LA DICTATURE POUR LES NULS

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Le rôle du politiquement correct, c’est de nous enfermer dans des discours et des croyances pour nous empêcher de prendre conscience de la réalité.

Et si nous changions notre vocabulaire pour nous adapter à la réalité ?

Désormais

Ne dites plus Coronavirus                                     Dites CORONACIRCUS
Ne dites plus Pandémie                                        Dites PLANDEMIE
Ne dites plus Lutte contre le Covid                       Dites GUERRE CONTRE L’HUMANITE
Ne dites plus Emmanuel Macron                           Dites TERMINATOR
Ne dites plus La République En Marche               Dites LA DICTATURE EN MARCHE
Ne dites plus La 5e République                             Dites LE 4E REICH
Ne dites plus Jean Castex                                      Dites HERMANN GOERING
Ne dites plus Olivier Véran                                     Dites DOCTEUR MENGELE
Ne dites plus Gérald Darmanin                              Dites HEINRICH HIMMLER
Ne dites plus Gabriel Attal                                      Dites JOSEPH GOEBBELS
Ne dites plus Education nationale,                        Dites PROGRAMMATION INITIALE
Ne dites plus Comité Scientifique,                         Dites MINISTERE DE LA VERITE
Ne dites plus Les médias,                                       Dites LA PROPAGANDE
Ne dites plus Checknews,                                       Dites MILICE DE LA PENSEE
Ne dites plus Mesures efficaces,                           Dites MESURES REPRESSIVES
Ne dites plus Masque,                                              Dites MUSELIERE
Ne dites plus Attestation dérogatoire de sortie,    Dites AUSWEIS
Ne dites plus Police,                           Dites GESTAPO
Ne dites plus Confinement,                                      Dites EMPRISONNEMENT
Ne dites plus Déconfinement,                                  Dites LIBERTE CONDITIONNELLE
Ne dites plus Visite en EHPAD,                               Dites PARLOIR
Ne dites plus Application TousAntiCovid,              Dites BRACELET ELECTRONIQUE
Ne dites plus Respect des consignes sanitaires,   Dites COLLABORATION
Ne dites plus Complotisme,                                      Dites RESISTANCE
Ne dites plus Service municipal sanitaire,              Dites CAMP DE CONCENTRATION
Ne dites plus Victimes du Covid,                             Dites GENOCIDE
Ne dites plus Les riches,                                          Dites LES DIEUX
Ne dites plus Les classes moyennes,                   Dites LES ESCLAVES
Ne dites plus Les pauvres,                                       Dites LES NUISIBLES
Ne dites plus Programme sanitaire,                        Dites SOLUTION FINALE
Ne dites plus Vaccin,                                                 Dites ZYKLON B
Ne dites plus Vaccination obligatoire,                     Dites EXTERMINATION PLANIFIEE
Ne dites plus Great Reset,                                        Dites EXPROPRIATION GLOBALE
Ne dites plus Nouveau Ordre Mondial,                    Dites DICTATURE PLANETAIRE

MESSA DA REQUIEM

Les 4 cavaliers de l’Apocalypse

Dans une tribune du 24 novembre 2020 intitulée Le sentiment de privation de la messe ne concerne que les catholiques les plus zélés, le journal Le Monde, tout empressé à servir comme un laquais le pouvoir qu’il a contribué à faire roi, tente de nous persuader que la querelle des messes, à savoir cette fronde d’une partie des catholiques pour exiger que les églises soient rouvertes malgré le confinement et qu’ils puissent se rendre à la messe, ne serait qu’un prurit ou un caprice de la frange la plus conservatrice des catholiques français.

La vérité c’est qu’il n’en est rien. Même s’il est vrai que les conservateurs sont plus attachés à exprimer leur foi sous la forme de la traditionnelle messe dominicale que les catholiques plus libéraux qui ne se rendent à l’église qu’occasionnellement.

« La messe » n’est cependant pas loin de là le seul enjeu dans cette affaire.

Le Projet de loi Savary sur la réforme de l’enseignement privé voulue par François Mitterrand en 1984 avait jeté plus de 2 millions de personnes dans la rue, entraînant l’abandon définitif du projet. En 2020, quoi de plus normal que certains citoyens croyants ou simplement attachés à la liberté de culte, un droit fondamental énoncé dans les grands principes de notre République laïque et garanti par notre Constitution, se mobilisent pour faire valoir ce droit ? Qui plus est dans une période d’exception où absolument toutes les libertés fondamentales ont été abolies ou drastiquement réduites de façon totalement arbitraire par une authentique dictature.

Rappelons que depuis le début de cette année, et même avant si l’on prend en compte le record de violences policières déplorées en réponse au mouvement des Gilets jaunes, la liberté de manifester, la liberté de se réunir, d’aller et venir, de voyager, la liberté de s’associer, de travailler, d’entreprendre, la liberté de conscience, d’opinion et d’expression, la liberté de la presse, et la liberté de culte ont toutes été gravement réduites et restent aujourd’hui menacées. Sous le prétexte de mesures sanitaires jugées pourtant inutiles, dangereuses, et contestées par une grande partie du corps médical et de la magistrature. 600 médecins et 1000 avocats sont ainsi aujourd’hui vent debout contre le gouvernement pour dénoncer ces mesures liberticides et ce qu’ils désignent comme une dictature sanitaire. Qu’il s’agisse de la distanciation sociale, du port du masque obligatoire, du traçage numérique, de l’attestation dérogatoire de déplacement, du confinement et du couvre-feu. Et de ces mesures répressives et punitives infondées, disproportionnées et en grande partie illégales mises en place pour les faire respecter : patrouilles de policiers casqués et en armes dans les lieux publics, contrôles, intimidations, violences, amendes, arrestations et détentions arbitraires, privations de libertés… Du jamais vu en France depuis l’Occupation et les sombres heures de la Gestapo et de la Milice de Vichy.

Quant à cette « dictature » qu’est devenue la France depuis cette année, ce n’est nullement une métaphore ou une expression exagérée. La France n’est pas la Suisse, par exemple. La réponse politique apportée à la même épidémie par les gouvernants des différents pays de notre continent diffère radicalement.

Depuis le 23 mars 2020 (et a priori au moins jusqu’au 15 février 2021), la France vit sous un « état d’urgence sanitaire« . Un concept qui n’existe nulle part dans le droit français ni dans le droit international. L’exécutif a donc les pleins pouvoirs. Comme en temps de guerre ou de péril majeur mettant en danger la nation.

Or une épidémie n’est pas une « guerre ». Un virus n’est pas un « ennemi ». C’est même une chose tout à fait banale qui se produit chaque année lors de la grippe saisonnière, causée par un coronavirus de la même famille que le SRAS-CoV-2 responsable du Covid-19.

« Nous sommes en guerre ! » Cette métaphore guerrière martelée à 5 reprises en mars dernier par le Président Macron dans son premier discours télévisé sur l’épidémie, a été interprétée à juste titre par une majorité d’analystes politiques comme un signal extrêmement préoccupant. De même que cette notion abusive « d’état d’urgence sanitaire » que rien ne peut justifier et qui fait implicitement référence au précédent état d’urgence décrété conformément à la Constitution par le Président Hollande suite aux attentats terroristes de 2015 et 2016. A l’époque la France était engagée militairement au sein d’une coalition internationale en Irak et en Syrie dans une guerre menée conjointement contre une organisation terroriste : l’Etat islamique. Ce qui n’est aucunement le cas aujourd’hui. Jamais dans notre Histoire une « guerre » n’a été déclarée contre une peste ou tout autre maladie. Un total non-sens du point de vue épidémiologique, juridique ou politique.

A moins qu’il ne s’agisse d’une tout autre guerre. Et que l’ennemi ne soit pas du tout celui désigné…

Plus grave encore est cette dérive autoritaire et même totalitaire de l’exécutif, qui met gravement en péril nos institutions, comme le dénoncent certains juristes et constitutionnalistes. Selon notre Constitution, la France est une République parlementaire. Le Parlement est le représentant du peuple, il est élu par lui au suffrage universel direct. Il représente le pouvoir législatif, discute et vote les lois proposées par le gouvernement ou élaborées en commissions. Il vote le budget de l’Etat, contrôle l’action du gouvernement, et le sanctionne en cas de non-respect des principes ou d’opposition de fond sur sa politique. Il est aussi le seul à pouvoir prononcer au titre de l’Article 68 de la Constitution la destitution du Président de la République en cas de faute grave.

Aujourd’hui le Parlement ne sert plus à rien. Bien que LREM le parti du Président ait la majorité absolue aux deux chambres, l’Assemblée comme le Sénat ne sont quasiment plus consultés. Le temps de parole des parlementaires lors des interventions, comme celui accordé pour discuter les lois et les amendements, ont été considérablement raccourcis. Beaucoup de parlementaires de l’opposition comme de la majorité s’en sont émus. Une vingtaine de députés et de sénateurs LREM ont quitté ce groupe depuis 2017, en exposant leurs divergences avec l’exécutif à propos de ces lois liberticides et de cette dérive autoritaire du régime.

Depuis mars, le gouvernement ne légifère, sur la politique sanitaire ou sur d’autres sujets, que par ordonnances ou par décrets. Il ne rend plus compte de son action devant Parlement, comme la Constitution le prévoit.

Il y a quelques semaines, le Ministre de la Santé Olivier Véran est venu en urgence à l’Assemblée pour intervenir dans une crise de nerfs hystérique mémorable, insultant et fustigeant les députés présents outrés à cause de leur manque de solidarité attendue envers les mesures décidées par le gouvernement dans les hôpitaux. Un esclandre d’autant plus irrespectueux et malvenu que le ministre est, avec le Premier ministre sortant Edouard Philippe et d’autres ministres, sous le coup de multiples procès attentés contre le gouvernement par des familles de victimes ou des collectifs excédés par les mesures prises depuis le début de l’épidémie.

Une scène qui est surtout très représentative de cette confiscation autoritaire du pouvoir législatif. Et donc de cette violation du principe de séparation des pouvoirs entre le législatif, l’exécutif et le judiciaire, qui constituait depuis Montesquieu le socle de notre démocratie. Aux yeux de certains magistrats français comme Maître Carlo Brusa, cette absence de séparation des pouvoirs est à elle seule du point de vue juridique ce qui définit une dictature ou une monarchie absolue, par opposition à un état de droit démocratique.

Plus grave encore, depuis quelques semaines le Conseil des ministres est suspendu. Toutes les décisions essentielles concernant par exemple les dates et les modalités du confinement ou du couvre-feu ont été prises par un Conseil de Défense réuni par Macron seul, et qui décide de tout. Ses membres se réunissent à huis clos. Ils sont strictement tenus au secret défense, comme en temps de guerre. Contrairement au Conseil des ministres, ce Conseil de Défense ne rend jamais compte à personne. Il ne fait aucun communiqué à la presse, ce qui est pourtant l’une des conditions de la respiration démocratique et de la confiance entre l’exécutif et le peuple. Pire encore, aucune de ses décisions, fussent-elles éminemment criminelles, ne sont opposables devant la Haute Cour de Justice, ni devant aucune autre juridiction !

On en vient même aussi à se demander si le Conseil Constitutionnel, le Conseil d’Etat et la Cour des Comptes existent toujours.

Quant à « l’opposition » politique (théorique), elle a été réduite à néant en 2017. Suite au dégagisme qui a mis à la retraite tout le vieux personnel politique, suite aux affaires qui ont entaché la campagne de 2017. Et surtout suite au rapt politique opéré sur les principaux partis (Parti Socialiste pour la gauche, Modem et UDI pour le centre, Les Républicains pour la droite) siphonnés par ce nouveau parti En Marche ! « ni de droite ni de gauche » créé par le candidat Macron juste avant les élections présidentielles. Et transformé en LREM lors des législatives de 2017.

Depuis 2017 la vie politique en France n’existe plus. Du fait de la majorité absolue de LREM au Parlement, d’une explosion des grands partis traditionnels, d’une absence totale de débat et de challenger politiques, et de toute possibilité d’une véritable alternance. Un coup de maître. Planifié de longue date par les stratèges progressistes qui ont fabriqué le hochet Macron.

La France est aujourd’hui de fait en situation de parti unique. Comme en Chine, le modèle suivi par ces stratèges désormais aux commandes de l’Etat par marionnette interposée. Ou comme en URSS sous Staline. Les autres partis ne font que de la figuration. Même le Rassemblement National de Marine Le Pen, présenté depuis plusieurs années comme le premier parti d’opposition, se contente aujourd’hui d’aligner quelques vagues poncifs sur l’Islam ou l’immigration, sans jamais vraiment égratigner le pouvoir en place. Il a en réalité renoncé à jouer son vrai rôle d’opposant. Sa Présidente, championne de l’antisystème en 2017, est aujourd’hui totalement alignée sur les positions gouvernementales. Elle soutient notamment sans broncher toutes les mesures de cette politique sanitaire criminelle conduite depuis mars. La dérive liberticide du régime ne l’effleure même pas. Cette nouvelle poupée Bilderberg citée en 2015 au Palmarès des 100 personnalités les plus influentes dans le monde par Time Magazine, n’est qu’un simple leurre, la caution « patriotique » des mondialistes, et une roue de secours en cas de plantage magistral de Macron d’ici 2022.

La France de Macron depuis 2020 présente donc toutes les caractéristiques objectives d’une vraie dictature. Si l’on reprend l’archétype de la dictature moderne tel que défini dans l’œuvre de George Orwell et analysé par Michel Onfray dans son essai Théorie de la dictature, on retrouve une grande partie des critères qui permettent de définir une dictature type. Et même pire si l’on tient compte des nouvelles technologies de surveillance, d’ingénierie sociale et de contrôle des populations comme la 5G, la reconnaissance faciale, l’analyse prédictive des comportements, les smartphones, les drones, les caméras de surveillance sophistiquées, la fabrique de l’opinion par les médias, le contrôle des réseaux sociaux…

Cette dictature n’est évidemment pas proprement française mais mondiale. Macron n‘est pas un dictateur au sens classique du terme, comme l’ont été Mussolini, Hitler ou Staline, mais un simple exécutant. Le haut-fonctionnaire d’un système qui l’a créé et mis là pour appliquer un programme précis.

Un programme déjà ancien dont on connaît les contours : destruction de l’état-nation, de la souveraineté nationale, de la vie politique et de la démocratie fondées sur la représentativité, le débat et l’alternance démocratiques, neutralisation de tous les contre-pouvoirs, manipulation de l’opinion par des médias acquis au pouvoir, répression violente des mouvements sociaux ou contestataires, destruction de tous les services publics démantelés et privatisés l’un après l’autre, et bien sûr le Plan Covid en vue du Great Reset.

Macron n’est donc pas un dictateur, mais un destructeur. Le Terminator de la 5e République et de la France en tant que nation souveraine. Condamnée à être détruite, dissoute et absorbée dans le Nouvel Ordre Mondial des Rothschild, Rockefeller, Bush, Gates, Sarkozy, Attali… La France n’est donc pas sous la férule d’un autocrate, mais elle est bien EN DICTATURE. Fermement engagée dans ce processus de basculement que nous vivons actuellement, la France de Macron figure même aux yeux de bon nombre d’analystes comme la championne d’Europe de La Dictature En Marche, son meilleur élève et sa locomotive. A titre de seul exemple, l’interdiction de prescrire l’hydroxychloroquine, unique médicament avéré efficace contre le Covid-19 par plus de 100 études dans le monde, et l’enterrement du protocole du Professeur Raoult pourtant adopté par plusieurs pays dont les Etats-Unis, au terme d’une cabale calomnieuse de près d’un an mettant en cause le plus grand magazine scientifique au monde The Lancet corrompu comme une large part du monde médical, dans le but de servir les intérêts de Gilead et d’autres laboratoires mécènes de Macron et de son parti LREM, sont un cas unique au monde !

Cette dictature sera officialisée d’ici fin 2020 grâce à un vote du Parlement visant inscrire l’état d’urgence sanitaire dans le droit commun. Une première dans le monde. Cet état d’urgence deviendra donc définitif et il sera juridiquement impossible d’en sortir.

Attali l’avait voulu, il l’avait encore tout récemment annoncé. Macron, son fils spirituel, l’a fait.

Ite missa est. La messe est dite, mais pas celle que l’on croyait.

Dans une interview sidérante réalisée le 14 avril 2020 par deux journalistes du Financial Times, Macron l’air totalement halluciné annonçait : « Je crois que notre génération doit savoir que… la Bête de l’évènement est là ! Et elle arrive… » Et d’ajouter en réponse aux questions des journalistes qu’il croyait en « une forme de Transcendance. Quelque chose qui dépasse… »

Assurément ce « quelque chose » n’a pas grand-chose à voir avec ce que les catholiques vont honorer quand ils se rendent à la messe le dimanche. Ni avec les années passées chez les jésuites du jeune Emmanuel (Dieu avec nous). La fascination, l’emprise même qui semble transparaître dans les égarements, les décompensations et les logorrhées circonvolutives de ce jeune-homme trouble qui bien souvent prétend faire l’ange, semble malheureusement avoir bien plus à voir avec « la Bête ».

Comprenne qui pourra…

Du suicide français à l’extermination mondiale

Je suis profondément révolté. Profondément dégoûté. Et profondément en colère.

Je vis en Suisse depuis cette année, mais chaque fois que je reviens à Paris je n’en crois pas mes yeux.

Je ne reconnais plus mon pays, aujourd’hui totalement abruti, anémique, léthargique, gavé de Tranxène 50 télévisuel.

Je ne supporte plus tous ces imbéciles masqués dans les rues. Ces moutons décérébrés et complices d’une dictature qui les étouffe à petit feu. Ces petits collabos qui font des bonds comme des cabris quand je les croise sur le trottoir. Ou qui me fusillent d’un regard accusateur parce que je refuse de porter cette muselière absurde et inutile, symbole de soumission et de capitulation.

Je ne supporte plus ces petit kapos miliciens de la Pensée unique qui me harcèlent sur les réseaux sociaux en scandant les slogans de la propagande d’Etat.

Je ne supporte plus ces « experts » de plateau à peine trentenaires, dont certains n’ont aucun titre pour oser contester l’expérience des plus éminents spécialistes en épidémiologie mondiale. Comme le pauvre Professeur Raoult, contre qui la Caballe scientifique et médiatique a viré à une sinistre farce de foire.

Je ne supporte plus ces journalistes des médias officiels qui ont vendu leur âme au diable et déroulent comme des robots un plan d’ingénierie sociale tellement grossier qu’il prêterait à rire si l’enjeu n’était aussi dramatique.

Je ne supporte plus ces médecins pourris jusqu’à l’os par Gilead, comme cette grosse pouffe de Karine Lacombe, une pute pharmaceutique à 200.000€, qui depuis le début aligne mensonges sur mensonges sur tous les plateaux télé.

Je vomis tous ces politiques couards et silencieux qui tremblent pour leur profil de carrière. Et qui s’alignent sagement, comme le pape d’ailleurs, sur la propagande sanitaire des gouvernements. Mis à part deux ou trois souverainistes de droite comme Asselineau ou Philippot qui n’ont aucune chance d’être élus, aucun n’a aujourd’hui les couilles de dire au peuple la vérité. Même pas Marine Le Pen, championne de l’antisystème en 2017 devenue la poupée Barbie du groupe Bilderberg. Et sa caution « patriotique », totalement sous le contrôle MK Ultra des maîtres du monde, en planque comme alternative au cas où Macron se vianderait trop méchamment d’ici 2022.

Ne parlons pas de la gauche, totalement absente des débats et tout juste bonne à servir la soupe comme un seul homme aux islamistes.

Mais surtout je suis sidéré, outré et démoralisé par l’apathie de ce peuple français. Qui depuis la râclée adressée par les robocops de la Kommandantur macronienne aux Gilets jaunes reste fasciné comme des veaux par l’hologramme de terreur qu’on leur donne à bouffer chaque jour depuis un an avec cette épidémie bidon.

Quoi ? Le « pays des droits de l’homme », l’orgueil et la conscience du monde, la France des beaux esprits, des intellos contestataires, rebelles, anti-ceci ou cela, ne serait donc plus qu’un zoo consumériste en voie d’extinction, tout juste bon à se réveiller de son nième confinement docilement accepté pour aller acheter son sapin de Noël et sa tranche de foie gras chez Auchan, ou sortir sa Visa à l’approche du Black Friday ?

Quel ramassis de trous du cul mous et baveux !

Mais comment avons-nous pu en arriver là ?

Il faut dire que quand l’horizon du Français moyen se limite à Aya Nakamura ou Cyril Hanouna pour la conscience du populo, On n’est pas couché pour les beaufs qui s’imaginent avoir une culture, ou le très macroniste Raphaël Enthoven tout droit sorti du film Ridicule pour les bobasses germanopratines, il y a de quoi déprimer.

Quand je songe que le mouvement des Gilets jaunes était parti de revendications des chauffeurs routiers pour quelques centimes sur les prix des carburants… Aujourd’hui nous voilà face à une dictature mondiale dont le but est de tétaniser les peuples et de ruiner la planète pour instaurer leur Nouvel Ordre Mondial, de reprogrammer notre ARN avec des vaccins frelatés imposés de force à 7.8 milliards de Terriens, de nous tracer grâce à des nanopuces insérées pour l’éternité dans notre corps, d’imposer un contrôle totalitaire sur l’humanité, et de se livrer à toutes sortes d’expériences transhumanistes en nous fichant des patches en silicium dans le cerveau. Et le seul questionnement existentiel des nouveaux mougeons c’est de s’interroger pour savoir s’ils vont commander un masque en tissu Louis Vuitton ou Gucci sur Amazon.

La tentation est grande parfois face à cet Océan de merde et de connerie de laisser tomber et après moi le déluge !

Mais non, ça n’est pas possible. Quand on a comme moi consacré presque toute sa vie à se battre pour des causes on ne peut pas abdiquer ainsi et se désintéresser du sort d’une humanité promise par ailleurs à être exterminée à 90%.

J’avais lu à sa sortie avec un certainement agacement Le suicide français de Zemmour. Un réquisitoire implacable contre le déconstructivisme des post-soixanthuitards et ses conséquences, qui aurait en quelques décennies ruiné la France. Sauf que là il ne s’agit plus de déconstruire mais carrément de détruire. Au rouleau compresseur. A commencer par les consciences. Puis les sociétés, les nations, les états, et enfin les infrastructures économiques et financières mondiales. Et cette fois-ci l’enjeu n’est plus la France ou sa place dans le monde, mais le monde lui-même. Et la place de l’humanité dans ce monde effroyable, orwellien, qu’on est en train de mettre en place sous nos yeux aveugles ou incrédules.

Je continue de croire que cette humanité à laquelle j’appartiens n’a qu’un seul avenir possible. Un avenir radieux, lumineux, pacifique, unitaire et fécond.

Je crois profondément à l’Eveil de la conscience planétaire. J’y œuvre à ma façon et à mon niveau depuis longtemps.

Mais faut-il donc pour que cet éveil advienne que l’humanité s’effondre d’abord dans un abîme de ténèbres ?

Elle en prend en tout cas le chemin. Et même s’il faut tout faire pour que ce cauchemar qui pourrait lui être fatal ne se réalise pas, le pari de l’en relever paraît on ne peut plus compromis à mesure que le sablier du compte à rebours machiavélique se vide inexorablement.

Prenons donc tous farde à notre beau pays ! Et à ce qu’il représente. Et pour cela prenons garde à préserver notre esprit de la plus grande entreprise de manipulation et d’assujettissement spirituel jamais conduite dans toute l’Histoire humaine. Et prenons garde ainsi de ne pas nous voir bientôt transformés de moutons de Panurge en moutons du Sacrifice.

La 3e guerre mondiale a commencé. Rejoignez les rangs de la Résistance mondiale ou collaborez !

“Les mouvements totalitaires sont des organisations massives d’individus atomisés et isolés.” “Les mouvements totalitaires avaient moins besoin de l’absence de structure d’une société de masse, que des conditions spécifiques d’une masse atomisée.” “Ce qui séduisait l’élite, c’était l’extrémisme en tant que tel.”
Hannah Arendt : Les Origines du totalitarisme : le système totalitaire

L’individu est handicapé de se retrouver face à une conspiration si monstrueuse qu’il ne peut pas croire qu’elle existe. »
John Edgar Hoover, Directeur du FBI de 1924 à 1972

« A une époque de supercherie universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire. »
Georges Orwell : 1984

« Je crois que notre génération doit savoir que la Bête de l’évènement est là, elle arrive, qu’il s’agisse du terrorisme, de cette grande pandémie ou d’autres chocs. Il faut la combattre quand elle arrive avec ce qu’elle a de profondément inattendu, implacable. »
Emmanuel Macron – Interview filmée du Financial Times, 16 avril 2020



Lausanne, 11 novembre 2020


Aujourd’hui 11 novembre 2020, la 3e guerre mondiale a officiellement commencé !

Cette fois elle est menée directement par l’élite au pouvoir contre 7,8 milliards de Terriens. Sans états belligérants ni dictateurs ni organisations terroristes interposés.

Bill Gates l’avait annoncée dans une conférence Ted Talk en 2010 : la plus grande menace à venir pour l’humanité ne ressemble pas à une bombe atomique mais à un minuscule virus. La 3e guerre mondiale ne sera pas nucléaire mais bactériologique.

Depuis la Shoah et Hiroshima, les moyens de contrôler l’humanité sont devenus incomparablement plus puissants et sophistiqués. Les moyens de la détruire incomparablement plus variés et élaborés que les lanceurs V2 ou les premières bombes à fission.

Qu’elles soient conventionnelles, nucléaires, chimiques, bactériologiques, électromagnétiques, environnementales, terroristes ou psychologiques, les armes d’aujourd’hui représentent un arsenal et un péril infiniment plus grands que toutes les armes utilisées et les bombes déversées depuis l’aube de l’humanité.

Derrière la puissance physique de destruction de toutes ces armes, il y a une violence ressentie, vécue, une onde de choc qui s’imprègne dans la conscience collective et traverse les générations.

Le contrôle de toutes ces formes de violences est aujourd’hui entre les mains de quelques-uns. Comme les moyens techniques de les déclencher. Ils appartiennent à une poignée de décideurs qui manipulent à leur guise dirigeants politiques, états, armées, industries et techniques, moyens de production, accès aux ressources, à l’eau, aux énergies, à la main d’œuvre… Et bien sûr qui contrôlent l’information, les médias, toute l’industrie mondiale de la culture, du divertissement, et la plupart des instances religieuses officielles qui contribuent à façonner nos valeurs, nos croyances et nos représentations sur le monde. Tous aujourd’hui entièrement soumis à l’arbitrage de la finance mondiale. Et ce depuis des siècles pour certains domaines de l’activité humaine.

Depuis la création de la Banque d’Amsterdam au XVIe siècle, du temps où cette cité régnait sur le monde, puis son transfert à la City de Londres après la Révolution de Cromwell et son fulgurant essor à partir du XVIIIe siècle, une oligarchie anglo-américaine réunit l’élite aristocratique, politique et intellectuelle de ces deux pays et des dynasties nouvelles de grands banquiers d’affaires comme la famille Rothschild ou la famille Rockefeller. Cette élite a peu à peu pris le contrôle total de la finance mondiale et de l’économie des grands empires, à commencer par le Commonwealth britannique, puis du monde, portée par l’idéologie mondialiste du libre-échange, de l’ouverture des frontières, et de la dérégulation économique, douanière, financière et juridique.  

Leur projet et leur stratégie à long terme remontent au XVIIIe siècle, comme l’ont fort bien établi des historiens du mondialisme comme Carroll Quigley. Il est aujourd’hui en passe d’être totalement achevé. Au terme de la mondialisation économique et d’un lent processus de concentration financière, la domination du monde, la subordination absolue de tous les pouvoirs au seul pouvoir financier, l’instauration d’un système bancaire et monétaire unique et décentralisé, indépendant des états-nations voués à disparaître, la disparition définitive de toute souveraineté nationale, la subordination totale de l’éthique, du Droit, des discours et des modèles sociaux aux intérêts d’une élite financière, et la création d’une monnaie unique mondiale qui permettra grâce aux nouvelles technologies de contrôler tous les individus, de supprimer la propriété privée, d’abolir toutes les libertés individuelles et d’enchaîner totalement l’humanité à l’arbitraire des nouveaux maîtres du monde, est en voie d’achèvement.

La « crise du coronavirus » que nous connaissons depuis bientôt un an a été planifiée puis testée lors de la simulation Event 201 réalisée en 2019 sous l’égide des Fondations mondialistes John Hopkins, Rockefeller, et Bill & Melinda Gates. Elle a été déclenchée à l’automne 2019 à Wuhan grâce à la dissémination volontaire d’un nouveau virus par le laboratoire P4 de Wuhan, dans le cadre d’une collaboration scientifique franco-chinoise initiée en 2011. Ce coronavirus a été fabriqué en laboratoire en France au terme de 10 ans de recherches en biologie moléculaire conduites par l’Institut Pasteur. Un premier brevet a été déposé par l’Institut Pasteur en 2003 sous le nom de SRAS-CoV-1. Puis en 2001 par ce même laboratoire sous le nom de SRAS-CoV-2. De même que le vaccin contre ce coronavirus.

L’Institut Pasteur n’est pas le seul laboratoire au monde à être engagé dans ce type de recherche, en partie illégale : dès le début de la décennie 1990 une course s’est engagée entre les grands laboratoires spécialisés dans l’industrie des vaccins et le génie génétique pour produire et breveter de nouveaux virus et de nouveaux vaccins. Un virus naturel ne peut être breveté, de même que toute substance naturelle comme les principes actifs extraits de plantes utilisés dans la phytothérapie. Seule une molécule synthétisée par l’homme, un virus créé artificiellement par séquençage génétique, ou un vaccin élaboré spécifiquement pour prévenir les maladies causées par ce vaccin, peuvent être brevetées. Un brevet est donc avant tout un enjeu économique et commercial pour le laboratoire en est propriétaire, cat il permet d’assurer de substantielles royalties lors de la commercialisation du vaccin fabriqué sous licence par d’autres laboratoires.

Le vaccin contre le Covid-19 qui sera imposé de façon obligatoire à toute la population mondiale à partir de janvier 2021 rapportera des centaines de milliards de dollars à son fabricant. Depuis début 2020, les médias mettent en scène une prétendue compétition entre de nombreux laboratoires pour la mise au point du nouveau vaccin. Une manœuvre de diversion puisque ce vaccin mis au point par Pasteur existe depuis plusieurs années.

Les investissements des différentes fondations, institutions mondialistes et de Big Pharma dans cette pandémie notamment les investissements en recherche et développement se chiffrent quant à eux à des milliers de milliards de dollars. Ce qui donnent une idée de la taille des enjeux.

Le but de ce vaccin n’est évidemment pas de vacciner. Les meilleurs épidémiologistes au monde s’accordent d’ailleurs pour reconnaître qu’aucun vaccin n’a jamais pu prouver la moindre efficacité depuis 70 ans. En revanche la dangerosité et la toxicité des nouvelles générations de vaccins élaborés depuis 20 ans n’est plus à démontrer. Ainsi le vaccin contre la variole inoculé de façon massive par les programmes « humanitaires » de la Fondation Bill & Melinda Gates dans des régions pauvres comme l’Afrique ou l’Inde ont officiellement causé la mort d’un million de personnes. Et permis de stériliser des millions d’autres. Permettant ainsi de réduire sensiblement les populations « inutiles », selon le programme eugénique de réduction de la population mondiale qu’a très posément et très naturellement exposé Bill Gates dans une de ses conférences visible sur internet.

Le but de ce vaccin est d’injecter un « passeport de santé numérique » sous forme de nanoparticules qui resteront ensuite présentent à vie dans le corps. Une technique également annoncée officiellement par Bill Gates, brevetée par Microsoft, produite en série par une start-up américaine, et testée cette année par sa fondation avec succès au Kenya et au Malawi. Ce nouveau système ingénieux permettra un traçage numérique permanent de chaque individu vacciné. Notamment grâce au réseau 5G déployé actuellement. De détecter qu’il a bien été vacciné lors de contrôles aux frontières à l’aide d’un simple petit appareil de mesure passé le long du corps pour détecter la présence des nanoparticules, ou même d’un simple smartphone. Et pourquoi pas d’effectuer ce type de contrôle dans les transports, aux accès d’un lieu sécurisé, d’une administration, d’un lieu public sensible, etc…

Chaque personne qui refusera de se faire vacciner ou de se soumettre à ces contrôler pourra ainsi se voir interdire l’accès à son travail, au métro, à certains commerces, aux écoles, aux gares, aux aéroports, et même à son logement, son garage ou son véhicule sécurisé. Elle ne pourra plus du tout voyager, se déplacer, accéder, se faire soigner, aller à des spectacles ou événements publics « protégés ». Ni même effectuer des achats avec la future cryptomonnaie unique mondiale appelée à remplacer toutes les autres après le Great Reset, et qui pourra elle aussi être encryptée dans ces nanoparticules injectées dans le corps. Dans l’immédiat, l’euro numérique prévu pour 2021 remplacera peu à peu tous les autres moyens de paiement, notamment les liquidités et les chèques appelés à disparaître, et dont la masse de paiements a diminué de 30% depuis le confinement, notamment grâce à la multiplication des paiements par carte bancaire sans contact ou par l’appli Twint sur smartphone (en Suisse).

L’autre versant beaucoup plus sombre de ce vaccin est la présence relevée de plus de 150 séquences de virus inconnues. Et plus grave encore, de 4 séquences issues du VIH susceptibles de transmettre le sida aux receveurs. Un génocide à grande échelle. Et avec le sourire du pape de Microsoft.

Tout ceci n’est ni de la science-fiction, ni une théorie complotiste mais la réalité. Et ce n’est qu’une étape du programme. Puisqu’un autre coronavirus, beaucoup plus contagieux, serait déjà sur les rails. Avec une pandémie de Covid-21 à la clé prévue (et d’ailleurs annoncées par certains) pour les années à venir.

En fait, nous sommes entrés dans une nouvelle ère du contrôle sanitaire total. Comme l’avais d’ailleurs annoncé le Président Macron lors de sa première déclaration en mars annonçant le confinement : « [Après cette crise sanitaire], rien de ne sera comme avant« .

« Nous sommes en guerre !« , avait-il aussi martelé à cinq reprises sur un ton martial. En guerre ? Absolument ! Mais pas contre ce qu’on voudrait nous faire croire. Ce genre de métaphore guerrière prêterait d’ailleurs à rire si les enjeux sous-jacents n’étaient aussi dramatiques. Chaque esprit sensé sait qu’on ne fait pas la guerre à un virus. Encore mois à une épidémie de grippe un peu plus sévère que d’habitude. Les virus existent depuis un milliards d’années. La vie n’existerait pas sans eux. Et notre corps en héberge davantage que de cellules qui composent nos organes et nos tissus. Notre système immunitaire est conçu pour s’adapter à toutes les situations, y compris à la présence dans notre environnement de virus potentiellement pathogènes. Les éléphants font-ils la guerre aux virus ? Les otaries portent-elles un masque ? Dans une eau saturée de bactéries et virus en tout genre. Qui a bien pu nous mettre en tête cette folie paranoïaque qui voudrait que l’homo post-modernus devrait se barricader et éviter tout contact avec l’extérieur, et toute interactions physique avec ses semblables ?

A l’origine était un certain Louis Pasteur (encore lui). Dont les travaux à la fin du XIXe siècle sur les microbes et les vaccins, dans un contexte d’idéologie positiviste, scientiste et hygiéniste, ont posé les fondements idéologiques plus que « scientifiques » de la vaccinologie. En imposant une représentation et des croyances nouvelles, selon lesquelles les virus seraient de dangereuses créatures toutes pathogènes (ce qui est doublement faux), et qu’il faudrait à tout prix les combattre. Notamment en vacciner le plus possible d’individus pour éviter que des épidémies infectieuses ne se propagent. Toute l’idéologie de la médecine contemporaine et du puissant lobby de l’industrie des vaccins est fondée sur ces postulats fragiles, maintes fois remis en cause par les successeurs de Pasteur. Et ils continuent de déterminer les croyances d’un grande majorité d’honnêtes gens, ignorants des polémiques sur l’efficacité, l’innocuité et l’utilité des vaccins. Comme des enjeux financiers stratosphériques liés à leur conception, leur commercialisation et leur contrôle.

C’est pour cette raison que le levier vaccinal a été choisi dans cette stratégie de manipulation à très grande ampleur, en jouant sur la crédulité des masses, sur la peur de la maladie, de la mort, et sur la confiance dans les autorités scientifiques, politiques et des médias officiels pour délivrer la bonne informations et prendre les bonne décisions dans l’intérêt du plan grand nombre.

C’est ainsi que fonctionne ou devrait fonctionner une démocratie. Mais ce n’est pas du tout ainsi que fonctionne une dictature. Or nous vivons dans un mirage de démocratie, et une authentique dictature qui prétend œuvrer pour le parachèvement de la démocratie. Le pouvoir, comme la souveraineté des peuples, et comme la fabrique de la vérité et du consentement, ayant été entre temps subtilisés.

Cette crise tout à fait délibérée et contrôlée est en réalité un véritable baptême du feu de l’Enfer. Quasiment un sacrifice rituel et initiatique. Elle est aussi l’élément déclencheur qui va permettre un basculement rapide et irréversible de l’ancien monde que nous avons connu et qui est en train de disparaître à toute vitesse sous nos yeux, vers un monde nouveau, idéal pour ceux qui l’ont conçu et quelques rares élus, infernal pour l’écrasante majorité vivant sur terre.

Ce basculement a commencé et marquera une étape décisive d’ici le début de l’année 2021 avec le Great Reset programmé par le Forum Economique Mondial, et annoncé par la voix de son fondateur et Président Klaus Schwab. Une remise à plat radicale du système économique, financier, bancaire et monétaire mondial, en sursis depuis la crise de 2008 et celle de 2011.

Cette remise à zéro marquera l’entrée dans un paradigme totalement nouveau pensé par l’élite mondialiste et promu depuis la fin de la guerre froide sous le terme de Nouvel Ordre Mondial.

Ce Nouvel Ordre est présenté par ses promoteurs comme Jacques Attali comme un horizon indépassable de démocratie, de Paix et de Justice pour l’humanité. Avec une gouvernance mondiale prophétisée depuis la chute du Mur de Berlin (et bien avant si l’on remonte aux prémices de la Première guerre mondiale), qui permettra selon eux de résoudre tous les problèmes politiques, économiques, financiers, sociaux, sécuritaires, sanitaires, écologiques, de relever tous les défis techniques, démographiques, environnementaux et même spirituels qui se posent aujourd’hui à l’humanité.

La vérité est tout autre. Et aurait de quoi renvoyer Mein Kampf, le IIIe Reich et ses 6 millions de Juifs exterminés durant la Shoah, ainsi que le goulag, la Révolution culturelle et tous les totalitarismes du siècle précédent à un innocent conte pour enfants. Un scénario difficile à admettre, même pour les plus informés. Mais hélas bien réel. Le Mal absolu sur terre.

Je vous invite pour vous en donner juste un aperçu à visionner le documentaire Hold-Up sorti aujourd’hui même. J’en reparlerai plus loin.

Nous sommes aujourd’hui arrivés au point de clivage le plus critique de toute l’Histoire de l’humanité.

L’alternative est simple : soit nous nous engageons maintenant et par tous les moyens possibles pour empêcher ce cauchemar de se réaliser, et nous décidons de nous unir dans ce combat. Soit nous acceptons de nous enfoncer tous ensemble dans des Ténèbres comme l’humanité n’a jamais connues.

Ceci n’est pas de la science-fiction. Ce n’est pas non plus du « complotisme ».

C’est hélas l’effroyable réalité dans laquelle nous nous réveillons peu à peu après cette fausse pandémie terminée très officiellement depuis juin, malgré tout ce que nos médias essaient de nous faire croire pour justifier des mesures répressives qui ne visent aucun autre objectif que d’intensifier l’instauration d’une dictature mondiale.

Il n’est pas étonnant que la conscience apocalyptique ait eu conscience de cet événement 2000 ans avant qu’il ne se produise.

La toute première chose à mobiliser pour nous armer est notre énergie spirituelle. En l’orientant vers la conscience de l’humanité éclairée par la Conscience supérieure (« Dieu »).

Car c’est la seule façon de faire échec à ce projet authentiquement diabolique. Tout rêve romantique de sursaut « révolutionnaire » ne ferait qu’accroître l’intensité de la violence mimétique prête à se déchaîner. L’exemple des siècles précédents suffit pour s’en convaincre.

Les actions concrètes aux niveaux stratégique, politique, économique, financier, social, scientifique, technologique et des forces armées mobilisées découleront d’elles-mêmes de cette posture spirituelle, de cet ajustement de la conscience qui est essentiel. Et qui requiert un énorme travail sur soi, surtout pour les êtres les plus sensibles en proie à toutes formes de décompensations.

Ce qu’il faut viser impérativement c’est l’UNITE. L’Unité du genre humain et des consciences individuées tournées vers leur devenir commun. Vers la vision d’un avenir radieux en train d’émerger. Et non fascinées par la vision de l’Enfer que l’Ennemi agite avec un plaisir sadique.

Notre seul ennemi en vérité c’est la PEUR. Et donc nous-mêmes. Le « Côté obscur » de cette énergie d’Amour qui englobe tout l’Univers et nous fait vivre, pour employer une métaphore cinématographique.

Inutile pour s’engager dans ce combat de concevoir la Réalité sous un angle manichéen, comme sont tentés de le faire les fondamentalistes et les messianistes obsédés par une vision binaire de la Révélation (Apocalypse).

Car tout est UN. Et ne peut être divisé. Nous sommes tous indivisiblement responsables de ce qui nous arrive aujourd’hui, même si nous nous voyons comme des victimes et ceux qui nous précipitent dans l’Abîme comme des bourreaux.

La pensée victimaire ne fait que nous paralyser, nous enfermer dans la mauvaise conscience et le ressentiment. Et donner des armes contre nous à ceux qui veulent nous asservir.

En revanche, tout va déprendre de la vision que nous allons développer de notre Identité commune et du Devenir commun que nous allons choisir consciemment et collectivement de réaliser.

La Peur nous fera immanquablement céder à ceux qui nous hypnotisent avec leur cher cauchemar qu’ils veulent nous imposer. Et le fera devenir à coup sûr notre réalité si nous ne faisons pas effort pour y résister. Soyons donc les plus forts. Spirituellement.

Peu importe la méthode et les efforts pour se focaliser sur cet objectif.

Car l’ennemi utilise toutes les armes pour répandre confusion, division, désunion, nous affaiblir, nous manipuler, nous contrôler, nous mentir, agiter de fausses peurs et de faux espoirs, nous inciter à renoncer, à abdiquer, à ne pas nous poser de questions et à obéir.

Et finalement, à renoncer à QUI nous sommes : des humains, des êtres doués d’intelligence, d’esprit critique, de libre arbitre, d’empathie, d’esprit d’entraide et de collaboration. Et surtout d’une faculté de création infinie.

Je vous le dis, il y aura dans les semaines et les mois à venir beaucoup de pertes et de désillusions, beaucoup de souffrances, et beaucoup de morts. Probablement des millions. Voire beaucoup plus.

Le Mexique vient tout juste de débuter un programme de vaccination obligatoire réalisé de force avec le concours de l’armée. Le Québec, l’Australie, la Nouvelle Zélande, l’une des régions du monde les plus épargnées par l’épidémie qui ne comptabilise que quelques dizaines de décès attribués au Covid, viennent d’ouvrir des camps de confinement et d’internement pour les personnes qui seront détectées positives ou pour les réfractaires au vaccin.

Peu acceptent aujourd’hui de voir cette vérité en face. Mais il n’y a plus aujourd’hui matière à douter : nous sommes bel et bien face à un plan imminent d’extermination massive et de transformation radicale de l’espèce humaine. Doublé d’un projet d’asservissement totalitaire pour ceux qui survivront. Un plan comme jamais le monde n’en a connu et n’en connaîtra jamais plus.

Ce plan a pourtant été à maintes reprises annoncé et détaillé. Y compris par les plus grandes institutions mondiales comme le Forum Economique Mondial, le Forum de Davos, l’ONU, la Banque Mondiale, des fondations qui sont les think tanks du mondialisme comme la Fondation Rockefeller ou la Fondation Bill & Melinda Gates. Et les plus grands oligarques qui dirigent le monde. Il n’y a plus aucun doute là-dessus.

Il faut donc que nous soyons maintenant le plus nombreux possible à nous éveiller à cette réalité et à prendre conscience de ces enjeux.

Mais il ne faut ni douter ni faillir. Car notre apparente faiblesse est aussi notre plus grande force.

Nous ne sommes pas aux commandes des rouages de ce monde aujourd’hui. Mais nous sommes le monde de demain.

Ils ont tous les pouvoirs. Mais nous sommes 7,8 milliards et ils ne sont que quelques centaines tout au plus.

Ils ont 4 ou 5 longueurs d’avance sur nous dans la réalisation de leur plan diabolique, des moyens financiers, logistiques, technologiques considérables. Mais sans notre adhésion active ou tacite, ils n’ont aucun pouvoir sur nous et leur plan est voué à mourir dans l’œuf.

Ils ont des moyens de contrôle, de surveillance, de manipulation et de coercition quasi illimités. Mais leurs croyances et leur force reposent sur du vide. Ils ne croient pas à l’esprit, qu’ils voudraient éradiquer de nos cerveaux pour les connecter à des puces et des robots. Ils ne croient ni en l’Amour ni en l’Humain : leur culte est entièrement tourné vers l’Argent, les richesses (le dieu Mammon), la domination, le pouvoir, la violence, la manipulation de la vie sous toutes ses formes (à l’image de Satan), et un rapport magique, fétichiste, hyper matérialiste à la science et à la technologie.

Ils ignorent que la réalité comme tout ce que nous expérimentons procède uniquement de la conscience. Et que l’intelligence, qu’elle soit humaine ou artificielle, n’a jamais produit de la conscience. Mais que la Conscience est l’origine de la Réalité, de la Vie, de l’Intelligence, de la Connaissance.

Ils veulent nous faire peur ? Mais selon les spécialistes des pathologies liées au pouvoir comme Ariane Bilheran, ils sont eux-mêmes les plus grands psychopathes au monde. Et leurs motivations fonctionnent entièrement sur la paranoïa.

Parce qu’ils croient en la Séparation et ignorent que c’est une pure illusion, ils redoutent la Perte, dont l’archétype est la Mort. Comme l’Avare de Molière ils vivent dans la terreur de perdre ce qu’ils croient avoir, à commencer par eux-mêmes et les autres : leur corps, leur fortune, leur pouvoir dérisoire, leurs privilèges arbitraires… C’est pourquoi ils dépensent des milliers de milliards de dollars dans des programmes de recherche transhumaniste pour atteindre l’immortalité grâce aux nanotechnologies et au fantasme de la fusion homme-machine.

Ces projets de milliardaires malades feraient sourire s’ils n’étaient que des hochets destinés à occuper leurs journées. Le problème c’est que ces Rockefeller, Bill Gates, Elon Musk, Ray Kurzweil, Klaus Schwab, Laurent Alexandre et bien d’autres, ont l’intention ferme de nous les imposer par la contrainte. En délestant auparavant la population mondiale de sa mauvaise graisse. Soit 3,5 à 7,3 milliards de bouches à nourrir que les machines ont désormais rendus superflues.

Certains membres de cette élite oligarchique n’hésitent plus à se désigner eux-mêmes publiquement comme « les dieux ». Et nous comme « les inutiles ».

Il suffit de relire 1984 de George Orwell et Le Meilleur des monde d’Aldous Huxley pour comprendre à quel degré d’atrocités leurs plans veulent nous conduire.

Il n’est plus l’heure de douter ou de réfléchir.
Il n’est plus l’heure de remettre à plus tard.
Il n’est plus l’heure de relativiser ou d’ironiser, en traitant méprisamment ces propos de « complotistes » : ce sont les mêmes qui durant l’Occupation traitaient de « complotistes », de « terroristes » ou de « mauvais Français » ceux qui tentaient d’alerter leurs compatriotes (ou l’Eglise) sur la réalité de la Solution finale. On connaît la suite.

Le temps nous est compté.

VRAIMENT compté !

Il est l’heure et c’est maintenant. Après il sera trop tard.
Et quand les générations futures (ou ce qu’il en restera) nous demanderont des comptes en nous reprochant de ne pas avoir su ou voulu savoir, que leur répondrons-nous ?

Que chacun se tienne prêt à se mobiliser d’une façon ou d’une autre pour engager la contre-offensive.
Au nom de l’humanité.

Au nom des valeurs et des liens les plus universels qui nous unissent en tant qu’espèce.
Au nom de cette « civilisation de l’Amour » que nous aspirons tous d’une façon ou d’une autre à voir advenir à l’issue de cet épreuve.

Prenez bien soin de vous et prenez soin les uns des autres.

Ne restez pas seuls. Même s’ils veulent nous assigner à résidence, nous isoler, nous séparer de nos proches, de nos enfants et de nos aînés.

Jeter votre télé, le poison mental le plus toxique et addictif inventé au siècle dernier.

Et restez informés via des médias, des réseaux sociaux, des forums indépendants et si possible non censurés, des pages de lanceurs d’alertes ou d’experts qualifiés.

Videz au plus vite vos comptes bancaires et d’épargne, ne conserver que très peu de liquidités. Acheter des valeurs refuges : métaux précieux, diamants, foncier.

Ou mieux : regroupez-vous à quelques proches ou voisins de confiance pour investir ensemble dans un projet collaboratif. Par exemple une maison communautaire avec un terrain arable dans une région isolée. De façon à bénéficier le jour venu de ressources alimentaires, énergétiques, logistiques et financières communes, d’une relative sécurité et de pouvoir fonctionner à partir d’un réseau local.

Je n’ai jamais été particulièrement poreux aux idées qualifiées de « complotistes », ni à ces logiques de résistance « survivaliste » jusqu’à il y a environ un an.

C’est à force d’enquêter sur cette « crise sanitaire » et de récolter des milliers de témoignages d’experts reconnus, de lanceurs d’alertes, d’articles, de livres, de vidéos publiés sur le sujet, que mon opinion a peu à peu évolué.

C’est pourquoi je vous encourage urgemment à ne plus écouter les discours de la propagande officielle. Mais à vous faire sans attendre votre propre opinion en surfant sur des groupes consacrés au sujet.

Ce 11 novembre à 11:11 a été marqué par la sortie mondiale d’un documentaire hors-norme que je vous recommande vivement : HOLD-UP.

Ce documentaire circule depuis 5 jours de façon virale sur les réseaux sociaux, malgré l’âpre censure gouvernementale dont il fait l’objet.

Aussi je vous conseille de le télécharger rapidement sur Viméo où il risque de ne pas rester très longtemps.

Car c’est une bombe nucléaire !

Ce documentaire de grande qualité, d’une durée de 2h40, résume quasiment tout ce que l’on sait aujourd’hui sur cette « pandémie », ses enjeux et ce qu’elle cache.

Il convoque les meilleurs spécialistes et regroupe des extraits des vidéos les plus significatives publiées depuis un an. Il résume à peu près tout ce que j’ai pu compulser depuis décembre 2019 sur ce sujet.

Pierre Barnérias, son réalisateur, est journaliste et patron de T Prod, une société de production qui s’est singularisée par plusieurs films sortis récemment, comme Thanatos consacré aux Expériences de Mort Imminente. C’est aussi un ami de lycée et un homme intègre en qui j’ai toute confiance.

A tous je souhaite Force, Courage et Paix !
Demeurez dans l’Amour jusqu’à la fin de la temporalité.
Et c’est maintenant.

Christophe Claudel

Monseigneur Vigano, la dictature, le Nouvel Ordre Mondial et l’Apocalypse

Ordo ab chaos. L’ordre à partir du chaos. Derrière cette devise maçonnique bien connue se cache la clé du Great Reset, annoncé par le Forum Economique Mondial. Une remise à zéro de tout le système économique et financier mondial, sur fond de crise majeure, de troubles sociaux, d’effondrement des économies, des banques, des monnaies et pourquoi pas des états déclenché par la crise du coronavirus, et qui précède l’avènement du Nouvel Ordre Mondial.

Ugo Gorel Porciatti, maçon du 33e degré, l’explique fort bien quand il précise : “On ne peut arriver à l’ordre nouveau qu’à travers un désordre savamment organisé.” Comprenez que cette fausse pandémie n’a qu’un seul but, outre le fait de permettre aux GAFSA de réaliser de faramineux bénéfices sur le tombeau des PME en faillite, et à Big Pharma de se gaver en nous injectant de force ses vaccins inutiles, c’est de semer la pagaille la plus monstre de l’Histoire pour faire table rase de ce monde à l’agonie et nous en imposer un tout neuf. Attila rasant les murs de la Rome décadente pour bâtir sur ses ruines un nouvel empire selon le mythe légué par les historiens.

Face à cette perspective apocalyptique, l’église de Rome allait-elle rester aussi muette que Pie XII durant la guerre quand les nazis gazaient les juifs par millions ? Le pape François, que certains accusent à plus ou moins juste titre de complaisances mondialistes, semble en effet plus pressé de défendre les migrants, même si une bonne part se laissent tenter par l’aventure djihadiste, que l’humanité en passe d’être dévorée par les grands méchants loups Rothschild, Rockefeller, Gates, Bezos, Soros, Schwhab & Cie…

Le seul à sembler réagir est l’ex-nonce apostolique aux Etats-Unis, Mgr Carlo Maria Vigano, qui a récemment adressé une lettre à Donald Trump pour l’alerter contre la perspective du Great Reset, cette remise à zéro de l’économie et du système financier annoncée par l’élite mondiale. Il va plus loin aujourd’hui en appelant les citoyens à boycotter le confinement et descendre dans la rue pour s’opposer à la mise en œuvre de ce projet mondialiste. Une attitude pour le moins singulière de la part d’un évêque.

Que faut-il en penser ?

A priori le profil de ce prélat, qui fait partie de la branche la plus conservatrice de l’église catholique, inciterait plutôt à la plus grande prudence. Le fait que sa lettre très médiatique ait été adressée en pleine campagne des présidentielles au Président Trump, dont la candidature pour sa réélection est largement soutenue par l’extrême droite évangélique américaine et le mouvement complotiste QAnon, a de quoi rendre méfiant.

Mais les choses ne sont pas si simples. En Europe et dans le monde, les personnalités publiques et les mouvements politiques qui sont mobilisés cette année contre ce qu’il faut bien appeler une dictature sanitaire ne venaient pas pour la plupart de l’extrême droite, contrairement à la caricature grossière qu’ont tenté d’en donner les médias officiels. A titre d’exemple, la plus grande manifestation citoyenne pour défendre les libertés confisquées par ces politiques sanitaires aussi synchrones et absurdes qu’infondées s’est déroulée le 29 août dernier à Berlin. Selon la Police berlinoise elle a rassemblé entre 2 et 7 millions de manifestants (30.000 selon BFM TV) venus de toute l’Europe et représentant toutes les sensibilités politiques. La grande figure parmi les intervenants qui ont prononcé des discours à la tribune n’était ni Marine Le Pen, d’ailleurs totalement muette sur le sujet, ni Viktor Orban, ni Matteo Salvini, mais le sénateur démocrate Robert Kennedy Jr., neveu du Président John Fitzgerald Kennedy venu quelques décennies plus tôt au même endroit pour crier son opposition au Mur de la honte, son soutien aux Berlinois et aux nations du monde libre.

Malheureusement, beaucoup d’honnêtes citoyens hypnotisés par la propagande officielle sont aujourd’hui incapables de discerner la réalité. Parce qu’ils restent piégés par la peur, ils interprètent systématiquement toute information contraire aux discours officiels comme des « théories complotistes ». Un réflexe rhétorique qui témoigne d’un renoncement à tout esprit critique et pose comme a priori que tout ce qui s’écarte de la Pensée unique est nécessairement faux, mensonger, criminel ou dangereux.

Un mécanisme parfaitement analysé au siècle dernier par des philosophes comme Michel Foucault ou Gilles Deleuze, théoricien de la « société de contrôle ». Mais aussi très bien décrit dans l’œuvre de Georges Orwell, théoricien de la dictature.

Alors qu’au début je réagissais comme tout le monde dans une sorte de réflexe autoprotecteur face à une information trop perturbante, en taxant tout ce qui me paraissait juste incroyable de « théorie complotiste », j’ai depuis bientôt un an réuni et analysé en tant que journaliste un nombre sidérant d’informations, de témoignages, de preuves à propos de cette fausse pandémie et des objectifs qu’elle sert. Une somme de preuves concordantes qui feraient passer 1984, Le Meilleur des mondes ou V pour Vendetta pour d’innocents contes de Perrault.

« Complotiste » n’est pas juste un réflexe de langage, un anathème contemporain ou une insulte ad hominem. Ce terme a remplacé dans le vocabulaire courant et pour l’idéologie libérale-mondialiste dominante le mot « fasciste », qui servait au siècle dernier dominé par la pensée unique freudo-marxiste à frapper d’iniquité toute parole ou toute personne s’écartant du credo majoritaire : conservateurs, réactionnaires, patrons, bourgeois, capitalistes, nationalistes, antiféministes, antigauchistes, phallocrates patriarcaux hétéronormés…

Si l’on remonte plus loin, et si l’on donne à l’idéologie une consonance religieuse, c’est le mot « hérétique » qui servait jadis à discréditer tout libre penseur, libertin, « sodomite », ou simple individu osant remettre en cause par ses comportements, ses propos, ses écrits ou ses découvertes les dogmes, les croyances et les représentations imposés par l’église catholique. Un hérétique était accusé d’être un pécheur, un criminel, un suppôt de Satan, un égaré. Et qui risquait d’en égarer d’autres en les contaminant à leur tour et en les détournant du chemin orthodoxe. Seul le feu pouvait purifier leur âme des souillures du Démon. Et beaucoup comme Jacques de Molay, grand maître de l’Ordre des Templiers, le philosophe dominicain Giordano Bruno et d’autres finirent d’ailleurs sur le bûcher, pour des raisons souvent beaucoup plus troubles que les crimes dont on les accusait.

Aujourd’hui les bûchers ont (presque) disparu. La disgrâce publique et le lynchage médiatique suffisent à les remplacer. Avec le renvoi, le licenciement, la dénonciation politique, ils font office d’ordalie publique pour confondre les dangereux « complotistes ». La mise à l’Index, elle, existe toujours. Au pays de la liberté d’expression des ouvrages déclarés indésirables sont subitement retirés des rayons. Mais le plus souvent le tribunal médiatique suffit à dissuader les impétrants de récidiver.

Depuis cette fausse crise sanitaire et l’hystérie qui l’accompagne dans l’hygiénisme zélé de la pensée, les chiens de garde du pouvoir et de la Pensée unique se sont aussi mués en Milice de la Vérité. Depuis le printemps 2020, certains médias accrédités par le gouvernement sont en effet chargés de vérifier toutes les infos sensibles publiées par les médias indépendants. De même que chaque contenu partagé par les internautes sur les réseaux sociaux comme Twitter ou Facebook. Avec l’aide de puissants algorithmes complaisamment mis au point par la firme de Mark Zuckerberg pour passer au tamis le moindre éternuent des facebookers.

Résultat : tous les groupes de soutien au Professeur Raoult, jugé trop compromettant pour le laboratoire Gilead, grand mécène du Président Macron, de son parti LREM et de son Comité Scientifique fantoche, ont été arbitrairement fermés en octobre 2020. Et des centaines de milliers de publications déclarées « fausses » sont quotidiennement épinglées, supprimées, leurs auteurs montrés du doigt, les comptes des récidivistes supprimés, au même titre que les vrais criminels comme ceux qui appellent au pogrom antisémite, au Djihad islamiste ou à la décapitation de tous les Français.

George Orwell avait prophétisé tout cela dans son roman 1984, qui décrivait les menées totalitaires du terrible Ministère de la Vérité et sa Police de la Pensée. Il avait aussi décrit les contours d’une société de surveillance maximum, qui avec les formes propres à son époque ressemble en tout point à la société technosécuritaire de la surveillance totale actuellement mise en place. Avec ses caméras de contrôle omniprésentes, ses webcams et smartphones individuels en guise de télécrans, ses drones sophistiqués capables de repérer et neutraliser un « ennemi » sans intervention humaine, ou plus prosaïquement d’assurer une Gestapo aérienne en identifiant les réfractaires au masque et en leur hurlant dessus par mégaphone. Avec ses robocops encarapaçonnés munis d’armes de guerre juste pour vérifier le port du masque dans un bar ou le respect du couvre-feu. Avec sa 5G déployée dans chaque abribus et sur chaque immeuble depuis le confinement, ses dizaines de milliers de satellites déployés par Elon Musk dans le ciel pour assurer une géolocalisation partout sur terre et au centimètre près…

Beaucoup peinent à le reconnaître, obnubilés comme des papillons par les messages hypnotiques de BFM TV sur cette fantasmatique « Deuxième vague« , dont même l’OMS pourtant contrôlée par Bill Gates, Rockefeller, Gavi et Big Pharma rappelle qu’elle n’a jamais existé. Mais grâce à cette fausse pandémie, dont toutes les phases ont été méthodiquement validées un an auparavant lors de la simulation Event 201 financée par la Fondation Gates, nous sommes vraiment entrés de plein pied dans une authentique dictature d’un genre inédit. Dont seuls quelques romans et films de science-fiction nous avaient avertis. Une dictature ultralibérale, ploutocratique, dirigée par une poignée de milliardaires psychopathes. Une dictature sanitaire, sécuritaire, policière et technocratique. Une dictature hostile au genre humain, eugéniste et transhumaniste, dont les objectifs à moyen et long terme font froid dans le dos.

Le danger pour nous n’est pas seulement d’ordre idéologique, politique, social, économique ou sécuritaire. Même si le but est à court terme autant de nous priver sans ménagement de nos libertés, de nos relations sociales et familiales, de notre joie de vivre, de notre faculté de créer, de détruire nos emplois, nos économies, nos monnaies, nos cultures, nos convictions, notre foi en nous-mêmes, en notre humanité, en notre avenir, et de nos réduire à l’état d’esclaves, de cloportes, de robots, ou au mieux de producteurs-consommateurs-reproducteurs interchangeables, en nous réparant, nous « augmentant », nous contrôlant à loisir. En nous fichant des puces (brevetées par la société Neuralink) dans le cerveau pour augmenter nos capacités cognitives ou communiquer directement avec l’Intelligence artificielle. En nous injectant avec le futur vaccin des nanoparticules (brevetées par Microsoft et testées cette année par la Fondation Bill & Melinda Gates au Kenya et au Malawi) contenant un passeport de santé sans lequel il sera ensuite impossible de franchir une frontière, d’aller travailler, de prendre le métro, d’effectuer des démarches courantes ou simplement de sortir du confinement.

Quant aux réfractaires à ce Meilleur des mondes, ils seront tout simplement orientés de force vers des centres de confinement et d’internement. Comme c’est déjà le cas aujourd’hui-même en Nouvelle Zélande !

Sachez qu’en France un décret discret adopté au printemps dernier stipule que vos enfants ne vous appartiennent plus ! L’Etat peut à tout moment les soustraire à votre responsabilité, s’il estime qu’ils sont en danger. Non seulement depuis le reconfinement les enfants de 6 ans sont désormais obligés de porter un masque comme les grands (une mesure criminelle pour leur santé), mais les tests ont commencé sans votre accord dans les écoles. Les enfants détectés positifs (sachant que 90% des tests PCR sont faux selon les industriels eux-mêmes) devront être confinés 14 jours à la maison dans une pièce séparée, sans aucun contact avec le reste de la famille. Ils devront se débrouiller seuls. La Police pourra venir à tout moment vérifier que cette consigne est bien appliquée. Dans le cas contraire, vos enfants pourront vous être retirés et vous ne pourrez pas vous y opposer. Ils seront alors conduits dans des centres de quarantaine spéciaux de votre région dont l’emplacement n’a pas été dévoilée.

Vous n’y croyez pas ? Vérifiez vous-mêmes toutes ces informations avant de hurler au complotisme…

Le dernier volet de ce cauchemar, à prendre avec des pincettes, est l’aspect spirituel. Certains mouvements américains dénoncent depuis longtemps l’appartenance de l’élite oligarchique au pouvoir à une prétendue secte satanique. Ou à des réseaux pédosatanistes. Sans jamais apporter la moindre preuve à ces allégations sinon en citant les scandales médiatiques qui mettent en cause des milliardaires comme Jeffrey Epstein ou, plus fantaisiste, des membres de la famille royale d’Angleterre qui seraient liés à des trafics d’enfants ou des crimes pédophiles.

Une chose est certaine : peu importe qu’on croit ou non à l’existence de Satan, le satanisme existe bel et bien. Des sectes satanistes plus ou moins sulfureuses existent elles aussi. On rencontre plutôt davantage de leurs membres à mesure qu’on s’élève dans l’échelle du pouvoir. Que ce soit dans la politique, les médias, le secteur bancaire, les industries de l’armement, du pétrole, de la chimie ou du divertissement. Et même au Vatican !

Depuis plus d’un siècle des théories d’extrême droite associent pouvoir, satanisme, crimes sexuels, pédophilie, franc-maçonnerie et antisémitisme. A l’image du Protocole des Sages de Sion, ou de ces vidéos conspirationnistes médiocres sur les Illuminattis qu’on trouve sur YouTube.

Dénoncer ces théories sensationnalistes, calomnieuses et délirantes ne doit cependant pas nous conduire à réfuter la vérité.

Derrière ce Great Reset économique, prélude au Nouvel Ordre Mondial qu’on nous promet depuis au moins 30 ans, il n’y a pas qu’un projet alarmant de domination du monde par une élite de super riches, il y a aussi une vision, de l’homme, de la société, de l’humanité, des valeurs et des croyances qui nous relient à une certaine spiritualité.

A ce titre, le néolibéralisme qui en constitue la partie émergente est bien plus aujourd’hui qu’une simple doctrine économique popularisée par Milton Friedman, qui se serait imposée dans le monde occidental à partir de la fin des années 1980 à la faveur de la chute du bloc communiste, de l’effondrement des idéologies d’inspiration marxiste sur un continent européen réunifié, puis de l’apparente domination du modèle occidental, prélude à l’achèvement de la mondialisation économique.

Ce néolibéralisme, rebaptisé « progressisme » avec la dilution calculée des clivages politiques gauche-droite dans le monde anglo-saxon puis en Europe, et la récupération des discours de l’humanisme social et du projet de la social-démocratie par les stratèges néolibéraux, repose également sur des valeurs philosophiques sinon spirituelles qui façonnent aujourd’hui notre monde, ou du moins les représentations que nous nous en faisons : individualisme, rationalisme, positivisme, scientisme, matérialisme, hédonisme, prospérité matérielle, soumission de la terre et des espèces, productivisme, performance, rentabilité, profit, ascension sociale au mérite, culte des élites, exemplarité, excellence, voire un certain culte de la nature, de ses forces, mais aussi une volonté de s’affranchir totalement de ses déterminismes biologiques, associée à un rapport prométhéen, fétichiste, magique à la technologie.

On retrouve effectivement beaucoup de ces thèmes et de ces croyances dans certaines sectes pagano-satanistes comme The Church of Satan dont le siège est situé en Californie, et dont l’effigie est une statue de Baphomet, divinité mi-homme mi-bouc souvent représentée de façon explicite ou subliminale dans les clips des stars de l’industrie musicale américaine. Selon cette église, cette figure est supposée davantage représenter une forme de néopaganisme, d’exaltation de la Matière, des forces brutes de la Nature, de la sexualité, de la jouissance libertaire des potentialités physiques, du refus du monothéisme ou de toute idée d’un dieu créateur, qu’un culte au Satan de la Bible judéo-chrétienne.

Un thème semble pourtant commun à toutes ces sectes et semble refléter une forme de spiritualité propre à cette élite ploutocratique jalouse de son pouvoir : la projection dans un consumérisme effréné, dans une concentration toujours plus grande des richesses, le goût de la possession et du pouvoir, une indifférence aux souffrances et aux désordres qu’ils entraînent, voire une certaine jouissance de nature psychopathologique pour la violence, les malheurs et souffrances infligées aux faibles, associée à la jouissance de la quête de plus grands pouvoirs.

De telles déviances morales et psychologiques peuvent même servir de support à des formes de ritualisations de type satanique manifestées dans la mise en scène de sacrifices, de viols, de tortures ou de meurtres rituels d’enfants. Même si elles excitent l’imaginaire des amateurs de sensations fortes tentés d’en rajouter ou d’en faire une généralité, ces choses-là existent. Elles sont répertoriées dans de nombreux rapports de Police, y compris en France. Même si leurs auteurs ont souvent les moyens d’acheter les juges et d’échapper aux poursuites. Il serait toutefois stupide d’extrapoler ces excès à toute une catégorie de puissants ou de possédants. Ou de vouloir résumer les crimes de l’élite mondiale à ces seuls clichés baroques comme le fait aujourd’hui la propagande de QAnon à propos de la soi-disant élite pédosataniste (et bien-sûr démocrate) gavée d’adrénochrome, une substance dopante et un élixir de jeunesse qui serait extrait du sang des milliers d’enfants sacrifiés : une pure affabulation.

Sans parler de religiosité alternative, il existe en tout cas une forme de spiritualité de fait sinon formalisée, commune à l’élite oligarchique au pouvoir, fondée sur un système de valeurs et de croyances commun, qui tend à justifier et conforter le statut de ses membres, à asseoir leur mode de gouvernance sur des justifications acceptables par le plus grand nombre et à leur octroyer tout pouvoir pour décider du sort de l’humanité. Cette philosophie, cette spiritualité, est en partie héritière des sociétés secrètes comme la franc-maçonnerie, et s’appuie sur des présupposés comme celui que la science des mystères (de la Connaissance, de la vie, de l’Univers…) ne peut être révélée au commun des mortels. Mais qu’elle ne peut être transmise qu’aux seuls initiés, au terme d’un processus d’initiation par degrés.

Partant, le pouvoir comme le savoir ne peuvent être transmis qu’à des initiés qui ont été reconnus comme aptes à l’exercer. L’accession au mérite n’est donc pas exactement la même que celle qui est a priori promue dans le modèle républicain français, fondé sur le principe d’égalité des chances sinon de discrimination positive. Ce modèle anglo-saxon est davantage fondé sur la cooptation, la promotion interne et la reproduction des élites. Il contribue donc à nourrir les réflexes de caste, le sectarisme, et une méfiance vis-à-vis de tout ce qui vient d’en-bas ou de l’extérieur. A ce titre la prétention « sociale » ou « humaniste » des discours progressistes n’est que pure façade et ne résiste pas à l’épreuve des faits. Il suffit de regarder Macron…

Une autre illustration d’actualité de cette vision de l’autorité et du pouvoir fondés sur un Ordre essentiel qui départagerait les élus tout-sachants et tout-puissants des simples exécutants réside dans les fondements de ce Nouvel Ordre Mondial. Il ne s’agit pas seulement d’instaurer un Ordre qui serait meilleur que le précédent selon une justification fondée sur le mythe du Progrès. Progrès social, politique, économique, matériel, scientifique, technologique, moral, éthique, humaniste ou spirituel. Il s’agit de faire coïncider un Ordre quasi ontologique avec un ordre pyramidal d’organisation de la société, des réseaux de pouvoir et des strates qui composent l’humanité.

Cette vision est totalement contraire au message christique d’émancipation de l’individu, de libération de toutes les assignations identitaires, statutaires, communautaires, politiques, juridiques, sociales, économiques, religieuses, d’édification de la valeur de l’humain, des relations interpersonnelles et sociales selon la seule loi d’Amour du prochain, de partage et de fraternité. Elle s’oppose aussi radicalement aux idéaux humanistes et universalistes (qui en découlent pour une large part), sur lesquels sont fondées toutes les sociétés démocratiques modernes.

En ce sens le projet longtemps annoncé par les gourous du mondialisme comme Jacques Attali d’une « gouvernance mondiale » présentée comme aussi indispensable qu’inéluctable n’obéit absolument pas comme ils le prétendent à une volonté d’étendre ces idéaux démocratiques au monde entier, en nivelant les aspérités éthiques, institutionnelles, juridiques présentes dans les différents états vers le haut. Au contraire ce projet vise à court-circuiter toute émergence d’un vrai gouvernement mondial, démocratique et légitime, qui serait une véritable émanation et le véritable représentant des citoyens du monde, des peuples et de états-nations. Leur projet vise au contraire à détruire méthodiquement ces états-nations, à diluer les peuples, les cultures et les civilisations dans un grand brassage artificiel favorisé par les mobilités et une immigration anarchique, à attiser toutes les tensions communautaristes et toutes les violences mimétiques au sein des états pour fragmenter les états-nations. Pour finalement n’offrir comme seul horizon à une humanité déshumanisée que le Grand Marché Unique Mondial. Un Marché dans lequel tout, y compris nos organes, nos corps et nos cerveaux, seront devenus des marchandises.

Le futur gouvernement mondial qui arrive à grand pas ne sera donc pas un gouvernement des peuples pour les peuples par les peuples. Mais une dictature de tous les humains par quelques multimilliardaires, par l’intermédiaire d’un consortium resserré de banques et d’organismes financiers qui auront entre temps racheté toutes les banques nationales à la faveur du Great Reset.

Une cryptomonnaie unique mondiale aura remplacé, peut-être même dès 2021 ou 2022, toutes les autres monnaies effondrées en 2021 toujours grâce à ce Great Reset économique et financier. A l’image du Phénix, monnaie unique prophétisée par le magazine The Economist en 1988.

La propriété privée aura totalement disparu pour la très grande majorité d’entre nous. Nos en-cours bancaires numérisés seront inscrits dans des nanopuces insérées sous la peau. Comme en Chine aujourd’hui avec le Carnet social, toute contravention aux consignes sanitaires ou de sécurité, toute infraction aux lois dictatoriales, toute tentative de se soustraire à la surveillance totalitaire permanente entraînera la désactivation immédiate de cette puce et l’impossibilité d’acheter quoi que ce soit. Comme de se déplacer, d’accéder à notre domicile ou de se faire soigner. En quelques minutes nous serons repérés et maîtrisés par des drones, arrêtés et emprisonnés. Et si nous avons commis un crime, nous serons « effacés ».

Ce Nouvel Ordre Mondial est entièrement tourné autour des seules valeurs financières. Comme notre monde l’est déjà en grande partie aujourd’hui. Le Culte suprême est celui de l’Agent-roi. Le vrai dieu qu’adore l’élite au pouvoir, c’est Mammon, le dieu de l’Argent et des richesses, plus encore que Satan.

Il faut bien prendre conscience qu’une véritable course poursuite est engagée pour faire échouer ce projet. Il ne faudrait pas sombrer dans ces schémas apocalyptiques ou eschatologiques dont sont friands les évangéliques américains. Ni imaginer une sorte d’Armageddon qui opposerait des armées sataniques réunies autour d’un Antéchrist aux élus que seraient les bons Chrétiens engagés dans un juste combat avec les armées célestes attendant le Retour de Jésus. Cette lecture ultrafondamentaliste et manichéenne ne fait que brouiller le regard et empêcher tout discernement.

Ce qui est certain en revanche, c’est que l’humanité vit la période de plus cruciale de toute son Histoire. Qu’elle est à l’aube d’un Éveil collectif sans précédent. D’un saut majeur entre un niveau de conscience, un paradigme spirituel, et un autre beaucoup plus vaste. Toutes les catastrophes et tous les drames que nous vivons ne sont que des craquements de l’écorce de notre conscience prête à éclore pour vivre sa plus grande métamorphose et donner naissance à une humanité nouvelle. Des manifestations qui affleurent à la surface de notre conscience, comme la lave bouillonnante sous la croûte terrestre juste avant l’éruption finale.

Nous sommes à l’aube d’expérimenter une formidable mutation de notre espèce. Une transformation spirituelle. Non pas sous l’effet de notre propre volonté ou grâce aux pouvoirs que nous aurions acquis, comme celui de nous modifier nous-mêmes. Mais en accédant à un degré beaucoup plus mature de perception et de participation à ce que nous nommons la Réalité.

Ceux qui rêvent de nous asservir font tout leur possible pour éviter cette mutation. En répandant partout la terreur, en nous aliénant à des désirs futiles de consommation et de jouissance superficielle, en nous abrutissant de loisirs et de divertissements débilitants, en nous assomant d’informations bidon qui forgent une image du monde désenchantée, dérisoire et déprimante. En nous empêchant de penser, de réagir, de nous rejouir sincèrement et de créer.

Face à ce sentiment diffus de l’imminence d’un basculement, l’utopie transhumaniste, cette nouvelle religion de la Silicon Valley vantée par ses pontifes fanatiques comme Bill Gates, Elon Musk ou Ray Kurzweil, représente au contraire une forme de régression orgueilleuse et désespérée vers le matériel. Alors que la terre et tout ce qu’elle contient, y compris notre corps, nos cellules, notre ADN, vivent une véritable « Ascension » vers des degrés plus subtils d’énergie, que notre conscience s’affine à mesure que ce processus se poursuit, ceux qui ne croient qu’en la matière voudraient au contraire nous y enfermer. En nous équipant de prothèses aliénantes et en imaginant pouvoir atteindre une hypothétique immortalité par la fusion entre le cerveau humain et l’intelligence des machines.

Leur drame c’est de s’obstiner à refuser d’admettre que nous ne sommes pas des corps biologiques mortels mais des esprits éternels temporairement équipés d’un véhicule physiologique. Qu’avant de nous incarner dans la matière et d’exister, nous étions déjà des faisceaux de lumière. Que la conscience n’est pas comme le croyait une certaine médecine déterministe jusqu’au siècle dernier, et comme le croient toujours les transhumanistes, la résultante de processus biochimiques dans le cerveau mais que, selon la physique quantique, elle préexiste à tout ce qui est, et même produit l’ensemble des phénomènes que nous percevons et de la réalité avec laquelle nous croyons interagir. Qu’aucune intelligence artificielle produite dans un substrat de silicium ne pourra jamais faire émerger une conscience, mais que, comme le démontrent les plus récentes découvertes des sciences cognitives et sur l’origine de la conscience, il y a un fossé radical entre l’intelligence, humaine ou modélisée, et la conscience. Et que c’est sous cette forme consciente, spirituelle, vibratoire, énergétique, lumineuse, que nous poursuivrons notre vie une fois que nous aurons rendu ce corps inerte voué à la putréfaction à la glèbe d’où il fut tiré.

En ce sens, le combat contre leur Nouvel Ordre Mondial est bien un combat eschatologique. Puisque qu’il oppose notre inéluctable montée vers l’atemporalité à une quête illusoire et tragique d’immortalité. Les transhumanistes croient en la Mort. C’est la peur qu’elle leur inspire, celle de la Perte de tout ce qu’ils croient posséder, à commencer par eux-mêmes et les autres, elle-même engendrée par l’illusion de la Séparation dont la Mort est la matrice et le synecdoque, qui les poussent à imaginer des subterfuges pour lui échapper. Ceux qui croient en l’Eternité et qui comprennent le sens de la Résurrection n’y voient pas qu’un événement dans l’Histoire qui nous précipiterait hors de l’Histoire. Un phénomène merveilleux ou extra-ordinaire. Ils y voient la manifestation de la vraie réalité des choses. Et l’état de conscience parfait de l’âme à son Maximum de potentiel.

Soyons donc des éveillés et des ressuscités, des « dieux » vivants, pas des terrorisés ! Des êtres de lumière, pas des robots de métal. Des fils de l’Eternité, pas des esclaves du Nouveau Ordre Mondial.

Rien ne peut nous vaincre ni nous atteindre. Rien ne peut nous effrayer. Ce monde a déjà été vaincu. Ignorons les spectres et les mensonges. Et enivrons-nous face au Firmament.