A bout de souffle !

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Pour la 2e fois en 2 ans, j’ai bien cru que j’allais crever comme un chien tout seul la nuit dans ma chambre. A cause de cette maudite toux si particulière que provoque le Covid !


Un premier épisode Covid en juillet 2021, déclaré pendant un voyage en Normandie pour rechercher des maisons. Un pis-aller (pis-à-lait…) aux douces Charentes où je ne trouvais que tchi. A cause de ces maudites sauterelles parisiennes qui ont fait flamber l’immobilier après avoir dévoré le reste de la France tranquille.

J’avais failli me faire jeter en pleine nuit de ma chambre par ce loueur Airbnb très désagréable sis dans un quartier pourri de Rennes, qui avait paniqué en m’entendant tousser comme un damné à travers la cloison.

J’avais pourtant pris soin avant de partir de consulter le remplaçant de mon médecin pour balayer ces symptômes inquiétants d’infection respiratoire. Lequel m’avait assuré mordicus mais sans faire aucun test que « Non Monsieur, vous n’avez pas le Covid !« 

Aussitôt rentré, mon médecin avait repris les choses en mains, et mis illico sous protocole Raoult, expédié au lit pour 10 jours avec 39° de fièvre, des suées dignes du Niagara, une fatigue à ramper aux chiottes… Et une toux !…

Ceux qui ont bidouillé cette arme bactériologique sophistiquée dans leurs éprouvettes à Wuhan, en y glissant discrétos un soupçon de sida et de malaria, n’ont pas fait les choses à moitié.

Et ce variant Delta, le pire de tous les avatars du rejeton d’un pangolin alien et d’une chauve-souris mongole, qui a tué plusieurs centaines de milliers de petits Indiens privés d’ivermectine par les Trois mousquetaires satanistes – Bill Gates, Tadros Ghebreyesus et Anthony Fauci (traînés depuis devant la Cour de Justice Internationale par le Barreau des avocats indiens pour crime contre l’humanité) – aura rempli ses bons offices en liquidant une partie des indésirables et autres réfractaires. Dont j’ai bien failli faire partie.

Car j’ai découvert à cette occasion ce qu’est l’amorce d’une détresse respiratoire.

L’amorce seulement. J’imagine combien ceux qui sont morts dans d’atroces souffrances physiques et psychologiques, notamment les malades qui avaient eu la bonne idée de se faire piquouzer (« parce que ça évite les formes graves blablabla »…) ont pu endurer !

Tous ces petits vieux refoulés des hôpitaux parce qu’improductifs pour l’économie, des charges pour la société qu’il fallait bien un jour se résoudre à éliminer, comme nous l’a maintes fois claironné depuis 40 ans ce cher Jacques Attali. Et puis ces cancéreux incurables, ces diabétiques, ces mongoliens, ces sidéens qui grèvent les comptes de la Sécu !

Au vu de mes nombreuses tares et étant assez proche de l’âge de la retraite, j’aurais tout aussi bien pu faire partie d’une charrette.

Car quand les quintes de toux s’enchaînent à un rythme accéléré au point de devenir incontrôlables, surtout en pleine nuit, on s’épuise très vite. On n’arrive plus à reprendre son souffle entre deux toux, le taux d’oxygène s’amenuise dans le sang, les muscles de la poitrine se tétanisent. Et puis surtout la dilation des petits vaisseaux pulmonaires due à l’inflammation provoquée par le virus, ajoutée à l’irritation provoquée par l’air expulsé de façon réflexe pendant des heures que dure la toux, font que votre corps devient subitement incapable de fixer l’oxygène vital qui fait défaut.

Ajouté à cela l’effet panique de ne plus arriver à respirer, et de se retrouver seul avec l’éventualité de faire un malaise, voire de mourir bêtement sans pouvoir appeler les secours… Je ne souhaite à personne de vivre cela.

Pour couronner le tout, 9 mois après cette première expérience in vivo du Terminator de la série Covid, je n’avais toujours pas complètement retrouvé ni goût ni odorat, totalement zappés les 3 premiers mois.

Cette fois-ci je ne m’étais pas préparé. Toute la complosphère dont je fais partie répétait à l’envi depuis cet été que ce nouveau variant saisonnier du Covid annoncé pour la rentrée était un petit joueur avec des symptômes anodins.

Affaibli depuis le début de l’automne, très affecté par les évènements du 7 octobre puis le décès de ma mère à la Toussaint, épuisé par les préparatifs de la cérémonie prévue le 8 décembre en son hommage à Paris, je me sentais tout patraque à l’approche du départ. J’avais pris soin de consulter mon médecin, qui m’avait assuré que je n’avais pas le Covid. Donc en voiture, Simone !

De retour à la maison 8 jours plus tard, me voici avec des pluies diluviennes, un toit en mode passoire, et l’eau qui pisse sur mon lit. Et un diagnostic imparable : 2 autotests positifs ! Re-médecin, ivermectine, azithromycine, artémisia, Vitamine C, Vitamine D, Zinc, Aspégic, collutoire, gouttes dans le nez, huiles essentielles… Toute la pharmacopée anti-Covid y passe !

Sauf que cette maudite toux, elle, ne passe pas. Et rebelote : 2 nuits avec un réveil subit, pris par une quinte irrépressible. Et 30 secondes plus tard, la panique : impossible d’arrêter de tousser. Et surtout impossible de respirer.

On tente de se calmer, on convoque tous les dieux de l’Olympe, on appelle sa mère… La crise finit par passer… Avant de reprendre une heure plus tard.

J’ignore pourquoi spécialistes, médecins et pharmaciens ne donnent pas la recette à suivre lorsque survient une telle crise de toux, suivie en général d’une bonne crise de panique. Ou un spray de Ventoline au cas où.

Quoi qu’il en soit, au cas où je ne l’aurais pas encore compris, au cas où je ne l’aurais pas assez côtoyée dans ma vie notamment ces 5 dernières années, je sais que je suis mortel. Je sais que la mort peut intervenir à tout moment. Et je sais que ça n’est pas vraiment une partie de plaisir.

Pourquoi le pass vaccinal de l’OMS inaugure le Nouvel ordre mondial sous la forme d’une dictature sanitaire mondiale

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Cela fait déjà plusieurs mois que je tente d’alerter quant au projet qui se dessine d’instaurer ce qu’il faut bien se résoudre à appeler une dictature sanitaire mondiale, dont l’OMS est l’un des artisans majeurs.

En cause ce « traité pandémique », aussi appelé « loi vaccinale », mis en place par l’OMS cette année, et qui entrera en vigueur en 2024.

Ces informations, pour anxiogènes qu’elles puissent paraître aux personnes peu informées, ne doivent pas vous démoraliser. Des solutions existent pour contourner les logiques du système. Les capacités de résilience, d’intelligence et surtout de créativité de l’être humain sont infinies. Un autre monde est en marche, il existe déjà, même si les médias tentent de l’occulter sous des divertissements et fascinations diverses. Ce qui est pointé ici, pour fascinatoire qu’il puisse paraître, n’est que le chant du cygne d’un monde corrompu, matérialiste, violent, ignorant de la vraie nature de la vie et de la conscience. Un monde à l’agonie. Une ultime tentative de psychopathes pour étendre leur pouvoir chimérique sur ce qui leur échappe.


Pourquoi l’OMS est un problème ?

Cette agence de santé publique mondiale, créée en 1948 parmi d’autres institutions de l’ONU (et qui dépend de son Conseil économique et social), était autrefois une institution plutôt respectable et respectée.

Pour autant que l’idéologie mondialiste dont elle est l’émanation ne soit pas synonyme de corruption institutionnelle, voire d’eugénisme de masse, à en croire ses historiens les plus éminents, comme Carroll Quigley[i]. Et comme en témoigne cet événement éloquent que fut la « grippe espagnole » de 1918 qui décima la moitié de l’Europe (50 à 100 millions de morts dans le monde). Une pandémie aujourd’hui reconnue comme la conséquence directe de la campagne de vaccination des GIs américains contre la méningite au lendemain de l’Armistice, sous l’égide de la Fondation Rockefeller et du Comité d’hygiène de la Société des Nations, ancêtre de l’OMS.

Elle est en tout cas l’une des concrétisations contemporaines à l’échelle mondiale de ce biopouvoir dénoncé par Michel Foucault.

A l’origine, l’OMS était financée par les subventions versées par ses Etats membres. Au fil du temps, et surtout au cours de la décennie écoulée, l’OMS est devenue un véritable outil institutionnel au service de l’industrie pharmaceutique, qui la contrôle par le biais de fondations privées.

Déjà en 2018, les deux grandes fondations privées Bill & Melinda Gates et GAVI Alliance, qui comptent parmi les plus gros mécènes de Big Pharma, représentaient à elles deux 40% des dons versés par les 4 principaux contributeurs. Les deux principaux Etats donateurs étant les USA et le Royaume-Uni.

Cette dérive, ajoutée à un manque de transparence souvent dénoncé quant au financement de son budget, a conduit Donald Trump en 2020 à suspendre les versements des Etats-Unis à l’OMS. Au point que la part des dons des Etats membres dans le budget de l’OMS s’était réduite à 16% en 2020, conduisant son directeur général Tadros Ghebreyesus à déclarer vouloir la ramener à 50% d’ici 2028. Un vœu pieux pour tenter de rétablir la crédibilité de son institution en pleine crise du Covid.

Ce contrôle quasi-total de l’OMS par Big Pharma n’est pas anodin. Il intervient dans un contexte de recapitalisation sans précédent des principaux leaders du secteur pharmaceutique au cours de la décennie 2010, avec des prises de participation massives de fonds d’investissement américains géants comme BlackRock ou Vanguard. Et il s’accompagne d’une intensification sans précédent des pratiques corruptives de Big Pharma vis-à-vis de toutes les institutions de santé publique, dénoncée notamment par Michael Yeadon, l’ex-DG de Pfizer : Etats, ministères, agences de santé publique, agences du médicament, conseils scientifiques, académies et facultés de médecine ou de pharmacie, médias scientifiques…

Des pratiques qui remontent à l’origine du secteur pharmaceutique sous sa forme industrielle, et qui font même partie de son business model. Un secteur faut-il le rappeler créé de toutes pièces dans les années 1920 par la famille Rockefeller, alors principal actionnaire de l’industrie du pétrole, comme débouché à l’industrie pétrochimique. Avec une volonté délibérée de ruiner, d’interdire la pratique et l’enseignement de toutes les médecines autres que la seule médecine allopathique issue de la pétrochimie : avec des molécules brevetables et renouvelables, faciles à produire, très toxiques et peu efficaces, mais hyper rentables.

C’est ce business model aux antipodes de l’éthique scientifique, médicale et pharmaceutique qui dicte depuis un siècle les grandes orientations stratégiques et les choix thérapeutiques, y compris aux Etats, sans considération autre qu’accessoire pour les impératifs humains, sociaux, scientifiques, prophylactiques, épidémiologiques. Malgré une volonté affichée de servir le bien commun, de lutter pour le progrès médical et social, de faire reculer la maladie, d’améliorer l’hygiène, l’accès aux soins et le confort de vie partout dans le monde.

Comment la « crise du Covid » a aggravé les choses

La crise du Covid, comme le virus SARS-Cov-2 responsable du Covid-19, ne sont pas arrivés par hasard. Ils font suite à une longue série d’épidémies instrumentalisées sinon provoquées par une conjonction d’intérêts politiques, stratégiques, économiques, industriels et financiers autour de l’industrie pharmaceutique, et de l’industrie des vaccins en particulier.

Parmi elles, on pourrait citer la grippe H1N1 de 2009-2010, qui fait figure a posteriori de répétition en miniature du vaste scénario de la plandémie de Covid. Même type d’agent viral, même mode de transmission prétendument zoonose, mêmes modes opératoires, même quasi absence de dangerosité et de létalité, même utilisation des médias pour créer une psychose orchestrée autour d’un fantasme pandémique, mêmes pratiques archi corruptives et même chantage sur les scientifiques et gouvernements occidentaux pour faire acheter en hâte des traitements (Tamiflu) et des vaccins, tous inefficaces, toxiques, mais très rentables. Et mêmes jackpots records pour les leaders du marché : Gilead en 2010, Pfizer-Moderna en 2021-22.

Les leçons du passé aidant, cette plandémie de Covid a toutefois été soigneusement préparée. Pour preuve notamment la simulation Event 201 réalisée en octobre 2019, soit un mois avant le déclenchement officiel de l’épidémie de Covid-19 à Wuhan, sous l’égide de multiples fondations, parmi lesquelles Bill & Melinda Gates, Rockefeller, John Hopkins, GAVI, UPS, Vodafone… Avec un souci du détail tel qu’il a fait dire aux épidémiologistes qu’il était impossible que cette épidémie n’ait pas été planifiée, car la nature effectue des sauts et ignore de telles prévisions.

Cette plandémie a toutefois été un événement unique dans l’Histoire de l’humanité. Par sa forme, par le choc qu’elle a constitué, par les réactions qu’elle a suscitées, par les décisions prises à l’échelle mondiale et les contraintes qui ont pesé sur les populations. Et surtout par l’impact qu’elle a généré et les changements qu’elle a justifiés, irréversibles pour certains. Certainement pas par son intensité du point de vue épidémique, qui l’assimile plutôt à une banale grippe saisonnière, statistiquement moins létale que la grippe de 2018[ii].

Le rôle joué par l’OMS durant cette crise unique est essentiel. En amont de la crise, celle-ci a arbitrairement révisé certains principes et notions-clé de l’épidémiologie traditionnelle. Comme la définition d’une « pandémie », redéfinie par l’OMS le 11 mars 2020 comme « la propagation mondiale d’une nouvelle maladie », et non plus comme une épidémie se déployant sur un vaste territoire en causant un grand nombre de victimes. Comme la peste noire, le choléra, le sida ou Ebola.

Puisque le nombre de morts déclarés du Covid restait insuffisant pour entretenir la psychose, et ce malgré des chiffres manipulés (parfois à l’aide de primes versées par les gouvernements aux médecins, comme en France, pour les inciter à multiplier les fausses déclarations), l’OMS a engagé les gouvernements à « tester, tester, tester ! » Une façon de créer artificiellement des « cas Covid » : une notion nouvelle qui ne repose sur aucune réalité médicale ni épidémiologique, comme l’a maintes fois dénoncé Kary Mullis, l’inventeur des tests PCR, outré par l’utilisation frauduleuse de ces tests pour fabriquer des « cas » à la chaîne. Des tests qui reposent sur une évaluation probabiliste, et qui réalisés en France avec plus de 45 cycles d’amplification (contre 25 en Allemagne) sont faux à 98% quand ils sont déclarés « positifs » !

L’OMS s’est donc appliquée à mentir et travestir la réalité pour imposer l’illusion d’une pandémie incontrôlable, d’un scénario apocalyptique justifiant que les décideurs politiques adoptassent des mesures exceptionnelles, missent en sommeil la vie sociale, économique et démocratique, imposassent le shunt des processus décisionnels, octroyant les pleins pouvoirs à l’exécutif comme en tant de guerre (sur le modèle de la dictature romaine).

Réfutant toute forme de débat ou de consensus scientifique, bafouant toutes les règles déontologiques de la recherche, de la médecine, de la pharmacovigilance, mettant à l’index tous ses détracteurs, pourchassant les réfractaires à l’ordre imposé, l’OMS a imposé une doxa sanitaire unique dans le seul but de servir les intérêts des labos qui la financent. Tentant d’imposer par l’intimidation et le rapport de forces la même politique à tous les Etats du monde. Une façon autoritaire de faire basculer une large partie du monde dans une forme inédite de contrôle et de répression technosanitaires. En utilisant les citoyens comme des cobayes.

Non sans avoir multiplié les rétractations et revirements incessants au cours de l’épidémie : masques ou pas masques, confinements ou pas confinements… Des hésitations calculées qui relèvent de l’ingénierie sociale (injonctions paradoxales) pour accentuer l’effet de sidération panique.

Mais elle n’est jamais parvenue jusqu’à présent au succès escompté. Beaucoup de pays d’Afrique, d’Asie, d’Amérique du Sud ou même d’Europe du Nord n’ont pas suivi ses recommandations. Pour leur plus grand bien.

Tests, interdictions criminelles de sauver des malades en leur administrant les seuls traitements avérés efficaces par des centaines d’études indépendantes[iii] (ivermectine, hydroxychloroquine, azithromycine, artemisia, vitamine C…), distanciation sociale, gestes barrière, confinements, masques, « vaccins », pass sanitaire… Toutes ces mesures aussi inutiles, inefficaces, contre-productives, et surtout extrêmement liberticides, ont été préconisées par l’OMS. Et mises en place en même temps dans 65 Etats par McKinsey. Avec certains pays particulièrement zélés comme le Vatican (premier pays au monde à avoir imposé la vaccination obligatoire à la suite de quatre dictatures islamistes !), l’Australie et la Nouvelle Zélande (authentiques dictatures sanitaires), le Canada, l’Italie ou la France. Et d’autres beaucoup plus retors, comme le Brésil, la Suède, la Norvège, la Hongrie ou la Russie.

L’OMS est devenue aujourd’hui un outil coercitif au service du Nouvel ordre mondial plus qu’une agence de santé publique au service de l’humanité. Une agence qui impose selon une justification sanitaire de pure façade pour répondre à des pandémies planifiées majoritairement fictives des mesures de restriction des libertés essentielles, la mise en place de systèmes de contrôle numérique des populations, la limitation et le contrôle des déplacements, la subordination les droits élémentaires à une conformité normative à des critères arbitraires dans toutes les anciennes « démocraties ».

Le pass sanitaire européen, imposé par la Commission européenne aux Etats membres en 2021, en dépit de l’avis négatif des scientifiques, des épidémiologistes et de bon nombre de politiques non corrompus, ressemble donc, malgré la convergence des études qui prouvent son inefficacité, à une répétition à l’échelle d’un continent. Afin d’évaluer son efficacité, la compliance et les résistances à une mesure sans justification sanitaire, et qui s’avère n’être qu’un outil d’asservissement à un nouvel ordre fondé sur le contrôle numérique, imposé par le chantage, la contrainte et la peur.   

Un arsenal de mesures qui n’auraient jamais été acceptées sans cette stratégie du choc parfaitement décrite par Naomi Klein[iv]. Et abondamment reprise par Klaus Schwab, Président du Forum économique mondial (nommé à ce poste en 1972 par Henry Kissinger, fondateur du groupe Bilberger). Lequel qualifie la pandémie de Covid-19 de « fenêtre d’opportunité » (ouverte par qui ?…) pour engager son fameux Great Reset[v].


L’OMS, prélude à la dictature mondiale

Avec son nouveau traité pandémique, déjà dénoncé par plusieurs Etats, l’OMS s’apprête à franchir une étape-clé dans l’instauration d’une gouvernance mondiale déjà bien installée, et qui prend les traits d’une dictature sanitaire mondiale.

L’OMS, dont aucun membre rappelons-le n’est élu ou nommé par des représentants d’un collège mondial de citoyens, mais qui prétend néanmoins dicter la politique de santé publique applicable pour toute l’humanité, agit donc comme le ferait un ministère de la Santé d’un gouvernement mondial autoritaire.

Désormais les priorités sanitaires, stratégiques, écologiques et militaires se confondent selon un même impératif d’urgence, justifiant les mesures les plus exceptionnelles appelées à devenir progressivement définitives. Cet impératif prime sur tous les principes démocratiques, au point qu’on peut objectivement parler d’une dictature sanitaire qui s’institutionnalise au plan mondial, et dont l‘OMS est le maître d’œuvre, entre les mains de fondations ou d’organisations privées mondialistes, comme le Forum économique mondial ou le groupe de Bilberger, et de leurs relais comme l’Union européenne. Avec en arrière-plan le pouvoir financier et les grandes dynasties bancaires, acteurs indirects et discrets des grands bouleversements mondiaux depuis deux siècles et plus.

Si ce traité pandémique entre en vigueur comme cela est prévu en 2024, l’OMS pourra décider unilatéralement de la politique sanitaire qui s’appliquera sans dérogation possible à tous les Etats membres. Or quand on sait que la disparition progressive des Etats au bénéfice de « régions administratives » du Nouvel ordre mondial est déjà bien actée (elle est déjà largement effective dans de nombreux domaines décisionnels dans des zones relais comme l’Union européenne), la résistance de quelques Etats croupions au Nouvel ordre sanitaire a peu de chance de construire un rapport de forces qui leur soit favorable.

Dès 2024, l’OMS pourra donc ainsi imposer pléthore de nouveaux vaccins obligatoires auxquels chaque individu devra se soumettre. Bill Gates a d’ailleurs annoncé cette année (et l’OMS a repris cette information le mois dernier) que la prochaine pandémie serait beaucoup plus terrible que le Covid… Mais que les vaccins seraient près !

Aucun moyen cette fois de se soustraire à l’obligation vaccinale, qui sera imposée au niveau mondial. Cette obligation sera assortie de la délivrance d’un passeport vaccinal mondial, déjà en filigrane avant 2020, mais annoncé avec une insistance croissante ces derniers mois. Un passeport numérique qui pourra ouvrir ou fermer des droits, selon la conformité au profil vaccinal exigé, pour tel ou tel acte de la vie quotidienne : se rendre dans des lieux publics, prendre les transports, se rendre dans une autre région, travailler, étudier, voyager, vendre, acheter, bénéficier de tel service, être soigné, voter… 

Les choses vont devenir encore plus contraignantes à mesure que s’achèvera la mise en place des outils du contrôle numérique absolu actuellement déployés : identité et wallet numériques (de l’Union européenne), carnet citoyen (version européenne du crédit social chinois), euro numérique, avant la convergence à l’horizon 2030 de toutes les monnaies numériques en une seule et unique monnaie numérique mondiale gérée par une banque centrale unique.

La convergence parfaite entre biopouvoir, argopouvoir (pouvoir de l’argent) et digitopouvoir (pouvoir numérique et des IA).

Cette convergence avance à très grands pas. Certains l’observent et la dénoncent, la plupart des médias subventionnés l’ignorent, préférant nous distraire avec le réchauffement climatique, la guerre en Ukraine, l’insécurité et la litanie sans fin des faits divers.

Voir notamment quelques articles récents :

·         Pétition de Réinfo Santé Suisse Stop the treaty! (avec extraits du Sommet international du Covid qui s’est tenu le 12 mai 2022)

·         L’OMS tire un trait sur le Covid mais table sur une nouvelle pandémie (Le Courrier des Stratèges, 23 mai 2023)
Système de santé : contrôle total par la technostructure ? (Le Courrier des Stratèges, 19 mai 2023)

·         Jean-Dominique Michel (anthropologue de la santé) : OMS et Nouvel ordre mondial (Anthropo-Logiques, 20 février 2023

·         Francis Boyle (professeur de droit) : Le Traité sur les pandémies de l’OMS instaurera un État mondial, policier, médical et scientifique (France Soir, 23 février 2023)

 


[i] Cf. Carroll Quigley : Histoire secrète de l’oligarchie anglo-américaine (1980, 2020 pour l’édition française)
Professeur d’Histoire à Georgetown et Princetown, conseiller de Bill Clinton, de l’US Army et de la NASA.

[ii] Sans tenir compte du fait que selon les statisticiens les chiffres de mortalité ont été artificiellement gonflés dans un rapport de 1 à 10 voire 1 à 100.
Dès juin 2020, le CDC (Center for Disease Control), l’agence américaine de contrôle des épidémies, a ainsi publié un rectificatif sur son site officiel indiquant que sur 200.000 décès attribués au Covid alors répertoriés aux USA, seuls 8% à peine étaient réellement dus au Covid.
D’après une analyse des chiffres officiels réalisée par le statisticien Pierre Chaillot (Covid-19, ce que révèlent les chiffres officiels, avril 2023), ce chiffre serait même inférieur à 1%. Si l’on est rigoureux et honnête, presque personne ne serait directement mort « DU » Covid entre 2019 et aujourd’hui !

[iii] Tadros Ghebreyesus, directeur général de l’OMS, Bill Gates et Anthony Fauci, font l’objet d’une plainte du Barreau des avocats indiens auprès de la Cour pénale internationale pour crime contre l’humanité, pour avoir fait interdire la prescription d’ivermectine qui avait permis de sauver des millions d’Indiens après l’apparition du terrible variant Delta apparu début 2021.

[iv] Naomi Klein : La stratégie du choc – Le capitalisme du désastre (2007)

[v] Klaus Schwab : Covid-19, The Great Reset (2020)

La volonté de ne pas savoir

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Pourquoi « ils » ne veulent pas savoir ?…

Quelles sont les raisons profondes du conformisme social, de l’oblitération morale et intellectuelle, du suivisme politique des masses aux cerveaux lessivés par les médias comme jamais auparavant en Occident depuis cette « crise du Covid » ?

Dans une vidéo postée sur un tweet, le Dr. Louis Fouché explique la raison du déni qui touche paradoxalement plus les plus éduqués, les plus diplômés, les plus conformistes, attachés au matérialisme. Une grande partie de la population accepte encore la censure et le narratif officiel des gouvernements et de l’OMS. 70% des individus dans les pays Occidentaux se seront ainsi fait injecter, de gré ou sous la contrainte, un produit expérimental frauduleusement appelé « vaccin », commercialisé de façon illégale par un cartel d’industries pharmaceutiques. Dont une bonne part d’enfants, d’adolescents, de jeunes adultes qui n’ont jamais été concernés par la maladie, et qui ne présentaient aucun risque de la transmettre aux plus vulnérables tant qu’ils n’étaient pas eux-mêmes malades avec des symptômes.

La vérité sort partout (sauf ou si peu en France), mais elle n’est pas audible.

A cette analyse pertinente, j’ajoute qu’il existe chez les personnes les plus fragiles des mécanismes psychologiques du type paranoïaque qui expliquent cette incapacité à voir des faits réels.

Léonard de Vinci observait : « Il y a trois types de personnes : ceux qui voient ; ceux qui voient quand on leur montre ; et il y a ceux qui ne voient pas. » C’est cette dernière forme de cécité psychique plus qu’intellectuelle, pathologique plus que délibérée, systémique plus que personnelle, qu’il faut interroger.

Ce déni obsessionnel qui confine à la schizophrénie poussent ceux qui en sont atteints à réagir souvent sous forme de décompensations violentes et paroxystiques, lorsqu’ils se retrouvent confrontés à des personnes qui les exposent à des vérités dérangeantes. Des vérités factuelles pourtant validées, sourcées, officielles, incontestables.

Comme ces effets secondaires record, ces victimes et ces morts par millions recensés partout dans le monde, et directement imputés aux pseudos « vaccins » anti-Covid. Des informations qui ébranlent leurs certitudes autant que les remparts de la doxa sanitaire. Qui désamorcent des croyances implantées à dessein sur une « pandémie » fantasmée, en grande partie fictive, aussi banale qu’un rhume d’un point de vue infectiologique, épidémiologique et statistique, mais aussi terrifiante que la Grande peste noire, la lèpre, le choléra ou le sida, qui réveillèrent en leur temps des terreurs archaïques, médiévales ou apocalyptiques.

Or cette paranoïa entretenue et même plus contagieuse que le virus est précisément la matrice psychologique des mécanismes de dépendance au pouvoir. Comme l’illusion de toute-puissance quasi divine qui la caractérise, cette hubris bien plus addictive que le vice de l’avarice, cette obsession de l’argent et des richesses. Et cette jouissance perverse, sadique, partagée par tous les hommes de pouvoir (plus rarement des femmes) au niveau le plus élevé. Tous prisonniers de leur propre névrose. Une obsession dévorante qui les conduit à se démarquer radicalement du commun des mortels, de ce qui fonde notre humanité, pour poursuivre un rêve de toute-puissance du haut de leur Olympe. Avec comme fantasme ultime le rêve de pouvoir créer et maîtriser la Vie. Comme ce démiurge Créateur de l’Univers, dont ils jalousent le pouvoir et réfutent l’existence.

C’est la thèse défendue par Ariane Bilherand, psychologue spécialiste des pathologies du pouvoir, qui a étudié dans les moindres détails cette pathologie chez les grands malades qui dirigent le monde, et leur idéologie radicalement inégalitaire, transhumaniste et eugéniste.

Le Covid n’est que la surface visible de ces mécanismes paranoïaques auto-aliénants, qui se déclinent aux plans du savoir, du pouvoir politique, économique, administratif et financier sous les traits d’une perversion radicale des savoirs scientifiques, de l’éthique et des institutions liées à la fabrique du savoir, sa validation et sa transmission, l’ingénierie sociale et la manipulation scientifique des masses, la corruption systémique et systématique de tous les pouvoirs subordonnés au seul pouvoir financier et à ceux qui le contrôlent, la perversion des discours sur le Droit, la Justice, la Démocratie, la Société, leurs fondements philosophiques, institutionnels et même religieux. Y compris les valeurs les plus essentielles. Comme le respect de la vie humaine et des autres formes de vie, de la dignité humaine, de l’identité et de l’intégrité individuelles, de l’inviolabilité du corps humain, des principes humanistes universels, ou des libertés reconnues comme les plus essentielles.

Cette paranoïa est méthodiquement traduite en slogans et formules magiques pour forcer l’adhésion des masses esclavagisées à une propagande, à un discours et à un ordre absurdes.

Lorsque la soumission est acquise, au terme d’intimidations, de menaces, d’injonctions paradoxales, de terrorisme, de chantages et de vaines promesses, ceux qui y succombent se métamorphosent alors en auxiliaires zélés du pouvoir. Ils sont sous une emprise psychologique et spirituelle puissante, prisonniers du chantage qu’ils ont accepté afin de conserver un semblant de liberté, d’autorité, de respectabilité, et quelques avantages conditionnels : sortir, se divertir, voyager, consommer… Presque comme avant.

Dans ce presque, il y a une abdication définitive à tout libre-arbitre, à toute faculté de raisonnement et de jugement autonomes, à tout vraie liberté qui ne soit pas conditionnée par le degré de soumission, au respect de la personne humaine, de l’altérité, et pour finir de toute humanité. Tous sacrifiés au bénéfice d’un conformisme déshumanisant et sacrilège. Une trahison qui nourrit encore plus cette angoisse du Jugement, avec une culpabilité effroyable qui l’accompagne.

Face à des détracteurs « libres », qui n’ont pas peur d’exposer la vérité, de prendre tous les risques pour dénoncer l’imposture, le mensonge et la corruption des prélats de la religion nouvelle, cette pulsion paranoïaque agit telle un réflexe archaïque et irrépressible. Tel un mécanisme de défense propre à tout être vivant face à ce qu’il perçoit comme un danger de « mort imminente ». Et face à un « ennemi » qui menace en profondeur ses structures psychologiques, en brisant l’écran artificiel du mensonge. Un écran constitué par tous ces schémas appris et les discours articulés, qui fondent nos représentations sur la vie, le monde, la société, l’autorité, l’identité collective et leur donnent un sens.

Notamment cette croyance naïve, constamment confortée sous des formes diverses dans les discours politiques, culturels, médiatiques, religieux, que toute autorité est bonne a priori, non corrompue. Et donc qu’il faut absolument lui obéir, la respecter. Impératif moral, social, mais aussi essentiel : « Rendez à César ce qui est à César… » Une affirmation souvent mal interprétée par les églises, catholique surtout, comme un devoir d’obéissance obséquieuse ou calculée, d’attitude « non-violente » vis-à-vis des pouvoirs temporels.

Cette soumission est d’autant plus opérante qu’elle procède d’une projection sur l’autorité de l’image du bon parent protecteur. Et donc de Dieu. Le « bon roi » chrétien qui se soucie bien de ses peuples, le Président élu au suffrage universel, représentant du peuple et de la Nation, vénéré comme un monarque, le brave médecin du roman de Dickens De Grandes espérances qui remplit son devoir comme un sacerdoce en soulageant les corps et les âmes, le chercheur ou le philosophe qui se dévoue à la Science, à la quête de la Sagesse ou de la Vérité…

Autre lieu commun qui façonne les représentations populaires sur le Pouvoir, cette croyance très répandue que tout responsable scientifique, politique, religieux œuvre de son mieux pour le « bien commun », l’intérêt général, la démocratie, la Justice, la défense des plus fragiles et des déshérités. Qu’il multiplie les efforts en faisant don de sa personne au groupe, avec loyauté et intégrité, en mettant de côté tout appétit cupide ou ses intérêts personnels.

La multiplication des révélations, des affaires, l’exposition des conflits d’intérêts, compromissions, mensonges délibérés, privilèges, passe-droits et protections diverses dont jouissent les serviteurs du pouvoir, met à mal cette confiance dans le contrat social. Notamment les fondements de la paix sociale : renoncement à la violence arbitraire pour les dirigeants. Et au devoir d’insurrection contre les oppresseurs du peuple, selon les principes hérités de la Révolution inscrits dans les Droits de l’homme et du citoyen[i].

Cette violence, légitime bien que déclarée illégale, immorale et transgressive, resurgit chez une infime minorité déterminée à abattre le système : black blocs et autres « anarchistes révolutionnaires de l’ultragauche ». Surexposée, unanimement condamnée, elle voile l’incommensurable violence systémique sans cesse travestie en vertu, niée ou occultée, qui manipule l’opinion et la soumet à un chantage insoutenable.

Les mécanismes du refoulement font le reste. L’écrasante majorité plie et obéit, renonce à ses prérogatives les plus essentielles, rejouant toujours plus inlassablement, dramatiquement et coupablement le scénario de la servitude volontaire[ii].

Ce refoulement détruit les corps et les âmes, beaucoup plus sûrement que la pire des pandémies ne menacerait le corps social.

Il produit aussi d’effroyables décompensations sporadiques : meurtres, viols, attentats, saccages et sacrilèges, souvent commis sous l’emprise de psychotropes consommés avec excès pour étourdir la frustration et le désespoir.

Le ressentiment que cette violence sournoise nourrit n’en est pas moins violent chez ceux qui dysfonctionnent et finissent par « pèter un câble », devenant des symptômes des maladies du corps social, et les désignant de fait comme boucs émissaires et parias d’une société agonisante, au même titre que les « complotistes » qui en révèlent les mécanismes d’aliénation et d’autodestruction. De la même façon que les hérétiques et les criminels furent condamnés au bûcher par la Sainte Inquisition pour préserver l’intégrité du dogme et du pouvoir sans partage de l’Eglise catholique.

Le schéma est le même chez ceux qui font mine de refouler cette violence et la travestissent sous le « masque » d’une antimorale puritaine aussi obscène que déstructurante : le wokisme. Une morale du ressentiment fondée sur inversion des valeurs et une obsession de l’anti-normalité érigée en nouvelle norme absolue, poussée à l’extrême. Et qui transforme ceux qui sont victimes en robots dénués de tout libre-arbitre, de toute capacité à juger de façon relative et par eux-mêmes. Des Zélotes fanatiques défendant des causes auxquelles ils ne comprennent rien, mais qui s’y soumettent par obsession du conformisme : leur seul mode d’existence résiduelle, alors qu’ils ont perdu toute capacité à exister, toute identité vraie, toute empathie et toute forme d’humanité.

Ceux-là sont définitivement perdus pour l’humanité. Toute invitation à ouvrir les yeux, à penser par eux-mêmes, à voir la réalité sous un autre angle que le catéchisme délétère débité par les médias, les transforme en chiens enragés. Parce qu’elle les agresse, les excite, pointant directement ce mensonge inavoué qui détruit leur âme mais auquel ils souscrivent. Comme possédés par des puissances sataniques qui leur ont fait signer un Pacte de sang. Les ont poussés à accepter de laisser leur corps violer par des injections. A se laisser inoculer un programme génétique, une arme biologique de destruction massive bien plus mortifère que le virus contre lequel il est censé les protéger. En les exposant à une réaction en chaîne incontrôlable, telle une bombe atomique à retardement. A modifier leur génome et ceux de leurs descendants, les transformant en OGM marqués à jamais du sceau de la Bête.

Que faire pour ceux qui se sont rendus complices d’un projet aussi diabolique ? Par calcul, par peur, par ignorance, ou par désespoir.

Chaque nouvelle révélation vécue comme une agression se retourne contre les lanceurs d’alertes ou les amis bien intentionnés. Aussitôt transformés en boucs émissaires tout désignés pour colmater les brèches dans le Mur du Mensonge, mobiliser l’adhésion volontaire au Mensonge collectif, perpétuer l’illusion démocratique, sanitaire et sécuritaire.

L’ordre, la paix psychique et sociale illusoire, plutôt que la vérité et le chaos.

Ou plutôt, ordo ab chaos : l’ordre à partir chaos. L’antienne des grands prêtres de ce capitalisme du désastre.

Références :

  • Michel Foucault : La volonté de savoir (Gallimard, 1974)
  • Ariane Bilheran : Psychopathologie de la paranoïa (Dunod, 2016)
  • Ariane Bilheran, Vincent Pavan : Le débat interdit – Langage, Covid et totalitarisme (Guy Trédaniel, 2022)

[i] Cf. Article 35 de la Déclaration des Droits de l’homme et du citoyen de 1793, repris dans la Première Constitution de la République :
« Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple, et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs« .

[ii] Cf. Etienne de la Boétie : Discours de la servitude volontaire (1574)

Journée mondiale d’hommage aux victimes des « vaccins » : les dessous d’une hécatombe

Mis en avant

Le 13 mai prochain aura lieu dans plusieurs villes françaises, européennes et du reste du monde, une journée pour dénoncer les effets indésirables des « vaccins » anti-Covid.

Pour dénoncer aussi l’omerta criminelle sur les effets néfastes de ces injections. Notamment dans des pays comme la France où dirigeants politiques et autorités de santé refusent toujours d’admettre leur réalité et leur ampleur, deux ans et demi après le début des campagnes publiques de vaccination de masse.

Des effets niés ou minimisés pour continuer à écouler les doses, bien qu’ils aient causé des millions de décès dans le monde. Du moins partout où ces « vaccins » ont été imposés à des populations désorientées comme le seul remède prétendument efficace contre le Covid. Sans aucun bénéfice objectif pour les protéger des contaminations, des effets de la maladie, y compris les formes les plus graves, empêcher les personnes injectées d’être hospitalisées ou de mourir du Covid.

Plusieurs associations de médecins, des spécialistes, des juristes, des avocats représentant les victimes ou leurs familles, mènent depuis 2021 un combat acharné pour faire valoir ces préjudices, obliger les médecins tétanisés à déclarer ces effets indésirables directement liés aux « vaccins », obliger les responsables corrompus à reconnaître leurs erreurs à vouloir piquer toute la population, faire enfin éclater toute la vérité, et obliger les laboratoires criminels à verser des indemnisations.

Eux qui connaissaient parfaitement les effets désastreux de ces « vaccins », ont menti sur leur efficacité et leur innocuité, et ont continué sciemment à vendre des milliards de doses pour engranger des centaines de milliards de dollars de bénéfices.

Ces effets indésirables sont aujourd’hui parfaitement connus et répertoriés. Ils sont recensés depuis décembre 2020 par les agences de pharmacovigilance, notamment en Europe. 2 millions d’effets indésirables et 20.000 de décès directement liés aux « vaccins » avaient déjà été recensés en juin 2021 par les agences de pharmacovigilance européennes. Soit moins de 6 mois après le début des campagnes de vaccination. On a explosé toutes les statistiques de pharmacovigilance depuis.

Des campagnes lancées tambour battant en Europe en janvier 2021, sous l’égide de la Commission européenne et de son omniprésente Présidente Ursula van der Leyen. Laquelle est aujourd’hui poursuivie pour corruption et dissimulation de preuves (les fameux SMS échangés avec Bourla) par un tribunal belge, pour avoir acheté des milliards de doses au Président de Pfizer (Young global leader comme elle), sans commission scientifique préalable pour statuer sur l’opportunité d’acheter en nombre ces doses, et sans l’accord des autres membres de la Commission sur ce calendrier précipité.

Ces effets indésirables – certains relativement bénins comme des violents maux de tête après l’injection, d’autres fatals comme des thromboses et AVC – sont aujourd’hui reconnus officiellement dans bon nombre d’Etats.
 
Aux États-Unis, le CDC (Center for Disease Control) qui gère la surveillance des maladies au niveau fédéral, et la FDA (Food & Drug Administration) qui délivre aux laboratoires pharmaceutiques les autorisations de délivrance de médicaments, les ont officiellement reconnus depuis plus d’un an.

Le gouverneur de Floride Ron DeSantis a même voulu faire interdire en janvier 2022 le pass sanitaire, l’obligation du port du masque et la vaccination. L’Etat de l’Iowa examine un projet de loi visant à pénaliser tous ceux qui feraient la promotion de ces prétendus « vaccins ».

Leurs effets néfastes et parfois mortels font l’objet d’indemnisations financières versées aux victimes par certains gouvernements.

A Singapour, l’Etat indemnise depuis 2021 avec un fonds spécial les familles des personnes décédées suite aux « vaccins ».

En Allemagne, des citoyens demandent aujourd’hui à l’Etat de faire de même.

Idem en Australie, l’un des pays qui avait pourtant décrété des mesures sanitaires parmi plus dictatoriales pour un pays occidental (comparables à la Chine), avec la Nouvelle-Zélande de l’ex-Première ministre Jacinda Aspern, Young global leader du Forum de Davos, comme Macron, Biden, Trudeau, Scholz, Sunak, Sanchez et bien d’autres dirigeants occidentaux corrompus.

La vérité sur ces effets indésirables et les morts des « vaccins » progresse donc désormais tel un tsunami irrésistible.

De même que la divulgation décomplexée sur les plateaux télé, dans des médias mainstream, dans l’opinion publique intoxiquée par trois ans et demi de propagande insanitaire orchestrée par les laboratoires, leurs actionnaires comme BlackRock, les fondations qui les financent comme la Fondation Gates et les Etats corrompus. Une propagande relayée par des conseils scientifiques bidons, des ministres et des médias, tous corrompus par les mêmes.

Pas un jour aux Etats-Unis sans que la chaîne Fox News, proche des Républicains et critique envers le pouvoir actuel, n’évoque ces nouveaux scandales liés à la gestion de la crise sanitaire, l’origine du virus, les faux « vaccins », les dommages historiques causés aux victimes abusées par leurs dirigeants.

En Allemagne la chaîne publique ZDF a tout récemment consacré une émission entière à ces effets secondaires, et demandé leur indemnisation par l’Etat.

La France fait figure d’exception : un ilot de silence au milieu de l’Europe, plus proche pour la liberté d’expression de la Corée du Nord que de la Suède ou la Norvège. Les choses pourraient rapidement changer avec un Président usé, impopulaire à 90%, emporté par « la foule » vers la sortie, et qui pourra difficilement achever son mandat

Sans parler des nombreux médecins qui évoquent maintenant sans crainte cet effondrement immunitaire comparable au sida dont ils sont témoins chez certains patients injectés à partir de la 3e dose.

Un effondrement immunitaire spectaculaire, au sujet duquel alertait le Professeur Luc Montagnier (qui en a vu d’autres), dans cette déclaration courageuse 5 jours avant de mourir:

« Les personnes vaccinées seraient bien inspirées de faire le test du sida. Elles seraient surprises du résultat, et pourront demander des comptes à leur gouvernement !« 

Certains avaient osé insulter le Prix Nobel découvreur du virus du sida, en le traitant de « complotiste » et de « gâteux« .

Ce que le Professeur a omis volontairement de dire en direct sur ce plateau télé, c’est que les applications civiles et médicales ne constituaient qu’une partie seulement des programmes développés dans ces labos ultra pointus et ultra protégés de recherche en génie génétique.

En effet, une grande part des recherches conduites dans ces laboratoires très surveillés comme le laboratoire P4 de Wuhan construit par la France au nom de la coopération scientifique franco-chinoise, et inauguré en 2011 par le Premier ministre Bertrand Cazeneuve le directeur de l’INSERM Yves Lévy (mari d’Agnès Buzyn), comportent presque toujours un volet de recherche militaire.

Il faut en effet savoir que, bien que les armes bactériologiques soient interdites par la Convention de Genève et qu’elles ne soient pas officiellement développées par les pays signataires de cette Convention comme la France, la majorité des recherches effectuées aujourd’hui dans le monde sur des budgets militaires le sont pour des programmes d’armes non conventionnelles. Car celles-ci sont beaucoup moins coûteuses, tout aussi efficaces mais beaucoup plus discrètes et ciblées que les armes stratégiques (bombe atomique) : armes chimiques, bactériologiques, électromagnétiques (bombes, canons et fusils électromagnétiques de l’US Army), sismiques (séismes déclenchés), climatiques (HAARP et programmes d’ingénierie climatique reconnus officiellement par le Pentagone « pour lutter contre le dérèglement climatique« …), psychédéliques, etc…

Plusieurs spécialistes du génie génétique ont d’ailleurs confirmé depuis le Covid que les laboratoires P4 créés ces dernières années par les Etats-Unis, le Canada, l’Europe, le Royaume-Uni ou la France (et souvent délocalisés vers des pays d’Asie du Sud-Est comme la Corée du Sud, Hong Kong ou la Chine, plus conciliants avec la législation), travaillaient en réalité essentiellement sur des programmes militaires de développement d’armes bactériologiques. Et plus accessoirement sur des programmes civils destinés à mettre au point de nouveaux vaccins.

Les Etats-Unis sont d’ailleurs impliqués dans la genèse du virus SARS-Cov-2, tout comme ils sont dans les recherches menées au laboratoire franco-chinois de Wuhan. Comme l’ont prouvé les mails divulgués lors du Faucigate qui a démontré la responsabilité d’Anthony Fauci, responsable depuis 1984 des programmes de santé publique aux Etats-Unis, dans la préparation et le déclenchement de la crise du Covid.

Quant aux intentions délibérément eugénistes dans cette propagation volontaire du virus à partir de Wuhan (et peut-être dans d’autres foyers simultanés, en Iran et en Italie du Nord), il est assez difficile d’en douter, connaissant les intentions assumées de presque tous les oligarques impliqués dans cette crise.

En tout cas s’agissant des « vaccins », aujourd’hui les faits sont là. Et ce sont les menteurs subventionnés des ministères et des médias redresseurs de « fake news » qui se retrouvent aujourd’hui en situation d’accusés. Alors que ceux qu’ils calomniaient hier en les accusant de « complotistes » sont aujourd’hui réhabilités, écoutés et même remerciés pour leur courage.

A ce sujet, il faut noter le revirement spectaculaire du réseau social LinkedIn, propriété de Microsoft. Un des GAFAM les plus largement impliqués dans le volet numérique de ce cirque covidiste.

Notamment parce qu’il détient depuis 2019 le brevet d’une technologie à base des nanoparticules incluses dans le cocktail vaccinal et destinée au traçage des personnes vaccinées. Développée par le MIT de Boston, elle a fait l’objet de tests officiels en 2020 au Kenya et au Malawi sous l’égide de la Fondation Gates. Comme l’ont rapporté des médias mainstream comme Le Monde, Les Echos ou LCI.

Microsoft est aussi l’un des initiateurs du projet ID 2020. Un conglomérat discret réunissant parmi ses fondateurs la Fondation Rockefeller, la Fondation Gavi (vaccins), Accenture et Microsoft. Avec comme partenaires des multinationales stratégiques comme Facebook, Mastercard et autres géants de la tech. Son but : développer l’identité et le contrôle numériques (des populations) au plan mondial. Et coupler les nouveaux outils de contrôle des données personnelles (état civil, données médicales, carnet de vaccination, données bancaires…) aux monnaies numériques actuellement mises en place partout dans le monde, puis à la future monnaie unique numérique mondiale. L’outil ultime de contrôle des populations.

Un projet qui associe étroitement l’Union européenne, à travers son identité numérique européenne et son portefeuille numérique européen, actuellement mis en place par la Commission européenne. De même que la BCE met en place aujourd’hui son euro numérique, à l’image du dollar, du rouble, du yen ou du yuan numériques. Au passage, la BCE s’est arrogée en 2022 le droit de contrôler toutes les opérations bancaires sur tous les comptes de particuliers gérés par les banques dans tous les Etats membres de la zone euro. En violation complète du droit européen sur le secret bancaire et la vie privée.

Il y a encore deux ans, la censure sur LinkedIn était impitoyable concernant certaines vérités qui dérangent, même sourcées, validées par des experts et publiées dans des médias mainstream. Notamment la réalité sur les tests PCR, l’inefficacité ou la dangerosité des « vaccins ». Relayer de telles infos équivalait à une fermeture arbitraire et immédiate du compte pour non-respect des standards LinkedIn, sans aucune explication ni recours possible.

Même politique de censure arbitraire chez Facebook, réseau asocial champion de la chasse aux « fake news« .

Aujourd’hui, de nombreux décideurs – PDG, banquiers, médecins, généraux – discutent très ouvertement des dérives du Covid et des volets opaques de ce scénario de basculement contrôlé baptisé Great Reset. Un scénario détaillé par Klaus Schwab, Président du Forum de Davos, dans un livre publié en 2020[i], et destiné à nous faire basculer par étapes grâce à des chocs successifs vers une société dystopique, totalitaire, sans libertés, dominée par un Caste élitiste qui contrôle tous les pouvoirs, et gère des populations réduites en esclavage, surveillées par des AI, reformatées par des techniques transhumanistes et vouées à un dégraissage eugéniste « pour sauver la planète ».

Certains qui avaient été accusés de complotisme, ont été suspendus deux ans sans indemnité pour avoir refusé de se faire vacciner, ont perdu leur emploi, ont été condamnés au bûcher professionnel, raillés par les médias, ou qui se sont fait radier par le Conseil de l’Ordre, sont aujourd’hui réhabilités. Comme le Professeur Perronne, débouté de sa chefferie du service de maladies infectieuses à l’hôpital de Garches en 2021, puis réhabilité sans bémol par le Conseil de l’Ordre en 2022, et lavé de tout soupçon de « complotisme ».

Certains d’entre eux ont porté plainte contre les calomniateurs. Ils ont ajouté leur voix aux millions de plaintes dans le monde destinées à faire reconnaître officiellement les préjudices causés par les vaccins de la mort, indemniser les victimes, leurs conjoints ou leurs familles, exposer les crimes, faire condamner les coupables et rétablir la vérité.

Selon les juristes, cela prendra sans doute beaucoup de temps. 10 ans au bas mot, d’après certains. D’autant que la Justice elle aussi est largement corrompue.

Depuis 2020, Reiner Fuellmich, avocat international allemand et d’autres juristes appellent à un Nürnberg du Covid. Afin d’exposer publiquement les crimes, condamner les coupables qui ont imaginé, planifié, déclenché, organisé, couvert cette Shoah mondiale qui cible 8 milliards d’êtres humains.

Et qui se sont enrichis en vendant des vaccins tueurs. En interdisant qu’on hospitalise les malades en détresse respiratoire jugés non prioritaires en raison de leur grand âge, de leur infirmité ou état de santé.

En interdisant qu’on leur délivre autre chose que du Doliprane, et surtout pas ces traitements mis à l’index car réputés pour leur efficacité, et qui auraient permis de les sauver.

En euthanasiant par décret [ii] les vieux dans leur EHPAD. En terrorisant la population avec une fausse « pandémie » fabriquée par l’OMS, et démesurément déformée par les médias alarmistes dès novembre 2019.

En imposant des mesures absurdes, liberticides et contre-productives. Comme la distanciation sociale, le masque, les confinements et couvre-feux à répétition, les milliards de tests PCR utilisés en dépit des méthodes préconisées par leur inventeur et leurs fabricants, la falsification des données épidémiologiques pour faire croire à des « vagues » successives, et justifier le prolongement d’une dictature légale (état d’urgence sanitaire), la fermeture des lieux publics, la surveillance policière des populations, la vaccination obligatoire, le pass sanitaire et le traçage numérique dans le but de fliquer tout le monde…

Comme un symbole de cette folie, le groupe Pfizer, propriété de BlackRock comme la plupart des leaders du secteur pharma, est aujourd’hui sur le banc des accusés. Son PDG Albert Bourla est poursuivi par d’innombrables plaintes pour falsification ou dissimulation d’études scientifiques, concernant l’efficacité et les effets secondaires des injections ARNm, entrave à la Justice, empoisonnement, homicide volontaire, crime contre l’humanité, et corruption.

Cela ne dérange nullement cet homme ni sa firme, qui a déjà accumulé un record de condamnations pour crimes et se voit chaque année obligée de verser des millions d’amendes depuis 10 ans. Une ligne comptable insignifiante dans son business plan highly bankable

C’est pourtant largement à son initiative que débutait fin 2020 la plus grande opération de « guerre » de l’Histoire humaine, annoncée plus d’un an auparavant. Alors qu’il faut au bas mot 20 ans à la recherche pour développer un vaccin efficace contre un nouveau virus. Qui plus est, avec une technologie totalement nouvelle, sans aucun recul ni étude indépendante prouvant son efficacité.

Une opération digne du Débarquement de Juin 1944, préparée dans le plus grand secret et saupoudré de quelques annonces pour tester l’opinion, qui mettait en œuvre des moyens considérables pour terrasser un virus de grippe quasi inoffensif[iii], qui aura causé au total moins de victimes dans le monde que la grippe saisonnière de 2019 !

Une campagne de vaccination massive sur tous les continents, pilotée de main de maître simultanément dans 65 Etats occidentaux par une entreprise privée américaine : le cabinet de conseil McKinsey.

Un véritable Etat dans l’Etat, qui s’est substitué aux conseillers, ministères et services administratifs des Etats concernés, pour la partie conseil comme pour la partie mise en œuvre de la politique vaccinale, pass sanitaire compris. Et dont le dirigeant en France n’est autre que Victor Fabius, fils du Président du Conseil constitutionnel et ancien Premier ministre (condamné dans l’affaire du sang contaminé) Laurent Fabius. Rien que du beau monde.

Un scénario relayé par ces Etats et leurs conseils scientifiques bardés de conflits d’intérêts avec des labos comme Pfizer, Moderna ou Gilead, des agences de santé et des médias subventionnés, tous archi corrompus. Au bénéfice d’une industrie pharmaceutique qui constitue le secteur le plus corrompu et le plus corrupteur de l’économie mondiale.

Une industrie financée par des fondations privées, comme la Fondation Bill & Melinda Gates, la Fondation Gavi pour les vaccins, la Fondation Rockefeller ou la Fondation John Hopkins. Toutes championnes de la corruption et du crime organisé.

Rappelons que le « milliardaire philanthrope » Bill Gates, condamné par la justice américaine au cours de la décennie 1990 pour abus de position dominante de sa firme Microsoft, et violation de la loi antitrust, s’était refait une virginité en léguant une partie de son immense fortune héritée de sa famille et constituée par son empire informatique dans une fondation à son nom, destinée à financer des programmes humanitaires de santé dans les pays du tiers-monde.

Un « investissement » absolument pas désintéressé, mais au contraire extrêmement rentable, qui lui avait notamment permis de s’assurer le quasi contrôle financier d’un des secteurs les plus bankable de l’économie mondiale, en finançant ses labos les plus rentables.

Mais aussi de « racheter » l’OMS : une ONG mondialiste dépendante de l’ONU, jusque-là financée par les subventions de ses Etats membres. A la surprise générale, face à la gabegie corruptive et aux décisions sanitaires iniques de ce « machin » vendu aux firmes pharmaceutiques, Donald Trump avait décidé en 2020 de retirer les Etats-Unis de l’OMS !

Cet organisme est donc désormais sous la coupe majoritaire d’une fondation privée qui en est le principal mécène. Et qui lui dicte ses grandes orientations, pour le plus grand bénéfice des rapaces de Big Pharma et ses actionnaires.

La Fondation Gates s’était singularisée dans les années 2000 et 2010 en lançant des campagnes de vaccination massive et expérimentale sur populations pauvres des continents africain, asiatique et d’Amérique latine. Elle prétendait alors vouloir éradiquer des épidémies comme la méningite, la malaria ou la variole, alors que cette dernière était déjà éteinte quand la campagne de vaccination fut lancée.

Ces campagnes d’apprentis sorciers ont malencontreusement provoqué l’effet inverse de celui escompté. A savoir une reprise spectaculaire de ces épidémies. Au point que les vaccins contre la variole du couple Gates sont aujourd’hui considérés par les épidémiologistes comme le vecteur principal de propagation de cette maladie dans le monde !

Un scénario qui n’est hélas pas nouveau. Et dont les véritables causes ne laissent pas d’interroger.

En effet, en 1919 déjà, une autre fondation célèbre, la Fondation Rockefeller, inventeur et mécène de la toute jeune industrie pharma, avait lancé une campagne de vaccination massive contre la méningite destinée en priorité aux GIs américains à peine revenus du front après l’Armistice de 1918. Des centaines de millions de doses de vaccins à base de virus atténués furent ainsi injectés à toute une population jeune et en bonne santé. Le résultat fut cataclysmique, puisque ces vaccins sont aujourd’hui jugés responsables de la propagation de la bien mal nommée « grippe espagnole« . Laquelle a causé tout de même 50 millions à 100 millions de morts dans le monde en seulement 3 ans. Soit davantage que les deux guerres mondiales réunies.

La Fondation de Bill Gates n’est toutefois pas en reste. Puisque ce sont plusieurs millions d’Africains, d’Indiens ou de Sud-américains parmi les plus pauvres qui ont succombé aux effets secondaires de ses campagnes de vaccination mortifères.

Auxquelles s’ajoutent plusieurs centaines de milliers de femmes indiennes stérilisées par ces injections (chiffres officiels). Ce qui vaut à la fondation Gates d’être interdite de séjour depuis plusieurs années sur le sol indien.

Malgré les preuves et les condamnations, la fondation génocidaire continue toujours bon enfant son travail d’extermination des populations. En toute impunité.

Il faut dire que Bill et ses amis qui ne cachent plus leurs intentions ouvertement eugénistes. Et ne craignent pas la Justice, puisqu’ils ont largement les moyens de corrompre les tribunaux qui pourraient leur réclamer des comptes. A savoir l’ensemble des tribunaux nationaux, européens, ou internationaux, comme la Cour de Justice Internationale.

Cette dernière a d’ailleurs été saisie en 2021 par le Barreau des Avocats Indiens d’une plainte pour crime contre l’humanité à l’encontre de Bill Gates, Anthony Fauci et Tadros Ghebreyesus, directeur de l’OMS, suite à l’interdiction par l’OMS d’utiliser l’ivermectine pour soigner le milliard d’Indiens touchés par le redoutable variant Delta. Après que le gouvernement indien avait décidé de recourir aux traitements plutôt qu’à la stratégie vaccinale, inefficace, pour traiter sa population. Avec un succès qui permit l’écrasement immédiat du pic épidémique du variant Delta, qui atout de même causé des centaines de milliers de morts en quelques mois en Inde.

Quant aux objectifs de dépopulation mondiale liés aux vaccins, Bill Gates en a clairement fait état à plusieurs reprises dans ses déclarations et conférences publiques. Notamment lors d’une conférence Ted Talk aux États-Unis en 2010[iv] sur le thème de la population mondiale. Au cours de cette conférence, le milliardaire philanthrope a brossé un exposé implacable devant un auditoire médusé, en démontrant chiffres et schémas à l’appui que l’économie mondiale ne pourrait plus dans les années à venir nourrir une population dont la croissance démographique exponentielle devenait incontrôlable. Théorie qui paraît plausible, mais ne fait nullement l’unanimité chez les démographes et spécialistes de l’agriculture mondiale. Bill Gates a cependant rassuré son auditoire en indiquant qu’on pouvait résoudre le problème en jouant sur le paramètre « P » – Population – de l’équation. Rires gênés dans l’assistance… Avant d’ajouter :


« Si ont fait un bon boulot, un très bon boulot, on peut réduire de 15% la population mondiale en 10 ans, grâce aux nouveaux vaccins, aux politiques de santé publique, et au contrôle de la procréation ! » (Sic)

Bill Gates n’a jamais démenti cette déclaration de guerre implicite et cynique faite à toute l’humanité.

Une déclaration reprise depuis par lui-même et d’autres oligarques fanatiques des programmes eugénistes de dépopulation mondiale.

Comme George Soros (Open Society), Jacques Attali[v], Elon Musk, ou Laurent Alexandre.

Tous par ailleurs promoteurs infatigables de l’idéologie transhumaniste, dont les nouvelles injections expérimentales à ARNm sont une illustration.

Autre précision importante : l’industrie des vaccins, qui connaît un développement spectaculaire et des investissements records depuis 20 ans, est engagée depuis 1993 dans une compétition féroce mais discrète pour produire de nouveaux vaccins.

Mais surtout pour produire de nouveaux virus par génie génétique. Des virus brevetés, condition nécessaire pour s’en assurer la propriété, et percevoir ainsi des royalties sur les vaccins correspondant produits par ces mêmes labos.

Les progrès dans les techniques de manipulation génétique ont en effet connu un bond de géant ces dernières décennies. Elles permettent aujourd’hui de fabriquer des virus modifiés à partir de souches animales, auxquelles ont ajoute des gains de fonction afin de les rendre ces nouveaux virus compatibles avec l’homme. Ils peuvent alors s’intégrer facilement aux cellules humaines, alors qu’ils seraient normalement rejetés par le système immunitaire, le temps de muter pour s’adapter et trouver la bonne clé pour s’accrocher aux cellules et intégrer leur ADN pour se reproduire. Comme le VIH, à l’origine dérivé du LAV, virus du sida chez certaines espèces de singes.

En 2020, le Professeur Luc Montagnier était venu présenter sur CNews les résultats des travaux de son équipe de recherche sur le séquençage du génome du virus SARS-Cov-2, récemment isolé et tenu pour responsable de l’épidémie de Covid-19. A la stupéfaction générale, il avait présenté la preuve irréfutable que ce virus ne pouvait qu’avoir été fabriqué volontairement en laboratoire à partir de manipulations génétiques. Et que son ARN modifié comportait 4 insertions évidentes du VIH.

Avant d’ajouter pour rassurer un Pascal Praud hagard, que cette méthode était souvent utilisée par les labos de recherche médicale dans l’espoir de mettre au point un vaccin contre des maladies comme le sida. Cette technique vaccinale expérimentale s’appuie non sur des virus atténués, comme pour les vaccins « classiques », mais sur un virus porteur dans lequel on introduit des fragments du virus cible, dans le but hypothétique de provoquer une réponse immunitaire spécifique chez les personnes auxquelles on injecte le cocktail vaccinal.

C’est le principe théorique qui prévaut dans le concept de virus à ARN modifié (ARNm).

Une technologie nouvelle, largement expérimentale, qui consiste à « livrer » à l’intérieur de l’ADN humain une protéine d’enveloppe (Spike) du virus contre lequel on souhaite immuniser les personnes vaccinées. En utilisant par exemple un virus pathogène de chauve-souris, de grippe aviaire ou de grippe porcine génétiquement recombiné, qui va pouvoir s’accrocher aux cellules humaines, et « livrer » à l’intérieur de la cellule une portion du code génétique du virus ciblé. L’ADN humain ainsi piraté fera le reste, transformant la cellule hôte en usine à fabriquer des particules virales, qui seront à leur tour libérées à l’intérieur mais aussi souvent à l’extérieur du corps. Le pari fou de cette technique sophistiquée est que le système immunitaire va produire une réponse immunitaire spécifique dirigée contre le virus que l’on cherche à éradiquer. En se retournant en quelque sorte contre lui-même.

Au passage, le fait de pirater ainsi l’ADN conduit à une mutation irréversible du génome humain, mutation qui s’avère transmissible aux descendants. Il s’agit donc d’une modification délibérée de type transhumaniste de l’espèce humaine.

Pour les labos qui produisent ces chimères, le business model de ces nouveaux « vaccins » est fondé sur un objectif théorique de substitution de l’immunitaire naturelle par une immunité artificielle. La première étant non spécifique et pas toujours efficace immédiatement, le temps que le corps trouve la parade ; la seconde étant en principe spécifique donc efficace. Mais elle oblige les personnes qui mettent le doigt dans cet engrenage vaccinal à devoir se faire injecter des doses de rappel mises à jour tous les trois mois, en espérant être ainsi protégées contre l’apparition inéluctable de nouveaux variants.

Double, triple, quadruple, quintuple bingo !

Sauf que ce beau joujou admirable sur le papier n’a jamais marché ! Pire, ses effets sont catastrophiques.

Malgré les efforts démesurés de la propagande vaccinale, les faits demeurent têtus. Toutes les études indépendantes réalisées depuis plus de deux ans conduisent aux mêmes conclusions.

Tout d’abord il faut savoir que ces « vaccins » anti-Covid ont été commercialisés au prix d’une corruption d’une ampleur inédite dans l’Histoire, par des firmes criminelles pressées d’engranger des bénéfices record, et qu’ils ont été imposés de façon frauduleuse aux populations. Puisqu’il n’est légalement possible d’autoriser de tels essais expérimentaux qu’à condition qu’il n’existe aucun traitement pour soigner la maladie.

Ce qu’on a vainement tenté de nous faire croire par une vaste entreprise de corruption des chercheurs, de la presse scientifique[vi], des médecins, des agences de santé, des gouvernements et des médias. Alors que, selon plus de 200 études scientifiques indépendantes dans le monde, il existe de nombreux traitements, peu coûteux, disponibles et très efficaces contre le Covid, à tous les stades de la maladie : plus de 98% d’efficacité pour l’ivermectine, y compris sur les formes graves.

A l’inverse, les injections imposées de façon souvent obligatoire suite à un terrorisme médiatique doublé d’un matraquage de propagande destiné à donner l’illusion de leur efficacité, d’une chasse aux sorcières contre les propos dissidents et de contraintes dictatoriales sur les populations, n’ont prouvé jusqu’à présent rigoureusement aucune efficacité ! Contrairement à ce qui est martelé comme des mantras par des ministres corrompus comme Olivier Véran, par les labos eux-mêmes et repris en chœur par les journalistes.

En effet, toutes les études et statistiques officielles reprises par les agences de santé du monde entier, en Israël, premier pays à avoir massivement vacciné, aux Etats-Unis, au Canada, en France, le confirment : ces soi-disant « vaccins » n’empêchent aucunement les personnes injectées d’être contaminées. Au contraire ils affaiblissent leur système immunitaire, et les rendent moins résistantes aux nouvelles attaques virales. Selon une étude israélienne, en 2021 les vaccinés ont été 16 fois plus contaminés que les non-vaccinés.

Ces injections n’empêchent pas non plus les personnes injectées de transmettre le virus. Au contraire, elles les transforment en super propagateurs de protéines Spike. Puisque l’organisme qui tente de s’en débarrasser excrète par la peau et par voie aérienne des milliards de particules virales, qui vont infecter à leur tour d’autres personnes autour d’elles. Lesquelles présenteront parfois les mêmes symptômes que le Covid-19, sans qu’on puisse les différencier.

Contrairement aux mensonges martelés par les médias pour tenter de trouver une ultime justification aux doses de rappels destinées à écouler les stocks achetés par la Commission européenne, les vaccins Covid n’ont jamais protégé qui que ce soit des « formes graves ». Ces cas graves tant médiatisés et qui font tant flipper les accros aux messages anxiogènes diffusés à la télé. Toutes les statistiques prouvent aujourd’hui le contraire, à savoir que ceux qui développent des formes graves ou décèdent du Covid depuis 2021 sont majoritairement des personnes vaccinées ! Alors que les non-vaccinés dont le système immunitaire reste intact ont pour la plupart bénéficié d’une immunité collective face à une épidémie qui est aujourd’hui éteinte, et dont les répliques sont insignifiantes et extrêmement peu pathogènes.

En revanche, ceux qui payent depuis deux ans le plus lourd tribut aux vaccins et au Covid sont les jeunes ! Enfants, adolescents, jeunes sportifs et jeunes adultes vaccinés sont ceux qui meurent aujourd’hui le plus du Covid (i.e. des vaccins).

Quant à l’hécatombe produite par les effets secondaires et les décès directement liés aux injections, c’est tout simplement du jamais vu dans toute l’Histoire de la médecine, de la vaccinologie et de la pharmacovigilance !

N’importe quel autre médicament en phase d’essai thérapeutique avec délivrance d’une ATU (Autorisation Temporaire d’Utilisation) sous conditions, aurait été immédiatement stoppé. Et son développement aurait été définitivement abandonné au vu de tels résultats. Mais dans le cas des vaccins anti-Covid, on a continué et on continue toujours d’administrer la mort à des milliards d’êtres humains.

Sans compter que, selon les estimations, à peine 8% de ces effets secondaires redoutables constatés chez les personnes vaccinées seraient déclarés. Par incertitude ou par ignorance des médecins, par incrédulité, parfois par corruption. Et surtout par peur d’être montrés du doigt, de se voir désigné comme un « complotiste« , et pour certains d’être radiés par le Conseil de l’Ordre.

Quels sont ces effets néfastes des « vaccins » ?

L’hyper prolifération anarchique de protéines de pointe baptisées Spike dans l’organisme se traduit rapidement chez beaucoup de personnes injectées par des phénomènes inflammatoires, qui surviennent quelques heures à quelques semaines après l’injection. Et qui peuvent affecter tous les organes, du cerveau aux testicules en passant par le cœur, le foie, les reins, la rate, le pancréas, les intestins, la peau, les yeux, les os…, produisant des effets catastrophiques.

Thromboses, cancers foudroyants, embolies pulmonaires, néphrites, hépatites, pancréatites, troubles circulatoires, cardiaques, neurologiques, cérébraux, ophtalmiques, œdèmes, retards de règles, stérilités définitives chez les jeunes femmes et les jeunes hommes… Sans compter les innombrables morts subites qui affectent des présentateurs télé en direct sur leur plateau, des sportifs de haut niveau foudroyés en plein match, des militaires et policiers durant leur service. Des phénomènes liés à l’effort physique intense, cause de crises cardiaques ou d’AVC. Tous survenant chez des sujets jeunes, en parfaite santé, sans aucun antécédent.

Le 13 mai une partie du monde regardera ailleurs, ou tentera de ridiculiser cette initiative courageuse en la présentant comme « des délires de complotistes ».

Une autre partie du monde ouvrira les yeux et commencera à admettre que les premiers avaient raison. Ils rendront hommage aux victimes décédées à cause de cette politique du Mensonge institutionnalisé et du sacrifice d’une part de l’humanité sur l’autel du dieu Mammon et de ses grands prêtres psychopathes prêts à tout pour obtenir plus de pouvoir.

La vérité mettra encore du temps à gagner toutes les consciences. D’autant qu’entre temps, nos bourreaux nous ont déjà concocté d’autres réjouissances comme autant de « chocs » pour nous asservir : guerre Otano-russe en Ukraine et menace de 3e guerre mondiale, crise énergétique et hyperinflation (prévues par Klaus Schwab dans son livre), crise climatique et autres catastrophes « naturelles », Intelligence artificielle menaçant de prendre le contrôle de l’humanité…

Il ne faut pas nous laisser impressionner par ces mises en scène. Mais rester inflexibles quand il s’agit de défendre l’identité et la dignité humaine violées par les expériences transhumanistes, les libertés et droits individuels saccagés par la dystopie sécuritaire qu’on nous impose « pour notre bien », l’irruption de sentinelles numériques au cœur de nos vies, dans nos corps, nos cellules, nos cerveaux, nos pensées, nos choix personnelles pour éradiquer non pas des virus menaçants, mais notre esprit critique et libre-arbitre.

La seule issue à ce cauchemar réside dans l’élévation et l’unification des consciences au plan mondial. L’exposition des crimes contre l’humanité perpétrés par une poignée de fanatiques depuis 3 ans doit nous inciter non pas à leur faire rendre gorge dans le but de nous venger, mais à poser les garde-fous nécessaires pour qu’une telle horreur ne puisse jamais se reproduire. Et qu’une écrasante majorité d’humains choisissent en conscience de s’engager ensemble dans une autre voie, qu’elle choisisse d’épouser un autre futur.

Alors seulement, quand nous seront sortis des ténèbres, les choses commenceront.


[i] Klaus Schwab & Thierry Malleret : Covid-19, The Great Reset (Forum économique mondial, 2020)

[ii] Décret n° 2020-360 du 28 mars 2020 complétant le décret n° 2020-293 du 23 mars 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire. Ce décret signé Edouard Philippe demandait explicitement aux médecins d’EHPAD de prescrire du Rivotril, un sédatif létal à fortes doses, au titre de « soins palliatifs » aux personnes âges suspectées de Covid et présentant des symptômes d’infection respiratoire.

[iii] Sauf dans de très rares cas ultra médiatisés pour des personnes très âgées ou très malades

[iv] https://www.youtube.com/watch?v=DtkfWaCzsas

[v] Jacques Attali milite depuis 1979 dans ses livres et conférences en faveur de l’euthanasie des vieux qui plombent l’économie française. Ce qu’a par ailleurs confirmé de Christine Deviers-Joncourt dans un livre de témoignage publié récemment où elle évoque des déclarations explicites sur ce sujet au cours de dîners au domicile de Jacques Attali. Cette politique eugéniste défendue par beaucoup d’oligarques dits « progressistes » a d’ailleurs été évoquée quasiment mot pou mot par la très macroniste députée Renaissance Amélie de Montchalin, dans un tweet qu’elle a publié le 23 avril 2023 et qui a fait scandale.

[vi] Cf. le scandale du Lancet en 2021suite à une fausse étude bâclée publié dans la prestigieuse revue afin de discréditer les traitements à base d’hydroxychloroquine et d’azithromycine

Transparency International, cette ONG mondialiste qui « lutte contre la corruption » pour que vous ne la voyiez pas !

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« Transparency International », l’ONG « anti-corruption » de la Banque Mondiale, se soucie plus de son éviction par le Kremlin que des crimes contre l’humanité commis par les amis de Macron.

Agacé par un mail de désinformation envoyé hier par cet organisme auquel j’avais naïvement adhéré il y a quelques années, je partage ce recadrage éthique qui remet quelques pendules à l’heure. Et invite ceux qui seraient appâtés par les néons de s’enfuir à toutes jambes.

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Dear Transparency International,

For the past 10 years I have been a great supporter of your movement, especially concerning some corruption issues in France during François Hollande’s presidency.

However, since Macron was elected, I have been very shocked to see that your movement never pointed out any of the numerous objective high corruption facts in Macron’s way of governing and conceiving democracy.

Same thing concerning the Covid crisis.

No word about the worrying conflicts of interests between scientists, politicians, medias, private world foundations like Bill Gates’ one, Gavi, Rockefeller or John Hopkins, all involved in the pandemic, the WHO, the pharmaceutical industry and its share-holders like BlackRock.

No single word about the hundreds of billions of dollars of criminal profits made by Pfizer and other Moderna which sold illegal experimental products with absolutely no proven efficiency, but with millions of worrying side-effects and deaths established by official bodies in the whole world.

No word about some private American company like McKinsey that steered the same Health and vaccination policy in 65 Western states in 2021.

No word about the hundreds of prosecutions brought before national and international courts by victims of the illegal prohibition of efficient treatments against Covid-19, the prosecution by the Board of Indian Lawyers before the ICC against Tadros Ghebreyesus (Director general of the WHO), Anthony Fauci and Bill Gates, after WHO forbid the Indian government to treat people dying of Delta variant with ivermectine.

No word about the fake study commanded by Gilead Sciences and published in The Lancet to discredit hydroxychloroquine.

No word about the proven links between Pope Francis and Albert Bourla (CEO of Pfizer) and Melinda Gates.

No word about the unpreceded attacks on freedom and democracy thar are the dictatorial measures like repeated lockdowns, vaccination pass, masks, travels and protest bans, censorship on press and social networks, mass monitoring of population, police repression, arbitrary arrests of dissident scientists and inquisition of thoughts…

Today, 93% of French workers are declared against an unfair law project imposed by BlackRock to destroy our retirement and social system.

Paris streets have been overwhelmed with garbage hips and angry demonstrators for one week…

And your only concern in your last newsletter is about some Russian bullshit???

Oops! I’m sorry: I forgot that Transparency International was created 20 years ago by former employees of the World Bank.

Probably they were less specifically concerned about “corruption” than by broadcasting some “progressive” propaganda about what should and should not be considered by the public as a worrying “corruption” topic.

And Transparency International – which should be rebranded Opacity International – is surely nothing more than some other GNO invented by masters of social engineering to manufacture opinion.

As a journalist with a rigorous attention to ethics, a long experience and a strong deontology, I will from now on take great pride to inform my followers about the evident partisanship of your movement.

Best regards,

Christophe Claudel

Dictature sanitaire vs. dictature islamiste : la symbolique du masque et celle du voile, instrument du basculement initiatique

Mis en avant

Depuis que l’obligation de porter un masque dans l’espace public a été introduite en France et imposée à tous en 2020, bon nombre de militantes islamistes voilées ont inventé un subterfuge commode pour contourner la législation sur la burqa qui interdit à une femme de masquer entièrement son visage à l’exception des yeux. Il suffit d’ajouter à leur uniforme islamiste favori (hijab, niqab, djilbab, abaya…) un simple masque sanitaire, si possible assorti à la couleur dominante de la tenue (gris poubelle ou noir anthracite), et le tour est joué !

Le masque sanitaire, dont l’obligation est de pure principe, n’est ici qu’une justification pour se conformer aux prescriptions chariatiques les plus radicales qui selon les salafistes obligent les femmes musulmanes dès le plus jeune âge à masquer intégralement leur corps (mains et cheville comprises), à le faire disparaître derrière des tenues amples et floues qui dissimulent les formes féminines jugées haram (illicites) si elles sont offertes en public aux regard des hommes, mais aussi à voiler intégralement leur chevelure (toujours haram car trop connotée sexuellement), et le visage à l’exception des yeux.

Pourtant, ce subterfuge n’a pas une signification de revendication affichée exclusivement politique ou communautariste.

D’un point de vue anthropologique et symbolique, la symbolique du masque sanitaire imposé à tous et en tous lieux (y compris sur une plage déserte et même au domicile, selon certains covidistes extrémistes), et celle du voile islamique intégral qui masque tout le visage dans l’Islam fondamentaliste, sont assez proches.

Dans le premier cas, il s’agit clairement d’un instrument qui marque la soumission de la femme. Et qui se justifie par la pudeur et la retenue exigées comme une garanties de sa vertu (et de sa virginité pour les jeunes filles nubiles) pour toutes les femmes présentes dans l’espace public. Du moins dans les pays où sévit un Islam intégriste, comme L’Arabie saoudite wahhabite, ou l’Iran chiite depuis Khomeiny.

Une obligation présentée à tort par les apologues religieux comme un « prescription coranique », et qui se répand partout dans tout le monde musulman ainsi que parmi les minorités musulmanes en Occident, à mesure que l’Islam politique frériste ou salafiste progresse dans sa stratégie de conquête des esprits, des sociétés et des normes qu’il tente d’imposer contre les lois de la République.

C’est aussi un marqueur sexiste et sexuel, social et territorial, qui témoigne d’une inégalité fondamentale, ontologique, anthropologique et sociale, entre les hommes et les femmes. Un marqueur de cette Autorité arbitraire et totalitaire que prétend incarner le religieux, qui prévaut sur tout autre registre ou principe. Et un marqueur d’appartenance communautaire à l’Oumma, à laquelle il est impossible de se soustraire sans s’exposer à l’opprobre général, à la répudiation, à des sanctions violentes, voire à la mort.

Cette marque visible et imprescriptible de la soumission normative de la femme, contrainte par sa nature de rester entièrement soumise à l’autorité de son mari, comme à l’ensemble de la communauté qui la définit en tant que membre (quasiment en tant que chose ou marchandise), et non comme individu doué d’une conscience autonome et d’un libre libre-arbitre, s’exprime par un renoncement à toute identité définie à partir de soi, au profit d’une obligation de conformité absolue aux normes identitaires et communautaires, morales et comportementales, imposées au nom d’une Loi divine (charia) et d’une tradition inamovibles. Un gage de pureté et un engagement de fidélité, à Allah comme à l’Oumma, qui s’il est transgressé équivaut à une condamnation immédiate et à une déchéance sociale définitive.

Seules les femmes ont une telle obligation de se cacher, de se voiler, de se montrer discrètes et pudiques en société, au point de disparaître complètement du paysage et de l’espace public sous des habits sombres et austères, telles des fantômes ou des êtres impurs : pestiférées, femmes adultères, laides ou repoussantes, obligées de se gommer, de s’anéantir, de se dématérialiser face à toute présence masculine autre que celle leur mari ou de leurs frères. Pour se soustraire ainsi au regard et au désir hypothétique par nature concupiscent des autres hommes.

En cas de transgression, si elles lèvent le voile ou osent monter un centimètre de chair illicite, elles sont aussitôt assimilées à des courtisanes (des putains), qui mettent en péril l’honneur de leur mari, de leur famille et de leur communauté.

Un vieux thème éculé commun aux religions monothéistes antiques, fondées sur le rejet du matriarcat, la phobie des femmes, de leur corps, de leur sexualité jugée par les religieux désordonnée, la misogynie érigée en norme sociale et juridique. Et sur le mythe de la femme écartelée entre deux polarités moralement opposés : l’icône de l’épouse parfaite et de la mère, vertueuse et soumise, et celle de la tentatrice, charmeuse lubrique, promesse de plaisirs illicites et de débauches coupables. Sauf pour les pieux musulmans à la libido insatiable, une fois qu’ils auront rejoint le Paradis d’Allah, où les attendent des hordes de vierges surnuméraires, toujours disponibles et toujours vierges.

Dans l’imaginaire islamique, la femme est donc un être créée par Allah uniquement pour donner à l’homme du plaisir et une descendance. Selon une fonction utilitaire analogue à celle d’une servante, d’une auxiliaire sexuelle, d’un utérus fécond, ou d’un simple bétail. Avec une idéalisation de la mère, et un pouvoir jaloux affirmé par celle-ci sur ses fils dans la sphère privée. Tant qu’il ne déborde par du périmètre de la maison familiale, et tant que les fils ne sont pas déclarés des hommes pubères.

Dès qu’elle sort du foyer, la femme doit s’invisibiliser et raser les murs, telle un fantôme, pour ne pas troubler l’ordre essentiellement masculin qui gouverne la sphère publique. Elle ne doit en aucune façon se mêler aux hommes, parler ou se comporter comme un homme, s’habiller comme un homme, ou comme une femme légère qui trahit sa caste et ne pense qu’à les séduire, les détourner de leur femme, de leur famille, de leurs obligations rituelles et du chemin orthodoxe. Ni prétendre rivaliser d’intelligence et de savoir avec les savants, s’immiscer dans les affaires publiques, réservées bien entendu aux hommes, faire de la politique, exercer un métier scientifique, juridique, ni bien sûr en lien avec la religion. Chacun sa place.

Quant au masque sanitaire, il reprend une symbolique très ancienne qui renvoie à la condition d’esclave. Dans l’antiquité romaine, notamment dans les provinces du Nord de l’Afrique (comme dans certains pays musulmans), les esclaves devaient souvent porter un masque de cuir ou de métal sur le bas du visage, qui leur interdisait de parler et dissimulait leurs traits. Une manière symbolique de leur ôter toute identité, résumée à leur seule condition d’esclaves et de marchandises, soumis au bon vouloir de leur maître.

De même, comme l’a rappelé maintes fois l’OMS pourtant abondamment corrompue, et contrairement aux mensonges assenés par la propagande officielle des politiques et des médias, le masque sanitaire, utilisé au départ en milieu hospitalier, n’a rigoureusement aucune utilité d’un point de vue prophylactique quand il est utilisé en population générale. Olivier Véran lui-même l’avait d’ailleurs rappelé début 2020, avant de rétropédaler quelques semaines plus tard face à la demande croissante du public contaminé par la propagande covidiste de masques en quantité suffisante pour se protéger.

Selon l’OMS et la plupart des épidémiologistes, seules les personnes malades présentant des symptômes aigus d’infection respiratoire doivent porter un masque et rester chez elles pour éviter de contaminer d’autres personnes. De même les personnels soignants en contact avec des personnes malades doivent aussi porter un masque pour les mêmes raisons.

En vérité, la seule fonction du masque est d’ordre symbolique. Elle consiste à manifester l’obéissance, la soumission, contrainte ou volontaire, de ceux qui le portent. Obéissance aux consignes sanitaires, et soumission aux pouvoirs qui s’arrogent arbitrairement le droit d’en décider : pseudos scientifiques et médecins corrompus. Politiques animés par de tout autres intentions que la protection des populations et l’intérêt général, invoqués cependant pour justifier de telles mesures d’exception, assorties d’une restriction drastique des libertés publiques. Médias subventionnés transformés en officines du mensonge et en fabrique du consentement. Forces de l’ordre chargées de faire appliquer des mesures absurdes, injustes, liberticides, humiliantes et contre-productives, en usant au besoin de toute la panoplie des moyens coercitifs dont dispose l’Etat, au titre du principe de violence légitime. Organes de contrôle divers, de surveillance des populations, de délation, de contrainte et de rééducation des consciences. Une sorte d’Inquisition contemporaine, chargée de traquer les « complotistes », les dissidents, les « mauvais citoyens », les individus déclarés coupables de déviance « sectaire », « irresponsables » ou « dangereux pour la société »…

Première conséquence de ce statut d’esclave, de cette infériorisation, de cette humiliation et de cette dépossession identitaire : l’assignation au silence, à l’isolement et à la réclusion. Interdiction de parler, de d’exprimer, de faire valoir sa liberté de conscience, de pensée, d’expression ; sinon sur internet. Et encore, en acceptant d’être en permanence fliqué, censuré, réprimé, puni, marginalisé ou exclus en cas de non-conformité aux normes discursives et au catalogue des opinions tolérées.

Interdiction de s’approcher des autres, de se côtoyer, de se toucher, d’échanger des paroles ou son « souffle », retenu par le masque : son énergie vitale ou son être profond. Interdiction de se réunir, de se rencontrer, de manifester ailleurs qu’aux balcons pour applaudir de façon grégaire les soignants, de participer à des réjouissances collectives, à toute forme de rite social, y compris pendant un temps de se rendre à un culte… Une forme de néopuritanisme hygiéniste ou sanitaire, où l’autre devient par essence un danger, un ennemi, une agression. Un être impur, duquel la seule façon de se préserver serait de s’enfermer dans une bulle égotique et paranoïaque, bien hermétique, à distance de toute sociabilité : les fameux gestes barrières et cette distanciation sociale (et non « physique« , comme on disait auparavant), qui érigent toute altérité et toute promiscuité en tabou, en scandale, en motif d’impureté, de condamnation et de répression, avec violences policières à clé.

Les milices policières patrouillant armes au poing aux abords des terrasses pour traquer les récalcitrants sans masque, puis les contrevenants à l’odre sanitaire sans pass (un certificat de baptême covidiste…), ou ceux jugés trop proches les uns des autres, ont ainsi remplacé les gardiens de la Révolution chers à l’Iran khomeyniste. Mais la logique répressive et totalitaire justifiée par une idéologie et une religion, un système de croyance et de rituels imposés à tous, est exactement la même : covidisme et khomeynisme, même combat !

Soumettre l’ensemble de la population par la peur, la contrainte, la coercition et un système de superstitions, à la seule loi acceptable, voulue par une Transcendance pour le bien de la communauté et de l’humanité : Allah invisible pour les uns, la Caste invisible mais toute-puissante et toute-sachante pour les autres. Le Grand Manitou ou Big Brother, c’est kif kif bourricot !

Autre aspect symbolique du masque, pendant du caractère prétendument religieux du voile intégral chez les femmes musulmanes : le masque participe d’un rituel initiatique, de type sacrificiel.

Dans les rites initiatiques propres à bon nombre de sociétés primitives, ou à certaines sociétés secrètes comme la franc-maçonnerie, l’apprenti qui postule pour être admis parmi les initiés, ou celui qui franchit les étapes de l’initiation qui mène à l’Illumination, passe par une série de rites très codifiés. Souvent nu ou en partie dévêtu, ses yeux sont bandés, ses mains liées. Il est tenu au silence le plus absolu, souvent raillé, déstabilisé, intimidé. On lui pose des questions, on le déstabilise, on ébranle sa confiance selon une mise en scène dramatique et macabre. Il subit des épreuves où il doit prouver sa sincérité, sa loyauté, et la force de sa motivation. Il peut même se voir injurier, humilier, frapper, mis à terre (comme lors de certains bizutages qui précèdent l’entrée dans les grandes écoles). Il doit passer par un processus de dépouillement total, de renoncement à son identité antérieure, de mort symbolique, suivie d’une renaissance à sa nouvelle identité. Il se voit alors salué et accueilli par l’ensemble du groupe comme membre à part entière.

Soumission encore, mais aussi symbole de l’aveuglement, de l’ignorance du non-initié quant aux arcanes qui lui seront peu à peu révélées. Et de son passage par étapes de l’ignorance vers la Connaissance, de l’ombre vers la Lumière, de l’insignifiance à la valeur.

Les femmes musulmanes sont voilées, comme les moutons dociles qui errent dans les rues sont toujours masqués, malgré la levée de l’obligation. Elles n’ont aucune alternative, sinon de se soumette à ce rituel vestimentaire qui témoigne de leur statut inférieur, et les assimilent à des êtres ignorants, incomplets, éloignés de la Lumière – celle d’Allah et de la Foi communautaire, dont le mari est le dépositaire, comme le détenteur de l’autorité familiale dans les sociétés islamiques.

Le film de science-fiction Zardoz, sorti en 1974, dépeignait une société dystopique et post-apocalyptique, où les Brutes vivent dans un territoire ravagé et fournissent la nourriture aux Eternels. Ces derniers vivent dans des régions isolées du reste du monde par un mur invisible, appelé Vortex, et passent une existence luxueuse mais apathique. L’un des Éternels chargé de gérer les terres extérieures se fait passer auprès des Brutes pour un dieu nommé Zardoz, qui se manifeste sous la forme d’un énorme masque de pierre volant. Il constitue un groupe d’exterminateurs chargé de réduire en esclavage les autres humains, auxquels il fournit des armes en échange de la nourriture qu’ils collectent.

Ce film est par anticipation une peinture à peine allégorique de la société dans laquelle ces rites d’initiation, dont le masque est un instrument, veulent nous faire rentrer. Le Great Reset de Klaus Schwab, initié grâce aux « fenêtres d’opportunité » ou « leviers de changement » que sont les pandémies planifiées comme le Covid, est en effet une transition vers un monde radicalement inégalitaire, violent, totalitaire, fondé sur une hypersurveillance permanente des individus, l’obligation de se conformer à des normes physiques, sanitaires, comportementales et de pensée gérées par des AI. Un monde transhumaniste et eugéniste, parfaitement assumé dans leurs déclarations par ses zélateurs, comme Bill Gates, Klaus Schwab, George Soros, Elon Musk, Jacques Attali ou Laurent Alexandre, tous apôtres zélés de la nouvelle religion transhumaniste.

Le masque est à la fois ce qui voile et ce qui fascine. Une « persona » grata (« masque » en latin), une identité imposée, liée à une fonction précise.

Porter le masque, c’est entrer dans le Collectif, se fondre en lui. Tout comme porte le voile islamiste, c’est appartenir à l’Oumma, être chosifié par elle. Plus de place pour l’individu, pour la personne humaine, qui s’efface totalement pour devenir une chose, un bien, une fonction, une marchandise dont on peut disposer, que l’on peut modifier, manipuler, patcher… Ou un déchet à éliminer quand il cesse d’être utile.

Et par un effet de miroir symétrique, le masque géant, qui résume cette fin de l’humain, ce Je suis-Je ne suis rien fondu dans le Collectif, c’est celui des sachants et des possédants, des vrais maîtres de cette société totalitaire, ultra inégalitaire, dystopique. Toujours invisibilisés, occultés, représentés par des marionnettes télécommandées comme Macron, Biden, van der Leyen, Sunak, Trudeau, Zelensky et tous les membres de la Secte de Davos baptisés « Young Global Leaders« .

Ces maîtres absolus sont comme « les dieux » (de l’Olympe), par opposition aux esclaves. Un terme justement utilisé par les oligarques pour se désigner eux-mêmes, par opposition aux « inutiles », comme le rappelait clairement Laurent Alexandre dans une conférence à Polytechnique.

L’initiation rituelle que l’humanité a vécu symboliquement avec cette épreuve planifiée du Covid préfigure selon ses concepteurs l’entrée dans une nouvelle ère : Great Reset, Nouvel ordre mondial, société transhumaniste…

Les nombreux aspects symboliques de ce scénario qui ne laisse rien au hasard comportent une dimension spirituelle de type messianique souvent ignorée. Avec une inversion délibérée des polarités symboliques, et une logique sacrificielle propre à une thématique mystique ancienne, fondée sur la croyance en une rédemption messianique par le péché.

Un thème très présent dans certains mouvements messianiques juifs de l’extrême droite religieuse et ultranationaliste israélienne. Parfois repris dans certaines sectes fondamentalistes de l’extrême droite américaine (avec le thème apocalyptique de L’Enlèvement de l’Eglise). Mais aussi dans certaines sectes satanistes qui rejettent radicalement la Révélation et vénèrent Satan (ou son avatar mythologique le dieu Baphomet) comme seul véritable maître du monde.

Cette spiritualité messianique s’appuie sur la croyance qu’il faut multiplier les sacrifices (y compris humains) pour obtenir l’agrément d’un dieu primitif et vengeur qui règne sur les Elus. Avec une logique fondée sur le thème de la « réparation du monde » (Tikkoun Olam), notamment par le sacrifice individuel et collectif. Autre croyance : la nécessité de multiplier les chocs intentionnels, les catastrophes provoquées, les crimes les plus abominables, afin d’engendrer le chaos sur la terre et précipiter ainsi la venue du Messie[i].

Si l’on veut vraiment saisir la trame et la logique qui inspirent ces crises, il est important de ne pas s’arrêter à des grilles de lecture pseudo-scientifiques ou sanitaires, sécuritaires, juridiques, politiques ou même économiques. Ce langage qui imprègne la Doxa dont nous sommes chaque jour intoxiqués par les médias, est une vaste tromperie, un leurre, un outil d’ingénierie sociale et pire, de sujétion intellectuelle et spirituelle, destiné à nous faire abdiquer tout esprit critique et toute liberté de conscience pour rentrer dans le rang et renoncer à être qui nous sommes.

C’est cette logique qui inspire le voile islamiste. Un voile brandi par les salafistes et frères musulmans comme un outil de conquête, selon une stratégie qui vise à mettre sous leur coupe la totalité du monde musulman, puis le monde dans son ensemble. Un voile obscène et parjure, qui se veut gage de pureté, mais qui fait des femmes des non-êtres, des choses, des objets, des fonctions, qui finissent par reproduire elles-mêmes, par ignorance, par peur, par soumission, et de plus en plus à cause de cette arrogance stupide, mimétique et victimaire que leur ont inculquée les prêcheurs de mensonges, les mêmes poncifs idéologiques, les mêmes absurdités opposées à la raison, les mêmes réflexes identitaires qui les ont conduites à renoncer à se concevoir comme des femmes joyeuses et libres.

Le seul féminisme qui vaille face à ce suicide collectif, c’est l’exemple que donnent aujourd’hui les courageuses femmes iraniennes, qui brûlent leur hijab et bravent la dictature d’un régime à bout de souffle, au risque d’être arrêtées, condamnées, tuées ou empoisonnées. Et ce dans l’indifférence lâche et coupable de toutes les nations occidentales, prétendument démocratiques.

C’est aussi cette logique de l’inversion des valeurs, et de la soumission sans condition à un Ordre politique et symbolique de nature collectiviste et totalitaire (pour les gens d’en-bas), capitaliste et discrétionnaire (pour ceux d’en-haut), qui animent cette Caste oligarchique et ploutocratique formée au départ par une aristocratie de l’argent et des affaires.

Une Caste constituée à partir du 18e siècle autour de la City de Londres, de l’élite britannique et du Commonwealth, passée par Wall Street, la Réserve Fédérale, le FMI, les clubs d’oligarques comme le groupe Bilderberg ou Davos. Une caste qui a ses propres dynasties, ses rituels, ses entrées, ses élus et ses exclus. Une Caste qui s’est arrogée au terme de deux siècles et plus de conquête des pouvoirs le contrôle stratégique sur l’ensemble des pouvoirs dans le monde : monétaire et financier, politique et institutionnel, juridique, administratif et normatif, économique, scientifique, médical, culturel et médiatique, éthique, spirituel, symbolique…

Pour achever ce Projet, en bien des points comparable au Projet de conquête totalitaire et de domination du monde par les Elus (l’Oumma) élaboré il y a un siècle par la Confrérie des Frères musulmans, cette Caste a besoin d’utiliser des chocs, des symboles, des outils de subjugation et de sujétion afin d’accélérer les changements vers la société parfaite conforme à leurs rêves pathologiques.

Le seul rempart pour les en empêcher, ce n’est pas la lutte armée, la Révolution ou le sabotage organisé. C’est la prise de conscience, radicale et globale, des enjeux et de la logique du changement en cours. Et le refus affirmé de se soumettre pour devenirs des objets assimilés au Collectif, puis des instruments complices de leur propre anéantissement.

Un peu comme dans le film de science-fiction Stark Trek : The next generation, dans lequel les planètes et leurs civilisations sont peu à peu grignotées à mesure qu’il progresse dans la galaxie par le Collectif Borg, constitué d’êtres assimilés, mi-biologiques mi-robotiques, ayant perdu toute conscience autonome et toute individualité.

Refuser de porter le masque, ou de se faire injecter des substances expérimentales avérées létales dans bon nombre de cas, ce qui constitue un stade supérieur dans le processus initiatique d’assimilation au Collectif, refuser le passeport vaccinal numérique mondial actuellement mis en place par l’OMS, l’identité et le portefeuille numériques mis en place par l’Union européenne, et demain la monnaie unique numérique mondiale couplée au crédit social qui constitue l’outil de contrôle absolu de l’humanité, ce n’est pas être complotiste, rebelle, dangereux pour les autres, insensé, réfractaire au progrès, opposé à la raison sanitaire ou sécuritaire.

C’est au contraire, comme ces Iraniennes qui brûlent leur voile esclavagiste en place publique et à la barbe de leurs tortionnaires, affirmer sereinement qu’on est un homme, une femme, un être humain, et non une chose, un numéro de série, un QR code répertorié, validé, nomenclaturé, piloté par des AI et géré par des algorithmes.

Comme le rappelait Hannah Arendt dans Les Origines du totalitarisme, « Pour s’implanter, le Totalitarisme a besoin d’individus isolés et déculturés, déracinés des rapports sociaux organiques, atomisés socialement et poussés à un égoïsme extrême. »

Mais aussi : « C’est dans le vide de la pensée que s’inscrit le mal. »

Plus que jamais, c’est à la Conscience plus encore qu’à la pensée qu’il faut en appeler. A la conscience d’être soi mais non pour soi-même. Et la conscience d’être plus que soi, intrinsèquement relié aux autres, au service d’un Être qui nous dépasse et qui s’appelle l’Humanité. Le contraire de ce Collectif englobant, rassurant, totalitaire et totalisant, qui est la régression dans le fusionnel indifférencié et primitif propre à l’Oumma, comme à toutes les sociétés définies par les religions primitives soumises à un dieu primitif.

Mais aussi à la conscience d’être plus que soi, d’être au-delà sans pour autant renoncer à soi, ou faire le sacrifice de soi. La conscience d’être intrinsèquement relié à chaque autre. D’être une cellule participante d’un Être vivant, d’un éon supérieur qui est la méta-conscience de l’Humanité, la métanoïa ou Conscience globale.


[i] cf. Pierre Hillard : Des origines du mondialisme à la Grande Réinitialisation – Paganisme, écologie, réparation, covidisme, sacrifice. Culture & Racines, avril 2022

« ADDICTIONS » : Infos et intox

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Il faudrait vraiment que cesse un jour cette propagande honteuse des médias, qui tous les 10 ans ressortent les mêmes imbécilités pour abuser le gogo, et surtout faire diversion sur les vrais problèmes.

Quelques redressements de perspective à propos ce nième battage médiatique sur les « drogues ».

La première des addictions, en France comme ailleurs, et de très loin, une addiction reconnue comme redoutable par les addictologues mais dont on ne parle jamais et pour cause, est l’addiction au SUCRE (saccharose). Oui, le sucre !

Qui le sait ? Le sucre raffiné industriellement est une drogue dure. Introduit en Europe au 16e siècle avec d’autres aliments rapportés du Nouveau monde, le sucre procure un effet euphorisant, puis rapidement dépressogène. C’est une drogue d’autant plus désastreuse pour la santé qu’il y en a partout, notamment dans toutes les boissons pour enfants et aliments transformés. Un « aliment » totalement inutile (les besoins en glucides sont couverts par les sucres lents, et il existe pléthore d’autres sucres rapides moins toxiques pour l’organisme).

Une drogue légale, encouragée dès l’âge du biberon par des Etats corrompus par le lobby sucrier. Ses ravages sur notre santé sont innombrables : diabète, obésité, cancers, maladies cardiovasculaires, maladies inflammatoires, vieillissement accéléré des cellules, dégâts irréversibles sur le cerveau, etc…

La seconde addiction la plus répandue est celle à la CAFÉINE, responsable notamment de bon nombre de problèmes cardiaques et vasculaires.

N’oublions pas les méfaits du TABAC, toujours d’actualité notamment chez les jeunes, même si sa consommation régresse. Ou plutôt la cigarette, dont le tabac (et cette fameuse nicotine, neuromédiateur utile à l’organisme, présente dans les tomates et produite naturellement dans le cerveau…) n’est que l’un des 5.000 composants ! Drogue dure hyper toxique et addictive, concoctée par des lobbies industriels criminels maintes fois condamnés. Drogue en vente libre et véritable manne pour l’État-dealer.

La 4e addiction et non des moindres, dont la France est championne du monde en termes de consommation par habitants, est l’addiction aux psychotropes légaux vendus en pharmacie. Ces fameux neuroleptiques effroyables dealés par Big Pharma, prescrits par votre médecin quand vous avez bobo à l’âme, et remboursés par la Sécu.

Responsables chaque année d’un nombre élevé d’intoxications médicamenteuses, accidentelles ou volontaires. Mais aussi de nombreux suicides, l’un des principaux « effets secondaires » des benzodiazépines, comme le Xanax ou le Lexomil. Cette classe de médicaments aurait dû être interdite en France il y a quelques années, mais le lobby pharma a le bras long… Les anxiolytiques et certains « antidépresseurs », inutiles et contra-efficaces pour la plupart, sont aussi responsables de dépressions durables et sévères, en cas d’usage prolongé et addictif.

Seul intérêt à continuer à prescrire ces merdes : vous transformer en moutons dociles, sans recourir à la chirurgie du cerveau ou aux électrochocs (vous vous rappelez de « Vol au-dessus d’un nid de coucous » ?…)

Quant à ces « drogues » à scandale dont la presse caniveau se repait aujourd’hui, elles représentent un pourcentage d’addictions négligeables comparées aux fléaux évoqués. Même les plus dévastatrices, comme l’héroïne, la cocaïne et ses dérivés comme le crack, les nouvelles drogues de synthèse utilisées pour le chemsex comme le GHB. A noter que le plus grand dealer de la planète, qui contrôle et sécurise notamment le trafic de l’opium et de la cocaïne depuis 50 ans et plus en négociant avec les narcotrafiquants locaux, n’est autre que… l’US Army !

Quant aux addictions sévères provoquées par ces drogues dures théoriquement illégales mais qui rapportent un max aux institutions corrompues, elles sont aujourd’hui très faciles à soigner, de façon rapide et définitive, en ayant recours à des thérapies nouvelles adaptées.

Ces thérapies reposent sur l’utilisation en milieu clinique ou psychothérapeutique de substances psychédéliques ou « chamaniques », expérimentées dès les années 1950 par la CIA et l’US Army, puis réprimées et diabolisées à partir des années 1960 (après la vague « hippy »), et assimilées frauduleusement dans l’opinion publique à des « drogues dures ». Elles sont encore consommées dans certains milieu festifs comme des drogues récréatives pour les effets puissamment psychoactifs (ecstasy notamment depuis les années 1980).

L’addiction physiologique à ces substances est nulle. Si elles sont bien utilisées, leur toxicité et leurs effets secondaires sont en général inexistants.

La plupart de ces substances sont des drogues « spirituelles », dont l’Occident hyper rationaliste a malheureusement perdu le sens depuis le triomphe de la médecine allopathique et de Big Pharma, sous l’impulsion des Rockefeller dans les années 1920. La DMT, une molécule produite par la glande pinéale à doses massives au moment de la naissance et de la mort, est qualifiée par les neurobiologistes de « molécule de l’esprit » à cause de ses lines avec le monde spirituel.

L’ayahuesca (mélange de plantes utilisées de façon rituelle dans la médecine amazonienne), le peyotl (cactus mexicain), la kétamine, le LSD (découvert par le chimiste Alfred Hoffman il y a un siècle), la DMT, le MDMA (ecstasy), la psilocybine (champignons hallucinogènes) : toutes ces substances servent de support pour induire des états de conscience modifiés lors de thérapies psychédéliques. Toutes les études actuelles le prouvent : ces thérapies sont non seulement spectaculairement efficaces, elles sont aussi non toxiques et très peu coûteuses (c’est bien là que la bât blesse…)

Depuis 15 ans, elles connaissent un succès grandissant dans les milieux scientifiques aux Etats-Unis, au Canada au Royaume-Uni, en Belgique, en Hollande, en Suisse, pour soigner en seulement une ou deux séances des dépressions sévères, des addictions récalcitrantes, des chocs post-traumatiques ou des troubles névrotiques divers. Mais pas en France, où la psychiatrie a au moins 50 ans de retard, et où l’on continue de prescrire des camisoles chimiques aux effets dévastateurs pour engraisser le lobby pharmaceutique.

Mais la drogue la plus répandue, la plus redoutable, celle que vous consommez chaque jour, qui vous rend totalement accros et vous fait prendre des hallucinations programmées pour la réalité, c’est sans aucun conteste la TÉLÉ ! Plus tous ces écrans et divertissement abêtissants : Netflix, jeux vidéo, etc… Auxquels il faut ajouter la radio, la presse écrite, sur internet, etc…

On a beau le dire et le répéter…

Alors inutile de vous exciter sur la sniffette de quelques peoples dépravés, ou la fumette de vos ados déboussolés par ce monde horrible que vous leur avez laissé…

France : Le scandale des « vieux »

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J’ai appris sur le tas le « métier » de soutien et tuteur d’une maman Alzheimer admise en EHPAD il y a 4 ans. Et découvert combien la situation des « vieux » en France est révoltante.

Entrée à la Clinique du Mont-Valérien à Suresnes (groupe ORPEA) pour une rééducation après des chutes et une hospitalisation, ma mère y a subi pendant 8 mois maltraitances et vols répétés. Les locaux de cette usine à soins/pompe à fric subventionnée paraissent de prime abord rutilants. Mais le personnel soignant y est en sous-effectif chronique, mal formé, mal encadré, débordé, le plus souvent recruté en Afrique du Nord ou subsaharienne pour des raisons de compression des charges fixes… Beaucoup démissionnent, épuisés après quelques mois de travail harassant. Les patients sont lourdement sédatés, abandonnés des heures dans leur caca, dans leur chambre ou une salle commune, sans surveillance.

Résultat : au lieu de se refaire une santé au frais de la Sécu, les vieux dépriment : taux de mortalité y est, selon les services sociaux du 92, supérieur à la moyenne du département.

Etape suivante : un EHPAD miteux du groupe Arpavie (Caisse des Dépôts) à Rueil. Une salle unique faisant office d’entrée, salle à manger, salon, salle TV. Un personnel blasé. Aucune animation dans l’année, sinon la messe du curé tous les 15 jours. Et pour couronner le tout, des violences physiques quotidiennes de la part d’une aide-soignante chargée de la toilette. Plainte, enquête… Le directeur a finalement été viré. Et ma mère transférée en urgence dans un EHPAD plus sérieux.

Depuis il y a eu le Covid, et ses zones d’ombres. Sur lesquelles j’ai enquêté en tant que journaliste dès la fin 2019. Notamment ce scandale du Rivotril, dont même la presse mainstream s’était faite l’écho, mais vite étouffé à coup de corruption la presse (2,5 milliards d’euros versés par le gouvernement en guise de soutien économique en 2020-2021 + quelques centaines de millions de la Fondation Bill & Melinda Gates, parrain de l’OMS…), mais aussi des juges. Les décrets Philippe/Véran des 27 mars et 16 octobre 2020, enjoignant les médecins d’EHPAD à administrer aux personnes âgées simplement suspectées de Covid du Rivotril. Un sédatif puissant commercialisé par Roche (sponsor de LREM), létal à fortes doses, et prescrit au titre de « soins palliatifs » en cas de signes d’infection respiratoire. Ces personnes âgées avaient au passage été refusées dans les services d’urgence des hôpitaux, officiellement « saturés ». Et renvoyées chez elles ou dans leur EHPAD avec une ordonnance de Doliprane. Certains n’ont même pas été testés positives. Les EHPAD sont restés fermés au public pendant 3 mois. Les familles n’ont pas été prévenues. Aucune information préalable sur cette euthanasie active n’a été délivrée, aucun consentement éclairé recueilli comme la loi l’exige. Au total, ce sont environ 10.000 vieux qui ont été froidement liquidés, sans avoir pu revoir leurs proches, et dans le silence le plus opaque. Des milliers de plaintes pour homicide volontaire, génocide et crime contre l’humanité ont déposées au Tribunal par des familles, des directeurs d’EHPAD, des médecins, infirmières, aides-soignantes, des associations de juristes comme Réaction 19. Mais l’Etat s’était prémuni de toute poursuite en faisant voter une loi d’amnistie préventive début 2020.

Au final, les scandales à répétition comme Orpéa (en faillite), ou pire, celui des crimes du Covid, n’ont rien changé. Il est vraiment temps que la France s’occupe de ses vieux, et apprenne à les respecter. Alors qu’on s’apprête à saccager notre système de retraites. L’éthique sociale et la solidarité intergénérationnelle ne doivent rester que des vains mots !

« Vacciner », pour quoi faire ?…

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La vaccination des enfants de moins de 6 ans sera effective en France d’ici la fin de l’année

Alors que des voix s’élèvent en France pour inciter à reprendre la vaccination contre une chimérique « 7e vague » annoncée par quelques experts champions du pronostic il y a déjà quatre mois, alors que la perspective d’une vaccination obligatoire voulue par l’OMS et par l’UE se profile d’ici la fin de l’année, alors que la vaccination des tout petits paraît déjà acquise bien qu’elle suscite l’épouvante chez les immunologues et les pédiatres, alors que cette stratégie vaccinale qu’on nous avait frauduleusement vendue comme la seule possible pour venir à bout du Covid s’avère un échec cuisant, sinon le plus grand crime de toute l’Histoire de l’humanité, il est plus que jamais urgent de s’interroger sur ce qui peut bien motiver les fanatiques qui nous gouvernent et ceux qui les manipulent à vouloir à tout prix vacciner 7,8 milliards d’êtres humains, femmes enceintes, bébés et jeunes en parfaite santé compris.

Un an et demi de campagnes de vaccination massive à l’échelle mondiale, des milliards de doses injectées, cela constitue une certaine masse de données pour évaluer les résultats et décrypter les vrais enjeux.

Surtout si l’on tient compte de l’accumulation de statistiques concernant les incidents et les décès directement liés aux vaccins, répertoriés par les agences de pharmacovigilance. Mais aussi du retour des médecins, des témoignages des plus grands experts internationaux, et de ceux des victimes. Et ce malgré l’omerta entretenue par des gouvernements corrompus.

Un an et demi et plus, si l’on tient compte de l’origine à peu près certaine du virus, et du vaccin originel. Laquelle pointe vers la France et les Etats-Unis pour l’ingénierie génétique, la fabrication du virus SARS-Cov-2 à partir d’une souche animale et de 156 insertions génétiques dont 4 du VIH et 2 de la malaria. Vers l’Institut Pasteur pour les brevets initiaux (sachant qu’il faut 15 à 20 ans de R&D pour produire un vaccin…) Vers le laboratoire P4 (français) de Wuhan pour la dissémination accidentelle du virus à l’été 2019. Vers la Fondation Bill & Melinda Gates pour le financement (partiel), la stratégie vaccinale, la corruption des institutions de santé, des Etats impliqués et des médias occidentaux. Vers les multinationales les plus corrompues du secteur pharma, à commencer par Pfizer, pour la mise en œuvre. Et vers des machins mondialistes comme le Forum Economique Mondial de Klaus Schwab pour le pilotage global du Great Reset, dont cette plandémie est un élément-clé.

F.E.M. dont à peu près tous les leaders politiques, dirigeants d’organisations et de firmes impliqués dans ce scenario sont une émanation : Bill Gates, Tadros Ghebreyesus (directeur général de l’OMS), Joe Biden, Angela Merkel, Ursula van der Leyen, Emmanuel Macron (et ses sous-fifres comme Edouard Philippe ou Gabriel Attal), Justin Trudeau, Jacinda Ardern (Première ministre de la Nouvelle Zélande, l’une des plus terribles dictatures sanitaires après la Chine).

Ce qui est depuis longtemps certain, c’est que ces injections expérimentales, qui ne répondent à aucun des critères permettant de définir scientifiquement un vaccin, n’ont jamais été conçues dans le but de soigner ni de protéger d’une quelconque épidémie.

Tout au plus, le modèle des vaccins ARNm repose sur un pari scientifique qui fonde une stratégie thérapeutique nouvelle, selon une conception transhumaniste du corps humain et de la santé.

Il répond surtout à un business-model extrêmement juteux. Puisque son principe est de détruire l’immunité naturelle, individuelle et collective, pour la remplacer par une immunité artificielle. Autrement dit, détruire les mécanismes naturels de l’immunité humaine qui vise à produire une réponse non-spécifique mais rapide, efficace et durable face à une attaque de l’organisme, par une immunité artificielle, fondée sur une réponse théoriquement « spécifique » à chaque agent pathogène, propre à protéger contre une attaque par ce même agent infectieux. Sauf que cette méthode s’avère peu voire pas du tout efficace, sinon-contre-productive. Et surtout que la protection hypothétique qu’elle engendre reste très éphémère contre un virus par nature très mutagène. Il faut donc renouveler les injections tous les 3 mois, voire tous les mois, dès qu’apparaît un nouveau variant. Entre temps le système immunitaire s’autodétruit de façon irréversible.

Cette destruction rapide et définitive du système immunitaire, notamment à partir de la 3e injection, a été confirmée par de nombreuses études conduites par des laboratoires de recherche indépendants. Les Professeurs Montagnier et Perronne s’en sont notamment fait l’écho.

Quant à l’efficacité théorique de ces injections pour protéger d’une infection, empêcher la contamination, protéger de la maladie, des formes graves, du décès, celle-ci est reconnue aujourd’hui comme nulle.

Au contraire, comme le démontre une étude réalisée en Israël, l’un des pays qui a le plus vacciné, les primo- et triples vaccinés sont 27 fois plus contaminés que les non-vaccinés.

Pire, ces injections sont un facteur de risque et de fragilisation supplémentaire de l’organisme pour les vaccinés. Et un danger pour les non-vaccinés exposés aux personnes vaccinées, transformées en super-propagateurs de protéines Spike, et donc en agents infectants.

Alors pourquoi une telle obstination à vouloir vacciner tout le monde, jamais vue dans l’Histoire de la médecine et de l’humanité ?

La première raison est économique et financière.

Le marché du Covid se chiffre en milliers de milliards de dollars. Autant que le marché des armes. 157 milliards rien que pour les vaccins, selon une estimation publiée par le magazine Les Echo. Une hypothèse pourtant basse mais qu’on ne peut pas soupçonner d’exagération.

Or le marché des vaccins est de loin l’un des plus profitables du secteur pharma, lui-même l’un des plus rentables de toute l’industrie. Pas étonnant qu’il attire des investisseurs plus préoccupés par les tableaux de bord financiers que par l’éthique scientifique, médicale, pharmaceutique ou commerciale de leurs cash-machines. Ou par l’éthique en général dont ils se contrefichent, en champions toutes catégories de la corruption et des condamnations par la Justice pour crimes. Comme le souligne Michael Yeadon, ex-directeur scientifique et ex-directeur général du groupe Pfizer passé dans la « Résistance » après le scandale du Covid, ces inconvénients ne constituent tout au plus qu’une ligne de quelques centaines de millions de dollars de budget dans un compte d’exploitation consolidé…

Aux vaccins eux-mêmes, il faut ajouter les tests, le matériel de stérilisation et de protection (gels, masques, visières, blouses, stérilisateurs…), la signalétique et le matériel lié aux protocoles de distanciation sociale, et le marché en pleine explosion de la sécurité, de la surveillance et des datas numériques.

Tous aussi inutiles qu’inefficaces pour empêcher la progression d’une épidémie virale.  Mais essentiels dans la stratégie d’ingénierie sociale, de conditionnement et de contrôle des populations.

Un marché qui connaîtra une progression sans limite, tant que les populations se plieront aux injonctions sanitaires et jouerons sans broncher le jeu du toujours plus de sécurité pour toujours moins de libertés. Et que le progrès technologique permettra de renforcer l’étendue et la sophistication des outils utilisés pour normaliser et surveiller l’ensemble de la société.

Et encore, ceci n’est rien en comparaison des bénéfices stratégiques et financiers attendus à court et moyen terme pour les grands acteurs de l’économie mondiale, comme les GAFAM, certains leaders qui bénéficient de la recomposition de leur secteur dans le sens d’une plus grande concentration et de rachats massifs d’entreprises en faillite : hôtellerie et restauration, éditeurs et diffuseurs de contenus, culture et loisirs de masse, activités uberisées, etc. Et bien sûr aux actionnaires des banques et fonds d’investissement qui détiennent des parts majoritaires de Big Pharma.

La seconde raison est d’ordre politique et idéologique.

Elle répond à une volonté de la part d’une oligarchie financière de mettre en place d’ici 2030 un nouveau système à l’échelle globale.

Le but : s’assurer le contrôle absolu à la fois de la monnaie, des flux financiers et des économies, des Etats appelés à disparaître au profit d’une gouvernance mondiale, et de tous les leviers décisionnels. Mais aussi des individus, appelés à devenir de simples rouages du Système. Avec un niveau de contrôle, de surveillance et de soumission jamais égalé dans l’Histoire et démultiplié par les nouvelles technologies.

Une telle volonté, comme l’oligarchie qui en est animée, n’est pas nouvelle. On peut la faire remonter au 18e siècle, et même au-delà. Avec l’émergence d’une élite à la fois aristocratique, politique, économique, bancaire et financière au sein de l’Empire britannique, puis de l’empire anglo-américain, et enfin du monde occidental1.

Une oligarchie prétendument éclairée, proche des idées progressistes et des cercles maçonniques, qui s’est peu à peu transformée en un club de super riches, autoreproduit par cooptation. Lesquels gravitent dans de nombreux cercles mondialistes, comme le groupe Bilderberg, la Commission Trilatérale, ou le Forum Economique Mondial.

Cette caste oligarchique occidentale, tête pensante du capitalisme mondialisé, se heurte aujourd’hui dans son projet hégémonique global à d’autres oligarques venus de Russie (d’où la guerre OTAN-Russie en Ukraine), de Chine, d’Inde, voire du monde islamiste non aligné sur les Etats-Unis.

Cette caste qui se pare de toutes les vertus est à l’origine de toutes les grandes institutions mondiales créées depuis le début du 20e siècle pour remplacer les grands empires et mettre fin aux guerres nationalistes qui ont ensanglanté la planète : Société Des Nations, Nations Unies, ou organiser le commerce mondial en déjouant les protectionnismes et en court-circuitant les États-nations selon les canons du libre-échange : Organisation Mondiale du Commerce, Banque des Règlements Internationaux, Fonds Monétaire International, Banque Mondiale, G7, G8, G20, Union Européenne…

Le projet mondialiste se conçoit donc comme la seule alternative possible à l’ambition hégémonique et belliciste des nations et la sanctuarisation du Marché, espace ouvert à toutes les formes de spéculations, garanti par un ensemble de règles et de normes qui ne souffrent aucune exception ni subordination, et conduit un un ordre planétaire néolibérale, ploutocratique et passablement totalitaire dans sa volonté de tout organiser et contrôler.

Il repose sur un modèle dont le concept fut élaboré au 18e siècle : celui du Nouvel Ordre Mondial. Mais il vise en réalité à substituer un pouvoir hégémonique, celui des superpuissances, par un autre, celui du pouvoir financier. Un pouvoir dont l’ambition est pour le moins tout sauf humaniste et pacifique, puisqu’il a toujours spéculé sur les troubles, les révolutions, les guerres, nationales ou mondiales, qu’il a en partie financés : depuis la Révolution française à la guerre contre Daesh et à la guerre en Ukraine, en passant par la Révolution soviétique, les Première et Seconde guerres mondiales, et tous les conflits engagés depuis la Guerre froide, ce sont toujours les mêmes banquiers qui ont plus ou moins discrètement jeté du feu sur les braises en finançant simultanément les belligérants opposés, et en générant ainsi des profits colossaux par la vente d’armements et l’effort de reconstruction des pays détruits.

Pourtant, ces institutions qui se substituent aux Etats-nations pour favoriser la paix et l’harmonie entre les peuples s’appuient toutes sur une rhétorique humaniste, universaliste, pacifique qui ne peut que susciter l’adhésion unanime. Elle promeuvent la vision d’un monde unifié, autour d’une certaine idée du Progrès, matériel, scientifique, éducatif, des bienfaits de la science rationaliste, un modèle de prospérité infinie et partagée, pour le bien des peuples.

Ce que les zélateurs de cette utopie mondialiste oublient cependant de dire, c’est que ce modèle, loin d’éradiquer la pauvreté, la maladie, l’ignorance, de réduire les inégalités, les accroît au contraire et les étend. En creusant les inégalités entre les plus riches et les plus pauvres, en concentrant les richesses entre les mains d’une micro-élite, en rendant l’accès aux ressources les plus essentielles comme l’eau et la nourriture plus difficile pour les populations les plus pauvres, en générant de nouvelles maladies et de nouveaux fléaux, à cause des campagnes humanitaires et sanitaires (contre la variole par exemple) des fondations « philanthropes » supposées les éradiquer, en polluant massivement l’eau, l’air, la haute atmosphère, les sols, les sous-sols, les océans, les rivières, les plantes, en perturbant les grands équilibres climatiques, le champ magnétique terrestre, en faisant disparaître des milliers d’espèces sauvages, des millions de kilomètres-carrés de forêts, en normalisant les modes de production, de consommation, d’échange, de gestion, les cultures, les savoirs, en générant un monde d’abrutis interconnectés qui savent tout sur rien et mesurent leur illusion d’être à leur capacité vaniteuse à consommer et babiller.

Cette oligarchie truste tous les réseaux de pouvoirs. Depuis une dizaine d’années, la concentration financière, ultime étape de la mondialisation, a permis de concentrer à peu près tout le patrimoine mondial dans les mains d’une poignée d’hyper-riches. Notamment grâce à la participation systématique et de plus en plus massive dans le capital de toutes les banques et multinationales de fonds d’investissement titanesques comme BlackRock et Vanguard. Fonds dont les véritables propriétaires restent anonymes, mais pointent vers la famille Rothschild.

Cette élite qui détient aujourd’hui toutes les richesses, contrôle toutes ressources, tous les pouvoirs, tous les Etats par le levier de la dette, se conçoit depuis deux siècles comme une « race » (sic) d’élus, d’êtres supérieurs. Auxquels Dieu aurait confié en raison de leur statut d’exception et de leur supériorité la mission de dominer et d’éduquer les autres. Notamment en régulant la répartition des rôles, des statuts, des richesses, des savoirs. Et en régulant la masse de la population mondiale, devenue aujourd’hui pléthorique et problématique pour la survie de l’espèce et de la planète.

Lors du pic épidémique de mars-juin 2020, on a vu ainsi vu se mettre en place des arbitrages passablement révoltants face à l’afflux de malades dans les hôpitaux. Alors que l’Assistance publique a refusé l’aide proposée par les cliniques privées pour désengorger les urgences des hôpitaux publics officiellement « saturés », l’Etat a exigé des médecins hospitaliers qu’ils effectuent un tri à l’accueil de leur service, de façon à n’admettre que les patients les plus jeunes, les plus valides, en bonne santé. Les vieux, les grands malades, les handicapés, les obèses, les immunodéprimés, même en situation de détresse respiratoire, furent renvoyés chez eux avec une prescription de Doliprane.

Parallèlement, les décrets Véran des 27 mars et 16 octobre 2020 enjoignirent les médecins d’EHPAD et de ville à prescrire du Rivotril en guise de soins palliatifs pour les personnes âgées présentant des symptômes infectieux, ou simplement suspectées de Covid. Une manière de faire le tri entre les bons éléments, utiles au système, et les inutiles.

Cette idéologie fonctionnaliste et utilitariste est essentielle pour comprendre cette nouvelle religion transhumaniste, dans laquelle communient tous les milliardaires oligarques. Comme Bill Gates, George Soros, Anthony Fauci, Mark Zuckerberg, Elon Musk ou Ray Kurzweil, leurs seconds couteaux Jacques Attali ou Laurent Alexandre, et tous les geeks de la Silicon Valley.

Selon cette philosophie qui a toute l’apparence d’une secte pour happy fews, un humain n’est pas un être libre, dépositaire d’une vie sacrée, reflet d’une conscience. C’est une machine biologique, dont l’esprit n’est que la manifestation apparente et temporaire produite par une chaîne de réactions biochimiques logées dans le cerveau.

Par conséquent si cette machine est défaillante, il faut la réparer. En lui adjoignant des prothèses (bras articulés, œil ou organes artificiels). En équipant son cerveau d’outils et de patches numériques pour doper ses performances. En modifiant ses gènes, comme on le fait déjà avec une plante transgénique ou un animal hybride.

Le but n’est pas tant le bonheur individuel que la capacité d’adaptation de l’espèce aux défis à venir : nouvelles épidémies, apocalypse industrielle, climatique, dépassement de l’intelligence humaine par les AI, rencontre avec des aliens…

Un humain n’est donc qu’un numéro, une marchandise, un objet interchangeable dont on peut disposer à loisir des organes comme de pièces détachées, remodeler le fonctionnement pour le perfectionner, ou s’en débarrasser s’il ne remplit plus les fonctions pour lequel il a été conçu.

La vaccination obligatoire de toute l’humanité est l’acte fondateur, presque un rituel initiatique, pour nous entraîner vers la nouvelle société transhumaniste. Et pour cela, nous déshumaniser. A partir de ce qui constitue, au plan biologique, le cœur de notre identité, individuelle et collective, en tant que personne reliée à un corps, une espèce : notre immunité. Le grand absent des discours sur cette pandémie.

C’est pour cette raison, et non simplement pour contrôler les individus de l’intérieur, que chaque dose de vaccin est munie d’une micropuce unique, de la taille d’1/10e de millimètre. Celle-ci ne s’active qu’une fois injectée, en la présence d’oxyde de graphène, un « adjuvant » très toxique ajouté au cocktail vaccinal, sensible à certains rayonnements électromagnétiques et qui une fois activé joue le rôle de batterie, alimentant la puce en énergie.

En présence des ondes 5G, l’oxygène de graphène développe en effet des propriétés électromagnétiques. Il devient décelable dans le corps de la personne injectée, qui réagit alors aux champs électromagnétiques. Des tests réalisés en milieu clinique ont permis de vérifier que le corps des personnes injectées émettait réellement un champ électromagnétique, mesurable avec des appareils de détection.

D’où ces fameux magnet tests diffusés par milliers par des internautes vaccinés sur YouTube, qui consistent à poser une pièce métallique sur la peau à l’endroit précis où l’injection a été réalisée. L’objet reste alors collé à la peau sous l’effet de l’attraction magnétique.

Une fois activée, la puce émet un code Bluetooth repérable à courte distance grâce à un balayage Bluetooth effectué à partir de n’importe quel smartphone. Faites le test dans la rue ou le métro à une heure de fréquentation, vous serez surpris. Le signal émis est suffisant pour être repéré et pouvoir échanger des informations via les objets connectés qui commencent à envahir notre quotidien. Et qui seront des centaines par individu en 2026.

L’un des objectifs de ces doses de rappel régulières auxquelles on veut nous forcer tous les 3 mois est de recharger chaque individu en oxyde de graphène, progressivement éliminé par le corps. Il faut donc entretenir l’illusion des « vagues » successives, en réalisant des vagues massives de tests PCR, positifs – donc faux à 98% (selon les fabricants).

C’est aussi une justification nécessaire pour prolonger ad libitum l’état d’urgence sanitaire (la dictature sanitaire « légale »).

Contrôle transhumaniste, société hyper matérialiste et hyper normative, surveillance omniprésente par des AI : voilà à quoi ressemble pour de vrai le monde d’après.

Mais ça n’est pas tout.

L’un des volets les plus essentiels de ces vaccinations de masse, et sans doute le plus difficile à admettre pour le commun des mortels, est l’eugénisme.

Les preuves indubitables d’une volonté délibérée d’éradiquer une partie de la population mondiale sont pourtant légion. A titre d’exemple, les déclarations parfaitement assumées et réitérées de Jacques Attali, de Bill Gates, d’Anthony Fauci ou d’autres oligarques, ne laissent aucune place au doute.

L’idée est la suivante, elle ne cesse d’être répétée depuis 15, 20 ans, ou plus : la croissance exponentielle de la population mondiale aurait atteint un seuil critique. Bientôt l’économie mondiale ne pourra plus absorber cette croissance. Il y a aura de plus en plus d’êtres humains sur terre, et de moins en moins de ressources à partager. Donc de plus en plus de famines, de tensions, de guerres, mais aussi de maladies. Une situation préoccupante qui met en péril la survie de l’humanité elle-même.

Tout ceci est parfaitement faux. Et invalidé par de nombreux pronostics d’experts, qui affirment au contraire qu’en produisant mieux, en répartissant les ressources de façon plus équitable, on peut largement nourrir toute l’humanité, jusqu’à ce qu’on soit capable de coloniser Mars (à l’horizon 2050), ou des exoplanètes (à l’horizon 2100). Certains affirment même que la terre est tout à fait capable de fournir une alimentation bio et de qualité à 9 milliards d’êtres humains, sans appauvrir les sols.

Mais selon les partisans d’un monde inégalitaire, il faut tailler dans le gras. Faire des choix draconiens. Pour le bien de l’humanité bien sûr. Et surtout de leur portefeuille, déjà obscènement garni. Non seulement il faut freiner la croissance démographique, mais aussi réduire la population actuelle, pour la ramener en-deçà d’un seuil acceptable.

Selon les commandements en 7 langues inscrits sur les Georgia Guidestones, un monument de granit érigé sur une colline dans une forêt dans l’Etat de Géorgie aux Etats-Unis, les générations futures devront veiller à conserver un équilibre harmonieux entre l’homme et la nature. Et pour cela, le premier de ces commandements est de « Maintenir la population mondiale en-dessous du seuil de 500 millions. »

Nul ne connaît l’identité du commanditaire de ce mystérieux monument. Mais Bill Gates, lors d’une conférence Ted Talks sur la population mondiale donnée aux Etats-Unis en 2010, n’a pas hésité à affirmer plus modestement :
 
« Si on fait vraiment un bon boulot avec les nouveaux vaccins, les soins médicaux, le contrôle de la procréation, on devrait pouvoir arriver à réduire la population mondiale de 15% en 10 ans ! »

Ambiance dans la salle…

Autre fervent partisan de l’eugénisme, Jacques Attali n’a jamais cessé de répéter depuis un livre qu’il a publié en 1980 qu’il faudra à l’avenir se débarrasser des vieux. Lesquels « ne produisent rien et constituent une charge pour la société. » Une solution efficace au problème du financement des retraites.

Plus proche de nous (et du Covid), dans une conférence sur le transhumanisme donnée le 16 janvier 2019 à l’Ecole Polytechnique, Laurent Alexandre affirmait très sérieusement : « Dans quelques années l’humanité sera divisée en deux catégories : les dieux – nous, vous peut-être… – et les inutiles : les Gilets jaunes, les chômeurs… »

La solution est donc toute tracée : supprimer la mauvaise graisse : les inutiles, les inadaptés, toutes ces bouches surnuméraires à nourrir qui encombrent les Restos du cœur, les rues, les prisons, les hôpitaux, les files d’attente de Pôle Emploi… Le vaccin est l’une parmi de nombreuses autres solutions eugéniques aux grands défis de l’humanité.  Un moyen propre, sans trace, sans tache, sans cri ni sang versé, radical, progressif, indolore, imperceptible.

D’autant que l’un des effets secondaires non négligeables de ces vaccins, tout comme ceux injectés à des centaines de milliers de femmes indiennes lors des campagnes de vaccination contre la variole réalisées par la Fondation Gates en Inde, et qui ont valu à cette fondation « humanitaire » d’être poursuivie par le gouvernement indien, c’est de stériliser tout bonnement une part importante des jeunes gens et des jeunes femmes vaccinés. Au passage les campagnes de vaccination de cette fondation sont aujourd’hui reconnues comme le premier vecteur du virus de la variole dans le monde, une maladie quasi éradiquée il y a 50 ans, quand le vaccin a été développé et généralisé…

Où sont mes règles ? Tel est le titre d’une campagne de sensibilisation lancée par des milliers de jeunes femmes, en France et dans le monde, qui se sont retrouvées avec un cycle menstruel définitivement arrêté après une ou plusieurs injections. Campagne évidemment passée sous silence par tous les médias subventionnés.

Comment expliquer que la FEMA ait pu depuis deux ou trois décennies créer en pleine nature, dans des zones très peu peuplées loin de toute activité, des camps constitués d’immenses hangars pouvant accueillir chacun des dizaines de milliers de personnes ? Et qu’elle y ait rassemblé des centaines de milliers de cercueils de plastique noir, acheminés par des camions de l’armée, puis empilés sans raison apparente à ciel ouvert ? A la question posée par quelques enquêteurs « complotistes » : A quoi servent ces hangars et ces cercueils ?, la réponse des autorités américaines fut laconique : « C’est en cas de guerre civile ou d’épidémie… »

A noter que l’eugénisme a toujours été, de tous temps et sous toutes les latitudes, une préoccupation constante, sous une forme ou une autre, chez les élites au pouvoir. Pour préserver ce pouvoir, les prérogatives et le sentiment de supériorité qu’il octroie sur la masse des dominés, considérés comme d’autant plus menaçants qu’ils sont nombreux. Quand il s’est attelé dans les années 1920 à la rédaction de Mein Kampf, Adolf Hitler n’a pas eu besoin de chercher bien loin pour puiser son inspiration : il a largement pompé dans les théories racistes et eugénistes américaines, chères à la vieille oligarchie conservatrice.

Fric, Pouvoir, Folie transhumanisme, Contrôle, Normalisation, Dépopulation : voilà les vrais objectifs des vaccins. Tellement incroyables que se réfugier derrière des anathèmes comme « fake news » ou « délire complotiste » est un réflexe de protection bien compréhensible.

Car la conscience ne peut admettre qu’un être humain ait une intention aussi hostile et aussi contraire à l’inclination naturelle à l’empathie et à la solidarité envers autrui.

Face à la gêne que produisent de telles révélations, beaucoup se contentent alors de demi-mesures. Ils minimisent, relativisent, font des concessions. Malheureusement, les gens très riches et très polis, très calmes, souriants et bien élevés, comme l’étaient souvent les officiers nazis (dont l’un des avatars actuels est Klaus Schwab), ne s’embarrassent pas de pudeurs ni de manières pour évoquer ces sujets délicats. Lesquels sont toujours, selon la rhétorique clean des managers efficaces et prévoyants, emballés dans des justifications rationnelles, utilitaires, progressistes. Tout comme l’était la Solution finale.

Il faudra encore plusieurs étapes de réveil à l’humanité avant qu’elle ne parvienne à prendre pleinement conscience que de telles abominations sont bel et bien réelles. Et que ce réveil ne produise un sursaut salutaire des consciences. Non pour se lancer dans un combat frontal perdu d’avance contre ses bourreaux. Lesquels s’effondreront d’eux-mêmes dès lors qu’une masse critique prendra conscience des mécanismes de son aliénation. La servitude volontaire n’a de réalité que dans la mesure où elle se fonde sur le consentement. Si le consentement s’effondre, la servitude disparaît aussitôt avec lui.

L’intoxication des esprits par cette culture mondialiste et pseudo humaniste, qui passe par les médias, la consommation, le simulacre politique, ne tient qu’à un fil. Rompre ce fil et tout s’écroule. La seule question qui vaille est : le voulons-nous vraiment ?

Qu’est-ce qui nous fait le plus peur ? L’aliénation consentie, ou la liberté ? Pilule bleue, ou pilule rouge ?…

Pour chacun d’entre nous comme pour nous tous, c’est précisément l’heure du choix.


1 Cf. Carroll Quigley : Histoire secrète de l’oligarchie anglo-américaine, 1981

L’été sera chaud ! Vers la société du contrôle total

« Vous êtes en infraction. Votre pass a été désactivé par le Système. Vous ne pouvez plus utiliser votre ID pour entrer dans un lieu réglementé, utiliser les transports, vous connecter à Meta ou effectuer une transaction. Un agent-robot va intervenir dans 47 secondes. Il vous conduira vers un centre citoyen où vous serez reprogrammé et vacciné. Pour votre sécurité, n’opposez aucune résistance. Je répète… »

Cette scène digne d’un film de science-fiction pourrait bientôt être notre réalité quotidienne. L’immense majorité d’entre nous n’a absolument aucune idée des capacités offertes par les nouvelles technologies développées et testées ces dernières années. Comme des moyens effectifs aujourd’hui déployés en vue de permettre une surveillance totale des populations.

Un projet qui n’est pourtant ni secret ni « complotiste ». Il suffit pour s’en convaincre de lire des rapports publiés au cours de ces 10 dernières années par des d’organisations mondialistes on ne peut plus officielles comme l’ONU (Agenda 2030 et 17 Goals pour un développement durable), le Forum Economique Mondial (Great Reset), ID 2020 (consortium mondial public/privé réunissant des sociétés comme Microsoft, Accenture, Price Waterhouse, Cisco Systems…), la Fondation Rockefeller (rapport prospectif de 2015 sur l’avenir du monde), la Fondation Hopkins ou la Fondation Bill & Melinda Gates.

Ou d’écouter certaines conférences (consultables sur YouTube) sur les nouvelles technologies en informatique, télématique, robotique, monétique, nanotechnologies, neurosciences réalisées par de riches et prestigieux intervenants, oligarques multimilliardaires et autres gourous de la Silicon Valley, promoteurs du transhumanisme et du contrôle de masse. Comme Klaus Schwab, Président du Forum Economique Mondial ; Bill Gates, fondateur de Microsoft et d’une fondation « humanitaire » à son nom qui est le principal financeur de l’OMS et de Big Pharma ; George Soros, financier et fondateur de l’Open Society, plusieurs fois condamné pour délits d’initiés et corruption ; Mark Zuckerberg, patron de Meta/Facebook et grand apôtre du transhumanisme ; Elon Musk, première fortune mondiale à la tête d’une kyrielle de multinationales hi-tech ou transhumanistes comme PayPal, SpaceX, Neuralink, Starlink, Tesla, Hyperloop, OpenAI, Twitter… ; Ray Kurzweil, innovateur hi-tech et futurologue transhumaniste ; Jacques Attali, infatigable évangéliste du mondialisme, du transhumaniste et de l’eugénisme depuis plus de 40 ans ; ou encore Laurent Alexandre, fondateur de Doctissimo et d’une start-up de neurosciences, conférencier, promoteur des nouvelles technologies et du transhumanisme…

Nouveaux vaccins, nanopuces, capteurs numériques, reconnaissance faciale, systèmes et algorithmes de surveillance de masse, identité numérique, passeport sanitaire, portefeuille numérique, monnaie numérique, crédit social sur le modèle chinois… Toute cette panoplie se met gentiment en place en ce moment même, pendant qu’on nous endort avec Mélenchon et sa NUPES, qu’on dissèque la dernière petite phrase insignifiante d’un intellectuel de plateau, ou qu’on disserte sur la légitimité d’utiliser la force face à une émeute dans un stade…

Profitez à fond de la trêve estivale après la dernière farce « électorale », dont le tsunami programmé continue de saturer vos esprits connectés pour ne pas vous égarer vers d’autres sujets embarrassants. Pendant que d’autres préparent pour vous la rentrée et la mise au pas des réfractaires, avec la phase 5 de cette plandémie.

En effet, dès juillet grâce à l’Union européenne et à cette chère Fräulein Ursula, sera introduite dans tous les pays membres de l’Union notamment la France la nouvelle norme appelée identité numérique européenne.

Un outil d’identification, de contrôle et de traçage individuel imparable, couplé aux nouvelles technologies.

Et aux nouveaux moyens de paiement : l’euro numérique, actuellement mis en place par la BCE : Une ultime étape avant l’introduction prévue à l’horizon 2030 de la monnaie unique numérique mondiale. Un projet dont le concept élaboré par l’élite bancaire et oligarchique anglo-américaine remonte au moins au 18e siècle ! Tout comme celui de gouvernance mondiale chère à Jacques Attali, dont il est le maillon essentiel pour permettre un contrôle progressif et absolu des économies, des flux financiers, des états et des individus par le levier de la dette, le contrôle de la monnaie et de toutes les transactions financières. Selon la formule célèbre de Mayer Amshel Rothschild : « Donnez-moi le contrôle sur la monnaie d’une nation, et je n’aurai pas à me soucier de ceux qui font ses lois. »

Ceux qui depuis le Covid ont essayé de renouveler leur carte d’identité plastifiée auprès du commissariat de Police de leur quartier ont dû être surpris par l’allongement anormal des délais d’attente : de quelques semaines, on est passé à plus de 6 mois. Motif : « le Covid » (bien pratique), qui entrainerait des restrictions de personnel et ralentirait le traitement administratif des demandes.

Pour info, il faut quelques minutes à l’administration suisse pour délivrer un permis de conduire ou une nouvelle carte grise au comptoir du Service des Autos…

La raison véritable de cet allongement inadmissible, hormis l’inefficacité légendaire des services publics français, est de vous dissuader d’utiliser votre carte d’identité classique : trop archaïque, falsifiable, sujette à des pertes et vols. Et manipulable donc « sale ».

Pour toutes ces bonnes raisons, elle sera bientôt définitivement remplacée par le tout nouveau portefeuille numérique européen. Quel progrès !

Toutes les informations concernant votre état civil, votre domiciliation, vos coordonnées bancaires, et bientôt tous vos paiements autorisés ou réalisés, y seront consignés, sans erreur ni sans falsification possible.

La BCE a d’ailleurs cette année revendiqué le droit d’enregistrer à des fins d’analyse toutes les transactions bientôt exclusivement numériques et fondées sur la technologie Blockchains (au cœur de l’ID 2020) qui seront effectuées sur votre compte. Un moyen (illégal et contraire à tous les règlements nationaux et internationaux sur la protection de la vie privée) de tracer tous les citoyens de l’UE à partir des transactions qu’ils effectuent, datées, géolocalisées, validées et contrôlées.

Dans le même esprit, le sans-contact permet depuis le Covid d’effectuer des achats à partir d’1€ et jusqu’à 50€ dans n’importe quel magasin muni d’un terminal (soit 99,99% des commerces en France). Plutôt que d’utiliser des liquidités, espèces ou chèques, ou d’introduire votre carte dans le lecteur en manipulant le pavé numérique, ce qui constitue un vecteur potentiel de propagation de germes pathogènes.

Grâce à cette justification « sanitaire », on vous a ainsi peu à peu habitués depuis 2 ans et plus à renoncer aux anciens moyens de paiement. Et à basculer vers un mode de paiement plus « light », plus « sûr » et plus rapide. Donc plus pratique. « L’argent, c’est sale », comme on nous l’a toujours appris…

Le sans-contact sera d’ailleurs bientôt étendu à des achats jusqu’à 200€, puis jusqu’au plafond de paiement individuel, grâce à cette ID numérique qui permettra une meilleure sécurisation dans l’utilisation de votre carte bancaire. Merveilleux !

Une étape importante vers la disparition définitive des moyens de paiement physiques. Puisque d’ici peu le seul moyen de paiement admis, ce sera… vous ! Toutes les données personnelles contenues dans votre portefeuille numérique seront encryptées dans votre corps, plus précisément dans des micro et nanopuces communicantes d’un taille inférieure à 1/10e de millimètre voire 1/1000e de millimètre, détectables et lisibles par des capteurs numériques qui échangeront en temps réel avec des AI et des serveurs à distance, via les innombrables objets connectés déployés dans notre quotidien, les antennes 5G et satellites Starlink de Tonton Musk (40.000 en orbite géostationnaire pour un accès gratuit partout à internet…) : Star wars, Matrix, le Meilleur des mondes et Minority Report réunis.

D’ici 2030, peut-être même 2026, les euros en liquide, pièces et billets, les chèques (trop coûteux à traiter), et même les cartes bancaires auront définitivement disparu. Tout comme les achats sur internet par carte ou IBAN bancaire, imparfaitement sécurisés, ciblés par les phishers et hackers de datas bancaires, et objet d’un volume croissant de fraudes.

Tout sera remplacé par le paiement en ligne sécurisé par l’ID numérique, et doublement sécurisé par des paramètres de contrôle biométriques, comme la reconnaissance faciale, l’empreinte digitale, vocale, etc… Et par un système de traçage numérique, actuellement mis en place et généralisé progressivement à toute la population grâce aux campagnes de vaccination.

Invraisemblable mais vrai.

Lisez notamment cet article sérieux et détaillé sur la présence effective de micropuces détectées dans les injections appelées « vaccins » commercialisées depuis fin 2020 par une poignée de labos champions toutes catégories de la corruption et condamnés à des peines record au pénal, comme Pfizer ou Moderna. Et découvrez les prouesses géniales de ce système de traçage inclus dans les injections, dont vous êtes peut-être l’un des tout premiers cobayes à être équipés si vous êtes vacciné. Ce système permet notamment d’assigner un code Bluetooth individuel à chaque personne injectée (n’ayez pas peur, ça ne fait pas mal… du moins au début) et donc de vous identifier facilement comme de lires des informations numériques confidentielles vous concernant.

Pour information, ce système de traçage implique des firmes leaders des nouvelles technologies comme Microsoft (on s’en serait douté) ou Hitachi. Il concerne tous les « vaccins Covid » actuellement sur le marché. Et bien sûr les futurs rappels et vaccins relais destinés à vous recharger en oxyde de graphène peu à peu éliminé par le corps. Comme le nouveau vaccin déjà préconisé par l’OMS contre le monkeypox (la variole du singe), ou de futures épidémies inconnues mais déjà prévues par des « spécialistes » comme Bill Gates.

Cette technologie a d’ailleurs fait l’objet de tests important en 2019-2020 au Kenya et au Malawi sur des petits Africains à peu près consentants, sous l’égide de fondations mondiales « humanitaires » comme la Fondation Bill & Melinda Gates.

Les résultats très positifs de ces tests à grande échelle ont fait l’objet de publications dans des médias français très officiels, comme Le Monde, les Echos ou LCI. Sa réalité ne peut donc être mise en doute.

Cette technologie nouvelle permettra notamment dès qu’elle sera officialisée de vérifier sans possibilité de falsification si vous êtes vacciné ou non, avec quel vaccin, combien de doses vous avez reçu et quand. Et donc de vous vacciner de gré ou de force si vous ne l’étiez pas avant. Au risque si vous vous y opposiez de vous voir supprimer tous vos moyens de paiement et vos droits essentiels, comme la possibilité de vous déplacer, de voyager, d’utiliser les transports, de vous rendre dans une administration, de voter, de vous réunir avec d’autres personnes (que vous pourriez contaminer), de rentrer dans un hôpital (où sont soignées des personnes fragiles), d’accéder aux soins et à tout lieu public sécurisé. Avec comme seule alternative la mise en quarantaine et la rééducation forcées, ou le confinement obligatoire dans une pièce isolée de votre domicile, sans contact et sans droit d’en sortir.

A ceux qui estiment tout cela ahurissant et impossible, je conseille d’aller voir ce qui se passe depuis 2 ans en Australie ou en Nouvelle Zélande, pays dirigé par la jeune et ravissante Jacinda Ardern, Young Global Leader du World Economic Forum, la secte de scouts mondialistes de Klaus Schwab, dont font également partie entre autres Bill Gates, Angela Merkel, Emmanuel Macron, Justin Trudeau, Ursula van der Leyen, Edouard Philippe, Gabriel Attal, Valérie Pécresse et Xavier Bertrand. Un pays parmi les plus répressifs au monde, comparable aux dictatures islamistes qui furent les première (après le Vatican) à imposer la vaccination obligatoire, mais qui n’a pourtant comptabilisé que 57 décès du Covid pendant le pic épidémique du printemps 2020. Trouvez l’erreur.

Quant à l’Australie, on a peu entendu les médias français pourtant si prompts à défendre les « droits de l’homme » quand ce pays a pris l’une des mesures coercitives les plus extrêmes et révoltantes de ce début de siècle. A savoir rassembler l’an dernier quelques 24.000 enfants dans un stade à Sydney pour les vacciner de force. Avec interdiction pour leurs parents de s’y opposer, et même de pénétrer dans l’enceinte. C’est beau la démocratie !

Inutile de commenter les exploits en matière de dictature sanitaire réalisés par la Chine, encore tout récemment. On a tous en tête ces images horribles de camps de concentration improvisés pour rassembler de force « malades » (les cas positifs ou suspectés de l’être) et les réfractaires au vaccin en situation d’illégalité. Ces milliers de citoyens chinois arrêtés le soir à leur domicile, la porte de leur appartement défoncée à coups de masse par la Police ou la milice sanitaire, et enfermés de force dans des cages à lapins pendant des semaines.

Tout cela prouve que cette dérive totalitaire qui ne touche pas que des pays isolés, est tout sauf une fiction complotiste.

Et ne vous y trompez pas : la France, pays de la démocratie et des droits de l’homme de notre cher sociopathe-Président n’y fait pas exception. Les enfermistes comme Christophe Barbier, conseiller du Président, réfléchissent depuis 2 ans à la meilleure manière de surveiller et punir, c’est à dire de contrôler, vacciner, enfermer et contraindre tout le monde, en faisant totalement abstraction des liberté constitutionnelles, et en ayant recours à la force publique (Police, armée), et la contrainte physique s’il le faut. Comme cela se fait par exemple au Mexique où des populations entières ont été vaccinées de force dès 2020 par des patrouilles de l’armée venant dans les rues frapper aux portes des maisons.

Emmanuel Macron lui-même l’a très clairement laisser entendre au cours de son allocution télévisée de décembre 2020, au début du second confinement, dans un passage bizarrement passé inaperçu parmi les commentateurs d’habitude cramponnés à la moindre de ses déclarations :

« Il faudra réfléchir [terme utilisée systématiquement depuis 5 ans pour annoncer les mesures impopulaires à venir] à l’avenir à créer des centres de quarantaine où l’on pourra orienter les personnes contaminées, sans doute au niveau de chaque commune. » Qu’en termes élégants ces choses-là sont dites ! En gros, il ne s’agit ni plus ni moins que de rouvrir le Vel d’Hiv pour les non-vax.

A bon entendeur…

Une fois rangés tracts et affiches de ces élections-divertissement, et maintenant que le pantin a la caution des urnes pour un second round pour calmer toute velléité insurrectionnelle pourtant légitime, le cirque sanitaire va bientôt pouvoir reprendre. Et être même être renforcé, en France comme ailleurs dans toute l’Europe.

La vaccination obligatoire pour tous, y compris pour les nouveau-nés, est un principe déjà acquis par l’OMS au cours de ce premier semestre 2022. OMS, organisation privée financée en majorité par des fondations privées comme la Fondation Gates qui contrôle l’industrie pharmaceutique, qui s’est vu octroyer cette année le droit de statuer sur les futures lois imposées à tous les pays en matière sanitaire ! Une forme de totalitarisme sanitaire avec une façade légale.

Cette vaccination obligatoire devrait entrer en vigueur en France vers la fin de l’année. Comme l’a clairement annoncé Macron, juste avant le premier tour des présidentielles (au conditionnel bien sûr, pour ne pas effrayer les inutiles appelés à « faire barrage à l’extr^me droite »…

De façon prévisible, les médias mainstream commencent déjà à débattre depuis une semaine du retour des mesures sanitaires sur les plateaux télé : réintroduction prochaine du pass, opportunité de rétablir le masque dans les transports, de rendre obligatoires les rappels désormais trimestriels, voire de rétablir le confinement : toutes les options sont sur la table.

Entre temps, le pass sanitaire européen, obligatoire pour tous, va bientôt remplacer le pass vaccinal puis sanitaire inauguré il y a tout juste un an. Et mis en berne il y a 3 mois pour cause d’élections. Avec l’arrivée en octobre des nouveaux variants très méchants, annoncée depuis 3 mois par les autorités sanitaires à peine corrompues, Conseil Scientifique et ANRS en tête.

Restons donc extrêmement vigilants et préparons-nous à devoir nous engager dans des actions massives de désobéissance civile et de sabotage, si nous ne voulons pas de cette dictature sanitaire mondiale et transhumaniste ! Et ayons le courage de dire NON à ce nouveau durcissement du totalitarisme technosécuritaire et sanitaire, vers lequel on nous embarque à un rythme accéléré grâce à des pandémies contrôlées (cf. déclarations de Jacques Attali, et « Covid-19, The Great Reset » de Klaus Schwab et Thierry Malleret (2020 : à télécharger en français et en pdf gratuit sur internet).

Au nom de la liberté, de la dignité humaine et de l’avenir de nos enfants, opposons-nous à cette mise au pas totalitaire des individus, de la société, des états condamnés à disparaître d’ici le milieu de ce siècle, dilués dans ce Nouvel Ordre Mondial imaginé par une clique d’oligarques sociopathes et déterminés. Et mis en place par des marionnettes comme Macron, van der Leyen et d’autres, qui osent prétendent agir au nom du Progrès, de l’efficacité, pour notre sécurité et pour le bien de l’humanité.