A bout de souffle !

Mis en avant

Pour la 2e fois en 2 ans, j’ai bien cru que j’allais crever comme un chien tout seul la nuit dans ma chambre. A cause de cette maudite toux si particulière que provoque le Covid !


Un premier épisode Covid en juillet 2021, déclaré pendant un voyage en Normandie pour rechercher des maisons. Un pis-aller (pis-à-lait…) aux douces Charentes où je ne trouvais que tchi. A cause de ces maudites sauterelles parisiennes qui ont fait flamber l’immobilier après avoir dévoré le reste de la France tranquille.

J’avais failli me faire jeter en pleine nuit de ma chambre par ce loueur Airbnb très désagréable sis dans un quartier pourri de Rennes, qui avait paniqué en m’entendant tousser comme un damné à travers la cloison.

J’avais pourtant pris soin avant de partir de consulter le remplaçant de mon médecin pour balayer ces symptômes inquiétants d’infection respiratoire. Lequel m’avait assuré mordicus mais sans faire aucun test que « Non Monsieur, vous n’avez pas le Covid !« 

Aussitôt rentré, mon médecin avait repris les choses en mains, et mis illico sous protocole Raoult, expédié au lit pour 10 jours avec 39° de fièvre, des suées dignes du Niagara, une fatigue à ramper aux chiottes… Et une toux !…

Ceux qui ont bidouillé cette arme bactériologique sophistiquée dans leurs éprouvettes à Wuhan, en y glissant discrétos un soupçon de sida et de malaria, n’ont pas fait les choses à moitié.

Et ce variant Delta, le pire de tous les avatars du rejeton d’un pangolin alien et d’une chauve-souris mongole, qui a tué plusieurs centaines de milliers de petits Indiens privés d’ivermectine par les Trois mousquetaires satanistes – Bill Gates, Tadros Ghebreyesus et Anthony Fauci (traînés depuis devant la Cour de Justice Internationale par le Barreau des avocats indiens pour crime contre l’humanité) – aura rempli ses bons offices en liquidant une partie des indésirables et autres réfractaires. Dont j’ai bien failli faire partie.

Car j’ai découvert à cette occasion ce qu’est l’amorce d’une détresse respiratoire.

L’amorce seulement. J’imagine combien ceux qui sont morts dans d’atroces souffrances physiques et psychologiques, notamment les malades qui avaient eu la bonne idée de se faire piquouzer (« parce que ça évite les formes graves blablabla »…) ont pu endurer !

Tous ces petits vieux refoulés des hôpitaux parce qu’improductifs pour l’économie, des charges pour la société qu’il fallait bien un jour se résoudre à éliminer, comme nous l’a maintes fois claironné depuis 40 ans ce cher Jacques Attali. Et puis ces cancéreux incurables, ces diabétiques, ces mongoliens, ces sidéens qui grèvent les comptes de la Sécu !

Au vu de mes nombreuses tares et étant assez proche de l’âge de la retraite, j’aurais tout aussi bien pu faire partie d’une charrette.

Car quand les quintes de toux s’enchaînent à un rythme accéléré au point de devenir incontrôlables, surtout en pleine nuit, on s’épuise très vite. On n’arrive plus à reprendre son souffle entre deux toux, le taux d’oxygène s’amenuise dans le sang, les muscles de la poitrine se tétanisent. Et puis surtout la dilation des petits vaisseaux pulmonaires due à l’inflammation provoquée par le virus, ajoutée à l’irritation provoquée par l’air expulsé de façon réflexe pendant des heures que dure la toux, font que votre corps devient subitement incapable de fixer l’oxygène vital qui fait défaut.

Ajouté à cela l’effet panique de ne plus arriver à respirer, et de se retrouver seul avec l’éventualité de faire un malaise, voire de mourir bêtement sans pouvoir appeler les secours… Je ne souhaite à personne de vivre cela.

Pour couronner le tout, 9 mois après cette première expérience in vivo du Terminator de la série Covid, je n’avais toujours pas complètement retrouvé ni goût ni odorat, totalement zappés les 3 premiers mois.

Cette fois-ci je ne m’étais pas préparé. Toute la complosphère dont je fais partie répétait à l’envi depuis cet été que ce nouveau variant saisonnier du Covid annoncé pour la rentrée était un petit joueur avec des symptômes anodins.

Affaibli depuis le début de l’automne, très affecté par les évènements du 7 octobre puis le décès de ma mère à la Toussaint, épuisé par les préparatifs de la cérémonie prévue le 8 décembre en son hommage à Paris, je me sentais tout patraque à l’approche du départ. J’avais pris soin de consulter mon médecin, qui m’avait assuré que je n’avais pas le Covid. Donc en voiture, Simone !

De retour à la maison 8 jours plus tard, me voici avec des pluies diluviennes, un toit en mode passoire, et l’eau qui pisse sur mon lit. Et un diagnostic imparable : 2 autotests positifs ! Re-médecin, ivermectine, azithromycine, artémisia, Vitamine C, Vitamine D, Zinc, Aspégic, collutoire, gouttes dans le nez, huiles essentielles… Toute la pharmacopée anti-Covid y passe !

Sauf que cette maudite toux, elle, ne passe pas. Et rebelote : 2 nuits avec un réveil subit, pris par une quinte irrépressible. Et 30 secondes plus tard, la panique : impossible d’arrêter de tousser. Et surtout impossible de respirer.

On tente de se calmer, on convoque tous les dieux de l’Olympe, on appelle sa mère… La crise finit par passer… Avant de reprendre une heure plus tard.

J’ignore pourquoi spécialistes, médecins et pharmaciens ne donnent pas la recette à suivre lorsque survient une telle crise de toux, suivie en général d’une bonne crise de panique. Ou un spray de Ventoline au cas où.

Quoi qu’il en soit, au cas où je ne l’aurais pas encore compris, au cas où je ne l’aurais pas assez côtoyée dans ma vie notamment ces 5 dernières années, je sais que je suis mortel. Je sais que la mort peut intervenir à tout moment. Et je sais que ça n’est pas vraiment une partie de plaisir.

Journée mondiale d’hommage aux victimes des « vaccins » : les dessous d’une hécatombe

Mis en avant

Le 13 mai prochain aura lieu dans plusieurs villes françaises, européennes et du reste du monde, une journée pour dénoncer les effets indésirables des « vaccins » anti-Covid.

Pour dénoncer aussi l’omerta criminelle sur les effets néfastes de ces injections. Notamment dans des pays comme la France où dirigeants politiques et autorités de santé refusent toujours d’admettre leur réalité et leur ampleur, deux ans et demi après le début des campagnes publiques de vaccination de masse.

Des effets niés ou minimisés pour continuer à écouler les doses, bien qu’ils aient causé des millions de décès dans le monde. Du moins partout où ces « vaccins » ont été imposés à des populations désorientées comme le seul remède prétendument efficace contre le Covid. Sans aucun bénéfice objectif pour les protéger des contaminations, des effets de la maladie, y compris les formes les plus graves, empêcher les personnes injectées d’être hospitalisées ou de mourir du Covid.

Plusieurs associations de médecins, des spécialistes, des juristes, des avocats représentant les victimes ou leurs familles, mènent depuis 2021 un combat acharné pour faire valoir ces préjudices, obliger les médecins tétanisés à déclarer ces effets indésirables directement liés aux « vaccins », obliger les responsables corrompus à reconnaître leurs erreurs à vouloir piquer toute la population, faire enfin éclater toute la vérité, et obliger les laboratoires criminels à verser des indemnisations.

Eux qui connaissaient parfaitement les effets désastreux de ces « vaccins », ont menti sur leur efficacité et leur innocuité, et ont continué sciemment à vendre des milliards de doses pour engranger des centaines de milliards de dollars de bénéfices.

Ces effets indésirables sont aujourd’hui parfaitement connus et répertoriés. Ils sont recensés depuis décembre 2020 par les agences de pharmacovigilance, notamment en Europe. 2 millions d’effets indésirables et 20.000 de décès directement liés aux « vaccins » avaient déjà été recensés en juin 2021 par les agences de pharmacovigilance européennes. Soit moins de 6 mois après le début des campagnes de vaccination. On a explosé toutes les statistiques de pharmacovigilance depuis.

Des campagnes lancées tambour battant en Europe en janvier 2021, sous l’égide de la Commission européenne et de son omniprésente Présidente Ursula van der Leyen. Laquelle est aujourd’hui poursuivie pour corruption et dissimulation de preuves (les fameux SMS échangés avec Bourla) par un tribunal belge, pour avoir acheté des milliards de doses au Président de Pfizer (Young global leader comme elle), sans commission scientifique préalable pour statuer sur l’opportunité d’acheter en nombre ces doses, et sans l’accord des autres membres de la Commission sur ce calendrier précipité.

Ces effets indésirables – certains relativement bénins comme des violents maux de tête après l’injection, d’autres fatals comme des thromboses et AVC – sont aujourd’hui reconnus officiellement dans bon nombre d’Etats.
 
Aux États-Unis, le CDC (Center for Disease Control) qui gère la surveillance des maladies au niveau fédéral, et la FDA (Food & Drug Administration) qui délivre aux laboratoires pharmaceutiques les autorisations de délivrance de médicaments, les ont officiellement reconnus depuis plus d’un an.

Le gouverneur de Floride Ron DeSantis a même voulu faire interdire en janvier 2022 le pass sanitaire, l’obligation du port du masque et la vaccination. L’Etat de l’Iowa examine un projet de loi visant à pénaliser tous ceux qui feraient la promotion de ces prétendus « vaccins ».

Leurs effets néfastes et parfois mortels font l’objet d’indemnisations financières versées aux victimes par certains gouvernements.

A Singapour, l’Etat indemnise depuis 2021 avec un fonds spécial les familles des personnes décédées suite aux « vaccins ».

En Allemagne, des citoyens demandent aujourd’hui à l’Etat de faire de même.

Idem en Australie, l’un des pays qui avait pourtant décrété des mesures sanitaires parmi plus dictatoriales pour un pays occidental (comparables à la Chine), avec la Nouvelle-Zélande de l’ex-Première ministre Jacinda Aspern, Young global leader du Forum de Davos, comme Macron, Biden, Trudeau, Scholz, Sunak, Sanchez et bien d’autres dirigeants occidentaux corrompus.

La vérité sur ces effets indésirables et les morts des « vaccins » progresse donc désormais tel un tsunami irrésistible.

De même que la divulgation décomplexée sur les plateaux télé, dans des médias mainstream, dans l’opinion publique intoxiquée par trois ans et demi de propagande insanitaire orchestrée par les laboratoires, leurs actionnaires comme BlackRock, les fondations qui les financent comme la Fondation Gates et les Etats corrompus. Une propagande relayée par des conseils scientifiques bidons, des ministres et des médias, tous corrompus par les mêmes.

Pas un jour aux Etats-Unis sans que la chaîne Fox News, proche des Républicains et critique envers le pouvoir actuel, n’évoque ces nouveaux scandales liés à la gestion de la crise sanitaire, l’origine du virus, les faux « vaccins », les dommages historiques causés aux victimes abusées par leurs dirigeants.

En Allemagne la chaîne publique ZDF a tout récemment consacré une émission entière à ces effets secondaires, et demandé leur indemnisation par l’Etat.

La France fait figure d’exception : un ilot de silence au milieu de l’Europe, plus proche pour la liberté d’expression de la Corée du Nord que de la Suède ou la Norvège. Les choses pourraient rapidement changer avec un Président usé, impopulaire à 90%, emporté par « la foule » vers la sortie, et qui pourra difficilement achever son mandat

Sans parler des nombreux médecins qui évoquent maintenant sans crainte cet effondrement immunitaire comparable au sida dont ils sont témoins chez certains patients injectés à partir de la 3e dose.

Un effondrement immunitaire spectaculaire, au sujet duquel alertait le Professeur Luc Montagnier (qui en a vu d’autres), dans cette déclaration courageuse 5 jours avant de mourir:

« Les personnes vaccinées seraient bien inspirées de faire le test du sida. Elles seraient surprises du résultat, et pourront demander des comptes à leur gouvernement !« 

Certains avaient osé insulter le Prix Nobel découvreur du virus du sida, en le traitant de « complotiste » et de « gâteux« .

Ce que le Professeur a omis volontairement de dire en direct sur ce plateau télé, c’est que les applications civiles et médicales ne constituaient qu’une partie seulement des programmes développés dans ces labos ultra pointus et ultra protégés de recherche en génie génétique.

En effet, une grande part des recherches conduites dans ces laboratoires très surveillés comme le laboratoire P4 de Wuhan construit par la France au nom de la coopération scientifique franco-chinoise, et inauguré en 2011 par le Premier ministre Bertrand Cazeneuve le directeur de l’INSERM Yves Lévy (mari d’Agnès Buzyn), comportent presque toujours un volet de recherche militaire.

Il faut en effet savoir que, bien que les armes bactériologiques soient interdites par la Convention de Genève et qu’elles ne soient pas officiellement développées par les pays signataires de cette Convention comme la France, la majorité des recherches effectuées aujourd’hui dans le monde sur des budgets militaires le sont pour des programmes d’armes non conventionnelles. Car celles-ci sont beaucoup moins coûteuses, tout aussi efficaces mais beaucoup plus discrètes et ciblées que les armes stratégiques (bombe atomique) : armes chimiques, bactériologiques, électromagnétiques (bombes, canons et fusils électromagnétiques de l’US Army), sismiques (séismes déclenchés), climatiques (HAARP et programmes d’ingénierie climatique reconnus officiellement par le Pentagone « pour lutter contre le dérèglement climatique« …), psychédéliques, etc…

Plusieurs spécialistes du génie génétique ont d’ailleurs confirmé depuis le Covid que les laboratoires P4 créés ces dernières années par les Etats-Unis, le Canada, l’Europe, le Royaume-Uni ou la France (et souvent délocalisés vers des pays d’Asie du Sud-Est comme la Corée du Sud, Hong Kong ou la Chine, plus conciliants avec la législation), travaillaient en réalité essentiellement sur des programmes militaires de développement d’armes bactériologiques. Et plus accessoirement sur des programmes civils destinés à mettre au point de nouveaux vaccins.

Les Etats-Unis sont d’ailleurs impliqués dans la genèse du virus SARS-Cov-2, tout comme ils sont dans les recherches menées au laboratoire franco-chinois de Wuhan. Comme l’ont prouvé les mails divulgués lors du Faucigate qui a démontré la responsabilité d’Anthony Fauci, responsable depuis 1984 des programmes de santé publique aux Etats-Unis, dans la préparation et le déclenchement de la crise du Covid.

Quant aux intentions délibérément eugénistes dans cette propagation volontaire du virus à partir de Wuhan (et peut-être dans d’autres foyers simultanés, en Iran et en Italie du Nord), il est assez difficile d’en douter, connaissant les intentions assumées de presque tous les oligarques impliqués dans cette crise.

En tout cas s’agissant des « vaccins », aujourd’hui les faits sont là. Et ce sont les menteurs subventionnés des ministères et des médias redresseurs de « fake news » qui se retrouvent aujourd’hui en situation d’accusés. Alors que ceux qu’ils calomniaient hier en les accusant de « complotistes » sont aujourd’hui réhabilités, écoutés et même remerciés pour leur courage.

A ce sujet, il faut noter le revirement spectaculaire du réseau social LinkedIn, propriété de Microsoft. Un des GAFAM les plus largement impliqués dans le volet numérique de ce cirque covidiste.

Notamment parce qu’il détient depuis 2019 le brevet d’une technologie à base des nanoparticules incluses dans le cocktail vaccinal et destinée au traçage des personnes vaccinées. Développée par le MIT de Boston, elle a fait l’objet de tests officiels en 2020 au Kenya et au Malawi sous l’égide de la Fondation Gates. Comme l’ont rapporté des médias mainstream comme Le Monde, Les Echos ou LCI.

Microsoft est aussi l’un des initiateurs du projet ID 2020. Un conglomérat discret réunissant parmi ses fondateurs la Fondation Rockefeller, la Fondation Gavi (vaccins), Accenture et Microsoft. Avec comme partenaires des multinationales stratégiques comme Facebook, Mastercard et autres géants de la tech. Son but : développer l’identité et le contrôle numériques (des populations) au plan mondial. Et coupler les nouveaux outils de contrôle des données personnelles (état civil, données médicales, carnet de vaccination, données bancaires…) aux monnaies numériques actuellement mises en place partout dans le monde, puis à la future monnaie unique numérique mondiale. L’outil ultime de contrôle des populations.

Un projet qui associe étroitement l’Union européenne, à travers son identité numérique européenne et son portefeuille numérique européen, actuellement mis en place par la Commission européenne. De même que la BCE met en place aujourd’hui son euro numérique, à l’image du dollar, du rouble, du yen ou du yuan numériques. Au passage, la BCE s’est arrogée en 2022 le droit de contrôler toutes les opérations bancaires sur tous les comptes de particuliers gérés par les banques dans tous les Etats membres de la zone euro. En violation complète du droit européen sur le secret bancaire et la vie privée.

Il y a encore deux ans, la censure sur LinkedIn était impitoyable concernant certaines vérités qui dérangent, même sourcées, validées par des experts et publiées dans des médias mainstream. Notamment la réalité sur les tests PCR, l’inefficacité ou la dangerosité des « vaccins ». Relayer de telles infos équivalait à une fermeture arbitraire et immédiate du compte pour non-respect des standards LinkedIn, sans aucune explication ni recours possible.

Même politique de censure arbitraire chez Facebook, réseau asocial champion de la chasse aux « fake news« .

Aujourd’hui, de nombreux décideurs – PDG, banquiers, médecins, généraux – discutent très ouvertement des dérives du Covid et des volets opaques de ce scénario de basculement contrôlé baptisé Great Reset. Un scénario détaillé par Klaus Schwab, Président du Forum de Davos, dans un livre publié en 2020[i], et destiné à nous faire basculer par étapes grâce à des chocs successifs vers une société dystopique, totalitaire, sans libertés, dominée par un Caste élitiste qui contrôle tous les pouvoirs, et gère des populations réduites en esclavage, surveillées par des AI, reformatées par des techniques transhumanistes et vouées à un dégraissage eugéniste « pour sauver la planète ».

Certains qui avaient été accusés de complotisme, ont été suspendus deux ans sans indemnité pour avoir refusé de se faire vacciner, ont perdu leur emploi, ont été condamnés au bûcher professionnel, raillés par les médias, ou qui se sont fait radier par le Conseil de l’Ordre, sont aujourd’hui réhabilités. Comme le Professeur Perronne, débouté de sa chefferie du service de maladies infectieuses à l’hôpital de Garches en 2021, puis réhabilité sans bémol par le Conseil de l’Ordre en 2022, et lavé de tout soupçon de « complotisme ».

Certains d’entre eux ont porté plainte contre les calomniateurs. Ils ont ajouté leur voix aux millions de plaintes dans le monde destinées à faire reconnaître officiellement les préjudices causés par les vaccins de la mort, indemniser les victimes, leurs conjoints ou leurs familles, exposer les crimes, faire condamner les coupables et rétablir la vérité.

Selon les juristes, cela prendra sans doute beaucoup de temps. 10 ans au bas mot, d’après certains. D’autant que la Justice elle aussi est largement corrompue.

Depuis 2020, Reiner Fuellmich, avocat international allemand et d’autres juristes appellent à un Nürnberg du Covid. Afin d’exposer publiquement les crimes, condamner les coupables qui ont imaginé, planifié, déclenché, organisé, couvert cette Shoah mondiale qui cible 8 milliards d’êtres humains.

Et qui se sont enrichis en vendant des vaccins tueurs. En interdisant qu’on hospitalise les malades en détresse respiratoire jugés non prioritaires en raison de leur grand âge, de leur infirmité ou état de santé.

En interdisant qu’on leur délivre autre chose que du Doliprane, et surtout pas ces traitements mis à l’index car réputés pour leur efficacité, et qui auraient permis de les sauver.

En euthanasiant par décret [ii] les vieux dans leur EHPAD. En terrorisant la population avec une fausse « pandémie » fabriquée par l’OMS, et démesurément déformée par les médias alarmistes dès novembre 2019.

En imposant des mesures absurdes, liberticides et contre-productives. Comme la distanciation sociale, le masque, les confinements et couvre-feux à répétition, les milliards de tests PCR utilisés en dépit des méthodes préconisées par leur inventeur et leurs fabricants, la falsification des données épidémiologiques pour faire croire à des « vagues » successives, et justifier le prolongement d’une dictature légale (état d’urgence sanitaire), la fermeture des lieux publics, la surveillance policière des populations, la vaccination obligatoire, le pass sanitaire et le traçage numérique dans le but de fliquer tout le monde…

Comme un symbole de cette folie, le groupe Pfizer, propriété de BlackRock comme la plupart des leaders du secteur pharma, est aujourd’hui sur le banc des accusés. Son PDG Albert Bourla est poursuivi par d’innombrables plaintes pour falsification ou dissimulation d’études scientifiques, concernant l’efficacité et les effets secondaires des injections ARNm, entrave à la Justice, empoisonnement, homicide volontaire, crime contre l’humanité, et corruption.

Cela ne dérange nullement cet homme ni sa firme, qui a déjà accumulé un record de condamnations pour crimes et se voit chaque année obligée de verser des millions d’amendes depuis 10 ans. Une ligne comptable insignifiante dans son business plan highly bankable

C’est pourtant largement à son initiative que débutait fin 2020 la plus grande opération de « guerre » de l’Histoire humaine, annoncée plus d’un an auparavant. Alors qu’il faut au bas mot 20 ans à la recherche pour développer un vaccin efficace contre un nouveau virus. Qui plus est, avec une technologie totalement nouvelle, sans aucun recul ni étude indépendante prouvant son efficacité.

Une opération digne du Débarquement de Juin 1944, préparée dans le plus grand secret et saupoudré de quelques annonces pour tester l’opinion, qui mettait en œuvre des moyens considérables pour terrasser un virus de grippe quasi inoffensif[iii], qui aura causé au total moins de victimes dans le monde que la grippe saisonnière de 2019 !

Une campagne de vaccination massive sur tous les continents, pilotée de main de maître simultanément dans 65 Etats occidentaux par une entreprise privée américaine : le cabinet de conseil McKinsey.

Un véritable Etat dans l’Etat, qui s’est substitué aux conseillers, ministères et services administratifs des Etats concernés, pour la partie conseil comme pour la partie mise en œuvre de la politique vaccinale, pass sanitaire compris. Et dont le dirigeant en France n’est autre que Victor Fabius, fils du Président du Conseil constitutionnel et ancien Premier ministre (condamné dans l’affaire du sang contaminé) Laurent Fabius. Rien que du beau monde.

Un scénario relayé par ces Etats et leurs conseils scientifiques bardés de conflits d’intérêts avec des labos comme Pfizer, Moderna ou Gilead, des agences de santé et des médias subventionnés, tous archi corrompus. Au bénéfice d’une industrie pharmaceutique qui constitue le secteur le plus corrompu et le plus corrupteur de l’économie mondiale.

Une industrie financée par des fondations privées, comme la Fondation Bill & Melinda Gates, la Fondation Gavi pour les vaccins, la Fondation Rockefeller ou la Fondation John Hopkins. Toutes championnes de la corruption et du crime organisé.

Rappelons que le « milliardaire philanthrope » Bill Gates, condamné par la justice américaine au cours de la décennie 1990 pour abus de position dominante de sa firme Microsoft, et violation de la loi antitrust, s’était refait une virginité en léguant une partie de son immense fortune héritée de sa famille et constituée par son empire informatique dans une fondation à son nom, destinée à financer des programmes humanitaires de santé dans les pays du tiers-monde.

Un « investissement » absolument pas désintéressé, mais au contraire extrêmement rentable, qui lui avait notamment permis de s’assurer le quasi contrôle financier d’un des secteurs les plus bankable de l’économie mondiale, en finançant ses labos les plus rentables.

Mais aussi de « racheter » l’OMS : une ONG mondialiste dépendante de l’ONU, jusque-là financée par les subventions de ses Etats membres. A la surprise générale, face à la gabegie corruptive et aux décisions sanitaires iniques de ce « machin » vendu aux firmes pharmaceutiques, Donald Trump avait décidé en 2020 de retirer les Etats-Unis de l’OMS !

Cet organisme est donc désormais sous la coupe majoritaire d’une fondation privée qui en est le principal mécène. Et qui lui dicte ses grandes orientations, pour le plus grand bénéfice des rapaces de Big Pharma et ses actionnaires.

La Fondation Gates s’était singularisée dans les années 2000 et 2010 en lançant des campagnes de vaccination massive et expérimentale sur populations pauvres des continents africain, asiatique et d’Amérique latine. Elle prétendait alors vouloir éradiquer des épidémies comme la méningite, la malaria ou la variole, alors que cette dernière était déjà éteinte quand la campagne de vaccination fut lancée.

Ces campagnes d’apprentis sorciers ont malencontreusement provoqué l’effet inverse de celui escompté. A savoir une reprise spectaculaire de ces épidémies. Au point que les vaccins contre la variole du couple Gates sont aujourd’hui considérés par les épidémiologistes comme le vecteur principal de propagation de cette maladie dans le monde !

Un scénario qui n’est hélas pas nouveau. Et dont les véritables causes ne laissent pas d’interroger.

En effet, en 1919 déjà, une autre fondation célèbre, la Fondation Rockefeller, inventeur et mécène de la toute jeune industrie pharma, avait lancé une campagne de vaccination massive contre la méningite destinée en priorité aux GIs américains à peine revenus du front après l’Armistice de 1918. Des centaines de millions de doses de vaccins à base de virus atténués furent ainsi injectés à toute une population jeune et en bonne santé. Le résultat fut cataclysmique, puisque ces vaccins sont aujourd’hui jugés responsables de la propagation de la bien mal nommée « grippe espagnole« . Laquelle a causé tout de même 50 millions à 100 millions de morts dans le monde en seulement 3 ans. Soit davantage que les deux guerres mondiales réunies.

La Fondation de Bill Gates n’est toutefois pas en reste. Puisque ce sont plusieurs millions d’Africains, d’Indiens ou de Sud-américains parmi les plus pauvres qui ont succombé aux effets secondaires de ses campagnes de vaccination mortifères.

Auxquelles s’ajoutent plusieurs centaines de milliers de femmes indiennes stérilisées par ces injections (chiffres officiels). Ce qui vaut à la fondation Gates d’être interdite de séjour depuis plusieurs années sur le sol indien.

Malgré les preuves et les condamnations, la fondation génocidaire continue toujours bon enfant son travail d’extermination des populations. En toute impunité.

Il faut dire que Bill et ses amis qui ne cachent plus leurs intentions ouvertement eugénistes. Et ne craignent pas la Justice, puisqu’ils ont largement les moyens de corrompre les tribunaux qui pourraient leur réclamer des comptes. A savoir l’ensemble des tribunaux nationaux, européens, ou internationaux, comme la Cour de Justice Internationale.

Cette dernière a d’ailleurs été saisie en 2021 par le Barreau des Avocats Indiens d’une plainte pour crime contre l’humanité à l’encontre de Bill Gates, Anthony Fauci et Tadros Ghebreyesus, directeur de l’OMS, suite à l’interdiction par l’OMS d’utiliser l’ivermectine pour soigner le milliard d’Indiens touchés par le redoutable variant Delta. Après que le gouvernement indien avait décidé de recourir aux traitements plutôt qu’à la stratégie vaccinale, inefficace, pour traiter sa population. Avec un succès qui permit l’écrasement immédiat du pic épidémique du variant Delta, qui atout de même causé des centaines de milliers de morts en quelques mois en Inde.

Quant aux objectifs de dépopulation mondiale liés aux vaccins, Bill Gates en a clairement fait état à plusieurs reprises dans ses déclarations et conférences publiques. Notamment lors d’une conférence Ted Talk aux États-Unis en 2010[iv] sur le thème de la population mondiale. Au cours de cette conférence, le milliardaire philanthrope a brossé un exposé implacable devant un auditoire médusé, en démontrant chiffres et schémas à l’appui que l’économie mondiale ne pourrait plus dans les années à venir nourrir une population dont la croissance démographique exponentielle devenait incontrôlable. Théorie qui paraît plausible, mais ne fait nullement l’unanimité chez les démographes et spécialistes de l’agriculture mondiale. Bill Gates a cependant rassuré son auditoire en indiquant qu’on pouvait résoudre le problème en jouant sur le paramètre « P » – Population – de l’équation. Rires gênés dans l’assistance… Avant d’ajouter :


« Si ont fait un bon boulot, un très bon boulot, on peut réduire de 15% la population mondiale en 10 ans, grâce aux nouveaux vaccins, aux politiques de santé publique, et au contrôle de la procréation ! » (Sic)

Bill Gates n’a jamais démenti cette déclaration de guerre implicite et cynique faite à toute l’humanité.

Une déclaration reprise depuis par lui-même et d’autres oligarques fanatiques des programmes eugénistes de dépopulation mondiale.

Comme George Soros (Open Society), Jacques Attali[v], Elon Musk, ou Laurent Alexandre.

Tous par ailleurs promoteurs infatigables de l’idéologie transhumaniste, dont les nouvelles injections expérimentales à ARNm sont une illustration.

Autre précision importante : l’industrie des vaccins, qui connaît un développement spectaculaire et des investissements records depuis 20 ans, est engagée depuis 1993 dans une compétition féroce mais discrète pour produire de nouveaux vaccins.

Mais surtout pour produire de nouveaux virus par génie génétique. Des virus brevetés, condition nécessaire pour s’en assurer la propriété, et percevoir ainsi des royalties sur les vaccins correspondant produits par ces mêmes labos.

Les progrès dans les techniques de manipulation génétique ont en effet connu un bond de géant ces dernières décennies. Elles permettent aujourd’hui de fabriquer des virus modifiés à partir de souches animales, auxquelles ont ajoute des gains de fonction afin de les rendre ces nouveaux virus compatibles avec l’homme. Ils peuvent alors s’intégrer facilement aux cellules humaines, alors qu’ils seraient normalement rejetés par le système immunitaire, le temps de muter pour s’adapter et trouver la bonne clé pour s’accrocher aux cellules et intégrer leur ADN pour se reproduire. Comme le VIH, à l’origine dérivé du LAV, virus du sida chez certaines espèces de singes.

En 2020, le Professeur Luc Montagnier était venu présenter sur CNews les résultats des travaux de son équipe de recherche sur le séquençage du génome du virus SARS-Cov-2, récemment isolé et tenu pour responsable de l’épidémie de Covid-19. A la stupéfaction générale, il avait présenté la preuve irréfutable que ce virus ne pouvait qu’avoir été fabriqué volontairement en laboratoire à partir de manipulations génétiques. Et que son ARN modifié comportait 4 insertions évidentes du VIH.

Avant d’ajouter pour rassurer un Pascal Praud hagard, que cette méthode était souvent utilisée par les labos de recherche médicale dans l’espoir de mettre au point un vaccin contre des maladies comme le sida. Cette technique vaccinale expérimentale s’appuie non sur des virus atténués, comme pour les vaccins « classiques », mais sur un virus porteur dans lequel on introduit des fragments du virus cible, dans le but hypothétique de provoquer une réponse immunitaire spécifique chez les personnes auxquelles on injecte le cocktail vaccinal.

C’est le principe théorique qui prévaut dans le concept de virus à ARN modifié (ARNm).

Une technologie nouvelle, largement expérimentale, qui consiste à « livrer » à l’intérieur de l’ADN humain une protéine d’enveloppe (Spike) du virus contre lequel on souhaite immuniser les personnes vaccinées. En utilisant par exemple un virus pathogène de chauve-souris, de grippe aviaire ou de grippe porcine génétiquement recombiné, qui va pouvoir s’accrocher aux cellules humaines, et « livrer » à l’intérieur de la cellule une portion du code génétique du virus ciblé. L’ADN humain ainsi piraté fera le reste, transformant la cellule hôte en usine à fabriquer des particules virales, qui seront à leur tour libérées à l’intérieur mais aussi souvent à l’extérieur du corps. Le pari fou de cette technique sophistiquée est que le système immunitaire va produire une réponse immunitaire spécifique dirigée contre le virus que l’on cherche à éradiquer. En se retournant en quelque sorte contre lui-même.

Au passage, le fait de pirater ainsi l’ADN conduit à une mutation irréversible du génome humain, mutation qui s’avère transmissible aux descendants. Il s’agit donc d’une modification délibérée de type transhumaniste de l’espèce humaine.

Pour les labos qui produisent ces chimères, le business model de ces nouveaux « vaccins » est fondé sur un objectif théorique de substitution de l’immunitaire naturelle par une immunité artificielle. La première étant non spécifique et pas toujours efficace immédiatement, le temps que le corps trouve la parade ; la seconde étant en principe spécifique donc efficace. Mais elle oblige les personnes qui mettent le doigt dans cet engrenage vaccinal à devoir se faire injecter des doses de rappel mises à jour tous les trois mois, en espérant être ainsi protégées contre l’apparition inéluctable de nouveaux variants.

Double, triple, quadruple, quintuple bingo !

Sauf que ce beau joujou admirable sur le papier n’a jamais marché ! Pire, ses effets sont catastrophiques.

Malgré les efforts démesurés de la propagande vaccinale, les faits demeurent têtus. Toutes les études indépendantes réalisées depuis plus de deux ans conduisent aux mêmes conclusions.

Tout d’abord il faut savoir que ces « vaccins » anti-Covid ont été commercialisés au prix d’une corruption d’une ampleur inédite dans l’Histoire, par des firmes criminelles pressées d’engranger des bénéfices record, et qu’ils ont été imposés de façon frauduleuse aux populations. Puisqu’il n’est légalement possible d’autoriser de tels essais expérimentaux qu’à condition qu’il n’existe aucun traitement pour soigner la maladie.

Ce qu’on a vainement tenté de nous faire croire par une vaste entreprise de corruption des chercheurs, de la presse scientifique[vi], des médecins, des agences de santé, des gouvernements et des médias. Alors que, selon plus de 200 études scientifiques indépendantes dans le monde, il existe de nombreux traitements, peu coûteux, disponibles et très efficaces contre le Covid, à tous les stades de la maladie : plus de 98% d’efficacité pour l’ivermectine, y compris sur les formes graves.

A l’inverse, les injections imposées de façon souvent obligatoire suite à un terrorisme médiatique doublé d’un matraquage de propagande destiné à donner l’illusion de leur efficacité, d’une chasse aux sorcières contre les propos dissidents et de contraintes dictatoriales sur les populations, n’ont prouvé jusqu’à présent rigoureusement aucune efficacité ! Contrairement à ce qui est martelé comme des mantras par des ministres corrompus comme Olivier Véran, par les labos eux-mêmes et repris en chœur par les journalistes.

En effet, toutes les études et statistiques officielles reprises par les agences de santé du monde entier, en Israël, premier pays à avoir massivement vacciné, aux Etats-Unis, au Canada, en France, le confirment : ces soi-disant « vaccins » n’empêchent aucunement les personnes injectées d’être contaminées. Au contraire ils affaiblissent leur système immunitaire, et les rendent moins résistantes aux nouvelles attaques virales. Selon une étude israélienne, en 2021 les vaccinés ont été 16 fois plus contaminés que les non-vaccinés.

Ces injections n’empêchent pas non plus les personnes injectées de transmettre le virus. Au contraire, elles les transforment en super propagateurs de protéines Spike. Puisque l’organisme qui tente de s’en débarrasser excrète par la peau et par voie aérienne des milliards de particules virales, qui vont infecter à leur tour d’autres personnes autour d’elles. Lesquelles présenteront parfois les mêmes symptômes que le Covid-19, sans qu’on puisse les différencier.

Contrairement aux mensonges martelés par les médias pour tenter de trouver une ultime justification aux doses de rappels destinées à écouler les stocks achetés par la Commission européenne, les vaccins Covid n’ont jamais protégé qui que ce soit des « formes graves ». Ces cas graves tant médiatisés et qui font tant flipper les accros aux messages anxiogènes diffusés à la télé. Toutes les statistiques prouvent aujourd’hui le contraire, à savoir que ceux qui développent des formes graves ou décèdent du Covid depuis 2021 sont majoritairement des personnes vaccinées ! Alors que les non-vaccinés dont le système immunitaire reste intact ont pour la plupart bénéficié d’une immunité collective face à une épidémie qui est aujourd’hui éteinte, et dont les répliques sont insignifiantes et extrêmement peu pathogènes.

En revanche, ceux qui payent depuis deux ans le plus lourd tribut aux vaccins et au Covid sont les jeunes ! Enfants, adolescents, jeunes sportifs et jeunes adultes vaccinés sont ceux qui meurent aujourd’hui le plus du Covid (i.e. des vaccins).

Quant à l’hécatombe produite par les effets secondaires et les décès directement liés aux injections, c’est tout simplement du jamais vu dans toute l’Histoire de la médecine, de la vaccinologie et de la pharmacovigilance !

N’importe quel autre médicament en phase d’essai thérapeutique avec délivrance d’une ATU (Autorisation Temporaire d’Utilisation) sous conditions, aurait été immédiatement stoppé. Et son développement aurait été définitivement abandonné au vu de tels résultats. Mais dans le cas des vaccins anti-Covid, on a continué et on continue toujours d’administrer la mort à des milliards d’êtres humains.

Sans compter que, selon les estimations, à peine 8% de ces effets secondaires redoutables constatés chez les personnes vaccinées seraient déclarés. Par incertitude ou par ignorance des médecins, par incrédulité, parfois par corruption. Et surtout par peur d’être montrés du doigt, de se voir désigné comme un « complotiste« , et pour certains d’être radiés par le Conseil de l’Ordre.

Quels sont ces effets néfastes des « vaccins » ?

L’hyper prolifération anarchique de protéines de pointe baptisées Spike dans l’organisme se traduit rapidement chez beaucoup de personnes injectées par des phénomènes inflammatoires, qui surviennent quelques heures à quelques semaines après l’injection. Et qui peuvent affecter tous les organes, du cerveau aux testicules en passant par le cœur, le foie, les reins, la rate, le pancréas, les intestins, la peau, les yeux, les os…, produisant des effets catastrophiques.

Thromboses, cancers foudroyants, embolies pulmonaires, néphrites, hépatites, pancréatites, troubles circulatoires, cardiaques, neurologiques, cérébraux, ophtalmiques, œdèmes, retards de règles, stérilités définitives chez les jeunes femmes et les jeunes hommes… Sans compter les innombrables morts subites qui affectent des présentateurs télé en direct sur leur plateau, des sportifs de haut niveau foudroyés en plein match, des militaires et policiers durant leur service. Des phénomènes liés à l’effort physique intense, cause de crises cardiaques ou d’AVC. Tous survenant chez des sujets jeunes, en parfaite santé, sans aucun antécédent.

Le 13 mai une partie du monde regardera ailleurs, ou tentera de ridiculiser cette initiative courageuse en la présentant comme « des délires de complotistes ».

Une autre partie du monde ouvrira les yeux et commencera à admettre que les premiers avaient raison. Ils rendront hommage aux victimes décédées à cause de cette politique du Mensonge institutionnalisé et du sacrifice d’une part de l’humanité sur l’autel du dieu Mammon et de ses grands prêtres psychopathes prêts à tout pour obtenir plus de pouvoir.

La vérité mettra encore du temps à gagner toutes les consciences. D’autant qu’entre temps, nos bourreaux nous ont déjà concocté d’autres réjouissances comme autant de « chocs » pour nous asservir : guerre Otano-russe en Ukraine et menace de 3e guerre mondiale, crise énergétique et hyperinflation (prévues par Klaus Schwab dans son livre), crise climatique et autres catastrophes « naturelles », Intelligence artificielle menaçant de prendre le contrôle de l’humanité…

Il ne faut pas nous laisser impressionner par ces mises en scène. Mais rester inflexibles quand il s’agit de défendre l’identité et la dignité humaine violées par les expériences transhumanistes, les libertés et droits individuels saccagés par la dystopie sécuritaire qu’on nous impose « pour notre bien », l’irruption de sentinelles numériques au cœur de nos vies, dans nos corps, nos cellules, nos cerveaux, nos pensées, nos choix personnelles pour éradiquer non pas des virus menaçants, mais notre esprit critique et libre-arbitre.

La seule issue à ce cauchemar réside dans l’élévation et l’unification des consciences au plan mondial. L’exposition des crimes contre l’humanité perpétrés par une poignée de fanatiques depuis 3 ans doit nous inciter non pas à leur faire rendre gorge dans le but de nous venger, mais à poser les garde-fous nécessaires pour qu’une telle horreur ne puisse jamais se reproduire. Et qu’une écrasante majorité d’humains choisissent en conscience de s’engager ensemble dans une autre voie, qu’elle choisisse d’épouser un autre futur.

Alors seulement, quand nous seront sortis des ténèbres, les choses commenceront.


[i] Klaus Schwab & Thierry Malleret : Covid-19, The Great Reset (Forum économique mondial, 2020)

[ii] Décret n° 2020-360 du 28 mars 2020 complétant le décret n° 2020-293 du 23 mars 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire. Ce décret signé Edouard Philippe demandait explicitement aux médecins d’EHPAD de prescrire du Rivotril, un sédatif létal à fortes doses, au titre de « soins palliatifs » aux personnes âges suspectées de Covid et présentant des symptômes d’infection respiratoire.

[iii] Sauf dans de très rares cas ultra médiatisés pour des personnes très âgées ou très malades

[iv] https://www.youtube.com/watch?v=DtkfWaCzsas

[v] Jacques Attali milite depuis 1979 dans ses livres et conférences en faveur de l’euthanasie des vieux qui plombent l’économie française. Ce qu’a par ailleurs confirmé de Christine Deviers-Joncourt dans un livre de témoignage publié récemment où elle évoque des déclarations explicites sur ce sujet au cours de dîners au domicile de Jacques Attali. Cette politique eugéniste défendue par beaucoup d’oligarques dits « progressistes » a d’ailleurs été évoquée quasiment mot pou mot par la très macroniste députée Renaissance Amélie de Montchalin, dans un tweet qu’elle a publié le 23 avril 2023 et qui a fait scandale.

[vi] Cf. le scandale du Lancet en 2021suite à une fausse étude bâclée publié dans la prestigieuse revue afin de discréditer les traitements à base d’hydroxychloroquine et d’azithromycine

« ADDICTIONS » : Infos et intox

Mis en avant

Il faudrait vraiment que cesse un jour cette propagande honteuse des médias, qui tous les 10 ans ressortent les mêmes imbécilités pour abuser le gogo, et surtout faire diversion sur les vrais problèmes.

Quelques redressements de perspective à propos ce nième battage médiatique sur les « drogues ».

La première des addictions, en France comme ailleurs, et de très loin, une addiction reconnue comme redoutable par les addictologues mais dont on ne parle jamais et pour cause, est l’addiction au SUCRE (saccharose). Oui, le sucre !

Qui le sait ? Le sucre raffiné industriellement est une drogue dure. Introduit en Europe au 16e siècle avec d’autres aliments rapportés du Nouveau monde, le sucre procure un effet euphorisant, puis rapidement dépressogène. C’est une drogue d’autant plus désastreuse pour la santé qu’il y en a partout, notamment dans toutes les boissons pour enfants et aliments transformés. Un « aliment » totalement inutile (les besoins en glucides sont couverts par les sucres lents, et il existe pléthore d’autres sucres rapides moins toxiques pour l’organisme).

Une drogue légale, encouragée dès l’âge du biberon par des Etats corrompus par le lobby sucrier. Ses ravages sur notre santé sont innombrables : diabète, obésité, cancers, maladies cardiovasculaires, maladies inflammatoires, vieillissement accéléré des cellules, dégâts irréversibles sur le cerveau, etc…

La seconde addiction la plus répandue est celle à la CAFÉINE, responsable notamment de bon nombre de problèmes cardiaques et vasculaires.

N’oublions pas les méfaits du TABAC, toujours d’actualité notamment chez les jeunes, même si sa consommation régresse. Ou plutôt la cigarette, dont le tabac (et cette fameuse nicotine, neuromédiateur utile à l’organisme, présente dans les tomates et produite naturellement dans le cerveau…) n’est que l’un des 5.000 composants ! Drogue dure hyper toxique et addictive, concoctée par des lobbies industriels criminels maintes fois condamnés. Drogue en vente libre et véritable manne pour l’État-dealer.

La 4e addiction et non des moindres, dont la France est championne du monde en termes de consommation par habitants, est l’addiction aux psychotropes légaux vendus en pharmacie. Ces fameux neuroleptiques effroyables dealés par Big Pharma, prescrits par votre médecin quand vous avez bobo à l’âme, et remboursés par la Sécu.

Responsables chaque année d’un nombre élevé d’intoxications médicamenteuses, accidentelles ou volontaires. Mais aussi de nombreux suicides, l’un des principaux « effets secondaires » des benzodiazépines, comme le Xanax ou le Lexomil. Cette classe de médicaments aurait dû être interdite en France il y a quelques années, mais le lobby pharma a le bras long… Les anxiolytiques et certains « antidépresseurs », inutiles et contra-efficaces pour la plupart, sont aussi responsables de dépressions durables et sévères, en cas d’usage prolongé et addictif.

Seul intérêt à continuer à prescrire ces merdes : vous transformer en moutons dociles, sans recourir à la chirurgie du cerveau ou aux électrochocs (vous vous rappelez de « Vol au-dessus d’un nid de coucous » ?…)

Quant à ces « drogues » à scandale dont la presse caniveau se repait aujourd’hui, elles représentent un pourcentage d’addictions négligeables comparées aux fléaux évoqués. Même les plus dévastatrices, comme l’héroïne, la cocaïne et ses dérivés comme le crack, les nouvelles drogues de synthèse utilisées pour le chemsex comme le GHB. A noter que le plus grand dealer de la planète, qui contrôle et sécurise notamment le trafic de l’opium et de la cocaïne depuis 50 ans et plus en négociant avec les narcotrafiquants locaux, n’est autre que… l’US Army !

Quant aux addictions sévères provoquées par ces drogues dures théoriquement illégales mais qui rapportent un max aux institutions corrompues, elles sont aujourd’hui très faciles à soigner, de façon rapide et définitive, en ayant recours à des thérapies nouvelles adaptées.

Ces thérapies reposent sur l’utilisation en milieu clinique ou psychothérapeutique de substances psychédéliques ou « chamaniques », expérimentées dès les années 1950 par la CIA et l’US Army, puis réprimées et diabolisées à partir des années 1960 (après la vague « hippy »), et assimilées frauduleusement dans l’opinion publique à des « drogues dures ». Elles sont encore consommées dans certains milieu festifs comme des drogues récréatives pour les effets puissamment psychoactifs (ecstasy notamment depuis les années 1980).

L’addiction physiologique à ces substances est nulle. Si elles sont bien utilisées, leur toxicité et leurs effets secondaires sont en général inexistants.

La plupart de ces substances sont des drogues « spirituelles », dont l’Occident hyper rationaliste a malheureusement perdu le sens depuis le triomphe de la médecine allopathique et de Big Pharma, sous l’impulsion des Rockefeller dans les années 1920. La DMT, une molécule produite par la glande pinéale à doses massives au moment de la naissance et de la mort, est qualifiée par les neurobiologistes de « molécule de l’esprit » à cause de ses lines avec le monde spirituel.

L’ayahuesca (mélange de plantes utilisées de façon rituelle dans la médecine amazonienne), le peyotl (cactus mexicain), la kétamine, le LSD (découvert par le chimiste Alfred Hoffman il y a un siècle), la DMT, le MDMA (ecstasy), la psilocybine (champignons hallucinogènes) : toutes ces substances servent de support pour induire des états de conscience modifiés lors de thérapies psychédéliques. Toutes les études actuelles le prouvent : ces thérapies sont non seulement spectaculairement efficaces, elles sont aussi non toxiques et très peu coûteuses (c’est bien là que la bât blesse…)

Depuis 15 ans, elles connaissent un succès grandissant dans les milieux scientifiques aux Etats-Unis, au Canada au Royaume-Uni, en Belgique, en Hollande, en Suisse, pour soigner en seulement une ou deux séances des dépressions sévères, des addictions récalcitrantes, des chocs post-traumatiques ou des troubles névrotiques divers. Mais pas en France, où la psychiatrie a au moins 50 ans de retard, et où l’on continue de prescrire des camisoles chimiques aux effets dévastateurs pour engraisser le lobby pharmaceutique.

Mais la drogue la plus répandue, la plus redoutable, celle que vous consommez chaque jour, qui vous rend totalement accros et vous fait prendre des hallucinations programmées pour la réalité, c’est sans aucun conteste la TÉLÉ ! Plus tous ces écrans et divertissement abêtissants : Netflix, jeux vidéo, etc… Auxquels il faut ajouter la radio, la presse écrite, sur internet, etc…

On a beau le dire et le répéter…

Alors inutile de vous exciter sur la sniffette de quelques peoples dépravés, ou la fumette de vos ados déboussolés par ce monde horrible que vous leur avez laissé…

« Vacciner », pour quoi faire ?…

Mis en avant

La vaccination des enfants de moins de 6 ans sera effective en France d’ici la fin de l’année

Alors que des voix s’élèvent en France pour inciter à reprendre la vaccination contre une chimérique « 7e vague » annoncée par quelques experts champions du pronostic il y a déjà quatre mois, alors que la perspective d’une vaccination obligatoire voulue par l’OMS et par l’UE se profile d’ici la fin de l’année, alors que la vaccination des tout petits paraît déjà acquise bien qu’elle suscite l’épouvante chez les immunologues et les pédiatres, alors que cette stratégie vaccinale qu’on nous avait frauduleusement vendue comme la seule possible pour venir à bout du Covid s’avère un échec cuisant, sinon le plus grand crime de toute l’Histoire de l’humanité, il est plus que jamais urgent de s’interroger sur ce qui peut bien motiver les fanatiques qui nous gouvernent et ceux qui les manipulent à vouloir à tout prix vacciner 7,8 milliards d’êtres humains, femmes enceintes, bébés et jeunes en parfaite santé compris.

Un an et demi de campagnes de vaccination massive à l’échelle mondiale, des milliards de doses injectées, cela constitue une certaine masse de données pour évaluer les résultats et décrypter les vrais enjeux.

Surtout si l’on tient compte de l’accumulation de statistiques concernant les incidents et les décès directement liés aux vaccins, répertoriés par les agences de pharmacovigilance. Mais aussi du retour des médecins, des témoignages des plus grands experts internationaux, et de ceux des victimes. Et ce malgré l’omerta entretenue par des gouvernements corrompus.

Un an et demi et plus, si l’on tient compte de l’origine à peu près certaine du virus, et du vaccin originel. Laquelle pointe vers la France et les Etats-Unis pour l’ingénierie génétique, la fabrication du virus SARS-Cov-2 à partir d’une souche animale et de 156 insertions génétiques dont 4 du VIH et 2 de la malaria. Vers l’Institut Pasteur pour les brevets initiaux (sachant qu’il faut 15 à 20 ans de R&D pour produire un vaccin…) Vers le laboratoire P4 (français) de Wuhan pour la dissémination accidentelle du virus à l’été 2019. Vers la Fondation Bill & Melinda Gates pour le financement (partiel), la stratégie vaccinale, la corruption des institutions de santé, des Etats impliqués et des médias occidentaux. Vers les multinationales les plus corrompues du secteur pharma, à commencer par Pfizer, pour la mise en œuvre. Et vers des machins mondialistes comme le Forum Economique Mondial de Klaus Schwab pour le pilotage global du Great Reset, dont cette plandémie est un élément-clé.

F.E.M. dont à peu près tous les leaders politiques, dirigeants d’organisations et de firmes impliqués dans ce scenario sont une émanation : Bill Gates, Tadros Ghebreyesus (directeur général de l’OMS), Joe Biden, Angela Merkel, Ursula van der Leyen, Emmanuel Macron (et ses sous-fifres comme Edouard Philippe ou Gabriel Attal), Justin Trudeau, Jacinda Ardern (Première ministre de la Nouvelle Zélande, l’une des plus terribles dictatures sanitaires après la Chine).

Ce qui est depuis longtemps certain, c’est que ces injections expérimentales, qui ne répondent à aucun des critères permettant de définir scientifiquement un vaccin, n’ont jamais été conçues dans le but de soigner ni de protéger d’une quelconque épidémie.

Tout au plus, le modèle des vaccins ARNm repose sur un pari scientifique qui fonde une stratégie thérapeutique nouvelle, selon une conception transhumaniste du corps humain et de la santé.

Il répond surtout à un business-model extrêmement juteux. Puisque son principe est de détruire l’immunité naturelle, individuelle et collective, pour la remplacer par une immunité artificielle. Autrement dit, détruire les mécanismes naturels de l’immunité humaine qui vise à produire une réponse non-spécifique mais rapide, efficace et durable face à une attaque de l’organisme, par une immunité artificielle, fondée sur une réponse théoriquement « spécifique » à chaque agent pathogène, propre à protéger contre une attaque par ce même agent infectieux. Sauf que cette méthode s’avère peu voire pas du tout efficace, sinon-contre-productive. Et surtout que la protection hypothétique qu’elle engendre reste très éphémère contre un virus par nature très mutagène. Il faut donc renouveler les injections tous les 3 mois, voire tous les mois, dès qu’apparaît un nouveau variant. Entre temps le système immunitaire s’autodétruit de façon irréversible.

Cette destruction rapide et définitive du système immunitaire, notamment à partir de la 3e injection, a été confirmée par de nombreuses études conduites par des laboratoires de recherche indépendants. Les Professeurs Montagnier et Perronne s’en sont notamment fait l’écho.

Quant à l’efficacité théorique de ces injections pour protéger d’une infection, empêcher la contamination, protéger de la maladie, des formes graves, du décès, celle-ci est reconnue aujourd’hui comme nulle.

Au contraire, comme le démontre une étude réalisée en Israël, l’un des pays qui a le plus vacciné, les primo- et triples vaccinés sont 27 fois plus contaminés que les non-vaccinés.

Pire, ces injections sont un facteur de risque et de fragilisation supplémentaire de l’organisme pour les vaccinés. Et un danger pour les non-vaccinés exposés aux personnes vaccinées, transformées en super-propagateurs de protéines Spike, et donc en agents infectants.

Alors pourquoi une telle obstination à vouloir vacciner tout le monde, jamais vue dans l’Histoire de la médecine et de l’humanité ?

La première raison est économique et financière.

Le marché du Covid se chiffre en milliers de milliards de dollars. Autant que le marché des armes. 157 milliards rien que pour les vaccins, selon une estimation publiée par le magazine Les Echo. Une hypothèse pourtant basse mais qu’on ne peut pas soupçonner d’exagération.

Or le marché des vaccins est de loin l’un des plus profitables du secteur pharma, lui-même l’un des plus rentables de toute l’industrie. Pas étonnant qu’il attire des investisseurs plus préoccupés par les tableaux de bord financiers que par l’éthique scientifique, médicale, pharmaceutique ou commerciale de leurs cash-machines. Ou par l’éthique en général dont ils se contrefichent, en champions toutes catégories de la corruption et des condamnations par la Justice pour crimes. Comme le souligne Michael Yeadon, ex-directeur scientifique et ex-directeur général du groupe Pfizer passé dans la « Résistance » après le scandale du Covid, ces inconvénients ne constituent tout au plus qu’une ligne de quelques centaines de millions de dollars de budget dans un compte d’exploitation consolidé…

Aux vaccins eux-mêmes, il faut ajouter les tests, le matériel de stérilisation et de protection (gels, masques, visières, blouses, stérilisateurs…), la signalétique et le matériel lié aux protocoles de distanciation sociale, et le marché en pleine explosion de la sécurité, de la surveillance et des datas numériques.

Tous aussi inutiles qu’inefficaces pour empêcher la progression d’une épidémie virale.  Mais essentiels dans la stratégie d’ingénierie sociale, de conditionnement et de contrôle des populations.

Un marché qui connaîtra une progression sans limite, tant que les populations se plieront aux injonctions sanitaires et jouerons sans broncher le jeu du toujours plus de sécurité pour toujours moins de libertés. Et que le progrès technologique permettra de renforcer l’étendue et la sophistication des outils utilisés pour normaliser et surveiller l’ensemble de la société.

Et encore, ceci n’est rien en comparaison des bénéfices stratégiques et financiers attendus à court et moyen terme pour les grands acteurs de l’économie mondiale, comme les GAFAM, certains leaders qui bénéficient de la recomposition de leur secteur dans le sens d’une plus grande concentration et de rachats massifs d’entreprises en faillite : hôtellerie et restauration, éditeurs et diffuseurs de contenus, culture et loisirs de masse, activités uberisées, etc. Et bien sûr aux actionnaires des banques et fonds d’investissement qui détiennent des parts majoritaires de Big Pharma.

La seconde raison est d’ordre politique et idéologique.

Elle répond à une volonté de la part d’une oligarchie financière de mettre en place d’ici 2030 un nouveau système à l’échelle globale.

Le but : s’assurer le contrôle absolu à la fois de la monnaie, des flux financiers et des économies, des Etats appelés à disparaître au profit d’une gouvernance mondiale, et de tous les leviers décisionnels. Mais aussi des individus, appelés à devenir de simples rouages du Système. Avec un niveau de contrôle, de surveillance et de soumission jamais égalé dans l’Histoire et démultiplié par les nouvelles technologies.

Une telle volonté, comme l’oligarchie qui en est animée, n’est pas nouvelle. On peut la faire remonter au 18e siècle, et même au-delà. Avec l’émergence d’une élite à la fois aristocratique, politique, économique, bancaire et financière au sein de l’Empire britannique, puis de l’empire anglo-américain, et enfin du monde occidental1.

Une oligarchie prétendument éclairée, proche des idées progressistes et des cercles maçonniques, qui s’est peu à peu transformée en un club de super riches, autoreproduit par cooptation. Lesquels gravitent dans de nombreux cercles mondialistes, comme le groupe Bilderberg, la Commission Trilatérale, ou le Forum Economique Mondial.

Cette caste oligarchique occidentale, tête pensante du capitalisme mondialisé, se heurte aujourd’hui dans son projet hégémonique global à d’autres oligarques venus de Russie (d’où la guerre OTAN-Russie en Ukraine), de Chine, d’Inde, voire du monde islamiste non aligné sur les Etats-Unis.

Cette caste qui se pare de toutes les vertus est à l’origine de toutes les grandes institutions mondiales créées depuis le début du 20e siècle pour remplacer les grands empires et mettre fin aux guerres nationalistes qui ont ensanglanté la planète : Société Des Nations, Nations Unies, ou organiser le commerce mondial en déjouant les protectionnismes et en court-circuitant les États-nations selon les canons du libre-échange : Organisation Mondiale du Commerce, Banque des Règlements Internationaux, Fonds Monétaire International, Banque Mondiale, G7, G8, G20, Union Européenne…

Le projet mondialiste se conçoit donc comme la seule alternative possible à l’ambition hégémonique et belliciste des nations et la sanctuarisation du Marché, espace ouvert à toutes les formes de spéculations, garanti par un ensemble de règles et de normes qui ne souffrent aucune exception ni subordination, et conduit un un ordre planétaire néolibérale, ploutocratique et passablement totalitaire dans sa volonté de tout organiser et contrôler.

Il repose sur un modèle dont le concept fut élaboré au 18e siècle : celui du Nouvel Ordre Mondial. Mais il vise en réalité à substituer un pouvoir hégémonique, celui des superpuissances, par un autre, celui du pouvoir financier. Un pouvoir dont l’ambition est pour le moins tout sauf humaniste et pacifique, puisqu’il a toujours spéculé sur les troubles, les révolutions, les guerres, nationales ou mondiales, qu’il a en partie financés : depuis la Révolution française à la guerre contre Daesh et à la guerre en Ukraine, en passant par la Révolution soviétique, les Première et Seconde guerres mondiales, et tous les conflits engagés depuis la Guerre froide, ce sont toujours les mêmes banquiers qui ont plus ou moins discrètement jeté du feu sur les braises en finançant simultanément les belligérants opposés, et en générant ainsi des profits colossaux par la vente d’armements et l’effort de reconstruction des pays détruits.

Pourtant, ces institutions qui se substituent aux Etats-nations pour favoriser la paix et l’harmonie entre les peuples s’appuient toutes sur une rhétorique humaniste, universaliste, pacifique qui ne peut que susciter l’adhésion unanime. Elle promeuvent la vision d’un monde unifié, autour d’une certaine idée du Progrès, matériel, scientifique, éducatif, des bienfaits de la science rationaliste, un modèle de prospérité infinie et partagée, pour le bien des peuples.

Ce que les zélateurs de cette utopie mondialiste oublient cependant de dire, c’est que ce modèle, loin d’éradiquer la pauvreté, la maladie, l’ignorance, de réduire les inégalités, les accroît au contraire et les étend. En creusant les inégalités entre les plus riches et les plus pauvres, en concentrant les richesses entre les mains d’une micro-élite, en rendant l’accès aux ressources les plus essentielles comme l’eau et la nourriture plus difficile pour les populations les plus pauvres, en générant de nouvelles maladies et de nouveaux fléaux, à cause des campagnes humanitaires et sanitaires (contre la variole par exemple) des fondations « philanthropes » supposées les éradiquer, en polluant massivement l’eau, l’air, la haute atmosphère, les sols, les sous-sols, les océans, les rivières, les plantes, en perturbant les grands équilibres climatiques, le champ magnétique terrestre, en faisant disparaître des milliers d’espèces sauvages, des millions de kilomètres-carrés de forêts, en normalisant les modes de production, de consommation, d’échange, de gestion, les cultures, les savoirs, en générant un monde d’abrutis interconnectés qui savent tout sur rien et mesurent leur illusion d’être à leur capacité vaniteuse à consommer et babiller.

Cette oligarchie truste tous les réseaux de pouvoirs. Depuis une dizaine d’années, la concentration financière, ultime étape de la mondialisation, a permis de concentrer à peu près tout le patrimoine mondial dans les mains d’une poignée d’hyper-riches. Notamment grâce à la participation systématique et de plus en plus massive dans le capital de toutes les banques et multinationales de fonds d’investissement titanesques comme BlackRock et Vanguard. Fonds dont les véritables propriétaires restent anonymes, mais pointent vers la famille Rothschild.

Cette élite qui détient aujourd’hui toutes les richesses, contrôle toutes ressources, tous les pouvoirs, tous les Etats par le levier de la dette, se conçoit depuis deux siècles comme une « race » (sic) d’élus, d’êtres supérieurs. Auxquels Dieu aurait confié en raison de leur statut d’exception et de leur supériorité la mission de dominer et d’éduquer les autres. Notamment en régulant la répartition des rôles, des statuts, des richesses, des savoirs. Et en régulant la masse de la population mondiale, devenue aujourd’hui pléthorique et problématique pour la survie de l’espèce et de la planète.

Lors du pic épidémique de mars-juin 2020, on a vu ainsi vu se mettre en place des arbitrages passablement révoltants face à l’afflux de malades dans les hôpitaux. Alors que l’Assistance publique a refusé l’aide proposée par les cliniques privées pour désengorger les urgences des hôpitaux publics officiellement « saturés », l’Etat a exigé des médecins hospitaliers qu’ils effectuent un tri à l’accueil de leur service, de façon à n’admettre que les patients les plus jeunes, les plus valides, en bonne santé. Les vieux, les grands malades, les handicapés, les obèses, les immunodéprimés, même en situation de détresse respiratoire, furent renvoyés chez eux avec une prescription de Doliprane.

Parallèlement, les décrets Véran des 27 mars et 16 octobre 2020 enjoignirent les médecins d’EHPAD et de ville à prescrire du Rivotril en guise de soins palliatifs pour les personnes âgées présentant des symptômes infectieux, ou simplement suspectées de Covid. Une manière de faire le tri entre les bons éléments, utiles au système, et les inutiles.

Cette idéologie fonctionnaliste et utilitariste est essentielle pour comprendre cette nouvelle religion transhumaniste, dans laquelle communient tous les milliardaires oligarques. Comme Bill Gates, George Soros, Anthony Fauci, Mark Zuckerberg, Elon Musk ou Ray Kurzweil, leurs seconds couteaux Jacques Attali ou Laurent Alexandre, et tous les geeks de la Silicon Valley.

Selon cette philosophie qui a toute l’apparence d’une secte pour happy fews, un humain n’est pas un être libre, dépositaire d’une vie sacrée, reflet d’une conscience. C’est une machine biologique, dont l’esprit n’est que la manifestation apparente et temporaire produite par une chaîne de réactions biochimiques logées dans le cerveau.

Par conséquent si cette machine est défaillante, il faut la réparer. En lui adjoignant des prothèses (bras articulés, œil ou organes artificiels). En équipant son cerveau d’outils et de patches numériques pour doper ses performances. En modifiant ses gènes, comme on le fait déjà avec une plante transgénique ou un animal hybride.

Le but n’est pas tant le bonheur individuel que la capacité d’adaptation de l’espèce aux défis à venir : nouvelles épidémies, apocalypse industrielle, climatique, dépassement de l’intelligence humaine par les AI, rencontre avec des aliens…

Un humain n’est donc qu’un numéro, une marchandise, un objet interchangeable dont on peut disposer à loisir des organes comme de pièces détachées, remodeler le fonctionnement pour le perfectionner, ou s’en débarrasser s’il ne remplit plus les fonctions pour lequel il a été conçu.

La vaccination obligatoire de toute l’humanité est l’acte fondateur, presque un rituel initiatique, pour nous entraîner vers la nouvelle société transhumaniste. Et pour cela, nous déshumaniser. A partir de ce qui constitue, au plan biologique, le cœur de notre identité, individuelle et collective, en tant que personne reliée à un corps, une espèce : notre immunité. Le grand absent des discours sur cette pandémie.

C’est pour cette raison, et non simplement pour contrôler les individus de l’intérieur, que chaque dose de vaccin est munie d’une micropuce unique, de la taille d’1/10e de millimètre. Celle-ci ne s’active qu’une fois injectée, en la présence d’oxyde de graphène, un « adjuvant » très toxique ajouté au cocktail vaccinal, sensible à certains rayonnements électromagnétiques et qui une fois activé joue le rôle de batterie, alimentant la puce en énergie.

En présence des ondes 5G, l’oxygène de graphène développe en effet des propriétés électromagnétiques. Il devient décelable dans le corps de la personne injectée, qui réagit alors aux champs électromagnétiques. Des tests réalisés en milieu clinique ont permis de vérifier que le corps des personnes injectées émettait réellement un champ électromagnétique, mesurable avec des appareils de détection.

D’où ces fameux magnet tests diffusés par milliers par des internautes vaccinés sur YouTube, qui consistent à poser une pièce métallique sur la peau à l’endroit précis où l’injection a été réalisée. L’objet reste alors collé à la peau sous l’effet de l’attraction magnétique.

Une fois activée, la puce émet un code Bluetooth repérable à courte distance grâce à un balayage Bluetooth effectué à partir de n’importe quel smartphone. Faites le test dans la rue ou le métro à une heure de fréquentation, vous serez surpris. Le signal émis est suffisant pour être repéré et pouvoir échanger des informations via les objets connectés qui commencent à envahir notre quotidien. Et qui seront des centaines par individu en 2026.

L’un des objectifs de ces doses de rappel régulières auxquelles on veut nous forcer tous les 3 mois est de recharger chaque individu en oxyde de graphène, progressivement éliminé par le corps. Il faut donc entretenir l’illusion des « vagues » successives, en réalisant des vagues massives de tests PCR, positifs – donc faux à 98% (selon les fabricants).

C’est aussi une justification nécessaire pour prolonger ad libitum l’état d’urgence sanitaire (la dictature sanitaire « légale »).

Contrôle transhumaniste, société hyper matérialiste et hyper normative, surveillance omniprésente par des AI : voilà à quoi ressemble pour de vrai le monde d’après.

Mais ça n’est pas tout.

L’un des volets les plus essentiels de ces vaccinations de masse, et sans doute le plus difficile à admettre pour le commun des mortels, est l’eugénisme.

Les preuves indubitables d’une volonté délibérée d’éradiquer une partie de la population mondiale sont pourtant légion. A titre d’exemple, les déclarations parfaitement assumées et réitérées de Jacques Attali, de Bill Gates, d’Anthony Fauci ou d’autres oligarques, ne laissent aucune place au doute.

L’idée est la suivante, elle ne cesse d’être répétée depuis 15, 20 ans, ou plus : la croissance exponentielle de la population mondiale aurait atteint un seuil critique. Bientôt l’économie mondiale ne pourra plus absorber cette croissance. Il y a aura de plus en plus d’êtres humains sur terre, et de moins en moins de ressources à partager. Donc de plus en plus de famines, de tensions, de guerres, mais aussi de maladies. Une situation préoccupante qui met en péril la survie de l’humanité elle-même.

Tout ceci est parfaitement faux. Et invalidé par de nombreux pronostics d’experts, qui affirment au contraire qu’en produisant mieux, en répartissant les ressources de façon plus équitable, on peut largement nourrir toute l’humanité, jusqu’à ce qu’on soit capable de coloniser Mars (à l’horizon 2050), ou des exoplanètes (à l’horizon 2100). Certains affirment même que la terre est tout à fait capable de fournir une alimentation bio et de qualité à 9 milliards d’êtres humains, sans appauvrir les sols.

Mais selon les partisans d’un monde inégalitaire, il faut tailler dans le gras. Faire des choix draconiens. Pour le bien de l’humanité bien sûr. Et surtout de leur portefeuille, déjà obscènement garni. Non seulement il faut freiner la croissance démographique, mais aussi réduire la population actuelle, pour la ramener en-deçà d’un seuil acceptable.

Selon les commandements en 7 langues inscrits sur les Georgia Guidestones, un monument de granit érigé sur une colline dans une forêt dans l’Etat de Géorgie aux Etats-Unis, les générations futures devront veiller à conserver un équilibre harmonieux entre l’homme et la nature. Et pour cela, le premier de ces commandements est de « Maintenir la population mondiale en-dessous du seuil de 500 millions. »

Nul ne connaît l’identité du commanditaire de ce mystérieux monument. Mais Bill Gates, lors d’une conférence Ted Talks sur la population mondiale donnée aux Etats-Unis en 2010, n’a pas hésité à affirmer plus modestement :
 
« Si on fait vraiment un bon boulot avec les nouveaux vaccins, les soins médicaux, le contrôle de la procréation, on devrait pouvoir arriver à réduire la population mondiale de 15% en 10 ans ! »

Ambiance dans la salle…

Autre fervent partisan de l’eugénisme, Jacques Attali n’a jamais cessé de répéter depuis un livre qu’il a publié en 1980 qu’il faudra à l’avenir se débarrasser des vieux. Lesquels « ne produisent rien et constituent une charge pour la société. » Une solution efficace au problème du financement des retraites.

Plus proche de nous (et du Covid), dans une conférence sur le transhumanisme donnée le 16 janvier 2019 à l’Ecole Polytechnique, Laurent Alexandre affirmait très sérieusement : « Dans quelques années l’humanité sera divisée en deux catégories : les dieux – nous, vous peut-être… – et les inutiles : les Gilets jaunes, les chômeurs… »

La solution est donc toute tracée : supprimer la mauvaise graisse : les inutiles, les inadaptés, toutes ces bouches surnuméraires à nourrir qui encombrent les Restos du cœur, les rues, les prisons, les hôpitaux, les files d’attente de Pôle Emploi… Le vaccin est l’une parmi de nombreuses autres solutions eugéniques aux grands défis de l’humanité.  Un moyen propre, sans trace, sans tache, sans cri ni sang versé, radical, progressif, indolore, imperceptible.

D’autant que l’un des effets secondaires non négligeables de ces vaccins, tout comme ceux injectés à des centaines de milliers de femmes indiennes lors des campagnes de vaccination contre la variole réalisées par la Fondation Gates en Inde, et qui ont valu à cette fondation « humanitaire » d’être poursuivie par le gouvernement indien, c’est de stériliser tout bonnement une part importante des jeunes gens et des jeunes femmes vaccinés. Au passage les campagnes de vaccination de cette fondation sont aujourd’hui reconnues comme le premier vecteur du virus de la variole dans le monde, une maladie quasi éradiquée il y a 50 ans, quand le vaccin a été développé et généralisé…

Où sont mes règles ? Tel est le titre d’une campagne de sensibilisation lancée par des milliers de jeunes femmes, en France et dans le monde, qui se sont retrouvées avec un cycle menstruel définitivement arrêté après une ou plusieurs injections. Campagne évidemment passée sous silence par tous les médias subventionnés.

Comment expliquer que la FEMA ait pu depuis deux ou trois décennies créer en pleine nature, dans des zones très peu peuplées loin de toute activité, des camps constitués d’immenses hangars pouvant accueillir chacun des dizaines de milliers de personnes ? Et qu’elle y ait rassemblé des centaines de milliers de cercueils de plastique noir, acheminés par des camions de l’armée, puis empilés sans raison apparente à ciel ouvert ? A la question posée par quelques enquêteurs « complotistes » : A quoi servent ces hangars et ces cercueils ?, la réponse des autorités américaines fut laconique : « C’est en cas de guerre civile ou d’épidémie… »

A noter que l’eugénisme a toujours été, de tous temps et sous toutes les latitudes, une préoccupation constante, sous une forme ou une autre, chez les élites au pouvoir. Pour préserver ce pouvoir, les prérogatives et le sentiment de supériorité qu’il octroie sur la masse des dominés, considérés comme d’autant plus menaçants qu’ils sont nombreux. Quand il s’est attelé dans les années 1920 à la rédaction de Mein Kampf, Adolf Hitler n’a pas eu besoin de chercher bien loin pour puiser son inspiration : il a largement pompé dans les théories racistes et eugénistes américaines, chères à la vieille oligarchie conservatrice.

Fric, Pouvoir, Folie transhumanisme, Contrôle, Normalisation, Dépopulation : voilà les vrais objectifs des vaccins. Tellement incroyables que se réfugier derrière des anathèmes comme « fake news » ou « délire complotiste » est un réflexe de protection bien compréhensible.

Car la conscience ne peut admettre qu’un être humain ait une intention aussi hostile et aussi contraire à l’inclination naturelle à l’empathie et à la solidarité envers autrui.

Face à la gêne que produisent de telles révélations, beaucoup se contentent alors de demi-mesures. Ils minimisent, relativisent, font des concessions. Malheureusement, les gens très riches et très polis, très calmes, souriants et bien élevés, comme l’étaient souvent les officiers nazis (dont l’un des avatars actuels est Klaus Schwab), ne s’embarrassent pas de pudeurs ni de manières pour évoquer ces sujets délicats. Lesquels sont toujours, selon la rhétorique clean des managers efficaces et prévoyants, emballés dans des justifications rationnelles, utilitaires, progressistes. Tout comme l’était la Solution finale.

Il faudra encore plusieurs étapes de réveil à l’humanité avant qu’elle ne parvienne à prendre pleinement conscience que de telles abominations sont bel et bien réelles. Et que ce réveil ne produise un sursaut salutaire des consciences. Non pour se lancer dans un combat frontal perdu d’avance contre ses bourreaux. Lesquels s’effondreront d’eux-mêmes dès lors qu’une masse critique prendra conscience des mécanismes de son aliénation. La servitude volontaire n’a de réalité que dans la mesure où elle se fonde sur le consentement. Si le consentement s’effondre, la servitude disparaît aussitôt avec lui.

L’intoxication des esprits par cette culture mondialiste et pseudo humaniste, qui passe par les médias, la consommation, le simulacre politique, ne tient qu’à un fil. Rompre ce fil et tout s’écroule. La seule question qui vaille est : le voulons-nous vraiment ?

Qu’est-ce qui nous fait le plus peur ? L’aliénation consentie, ou la liberté ? Pilule bleue, ou pilule rouge ?…

Pour chacun d’entre nous comme pour nous tous, c’est précisément l’heure du choix.


1 Cf. Carroll Quigley : Histoire secrète de l’oligarchie anglo-américaine, 1981

Le Fusible

En quoi l’affaire Benalla est-elle un élément révélateur plus que dissimulateur des vices de la Macronie

Le très regretté Jean-Paul Belmondo, longtemps acteur préféré des Français, avait multiplié dans sa carrière les films d’action et d’humour où il incarnait tour à tour des personnages de truand, de policier, de héros, d’aventurier, aussi séducteurs que hâbleurs et cascadeurs. Des films souvent résumés à un surnom emblématique : Le Magnifique, Le Professionnel, l’Alpagueur, le Marginal, l’Animal, le Solitaire…

Alexandre Benalla, beau gosse ambitieux et discret mais simple figurant de la Macronie devenu malgré lui une vedette des médias, pourrait voir sa carrière résumée à un titre : Le Fusible.

On pourrait presque dire Le Vieux fusible, tant il a servi et resservi, si le héros en question n’était pas un tout jeune homme, presque un gamin un peu pataud avec des gros muscles et une grosse barbe, au moment des faits qui le rendirent célèbre.

Poursuivi dans l’affaire qui porte son nom pour des faits relativement anodins (comparés à d’autres commis par son mentor aux commandes de l’Etat), Alexandre Benalla est en effet devenu depuis quatre ans le fusible le plus utile de la Macronie, sans cesse ressorti pour faire diversion.

Limogé du service de sécurité de l’Elysée, lâché par un Emmanuel Macron qui le qualifiait pourtant d’ami, le jeune Benalla a fait office de bouc émissaire tout désigné dès le déclenchement de l’affaire à l’été 2018. Une façon habituelle de protéger le Président et son image de gagnant ternie par le scandale médiatique.

Chouchou du Président (certains ajoutent même qu’il était son mignon), enfant « issu de la diversité », symbole d’ambition, de réussite sociale et d’ascension fulgurante à l’image de son modèle, garde du corps personnel et confident (intime) du chef de l’Etat, le jeune homme aux dents longues n’a cependant jamais été défendu par son parrain, l’actuel locataire de l’Elysée. Lequel s’est toujours abstenu de commenter l’affaire et n’a pas hésiter à le lourder, contrairement à certains de ses ministres beaucoup plus corrompus ou incompétents notoires.

Quant à la Macronie, elle s’est empressée de se rassembler pour protéger le Président, et de jeter cet histrion encombrant aux loups voraces des médias et de l’opinion publique, trop contente qu’on lui jette un os à ronger pour se venger du Mozart de la finance imposé un an plus tôt comme Président du ni ni face à la Maléficia ricanante du Manoir de Montretout.

Les faits reprochés à l’impétrant, accusé d’avoir outrepassé ses fonctions de garde du corps présidentiel en malmenant quelques manifestants lors des manifestations du 1er mai 2018, puis d’avoir utilisé deux passeports diplomatiques lors de voyages après s’être fait viré de l’Elysée, ont été abondamment disséqués, commentés, exagérés, exploités, jetées en pâture à la plèbe friande de ce genre de scoops compromettants montés en « affaires ».

Objectivement sur le fond, pas de quoi fouetter un chat. Certes, tabasser un syndicaliste avec des méthodes du GIGN quand on n’est que garde du corps, c’est relou. Une impulsivité coupable qui fait plus gorille que bodyguard. Et surtout qui fait tache quand on est membre du staff très rapproché du nouveau petit prodige bien propret des médias, dont l’image est soigneusement calibrée par un aréopage de coaches en communication. Mais bon… Comparé aux morts, aux yeux crevés, aux mains arrachées volontairement par les gestapistes envoyés quelques mois plus tard pour massacrer les Gilets jaunes ou les infirmières, ce dérapage ressemble plus à une bourde qu’à une affaire d’Etat.

Quant aux passeports diplomatiques, l’Etat produit tellement de vrais-faux passeports pour ses agents, y compris des anciens caïds du Milieu reconvertis en barbouzes, que ça prête à rire.

Il faudrait plutôt y voir chez le jeune Benalla trop fier de sa réussite et des missions qu’on lui confie une sorte de blessure narcissique et de dépit d’un jeune-homme issu de l’immigration et d’un quartier sensible d’Evreux, d’un milieu plutôt modeste, fils d’un père marocain prof de lycée qu’il décrit comme violent, ayant entamé un master en sécurité publique, entré aux jeunesses socialistes, membre du service d’ordre de Martine Aubry puis chauffeur d’Arnaud Montebourg, initié à la Grande Loge Nationale de France en 2017 où il fut repéré par ses frères et propulsé dans la garde rapprochée du futur Jupiter. Et nommé à 26 ans directeur de la sécurité d’En Marche.

Un parcours hors normes pour un garçon électrisé par les sommets, fasciné par le maintien de l’ordre et qui a cru en son étoile. Séduit, cajolé puis trahi par un jeune produit de luxe coopté par l’élite pour occuper les plus hautes fonctions. Un homme plus ambitieux que lui, manipulateur, cynique et sans cœur.

Se servir de passeports diplomatiques qu’il aurait dû restituer après avoir usurpé les fonctions de policier est sans doute une façon de se donner l’illusion qu’il était encore le chouchou du Prince, une prima donna du sérail ayant accès au corps du Président (au moins pour le protéger), alors que la Cour lui crachait déjà au visage. Plus qu’une intention frauduleuse délibérée.

Quant aux « missions » diplomatiques occultes que lui aurait confiées l’Elysée, il faut plus y voir un fantasme de journaliste qu’une affaire sérieuse. Objectivement ça ne tient pas la route.

Alors pourquoi tant d’acharnement ? Ceux qui ont un peu de jugeotte et ont été témoin de cet enflammement médiatique mi-2018 autour de Benalla ont à l’époque hurlé de rire en entendant parler d’une nouvelle « affaire » pour une simple bavure d’un gros bras du Monarque sur la personne de deux ou trois syndicalistes un peu agités. Une bavure qui fait tache mais une bavure. Point barre.

Mais ça c’était avant une autre crise, d’une toute autre gravité celle-là, et qui allait faire beaucoup parler d’elle. Et puis une autre encore, qui mit un coup d’arrêt brutal à la première et allait tout balayer.

2018-2021 : on est passé du monde d’avant au monde d’après. L’affaire Cahuzac, une vulgaire histoire de gros sous impliquant un ministre socialiste et non des moindres oublieux de déclarer ses millions au fisc, c’est du passé. De la gnognotte. Aujourd’hui on est passé du Guignolo à Matrix, des petites magouilles entre amis à l’asservissement total de l’humanité par les artisans du Nouvel Ordre Mondial. Dont notre Macrounet en bon banquier de chez Rothschild est l’un des thuriféraires les plus empressés. O tempora, o mores…

A l’automne 2018, soit deux mois seulement après le début de l’affaire Benalla, le mouvement des Gilets jaunes n’était pas encore une « crise » mais un simple mouvement social. Sporadique, non structuré, et surtout non-violent. Emmené par quelques pauvres hères de la France d’en-bas, « des gens qui ne sont rien » selon l’expression éloquente du banquier-Président. La plupart étaient camionneurs ou conducteurs de véhicules professionnels, et arboraient donc des gilets de sécurité routière jaune fluorescent en guise de signe de ralliement pour se rassembler chaque samedi et manifester contre l’augmentation du prix des carburants due à la hausse de la taxe sur les produits énergétiques.

De simples manifs comme on avait vues tant sur des ronds-points. Mais qui allaient vite dégénérer en jacquerie d’un genre nouveau. Et entraîner dans leur sillage un mouvement national et populaire de contestation hargneuse anti-Macron, antisystème, anti-caste, anti-réforme des retraites. Une marée grossissante de braillards jaune canari déferla ainsi le jour des courses à l’appel du mouvement sur les grandes villes. Drainant son lot de sauvageons des banlieues, de casseurs et d’anars révolutionnaires, comme au temps des manifs étudiantes de 2005. Mais aussi des faux black blocs : ces policiers en civil infiltrés en marge des cortèges pour semer la pagaille et discréditer le mouvement. Les commerçants aux vitrines saccagées furent les premiers à s’indigner, suivis par une partie de la population inquiète et excédée.

La réponse du pouvoir jupitérien fut implacable : des consignes pour repousser et matraquer sans retenue les manifestants furent données au nouveau Préfet de Police Didier Lallement et à ses bataillons. Lallement le bien nommé : un sosie de Heinrich Himmler, chef de la Gestapo et ministre de l’intérieur du Reich, que les gazettes ne tardèrent pas à brocarder. Aussi méprisant de la populace que son modèle et que son mentor jupitérien. Loin de faire plier les manifestants, ces violences dénoncées par l’opinion et quelques politiques de l’opposition contribuèrent à fédérer et pérenniser un mouvement par ailleurs plutôt faible en revendications. Et à le durcir davantage.

On vit alors se multiplier de façon presque rituelle les cassages en série, les violences sur les Champs-Elysées, le saccage de l’Arc-de-Triomphe et d’autres monuments républicains, le chaos dans les rues, les flammes, la fumée grise des lacrymos qui étouffe et s’élève au-dessus des toits comme au-dessus d’une ville bombardée, les hommes et les femmes à terre, en sang, pleurant et gémissant, les blessés et mutilé par dizaines, et même les morts… Des répressions policières arbitraires et systématiques, aussi méthodique qu’inexorables. Une violence inouïe, inédite, et surtout scandaleusement disproportionnée. A l’image de ce pouvoir brutal, de ce Président déshonoré, impatient de dissuader les manifestants et de casser le mouvement pour poursuivre son agenda.

Parti de revendications catégorielles sur le prix des carburants, le mouvement de Gilets jaunes devint en quelques mois le symbole d’une opposition massive à tout ce que Macron et son régime représentent toujours aujourd’hui. Et que le peuple dans une écrasante majorité occultée par des sondages falsifiés rejette viscéralement, dans un sursaut commun pour survivre face au laminoir de la mondialisation, de la normalisation En Marche, du Nouvel Ordre Mondial et du Covid.

Conscient des enjeux et sans doute mal conseillé, le banquier-Président en mission pour la Caste mondialiste prit l’initiative de convoquer des Etats généraux de la Plèbe, sous forme d’un grand débat national aussi futile que burlesque. Sentant son pouvoir vaciller et ne tenant plus que par sa Police, il fit mine de privilégier la négociation au rapport de forces avec la rue qui réclamait sa destitution et accrochait son portrait sur des piques comme au temps des ci-devant et de la guillotine : une première pour un Président de la Ve. Macron crut qu’il suffisait de dresser des cahiers de doléances dans toutes les mairies de France pour engager le dialogue et convoquer la France en guenilles à un brain-storming civilisé afin de mettre un baume sur ses malheurs. Symptomatique d’un énarque hors-sol. Il se déplaça même dans l’Hexagone pour écouter ses sujets, tel un monarque en campagne visitant ses provinces. Et cru que le bon peuple allait l’applaudir. Avant de finalement lâcher quelques belles paroles à son habitude, puis quelques milliards pour calmer les gueux. Espérant ainsi les corrompre et les faire rentrer sagement dans leurs gourbis.

Echec retentissant. Malgré les tentatives de récupération de l’extrême droite et de l’extrême gauche, la division de l’opinion entretenue par le pouvoir entre ceux qui condamnent les violences et ceux qui soutiennent les manifestants, les tentatives de corruption des figures du mouvement, et les 17 milliards balancés sur la plèbe, le mouvement ne s’est jamais tari. Reprenant même du souffle avec la très impopulaire réforme des retraites engagée en 2019. La goutte qui fit déborder le vase.

Le Covid, le confinement et les lois liberticides portèrent d’abord un coup d’arrêt net au mouvement des Gilets jaunes. Mais ils donnèrent a posteriori raison aux Gilets jaunes quant à la nature tyrannique du régime. A peine déconfiné, le mouvement se fondit plus ou moins dans une vague de contestations bien plus ample et plus profonde, creusée dans l’opinion par les humiliations subies durant les confinements. Une lame de fond lente à démarrer mais inexorable contre la nouvelle dictature sanitaire d’un Président autocrate flanqué des pleins pouvoirs et entêté dans une politique de plus en plus tyrannique.

Malgré l’interdiction initiale des rassemblements publics et des manifestations « pour raisons sanitaires », cette nouvelle fronde se personnalisa davantage contre ce Président haï, la dérive dictatoriale de son régime incarnée par des violences policières toujours plus dures et injustes, des mesures sanitaires absurdes et inefficaces, un contrôle médical, numérique et policier des populations symbolisé par la vaccination obligatoire et le pass sanitaire imposés à tous ; ce qu’aucun pays au monde n’avait fait.

La planète s’était émue en décembre 2018 de ces violences policières, face aux images de Paris en guerre et d’une France sombrant dans le chaos. A propos de ces violences inédites puis de la censure mise en place après le Covid, des ONG comme Amnesty International ou Human Rights Watch ont même comparé les méthodes du régime de Macron avec celle des pires dictatures comme la Corée du Nord, reléguant la France loin derrière dans le classement des « démocraties » qui respectent le mieux les droits de l’homme et la liberté de la presse.

Pourtant, en 2019 le monde tout entier entra en ébullition : des mouvements de contestation violents et de revendications antigouvernementales, antisystèmes, anti-corruption, contre l’augmentation du coût de la vie et les violences policières, éclatèrent de Hong Kong à Santiago, de Beyrouth à Barcelone… Jusqu’à ce qu’un petit virus de pangolin renvoie tous ces excités à la maison.

L’affaire Benalla fut juste une vilaine tache sur le costume ; la crise des Gilets jaunes fut la première vraie grosse crise du régime Macron, qui fit même basculer certains fanatiques de la première heure dans le camp des antimacronistes résolus à le dégager par tous les moyens : démission, destitution au tite de l’article 68 de la Constitution, déposition par l’armée, révolution ou pire…, tous les scénarios furent tour à tour évoqués, au nom de la République, de la démocratie et du peuple bafoués.

Une crise qui rompit le pacte, fût-il fictif et mensonger, établi entre le nouveau joujou des médias et le peuple français. Un peuple éreinté par les crises, désabusé par les promesses, les tromperies, les affaires de corruption qui décrédibilisent tout le staff politique. Une crise qui révéla l’absence totale d’éthique républicaine chez ce Président-banquier propulsé par une oligarchie d’affaires plus soucieuse de ses intérêts que du peuple qu’elle exploite. Une crise révélatrice de la peur qu’inspire clairement le peuple incontrôlable et irascible à ces élites et à leur hochet. Une crise qui trahit le Pacte républicain fondé sur des idéaux de Liberté, de Fraternité et de Justice sociale. Une crise qui révèle le mépris du peuple et le cynisme d’une marionnette programmée pour dérouler un agenda liberticide, populicide et antidémocratique : celui de cette caste financière, ultralibérale et mondialiste qui a « fabriqué Macron« , comme s’en est vanté Jacques Attali.

Alors, Benalla, fusible de la Macronie ? Ou simple croupion déchu du pouvoir jeté dans l’arène pour occuper la plèbe ?

Cela paraît presque une évidence après quatre ans de crise sociale et politique, de saccage méthodique du service public, de notre système de protection sociale, de violences policières extrêmes et inédites depuis la Milice et l’Occupation. Et à sept mois des élections présidentielles, à propos desquelles le Président sortant le plus haï et le plus illégitime de toute l’Histoire républicaine, soutenu par seulement 5% de l’électorat (aux dernières élections régionales), semble osciller entre une apparente impatience à battre à nouveau campagne (sans doute pour échapper aux innombrables plaintes pour « crimes contre l’humanité » commis durant la crise du Covid), et la résignation. Avec des déclarations sibyllines saupoudrées ici ou là :

« Peut-être que je ne serai pas candidat… Peut-être que je ne pourrai pas me représenter, parce que je devrai prendre des décisions très dures dans les derniers mois de mon mandat… » (décembre 2020 et juin 2021).

Jamais un Président de la République française n’avait été élu de façon aussi frauduleuse et illégitime, au terme d’élections manipulées, émaillées de fraudes avérées (mais jamais commentées dans les médias officiels), pilotées par des médias aux mains de milliardaires unanimes à soutenir sa candidature. Quitte à détruire méthodiquement la respectabilité de ses concurrents. Comme lors de cette affaire Fillon montée de toutes pièces deux mois avant le premier tour de 2017 pour torpiller le favori des sondages et ouvrir un boulevard au nouveau prodige.

Jamais un Président ne s’était aussi peu soucié d’une France qu’il ignore, lui préférant l’échiquier bankable de ses mentors mondialistes, de sa souveraineté qu’il bafoue plus que ne l’ont fait tous ses prédécesseurs, de sa culture dont il nie l’existence, de son peuple qu’il méprise, pourchasse et matraque via ses milices privées, nouveau rempart de La Dictature En Marche : honnêtes citoyens, mères de famille, retraités, syndicalistes, avocats, infirmières et médecins confondus.

Jamais une marionnette de l’oligarchie financière et du groupe Bilderberg (à la réunion duquel il fut invité à participer en 2014), par ailleurs toujours directeur associé de la Banque Rothschild, inconnu du grand public quatre ans auparavant, sans aucune expérience de la politique, parachuté comme conseiller spécial à la tête de l’État par des conseillers opaques, n’avait gravi aussi vite les échelons du pouvoir. Jusqu’à se faire élire deux ans plus tard après un court passage à Bercy contre un épouvantail de circonstance incapable de débattre la veille du scrutin, pour cause d’alcoolémie et de vulgarité patentes.

Jamais un programme de destruction massive formaté par les grandes écoles, looké comme un premier de la classe et bardé de spécialistes du marketing politique, arrogant et crâneur, n’avait en si peu de temps détruit tout ce qui faisait naguère la France : son Etat de droit résumé à une dictature qui n’ose s’avouer, son modèle de République une et indivisible laminée par le multilatéralisme, le communautarisme et l’islamisme, instruments chouchoutés par les progressistes pour détruire les états-nations et imposer leur Nouvel Ordre Mondial. En dépit de l’attentat de la Préfecture, de la décapitation d’un professeur de lycée par un islamiste tchétchène sans papiers, et autres attentats « isolés », des profanations de lieux de culte chrétiens, des provocations et agressions islamistes, d’un débat concédé à une opinion excédée par tant d’inaction et de duplicité, et finalement d’une loi bidon sur le « séparatisme » qui n’ose même pas dire son vrai nom (l’Islam radical), le CCIF et les Frères musulmans ont continué comme par le passé d’être été cajolés et encouragés par les élites au pouvoir. Pour ne pas froisser l’électorat musulman, mais aussi par calcul stratégique inavouable à plus long terme. Une constante des gouvernements successifs, aveugles ou duplices depuis Sarkozy, qui avait fait rentrer les Frères musulmans au CFCM contre l’avis de son parti.

Macron s’est même abaissé à s’exhiber de façon obscène, dégradant la fonction présidentielle, en compagnie de militants islamistes portés aux nues par les médias « progressistes » gangrenés par la culture woke. Certain appelé « mon frère » par le Président comme Yassine Belattar, pseudo humoriste et sous-marin des Frères musulmans. Ou Ladj Ly, réalisateur des Misérables, un navet césarisé sur la misère des cités et les idiotes voilées, qui aurait « bouleversé » Macron. Il est vrai que le Président le plus sensible de la Ve République a aussi quelques faiblesses assumées pour les Blacks et Beurs, jeunes délinquants de préférence…

Sur le volet social et économique, Macron s’est employé à détruire méthodiquement ce qu’il restait du système public de protection sociale, des services publics, à démanteler au profit de concurrents étrangers les entreprises françaises stratégiques, y compris des firmes ultra rentables comme Aéroports de Paris : assurance retraite, chômage, maladie, SNCF, EDF, Police nationale (en partie remplacée par des milices privées), et même l’Armée si on le laisse faire : tout doit disparaître, soldé au privé !

La casse et « LE » casse du siècle, commandité par une oligarchie prédatrice représentée notamment par des fonds d’investissement comme BlackRock (invité à siéger au Conseil des ministres sur la réforme des retraites). Avec en prime le plus grand nombre de conflits d’intérêts de tous les gouvernements de la Ve République entre les ministres des gouvernements Philippe et Castex et certains lobbies privés.

Une marche forcée vers la normalisation ultralibérale engagée au détriment des Français, dans l’intérêt exclusif du secteur privé, d’une poignée de multimilliardaires amis et mécènes du Président, des grandes priorités de son programme ultralibéral, de son parti composé de clampins trentenaires inexpérimentés et aux ordres. Une marche conduite avec un mépris assumé du peuple. Sur fond de répressions, de muselage de l’opinion et de violences policières jamais vues en France depuis l’Occupation, même durant la guerre d’Algérie.

L’apothéose aura été atteinte avec la « crise sanitaire » du Covid. Une opération de grande envergure imaginée, planifiée, mise au point, simulée (deux mois avant le début de l’épidémie lors d’un exercice de simulation baptisé Event 201 et organisé par plusieurs fondations privées), puis mise en œuvre comme une campagne militaire par les plus grandes institutions mondiales (OMS, ONU, Forum Économique Mondial…), avec le concours de fondations privées (Rockefeller, Rothschild, Bill & Melinda Gates, Gavi, John Hopkins…) Un scénario minutieux répondant à une stratégie du basculement visant à instrumentaliser les chocs, les épidémies et le chaos qu’elles engendrent, afin de mettre en place un système de contrôle intégral des populations au niveau mondial : création d’un nouveau système financier mondial en remplacement de l’ancien, exsangue, instauration d’une monnaie unique numérique mondiale, établissement d’un système de surveillance numérique omniprésente et décentralisée, généralisation du crédit social à la chinoise pour tous les humains, restriction de toutes les libertés… Et bien sûr instauration d’une gouvernance mondiale entièrement contrôlée par les oligarques : un concept très ancien qui remonte au 18e siècle, une nécessité obsessionnelle selon les maîtres du monde dont Macron est le pantin.

Le scénario de ce basculement appelé Great Reset, qui instrumentalise la cause de l’écologie et du développement durable, mais les préoccupations sanitaires et sécuritaires grâce à des pandémies contrôlées utilisées comme leviers de changement, est désormais bien connu, au moins des esprits lucides. S’agissant des sombres objectifs que cache la crise sanitaire du Covid, les étapes du scénario de transition vers le nouveau paradigme, une nouvelle forme de dystopie totalitaire, de dictature sanitaire, policière, technosécuritaire, numérique, mondialiste, transhumaniste et eugéniste, annoncée longtemps à l’avance sont maintenant en majeure partie connues : « découverte ‘un nouveau coronavirus zoonose, psychose médiatique mondiale, mise en place de mesures d’exception uniformisées par les états…

Et puis s’agissant de la France, modèle en la matière au plan mondial : distanciation sociale, état d’urgence reconduit indéfiniment de façon totalement inconstitutionnelle, abolition drastique de toutes les libertés individuelles, confiscation de la démocratie, du débat parlementaire, nomination d’un « Conseil de défense » comme en temps de conflit armé (pour une simple grippe…), abolition du principe de séparation des pouvoirs avec une subordination totale du Parlement et partielle de la Justice au pouvoir exécutif réuni autour d’un seul homme, neutralisation de tous les partis politiques, du débat démocratique (par les médias) et des contre-pouvoirs, instauration d’une véritable Police de la Pensée (Checknews) composée de médias officiels subventionnés par l’Etat (à hauteur d’un milliard d’euros en 2020) et la Fondation Bill & Melinda Gates, censure des médias indépendants et des réseaux sociaux, pénalisation des propos déviants (« fake » ou « haineux« ), déchéance des droits parentaux pour les parents accusés de « déviance sectaire » (simple contestation de mesures sanitaires injustes et liberticides), incitation à la délation, arrestation et incarcération arbitraires sans aucun motif de scientifiques dénonçant les mensonges et crimes d’Etat, fermeture des frontières, enfermement de toute la population grâce aux confinements et couvre-feux à répétition, imposition d’un laisser-passer pour sortir de chez soi, gel de l’économie nationale et destruction volontaire de secteurs entiers au profit de multinationales (Uber, Netflix, Amazon…), mise sous tutelle du pouvoir médical, suppression de la vie privée et du secret médical, interdiction de prescrire certains médicaments efficaces sous AMM (pour favoriser des « vaccins » au stade expérimental, inefficaces, ultra toxiques voire létaux et sans AMM), interdiction de soigner des malades et de les admettre en services d’urgences, arrêt et interdiction de certains protocoles de recherche médicale, port obligatoire de masques inutiles et dangereux y compris pour les enfants avec risques élevés de suffocations, de réactions allergiques et d’autocontaminations bactériennes, interdiction aux enfants de jouer, de s’approcher, de se parler, de se toucher, enfermement et endoctrinement dans les écoles, tests et vaccins réalisés sur des enfants sans l’accord e leur parents, obligation de se faire tester pour pouvoir travailler dans certaines entreprises et services publics (bien qu’illégal), se déplacer, voyager, avec des tests PCR inutiles (selon leur inventeur) et faux à 98% si positifs (selon les fabricants et épidémiologistes), vaccination obligatoire indirecte et parjure, pass sanitaire étendu de façon parjure, inconstitutionnelle et totalitaire à tous les actes de la vie civile, etc…

La France de Macron a ainsi servi de modèle et de tête de proue européenne de la Dictature En Marche. Le Président le plus zélé et servile de l’Oligarchie a ainsi osé prendre des décisions criminelles qu’aucun chef d’Etat ailleurs dans le monde n’a jamais osé prendre. Comme l’interdictions faite aux médecins de soigner les malades et l’interdiction des médicaments comme l’hydroxychloroquine du Professeur Raoult, l’ivermectine ou l’artemisia annua (armoise), dont l’efficacité est avérée par des centaines d’études et qui ont été utilisés par de nombreux pays (USA, Royaume Uni, Chine, Russie, pays africains…) pour guérir rapidement les malades du Covid. Un cas unique dans l’Histoire et un authentique crime contre l’humanité qui a engendré des sizaines de milliers de plaintes contre l’Etat français, son Président et les ministres concernés auprès de la Cour de Justice de la République, de la Cour européenne de Justice ou de la Cour pénale internationale. Comme Agnès Buzyn, actuellement sous le coup d’une mise en examen.

Macron ne s’est cependant pas arrêté là. Au plus fort de l’épidémie les malades les plus fragiles (trop âgés, atteints de maladies chroniques…) ont été empêchés d’accéder aux hôpitaux prétendument « saturés », obligeant les médecins urgentistes à effectuer une sélection cornélienne entre ceux qui devaient vivre et ceux qui devaient mourir, renvoyés chez eux avec une boîte de Doliprane. Pire encore, l’Etat français a fait volontairement euthanasier plusieurs milliers de personnes âgées en EHPAD et à leur domicile, grâce aux décrets Véran des 28 mars et 16 décembre 2020 enjoignant les médecins à prescrire du Rivotril, un neuroleptique létal formellement contre-indiqué en cas d’insuffisance respiratoire et produit par Roche (mécène de LREM…), aux personnes âgées simplement suspectées de Covid. Sans consentement éclairé, sans avertir les familles, interdites de visites pendant trois mois, et parfois sans aucun test préalable. Une performance macabre réitérée aussi discrètement et sans état d’âme durant l’été 2021 en Martinique, à la faveur d’une « 4e vague » punitive et totalement fictive.

L’Etat a aussi refusé l’aide proposée par les cliniques privées aux hôpitaux publics en plein pic épidémique (entre mars et mai 2020). Il a refusé l’offre gratuite de respirateurs proposés par certains fabricants de matériel médical à l’Assistance publique. Il a refusé de transférer certains malades surnuméraires dans des hôpitaux de province totalement vides. Et préféré mettre en scène la « pénurie de lits » grâce à un transfert coûteux des malades digne d’une campagne militaire dans des services de réanimation situés à l’autre bout de la France, à coup de TGV spécialement affrétés et en convoquant les médias…

Si l’on se penche sur aux conflits d’intérêts entre la Macronie et l’industrie pharmaceutique, notamment le lobby vaccinal, on ne les compte plus tant ils sont légion. Agnès Buzyn, ministre de la Santé de 2017 à 2020, est aussi l’ex-épouse d’Yves Lévy, PDG de L’INSERM et dirigeant de l’Institut Pasteur. Yves Lévy a par ailleurs contribué en 2011 à l’inauguration du laboratoire P4 de Wuhan, fruit d’une étroite collaboration scientifique franco-chinoise, et considéré aujourd’hui presque unanimement par les épidémiologistes comme l’origine du coronavirus responsable du Covid. C’est aussi le plus farouche ennemi du Professeur Didier Raoult, l’un des premiers avoir a expérimenté sur les malades du Covid soignés à l’IHU de Marseille et avec un succès spectaculaire confirmé par de multiples études mondiales un traitement à base d’hydroxychloroquine et d’azithromycine avéré auparavant efficace sur plusieurs infections à coronavirus.

L’une des décisions les plus surprenantes de la ministre a été d’interdire la libre délivrance sans ordonnance de l’hydroxychloroquine, un médicament produit en France et très peu coûteux, administré à plus de 2 milliards de patients dans le monde depuis 70 ans sans aucun effet secondaire, en l’inscrivant au Tableau des substances vénéneuses en janvier 2020. Soit 2 mois avant l’arrivée de l’épidémie en France !

Après avoir quitté Matignon, Edouard Philippe, Premier ministre au début de l’épidémie, a aussitôt pris la direction d’une société de services numériques, laquelle est aujourd’hui en charge… du QR code !

Bien que totalement inconnu du grand public, sans aucun charisme ni expérience gouvernementale, son remplaçant Jean Castex n’a pas été choisi par hasard. Ex-directeur administratif et financier de l’Institut Pasteur. Pasteur est le laboratoire crédité preuves à l’appui par certains spécialistes comme le Professeur Jean-Bernard Fourtillan comme étant le créateur et le détenteur de l’unique brevet au monde du virus SARS-COV-2 responsable du Covid-19 (et du brevet du vaccin correspondant). Ce qui n’a jamais été officiellement démenti par le laboratoire. Castex fut par ailleurs conseiller en 2009 de Nicolas Sarkozy en pleine crise du H1N1, en charge de la vaccination ! Et aux côtés d’une certaine Roselyne Bachelot, ministre de la Santé, accusée par la suite de conflit d’intérêts, sagement retraitée de la politique et reconverti dans le show biz, mais pourtant nommée ministre de la culture du gouvernement Castex en 2020. Simples coïncidences.

Si l’on remonte à la campagne du candidat Macron en 2017 et à la création de LREM, on découvre qu’au moins 4 grands laboratoires français et internationaux ont contribué au financement de sa campagne et de son nouveau parti (prétendument uniquement financé par les dons des adhérents). Ces labos ont même financé certains ministres à partir de 2017. Quoi de plus normal que Macron ait pris la décision 6 mois après son élection de rendre obligatoires 11 nouveaux vaccins pour les nourrissons. Et ce contre l’avis d’une majorité de médecins français, y compris des provax. Simple retour sur investissement.

L’Histoire s’est depuis répétée à plus grande échelle avec la vaccination rendue de fait obligatoire contre le Covid pour toute la population française (sauf quelques exceptions ciblées comme les policiers…) : personnes âgées, personnels soignants, adultes, employés de certains services, adolescents, et bientôt jeunes enfants et nourrissons si rien n’est fait pour éviter ce crime. Une spécificité française parmi les pays développés, puisqu’à ce jour seuls le Turkménistan, le Tadjikistan, l’Arabie Saoudite et le Pakistan, 4 dictatures islamistes, ont opté pour la vaccination obligatoire.

En effet, ces prétendus « vaccins » qui ne sont que des injections géniques expérimentales très contestées par une part croissante du corps médical, accumulent les fiascos retentissants à mesure que les études tombent : inefficacité quasi-totale à protéger des contaminations en provoquant une réponse immunitaire adaptée et durable (même contre les formes les plus graves du Covid contrairement à ce que la propagande des labos affirme), contaminations de plus en plus élevées chez les personnes vaccinées et supérieures aux personnes non-vaccinées, effets secondaires  graves à très graves exponentiels et inédits dans toute l’Histoire de la pharmacovigilance : 2 millions répertoriés en 6 mois par l’agence de pharmacovigilance européenne, décès directement liés aux vaccins supérieurs au décès du Covid, décès du Covid chez les vaccinés 8 à 13 fois plus importants que chez les non-vaccinés, 44 fois plus de décès de thrombose chez les enfants vaccinés… Une vraie catastrophe humanitaire !

Alors que les virus mutants sont selon les épidémiologistes de moins en moins contagieux et dangereux (contrairement aux mensonges officiels), le vrai danger c’est aujourd’hui le vaccin ! L’idéologie du tout vaccinal propre à satisfaire les lobbies est pourtant la seule stratégie appliquée de façon autiste et monomaniaque par Macron et son gouvernement, de plus en plus déterminés à faire taire et punir les experts, médecins et journalistes courageux qui osent braver la censure et dire la vérité.

« Le mensonge, c’est la vérité. » (Orwell, 1984) Il semble que le régime actuel, de plus en plus enfermé dans un glissement dictatorial, ait fait sienne cette maxime, bien décidé à combler le plus vite possible l’écart entre la France autrefois « patrie des droits de l’homme et de la démocratie » avec la dictature chinoise et ses outils numériques de surveillance et de contrôle des masses : drones, robots policiers, reconnaissance faciale, algorithmes prédictifs, 5G, crédit social… D’autant qu’avec le tout nouveau pass sanitaire (mis au point et imposé par l’Europe), et son extension à tous les actes de la vie quotidienne, 1984 sera bientôt un vieux compte pour enfants.

Ce pass vient pourtant aujourd’hui d’être abandonné par le Royaume Uni car totalement inutile et inapplicable. Si les choses évoluent selon l’obstination de Macron à transformer le France en nouvelle Corée du Nord, il sera sans doute bientôt une exclusivité française, totalement calquée sur son modèle chinois.

L’obstination de Macron, de ses sbires et complices corrompus – politiques, journalistes, pseudos scientifiques, médecins achetés par les labos, Ordre des Médecins et agences de santé archi corrompus… – à poursuivre une politique insensée, meurtrière, liberticide, quasi génocidaire, à liquider la démocratie et l’identité française dans le seul intérêt de ses mécènes, avec un cynisme effrayant déguisé en amateurisme, constitue le plus grand crime commis par des dirigeants politiques démocratiquement élus dans notre Histoire. Et apparente le régime de Macron aux pires heures de Vichy.

Face à tous ces crimes, l’affaire Benalla ressortie à la rentrée 2021 alors que démarre la campagne des présidentielles semble une peccadille ! Et un paravent bien maigre pour faire oublier ce que les médias qualifient pudiquement d’ « erreurs de gestion » ou d’ « incohérences ».

Mais l’opinion intoxiquée par la propagande omniprésente des médias, et dépossédée de son libre arbitre par des décennies d’ingénierie sociale, est aujourd’hui dans sa grande majorité incapable de discerner le vrai du faux, de se faire un avis précis à partir de faits établis et non de slogans ou de rumeurs matraqués quotidiennement. Ne lui reste comme unique choix qu’à ravaler ses frustrations et voter Macron une seconde fois en 2022.

L’affaire Benalla dont reparlent les médias à la faveur de l’ouverture du procès est l’un de ces dérivatifs commodes agités pour détourner l’attention du public des sujets importants qui risqueraient de le mécontenter. L’été 2021 a eu son lot : Euro 2020, Tour de France, J.O. de Tokyo pour amuser la galerie et distraire les inutiles après des mois d’humiliations. Et pour entretenir la peur tout en canalisant les ressentiments, ouverture en septembre du procès des attentats parisiens de Novembre 2015 et célébrations des 20 ans du prototype inégalé, ceux du 11 Septembre :  quelle magnifique coïncidence !…

Aussi incroyable que cela puisse paraître, l’homme le plus haï de France pourrait donc se voir réélire par défaut face à une Marine Le Pen inexistante lui servant de marchepied, comme en 2017. Les sorciers du marketing politique et de médias spécialistes de manipulation mentale devront alors user de toutes leurs ruses pour redonner une crédibilité, du peps et du sexy à ce véritable tyran. Celui-ci pourra alors achever son Grand Œuvre macabre et faire basculer la France, puis l’Europe et enfin le monde dans la plus effroyable dystopie jamais imaginée par les pires films de science-fiction.

Tout ça en prétendant œuvrer pour la santé, la sécurité et le bonheur de « la France efficace et juste » [ii].

Après tout, comme le disait un Goebbels expert en la matière : « Plus un mensonge est gros, et plus ça passe !« 



[i] Cf. le livre de Klaus Schwab, Président du Forum Economique Mondial, et Thierry Malleret : Covid-19, The Great Reset, publié en 2020.

[ii] L’un des slogans du candidat Macron en 2017.

La Solution vaccinale

Là où le mouton fait défaut
La chèvre est appelée Majesté.

(proverbe turc)

Y aurait-t-il un parallèle effroyable entre la Conférence de Bilderberg et celle de Wannsee ?

Balayons tout de suite les drapeaux « Complotiste ! » qui s’élèvent à cette simple évocation. Et tâchons de décrypter la logique des faits. Retour sur une année et demie de crise du Covid.

D’abord on a terrorisé la planète avec un virus bidon bidouillé en laboratoire.

Ensuite on a agité le spectre d’une pandémie effroyable qui allait décimer une bonne part de l’humanité.

Tout de suite après nous avoir saisis, on nous a assuré que seul un vaccin pourrait un jour nous sauver.

De messages alarmistes en mesures fantaisistes, on nous a interdit de nous approcher les uns des autres sous peine d’être arrêtés, et on a abrégé les souffrances de nos vieux dans leurs EHPAD.

Comme si cela ne suffisait pas, on a interdit aux médecins de prescrire les seuls traitements qui eussent pu nous guérir, sous peine d’être radiés du Conseil de l’Ordre.

Peu après, on s’est acharné à fabriquer de faux « décès » et de faux « cas » pour entretenir la psychose et justifier d’autres mesures insensées. En achetant les médecins et en manipulant les statistiques.

Pour ajouter l’exaspération à la terreur on a supprimé toutes nos libertés, on nous a enfermés durant des mois. Ce qui n’a eu pour seul effet que de faire flamber les contaminations.

On s’est bien efforcé de faire s’effondrer l’économie, de façon à ruiner petits commerces, patrons de restaurants ou de discothèques. Histoire d’assurer un ronflant transfert de richesses vers les grandes multinationales dont la cote a explosé au Dow Jones.

Une fois que nous étions tous bien déprimés, suicidés ou ruinés, on nous a assuré que nous pourrions revenir à une vie normale à condition de nous faire vacciner.

On a soigneusement omis de préciser que ces injections n’étaient en aucun cas des « vaccins ». Qu’elles n’avaient aucune efficacité prouvée, et que de toutes façons il allait falloir rester confinés.  

Cerise sur le gâteau leurs redoutables effets secondaires allaient décimer une partie de la population beaucoup plus rapidement et efficacement que le virus lui-même. Grâce aux adjuvants toxiques inclus dans ces vaccins, et aux variants fabriqué à l’aveugle par notre système immunitaire violé par l’ARN messager. Rendant d’ici l’automne prochain l’épidémie totalement hors de tout contrôle, comme le pronostiquent les épidémiologistes.

Surfant sur la panique liée aux 2e, 3e, 4e vagues, on a accéléré le processus vaccinal à échelle industrielle. Mobilisant jusqu’aux vétérinaires pour administrer la mort en série dans des « vaccinodromes » qui n’ont plus rien à envier aux chambres à gaz.

Des experts de premier plan, des lanceurs d’alertes, des spécialistes en épidémiologie, en génétique, en pharmacie, en économie, en droit ont tenté de nous alerter. De même que les journalistes ou de simples citoyens qui ont relayé leurs publications. Ils ont tous été traqués sans relâche, dénoncés, censurés, intimidés, culpabilisés, pénalisés, jetés en pâture à l’opinion comme de dangereux « complotistes ». Parfois même arrêtés et internés de façon arbitraire, sans aucun procès, comme dans n’importe quelle dictature totalitaire.

Les enfants placés dans les écoles de la République – les seules désormais habilitées à délivrer un enseignement – ont subi dès l’âge de six ans un matraquage idéologique systématique, à un rythme sans nom. Ils ont été empêchés de respirer, de jouer, de se parler, de se toucher, isolés, masqués, testés sans l’accord de leurs parent, torturés physiquement et psychiquement, sommés de dénoncer leurs parents déclarés « sectaires » quand ceux-ci osaient critiquer à la maison la politique actuelle, et parfois retirés de leur famille.

A ceux qu’on a conduits par cohortes entière vers le Saint-Graal, cette piqûre annoncée comme le messie, on n’a surtout pas expliqué que ces faux vaccins allaient permettre de les tracer. Qu’un certificat vaccinal numérique sous forme de nanoparticules encryptables déjà testées était inclus comme cadeau-surprise dans le cocktail qu’on leur a injecté.

Pour les y préparer on leur a fait accepter que désormais ils devraient se munir d’un passeport santé adopté par l’Union Européenne. Une sorte de sésame qui les autoriserait désormais à voyager, à se déplacer, ou à se rendre dans des lieux publics dont l’accès serait réservé à ceux qui pourraient ainsi prouver qu’ils sont bien vaccinés.

On a moins insisté sur le fait que ce nouveau passeport serait bientôt relié à d’autres fichiers, étendu à d’autres fonctions. Comme c’est déjà le cas aux Etats-Unis : état civil, carnet de santé, casier judiciaire, données bancaires et financières, et autres big data pourtant confidentielles livrées à la discrétion de Big Business et de Big Pharma. Un outil de contrôle absolu des populations à l’échelle mondiale, comme il n’en avait jamais été conçu dans aucune dictature auparavant.

Alors que des couples, des familles, des communautés, des nations se déchiraient pour savoir qui avait raison ou tort et ce qu’il fallait faire de ce climat d’extrême confusion, la population a très vite été divisée en deux catégories de citoyens opposés : les bons et les méchants. Les bons ce sont tous ceux qui obéissent sans broncher aux consignes sanitaires et ne posent jamais de questions : masque, distanciation, gestes barrière, confinement, couvre-feu, tests, vaccinations… Les méchants ce sont ceux qui s’émeuvent des libertés saccagées, des effets néfastes de ces mesures absurdes, de leur caractère inutile ou dangereux. Ceux qui refusent d’être transformés en troupeau de moutons sagement conduits à l’abattoir. Ou pire : qui refusent de se soumettre, osent le dire et descendre dans la rue pour défendre les libertés.

Bref, le monde était divisé en deux camps : ceux qui cèdent à la peur et se laissent gentiment humilier, infantiliser, déresponsabiliser, ôter toute dignité, toute liberté, toute humanité. Et ceux qui résistent, refusent de rentrer dans le rang, et luttent à la mesure de leurs moyens contre une dictature infernale qui s’abat chaque jour de plus en plus sur la planète entière.

Aux premiers on remettait des bons points et on promettait le Salut, la Lumière, la « sortie du tunnel » comme le répètent à l’envi les ministres, hélas toujours repoussée à plus tard. Pour finir on les accoutumait par paliers à se laisser glisser vers un asservissement total, à se laisser réduire à l’état de bétail, de marchandise ou de simples esclaves d’un système déshumanisé.

Les autres seraient tout bonnement condamnés à disparaître, d’une façon ou d’une autre. Mis au ban de la société, interdits de tout, ils finiraient par craquer et rentrer dans le rang. Les plus irréductibles parmi les réfractaires aux vaccins seraient emmenés de force dans de véritables camps de concentration baptisés « centres de confinement ». Là ils seraient vaccinés et pucés de force, puis rééduqués. Au pire on n’entendrait plus parler d’eux.

Ne nous leurrons pas, ces camps existent déjà bel et bien ! Beaucoup ont été ouverts en 2020. Aux Etats-Unis, au Québec, en Allemagne, en Australie, en Nouvelle Zélande… Le Danemark pourrait bientôt contourner une loi les autorisant qui avait été retirée après neuf jours de blocus du Parlement par le peuple. Et bien sûr c’est en Chine qu’on compte les plus gigantesques de ces camps. Un pays qui fait figure de modèle à suivre. Ce n’est pas nouveau : David Rockefeller en visite dans la République Populaire du Président Mao au beau milieu des années 1960 s’était enthousiasmé à son retour aux Etats-Unis pour ce régime qui savait si bien s’y prendre pour contrôler ses populations ! La Chine des années 2020 et son système de crédit social qui empêche toute vie possible hors du cadre prévu par le régime est sans équivoque l’exemple à imiter pour toutes les nations occidentales.

Si l’on ajoute à ce tableau sinistre les déclarations appuyées de tel ou tel oligarque comme Bill Gates, Jacques Attali, George Soros ou Klaus Schwab vantant les vertus de l’eugénisme et de la réduction programmée des populations, on comprend qu’on n’a pas du tout affaire à un délire complotiste mais à un authentique programme d’extermination massive à l’échelle mondiale.

Une folie qui n’est pas nouvelle puisque certains théoriciens du libéralisme et oligarques partisans du mondialisme en vantaient déjà les vertus dès le 18e ou 19e siècle.

Aujourd’hui cette oligarchie qui dirige le monde et contrôle absolument tous les pouvoirs dispose de tous les moyens nécessaires pour mener à terme cette stratégie macabre : moyens financiers, économiques, scientifiques, politiques, policiers, industriels, logistiques, administratifs, médiatiques, numériques.

Annette Wievorcka, historienne et scientifique, a écrit : « Auschwitz est le symbole de ce qui peut se passer quand les droits de l’homme ne sont pas respectés. »

Et Imre Ketesk, écrivain et ancien déporté, d’ajouter : « Auschwitz n’a pas été un accident de l’Histoire, et beaucoup de signes montrent que sa répétition est possible […] Auschwitz ne constitue pas un cas d’exception, tel un corps étranger qui se trouverait à l’extérieur de l’Histoire normale du monde occidental, mais bien l’illustration de l’ultime vérité sur la dégradation de l’Homme dans la vie moderne. »

Aujourd’hui non seulement les droits de l’homme ont tous été confisqués, mais pire, ils sont toujours revendiqués chaque jour par cette idéologie progressiste détaillée à toutes les sauces, comble du mensonge et credo des mondialistes. Une idéologie qui prétend œuvrer pour la paix, le bonheur de l’humanité et le sauvetage de la planète. Mais qui avance depuis quarante ans et plus des politiques dont les conséquences sur l’humanité sont l’exact opposé des buts annoncés. Le mensonge absolu.

Quant à une éventuelle Shoah de l’humanité à laquelle il semble difficile de nier que nous assistions aujourd’hui, elle n’est que l’aboutissement final de la logique matérialiste et scientiste qui s’est incarnée du point de vue politique dans ce que le capitalisme et le communiste ont produit de pire. Comme l’avait prophétisé George Orwell dans sa dystopie 1984.

Une logique qui a trouvé son aboutissement et sa justification avec cette idéologie progressiste inventée à partir du 18e siècle par une oligarchie bancaire et financière anglo-américaine. Une oligarchie claire sur sa stratégie et ses buts – conquérir le monde – et qui a réalisé en à peine deux siècles une véritable OPA sur les économies mondiales comme sur tous les pouvoirs politiques. En détruisant patiemment les états-nations, condamnés à être engloutis dans un Nouvel Ordre Mondial totalitaire, technosécuritaire, inégalitaire, ploutocratique et transhumaniste, tout entier contrôlé par une poignée d’oligarques. Un Ordre qui s’apprête à étendre son empire sur chaque individu, et qui entend contrôler grâce aux nouvelles technologies chaque aspect de la vie privée. Jusqu’à nos corps, nos pensées, nos interactions, nos actes et nos mouvements bientôt entièrement pilotés par la Matrice.

Ce n’est pas de la science-fiction. Il suffit pour s’en convaincre d’écouter Klaus Schwab, Président du Forum Economique Mondial et transhumaniste militant, vanter dans une vidéo publiée sur YouTube les mérites de la nouvelle interface numérique développée sous forme de puce implantable dans le cerveau par la firme d’Elon Musk, ainsi que des smart dusts, ces « poussières intelligentes » mises au point sous l’égide de la fondation de Bill Gates et incluses dans les vaccins, qui permettront d’ici à peine dix ans de relier chaque individu à l’Intelligence Artificielle et de contrôler à distance ses émotions, ses réflexes, ses pensées… Le Meilleur des mondes en version XXL.

Le plus cynique et abject, c’est que tout ce cauchemar en cours de réalisation est justifié au nom de valeurs humanistes vidées de leur sens et retournées en arme de destruction massive contre les esprits. Comme les droits de l’homme, la paix, le progrès, la sécurité, le développement durable ou la prévention des risques politiques, économiques, sanitaires.

Cette 3e Guerre mondiale déclarée à l’humanité, cette Shoah planétaire a commencé en 2020. Elle se poursuivra dans les prochaines années si nous ne faisons rien. En commençant par l’élimination médiatique, sociale et politique des brebis galeuses : ces non-vaccinés réfractaires au rouleau compresseur, qui rapidement détruira le reste de l’humanité ou la réduira à un cheptel de robots humains amendables, modifiables et commercialisables en pièces détachées. Puis par leur élimination bactériologique et physique programmée.

Le parallèle entre ce qui nous est présenté aujourd’hui comme une simple « vaccination » et la Solution finale peut évidemment scandaliser. Sauf que cet événement sans doute resté dans la mémoire collective comme le plus dramatique de l’Histoire récente de l’humanité, l’archétype de tous les génocides de masse et de toutes les exterminations au nom d’une idéologie, est en passe d’être largement dépassé.

L’extermination planifiée des Juifs d’Europe par le régime nazi durant la Seconde guerre mondiale n’a en effet concerné « que » 6 millions d’êtres humains sauvagement assassinés dans des conditions d’une barbarie sans nom. Avec application, méthode, persévérance, la complicité des forces vives de toute une nation et la collaboration des pays conquis.

Cette nouvelle extermination de masse que la conscience peine à concevoir ne concerne pas seulement aujourd’hui 6 millions d’êtres humain, mais mille fois plus ! Jusqu’à 6 milliards 300 millions d’hommes, de femmes, d’enfants et de vieillards sur 7,8 milliards de Terriens pourraient être ainsi condamnés à mourir pour satisfaire les délires de milliardaires psychopathes authentiquement diaboliques.

C’est tellement inconcevable que peu arrivent à admettre cette éventualité comme un danger réel et très actuel.

Et pourtant, si l’on se fit à certains objectifs affichés, on pourrait en arriver à des telles extrémités. A titre d’exemple, les Georgia Guidestones souvent cités sont un mystérieux monument de granit érigé le 22 mars 1980 en pleine forêt près d’Elberton en Géorgie aux Etats-Unis. Nul ne sait quelle organisation a passé commande pour ce monument en forme de tabernacle, dont l’origine reste à ce jour officiellement inconnue. Ce qui est certain, c’est qu’il comporte des inscriptions sous la forme de « commandements » adressés à l’humanité et traduits en 8 langues. Des prescriptions destinées à orienter les hommes pour les temps futurs. Le premier de ces commandements est explicite :

« Maintenez l’humanité en dessous de 500 millions d’individus en perpétuel équilibre avec la nature. »

Beaucoup ont tenté de minimiser cet avertissement étrange comme une supercherie ou un cas isolé alimentant les théories du complot. Ou de le réduire à simple un canular imaginé par une quelconque secte de riches allumés.

Sauf qu’un tel objectif de réduction massive des populations décrit dans ce monument est loin d’être un cas isolé. A titre d’exemple le très sérieux milliardaire philanthrope Bill Gates, fondateur de Microsoft et de la fondation qui porte son nom, très actif depuis vingt ans pour financer des programmes de vaccination massive très controversés et responsables de millions de morts dans les pays du tiers-monde, avait prévenu lors d’une conférence publique en 2010 que notre système économique était incapable d’absorber l’augmentation de la population mondiale à son rythme actuel. Et qu’il fallait donc envisager des mesures pour réduire cette augmentation, sinon la population elle-même. Avançant un objectif de réduction de 15% pour les années à venir. Et précisant parmi les moyens permettant d’atteindre cet objectif qu’on pouvait facilement arriver à réduire la population de 15% « grâce aux vaccins ». Vous avez bien lu : grâce aux vaccins !

15% ça n’est certes pas 6 milliards de personnes, mais c’est déjà 1,350 milliard d’âmes (rapportées à la population du monde en 2010). Soit 225 fois plus que la Solution finale tout de même.

On comprend dès lors la raison de cette course contre la montre et de cet acharnement insensé à vouloir vacciner toute la population d’un pays, en France ou ailleurs, en mobilisant tous les moyens de l’Union Européenne, les laboratoires susceptibles de produire en urgence, les moyens médicaux, logistiques, médiatiques, une telle propagande mise en œuvre, et le pognon de dingue que tout cela coûte.

Car il faut faire vite. Avant que le pot-aux-roses ne soit exposé au grand-jour d’une façon tellement obvieuse qu’il devienne possible de le nier. Déjà le barrage se fissure et prend l’eau de partout. Chaque jour des centaines de scientifiques dans le monde alertent l’OMS et les opinions publiques sur les réels dangers de ces faux vaccins, sur les effets secondaires qui aujourd’hui tuent plus de monde que le virus lui-même, sur l’apparition de nouveaux variants de plus en plus dangereux directement dus à ces injections criminelles et à leurs effets incontrôlables sur le système immunitaire. Des médecins « complotistes » avaient alerté dès avril 2020 et expliquant ce qui allait se passer avec ces vaccins. Personne n’avait voulu les écouter. On a même été jusqu’à interner de force l’un d’entre eux, le Professeur Jean-Bernard Fourtillan, dans un H.P., en l’accusant d’être un calomniateur et un fou mystique. Comme au bon vieux temps de Staline.

Me revient comme en écho ces instructions laissées aux directeurs des usines de la mort nazies par des fonctionnaires paniqués face par l’arrivée des troupes russes ou américaines aux frontières du Reich : « Il faut plus ! Plus d’efficacité ! Plus de productivité ! Plus d’unités traitées par jour ! Plus de capsules de Zyklon B ! Plus de trains ! Plus de chambres à gaz pour éliminer les preuves ! Plus !… » On croirait entendre Macron écumer face à ses ministres impuissants et aux lenteurs de la bureaucratie… Tel Hitler réfugié dans son bunker promettant la Cour martiale à des généraux incapables.

Il y a quelque chose de surréaliste, de terrifiant et de dérisoire dans ce parallèle pourtant bien fondé. Sommes-nous vraiment à l’aube d’une telle hécatombe ? La réponse est oui. Aucun doute n’est désormais permis et aucun revers de manche ne pourra en conjurer l’obsédante réalité, en ourdissant quelque procès en hérésie complotiste destiné à évacuer cette mauvaise conscience qui nous taraude.

Et parce que le pire n’est jamais sûr mais demeure toujours une menace, il faut aujourd’hui redoubler d’efforts pour dénoncer preuves à l’appui ces horreurs et faire échouer ce plan diabolique. Car non seulement c’est possible si un nombre critique de citoyens s’engagent dans ce combat, mais c’est la seule voie possible si l’on croit encore en l’humanité. Et si l’on veut que nous restions des humains.

Selon une étude réalisée récemment par un groupe de sociologues à partir de statistiques relatives aux émeutes qui se sont déroulées dans plusieurs pays du monde au cours des décennies écoulées, il suffit que 10% de la population se soulève, en s’engageant dans une insurrection ou dans la désobéissance civile, pour faire tomber un régime.

Il ne s’agit pas seulement de faire tomber la dictature incarnée par une marionnette comme Macron, mais tout un système à l’échelle du monde. Un système qui contrôle tous les pouvoirs par le biais de la finance et de la monnaie.

Il faudra sans doute du temps, des efforts, de la persévérance, du sang et des larmes. Mais la conscience collective a déjà commencé à opérer sa mue et ne pourra plus s’arrêter. La lumière continuera de faire reculer le mensonge et la peur. Partout. Jusqu’à ce que cet empire du Côté obscur, fils maudit de la Raison et de la loi du plus fort, s’effondre de lui-même comme un château de cartes. Il suffit de dire non. De rester éveillés, ouverts, solidaires, de témoigner et de faire front.

Dont acte : « Puisse l’histoire des camps d’extermination retentir pour tous comme un sinistre signal d’alarme. » (Primo Lévi)

Le pangolin, la chauve-souris et le petit Mandarin : les désordres de la nature aux secours de l’Oncle Picsou

La théorie de la transmission « zoonose » du coronavirus (de l’animal à l’humain) est un classique de la littérature scientifique s’agissant des nouvelles épidémies. Mais qui fait rarement l’unanimité des chercheurs. Pour ce qui est du Covid, elle pourrait venir s’ajouter aux œuvres de La Fontaine sous le titre d’une nouvelle fable intitulée « Le pangolin, la chauve-souris et le petit Mandarin« . Une farce tellement échevelée, digne des pires machins complotistes, que plus aucun scientifique sérieux n’ose aujourd’hui l’évoquer, de peur de se ridiculiser.

Plus personne en effet dans le milieu scientifique comme dans les médias ne se risque depuis bientôt un an à évoquer le sujet et à spéculer sur l’origine de ce virus mystérieux, pourtant observé sous toutes les coutures et disséqué en menus morceaux depuis son apparition en Chine à l’été 2019. Un sujet devenu très vite un tabou dans tous les médias mainstream, dès l’extension « pandémique » du virus hors des frontières de la province de Wuhan fin 2019. Silence radio, mieux valait assommer le grand public de commentaires alarmistes en diffusant en boucle les images de Wuhan en état de siège. Et ce bien que le sujet soulève de nombreuses questions à propos de cette grippe dont la cause était unanimement présentée comme un nouveau virus transmis à homme par un innocent fourmiller dont la viande est couramment consommée en Chine. Une grippe présentant dans ses formes les plus graves des symptômes respiratoires sévères et aussitôt transformée en pandémie du siècle.

D’un coronavirus somme toute banal, on est ainsi passé à un « paranovirus », dont le mode de contamination n’était plus les mains mal lavées ou l’air ambiant (encore une fable…) mais les médias entrés en éruption sismique. Un scénario de psychose mondiale provoqué à dessein par quelques lobbies qui y avaient intérêt. Une reproduction en grandeur XXL et en beaucoup plus dramatique de celui qu’on nous avait déjà servi en 2009 lors de l’apparition d’un foyer de grippe H1N1 au Mexique. Un virus qui avait immédiatement enflammé les esprits et les écrans plus que les thermomètres, et ce durant près d’un an. Assurant au passage à Gilead Science (déjà…) la vente très profitable aux gouvernements affolés de la planète de milliards d’unités de vaccin et de Tamiflu, tous aussi inutiles, toxiques et inefficaces que le remdésivir que le même labo a tenté de nous refourguer en 2020 en corrompant au passage les plus grands scientifiques, les gouvernements, les agences de santé et le Lancet, pour couler son principal concurrent l’hydroxychloroquine ! 100 millions de doses de vaccin furent ainsi achetée en 2010 par le gouvernement de Nicolas Sarkozy, lesquelles finirent quasiment toutes à la poubelle, non sans avoir coûté au passage près d’un milliard d’euros au contribuable français.

Même scénario avec le Covid-19 et les petits arrangements entre Macron et ses généreux mécènes pharmaceutiques. Sauf que cette fois le jackpot a fait exploser la banque, la dette de la France, plusieurs secteurs économiques, et la tête des Français.

Mais revenons à la fable du pangolin…

Depuis 2019, les preuves se sont tellement accumulées pour étayer l’hypothèse troublante d’un virus créé artificiellement par l’homme en laboratoire par manipulations génétiques, que même les épidémiologistes et les « experts » autoproclamés les plus corrompus habitués des plateaux télé sont aujourd’hui à court d’arguments sérieux pour étayer la thèse initiale du pangolin. Un pangolin qui figurait pourtant en bonne place sur la couverture du magazine britannique (détenu par les Rothschild) The Economist, dont le très attendu hors-série annuel consacré à l’année suivant mettait en scène fin 2018 et pour l’année 2019 un étrange pangolin glissé au milieu d’autres symboles tout aussi étranges : fragment d’ADN, smartphone (5G), code-barre, etc… Et ce plus de 6 mois avant l’apparition de l’épidémie en Chine.

Le premier en France à avoir enfoncé la digue de la langue de bois à propos de l’origine du coronavirus fut bien entendu le Professeur Luc Montagnier. Célèbre immunologue, empêcheur de tourner en rond, Prix Nobel de médecine et codécouvreur du virus du sida. Lequel n’en était pas à son coup d’essai s’agissant de révélations sulfureuses. Le vieux professeur un brin narquois avait alors jeté un vent polaire en direct sur le plateau de Cnews. Interrogé par Pascal Praud sur l’origine du coronavirus, il avait en effet révélé une découverte stupéfiante de son équipe de recherche : le séquençage du génome du virus SARS-Cov-2 responsable du Covid-19 et son analyse par algorithmes informatiques avaient fourni la preuve irréfutable que ce virus ne pouvait être d’origine naturelle. En effet le génome du SARS-Cov-2, responsable du Covid-19, présente plusieurs « insertions » dont un petit fragment du génome du VIH, rétrovirus responsable du sida. De telles insertions ne peuvent avoir être réalisées qu’en laboratoire ; elles ne peuvent scientifiquement être le résultat d’une mutation ou d’une anomalie génétique d’origine naturelle liée à une quelconque transmission de l’animal à l’homme. Ce type de manipulations est d’ailleurs souvent réalisé par les chercheurs en génie génétique. Notamment dans l’espoir de mettre au point de nouveaux vaccins. Une technique employée depuis des décennies pour tenter de créer un vaccin efficace contre le VIH, en utilisant des composantes de virus courants type coronavirus, et en y insérant un fragment de l’enveloppe du VIH reconnus par les récepteurs des lymphocytes, de façon à produire une réponse immunitaire dirigée contre le VIH en cas d’infection, une fois ce vaccin injecté dans le corps humain.

Le Pr. Montagnier ne fut évidemment pas le seul à larguer une telle bombe. De nombreux scientifiques et équipes de recherche de renom avant et après lui ont également publié les résultats de leurs travaux dans des revues scientifiques mettant en avant les preuves de cette origine humaine du virus. Au point qu’elle apparaît aujourd’hui difficilement contestable. Même des médias officiels comme France l’ont d’ailleurs récemment évoqué comme une hypothèse plausible, levant un voile pudique sur les questions dérangeantes qu’elle soulève : pourquoi cette hypothèse n’a pas été évoquée avant ? Comment le virus a-t-il pu être disséminé depuis un laboratoire de recherche P4 situé à Wuhan : par accident ? Intentionnellement ? Et si oui à quelles fins ?… La France était-elle effectivement impliquée dans la gestion de ce laboratoire de Wuhan ? A quel titre ? Participait-elle aux recherches qui y étaient menées ? Se pourrait-il aussi qu’elle soit impliquée dans cet « accident ». Et pourquoi les autorités chinoises ou françaises n’en auraient-elles rien dit ?

Le spectre de Tchernobyl plane sur ce qui pourrait devenir le plus grand scandale sanitaire du 21e siècle, après le précédent quoi en a connus beaucoup.

Ces révélations, d’abord vite évacuées comme des « thèses complotistes » (le Pr. Montagnier fut accusé d’être un « complotiste gâteux » et ses travaux furent aussitôt discrédités et censurés dans les médias et sur les réseaux sociaux comme Facebook) ressemblent en tout cas à astéroïde géocroiseur qui vient périodiquement menacer la mare aux canards et autres médias alignés sur la doxa scientifique et médiatique officielle. Pour laquelle le coronavirus responsable du Covid, comme tous les autres coronavirus récents, ne peut être que le fruit d’un accident de la nature, une mutation observée lors de sa transmission zoonotique à l’homme : pangolin, chauve-souris, oie sauvage ou autre. Un scénario bien huilé et resservi de nombreuses fois à propos de plusieurs épidémies précédentes plus ou moins dangereuses ou létales, et réputées dues à une transmission zoonotique : grippe aviaire, grippe H1N1, SRAS, MERS, etc… La plupart de ces grippes à coronavirus étant supposées suivre peu ou prou le même modèle, même si cette hypothèse est remise en cause.

Une façon au passage de battre sa coulpe, puisque l’homme est accusé d’être responsable de ces déséquilibres qu’il cause au milieu animal en mettant en péril les grands équilibres écologiques et zoologiques de la planète pas une surproduction, une surconsommation, notamment de viande animale, la déforestation, la destruction des milieux naturels et le déplacement d’espèces animales qu’elles entraînent, exposant dangereusement les villes et les populations au risque de transmission de nouveaux virus véhiculés par certains animaux sauvages. Les sanglots de l’homme blanc en version Avatar

En pointant ainsi la responsabilité de l’homme à propos des mutations génétiques qui engendrent de nouveau virus et des maladies parfois mortelles qui mettent en péril sa santé, on entretient parmi les populations touchées une culpabilité bien utile pour leur imposer ensuite toutes sortes de maltraitements : matraquages médiatiques anxiogènes (l’un des outils de l’ingénierie sociale depuis un siècle), surveillance renforcée, isolement des individus suspects, distanciation sociale, port permanent de la muselière réglementaire, internement à domicile, ou dans de centres de confinement créés pour l’occasion, tests à répétition aussi inutiles qu’inefficaces (mais très rentables), servant à justifier des 2e, 3e ou nième « vagues » imaginaires qui laissent s’étouffer les épidémiologistes sérieux, elles-mêmes servant à justifier des reconfinements et couvre-feux sans fin, les fermetures arbitraires et totalement inutiles de lieux publics, restaurants, salles de sports, de spectacle et autres lieux récréatives qui eussent permis d’alléger le poids des mesures sanitaires, de la déprime générale et de la destruction des économies et des personnes jetées à la rue ou l’extrême pauvreté. Des mesures multipliées jusqu’à exaspérer les populations afin de les contraindre aller se faire tester, vacciner, revacciner, de se faire tracer par des applis de flicage numérique, de signer des attestations absurdes, de se munir d’un passeport santé, demain (ou dès aujourd’hui si l’on en croit Bill Gates) inclus dans les vaccins eux-mêmes grâce aux « smart dusts », puis d’être pucés et encore plus surveillés, de renoncer une à une à toutes leurs libertés.

Tout ça pour servir les intérêts des actionnaires de quelques labos cyniques et criminels. Et ceux des multinationales qui profitent de la redistribution économique et financière (le fameux Great Reset de Klaus Schwab) provoquée par ce choc épidémique.

Le pauvre petit pangolin a bon dos ! Comme toutes ces savantes théories scientifiques qui nous expliquent par le menu détail à propos des mécanismes de mutation génétique comment ce méchant coronavirus serait « apparu ». Face à toutes ces magouilles, ces crimes contre l’humanité et le bon sens, ce cynisme et cette obstination à nous rabaisser au rang chair à pâté pour chien de milliardaire.

L’éthique scientifique, médicale et pharmaceutique, mais aussi politique et médiatique, a du plomb dans l’aile : de nombreux acteurs scientifiques de premier plan comme Raoult, Perronne, Toussaint Toubiana, Fouché, ne cessent de le rappeler de semaines en semaines depuis un an et plus. Et derrière ces exemples flagrants de corruption manifeste se cache d’autres responsabilités : celles de scientifiques qui n’ont pas le courage ou l’intelligence de remettre en cause des théories qu’ils prennent pour acquises. En croyant toujours comme les foules ignares aux mythes de « l’objectivité », de la « rationalité » ou de la « vérité scientifique ».

Les théories du complot, auxiliaire de la propagande officielle

Emmanuel Macron, polichinelle façonné et propulsé au sommet de l’Etat par une oligarchie qui s’en sert depuis comme d’une poupée ventriloque, n’aurait jamais pu être conduit vers la victoire selon une pantomime bien huilée par avance au terme de son « élection » de 2017 sans un auxiliaire de scène indispensable appelée Marine Le Pen, hissée comme lui au second tour des présidentielles pour lui servir de repoussoir utile.

Ce jeune héros aux yeux bleus, au sourire Sensodyne et au verbe christique, ce sauveur providentiel de la démocratie fabriqué selon un storyboard rigoureux par des officines de marketing politique et des médias de propagande, n’aurait jamais pu conquérir la Toison d’or dans l’imaginaire romanesque de cette la fable électorale sans parfaire son mythe en s’opposant au personnage caricatural de la méchante sorcière échappée de son manoir hanté de Saint-Cloud pour répandre l’effroi et le mal sur le royaume de France.

Le spectacle pathétique offert par sa rivale lors du débat télévisé du second tour avaient des allures quasi providentielles : la méchante Maléficia « antisystème » se caricaturant elle-même alors qu’elle tentait de ridiculiser son adversaire en l’accusant d’être le jouet des lobbies.

De la même façon, tout discours officiel construit sur des mensonges mais érigé en dogme ou en vérité absolue n’aurait aucune chance de s’imposer face à la raison critique sans un épouvantail destiné à en perturber l’exercice et son levier corolaire d’ingénierie sociale bien connu : la peur et la culpabilité, érigées comme repoussoir inhibiteur face à des théories taxées d’hérésie, qui constituent l’envers caricatural honteux de ce pouvoir aussitôt réhabilité comme vertueux.

C’est le principe des théories du complot qui fleurissent de plus en plus en marge des discours officiels. Avant d’être récupérées par le pouvoir en place et les discours de propagande qui le soutiennent comme bouc émissaire commode sur lequel projeter le doute, le ressentiment, la colère et la violence plus ou moins légitimes du peuple envers les élites. Des ferments de révolte habilement retournés contre les fauteurs de troubles qui propagent ces rumeurs, accusés de vouloir injustement briser par des fausses révélations et de fausses théories la confiance entre ce peuple et ses élites.

Ainsi les théories du complot, même si elles ne sont pas véhiculées par le pouvoir lui-même mais prétendent au contraire en dévoiler le caractère illégitime hideux, spéculatif, criminel, imposteur, peuvent tout à fait à l’occasion s’avérer utiles à celui-ci.

Notamment quand elles sont détournées, raillées, grossies et discréditées pour entretenir par opposition l’illusion de sa vertu et de sa bonne foi. Ces théories et leurs promoteurs sont alors assimilées à des falsifications volontaires, des fake news, des calomnies, des propos délirants, paranoïaques, à des élucubrations construites de toutes pièces pour égarer les esprits naïfs, suspicieux, ou pour se faire mousser.

Présentées sous l’angle de l’invraisemblable, de l’obsession complotiste, et donc du pathologique opposée au bon sens, à la raison, comme des histoires effrayantes à dormir debout, fruit d’un imaginaire fertile et dérangé, les « théories complotistes » prêtent plutôt à rire et à hystériser les débats pour mieux es escamoter qu’à débattre sereinement du fond du sujet.

Ce qu’il faut comprendre c’est que le caractère vrai ou faux des théories importe en réalité fort peu. Le critère discriminant qui prévaut ici n’est pas la vérité mais la moralité. Laquelle sert à justifier une politique et la mise en œuvre de moyens selon des buts qui ne sont pas nécessairement ceux affichés mais qui paraissent justes. Puisque le pouvoir en question est accusé d’être immoral et illégitimité, il importe avant de tout de réasseoir dans l’esprit de l’opinion une image forte de moralité publique et de légitimité de l’autorité qu’il incarne. Sur la base du contrat social qui est supposé la fonder.

Ainsi dans l’exemple de la crise sanitaire du Covid-19, l’important n’est pas tant de déterminer sur le fond qui a raison ou tort, si les masques sont vraiment utiles pour empêcher la propagation du virus comme le prétend le Comité scientifique, une grande partie du corps médical et le gouvernement, ou s’ils sont inefficaces comme le répète depuis un an l’OMS sur la base d’observations statistiques, ni de savoir si l’hydroxychloroquine est vraiment efficace pour soigner la maladie comme l’ont démontré les essais cliniques réalisés par l’IHU de Marseille et une centaine d’autres partout dans le monde, ou si elle est inefficace voire dangereuse compte tenu d’importants effets secondaires comme ont tenté de le faire croire le laboratoire Gilead, les scientifiques et les médias qu’il a corrompus.

La recherche d’hypothétiques vérités scientifiques sur la base d’une méthode expérimentale et scientifique, et d’un consensus toujours fluctuant entre des experts chargés de les établir, n’est absolument pas l’enjeu. La vérité scientifique n’est plus aujourd’hui une valeur, si tant est qu’elle ne l’ait jamais été dans l’esprit de ceux qui s’y réfèrent. La vérité scientifique est un argument rhétorique et politique qui sert d’autres intérêts que ceux de la science, et d’autres valeurs. Comme l’efficacité, la rentabilité économique ou le profit au service d’un marché et de ses acteurs : celui de la santé, des laboratoires pharmaceutiques et de leurs actionnaires, engagés dans une compétition farouche pour se tailler des parts de marché et en récolter les dividendes. La vérité n’est vraiment pas leur souci. Seul importe quel chiffre d’affaires tel médicament présenté comme efficace pour soigner telle maladie est susceptible de générer.

Ainsi la vérité n’est qu’une affaire de discours et de rhétorique pour emporter un capital de confiance et des parts de marché, permettre à des partenaires de ces laboratoires, décideurs publics et institutionnels notamment souvent financés par eux, de valider des choix en matière de politique de santé qui leur soient favorables.

L’éthique, qu’elle soit médicale ou pharmaceutique, la déontologie, ne sont donc plus à proprement parler des priorités encore moins des fins en soi, mais des outils dans la palette de management de ces multinationales et de leurs dirigeants cyniques uniquement préoccupés de rentabilité à court terme.

Dès lors, peu importe que le caractère mensonger de leur prétention à guérir, l’efficacité ou l’innocuité réelle de leurs produits, ou le caractère ultra corruptif voire criminel de leurs méthodes soit avérés et puissent être révélés. L’important est que ces révélations ou ces rumeurs souvent fondées ne compromettent pas leurs objectifs. La vertu n’est pas plus un cadre qu’une exigence du management institutionnel pour ces grands labos. Lesquels ne se soucient même plus de se construire une image de bienfaiteurs de l’humanité. Ils ont d’ailleurs acté que toute contravention au droit et à l’éthique avait un coût. Et le budget contentieux et règlements juridiques fait depuis longtemps partie de leurs comptes d’exploitation prévisionnels, afin de couvrir les inévitables procès qui leur sont attentés compte tenu de leurs méthodes. Mais les niveaux de rentabilité dans le secteur pharmaceutique sont tels, avec des médicaments souvent très peu coûteux à produire et vendu 10 fois leur prix de revient voire beaucoup plus, que la part de leur chiffre d’affaires consacrée à financer des procès est relativement négligeable.

Dans ce bras de fer permanent qui ressemble au combat de David et Goliath entre Big Pharma et les lanceurs d’alertes ou les associations de victimes, l’occurrence des théories du complot est un élément providentiel. Il permet de plaquer et confirmer une image a priori négative pour tous ceux qui critiquent les labos, dont l’activité et l’utilisation de leur produits soumis à prescription est en principe encadrée par des autorités réputées intouchables : organismes de recherche, académies de médecine et de pharmacie, agences de santé publique, agences de délivrance du médicament, autorités de contrôle industriel et de pharmacovigilance, ordre des médecins, facultés de médecine et de pharmacie… A tel point qu’il devient très difficile de contester les pouvoirs en place soutenus par ces autorités.

Et ce même si aujourd’hui chacun est conscient que les modes de décision et de validation en matière de santé, entre pouvoir politique, pouvoir scientifique et pouvoir économique, laissent une place très grande à la corruption, compte tenu notamment de l’énorme pouvoir financier de ce dernier, et d’une stratégie systématique qui est la sienne de promouvoir ses intérêts et positions dominantes en ayant massivement recours à la corruption à tous les échelons décisionnels.

Face à de tels mastodontes et en dépit de leurs méthodes, les théories du complot apparaissent comme un adversaire bien dérisoire et vite balayé. D’autant qu’il est très facile quand on détient le pouvoir économique et financier de corrompre, de faire taire, d’éliminer ces perturbateurs ou d’acheter les juges pour réduire au silence les agitateurs de consciences importuns.

Qui plus est, quand elles sont le fait d’un seul homme ou d’un groupe isolé, relayées par des réseaux souterrains sous les traits de la rumeur, du bouche-à-oreille, aujourd’hui par des chaînes YouTube ou des groupes sur les réseaux sociaux, sans véritable légitimité, sans caractère officiel, sans professionnalisme avéré, ni caution académique pour en garantir la pertinence. Il est encore plus facile de les tourner en dérision. Surtout quand c’est une autorité reconnue qui se charge de prononcer cette condamnation en hérésie.

Ainsi lors la crise sanitaire de 2020, des autorités scientifiques, médicales, universitaires, professionnelles, politiques et médiatiques furent très largement et dès le début mises à contribution dans les médias pour instruire le procès en accusation contre ces dangereux « complotistes », accusés de propager de fausses rumeurs, d’égarer les esprits, de relativiser ou de rassurer à tort les populations quant à la dangerosité du virus et de l’épidémie. Des menteurs, des affabulateurs, des fous, des inconscients, des criminels, des mauvais citoyens, des ennemis de la raison, de la santé, de la nation ou d’humanité. Rien que ça.

Il était en effet essentiel de faire croire aux braves gens déboussolés qu’il ne fallait surtout pas prêter attention à ce genre de théories vénéneuses, mais au contraire les condamner et les exorciser de leurs consciences. Au nom de la raison, de la vérité scientifique et de l’intérêt général.

Peu importe l’iniquité de tels procès dignes de ceux de Moscou contre une partie du corps médical, y compris parmi les plus éminents spécialistes. Sur l’origine controversée du virus avec le Professeur Montagnier, sur la responsabilité de la France et celle de l’Institut Pasteur dans la fabrication en laboratoire du virus avec le Professeur Fourtillan, sur les traitements efficaces contre le Covid-19 avec le Professeur Raoult et cette cabale incroyable orchestrée par le lobby pharmaceutique contre les travaux de son équipe sur l’hydroxychloroquine, sur les erreurs et les mensonges des politiques et des autorités sanitaires avec le Professeur Perronne, sur la dangerosité des nouveaux vaccins avec le Docteur Louis Fouché, le Docteur Henrion-Caude ou le Docteur Wolmer.

L’important étant de faire plus de bruit que ceux qui contestent les vérités officielles, par un martelage médiatique systématique relayé par les réseaux sociaux, une concurrence de buzz, avec un rapport de forces déséquilibré entre l’autorité publique et ses détracteurs, accusés de mensonges, de complotisme, de charlatanisme (comme Didier Raoult par le Conseil de l’Ordre) et d’hérésie scientifique.

Ce rapport de forces biaisé et hypocrite entre un pouvoir objectivement enfermé dans une attitude coupable, mensongère, corrompue et délictueuse sinon criminelle, prétendant incarner l’autorité, la légitimité, la vertu, le bon droit, la vérité et œuvrer pour l’intérêt général, et quelques détracteurs présentés a priori comme minoritaires ou isolés, ne représentant que leur seule parole et désavoués par leurs pairs, frondeurs, illégitimes, menteurs, ou répandant des thèses ne reposant sur rien de concret assimilées à des « théories du complot », repose non pas sur un débat entre arguments scientifiques évalués par une autorité impartiale, ni même soumis à l’appréciation de tous, mais sur des discours et des accusations ad hoc jetés en pâture à l’opinion, comme dans une farce de Molière ou une tragédie antique.

In fine c’est à la plèbe, flattée par le pouvoir et manipulée par les médias, et donc à la pauvre victime déclarée, qu’il revient de prononcer le jugement et de rétablir la vérité, en confirmant sa « souveraineté » et son penchant majoritaire pour la sagesse et la raison à coup de sondages tripatouillés. Une façon de résoudre la crise d’autorité implicite et de court-circuiter toute velléité frondeuse en confirmant finalement la bonne foi et le bien-fondé des décisions prises par nos bons médecins, notre bon Prince et de ses bons ministres. Et en condamnant de facto à l’opprobre public, aux basses fosses de la dérision et de l’ignominie, les méchants sorciers affabulateurs, jeteurs de sort et complices de ceux qui propagent la méchante peste.

Comme dans la fable du pangolin et de la chauve-souris sur l’origine zoonose du virus, le procès des hérétiques est un épisode joué d’avance, surjoué et rejoué à l’infini par les acteurs chargés de l’incarner pour occuper la populace. Comme ces bateleurs publics qui rejouent indéfiniment la saga des mythes héroïques tirés des récits d’Homère et autres Avengers hollywoodiens.

Les théories du complot sont comme des contes. Les bons et les méchants sont toujours les mêmes. Il est donc très pratique de les retourner pour en faire des repoussoirs et des machines d’ingénierie sociale afin de manipuler et retourner l’opinion, la canaliser dans les couloirs vertueux de la Pensée unique, et contenir le débat public derrière des bornes bien balisées et acceptables par le pouvoir, qui ne risquent pas de remettre en cause son action et sa légitimité selon le Droit et des grands principes.

Ces manipulations sont au cœur de l’illusion de démocratie propre à la société du spectacle dans laquelle nous sommes entretenus depuis des décennies. On met en scène une histoire, une dramaturgie et des faux débats pour occuper les esprits et bavasser sur des sujets-leurres. Comme l’écologie, le racisme, le séparatisme, la pédophilie ou les féminicides… Ou la dernière petite phrase clivante de tel ou tel ministre. Non que ces sujets n’aient pas leur importance. Mais ils permettent avant tout de dévier l’attention du public des vrais sujets plus épineux, que le pouvoir en place ne souhaite surtout pas aborder. Occuper ainsi la scène médiatique, les intellectuels de cour et les talk-shows pour neuneux, saturer les discours, afin de masquer les vrais enjeux et d’éloigner les consciences des zones d’ombres où le pouvoir peut exercer ses manœuvres et poursuivre ses buts en toute liberté, sans attirer curiosités et critiques.

Tout ce qui se situe hors du périmètre discursif et éthique autorisé, soigneusement évité par les médias officiels et les intellectuels de cour gardiens du temple de la Doxa, dans cette zone d’ombre qui échappe à la loi et à l’exercice de la démocratie, relève indifféremment donc tous pour ceux qui oseraient s’y aventurer des « théories du complot« .

Journalistes d’investigation et médias indépendants ? Chercheurs autodidactes ? Lanceurs d’alertes ?… Tous « complotistes » !

Il n’y aucun intermédiaire, aucune nuance possible dans cet ordonnancement manichéen de la vérité, qui oppose la parole officielle – forcément juste, vraie, loyale, dévouée à sa mission – et la controverse illicite qui dévie des canons du « débat » imposé – forcément hérétique, infondée, déviante, criminelle ou pathologique. Débat imposé qui n’est qu’une mise en scène destinée à conforter le pouvoir en calibrant les critiques, les petites impertinences et bouffonneries envers le fait du Prince.

Réappropriées, amplifiées, déformées, caricaturées et amalgamées par les défenseurs du pouvoir et de la Doxa officielle, les théories du complot servent donc de bouillon corrosif et émétique pour dissuader les plus suspicieux de trop y goûter. Et d’accessoire commode au pouvoir pour conforter ses discours et son autorité.

C’est même un outil rhétorique et politique du pouvoir en soi. Puisque la notion même de « théorie du complot » qui suppose l’existence de tels complots et prétend que ceux-ci sont le fait d’un pouvoir occulte ou dissimulé derrière le pouvoir apparent, n’est désignée par nature que comme une théorie. Et qu’elle ne repose donc sur rien de factuel et de vérifié, sans quoi elle ne serait plus une théorie, un axiome, une hypothèse, une supposition, mais bien une suite logique de faits avérés, et donc une réalité. En somme, la théorie du complot serait condamnée à n’être qu’un spectre, une chimère, un drame imaginaire toujours rejoué. Ce qui en soin constitue de façon ironique une théorie du complot… Ceux qui en accusent d’autres de souscrire à des théories du complot sont eux-mêmes des complotistes puisqu’ils voient dans leurs détracteurs un gigantesque complot de complotistes qui ourdissent des complots intellectuels pour leur contester leur pouvoir et leur probité. L’arroseur arrosé.

Ce rapport de fascination mimétique entre les prétendus complotistes et d’authentiques comploteurs qui s’arrangent entre eux pour retourner sur les premiers l’accusation de complot en prenant l’opinion à témoin a quelque chose de dérisoire et de comique. Une sorte de jeu de cour de récré du style « c’est pas loi c’est lui ! » pour savoir qui est le plus gros menteur. Un jeu de dupes qui ne gruge que les imbéciles et les faux-culs.

Or des complots politiques, il en a toujours existé. De grand empires de l’Antiquité aux récentes élections américaines, en passant par Sun Tse, Néron, Machiavel, les Borgia, les Médicis, Shakespeare, la Révolution française, les Procès de Moscou, la saga des Kennedy ou les liens entre CIA et Al Qaeda, il n’y a pas un pays ni une époque de l’Histoire qui y ait échappé.

La nature humaine et la politique étant ainsi faites, il serait vraiment très naïf de croire qu’il puisse exister un quelconque pouvoir qui soit totalement exempt d’intrigues et de complots. La seule question qui vaille c’est quels types de complots ? Qui les ourdit ? Au nom de quels intérêts ? Comment ? Avec quels moyens ? Quels discours ? Et dans quels buts ?

Et surtout comment s’arrange-t-on habilement pour faire en sorte qu’un « complot », serviteur le plus commun de l’appétit de pouvoir, de l’ambition ou de la cupidité, rende possible de faire basculer l’Histoire et de manipuler des institutions et des rapports de forces à son avantage ? Tout en ne paraissant jamais en être un. Mais comment s’y prend-on au contraire pour faire en sorte que la manœuvre employée et ce qu’elle comporte de répréhensible s’apparente à une légitimité, continuité, une normalité, une cause juste ou un bien supérieur ?

Engeôlés dans la mauvaise conscience, la cécité morale, le politiquement correct et les bons sentiments, les politiques et les médias voudraient nous faire croire que non seulement ils n’ont pas d’autre ambition à titre personnel que de servir la France, mais en plus que Marianne serait éternellement drapée dans une vertu virginale hiératique, telle une vestale grecque ou une sainte carmélite. Or qu’apprennent ces braves professionnels de l’embobinage à Sciences Po ? Si ce n’est à passer leur vie à se mêler aux bons complots pour servir leur carrière. A emprunter les bons courants, infiltrer les bons cercles, convoiter les bonnes places. A jurer fidélité à des mentors utiles pour mieux les assassiner ensuite. A distiller méchancetés et calomnies sur leurs rivaux. A utiliser intelligemment les cagnottes publiques pour servir leur intérêt personnel. Et à cacher au bon peuple une fois arrivés au pouvoir des vérités pas toujours bonnes à dire, au nom du secret défense ou de la raison d’Etat

Et l’on voudrait nous faire avaler que ce qui vise à nous en dire plus sur cela tout cela ne constituerait qu’une sale histoire de « théories du complot » ? Allons bon ! C’est au contraire le noyau dur et tout l’art du politique. Qui n’est pas un métier d’enfants de chœur, encore moins cette jolie fable d’une cause noble réservée à des âmes élevées, qui se résumerait au « gouvernement des affaires de la cité » (polis), comme les petits maîtres en sciences politiques nous le ressassent. Des berceuses alambiquées pour endormir les simples d’esprit.

Au final ce que cache ces théories du complot et leur réfutation, ce n’est pas des crimes et des des déviances dans l’exercice déclaré orthodoxe du pouvoir dont chacun a parfaitement conscience. Ce n’est même pas le scandale de l’hypocrisie consensuelle qui les recouvrent, au nom d’un prétendu intérêt général qui n’est que l’entendement de quelques élites autour d’objectifs et d’intérêts communs maquillés en projet éthique.

Ce que révèle la persistance des théories du complot, c’est le retour du refoulé de l’éthique collective et de la morale publique. Et le mensonge sur un contrat social perverti depuis longtemps par les élites qui en sort héritières. L’obsession des affaires et la soi-disant « moralisation de la vie politique » qui prétend y apporter remède n’est qu’une mascarade dans les jeux du pouvoir et des contre-pouvoirs pour faire oublier que celles-ci ont totalement disparu. Et que face à ce vide éthique et de sens le peuple réclame un aggiornamento sans oser en préciser la forme.

Le peuple se rue à l’occasion et se repait de ces affaires et de cs théories du complot qui discréditent les élites au pouvoir comme dans une fête foraine où il peut décompenser son ressentiment accumulé contre elles. Mais sans jamais vraiment oser remettre en cause fondamentalement leur légitimité. L’échafaud électoral en cas de haine concentré sur un candidat sortant est un succédané de guillotine. Mais le peuple français qui n’a jamais été réellement démocrate sinon en apparences et est resté au fond monarchiste aime à se rejouer éternellement la tragédie du régicide, sans jamais passer à l’acte, ni remettre en cause la légitimité de son autorité.

Le cas de conscience majeur que nous vivons, c’est celui d’un système qui a cessé depuis longtemps de fonctionné, a été kidnappé par une caste élitiste pour servir ses intérêts et non le peuple ou la nation dans un simulacre de démocratie totalement fallacieux. Avec un peuple qui n’a plus aucun moyen d’expression pour dire non à cette imposture que la rue. Et encore, cette option est désormais rendue impossible par la dictature sanitaire mise en place au prétexte de lutter contre l’épidémie de Covid, et l’interdiction de manifester qui en découle.

Ne reste plus que le terrain de la morale. Lui aussi pipé par les discours admis ou interdits. Ce rapport de forces autour des « théories du complot » est donc l’ultime rempart dans une guerre menée par les élites cotre le peuple pour les asservir en totalité. Et non contre un virus sans réelle gravité transformé en étendard de la Grande Terreur, et une épidémie qui ne tue que 0,05% de la population, mais au nom de laquelle on déploie un arsenal de mesures liberticides jamais mis en oeuvre dans toute l’Histoire, même au temps des grandes pestes médiévales qui avaient décimé plus du quart de la population européenne.

Mais cette lutte perdue d’avance au nom du bien et du mal ne conduira à rien. Car l’enjeu n’est pas manichéen, à savoir qui a tort ou raison, qui dit vrai ou faux ou si telle décision est bien ou male. L’enjeu est le Sens. Tout d’abord quel ressenti nous attachons-nous ? A ces peurs fabriquées pour nous soumettre ? A la souffrance que les décision absurdes qui sont prises génèrent en chacun de nous ? Ou à la soit d’autre chose qu’elles attisent au fond de nos consciences meurtries ? Ressenti mais aussi Direction : où allons-nous aujourd’hui ? Où ces politiques iniques nous conduisent-elles ? Et comment infléchir le cap pour revenir au supportable, sinon à la raison ? Nous, Français. Et surtout nous, humains. Ressenti, Direction, mais aussi Signification : quel sens donner à ces épreuves ? A quel Sens collectif décidons-nous de nous rallier pour orienter notre destin commun ? Quelles valeurs choisissons-nous d’adopter, et surtout d’appliquer pour orienter nos engagements et leur donner force, cohérence, efficacité au nom du bien commun ?

On le comprend : il est urgent d’aller bien au-delà du bien et du mal, c’est à dire du Jugement. De sortir des cavernes et des nimbes de la conscience, des rumeurs et des complots pur accéder à la pleine conscience de la Révélation. Non pas tant la révélation des fautes commises par certains, des crimes et des culpabilités, en vue d’un quelconque châtiment expiatoire qui ne ferait qu’on préparer la répétition selon les lois du mimétisme. Mais des mécanismes qui nous ont conduits à les laisser se déployer. Jusqu’à nous conduire dans ces enfers où nous nous abîmons aujourd’hui.

Et de voir par contrepoint comment nous en sortir collectivement. Sans attendre en endurant que les choses se dénouent d’elles-mêmes. Sans chercher à renverser la table et faire la révolution, ou des procès sanglants. Mais en utilisant les mêmes énergies, les mêmes moyens, pour servir un avenir collectif lumineux et des desseins librement consentis.

Cela s’appelle l’Eveil. Au-delà duquel il n’y a plus de théories mais la pleine conscience de ce qui Est. Et de l’expérience que nous en faisons librement, collectivement et consciemment. Plus de complots puisque tout se réalise en pleine lumière. Plus de rapport de forces mais une conjonctions d’efforts communs vers le bien commun à l’échelle du monde, admis comme la seul voie possible et profitable à tous, c’est à dire à toute notre espèce, et non plus seulement une élite, une nation ou une catégorie d’humains déclarés a priori supérieurs ou plus favorisés que d’autres.

Après tout c’est juste un vaccin !…

2020 aura été l’année du Choc.
2021 sera l’année de la Révélation.

Le monde entre en ébullition. Il n’est pas un jour sans que des mouvements antivaccins ne secouent la planète.

Ce week-end des dizaines de milliers de manifestants londoniens étaient réunis à Trafalgar Square pour crier leur colère contre le vaccin Pfizer choisi par le gouvernement de Boris Johnson, lui-même rescapé du Covid.

Ensemble ils ont gaillardement entonné ce même refrain sur la mélodie bien connue de Elle descend de la montagne à cheval :

YOU CAN STICK YOUR VACCINE UP YOUR ASS! [i]
YOU CAN STICK YOUR VACCINE UP YOUR ASS!

YOU CAN STICK YOUR VACCINE…
YOU CAN STICK YOUR VACCINE…
YOU CAN STICK TOUR VACCINE UP YOUR ASS!

Les sujets de Sa gracieuse Majesté auraient-ils donc perdu leur flegme ?

Il faut dire que Londres est après Berlin la capitale européenne qui a réuni en août dernier le plus grand nombre de manifestants devant Buckingham Place pour dénoncer la mascarade du coronavirus. Et défendre les libertés saccagées sous prétexte de mettre en place des mesures sanitaires passablement totalitaires.

A Berlin entre 2 et 7 millions de manifestants venus de toute l’Europe avaient défilé toute la journée et applaudi le sénateur démocrate Robert Kennedy Jr., lors d’un discours prononcé devant la foule pour fustiger l’avidité criminelle de Big Pharma, et l’imposture du Nouvel Ordre Mondial. A l’endroit même où son oncle, l’illustre Président John F. Kennedy, avait prononcé son fameux discours contre la dictature communiste face au Mur de la honte : « Ich bin ein Berliner ! »

BFM TV, la chaîne de l’Elysée, avait cru bon de mentionner que « 30.000 complotistes d’extrême droite » avaient défilé pour dénoncer la soi-disant « mise en scène » du coronavirus.

Et la France ? Elle peine à s’éveiller d’une longue torpeur.

Après la répression ultra violente contre le mouvement des Gilets jaunes et les manifestations de 2019 contre la réforme des retraites votée en catimini, la France est encore à moitié groggy.

La Grande Terreur médiatique, le matraquage de la propagande des chiens de garde du régime, associés à une censure sans précédent depuis l’Occupation, ont rendu possible l’Opération Kaa, du nom du serpent hypnotiseur dans Le livre de la jungle, orchestrée par la marionnette Macron.

Telle la Belle au Bois dormant, Marianne tarde à se dégriser d’un songe empoisonné. Et reprend péniblement depuis ce weekend le chemin des manifs, des voitures brûlées, des gaz lacrymos et des tirs de LBD.

Mais la prise de conscience n’est pas encore aujourd’hui, loin de là, le fait majoritaire dans l’opinion.

L’Article 24 de la Loi Sécurité globale exacerbe bien colères, frustrations et ressentiments. Les plus endurcis sont remontés contre la seule « Deuxième vague » existante, celle des violences policières et de La Dictature En Marche.

Mais l’ouverture des esprits face aux véritables enjeux de cette fausse crise sanitaire et de ce vaccin miracle dont on nous rebat les oreilles n’est pas encore à l’ordre du jour.

L’heure est plutôt à la décompensation consumériste à l’approche des fêtes. Encouragée par le gouvernement comme dérivatif à la grogne. Et suivie par le troupeau désireux de se venger d’une année de prison et de privations.

Un leurre de plus.

Car enfin après tout, pourquoi faire un tel foin ? Après tout c’est juste un vaccin ?…

Ignorance et lassitude obligent, beaucoup veulent y croire. Comme une porte de sortie à cette épidémie et son cortège de vexations anxiogènes qui s’éternisent. En faisant semblant de s’accrocher au vaccin, et en faisant semblant d’accepter les propos lénifiants du corps médical.

La plupart se réjouissent à l’avance de cet épilogue qui n’en est pas un, et se cramponnent à ce faux espoir.

Déjà le troupeau s’ébranle bon an mal an pour recevoir la Saint-Sylvestre passée le Saint chrême délivré par Moderna, Pfizer ou Sanofi.

A commencer par « les plus fragiles : nos aînés ». Désignés par un Jupiter soudain magnanime comme cobayes pour tester le machin.

Tout de même. Ne serait-il pas opportun de se poser quelques questions avant de se jeter tête baissée vers le précipice ?

Et si cette « vaccination » globale sinon obligatoire (du moins pour le moment) n’avait absolument pas pour but de nous vacciner ?

Et si notre système immunitaire, dont personne ne parle jamais, nous avait déjà collectivement immunisés contre un virus et une épidémie somme toute très banals et peu dangereux comparés à d’autres ? Comme c’est le cas en Suède, qui n’a pourtant jamais confiné, ni instauré de couvre-feu, ni de gestes barrière, ni obligé à porter le masque.

Et si le but réel de toute cette mascarade était de permettre à quelques grands laboratoires pharmaceutiques de vendre des vaccins durant quelques années pour un marché estimé à 1.000 milliards de dollars ? (On se souvient de Donald Rumsfeld, alors actionnaire principal et CEO de Gilead Science, dont la fortune lors du scandale du H1N1 en 2010 avait bondi suite à la vente de milliards de boîtes de Tamiflu).

Et si derrière ce sordide calcul mercantile, très typique de Big Pharma et de ses mécènes, il y avait d’autres buts encore plus inavouables ?

Et si le fameux « carnet vaccinal numérique » annoncé par Bill Gates il y a 10 ans, mis au point sous l’égide de sa fondation, breveté par Microsoft, testé cette année au Kenya et au Malawi, et dont l’inclusion dans le vaccin anti-Covid a été confirmé récemment sur LCI, était l’un des buts inavoués de ce vaccin ? Avec comme conséquence un traçage numérique ultra précis grâce au nouveau réseau 5G, et la possibilité de contrôler à tout moment le statut vaccinal de n’importe qui. Avec à la clé un apartheid sanitaire et un système de « carnet social » à la chinoise mis en place pour départager les « bons » et les « mauvais » citoyens.

Et si cette injection visait également à réaliser à très grande échelle une expérimentation de nouvelles techniques de génie génétique utilisant des pseudos « vaccins » à ARN messager pour modifier notre ADN ? Et donc pour modifier le génome humain de façon irréversible ? Comme l’ont confirmé Bill Gates et Laurent Alexandre, fondateur de Doctissimo, patron d’une start-up d’ingénierie génétique, et pape français du transhumanisme.

Mais à quelle fin ?…

Et si ces injections successives de nouveaux « vaccins » aux effets totalement inconnus, justifiées pour combattre un virus fabriqué par l’homme, mutant et donc résistant aux vaccins, mais qui contiendrait, aux dires de certains des plus grands épidémiologistes mondiaux, jusqu’à 157 insertions virales inconnues plus 4 séquences du VIH et une de la malaria, étaient conçues pour générer des interactions et pirater les mécanismes naturels de réplication génétique afin de produire de façon sournoise des virus mortels dirigés contre l’organisme lui-même ? Une forme d’eugénisme plus discrète qu’une brise légère.

Et si nous étions en effet à l’aube du plus grand génocide de masse que l’Histoire humaine ait jamais connu ?

Et si les dizaines de procès intentés tout récemment contre Macron, Véran et autres criminels notoires par plusieurs juristes et médecins français pour « génocide » et « crime contre l’humanité » n’étaient pas la résultante d’une paranoïa « complotiste », mais le fait de citoyens éclairés, lucides et courageux ?

Le pire n’est jamais sûr, mais s’y préparer est la meilleure façon d’y échapper.

Aussi invraisemblable que tout cela puisse paraître, les convictions de dizaines de milliers de chercheurs, médecins, experts économiques, financiers, monétaires, juridiques, de magistrats, policiers, journalistes et hommes de médias, de lanceurs d’alerte et d’intellectuels convergent aujourd’hui vers une même certitude : il se passe quelque chose d’excessivement grave à l’échelle de la planète. Et il est urgent d’alerter, de faire bloc et de réagir avant qu’il ne soit trop tard.

Quand les camps d’extermination furent libérés par les soldats russes et américains en 1945, quand l’horreur de la Shoah fut révélée au monde incrédule, beaucoup qui avaient pourtant assumé de lourdes responsabilités durant la guerre n’eurent rien d’autre à dire que « Nous ne savions pas ».

Et nous, que dirons-nous à nos enfants dans 10 ou 20 ans ?…
« Nous ne savions pas » ?…


[i] Vous pouvez vous foutre votre vaccin dans le cul !

MESSA DA REQUIEM

Les 4 cavaliers de l’Apocalypse

Dans une tribune du 24 novembre 2020 intitulée Le sentiment de privation de la messe ne concerne que les catholiques les plus zélés, le journal Le Monde, tout empressé à servir comme un laquais le pouvoir qu’il a contribué à faire roi, tente de nous persuader que la querelle des messes, à savoir cette fronde d’une partie des catholiques pour exiger que les églises soient rouvertes malgré le confinement et qu’ils puissent se rendre à la messe, ne serait qu’un prurit ou un caprice de la frange la plus conservatrice des catholiques français.

La vérité c’est qu’il n’en est rien. Même s’il est vrai que les conservateurs sont plus attachés à exprimer leur foi sous la forme de la traditionnelle messe dominicale que les catholiques plus libéraux qui ne se rendent à l’église qu’occasionnellement.

« La messe » n’est cependant pas loin de là le seul enjeu dans cette affaire.

Le Projet de loi Savary sur la réforme de l’enseignement privé voulue par François Mitterrand en 1984 avait jeté plus de 2 millions de personnes dans la rue, entraînant l’abandon définitif du projet. En 2020, quoi de plus normal que certains citoyens croyants ou simplement attachés à la liberté de culte, un droit fondamental énoncé dans les grands principes de notre République laïque et garanti par notre Constitution, se mobilisent pour faire valoir ce droit ? Qui plus est dans une période d’exception où absolument toutes les libertés fondamentales ont été abolies ou drastiquement réduites de façon totalement arbitraire par une authentique dictature.

Rappelons que depuis le début de cette année, et même avant si l’on prend en compte le record de violences policières déplorées en réponse au mouvement des Gilets jaunes, la liberté de manifester, la liberté de se réunir, d’aller et venir, de voyager, la liberté de s’associer, de travailler, d’entreprendre, la liberté de conscience, d’opinion et d’expression, la liberté de la presse, et la liberté de culte ont toutes été gravement réduites et restent aujourd’hui menacées. Sous le prétexte de mesures sanitaires jugées pourtant inutiles, dangereuses, et contestées par une grande partie du corps médical et de la magistrature. 600 médecins et 1000 avocats sont ainsi aujourd’hui vent debout contre le gouvernement pour dénoncer ces mesures liberticides et ce qu’ils désignent comme une dictature sanitaire. Qu’il s’agisse de la distanciation sociale, du port du masque obligatoire, du traçage numérique, de l’attestation dérogatoire de déplacement, du confinement et du couvre-feu. Et de ces mesures répressives et punitives infondées, disproportionnées et en grande partie illégales mises en place pour les faire respecter : patrouilles de policiers casqués et en armes dans les lieux publics, contrôles, intimidations, violences, amendes, arrestations et détentions arbitraires, privations de libertés… Du jamais vu en France depuis l’Occupation et les sombres heures de la Gestapo et de la Milice de Vichy.

Quant à cette « dictature » qu’est devenue la France depuis cette année, ce n’est nullement une métaphore ou une expression exagérée. La France n’est pas la Suisse, par exemple. La réponse politique apportée à la même épidémie par les gouvernants des différents pays de notre continent diffère radicalement.

Depuis le 23 mars 2020 (et a priori au moins jusqu’au 15 février 2021), la France vit sous un « état d’urgence sanitaire« . Un concept qui n’existe nulle part dans le droit français ni dans le droit international. L’exécutif a donc les pleins pouvoirs. Comme en temps de guerre ou de péril majeur mettant en danger la nation.

Or une épidémie n’est pas une « guerre ». Un virus n’est pas un « ennemi ». C’est même une chose tout à fait banale qui se produit chaque année lors de la grippe saisonnière, causée par un coronavirus de la même famille que le SRAS-CoV-2 responsable du Covid-19.

« Nous sommes en guerre ! » Cette métaphore guerrière martelée à 5 reprises en mars dernier par le Président Macron dans son premier discours télévisé sur l’épidémie, a été interprétée à juste titre par une majorité d’analystes politiques comme un signal extrêmement préoccupant. De même que cette notion abusive « d’état d’urgence sanitaire » que rien ne peut justifier et qui fait implicitement référence au précédent état d’urgence décrété conformément à la Constitution par le Président Hollande suite aux attentats terroristes de 2015 et 2016. A l’époque la France était engagée militairement au sein d’une coalition internationale en Irak et en Syrie dans une guerre menée conjointement contre une organisation terroriste : l’Etat islamique. Ce qui n’est aucunement le cas aujourd’hui. Jamais dans notre Histoire une « guerre » n’a été déclarée contre une peste ou tout autre maladie. Un total non-sens du point de vue épidémiologique, juridique ou politique.

A moins qu’il ne s’agisse d’une tout autre guerre. Et que l’ennemi ne soit pas du tout celui désigné…

Plus grave encore est cette dérive autoritaire et même totalitaire de l’exécutif, qui met gravement en péril nos institutions, comme le dénoncent certains juristes et constitutionnalistes. Selon notre Constitution, la France est une République parlementaire. Le Parlement est le représentant du peuple, il est élu par lui au suffrage universel direct. Il représente le pouvoir législatif, discute et vote les lois proposées par le gouvernement ou élaborées en commissions. Il vote le budget de l’Etat, contrôle l’action du gouvernement, et le sanctionne en cas de non-respect des principes ou d’opposition de fond sur sa politique. Il est aussi le seul à pouvoir prononcer au titre de l’Article 68 de la Constitution la destitution du Président de la République en cas de faute grave.

Aujourd’hui le Parlement ne sert plus à rien. Bien que LREM le parti du Président ait la majorité absolue aux deux chambres, l’Assemblée comme le Sénat ne sont quasiment plus consultés. Le temps de parole des parlementaires lors des interventions, comme celui accordé pour discuter les lois et les amendements, ont été considérablement raccourcis. Beaucoup de parlementaires de l’opposition comme de la majorité s’en sont émus. Une vingtaine de députés et de sénateurs LREM ont quitté ce groupe depuis 2017, en exposant leurs divergences avec l’exécutif à propos de ces lois liberticides et de cette dérive autoritaire du régime.

Depuis mars, le gouvernement ne légifère, sur la politique sanitaire ou sur d’autres sujets, que par ordonnances ou par décrets. Il ne rend plus compte de son action devant Parlement, comme la Constitution le prévoit.

Il y a quelques semaines, le Ministre de la Santé Olivier Véran est venu en urgence à l’Assemblée pour intervenir dans une crise de nerfs hystérique mémorable, insultant et fustigeant les députés présents outrés à cause de leur manque de solidarité attendue envers les mesures décidées par le gouvernement dans les hôpitaux. Un esclandre d’autant plus irrespectueux et malvenu que le ministre est, avec le Premier ministre sortant Edouard Philippe et d’autres ministres, sous le coup de multiples procès attentés contre le gouvernement par des familles de victimes ou des collectifs excédés par les mesures prises depuis le début de l’épidémie.

Une scène qui est surtout très représentative de cette confiscation autoritaire du pouvoir législatif. Et donc de cette violation du principe de séparation des pouvoirs entre le législatif, l’exécutif et le judiciaire, qui constituait depuis Montesquieu le socle de notre démocratie. Aux yeux de certains magistrats français comme Maître Carlo Brusa, cette absence de séparation des pouvoirs est à elle seule du point de vue juridique ce qui définit une dictature ou une monarchie absolue, par opposition à un état de droit démocratique.

Plus grave encore, depuis quelques semaines le Conseil des ministres est suspendu. Toutes les décisions essentielles concernant par exemple les dates et les modalités du confinement ou du couvre-feu ont été prises par un Conseil de Défense réuni par Macron seul, et qui décide de tout. Ses membres se réunissent à huis clos. Ils sont strictement tenus au secret défense, comme en temps de guerre. Contrairement au Conseil des ministres, ce Conseil de Défense ne rend jamais compte à personne. Il ne fait aucun communiqué à la presse, ce qui est pourtant l’une des conditions de la respiration démocratique et de la confiance entre l’exécutif et le peuple. Pire encore, aucune de ses décisions, fussent-elles éminemment criminelles, ne sont opposables devant la Haute Cour de Justice, ni devant aucune autre juridiction !

On en vient même aussi à se demander si le Conseil Constitutionnel, le Conseil d’Etat et la Cour des Comptes existent toujours.

Quant à « l’opposition » politique (théorique), elle a été réduite à néant en 2017. Suite au dégagisme qui a mis à la retraite tout le vieux personnel politique, suite aux affaires qui ont entaché la campagne de 2017. Et surtout suite au rapt politique opéré sur les principaux partis (Parti Socialiste pour la gauche, Modem et UDI pour le centre, Les Républicains pour la droite) siphonnés par ce nouveau parti En Marche ! « ni de droite ni de gauche » créé par le candidat Macron juste avant les élections présidentielles. Et transformé en LREM lors des législatives de 2017.

Depuis 2017 la vie politique en France n’existe plus. Du fait de la majorité absolue de LREM au Parlement, d’une explosion des grands partis traditionnels, d’une absence totale de débat et de challenger politiques, et de toute possibilité d’une véritable alternance. Un coup de maître. Planifié de longue date par les stratèges progressistes qui ont fabriqué le hochet Macron.

La France est aujourd’hui de fait en situation de parti unique. Comme en Chine, le modèle suivi par ces stratèges désormais aux commandes de l’Etat par marionnette interposée. Ou comme en URSS sous Staline. Les autres partis ne font que de la figuration. Même le Rassemblement National de Marine Le Pen, présenté depuis plusieurs années comme le premier parti d’opposition, se contente aujourd’hui d’aligner quelques vagues poncifs sur l’Islam ou l’immigration, sans jamais vraiment égratigner le pouvoir en place. Il a en réalité renoncé à jouer son vrai rôle d’opposant. Sa Présidente, championne de l’antisystème en 2017, est aujourd’hui totalement alignée sur les positions gouvernementales. Elle soutient notamment sans broncher toutes les mesures de cette politique sanitaire criminelle conduite depuis mars. La dérive liberticide du régime ne l’effleure même pas. Cette nouvelle poupée Bilderberg citée en 2015 au Palmarès des 100 personnalités les plus influentes dans le monde par Time Magazine, n’est qu’un simple leurre, la caution « patriotique » des mondialistes, et une roue de secours en cas de plantage magistral de Macron d’ici 2022.

La France de Macron depuis 2020 présente donc toutes les caractéristiques objectives d’une vraie dictature. Si l’on reprend l’archétype de la dictature moderne tel que défini dans l’œuvre de George Orwell et analysé par Michel Onfray dans son essai Théorie de la dictature, on retrouve une grande partie des critères qui permettent de définir une dictature type. Et même pire si l’on tient compte des nouvelles technologies de surveillance, d’ingénierie sociale et de contrôle des populations comme la 5G, la reconnaissance faciale, l’analyse prédictive des comportements, les smartphones, les drones, les caméras de surveillance sophistiquées, la fabrique de l’opinion par les médias, le contrôle des réseaux sociaux…

Cette dictature n’est évidemment pas proprement française mais mondiale. Macron n‘est pas un dictateur au sens classique du terme, comme l’ont été Mussolini, Hitler ou Staline, mais un simple exécutant. Le haut-fonctionnaire d’un système qui l’a créé et mis là pour appliquer un programme précis.

Un programme déjà ancien dont on connaît les contours : destruction de l’état-nation, de la souveraineté nationale, de la vie politique et de la démocratie fondées sur la représentativité, le débat et l’alternance démocratiques, neutralisation de tous les contre-pouvoirs, manipulation de l’opinion par des médias acquis au pouvoir, répression violente des mouvements sociaux ou contestataires, destruction de tous les services publics démantelés et privatisés l’un après l’autre, et bien sûr le Plan Covid en vue du Great Reset.

Macron n’est donc pas un dictateur, mais un destructeur. Le Terminator de la 5e République et de la France en tant que nation souveraine. Condamnée à être détruite, dissoute et absorbée dans le Nouvel Ordre Mondial des Rothschild, Rockefeller, Bush, Gates, Sarkozy, Attali… La France n’est donc pas sous la férule d’un autocrate, mais elle est bien EN DICTATURE. Fermement engagée dans ce processus de basculement que nous vivons actuellement, la France de Macron figure même aux yeux de bon nombre d’analystes comme la championne d’Europe de La Dictature En Marche, son meilleur élève et sa locomotive. A titre de seul exemple, l’interdiction de prescrire l’hydroxychloroquine, unique médicament avéré efficace contre le Covid-19 par plus de 100 études dans le monde, et l’enterrement du protocole du Professeur Raoult pourtant adopté par plusieurs pays dont les Etats-Unis, au terme d’une cabale calomnieuse de près d’un an mettant en cause le plus grand magazine scientifique au monde The Lancet corrompu comme une large part du monde médical, dans le but de servir les intérêts de Gilead et d’autres laboratoires mécènes de Macron et de son parti LREM, sont un cas unique au monde !

Cette dictature sera officialisée d’ici fin 2020 grâce à un vote du Parlement visant inscrire l’état d’urgence sanitaire dans le droit commun. Une première dans le monde. Cet état d’urgence deviendra donc définitif et il sera juridiquement impossible d’en sortir.

Attali l’avait voulu, il l’avait encore tout récemment annoncé. Macron, son fils spirituel, l’a fait.

Ite missa est. La messe est dite, mais pas celle que l’on croyait.

Dans une interview sidérante réalisée le 14 avril 2020 par deux journalistes du Financial Times, Macron l’air totalement halluciné annonçait : « Je crois que notre génération doit savoir que… la Bête de l’évènement est là ! Et elle arrive… » Et d’ajouter en réponse aux questions des journalistes qu’il croyait en « une forme de Transcendance. Quelque chose qui dépasse… »

Assurément ce « quelque chose » n’a pas grand-chose à voir avec ce que les catholiques vont honorer quand ils se rendent à la messe le dimanche. Ni avec les années passées chez les jésuites du jeune Emmanuel (Dieu avec nous). La fascination, l’emprise même qui semble transparaître dans les égarements, les décompensations et les logorrhées circonvolutives de ce jeune-homme trouble qui bien souvent prétend faire l’ange, semble malheureusement avoir bien plus à voir avec « la Bête ».

Comprenne qui pourra…