Je tiens à prévenir mes lecteurs : je vais être caustique ! Et pas pour vous incitez à une nième rediffusion du toujours culte et désopilant Le Père Noël est une ordure.
Je regardais aujourd’hui en souriant les publications de mes amis les plus fanatiques de la secte catholique se pâmer à l’approche de Noël en admirant leur gourou roudoudou François aligner quelques gesticulations mielleuses de circonstance.
Hier soir, j’ai regardé pour la première fois l’excellente comédie Saint Jacques-La Mecque sortie en 2005. Avec un titre pareil, je m’attendais à un nanar franchouille politiquement correct de plus sur le vivre ensemble, avec de gros gags bien lourdauds. Eh bien j’ai été bluffé par la qualité et l’émouvante poésie de l’opus, servie par des acteurs de qualité fort bien dirigés.
La grosse méchante Muriel Robin que je déteste s’en sort très bien ; elle a même réussi à me tirer une larme. Il est vrai qu’avec le Covid ça coule tout seul.
Au début je l’ai trouvée too much mais parfaite dans son rôle de prof intello de gauche, anticléricale, mal baisée et aigrie. En général je plussoie quand on tire à boulets rouges sur une institution aussi vérolée que l’Eglise de Rome, mais à condition de le faire avec intelligence, des arguments qui font mouche et sans trop d’affects.
Et puis tout à l’heure sur Facebook, en voyant les publis de ces éblouis, mon agacement m’a rappelé le sien.
A quoi bon vouloir convaincre ces scouts béats que leur gourou blanc, aussi sympathique soit-il, est une lavette pas très fute-fute, et surtout qu’il est diaboliquement manipulé par les pires salauds que compte la caste mondialiste.
Je suis déjà étiqueté comme « complotiste » depuis quatre ans, « islamophobe » depuis que j’explique pourquoi Islam et islamisme aujourd’hui c’est kif kif, « antisémite » quand il m’arrive de critiquer Netanyahu et sa clique de satanistes messianiques, alors inutile d’en rajouter.
Mais tout de même. Si j’établis une comparaison, j’avoue que j’ai du mal à trouver des différences entre François, le pape actuel, et Klaus Schwab, le gourou nazi de Davos.
Ce sont en fait les deux faces d’une même monnaie numérique.
J’avais beaucoup vibré il y a dix ans lors du sacre de ce brave François.
Pensez, après l’autre Panzerpapst nazi, pédé planqué avec ses petits mocassins roses Louboutin à 30.000€. Un théologien phobique du sexe échappé du Moyen-âge, qui avait fait régresser l’église catholique au 12e siècle, en ressortant les bûchers pour brûler les LGBT, qui condamnait sans nuances l’homosexualité et le mariage pour tous… Tout en couvrant les plus grands scandales jamais connus dans l’Histoire de pédophilie, de harcèlement sexuel, de viols de bonnes sœurs, d’enfants avortés par des religieuses, de trafics divers, de messes noires dans les sous-sols du Vatican et autres trucs satanistes chelous révélés par des enquêtes vite étouffées réalisées par quelques grands médias italiens ou internationaux.
J’avais juré de ne plus remettre les pieds dans cette église du diable qui s’enfonçait dans l’hypocrisie, la duplicité, la décadence et le stupre glauque tout en faisant la morale, à l’opposé radical du message évangélique.
Et puis Bergoglio avait surgi, avec sa bonne bouille rassurante de papy latino hilare. Avec son style sobre, humble, chaleureux, proche des gens, aux antipodes du sombre Palpatine allemand. Et avec des déclarations très « progressistes » à l’opposé de son prédécesseur.
Un espoir.
Et puis badaboum. Des encycliques et des déclarations de plus en plus floues, étranges, davantage raccord avec Le Monde qu’avec les Evangiles. Sur les LGBT, mais qui s’en plaindrait ? Et puis sur l’IsIam, sur les réfugiés, sur le climat… Et enfin sur le Covid et ces faux vaccins : le sujet par lequel le scandale arrive.
Recevoir deux fois lors d’audiences privées Albert Bourla, PDG de Pfizer, et Melinda Gates, femme de Bill Gates, psychopathe notoire et eugéniste assumé, Co-Présidente de la fondation qui porte leur nom et qui finance depuis 20 ans l’industrie pharmaceutique, l’une des plus corrompue et criminelle au monde. Mais aussi 40% du budget de l’OMS, et des programmes humanitaires de « vaccination » massive dans le Tiers-monde, qui ont été avérés directement responsables de plus de décès d’Africains, d’Indiens ou de Sud-Américains qu’aucune épidémie au monde sur la même période.
Tout ça avant de déclarer publiquement une immondicité aussi énorme que « La vaccination est un acte d’amour ».
Combien de millions ont été versés par Big Pharma à la Banque du Vatican pour lui faire accoucher d’une horreur pareille ? C’est un peu comme si Pie XII avait déclaré en 1943 : « La Shoah est un acte d’amour ! Poussez-les dans les trains ! »
Après une telle horreur, hélas confirmée par d’autres tout en distillant cet air patelin qui berne les bons crétins, Bergoglio s’est rendu objectivement complice du pire crime contre l’humanité jamais orchestré dans l’Histoire, loin devant les camps. Pas moins.
On le savait déjà, le Vatican est depuis longtemps l’une des antichambres de l’Antéchrist. Mais là ça se voit trop !
L’Antéchrist, ou plutôt cette secte pédo-satano-mondialiste, transhumaniste et eugéniste, qui avance masquée derrière des discours « progressistes », droits-de-l’hommistes, pro-minorités, pro-immigration, pro-Islam, pacifiques, écologiques, et aujourd’hui franchement woke, pour dérouler son plan macabre de conquête du Pouvoir absolu, à l’exact opposé des belles intentions affichées.
Ceux qui ne l’ont pas encore compris sont soit des victimes, soit des imbéciles. Et ceux qui s’entêtent ne méritent que mépris.
Quant à Klaus Schwab, au moins il a le mérite d’être à peu près transparent. Le prétendu « fondateur » et Président à vie du Forum de Davos, crée en 1972 par le groupe de Bilderberg, et nommé à ce poste par Henry Kissinger, est un authentique nazi.
Son père, faut-il le rappeler, était un haut dignitaire allemand du Parti Nazi. Il a vécu en Suisse où il dirigeait pendant la guerre une usine fabriquant des pièces d’artillerie pour la Wehrmacht, en employant un personnel de quasi-esclaves à peine salariés, comme c’était l’usage chez beaucoup d’industriels nazis (notamment le fameux Oskar Schindler immortalisé par Spielberg). C’était aussi un ami personnel de Goebbels, et un conseiller du Führer.
Une bio haute en couleurs, que les amis de Klaus ont soigneusement retiré de sa page Wikipédia, une plateforme aujourd’hui contrôlée par la CIA. Mais il est très facile de retrouver les détails sur cette prestigieuse généalogie du gourou de la secte de Davos.
Une secte dont font partie Emmanuel Macron, Ursula von der Leyen (elle aussi issue d’une famille d’officiers nazis), Justin Trudeau, Angela Merkel, Nicolas Sarkozy, François Hollande, Joe Biden, Olaf Scholz, Rishi Sunak, Pedro Sanchez… Comme presque tous les chefs d’Etats et ministres occidentaux qui comptent aujourd’hui, et les nouveaux scouts de Davos adoubés chaque année par le grand-maître de ce cette confrérie de Young global leaders.
Une confrérie qui compte aussi quelques grands patrons de multinationale, comme Bill Gates, Mark Zuckerberg, Elon Musk et bien sûr Albert Bourla, des banquiers, des scientifiques de renom, des journalistes, des artistes du show biz comme Bono le chanteur du groupe U2, ambassadeur infatigable de Davos, des acteurs de premier rang comme Leonardo di Caprio ou Charlize Theron, des cinéastes comme Jean-Jacques Annaud. Tous formés pour infiltrer les plus hautes instances dirigeantes de la politique, de l’économie, de la finance, de la recherche et de la science, des médias, des arts et de la culture, et même des églises officielles, afin de propager l’Evangile ultralibérale de Davos.
Et servir le dessein de ses maîtres qui est de précipiter grâce au Great Reset initié grâce au Covid et à d’autres chocs planifiés* leur Meilleur des mondes en marche.
Un monde disruptif dont ils se déclarent eux-mêmes « les dieux« , par opposition aux « inutiles » que nous sommes. Un monde marqué par un ordre dystopie radicalement inégalitaire, totalitaire, le contrôle numérique et transhumaniste absolu des individus, et à la réduction drastique des populations, destinées à vivre comme des marchandises ou des esclaves en sursis pilotés par les AI.
Il suffit pour s’en convaincre d’écouter les innombrables déclarations publiques et interviews à faire froid dans le dos que donne Klaus Schwab avec un cynisme assumé depuis des années. Mais que personne n’écoute.
A noter que le conseiller spécial de Klaus Schwab sur les questions transhumanistes, qui est également le conseiller de Bill Gates sur ces questions, n’est autre que Yuval Harari, un fou dangereux dont les visions sur l’humanité future relèguent le sinistre Docteur Mengele au rang d’apprenti.
Pour se faire un aperçu de la folie de Klaus Schwab, duplicata des obsessions génocidaires, de contrôle et de manipulation dont firent preuve les pires expérimentateurs nazis, on pourra opportunément regarder cette interview réalisée par la RTS (Radio Télévision Suisse) en 2016.
Dans cette vidéo, Schwab se laisse aller à sa fascination pour les prouesses glaçantes que laisse entrevoir de la puce Neuralink développée par la start-up de neurosciences du même nom créée par son poulain Elon Musk. Une puce implantée à la base du cerveau humain pour permettre (en théorie) à celui-ci de se connecter directement à internet et aux AI. Et de récolter à son insu pléthore d’informations confidentielles sur son état de santé physique et psychique, mais aussi de le manipuler à distance.
Avant d’en arriver là, chaque YGL est invité régulièrement à Davos lors du grand raout annuel, qui célèbre devant des fidèles assemblés comme sur la Place Saint-Pierre la promotion des nouveaux scouts de l’élite. Le gourou mondialiste y célèbre devant un parterre de médias triés sur le volet les réussites de ses protégés, l’efficacité avec laquelle ils ont infiltré les gouvernements du monde, et leurs objectifs à venir.
Ces Young global leaders sont aussi formés dans un même moule à l’école de Davos à l’art du leadership. C’est à dire à parler d’une même voix pour propager la Bonne nouvelle du néolibéralisme, du mondialisme multipolaire et du progressisme triomphants, à exercer leur influence sur tous les leviers de pouvoir, avec un art consommé de la manipulation et de l’infiltration. Des méthodes dont l’efficacité ferait pâlir l’Eglise de Scientologie !
Tout compte fait, il n’y a pas vraiment de différences entre Rome et Davos aujourd’hui.
Même affichage publicitaire, même culte de la personnalité autour d’un seul homme, mêmes rituels grandiloquents Urbi et Orbi.
Même doctrine et même rhétorique progressistes tendance woke : humaniste, œcuménique, pacifique, écologique, victimaire envers les minorités ethniques, religieuses, sexuelles, les migrants et réfugiés, pro-Islam et pro-immigrationniste.
Avec une tendance plus déconstructionniste à Davos, liée à cet objectif du Great Reset de détruire au plus vite les Etats-nations et les identités qui les sous-tendent. Avec un tropisme pro-Chinois plus évident à Davos.
Ces deux sectes jumelles s’appuient sur une logique messianique revendiquée : l’avènement du Royaume des cieux après l’Apocalypse et le Jugement dernier pour Rome : une tarte à la crème auxquels peu de cardinaux doivent encore croire, recouverte par un charabia de bonnes intentions politiquement correctes calées sur l’Agenda de Davos, de l’ONU, et de la caste financière qui contrôle ces institutions. Normal quand on a des mécènes exigeants… Et le Nouvel ordre mondial post Great Reset pour Davos : la plus effroyable des dystopies jamais imaginée, déguisée en Meilleur des mondes post-humain piloté par des AI.
Bien sûr l’une est le négatif de l’autre : le Côté obscur vs. le Côté lumineux de la Force. Mais ça, c’est la théorie. En vérité il y a longtemps que les deux se sont contaminées l’une l’autre, au point de se ressembler. Dans l’objectif de la Caste, ils sont même complémentaires, comme le yin et le yang. Les sous-sols du Vatican et les couloirs de la curie regorgent d’authentiques satanistes, de missionnaires de loges infiltrés et influents, avides d’intrigues et de pouvoir, comme à Davos ou à Washington. Et qui rêvent d’accroître leur pouvoir en vendant le véritable trésor du Vatican, à savoir ses deux milliards d’âmes, aux bookmakers de BlackRock ou de Vanguard. Exactement comme toutes les grandes institutions religieuses du monde qui ont été patiemment infiltrées depuis des décennies.
Et ce pape, tout jésuite qu’il est, n’est ni assez intelligent ni dépositaire de l’autorité suffisante pour s’opposer à ce manège qui avait valu son siège à son prédécesseur, comme à bien d’autres avant eux. Pire, il collabore activement, en se faisant le relai idéologique et systémique de cette possession de l’Eglise par des forces qui entendent l’utiliser avant d’en finir.
Le vers est dans le fruit.
C’est pourquoi il faut se garder de toutes ces institutions. Cesser de croire que le Salut viendra d’institutions qui ont été prophétisées par leur fondateur comme corrompues jusqu’à la fin des temps. Trouver plutôt le courage de prendre les chemins de traverse, et s’unir ensemble avec la Vérité pour seule lanterne. Et non des guides maléfiques qui servent l’Ennemi plutôt que le Maître.
« L’Eternel marchera lui-même devant toi, il sera lui-même avec toi. Il ne te délaissera pas, il ne t’abandonnera pas. N’aie pas peur et ne te laisse pas effrayer. » (Deutéronome 31:8)
Joyeux Noël !