Le pape blanc et le pape noir

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Je tiens à prévenir mes lecteurs : je vais être caustique ! Et pas pour vous incitez à une nième rediffusion du toujours culte et désopilant Le Père Noël est une ordure.

Je regardais aujourd’hui en souriant les publications de mes amis les plus fanatiques de la secte catholique se pâmer à l’approche de Noël en admirant leur gourou roudoudou François aligner quelques gesticulations mielleuses de circonstance.

Hier soir, j’ai regardé pour la première fois l’excellente comédie Saint Jacques-La Mecque sortie en 2005. Avec un titre pareil, je m’attendais à un nanar franchouille politiquement correct de plus sur le vivre ensemble, avec de gros gags bien lourdauds. Eh bien j’ai été bluffé par la qualité et l’émouvante poésie de l’opus, servie par des acteurs de qualité fort bien dirigés.

La grosse méchante Muriel Robin que je déteste s’en sort très bien ; elle a même réussi à me tirer une larme. Il est vrai qu’avec le Covid ça coule tout seul.

Au début je l’ai trouvée too much mais parfaite dans son rôle de prof intello de gauche, anticléricale, mal baisée et aigrie. En général je plussoie quand on tire à boulets rouges sur une institution aussi vérolée que l’Eglise de Rome, mais à condition de le faire avec intelligence, des arguments qui font mouche et sans trop d’affects.

Et puis tout à l’heure sur Facebook, en voyant les publis de ces éblouis, mon agacement m’a rappelé le sien.

A quoi bon vouloir convaincre ces scouts béats que leur gourou blanc, aussi sympathique soit-il, est une lavette pas très fute-fute, et surtout qu’il est diaboliquement manipulé par les pires salauds que compte la caste mondialiste.

Je suis déjà étiqueté comme « complotiste » depuis quatre ans, « islamophobe » depuis que j’explique pourquoi Islam et islamisme aujourd’hui c’est kif kif, « antisémite » quand il m’arrive de critiquer Netanyahu et sa clique de satanistes messianiques, alors inutile d’en rajouter.

Mais tout de même. Si j’établis une comparaison, j’avoue que j’ai du mal à trouver des différences entre François, le pape actuel, et Klaus Schwab, le gourou nazi de Davos.

Ce sont en fait les deux faces d’une même monnaie numérique.

J’avais beaucoup vibré il y a dix ans lors du sacre de ce brave François.

Pensez, après l’autre Panzerpapst nazi, pédé planqué avec ses petits mocassins roses Louboutin à 30.000€. Un théologien phobique du sexe échappé du Moyen-âge, qui avait fait régresser l’église catholique au 12e siècle, en ressortant les bûchers pour brûler les LGBT, qui condamnait sans nuances l’homosexualité et le mariage pour tous… Tout en couvrant les plus grands scandales jamais connus dans l’Histoire de pédophilie, de harcèlement sexuel, de viols de bonnes sœurs, d’enfants avortés par des religieuses, de trafics divers, de messes noires dans les sous-sols du Vatican et autres trucs satanistes chelous révélés par des enquêtes vite étouffées réalisées par quelques grands médias italiens ou internationaux.

J’avais juré de ne plus remettre les pieds dans cette église du diable qui s’enfonçait dans l’hypocrisie, la duplicité, la décadence et le stupre glauque tout en faisant la morale, à l’opposé radical du message évangélique.

Et puis Bergoglio avait surgi, avec sa bonne bouille rassurante de papy latino hilare. Avec son style sobre, humble, chaleureux, proche des gens, aux antipodes du sombre Palpatine allemand. Et avec des déclarations très « progressistes » à l’opposé de son prédécesseur.

Un espoir.

Et puis badaboum. Des encycliques et des déclarations de plus en plus floues, étranges, davantage raccord avec Le Monde qu’avec les Evangiles. Sur les LGBT, mais qui s’en plaindrait ? Et puis sur l’IsIam, sur les réfugiés, sur le climat… Et enfin sur le Covid et ces faux vaccins : le sujet par lequel le scandale arrive.

Recevoir deux fois lors d’audiences privées Albert Bourla, PDG de Pfizer, et Melinda Gates, femme de Bill Gates, psychopathe notoire et eugéniste assumé, Co-Présidente de la fondation qui porte leur nom et qui finance depuis 20 ans l’industrie pharmaceutique, l’une des plus corrompue et criminelle au monde. Mais aussi 40% du budget de l’OMS, et des programmes humanitaires de « vaccination » massive dans le Tiers-monde, qui ont été avérés directement responsables de plus de décès d’Africains, d’Indiens ou de Sud-Américains qu’aucune épidémie au monde sur la même période.

Tout ça avant de déclarer publiquement une immondicité aussi énorme que « La vaccination est un acte d’amour ».

Combien de millions ont été versés par Big Pharma à la Banque du Vatican pour lui faire accoucher d’une horreur pareille ? C’est un peu comme si Pie XII avait déclaré en 1943 : « La Shoah est un acte d’amour ! Poussez-les dans les trains ! »

Après une telle horreur, hélas confirmée par d’autres tout en distillant cet air patelin qui berne les bons crétins, Bergoglio s’est rendu objectivement complice du pire crime contre l’humanité jamais orchestré dans l’Histoire, loin devant les camps. Pas moins.

On le savait déjà, le Vatican est depuis longtemps l’une des antichambres de l’Antéchrist. Mais là ça se voit trop !

L’Antéchrist, ou plutôt cette secte pédo-satano-mondialiste, transhumaniste et eugéniste, qui avance masquée derrière des discours « progressistes », droits-de-l’hommistes, pro-minorités, pro-immigration, pro-Islam, pacifiques, écologiques, et aujourd’hui franchement woke, pour dérouler son plan macabre de conquête du Pouvoir absolu, à l’exact opposé des belles intentions affichées.

Ceux qui ne l’ont pas encore compris sont soit des victimes, soit des imbéciles. Et ceux qui s’entêtent ne méritent que mépris.

Quant à Klaus Schwab, au moins il a le mérite d’être à peu près transparent. Le prétendu « fondateur » et Président à vie du Forum de Davos, crée en 1972 par le groupe de Bilderberg, et nommé à ce poste par Henry Kissinger, est un authentique nazi.

Son père, faut-il le rappeler, était un haut dignitaire allemand du Parti Nazi. Il a vécu en Suisse où il dirigeait pendant la guerre une usine fabriquant des pièces d’artillerie pour la Wehrmacht, en employant un personnel de quasi-esclaves à peine salariés, comme c’était l’usage chez beaucoup d’industriels nazis (notamment le fameux Oskar Schindler immortalisé par Spielberg). C’était aussi un ami personnel de Goebbels, et un conseiller du Führer.

Une bio haute en couleurs, que les amis de Klaus ont soigneusement retiré de sa page Wikipédia, une plateforme aujourd’hui contrôlée par la CIA. Mais il est très facile de retrouver les détails sur cette prestigieuse généalogie du gourou de la secte de Davos.

Une secte dont font partie Emmanuel Macron, Ursula von der Leyen (elle aussi issue d’une famille d’officiers nazis), Justin Trudeau, Angela Merkel, Nicolas Sarkozy, François Hollande, Joe Biden, Olaf Scholz, Rishi Sunak, Pedro Sanchez… Comme presque tous les chefs d’Etats et ministres occidentaux qui comptent aujourd’hui, et les nouveaux scouts de Davos adoubés chaque année par le grand-maître de ce cette confrérie de Young global leaders.

Une confrérie qui compte aussi quelques grands patrons de multinationale, comme Bill Gates, Mark Zuckerberg, Elon Musk et bien sûr Albert Bourla, des banquiers, des scientifiques de renom, des journalistes, des artistes du show biz comme Bono le chanteur du groupe U2, ambassadeur infatigable de Davos, des acteurs de premier rang comme Leonardo di Caprio ou Charlize Theron, des cinéastes comme Jean-Jacques Annaud. Tous formés pour infiltrer les plus hautes instances dirigeantes de la politique, de l’économie, de la finance, de la recherche et de la science, des médias, des arts et de la culture, et même des églises officielles, afin de propager l’Evangile ultralibérale de Davos.

Et servir le dessein de ses maîtres qui est de précipiter grâce au Great Reset initié grâce au Covid et à d’autres chocs planifiés* leur Meilleur des mondes en marche.

Un monde disruptif dont ils se déclarent eux-mêmes « les dieux« , par opposition aux « inutiles » que nous sommes. Un monde marqué par un ordre dystopie radicalement inégalitaire, totalitaire, le contrôle numérique et transhumaniste absolu des individus, et à la réduction drastique des populations, destinées à vivre comme des marchandises ou des esclaves en sursis pilotés par les AI.

Il suffit pour s’en convaincre d’écouter les innombrables déclarations publiques et interviews à faire froid dans le dos que donne Klaus Schwab avec un cynisme assumé depuis des années. Mais que personne n’écoute.

A noter que le conseiller spécial de Klaus Schwab sur les questions transhumanistes, qui est également le conseiller de Bill Gates sur ces questions, n’est autre que Yuval Harari, un fou dangereux dont les visions sur l’humanité future relèguent le sinistre Docteur Mengele au rang d’apprenti.

Pour se faire un aperçu de la folie de Klaus Schwab, duplicata des obsessions génocidaires, de contrôle et de manipulation dont firent preuve les pires expérimentateurs nazis, on pourra opportunément regarder cette interview réalisée par la RTS (Radio Télévision Suisse) en 2016.

Dans cette vidéo, Schwab se laisse aller à sa fascination pour les prouesses glaçantes que laisse entrevoir de la puce Neuralink développée par la start-up de neurosciences du même nom créée par son poulain Elon Musk. Une puce implantée à la base du cerveau humain pour permettre (en théorie) à celui-ci de se connecter directement à internet et aux AI. Et de récolter à son insu pléthore d’informations confidentielles sur son état de santé physique et psychique, mais aussi de le manipuler à distance.

Avant d’en arriver là, chaque YGL est invité régulièrement à Davos lors du grand raout annuel, qui célèbre devant des fidèles assemblés comme sur la Place Saint-Pierre la promotion des nouveaux scouts de l’élite. Le gourou mondialiste y célèbre devant un parterre de médias triés sur le volet les réussites de ses protégés, l’efficacité avec laquelle ils ont infiltré les gouvernements du monde, et leurs objectifs à venir.

Ces Young global leaders sont aussi formés dans un même moule à l’école de Davos à l’art du leadership. C’est à dire à parler d’une même voix pour propager la Bonne nouvelle du néolibéralisme, du mondialisme multipolaire et du progressisme triomphants, à exercer leur influence sur tous les leviers de pouvoir, avec un art consommé de la manipulation et de l’infiltration. Des méthodes dont l’efficacité ferait pâlir l’Eglise de Scientologie !

Tout compte fait, il n’y a pas vraiment de différences entre Rome et Davos aujourd’hui.

Même affichage publicitaire, même culte de la personnalité autour d’un seul homme, mêmes rituels grandiloquents Urbi et Orbi.

Même doctrine et même rhétorique progressistes tendance woke : humaniste, œcuménique, pacifique, écologique, victimaire envers les minorités ethniques, religieuses, sexuelles, les migrants et réfugiés, pro-Islam et pro-immigrationniste.

Avec une tendance plus déconstructionniste à Davos, liée à cet objectif du Great Reset de détruire au plus vite les Etats-nations et les identités qui les sous-tendent. Avec un tropisme pro-Chinois plus évident à Davos.

Ces deux sectes jumelles s’appuient sur une logique messianique revendiquée : l’avènement du Royaume des cieux après l’Apocalypse et le Jugement dernier pour Rome : une tarte à la crème auxquels peu de cardinaux doivent encore croire, recouverte par un charabia de bonnes intentions politiquement correctes calées sur l’Agenda de Davos, de l’ONU, et de la caste financière qui contrôle ces institutions. Normal quand on a des mécènes exigeants… Et le Nouvel ordre mondial post Great Reset pour Davos : la plus effroyable des dystopies jamais imaginée, déguisée en Meilleur des mondes post-humain piloté par des AI.

Bien sûr l’une est le négatif de l’autre : le Côté obscur vs. le Côté lumineux de la Force. Mais ça, c’est la théorie. En vérité il y a longtemps que les deux se sont contaminées l’une l’autre, au point de se ressembler. Dans l’objectif de la Caste, ils sont même complémentaires, comme le yin et le yang. Les sous-sols du Vatican et les couloirs de la curie regorgent d’authentiques satanistes, de missionnaires de loges infiltrés et influents, avides d’intrigues et de pouvoir, comme à Davos ou à Washington. Et qui rêvent d’accroître leur pouvoir en vendant le véritable trésor du Vatican, à savoir ses deux milliards d’âmes, aux bookmakers de BlackRock ou de Vanguard. Exactement comme toutes les grandes institutions religieuses du monde qui ont été patiemment infiltrées depuis des décennies.

Et ce pape, tout jésuite qu’il est, n’est ni assez intelligent ni dépositaire de l’autorité suffisante pour s’opposer à ce manège qui avait valu son siège à son prédécesseur, comme à bien d’autres avant eux. Pire, il collabore activement, en se faisant le relai idéologique et systémique de cette possession de l’Eglise par des forces qui entendent l’utiliser avant d’en finir.

Le vers est dans le fruit.

C’est pourquoi il faut se garder de toutes ces institutions. Cesser de croire que le Salut viendra d’institutions qui ont été prophétisées par leur fondateur comme corrompues jusqu’à la fin des temps. Trouver plutôt le courage de prendre les chemins de traverse, et s’unir ensemble avec la Vérité pour seule lanterne. Et non des guides maléfiques qui servent l’Ennemi plutôt que le Maître.

« L’Eternel marchera lui-même devant toi, il sera lui-même avec toi. Il ne te délaissera pas, il ne t’abandonnera pas. N’aie pas peur et ne te laisse pas effrayer. » (Deutéronome 31:8)

Joyeux Noël !

Le sexe, le l’art et le con d’Allah

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Aujourd’hui j’ai très envie d’emmerder les islamopithèques qui ne se sont pas encore fait greffer un cerveau.

Parce que là vraiment, non ça suffit !

Me vient en tête une boutade lancée par un ami il y a plus de 20 ans pour amuser la galerie : « God is Black Lesbian! « 

Imaginez qu’Allah puisse être une Négresse lesbienne. Et que de son con divin puisse jaillir des myriades de petits Mohammed insignifiants… Quel délice ! Et quel cauchemar pour l’islamopithèque moyen !

Il y a une vingtaine d’années, après le 11 Septembre, je me plongeais dans un petit opuscule délicieux de Martine Gozlan, grand reporter et rédac’ chef à Marianne, et orpheline d’une culture orientale qui n’est plus : Le Sexe d’Allah (2004). Rien que le titre éminemment provocateur de ce livre intelligent et érudit, qui plus est écrit par une femme qui osait dénoncer le voile à la barbe des islamistes en ces heures crépusculaires, donnait envie de lire la suite.

Mais rien n’y a fait. Le gentil Malek Chebel, auteur d’un Dictionnaire érotique des Mille et une nuits, est mort un an exactement après le Bataclan, presque sans qu’on s’en émeuve.

Les autres universitaires arabes se sont tus les uns après les autres, attentat après attentat. Eux qui réhaussaient encore le niveau de l’Université française avant que le wokisme ne l’enterre définitivement sous une chape de plomb morale, avec cette pensée unique islamogauchiste téléguidée par les Frères musulmans, aussi glauque qu’une page de Soljenitsyne sur le goulag.

Même le subtil Abdennour Bidar, avec son Self-Islam qui réhabilite l’individu en Islam, cette belle invention purement occidentale enfoncée comme un coin dans une culture arriériste qui en ignore tout et brûle ses apostats, Abdennour et son parcours original pour franchir le saut spirituel et sortir des religions, cette élégante icône du vivre ensemble et de la Fraternité républicaine sous Hollande, ne semble aujourd’hui plus y croire. En tout cas on ne l’entend plus.

Aujourd’hui les disputations philosophiques se règlent lors de battles de la punchline la plus vulgos chez Hanouna, dans le meilleur des cas. Ou à coups de couteau en bas de la cage d’escalier.

Quant au sexe, il a suivi le même traitement binaire que la pensée : halal ou haram, point barre. Le libertinage à la française ? Un péché capital ! Presque autant que le libre arbitre pour tout ressortissant de l’Oummaland, ses miradors, ses barbelés et son ordre immoral.

Violer une mineure à la sortie du lycée ? Halal. Cette pute n’avait qu’à pas traîner dans cette tenue…

Battre sa fille ou sa soeur parce qu’elle refuse de porter son voile ? Ou parce qu’elle échange des mots doux avec son petit ami sur WhatsApp sans l’accord de ses grands frères ? Halal.

Obliger sa femme à se faire ken quand on veut dans la position qu’on veut comme on rentre dans un Mc Do pour commander un double cheese ? Halal.

Lui acheter des sextoys ou des dessous de grosse tepu pour s’exciter avec elle à la maison ? Halal. Vive le mariage musulman ! Pour les hommes uniquement…

Mais draguer un autre keum sur Tinder ? Haram, U Allah !

Déclarer son amour à un homme quand on est une femme, ou marcher seule avec lui dans la rue ? Haram !

Montrer un tableau de maître avec des figures mythologiques représentées par des femmes nues dans un cours d’Histoire pour des ados dans une école de la République ? Super haram !

Comment en est-on arrivé là ?

A force de démagogie, de mensonges assénés à l’opinion, de compromission pour sauver son siège, de reculades, de clientélisme et de petits arrangements avec les Maures.

Et puis à force de tout accepter, de tout tolérer, on en vient à n’être plus soi-même tolérable aux yeux de ceux dont on a toléré l’intolérable.

Doit-on pour autant cesser de tolérer la foi des autres ? Bien sûr que non. Mais comme disait Gisèle Halimi, qui doit se retourner dans sa tombe en voyant les féministes d’aujourd’hui défendre le voile islamiste au nom du droit des femmes, et refuser de condamner le viol en réunion de femmes israéliennes par les démons du Hamas qui leur coupent les seins :

« Une foi n’est tolérable que si elle est tolérante. »

Une belle définition de la laïcité.

Alors on a laissé le monde, le nôtre, et notre civilisation avec, s’enfoncer dans une pornographie obscène qui mêle terreur, violence, arbitraire, loi du plus con et le comble de l’absurde. Le tout légitimé par des frustrés. Tout ça au nom du droit à la différence et d’une mauvaise conscience coloniale refoulée.

Charlie padamalgam, Bataclan padamalgam, Préfecture padamalgam, Sarah Halimi, Père Hamel, Promenade des Anglais, Notre-Dame de Nice, Samuel Paty… Hijab, niqab, burka, burkini, abaya, Inch’Allah et U Allah en guise de points et de virgules… : j’ai jamais appris autant de mots d’arabe en si peu de temps !

Et pis remettez-nous donc une giclée de ketchup pour ce second mandat ! Parce qu’on commence à s’ennuyer depuis qu’un virus de pangolin a remplacé au 20 Heures les Néandertaliens en djellaba qui butent les mômes aux terrasses et jouent au foot avec la tête des profs.

Annecy, Arras, le 7 octobre, les profs décapités, égorgés, humiliés, menacés, terrorisés par des mioches protopubères… Hier pour quelques caricatures d’un gugus enturbanné qui n’a jamais existé ; demain pour un nichon qui dépasse de la toge d’une grosse meuf de 300 ans sur un tableau tout craquelé.

Nan, mais oh ! les gars. C’est bon, vous avez consulté ?…

Il est temps qu’Airbus fabrique des charters XXL avec ouverture automatique de la soute au-dessus de la Méditerranée pour des vols low cost no retour no future.

Qu’on dégage les accros au sperme islamiste comme le Pinocchio de l’Elysée et son/sa Brigitte (autant appeler « les choses » par leur nom).

Que l’armée prenne d’assaut tous ces territoires perdus pour éliminer au napalm – pas au Kärcher – ces racailles, dealers, truands, trafiquants d’armes, barbus violeurs de femmes et d’enfants, bouchers saignant indifféremment moutons et enseignants, massacreurs de la langue de Molière pour qui ce patronyme n’évoque qu’un vague chanteur ivoirien oublié depuis belle lurette, ces prêcheurs de haine sataniques, ces voleurs endurcis et ces arnaqueurs professionnels de la CAF, de la Sécu, des Assedic et du droit d’asile. Tous ces faux réfugiés qui à peine débarqués d’avion font la manche par paquets de dix à la sortie du périph et vous crachent dessus si vous ne leur filer pas la pièce : pire que des Roms ! Et puis tous ces mioches qui n’atteindront jamais leur CAP, mais qui dès 8 ans rêvent de prouver leur virilité en serrant une go à la sortie du métro, en guettant les flics pour prévenir les grands-frères, ou en allant fourguer leur cutter dans l’œil d’un Babtou qui les a regardés de travers.

J’admire la persévérance et le courage des ex-muslims comme Majid Oukacha qui pondent chaque semaine des vidéos pour recoudre les lambeaux de cerveaux déchiquetés à l’acide coranique. Ou bien les apostats comme Gad Elmaleh qui jouent à la roulette russe en osant déclarer publiquement leur passion pour un truc aussi ringard que la Sainte Vierge.

J’ai honte d’avoir été contaminé ainsi par la haine mais ça passera.

En attendant, faut que je vide ma colère, sinon je vais finir comme Charles Bronson. Vous savez : Un Justicier dans la ville, pour ceux qui ont une culture ciné ?… Bah quoi ? J’ai quand même pas l’âge de Clint Eastwood dans Gran Torino ?

Pour le sujet du jour qui me turlupine (quel joli mot : turlupine…), je voudrais tenter un rapide panorama en images de l’art érotique, de la Préhistoire à Pierre et Gilles.

Histoire de bien emmerder ces islamopithèques qui nous pourrissent la vie avec leur puritanisme visqueux (vice-queue) et leurs hypocrisies obscènes (zob-cène).

Eux qui crient au loup hou hou ! (hou Allah…) dès qu’ils voient un tableau Renaissance avec une blonde mineure à oilpé dressée sur un coquillage, ou l’une de ces femmes aux formes généreuses surprises au bain par le pinceau d’Ingres ou de Rubens, ou même un mannequin Dior défiler en lamé fendu dans un de ces palais des beaux quartiers où l’on a encore la bienséance de les refouler.

Que dire de ces troublants satyres grecs en érection qui feraient passer leurs zguègues misérables de puceaux frustrés pour de ridicules cure-dents ? Ou de ces solides gaillards scénarisés par Pierre & Gilles ou Tom of Finland qui n’ont aucune fausse pudeur, eux, à se grimper dessus pour célébrer leur masculinité décomplexée ? Contrairement à ces dégénérés qui vont se planquer dans le noir le soir au fond de leur piaule minable infestée d’autres cafards pour s’astiquer en loucedé en miaulant devant un porno gay sur leur iPhone volé à Barbès.

Il faudra un jour qu’on m’explique comment ces chameliers ont pu être assez tordus pour inventer une religion qui promet à ses fidèles une fois grimpés au lupanar d’Allah de sauter plus de vierges et de jeunes garçons qu’ils n’en croiseront dans toute leur vie, tout en leur interdisant de reluquer plus d’un centimètre carré de la peau d’une greluche de 80 balais ou d’un bébé de 6 mois… Forcément, ça crée des générations de frustrés !

Sauf qu’imposer aux gens normaux comme nous leurs obsessions macabres, leur perversité hypocrite, et de surcroît leur inculture crasse d’analphabètes endurcis qui ne savent même pas faire la différence entre un teasing de lopsa sur le web et un sommet de l’art occidental, non là, c’est vraiment too much !

Puisque les profs sont impuissants et persécutés, que les politiques ont renoncé à endiguer la marée nauséabonde qui continue de déferler sur nos villes et nos campagnes, à empêcher ces barbares d’égorger nos fils et nos compagnes, et d’élever le QI de ces cancrelats résolus à squatter la place, il faudra bien un jour que quelqu’un fasse le sale boulot.

Mais c’est un autre sujet. En attendant il est temps de continuer à cultiver ces bonnes valeurs françaises que le monde nous envie : beauté, élégance, esprit, humour, galanterie (au singulier ou au pluriel), ripaille, bombance et indifférence à l’égard des ressacs du monde.

A bout de souffle !

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Pour la 2e fois en 2 ans, j’ai bien cru que j’allais crever comme un chien tout seul la nuit dans ma chambre. A cause de cette maudite toux si particulière que provoque le Covid !


Un premier épisode Covid en juillet 2021, déclaré pendant un voyage en Normandie pour rechercher des maisons. Un pis-aller (pis-à-lait…) aux douces Charentes où je ne trouvais que tchi. A cause de ces maudites sauterelles parisiennes qui ont fait flamber l’immobilier après avoir dévoré le reste de la France tranquille.

J’avais failli me faire jeter en pleine nuit de ma chambre par ce loueur Airbnb très désagréable sis dans un quartier pourri de Rennes, qui avait paniqué en m’entendant tousser comme un damné à travers la cloison.

J’avais pourtant pris soin avant de partir de consulter le remplaçant de mon médecin pour balayer ces symptômes inquiétants d’infection respiratoire. Lequel m’avait assuré mordicus mais sans faire aucun test que « Non Monsieur, vous n’avez pas le Covid !« 

Aussitôt rentré, mon médecin avait repris les choses en mains, et mis illico sous protocole Raoult, expédié au lit pour 10 jours avec 39° de fièvre, des suées dignes du Niagara, une fatigue à ramper aux chiottes… Et une toux !…

Ceux qui ont bidouillé cette arme bactériologique sophistiquée dans leurs éprouvettes à Wuhan, en y glissant discrétos un soupçon de sida et de malaria, n’ont pas fait les choses à moitié.

Et ce variant Delta, le pire de tous les avatars du rejeton d’un pangolin alien et d’une chauve-souris mongole, qui a tué plusieurs centaines de milliers de petits Indiens privés d’ivermectine par les Trois mousquetaires satanistes – Bill Gates, Tadros Ghebreyesus et Anthony Fauci (traînés depuis devant la Cour de Justice Internationale par le Barreau des avocats indiens pour crime contre l’humanité) – aura rempli ses bons offices en liquidant une partie des indésirables et autres réfractaires. Dont j’ai bien failli faire partie.

Car j’ai découvert à cette occasion ce qu’est l’amorce d’une détresse respiratoire.

L’amorce seulement. J’imagine combien ceux qui sont morts dans d’atroces souffrances physiques et psychologiques, notamment les malades qui avaient eu la bonne idée de se faire piquouzer (« parce que ça évite les formes graves blablabla »…) ont pu endurer !

Tous ces petits vieux refoulés des hôpitaux parce qu’improductifs pour l’économie, des charges pour la société qu’il fallait bien un jour se résoudre à éliminer, comme nous l’a maintes fois claironné depuis 40 ans ce cher Jacques Attali. Et puis ces cancéreux incurables, ces diabétiques, ces mongoliens, ces sidéens qui grèvent les comptes de la Sécu !

Au vu de mes nombreuses tares et étant assez proche de l’âge de la retraite, j’aurais tout aussi bien pu faire partie d’une charrette.

Car quand les quintes de toux s’enchaînent à un rythme accéléré au point de devenir incontrôlables, surtout en pleine nuit, on s’épuise très vite. On n’arrive plus à reprendre son souffle entre deux toux, le taux d’oxygène s’amenuise dans le sang, les muscles de la poitrine se tétanisent. Et puis surtout la dilation des petits vaisseaux pulmonaires due à l’inflammation provoquée par le virus, ajoutée à l’irritation provoquée par l’air expulsé de façon réflexe pendant des heures que dure la toux, font que votre corps devient subitement incapable de fixer l’oxygène vital qui fait défaut.

Ajouté à cela l’effet panique de ne plus arriver à respirer, et de se retrouver seul avec l’éventualité de faire un malaise, voire de mourir bêtement sans pouvoir appeler les secours… Je ne souhaite à personne de vivre cela.

Pour couronner le tout, 9 mois après cette première expérience in vivo du Terminator de la série Covid, je n’avais toujours pas complètement retrouvé ni goût ni odorat, totalement zappés les 3 premiers mois.

Cette fois-ci je ne m’étais pas préparé. Toute la complosphère dont je fais partie répétait à l’envi depuis cet été que ce nouveau variant saisonnier du Covid annoncé pour la rentrée était un petit joueur avec des symptômes anodins.

Affaibli depuis le début de l’automne, très affecté par les évènements du 7 octobre puis le décès de ma mère à la Toussaint, épuisé par les préparatifs de la cérémonie prévue le 8 décembre en son hommage à Paris, je me sentais tout patraque à l’approche du départ. J’avais pris soin de consulter mon médecin, qui m’avait assuré que je n’avais pas le Covid. Donc en voiture, Simone !

De retour à la maison 8 jours plus tard, me voici avec des pluies diluviennes, un toit en mode passoire, et l’eau qui pisse sur mon lit. Et un diagnostic imparable : 2 autotests positifs ! Re-médecin, ivermectine, azithromycine, artémisia, Vitamine C, Vitamine D, Zinc, Aspégic, collutoire, gouttes dans le nez, huiles essentielles… Toute la pharmacopée anti-Covid y passe !

Sauf que cette maudite toux, elle, ne passe pas. Et rebelote : 2 nuits avec un réveil subit, pris par une quinte irrépressible. Et 30 secondes plus tard, la panique : impossible d’arrêter de tousser. Et surtout impossible de respirer.

On tente de se calmer, on convoque tous les dieux de l’Olympe, on appelle sa mère… La crise finit par passer… Avant de reprendre une heure plus tard.

J’ignore pourquoi spécialistes, médecins et pharmaciens ne donnent pas la recette à suivre lorsque survient une telle crise de toux, suivie en général d’une bonne crise de panique. Ou un spray de Ventoline au cas où.

Quoi qu’il en soit, au cas où je ne l’aurais pas encore compris, au cas où je ne l’aurais pas assez côtoyée dans ma vie notamment ces 5 dernières années, je sais que je suis mortel. Je sais que la mort peut intervenir à tout moment. Et je sais que ça n’est pas vraiment une partie de plaisir.

LES LIAISONS DANGEREUSES

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Les Américains ne se sont jamais embarrassés de principes pour servir de relai de propagande aux Nazis.

Dans les années 1930 et 1940, les banquiers capitalistes américains et les stratèges du Pentagone ont discrètement misé sur Hitler (mais aussi sur les fascistes italiens, espagnols ou français) pour faire barrage à l’expansion militaire et idéologique en Europe de leur ennemi juré : Staline et les bolcheviques soviétiques.

C’est ainsi que les banquiers américains, notamment les Rothschild, n’ont eu aucun état d’âme à financer la montée du Parti Nazi, l’arrivée d’Hitler au pouvoir, la remilitarisation de l’Allemagne, puis l’effort de guerre de l’Allemagne nazie. Tout en soutenant parallèlement les puissances alliées dans leur croisade pour libérer l’Europe. Et surtout pour créer sur ce continent un marché sans frontières largement ouvert aux produits et capitaux américains, une fois cette vilaine guerre terminée et la Bête immonde terrassée.

Et puisque le plan d’invasion anglo-saxon de la France imaginé par Roosevelt, avec présence permanente de troupes américaines sur notre sol, administration du pays par Washington et monnaie locale adossée au dollar, avait été un échec, à cause d’un emmerdeur orgueilleux appelé de Gaulle que Roosevelt tentera de faire assassiner une fois celui-ci arrivé au pouvoir, eh bien Vive le Plan Marshall ! En attendant la construction de cette Europe pacifique, libérale et prospère grâce aux Etats-Unis d’Europe. On connaît la suite.

Sait-on seulement que ce plan d’une Europe fédérale calquée sur le modèle des Etats-Unis avait germé dans les cartons du IIIe Reich avant de se retrouver sur le bureau des stratèges yankees ? Et que l’un des grands architectes de la CECA, choisi par nos protecteurs américains comme premier Président de la CEE ne fut autre que Walter Hallstein, un ancien officier nazi ?

Sait-on que l’une des principales obsessions de nos valeureux libérateurs avant que l’Allemagne ne capitule en 1945 fut d’organiser méticuleusement l’exfiltration de plusieurs centaines de dignitaires et surtout de chercheurs et scientifiques nazis dans de nombreux domaines (nucléaire, armement, médecine…), au cours d’une opération secrète baptisée Paperclip et orchestré sur le sol allemand et européen par l’élite de l’armée américaine dans le plus grand secret ?

Ces VIP nazis ont été ensuite cachés et dorlotés aux Etats-Unis, avant d’être recyclés dans divers programmes stratégiques secrets de recherche à caractère militaire ou scientifique. Par exemple dans le Projet Manhattan destiné à mettre au point la première bombe nucléaire américaine larguée sur le Japon en 1945, ou le programme Apollo destiné à envoyer le premier astronaute américain sur la lune en 1969. Mais aussi le projet mondialiste (Nouvel ordre mondial avec création par étapes d’un gouvernement mondial en remplacement des Etats-nations), avec Kurt Waldheim, ancien agent nazi de la Wehrmacht en charge des pires atrocités, nommé Secrétaire général de l’ONU en 1972, etc.

On pourrait aussi citer les programmes de recherche secrets de la CIA comme le programme de manipulation mentale MK Ultra, dont la nature et les implications n’ont rien à envier aux expérimentations du terrible Docteur Mengele dans les camps nazis. Et bien d’autres encore.

Plus récemment avec la guerre en Ukraine, on a vu ressurgir d’authentiques nazis dans l’entourage du petit pantin Volodymyr Zelensly formé à l’école du leadership parmi d’autres Young global leaders du grand Nazi de Davos Klaus Schwab. Une marionette sans aucune épaisseur ni expérience politique, parachutée subitement « Président de l’Ukraine » au terme d’un coup d’Etat destiné à dégager en 2019 le Président démocratiquement élu de ce pays parce que jugé trop favorable à Moscou. Le figurant fut aussitôt chargé d’être le Président fantoche d’un pays qui avait déjà violé les Accords de Minsk signé en 2014 entre l’OTAN et Moscou, et de poursuivre le génocide d’Etat documenté par les ONG internationales et perpétré par des milices d’extrême droite ultranationaliste contre les minorités russophones dans les régions situées à l’Est de l’Ukraine comme le Donbass. Une stratégie destinée à provoquer un casus belli, et obliger ainsi la Russie à intervenir militairement afin de protéger ses ressortissants, tout en lui faisant porter la responsabilité d’une guerre sale aux frontières de l’OTAN qu’elle pouvait difficilement éviter. Et permettre ainsi aux stratèges américains et européens de mener par procuration en faisant mine de ne pas s’en mêler cette guerre dont il rêvaient depuis 1991 contre l’ours russe, en espérant ruiner son économie (raté…) et surtout sécuriser gazoducs et greniers à blé ukrainiens. 

Accélérer l’expansionnisme otanesque vers la Russie en intégrant l’Ukraine (qui est au passage le berceau de l’empire russe) au bloc néolibéral anglosaxon, donc à l’OTAN et à l’UE : voilà le but inavoué des éternels « défenseurs de la démocratie« . Une stratégie qui là encore met en scène d’authentiques nazis. Lesquels n’ont jamais disparu d’Ukraine où ils pullulaient pendant la guerre, quand le peuple ukrainien allait embrasser les chars de la Wehrmacht censés les délivrer du joug stalinien.

Doit-on rappeler que cette « guerre de résistance ukrainienne » contre le méchant Poutine dont on nous rebat les oreilles depuis un an et demi se fait grâce au concours stratégique de plusieurs milices paramilitaires néonazies alliées du pouvoir et qui se battent aux côtés de l’armée régulière, comme Azov ou Secteur A ? Doit-on aussi rappeler que depuis l’arrivée de Zelensky au pouvoir des néonazis siègent en toute impunité au Parlement ukrainien ? Intéressant pour une République européenne qu’on nous vend comme un modèle de démocratie…

Quant au petit pantin chouchou des médias et copain comme cochon avec notre Foutriquet national, il a sans doute été sélectionné lors du casting de la CIA pour ses brillants talents d’acteur de téléréalité. Car à peine cette guerre injuste à laquelle personne ne voulait croire mais que certains piaffaient de voir démarrer était-elle déclarée que Zelensky fut grimé devant toutes les caméras occidentales en « héros de la nation ukrainienne martyrisée« , la mine grave et sobre mais tenant ferme son micro pour défier le nouvel Hitler du moment, dans son impeccable treillis kaki, alors que les obus russes zébraient le ciel de Kiev.

On l’a bien vu avec ces demandes de plus en plus gênantes de rallonges de milliards à la communauté internationale pour s’acheter de nouveaux jouets, et qui ont fini par le décrédibiliser, ce Pinocchio ultra corrompu n’est exclusivement motivé que par l’obsession de gonfler sa propre fortune personnelle, qui est déjà colossale. Une fortune et un pouvoir confortés par de sombres oligarques ukrainiens, soutenus par Washington, qui financent et protège leur marionnette tant qu’elle peut leur servir. Oligarques par ailleurs mentors de ces milices nazies qui pavanent aux côtés du Président Zelensky. Lequel plastronne lui-même presque constamment devant les caméras en portant sur son beau pull militaire un mystérieux insigne qui n’est rien de moins que le sigle de l’une des plus anciennes divisions nazies ukrainiennes crée avant la guerre pour soutenir le Parti Nazi. Une information évidemment démentie par tous les « fact-checkers » du monde entier.

Avant de faire appel sans sourciller pour leurs basses oeuvres aux pires remugles SS qui grenouillent encore à l’Est, nos bienfaiteurs américains et leurs valets bruxellois avaient su recourir à de tout aussi fréquentables amis, en la personne des pires islamistes dont le monde ait jamais accouché.

On ne change pas une recette qui gagne : mafia ou Nazis, pourquoi s’embarrasser de principes ? Alors on a appliqué la même scénario avec les rejetons nazislamistes de Tonton Adolf. En utilisant les mêmes méthodes et en poursuivant le même but au cours de la guerre froide : endiguer l’expansionnisme soviétique aux marches de l’empire, en Asie du Sud-Est, au Moyen-Orient, dans les autres pays du Tiers-monde. Et pour cela miser sur leur opposants les plus kamikazes et déterminés : les phalanges islamistes.

Une aubaine puisque c’est précisément aux Etats-Unis que se réfugièrent en premier lieu à partir des années 1950 les compagnons de Hasan al-Banna, fondamentaliste égyptien fondateur en 1928 de la Confrérie des Frères musulmans. La matrice de tout l’islamisme contemporain, dissoute après plusieurs attentats contre le régime du roi Farouk puis le Président Nasser. Avant que le petit-fils du fondateur, un certain Tariq Ramadan exilé en Suisse, ne vienne prêcher sur nos plateaux télé et violer nos femmes, de nombreux Frères eurent la bonne idée de fuir pour le pays de la Liberté, pourtant identifié comme la cause de tous les malheurs du monde arabo-musulman depuis que Wall Street a remplacé les colons britanniques dans le rôle de persécuteur des musulmans. 70 ans plus tard, et 50 ans après les turbulents Black Muslims (directement affiliés à la Confrérie), on découvrait que le très charismatique Président Obama entretenait dans ses réseaux personnels des liens étroits avec certains responsables de la Confrérie…

C’est en tout cas de cette période charnière de la guerre froide qu’on peut dater les liens étroits qui unissent l’Amérique avec les organisations terroristes islamistes. Intéressant quand on sait que les méthodes de conquête de la Confrérie s’inspiraient très largement au départ de l’hitlérisme dont Hassan al-Banna était un fervent admirateur. Tout comme le grand mufti de Jérusalem Husseini, qui a rencontré Hitler plusieurs fois à Berlin pour le supplier de l’aide à exterminer les Juifs de Palestine.

Mais les liens ténus entre l’establishment politique et surtout économico-financier et le monde arabo-musulman, y compris dans ce qu’il a produit de pire, tient bien plus encore à leur avidité commune pour l’argent et le pouvoir. Depuis les Rockefeller qui ont mis la famille Saoud sur le trône d’une monarchie d’opérette en Arabie, afin de ménager leurs intérêts pétroliers dans cette péninsule en confiant à des Bédouins membres de l’une des pires sectes islamistes – le wahhabisme – les clés des lieux saints de l’Islam. Et une rente assurée pour des siècles, à partager entre ces nouveaux nabas et les compagnies texanes.

Et c’est ainsi que pendant la guerre russo-afghane (1979-1989) l’Amérique a pu combattre sans le dire l’armée soviétique par Moudjahidins interposés. Avec cette figure de héros du Commandant Massoud fabriquée de toutes pièces par le CI. un islamiste oldschool descendu de ses montagnes, mais surtout un ennemi juré des taliban engagés dans ces guerres tribales interminables qui ensanglantent périodiquement l’Afghanistan. Et donc un ennemi des Soviétiques, que les Américains entendaient repousser dans leurs frontières pour « libérer Kaboul« . Massoud épaulé par un autre grand ami de l’Amérique et agent de la CIA, le brillant Oussama Ben Laden, fils prodige d’une des plus grandes familles de multimilliardaires saoudiens, associée de la famille Bush dans de juteuses affaires. Comme la firme pétrolière texane Carlyle Group, dirigée un temps par l’un des frères de Nicolas Sarkozy (dont l’ex-beau-père Frank Wisner fut par ailleurs l’un des fondateurs de la CIA).

Les affaires sont toujours de touchantes histoires de famille…

Préserver les intérêts stratégiques américains a toujours été une priorité qui prime sur toute autre pour les stratèges du Pentagone et de la CIA, qui dictent leurs discours aux Présidents démocratiquement élus de cette grande nation. La raison d’Etat et la raison du plus fort, qui se confondent souvent avec le sens des affaires, ont toujours atteint des sommets de machiavélisme et de cynisme au pays des Rockefeller et des Bush. La défense de la démocratie et des droits de l’homme, dont l’Amérique s’est faite la championne et dont la Statue de la Liberté qui éclaire les nations représente le symbole, n’est ici qu’un outil dans la panoplie idéologique pour s’assurer l’assentiment du peuple et des nations soumises, pardon « alliées« . La fin justifiera toujours les moyens, pourvu qu’on sache habilement les justifier, et faire pleurer dans les chaumières sur CNN ou pendant la remise des Golden Globes.

Et donc le Moyen-Orient est certes une contrée barbare et oubliée à l’opposé de Los Angeles sur la carte, mais qui regorge de ressources vitales pour notre économie. Un verrou géostratégique entre une Europe décadente, savamment plombée grâce à une immigration pléthorique bas de gamme, et dirigée par des guignols acquis à nos intérêts, et d’immenses empires rétifs à rallier dans le Meilleur des mondes unipolaire néolibéral consumériste. Comme la Russie, l’Inde ou la Chine. Des obscurantistes insolents par leur dynamisme économique, et qu’il faudra bien un jour mettre au pas en y mettant les moyens.

Détail annexe plus inavouable, l’Afghanistan est aussi avec le Triangle d’or en Asie du Sud-Est le plus grand temple de production de pavot qui approvisionne le marché mondial de l’héroïne. Des champs de pavot et un trafic sécurisés depuis les années 1960 par les GIs de l’US Army, qui stationnent dans la région pour divers motifs. Et qui permet à l’armée d’en tirer de substantiels dividendes occultes pour financer des opérations qui le sont tout autant. Un petit secret auquel les administrations successives tiennent comme à la prunelle de leurs yeux, tout en prétendant lutter contre le trafic mondial de drogue qui pourrit leur jeunesse. Même chose avec la cocaïne en provenance de Colombie, qui transitait encore il y a peu par Cuba avec la bénédiction de Fidel Castro, allié sur ce terrain de son grand ennemi capitaliste.

On comprend mieux l’impatience de George Bush junior et ses amis néoconservateurs à envoyer leurs troupes après le 11 Septembre pour démanteler 3 malheureux camps d’entraînement taliban, et orchestrer pendant 10 ans la plus grande chasse à l’homme fantôme de toute l’Histoire contre un ex-ami qui aurait mal tourné. Là encore, il n’y a plus ni nazis, ni islamistes, ni terroristes ni bons ni méchants : juste un cash flow à se répartir intelligemment entre très grosses fortunes.

Le sketch enclenché avec la première guerre des Bush en Irak (opération Tempête du désert en 1991 pour « libérer le Koweït » occupé par les chars de Saddam Hussein) aura ainsi duré près de trois décennies. Avec des répliques et des remakes tous destinés à garantir une présence militaire américaine, avec ou sans l’aval de la communauté internationale, afin de sécuriser les puits de pétrole, les oléoducs et gazoducs, en mettant en place des régimes fantoches pseudo démocratiques dirigés par des marionettes formées à Harvard, et en entretenant un chaos suffisant dans la région pour continuer à envoyer des troupes sous divers prétextes, déstabiliser les régimes en place et les économies locales, liquider les réfractaires comme Assad alliés des Russes, mettre le grapin sur le magot, se répartir la manne de la reconstruction tout en faisant flamber les cours du brut.

Le même scénario de stratégie du chaos mis en place par les Rockefeller dans les années 1920 en Arabie et en Palestine. Et qui a prévalu en Europe dans les années 1930, et même depuis 1914…

C’est ainsi que « le terrorisme » est devenu un instrument stratégique parmi d’autres dans la panoplie du parfait déstabilisateur. Al Qaeda puis Daesh furent ainsi conçues comme des outils au service de l’Oncle Sam. Avec le concours de la CIA pour recruter les cadres et foutre le bordel dans les pays ciblés, de l’US Army et de ses instructeurs pour former les nouvelles recrues à la guérilla, au sabotage et autres méthodes terroristes, et des mêmes banquiers américains épaulés par leurs partenaires de la finance islamique saoudienne pour financer les opérations de déstabilisation.

Quant à l’idéologie nazie des suppôts d’Adolf qui ont inspiré la Secte islamiste, ce sont aussi les Américains qui ont joué le rôle de passeurs sinon de pourvoyeurs.

C’est ainsi que les théoriciens eugénistes anglo-saxons des 19e et 20e siècles, parmi lesquels les Rockefeller figurent en belle place, ont inspiré Mein Kampf, puis Le Projet de conquête planétaire de la Confrérie des Frères musulmans, dont le fondateur Hassan Al-Banna, grand-père de Tariq Ramadan, et les principaux idéologues de la secte Sayyed Qutb et Yusuf Al-Qaradawi se sont directement ou indirectement inspirés. Notamment, c’est un détail de l’Histoire, en ce qui concerne l’objectif d’extermination des Juifs. Cette race maudite à qui l’Islam a pourtant tout piqué : son Dieu, ses prophètes, ses Livres saints, sa Loi, et bien sûr son titre de peuple élu.

Une entreprise menée depuis les razzias du Prophète sur les cités infidèles jusqu’à aujourd’hui avec le succès que l’on sait. Et qui a culminé avec ce lancement en mondovision le 7 octobre dernier de cette Shoah 2.0 des Néonazis en djellabas fondant avec une cruauté inédite depuis Auschwitz sur des innocents massacrés parce que Juifs ou supposés. Un scénario orchestré par des mollahs iraniens en sursis, dont le gourou Khomeiny était lui aussi un lecteur assidu de Sayyed Qutb. Et brillamment interprété par les « résistants palestiniens » du Hamas. Lesquels ont aussitôt suscité des émules parmi les gremlins des banlieues françaises, américaines et occidentales, transformés en soldats de l’Armageddon des fidèles de la Révélation ultime lancés contre les sataniques sionistes et croisés.


A ceux qui douteraient de ces vérités historiques, comme des liens étroits entre l’empire capitaliste (et aujourd’hui progressiste), le nazisme et son projet génocidaire, l’islamisme et son antisémitisme tout aussi obsessionnel, et aux imbéciles qui agitent déjà un drapeau « COMPLOTISTE ! », je conseille de réviser leurs préjugés en matière d’Histoire et de se documenter sérieusement. En s’inspirant notamment des travaux de Hannah Arendt sur la prétendue victoire des alliés sur le nazisme, travaux récemment repris par Ariane Bilheran dans Internationale nazie. Mais aussi des travaux récents d’historiens compétents sur ces sujets.

Et pour les liens ténus entre Islam(isme) et antisémitisme, je leur conseille de s’intéresser à l’Histoire de la Confrérie des Frères musulmans, matrice idéologique de l’islamisme contemporain, en se référant par exemple au l’essai très bien documenté d’Alexandre del Valle Le Projet.