet!!!

Have you recently seen any broadcast or documentary on mainstream TVs about malaria?…
No: never, nothing!

Have you seen any TV news about Ebola?…
YES, SEVERAL TIMES EVERY DAY!!!

So who’s bullshitting who?…

Such disinformation is part of a sheduled program of massive brainwashing to keep people like you and me into a permanent feeling of fear and anguish.

This is why mainstream TV networks are only broacasting news about wars, catastrophies, epidemies and threats of all kinds.

Apart from such dramatic news, what do we have to entertain us? Stupid series and reality shows? Stupid adds to consume? Stupid movies? mostly about war, violence or everyday struggle? And numerous documentaries about World War II, Staline & Hitler, etc, etc…

This is called « mass manipulation ».
A concept invented by sociologists in the early 20th century and a strategy applied to populations a few years after by dictators like Hitler and Staline.

Jesus has always warned us about the tricks and traps of « the powers of domination ».
And they have always been at work since the world has existed.

Jesus used to call « Mammon » the « demon » of Wealth, Posession and Money.

And actually, call it how you like but « Mammon » is still ruling the world.

So trust your own intelligence, get inspired by a spirit of awareness and wisdom, think by yourself…

And switch off TV.