Qu’est-ce que le « complotisme » ?

Mis en avant

Le problème du vrai complotisme (pas celui inventé par la CIA pour discréditer toute remise en cause de la « vérité » officielle), c’est qu’il réduit la complexité de la réalité à une cause unique, sur un mode paranoïaque : le NOM, les Illuminattis, les super-riches, le complot judéo-maçonnique mondial, les pédosatanistes (démocrates) buveurs d’adrénochrome, les bloodlines qui remontent aux Mérovingiens, les Reptiliens…

Comme si un seul acteur, diabolisé, pouvait résumer tous les pouvoirs et expliquer tous les malheurs du monde.

Partant, il se discrédite, et devient un objet de railleries pour tout esprit un peu réaliste et équilibré.

Le problème, c’est que les théories complotistes s’appuient souvent au départ sur des faits réels, sur lesquels elles brodent pour diverses raisons, agrégeant rumeurs, fantasmes, projections, calomnies ou délires. Ce qui discrédite du même coup toute tentative d’analyser honnêtement et rigoureusement ces faits, en faisant la part des choses entre la propagande et ce qu’elle cache.

En effet, ce concept de NOM et la stratégie qui l’accompagne existent bel et bien au sein des élites financières anglo-saxonnes (depuis le 18e siècle), les Illuminattis existent toujours aujourd’hui (selon les témoignages de francs-maçons « défroqués »), les grandes dynasties bancaires contrôlent bien le système financier et l’économie mondiale (depuis des siècles), de même que les Etats par le biais de la monnaie et de la dette, il y a bien des Juifs et des francs-maçons dans les réseaux de pouvoir, comme au sein de l’élite mondialiste (mais aussi des protestants, des athées, des Africains, des Chinois…), les réseaux criminels pédophiles comptent beaucoup d’hommes de pouvoir parmi les « consommateurs » réguliers de chair fraiche, rarement poursuivis (les rapports de police l’attestent). Pour le reste, ça frise le délire. Encore qu’il existe des lignées royales, et sans doute des formes de vie extraterrestres qui visitent la terre…

Pour debunker cet anathème de « complotisme », il faut refuser de se laisser piéger par cette logique et cette rhétorique, ne pas rentrer dans un combat argument contre argument. Mais faire valoir que le complotisme est exactement le même type de concept que l’hérésie. Lequel n’a donc rien à voir avec la pensée rationnelle, avec des faits objectifs qui seraient contestés par des affabulations. Mais qu’il relève chez ceux qui l’invoquent de la pensée mythique, religieuse, théologique. Une pensée qui oppose une Vérité révélée, par une Autorité supérieure d’essence incontestable (Dieu, la Transcendance du Pouvoir, le Savoir scientifique, l’Oracle médiatique…), donc inamovible et infaillible, à des affirmations contradictoires qui relèvent du blasphème, du péché, de la possession démoniaque, de la démence (dementiademonia). Et donc que le seul moyen de ramener un complotiste, comme un hérétique, sur la bonne voie est de le brûler pour sauver son âme. En aucun cas le Dogme ne saurait être remis en cause, puisque le simple fait de soulever une hypothèse non validée constitue une ruse du Démon.

La seule façon d’en sortir, c’est d’exposer cette mécanique. A savoir que la propagande et l’Inquisition anti-complotistes, anti-fake news relève d’un système de croyances et de représentations officielles confortées par des clercs, dont le seul but n’est pas la recherche d’une vérité ou d’un consensus établis sur une base rationnelle, mais de conforter un Pouvoir par le jeu des discours et de la coercition. Ce que Michel Foucault a parfaitement décrit.  

La Solution vaccinale

Là où le mouton fait défaut
La chèvre est appelée Majesté.

(proverbe turc)

Y aurait-t-il un parallèle effroyable entre la Conférence de Bilderberg et celle de Wannsee ?

Balayons tout de suite les drapeaux « Complotiste ! » qui s’élèvent à cette simple évocation. Et tâchons de décrypter la logique des faits. Retour sur une année et demie de crise du Covid.

D’abord on a terrorisé la planète avec un virus bidon bidouillé en laboratoire.

Ensuite on a agité le spectre d’une pandémie effroyable qui allait décimer une bonne part de l’humanité.

Tout de suite après nous avoir saisis, on nous a assuré que seul un vaccin pourrait un jour nous sauver.

De messages alarmistes en mesures fantaisistes, on nous a interdit de nous approcher les uns des autres sous peine d’être arrêtés, et on a abrégé les souffrances de nos vieux dans leurs EHPAD.

Comme si cela ne suffisait pas, on a interdit aux médecins de prescrire les seuls traitements qui eussent pu nous guérir, sous peine d’être radiés du Conseil de l’Ordre.

Peu après, on s’est acharné à fabriquer de faux « décès » et de faux « cas » pour entretenir la psychose et justifier d’autres mesures insensées. En achetant les médecins et en manipulant les statistiques.

Pour ajouter l’exaspération à la terreur on a supprimé toutes nos libertés, on nous a enfermés durant des mois. Ce qui n’a eu pour seul effet que de faire flamber les contaminations.

On s’est bien efforcé de faire s’effondrer l’économie, de façon à ruiner petits commerces, patrons de restaurants ou de discothèques. Histoire d’assurer un ronflant transfert de richesses vers les grandes multinationales dont la cote a explosé au Dow Jones.

Une fois que nous étions tous bien déprimés, suicidés ou ruinés, on nous a assuré que nous pourrions revenir à une vie normale à condition de nous faire vacciner.

On a soigneusement omis de préciser que ces injections n’étaient en aucun cas des « vaccins ». Qu’elles n’avaient aucune efficacité prouvée, et que de toutes façons il allait falloir rester confinés.  

Cerise sur le gâteau leurs redoutables effets secondaires allaient décimer une partie de la population beaucoup plus rapidement et efficacement que le virus lui-même. Grâce aux adjuvants toxiques inclus dans ces vaccins, et aux variants fabriqué à l’aveugle par notre système immunitaire violé par l’ARN messager. Rendant d’ici l’automne prochain l’épidémie totalement hors de tout contrôle, comme le pronostiquent les épidémiologistes.

Surfant sur la panique liée aux 2e, 3e, 4e vagues, on a accéléré le processus vaccinal à échelle industrielle. Mobilisant jusqu’aux vétérinaires pour administrer la mort en série dans des « vaccinodromes » qui n’ont plus rien à envier aux chambres à gaz.

Des experts de premier plan, des lanceurs d’alertes, des spécialistes en épidémiologie, en génétique, en pharmacie, en économie, en droit ont tenté de nous alerter. De même que les journalistes ou de simples citoyens qui ont relayé leurs publications. Ils ont tous été traqués sans relâche, dénoncés, censurés, intimidés, culpabilisés, pénalisés, jetés en pâture à l’opinion comme de dangereux « complotistes ». Parfois même arrêtés et internés de façon arbitraire, sans aucun procès, comme dans n’importe quelle dictature totalitaire.

Les enfants placés dans les écoles de la République – les seules désormais habilitées à délivrer un enseignement – ont subi dès l’âge de six ans un matraquage idéologique systématique, à un rythme sans nom. Ils ont été empêchés de respirer, de jouer, de se parler, de se toucher, isolés, masqués, testés sans l’accord de leurs parent, torturés physiquement et psychiquement, sommés de dénoncer leurs parents déclarés « sectaires » quand ceux-ci osaient critiquer à la maison la politique actuelle, et parfois retirés de leur famille.

A ceux qu’on a conduits par cohortes entière vers le Saint-Graal, cette piqûre annoncée comme le messie, on n’a surtout pas expliqué que ces faux vaccins allaient permettre de les tracer. Qu’un certificat vaccinal numérique sous forme de nanoparticules encryptables déjà testées était inclus comme cadeau-surprise dans le cocktail qu’on leur a injecté.

Pour les y préparer on leur a fait accepter que désormais ils devraient se munir d’un passeport santé adopté par l’Union Européenne. Une sorte de sésame qui les autoriserait désormais à voyager, à se déplacer, ou à se rendre dans des lieux publics dont l’accès serait réservé à ceux qui pourraient ainsi prouver qu’ils sont bien vaccinés.

On a moins insisté sur le fait que ce nouveau passeport serait bientôt relié à d’autres fichiers, étendu à d’autres fonctions. Comme c’est déjà le cas aux Etats-Unis : état civil, carnet de santé, casier judiciaire, données bancaires et financières, et autres big data pourtant confidentielles livrées à la discrétion de Big Business et de Big Pharma. Un outil de contrôle absolu des populations à l’échelle mondiale, comme il n’en avait jamais été conçu dans aucune dictature auparavant.

Alors que des couples, des familles, des communautés, des nations se déchiraient pour savoir qui avait raison ou tort et ce qu’il fallait faire de ce climat d’extrême confusion, la population a très vite été divisée en deux catégories de citoyens opposés : les bons et les méchants. Les bons ce sont tous ceux qui obéissent sans broncher aux consignes sanitaires et ne posent jamais de questions : masque, distanciation, gestes barrière, confinement, couvre-feu, tests, vaccinations… Les méchants ce sont ceux qui s’émeuvent des libertés saccagées, des effets néfastes de ces mesures absurdes, de leur caractère inutile ou dangereux. Ceux qui refusent d’être transformés en troupeau de moutons sagement conduits à l’abattoir. Ou pire : qui refusent de se soumettre, osent le dire et descendre dans la rue pour défendre les libertés.

Bref, le monde était divisé en deux camps : ceux qui cèdent à la peur et se laissent gentiment humilier, infantiliser, déresponsabiliser, ôter toute dignité, toute liberté, toute humanité. Et ceux qui résistent, refusent de rentrer dans le rang, et luttent à la mesure de leurs moyens contre une dictature infernale qui s’abat chaque jour de plus en plus sur la planète entière.

Aux premiers on remettait des bons points et on promettait le Salut, la Lumière, la « sortie du tunnel » comme le répètent à l’envi les ministres, hélas toujours repoussée à plus tard. Pour finir on les accoutumait par paliers à se laisser glisser vers un asservissement total, à se laisser réduire à l’état de bétail, de marchandise ou de simples esclaves d’un système déshumanisé.

Les autres seraient tout bonnement condamnés à disparaître, d’une façon ou d’une autre. Mis au ban de la société, interdits de tout, ils finiraient par craquer et rentrer dans le rang. Les plus irréductibles parmi les réfractaires aux vaccins seraient emmenés de force dans de véritables camps de concentration baptisés « centres de confinement ». Là ils seraient vaccinés et pucés de force, puis rééduqués. Au pire on n’entendrait plus parler d’eux.

Ne nous leurrons pas, ces camps existent déjà bel et bien ! Beaucoup ont été ouverts en 2020. Aux Etats-Unis, au Québec, en Allemagne, en Australie, en Nouvelle Zélande… Le Danemark pourrait bientôt contourner une loi les autorisant qui avait été retirée après neuf jours de blocus du Parlement par le peuple. Et bien sûr c’est en Chine qu’on compte les plus gigantesques de ces camps. Un pays qui fait figure de modèle à suivre. Ce n’est pas nouveau : David Rockefeller en visite dans la République Populaire du Président Mao au beau milieu des années 1960 s’était enthousiasmé à son retour aux Etats-Unis pour ce régime qui savait si bien s’y prendre pour contrôler ses populations ! La Chine des années 2020 et son système de crédit social qui empêche toute vie possible hors du cadre prévu par le régime est sans équivoque l’exemple à imiter pour toutes les nations occidentales.

Si l’on ajoute à ce tableau sinistre les déclarations appuyées de tel ou tel oligarque comme Bill Gates, Jacques Attali, George Soros ou Klaus Schwab vantant les vertus de l’eugénisme et de la réduction programmée des populations, on comprend qu’on n’a pas du tout affaire à un délire complotiste mais à un authentique programme d’extermination massive à l’échelle mondiale.

Une folie qui n’est pas nouvelle puisque certains théoriciens du libéralisme et oligarques partisans du mondialisme en vantaient déjà les vertus dès le 18e ou 19e siècle.

Aujourd’hui cette oligarchie qui dirige le monde et contrôle absolument tous les pouvoirs dispose de tous les moyens nécessaires pour mener à terme cette stratégie macabre : moyens financiers, économiques, scientifiques, politiques, policiers, industriels, logistiques, administratifs, médiatiques, numériques.

Annette Wievorcka, historienne et scientifique, a écrit : « Auschwitz est le symbole de ce qui peut se passer quand les droits de l’homme ne sont pas respectés. »

Et Imre Ketesk, écrivain et ancien déporté, d’ajouter : « Auschwitz n’a pas été un accident de l’Histoire, et beaucoup de signes montrent que sa répétition est possible […] Auschwitz ne constitue pas un cas d’exception, tel un corps étranger qui se trouverait à l’extérieur de l’Histoire normale du monde occidental, mais bien l’illustration de l’ultime vérité sur la dégradation de l’Homme dans la vie moderne. »

Aujourd’hui non seulement les droits de l’homme ont tous été confisqués, mais pire, ils sont toujours revendiqués chaque jour par cette idéologie progressiste détaillée à toutes les sauces, comble du mensonge et credo des mondialistes. Une idéologie qui prétend œuvrer pour la paix, le bonheur de l’humanité et le sauvetage de la planète. Mais qui avance depuis quarante ans et plus des politiques dont les conséquences sur l’humanité sont l’exact opposé des buts annoncés. Le mensonge absolu.

Quant à une éventuelle Shoah de l’humanité à laquelle il semble difficile de nier que nous assistions aujourd’hui, elle n’est que l’aboutissement final de la logique matérialiste et scientiste qui s’est incarnée du point de vue politique dans ce que le capitalisme et le communiste ont produit de pire. Comme l’avait prophétisé George Orwell dans sa dystopie 1984.

Une logique qui a trouvé son aboutissement et sa justification avec cette idéologie progressiste inventée à partir du 18e siècle par une oligarchie bancaire et financière anglo-américaine. Une oligarchie claire sur sa stratégie et ses buts – conquérir le monde – et qui a réalisé en à peine deux siècles une véritable OPA sur les économies mondiales comme sur tous les pouvoirs politiques. En détruisant patiemment les états-nations, condamnés à être engloutis dans un Nouvel Ordre Mondial totalitaire, technosécuritaire, inégalitaire, ploutocratique et transhumaniste, tout entier contrôlé par une poignée d’oligarques. Un Ordre qui s’apprête à étendre son empire sur chaque individu, et qui entend contrôler grâce aux nouvelles technologies chaque aspect de la vie privée. Jusqu’à nos corps, nos pensées, nos interactions, nos actes et nos mouvements bientôt entièrement pilotés par la Matrice.

Ce n’est pas de la science-fiction. Il suffit pour s’en convaincre d’écouter Klaus Schwab, Président du Forum Economique Mondial et transhumaniste militant, vanter dans une vidéo publiée sur YouTube les mérites de la nouvelle interface numérique développée sous forme de puce implantable dans le cerveau par la firme d’Elon Musk, ainsi que des smart dusts, ces « poussières intelligentes » mises au point sous l’égide de la fondation de Bill Gates et incluses dans les vaccins, qui permettront d’ici à peine dix ans de relier chaque individu à l’Intelligence Artificielle et de contrôler à distance ses émotions, ses réflexes, ses pensées… Le Meilleur des mondes en version XXL.

Le plus cynique et abject, c’est que tout ce cauchemar en cours de réalisation est justifié au nom de valeurs humanistes vidées de leur sens et retournées en arme de destruction massive contre les esprits. Comme les droits de l’homme, la paix, le progrès, la sécurité, le développement durable ou la prévention des risques politiques, économiques, sanitaires.

Cette 3e Guerre mondiale déclarée à l’humanité, cette Shoah planétaire a commencé en 2020. Elle se poursuivra dans les prochaines années si nous ne faisons rien. En commençant par l’élimination médiatique, sociale et politique des brebis galeuses : ces non-vaccinés réfractaires au rouleau compresseur, qui rapidement détruira le reste de l’humanité ou la réduira à un cheptel de robots humains amendables, modifiables et commercialisables en pièces détachées. Puis par leur élimination bactériologique et physique programmée.

Le parallèle entre ce qui nous est présenté aujourd’hui comme une simple « vaccination » et la Solution finale peut évidemment scandaliser. Sauf que cet événement sans doute resté dans la mémoire collective comme le plus dramatique de l’Histoire récente de l’humanité, l’archétype de tous les génocides de masse et de toutes les exterminations au nom d’une idéologie, est en passe d’être largement dépassé.

L’extermination planifiée des Juifs d’Europe par le régime nazi durant la Seconde guerre mondiale n’a en effet concerné « que » 6 millions d’êtres humains sauvagement assassinés dans des conditions d’une barbarie sans nom. Avec application, méthode, persévérance, la complicité des forces vives de toute une nation et la collaboration des pays conquis.

Cette nouvelle extermination de masse que la conscience peine à concevoir ne concerne pas seulement aujourd’hui 6 millions d’êtres humain, mais mille fois plus ! Jusqu’à 6 milliards 300 millions d’hommes, de femmes, d’enfants et de vieillards sur 7,8 milliards de Terriens pourraient être ainsi condamnés à mourir pour satisfaire les délires de milliardaires psychopathes authentiquement diaboliques.

C’est tellement inconcevable que peu arrivent à admettre cette éventualité comme un danger réel et très actuel.

Et pourtant, si l’on se fit à certains objectifs affichés, on pourrait en arriver à des telles extrémités. A titre d’exemple, les Georgia Guidestones souvent cités sont un mystérieux monument de granit érigé le 22 mars 1980 en pleine forêt près d’Elberton en Géorgie aux Etats-Unis. Nul ne sait quelle organisation a passé commande pour ce monument en forme de tabernacle, dont l’origine reste à ce jour officiellement inconnue. Ce qui est certain, c’est qu’il comporte des inscriptions sous la forme de « commandements » adressés à l’humanité et traduits en 8 langues. Des prescriptions destinées à orienter les hommes pour les temps futurs. Le premier de ces commandements est explicite :

« Maintenez l’humanité en dessous de 500 millions d’individus en perpétuel équilibre avec la nature. »

Beaucoup ont tenté de minimiser cet avertissement étrange comme une supercherie ou un cas isolé alimentant les théories du complot. Ou de le réduire à simple un canular imaginé par une quelconque secte de riches allumés.

Sauf qu’un tel objectif de réduction massive des populations décrit dans ce monument est loin d’être un cas isolé. A titre d’exemple le très sérieux milliardaire philanthrope Bill Gates, fondateur de Microsoft et de la fondation qui porte son nom, très actif depuis vingt ans pour financer des programmes de vaccination massive très controversés et responsables de millions de morts dans les pays du tiers-monde, avait prévenu lors d’une conférence publique en 2010 que notre système économique était incapable d’absorber l’augmentation de la population mondiale à son rythme actuel. Et qu’il fallait donc envisager des mesures pour réduire cette augmentation, sinon la population elle-même. Avançant un objectif de réduction de 15% pour les années à venir. Et précisant parmi les moyens permettant d’atteindre cet objectif qu’on pouvait facilement arriver à réduire la population de 15% « grâce aux vaccins ». Vous avez bien lu : grâce aux vaccins !

15% ça n’est certes pas 6 milliards de personnes, mais c’est déjà 1,350 milliard d’âmes (rapportées à la population du monde en 2010). Soit 225 fois plus que la Solution finale tout de même.

On comprend dès lors la raison de cette course contre la montre et de cet acharnement insensé à vouloir vacciner toute la population d’un pays, en France ou ailleurs, en mobilisant tous les moyens de l’Union Européenne, les laboratoires susceptibles de produire en urgence, les moyens médicaux, logistiques, médiatiques, une telle propagande mise en œuvre, et le pognon de dingue que tout cela coûte.

Car il faut faire vite. Avant que le pot-aux-roses ne soit exposé au grand-jour d’une façon tellement obvieuse qu’il devienne possible de le nier. Déjà le barrage se fissure et prend l’eau de partout. Chaque jour des centaines de scientifiques dans le monde alertent l’OMS et les opinions publiques sur les réels dangers de ces faux vaccins, sur les effets secondaires qui aujourd’hui tuent plus de monde que le virus lui-même, sur l’apparition de nouveaux variants de plus en plus dangereux directement dus à ces injections criminelles et à leurs effets incontrôlables sur le système immunitaire. Des médecins « complotistes » avaient alerté dès avril 2020 et expliquant ce qui allait se passer avec ces vaccins. Personne n’avait voulu les écouter. On a même été jusqu’à interner de force l’un d’entre eux, le Professeur Jean-Bernard Fourtillan, dans un H.P., en l’accusant d’être un calomniateur et un fou mystique. Comme au bon vieux temps de Staline.

Me revient comme en écho ces instructions laissées aux directeurs des usines de la mort nazies par des fonctionnaires paniqués face par l’arrivée des troupes russes ou américaines aux frontières du Reich : « Il faut plus ! Plus d’efficacité ! Plus de productivité ! Plus d’unités traitées par jour ! Plus de capsules de Zyklon B ! Plus de trains ! Plus de chambres à gaz pour éliminer les preuves ! Plus !… » On croirait entendre Macron écumer face à ses ministres impuissants et aux lenteurs de la bureaucratie… Tel Hitler réfugié dans son bunker promettant la Cour martiale à des généraux incapables.

Il y a quelque chose de surréaliste, de terrifiant et de dérisoire dans ce parallèle pourtant bien fondé. Sommes-nous vraiment à l’aube d’une telle hécatombe ? La réponse est oui. Aucun doute n’est désormais permis et aucun revers de manche ne pourra en conjurer l’obsédante réalité, en ourdissant quelque procès en hérésie complotiste destiné à évacuer cette mauvaise conscience qui nous taraude.

Et parce que le pire n’est jamais sûr mais demeure toujours une menace, il faut aujourd’hui redoubler d’efforts pour dénoncer preuves à l’appui ces horreurs et faire échouer ce plan diabolique. Car non seulement c’est possible si un nombre critique de citoyens s’engagent dans ce combat, mais c’est la seule voie possible si l’on croit encore en l’humanité. Et si l’on veut que nous restions des humains.

Selon une étude réalisée récemment par un groupe de sociologues à partir de statistiques relatives aux émeutes qui se sont déroulées dans plusieurs pays du monde au cours des décennies écoulées, il suffit que 10% de la population se soulève, en s’engageant dans une insurrection ou dans la désobéissance civile, pour faire tomber un régime.

Il ne s’agit pas seulement de faire tomber la dictature incarnée par une marionnette comme Macron, mais tout un système à l’échelle du monde. Un système qui contrôle tous les pouvoirs par le biais de la finance et de la monnaie.

Il faudra sans doute du temps, des efforts, de la persévérance, du sang et des larmes. Mais la conscience collective a déjà commencé à opérer sa mue et ne pourra plus s’arrêter. La lumière continuera de faire reculer le mensonge et la peur. Partout. Jusqu’à ce que cet empire du Côté obscur, fils maudit de la Raison et de la loi du plus fort, s’effondre de lui-même comme un château de cartes. Il suffit de dire non. De rester éveillés, ouverts, solidaires, de témoigner et de faire front.

Dont acte : « Puisse l’histoire des camps d’extermination retentir pour tous comme un sinistre signal d’alarme. » (Primo Lévi)

Le pangolin, la chauve-souris et le petit Mandarin : les désordres de la nature aux secours de l’Oncle Picsou

La théorie de la transmission « zoonose » du coronavirus (de l’animal à l’humain) est un classique de la littérature scientifique s’agissant des nouvelles épidémies. Mais qui fait rarement l’unanimité des chercheurs. Pour ce qui est du Covid, elle pourrait venir s’ajouter aux œuvres de La Fontaine sous le titre d’une nouvelle fable intitulée « Le pangolin, la chauve-souris et le petit Mandarin« . Une farce tellement échevelée, digne des pires machins complotistes, que plus aucun scientifique sérieux n’ose aujourd’hui l’évoquer, de peur de se ridiculiser.

Plus personne en effet dans le milieu scientifique comme dans les médias ne se risque depuis bientôt un an à évoquer le sujet et à spéculer sur l’origine de ce virus mystérieux, pourtant observé sous toutes les coutures et disséqué en menus morceaux depuis son apparition en Chine à l’été 2019. Un sujet devenu très vite un tabou dans tous les médias mainstream, dès l’extension « pandémique » du virus hors des frontières de la province de Wuhan fin 2019. Silence radio, mieux valait assommer le grand public de commentaires alarmistes en diffusant en boucle les images de Wuhan en état de siège. Et ce bien que le sujet soulève de nombreuses questions à propos de cette grippe dont la cause était unanimement présentée comme un nouveau virus transmis à homme par un innocent fourmiller dont la viande est couramment consommée en Chine. Une grippe présentant dans ses formes les plus graves des symptômes respiratoires sévères et aussitôt transformée en pandémie du siècle.

D’un coronavirus somme toute banal, on est ainsi passé à un « paranovirus », dont le mode de contamination n’était plus les mains mal lavées ou l’air ambiant (encore une fable…) mais les médias entrés en éruption sismique. Un scénario de psychose mondiale provoqué à dessein par quelques lobbies qui y avaient intérêt. Une reproduction en grandeur XXL et en beaucoup plus dramatique de celui qu’on nous avait déjà servi en 2009 lors de l’apparition d’un foyer de grippe H1N1 au Mexique. Un virus qui avait immédiatement enflammé les esprits et les écrans plus que les thermomètres, et ce durant près d’un an. Assurant au passage à Gilead Science (déjà…) la vente très profitable aux gouvernements affolés de la planète de milliards d’unités de vaccin et de Tamiflu, tous aussi inutiles, toxiques et inefficaces que le remdésivir que le même labo a tenté de nous refourguer en 2020 en corrompant au passage les plus grands scientifiques, les gouvernements, les agences de santé et le Lancet, pour couler son principal concurrent l’hydroxychloroquine ! 100 millions de doses de vaccin furent ainsi achetée en 2010 par le gouvernement de Nicolas Sarkozy, lesquelles finirent quasiment toutes à la poubelle, non sans avoir coûté au passage près d’un milliard d’euros au contribuable français.

Même scénario avec le Covid-19 et les petits arrangements entre Macron et ses généreux mécènes pharmaceutiques. Sauf que cette fois le jackpot a fait exploser la banque, la dette de la France, plusieurs secteurs économiques, et la tête des Français.

Mais revenons à la fable du pangolin…

Depuis 2019, les preuves se sont tellement accumulées pour étayer l’hypothèse troublante d’un virus créé artificiellement par l’homme en laboratoire par manipulations génétiques, que même les épidémiologistes et les « experts » autoproclamés les plus corrompus habitués des plateaux télé sont aujourd’hui à court d’arguments sérieux pour étayer la thèse initiale du pangolin. Un pangolin qui figurait pourtant en bonne place sur la couverture du magazine britannique (détenu par les Rothschild) The Economist, dont le très attendu hors-série annuel consacré à l’année suivant mettait en scène fin 2018 et pour l’année 2019 un étrange pangolin glissé au milieu d’autres symboles tout aussi étranges : fragment d’ADN, smartphone (5G), code-barre, etc… Et ce plus de 6 mois avant l’apparition de l’épidémie en Chine.

Le premier en France à avoir enfoncé la digue de la langue de bois à propos de l’origine du coronavirus fut bien entendu le Professeur Luc Montagnier. Célèbre immunologue, empêcheur de tourner en rond, Prix Nobel de médecine et codécouvreur du virus du sida. Lequel n’en était pas à son coup d’essai s’agissant de révélations sulfureuses. Le vieux professeur un brin narquois avait alors jeté un vent polaire en direct sur le plateau de Cnews. Interrogé par Pascal Praud sur l’origine du coronavirus, il avait en effet révélé une découverte stupéfiante de son équipe de recherche : le séquençage du génome du virus SARS-Cov-2 responsable du Covid-19 et son analyse par algorithmes informatiques avaient fourni la preuve irréfutable que ce virus ne pouvait être d’origine naturelle. En effet le génome du SARS-Cov-2, responsable du Covid-19, présente plusieurs « insertions » dont un petit fragment du génome du VIH, rétrovirus responsable du sida. De telles insertions ne peuvent avoir être réalisées qu’en laboratoire ; elles ne peuvent scientifiquement être le résultat d’une mutation ou d’une anomalie génétique d’origine naturelle liée à une quelconque transmission de l’animal à l’homme. Ce type de manipulations est d’ailleurs souvent réalisé par les chercheurs en génie génétique. Notamment dans l’espoir de mettre au point de nouveaux vaccins. Une technique employée depuis des décennies pour tenter de créer un vaccin efficace contre le VIH, en utilisant des composantes de virus courants type coronavirus, et en y insérant un fragment de l’enveloppe du VIH reconnus par les récepteurs des lymphocytes, de façon à produire une réponse immunitaire dirigée contre le VIH en cas d’infection, une fois ce vaccin injecté dans le corps humain.

Le Pr. Montagnier ne fut évidemment pas le seul à larguer une telle bombe. De nombreux scientifiques et équipes de recherche de renom avant et après lui ont également publié les résultats de leurs travaux dans des revues scientifiques mettant en avant les preuves de cette origine humaine du virus. Au point qu’elle apparaît aujourd’hui difficilement contestable. Même des médias officiels comme France l’ont d’ailleurs récemment évoqué comme une hypothèse plausible, levant un voile pudique sur les questions dérangeantes qu’elle soulève : pourquoi cette hypothèse n’a pas été évoquée avant ? Comment le virus a-t-il pu être disséminé depuis un laboratoire de recherche P4 situé à Wuhan : par accident ? Intentionnellement ? Et si oui à quelles fins ?… La France était-elle effectivement impliquée dans la gestion de ce laboratoire de Wuhan ? A quel titre ? Participait-elle aux recherches qui y étaient menées ? Se pourrait-il aussi qu’elle soit impliquée dans cet « accident ». Et pourquoi les autorités chinoises ou françaises n’en auraient-elles rien dit ?

Le spectre de Tchernobyl plane sur ce qui pourrait devenir le plus grand scandale sanitaire du 21e siècle, après le précédent quoi en a connus beaucoup.

Ces révélations, d’abord vite évacuées comme des « thèses complotistes » (le Pr. Montagnier fut accusé d’être un « complotiste gâteux » et ses travaux furent aussitôt discrédités et censurés dans les médias et sur les réseaux sociaux comme Facebook) ressemblent en tout cas à astéroïde géocroiseur qui vient périodiquement menacer la mare aux canards et autres médias alignés sur la doxa scientifique et médiatique officielle. Pour laquelle le coronavirus responsable du Covid, comme tous les autres coronavirus récents, ne peut être que le fruit d’un accident de la nature, une mutation observée lors de sa transmission zoonotique à l’homme : pangolin, chauve-souris, oie sauvage ou autre. Un scénario bien huilé et resservi de nombreuses fois à propos de plusieurs épidémies précédentes plus ou moins dangereuses ou létales, et réputées dues à une transmission zoonotique : grippe aviaire, grippe H1N1, SRAS, MERS, etc… La plupart de ces grippes à coronavirus étant supposées suivre peu ou prou le même modèle, même si cette hypothèse est remise en cause.

Une façon au passage de battre sa coulpe, puisque l’homme est accusé d’être responsable de ces déséquilibres qu’il cause au milieu animal en mettant en péril les grands équilibres écologiques et zoologiques de la planète pas une surproduction, une surconsommation, notamment de viande animale, la déforestation, la destruction des milieux naturels et le déplacement d’espèces animales qu’elles entraînent, exposant dangereusement les villes et les populations au risque de transmission de nouveaux virus véhiculés par certains animaux sauvages. Les sanglots de l’homme blanc en version Avatar

En pointant ainsi la responsabilité de l’homme à propos des mutations génétiques qui engendrent de nouveau virus et des maladies parfois mortelles qui mettent en péril sa santé, on entretient parmi les populations touchées une culpabilité bien utile pour leur imposer ensuite toutes sortes de maltraitements : matraquages médiatiques anxiogènes (l’un des outils de l’ingénierie sociale depuis un siècle), surveillance renforcée, isolement des individus suspects, distanciation sociale, port permanent de la muselière réglementaire, internement à domicile, ou dans de centres de confinement créés pour l’occasion, tests à répétition aussi inutiles qu’inefficaces (mais très rentables), servant à justifier des 2e, 3e ou nième « vagues » imaginaires qui laissent s’étouffer les épidémiologistes sérieux, elles-mêmes servant à justifier des reconfinements et couvre-feux sans fin, les fermetures arbitraires et totalement inutiles de lieux publics, restaurants, salles de sports, de spectacle et autres lieux récréatives qui eussent permis d’alléger le poids des mesures sanitaires, de la déprime générale et de la destruction des économies et des personnes jetées à la rue ou l’extrême pauvreté. Des mesures multipliées jusqu’à exaspérer les populations afin de les contraindre aller se faire tester, vacciner, revacciner, de se faire tracer par des applis de flicage numérique, de signer des attestations absurdes, de se munir d’un passeport santé, demain (ou dès aujourd’hui si l’on en croit Bill Gates) inclus dans les vaccins eux-mêmes grâce aux « smart dusts », puis d’être pucés et encore plus surveillés, de renoncer une à une à toutes leurs libertés.

Tout ça pour servir les intérêts des actionnaires de quelques labos cyniques et criminels. Et ceux des multinationales qui profitent de la redistribution économique et financière (le fameux Great Reset de Klaus Schwab) provoquée par ce choc épidémique.

Le pauvre petit pangolin a bon dos ! Comme toutes ces savantes théories scientifiques qui nous expliquent par le menu détail à propos des mécanismes de mutation génétique comment ce méchant coronavirus serait « apparu ». Face à toutes ces magouilles, ces crimes contre l’humanité et le bon sens, ce cynisme et cette obstination à nous rabaisser au rang chair à pâté pour chien de milliardaire.

L’éthique scientifique, médicale et pharmaceutique, mais aussi politique et médiatique, a du plomb dans l’aile : de nombreux acteurs scientifiques de premier plan comme Raoult, Perronne, Toussaint Toubiana, Fouché, ne cessent de le rappeler de semaines en semaines depuis un an et plus. Et derrière ces exemples flagrants de corruption manifeste se cache d’autres responsabilités : celles de scientifiques qui n’ont pas le courage ou l’intelligence de remettre en cause des théories qu’ils prennent pour acquises. En croyant toujours comme les foules ignares aux mythes de « l’objectivité », de la « rationalité » ou de la « vérité scientifique ».

Après tout c’est juste un vaccin !…

2020 aura été l’année du Choc.
2021 sera l’année de la Révélation.

Le monde entre en ébullition. Il n’est pas un jour sans que des mouvements antivaccins ne secouent la planète.

Ce week-end des dizaines de milliers de manifestants londoniens étaient réunis à Trafalgar Square pour crier leur colère contre le vaccin Pfizer choisi par le gouvernement de Boris Johnson, lui-même rescapé du Covid.

Ensemble ils ont gaillardement entonné ce même refrain sur la mélodie bien connue de Elle descend de la montagne à cheval :

YOU CAN STICK YOUR VACCINE UP YOUR ASS! [i]
YOU CAN STICK YOUR VACCINE UP YOUR ASS!

YOU CAN STICK YOUR VACCINE…
YOU CAN STICK YOUR VACCINE…
YOU CAN STICK TOUR VACCINE UP YOUR ASS!

Les sujets de Sa gracieuse Majesté auraient-ils donc perdu leur flegme ?

Il faut dire que Londres est après Berlin la capitale européenne qui a réuni en août dernier le plus grand nombre de manifestants devant Buckingham Place pour dénoncer la mascarade du coronavirus. Et défendre les libertés saccagées sous prétexte de mettre en place des mesures sanitaires passablement totalitaires.

A Berlin entre 2 et 7 millions de manifestants venus de toute l’Europe avaient défilé toute la journée et applaudi le sénateur démocrate Robert Kennedy Jr., lors d’un discours prononcé devant la foule pour fustiger l’avidité criminelle de Big Pharma, et l’imposture du Nouvel Ordre Mondial. A l’endroit même où son oncle, l’illustre Président John F. Kennedy, avait prononcé son fameux discours contre la dictature communiste face au Mur de la honte : « Ich bin ein Berliner ! »

BFM TV, la chaîne de l’Elysée, avait cru bon de mentionner que « 30.000 complotistes d’extrême droite » avaient défilé pour dénoncer la soi-disant « mise en scène » du coronavirus.

Et la France ? Elle peine à s’éveiller d’une longue torpeur.

Après la répression ultra violente contre le mouvement des Gilets jaunes et les manifestations de 2019 contre la réforme des retraites votée en catimini, la France est encore à moitié groggy.

La Grande Terreur médiatique, le matraquage de la propagande des chiens de garde du régime, associés à une censure sans précédent depuis l’Occupation, ont rendu possible l’Opération Kaa, du nom du serpent hypnotiseur dans Le livre de la jungle, orchestrée par la marionnette Macron.

Telle la Belle au Bois dormant, Marianne tarde à se dégriser d’un songe empoisonné. Et reprend péniblement depuis ce weekend le chemin des manifs, des voitures brûlées, des gaz lacrymos et des tirs de LBD.

Mais la prise de conscience n’est pas encore aujourd’hui, loin de là, le fait majoritaire dans l’opinion.

L’Article 24 de la Loi Sécurité globale exacerbe bien colères, frustrations et ressentiments. Les plus endurcis sont remontés contre la seule « Deuxième vague » existante, celle des violences policières et de La Dictature En Marche.

Mais l’ouverture des esprits face aux véritables enjeux de cette fausse crise sanitaire et de ce vaccin miracle dont on nous rebat les oreilles n’est pas encore à l’ordre du jour.

L’heure est plutôt à la décompensation consumériste à l’approche des fêtes. Encouragée par le gouvernement comme dérivatif à la grogne. Et suivie par le troupeau désireux de se venger d’une année de prison et de privations.

Un leurre de plus.

Car enfin après tout, pourquoi faire un tel foin ? Après tout c’est juste un vaccin ?…

Ignorance et lassitude obligent, beaucoup veulent y croire. Comme une porte de sortie à cette épidémie et son cortège de vexations anxiogènes qui s’éternisent. En faisant semblant de s’accrocher au vaccin, et en faisant semblant d’accepter les propos lénifiants du corps médical.

La plupart se réjouissent à l’avance de cet épilogue qui n’en est pas un, et se cramponnent à ce faux espoir.

Déjà le troupeau s’ébranle bon an mal an pour recevoir la Saint-Sylvestre passée le Saint chrême délivré par Moderna, Pfizer ou Sanofi.

A commencer par « les plus fragiles : nos aînés ». Désignés par un Jupiter soudain magnanime comme cobayes pour tester le machin.

Tout de même. Ne serait-il pas opportun de se poser quelques questions avant de se jeter tête baissée vers le précipice ?

Et si cette « vaccination » globale sinon obligatoire (du moins pour le moment) n’avait absolument pas pour but de nous vacciner ?

Et si notre système immunitaire, dont personne ne parle jamais, nous avait déjà collectivement immunisés contre un virus et une épidémie somme toute très banals et peu dangereux comparés à d’autres ? Comme c’est le cas en Suède, qui n’a pourtant jamais confiné, ni instauré de couvre-feu, ni de gestes barrière, ni obligé à porter le masque.

Et si le but réel de toute cette mascarade était de permettre à quelques grands laboratoires pharmaceutiques de vendre des vaccins durant quelques années pour un marché estimé à 1.000 milliards de dollars ? (On se souvient de Donald Rumsfeld, alors actionnaire principal et CEO de Gilead Science, dont la fortune lors du scandale du H1N1 en 2010 avait bondi suite à la vente de milliards de boîtes de Tamiflu).

Et si derrière ce sordide calcul mercantile, très typique de Big Pharma et de ses mécènes, il y avait d’autres buts encore plus inavouables ?

Et si le fameux « carnet vaccinal numérique » annoncé par Bill Gates il y a 10 ans, mis au point sous l’égide de sa fondation, breveté par Microsoft, testé cette année au Kenya et au Malawi, et dont l’inclusion dans le vaccin anti-Covid a été confirmé récemment sur LCI, était l’un des buts inavoués de ce vaccin ? Avec comme conséquence un traçage numérique ultra précis grâce au nouveau réseau 5G, et la possibilité de contrôler à tout moment le statut vaccinal de n’importe qui. Avec à la clé un apartheid sanitaire et un système de « carnet social » à la chinoise mis en place pour départager les « bons » et les « mauvais » citoyens.

Et si cette injection visait également à réaliser à très grande échelle une expérimentation de nouvelles techniques de génie génétique utilisant des pseudos « vaccins » à ARN messager pour modifier notre ADN ? Et donc pour modifier le génome humain de façon irréversible ? Comme l’ont confirmé Bill Gates et Laurent Alexandre, fondateur de Doctissimo, patron d’une start-up d’ingénierie génétique, et pape français du transhumanisme.

Mais à quelle fin ?…

Et si ces injections successives de nouveaux « vaccins » aux effets totalement inconnus, justifiées pour combattre un virus fabriqué par l’homme, mutant et donc résistant aux vaccins, mais qui contiendrait, aux dires de certains des plus grands épidémiologistes mondiaux, jusqu’à 157 insertions virales inconnues plus 4 séquences du VIH et une de la malaria, étaient conçues pour générer des interactions et pirater les mécanismes naturels de réplication génétique afin de produire de façon sournoise des virus mortels dirigés contre l’organisme lui-même ? Une forme d’eugénisme plus discrète qu’une brise légère.

Et si nous étions en effet à l’aube du plus grand génocide de masse que l’Histoire humaine ait jamais connu ?

Et si les dizaines de procès intentés tout récemment contre Macron, Véran et autres criminels notoires par plusieurs juristes et médecins français pour « génocide » et « crime contre l’humanité » n’étaient pas la résultante d’une paranoïa « complotiste », mais le fait de citoyens éclairés, lucides et courageux ?

Le pire n’est jamais sûr, mais s’y préparer est la meilleure façon d’y échapper.

Aussi invraisemblable que tout cela puisse paraître, les convictions de dizaines de milliers de chercheurs, médecins, experts économiques, financiers, monétaires, juridiques, de magistrats, policiers, journalistes et hommes de médias, de lanceurs d’alerte et d’intellectuels convergent aujourd’hui vers une même certitude : il se passe quelque chose d’excessivement grave à l’échelle de la planète. Et il est urgent d’alerter, de faire bloc et de réagir avant qu’il ne soit trop tard.

Quand les camps d’extermination furent libérés par les soldats russes et américains en 1945, quand l’horreur de la Shoah fut révélée au monde incrédule, beaucoup qui avaient pourtant assumé de lourdes responsabilités durant la guerre n’eurent rien d’autre à dire que « Nous ne savions pas ».

Et nous, que dirons-nous à nos enfants dans 10 ou 20 ans ?…
« Nous ne savions pas » ?…


[i] Vous pouvez vous foutre votre vaccin dans le cul !

La vaccination obligatoire, rite initiatique de la dictature transhumaniste

Alors que plusieurs pays prétendent avoir mis au point un vaccin contre le coronavirus et que la concurrence fait rage pour se placer en tête dans cette compétition entre équipes de recherche, plusieurs mesures ont déjà été avancées dans le sens d’une vaccination obligatoire de toute la population.

L’Australie devrait rendre obligatoire la vaccination contre le coronavirus, sauf exemption médicale, a estimé mercredi le Premier ministre australien Scott Morrison.

L’Union européenne a quant à elle d’ores et déjà réservé 225 millions de doses de vaccin CureVac, ce qui laisse prévoir une politique de vaccination de masse. Quatre pays européens, la France, l’Allemagne, l’Italie et les Pays-Bas, ont par ailleurs annoncé début juin la création d’une « Alliance inclusive pour le vaccin » contre le coronavirus. Un moyen de conjuguer les efforts sanitaires et de vaccination ainsi que les partenariats avec les entreprises concernées.

Outre les questions de corruption, de conflits d’intérêts, et d’influence des lobbies sur les décisions de santé publique dans des états souverains que cela soulève déjà, la probabilité d’une mise en place à grande échelle de la vaccination obligatoire soulève d’énormes questions éthiques et juridiques.

Le fait de vouloir vacciner toute une population sans le consentement individuel de ses membres se heurte frontalement à un principe essentiel : celui du consentement libre et éclairé du patient.

En droit de la santé, le consentement libre et éclairé implique que le médecin est tenu de présenter clairement au patient tous les risques d’une conduite thérapeutique. Le consentement doit être libre, c’est-à-dire en l’absence de toute contrainte, et éclairé, c’est-à-dire précédé par une information.

En vertu de ce principe, aucune autorité ne peut décider de vous opérer, de vous vacciner ou même de vous soigner contre votre gré.

Article 36 (article R.4127-36 du code de la santé publique)
Le consentement de la personne examinée ou soignée doit être recherché dans tous les cas.
Lorsque le malade, en état d’exprimer sa volonté, refuse les investigations ou le traitement proposés, le médecin doit respecter ce refus après avoir informé le malade de ses conséquences.
Si le malade est hors d’état d’exprimer sa volonté, le médecin ne peut intervenir sans que la personne de confiance, à défaut, la famille ou un de ses proches ait été prévenu et informé, sauf urgence ou impossibilité.
Les obligations du médecin à l’égard du patient lorsque celui-ci est un mineur ou un majeur protégé sont définies à l’article R. 4127-42.

Deux exceptions sont prévues par la loi au devoir d’information préalable : l’urgence et l’impossibilité d’informer. En cas de complication critique lors d’une opération, le chirurgien peut ainsi décider seul de procéder à un acte médical décisif non prévu avant l’opération, sans informer son patient des conséquences éventuelles.

Les exceptions au principe de consentement libre et éclairé concernent la psychiatrie et la détention pénitentiaire, comme l’hospitalisation d’office ou l’obligation pour l’auteur de crimes sexuels de suivre un traitement.

Des exceptions rares qui pourraient cependant ouvrir à l’avenir la voie à une volonté de psychiatrisation ou de pénalisation des discours et comportements résolument hostiles à la vaccination obligatoire. L’incitation à contourner les règles sanitaires ou au refus de se faire vacciner ; comme le caractère violent de certains propos « antivax » pouvant être assimilés par le pouvoir à des troubles mentaux ou un crime de trouble à l’ordre public, associé à une mise en danger de la vie d’autrui, voire une forme de terrorisme.

Pour l’heure le combat se déploie sur un terrain psychologique et idéologique sous la forme d’une manipulation de l’opinion engagée au plan mondial depuis les tout débuts de l’épidémie visant à ancrer l’idée qu’il n’existe aucun remède contre cette épidémie mais que le vaccin seul apportera une solution à sa propagation. De même qu’une imposition progressive du port du masque en toute circonstance malgré les avis scientifiques contestant l’utilité d’une telle mesure. Une forme de normalisation sanitaire qui est un rappel constant de la présence de l’épidémie et qui prépare bien entendu dans l’esprit du public l’arrivée prochaine d’un vaccin pour tous.

Si une mesure aussi illégale, antidémocratique, arbitraire et inefficace que l’obligation de vacciner toute une population entrait en vigueur prochainement, ce serait un précédent qui mettrait définitivement en péril le principe du consentement éclairé. Dès lors il ne serait plus nécessaire de recueillir le consentement d’une personne ou d’un groupe de personnes avant de décider de leur imposer des mesures sanitaires et d’engager tout procédé invasif au nom de leur santé. Ni même de les informer au préalable de l’utilité et des risques de ces mesures.

Un glissement d’une gravité extrême puisqu’il signerait en quelque sorte le droit de vie et de mort arbitraire du pouvoir politique par le biais de l’autorité médicale sur chaque citoyen, le pouvoir étant libre de déterminer ce qui est bon ou mauvais pour tous et d’agir à sa guise sur le corps de chacun. Une façon de subordonner le biologique au politique, de chosifier l’humain, de le réduire à un cobaye de laboratoire ou une marchandise.

La santé est une affaire collective, mais sa prise en charge individuelle est une affaire personnelle.

Même si ce principe est de plus en plus bafoué, il reste l’un des fondements de l’éthique médicale, des libertés individuelles et de la démocratie. Le fait qu’on veuille le contourner au motif de vacciner de force toute une population traduit un basculement sans précédent dans une nouvelle forme de dictature sanitaire.

Si l’on y ajoute qu’une telle décision interviendrait dans un contexte où se dessinent des évolutions extrêmement alarmantes en matière de bioéthique, il y a vraiment lieu de s’inquiéter.

La nouvelle loi sur la bioéthique ne prévoit en effet pas uniquement l’ouverture des PMA aux couples de lesbiennes et aux femmes célibataires, une évolution qui relève plutôt de considérations sociétales sur la filiation et l’exercice de la parentalité et leur déconnexion progressive de la procréation. Elle autorise également l’avortement pour « détresse psychosociale » jusqu’au terme de la grossesse, délai où le fœtus a quasiment achevé sa formation et est viable en cas de naissance prématurée. Cette interruption de grossesse reviendrait à tuer un bébé avant sa sortie du corps de la mère et s’apparenterait donc à un infanticide légal.

D’autres dispositions prévues par cette loi posent d’autres problèmes bien plus épineux encore. Comme la possibilité de manipuler génétiquement du matériau humain, en créant par exemple des embryons à des fins expérimentales ou de production de cellules souches. Ou pire encore, de croiser des gènes provenant de l’homme et de l’animal, ce qui revient à produire des chimères.

De telles dérives conduiraient à une désacralisation totale de la vie biologique, du corps humain et de la personne humaine. Les réduisant à du simple matériau disponible en masse pour livrer toutes sortes d’expériences, corriger arbitrairement certains défauts, introduire certains gènes en vue de développer telle ou telle capacité, mettre l’homme en batterie, son génome en équations, et ses cellules en unités de production afin de produire en série des médicaments pour soigner, ou des organes tout neufs pour remplacer ceux qui seraient déficients.

Ce cauchemar transhumaniste inaugurerait un type totalement différent de société, où l’homme serait duplicable, interchangeable, updatable et transformable à loisir. Où l’adéquation des performances physiques et psychiques individuelles ne seraient qu’ujne affaire de technique et de merchandising. Une société où un fossé radical se creuserait entre ceux qui savent et qui décident, l’élite, et ceux maintenus dans l’ignorance qui exécutent, comme des esclaves ou des robots. Le Meilleur des mondes en sorte.

La vaccination pour tous, c’est un peu le rite initiatique qui fera entrer l’humanité dans cette nouvelle ère totalitaire, technologique et utopique du post-humain, ou du transhumain.

Car il serait naïf d’en douter, l’obstination à vouloir vacciner toute la planète au terme d’un scenario aussi méthodiquement planifié n’a pas seulement pour objectif de réaliser de faramineux bénéfices grâce à la vente de milliards de doses de vaccin. Ni même de mettre toute la population au pas en la forçant à se faire vacciner, après l’avoir forcée à porter un masque inutile.

A ces préoccupations d’ordre économique et de manipulation psychologique s’ajoutent la volonté d’engager le prélude du déploiement de tout un arsenal totalitaire, avec des moyens de surveillance et de coercition ayant recours à l’intelligence artificielle et aux hautes technologies.

Le carnet vaccinal électronique injecté sous la peau avec le vaccin n’est pas une hypothèse complotiste, mais une réalité exposée sans détour par l’élite qui met patiemment en œuvre son projet vaccinal pour toute l’humanité. Les tests réalisés cette année au Kenya et au Malawi par des chercheurs du MIT sous forme de nanoparticules inoculées sous la peau sont là pour le prouver. Un projet très largement soutenu et financé par la Fondation Bill & Melinda Gates, très active dans ce domaine.

L’injection de telles nanoparticules avec le vaccin et à l’insu de la personne permettra non seulement de vérifier à l’aide d’un scan via un simple smartphone si la personne a bien ou non été vaccinée. Et de lui refuser arbitrairement le cas échéant l’accès à une salle d’embarquement, à un lieu public, le passage d’une frontière. Et pourquoi pas demain de bloquer son compte bancaire, l’accès à ses données confidentielles, à internet, voire à son domicile si elle est déclarée dangereuse pour ses proches.

Ceci n’est pas de la science-fiction, c’est la réalité. C’est pourquoi il est urgent de réagir et de s’opposer par tous les moyens à ce projet de vaccination mondiale. Car demain, une fois ce sinistre rite de passage engagé, il sera trop tard pour faire marche arrière.

Déjà les plantes OGM sont susceptibles de transmettre à l’homme des caractéristiques génétiques qui leur sont propres, et ces caractéristiques peuvent se transmettre ensuite aux descendants de la personne qui les a consommées.  Le nouveau réseau 5G mis en place à partir de cette année, qui utilise des gammes d’ondes à hautes fréquences diffusées à l’aide de relais et de satellites déployés par milieu autour du globe, permet d’agir en utilisant des stimulations énergétiques à courte distance des personnes sur les mécanismes de réplication du génome. Il permet en effet d’ouvrir temporairement une fraction de la séquence génétique de l’ADN, et l’intégration d’une information génétique véhiculée par un virus. Exactement comme un virus informatique introduit dans un ordinateur s’intègre au système pour se répliquer à son insu.

Il est ainsi techniquement tout à fait possible de modifier les gènes d’un individu ou d’une population, sans aucune intervention ni manipulation apparentes. Juste en injectant un « vaccin », en réalité un cocktail de substances inconnues, dont certaines peuvent très bien avoir un impact imprévisible à long terme sur la santé et le génome humain.

De la même façon, on pourra tout à fait envisager d’ici quelques années d’implanter des puces directement dans le cerveau, ou de modifier le fonctionnement de celui-ci avec des nanoparticules, « pour le réparer » nous disent les Mengele du transhumanisme. Mais aussi et surtout pour manipuler des foules, les contrôler à distance, en maîtrisant les émotions et réactions grâce à des instructions subliminales diffusées dans le champ électromagnétique et captées par le cerveau.

Tout ceci n’est pas nouveau. Les expérimentations de la CIA durant la guerre froide, notamment dans le cadre du projet MK Ultra, fourmillent d’exemples d’expériences toutes plus effrayantes les unes que les autres pour manipuler les foules grâce à des moyens technologiques sophistiqués.

Mais un cap nouveau est en train d’être franchi avec l’utilisation de la psychose pandémique pour faire entrer l’humanité dans un Nouvel Ordre totalitaire, avec l’assentiment et dans l’ignorance du plus grand nombre.

Il n’est pas surprenant qu’un tel changement puisse imprégner l’inconscient collectif, au point de nous parvenir en écho dans le rappel de certains mythes ou prophéties anciennes. Comme la marque de Bête imposée à tous sur le front dans le livre de l’Apocalypse. Ou des mythes contemporains comme la théorie des anciens astronautes, une spéculation ufologique selon laquelle plusieurs anciennes civilisations auraient été en contact avec des « visiteurs » extraterrestres venus apporter sur la terre quelques savoirs dans les domaines scientifiques et de la médecine. Ces derniers auraient même « créé » un homme plus évolué en intégrant une partie de leurs gênes dans l’ADN humain.

Quoiqu’il en soit, le projet eugéniste initié avec la vaccination obligatoire s’appuie sur une mythologie du Progrès et de l’Evolution de l’espèce humaine. Une évolution qu’il faudrait selon certains accélérer et orienter afin de s’extraire des déterminismes biologiques et parer tout risque d’anéantissement de l’espèce. Vouloir créer une nouvelle « race » d’humains supérieurs avec l’aide de la science serait donc un projet noble et qui mériterait qu’on y consacre tous les moyens nécessaires.

Cette utopie n’est évidemment pas sans rappeler d’autres projets eugénistes plus récents associés à l’établissement d’un nouveau Règne et à une race d’élus.

La vaccination obligatoire qui préfigure un Ordre Nouveau où l’humain est entièrement sous contrôle est donc bien un rite symbolique. Le médecin a remplacé le prêtre. C’est désormais lui qui préside aux « baptêmes » et aux « onctions » pour célébrer l’entrée dans la nouvelle Vérité universelle. Lui qui symbolise la Transcendance du Savoir et la Toute Puissance sur la Vie. Lui qui en cas de maladie est à même d’apporter la Libération.

C’est parce que nous croyons à ces nouveaux sorciers et à leurs arguments « scientifiques » qu’ils ont tout pouvoir sur nous. Si nous cessons de déléguer ce pouvoir de créer de la réalité, si nous nous réinvestissons nous-mêmes dans cette capacité créatrice qu’ils veulent nous ôter, aucun vaccin, aucun masque ni aucun grigri sanitaire ne pourra plus nous subjuguer.

Seul le doute et la peur peuvent nous ôter le pouvoir individuel et collectif de définir notre avenir.

Du Horla au coronavirus, le pourvoir de l’imaginaire

Le Horla est une nouvelle fantastique de Guy de Maupassant parue en 1886.

Dans un journal intime, le narrateur rapporte ses angoisses et divers troubles. Il sent progressivement, autour de lui, la présence d’un être invisible qu’il nomme le Horla. Il sombre peu à peu dans une forme de folie en cherchant à se délivrer de cet être surnaturel qui chaque nuit le terrasse et boit sa vie. Cette folie le conduira à de nombreuses actions, toutes plus insensées les unes que les autres. Il en viendra même à mettre le feu à sa maison et laissera brûler vif ses domestiques. Dans les dernières lignes de la nouvelle, face à la persistance de cette présence, il entrevoit le suicide comme ultime délivrance.

Comme le roman 1984 offre une sorte de prototype de toute dictature moderne, le Horla peut être vu comme le modèle de cette folie, individuelle et collective, qui consiste à donner une réalité à des angoisses inexplicables en créant l’illusion de la présence d’un être maléfique. Une tendance irrationnelle profondément enracinée en l’homme mais qui prend un visage particulier à une époque comme la nôtre où l’irrationnel est justement refoulé.

Ainsi les scénarios apocalyptiques fabriqués par le cinéma à partir de pandémies aussi incontrôlables que fantasmatiques donnent une consistance et une apparence de rationalité à des angoisses archaïques profondément enfouies dans l’inconscient collectif et d’autant plus résurgentes que le triomphe du rationalisme a évacué cette part d’irrationnel qui permettait autrefois de donner du sens au mal et au mal-être existentiel.

Quant au coronavirus, il n’est rien de plus que le fruit de cette angoisse de l’homme post-moderne persuadé de pouvoir maîtriser tous les mécanismes de la vie et de se protéger grâce à la science des menaces de son environnement. Une angoisse qui ressurgit de façon d’autant plus aiguë qu’elle s’accompagne d’une culpabilité à l’égard de cette nature qu’il prétend contrôler et dont il subit les déséquilibres qu’il pense avoir lui-même provoqués.

Le Horla comme le coronavirus c’est le retour du refoulé. Un fantôme presque freudien qui vient hanter la conscience d’un homme contrarié dans son rêve de toute puissance.

Le sida était venu frapper comme un coup de semonce une humanité qui avait cru s’affranchir totalement des contraintes de la morale sexuelle et des déterminismes de la procréation pour jouir de la sexualité sans entraves. De la même façon, le coronavirus marque un coup d’arrêt à cette volonté expansionniste et consumériste sans limite de l’homme mondialisé soudain confronté aux conséquences désastreuses d’un productivisme irraisonné. Comme avant lui les grippes porcines, aviaires ou la crise de la vache folle.

En jouant sur ces peurs archaïques et en multipliant les messages alarmistes sur l’épidémie, scientifiques et médias agissent comme un terrifiant Surmoi qui tétanise les facultés de résilience humaine et enferme les consciences sidérées dans une angoisse stérilisante.

Comme le Horla que personne n’a jamais vu mais dont la seule évocation sème la peur dans les villes et les campagnes, il suffit d’évoquer le seul nom du coronavirus ou du Covid-19, d’évoquer des malades dont on ne voit jamais le visage, ou d’agiter quelques courbes sensées illustrer sa progression pur provoquer l’effroi et empêcher toute réflexion critique, tout jugement rationnel parmi des populations prêtes à suivre toutes les consignes de prévention pour échapper au terrible virus.

En utilisant ces peurs et en manipulant l’imaginaire collectif pour créer l’illusion d’un nager imminent qui n’existe pas, le pouvoir qui nous manipule peut parfaitement arriver à obtenir de la population un comportement totalement irraisonné et lui faire suivre des consignes qui lui paraîtraient terrifiantes en temps normal.

Ainsi le fait de confiner la moitié de l’humanité pendant des semaines ou des mois aurait été un projet totalement impossible à mettre en œuvre sans le levier psychologique et émotionnel d’une terreur planifiée. De même aujourd’hui, une grande partie de nos concitoyens sont prêts à vivre en portant un masque à tout moment, chez eux, au travail comme dans la rue, sans songer à contester ces mesures. Et bien qu’on ne voie jamais de victimes du Covid joncher les rues comme au temps des pestes médiévales.

Il y a fort à parier que demain certains seront prêts à confier leurs enfants à l’Etat sans broncher, si on arrive à les convaincre que c’est pour leur bien et que c’est le seul moyen d’éviter plus de contaminations.

Jusqu’où ira cette folie ? Allons-nous aussi par peur du Horla brûler notre propre maison ?

A priori il n’y a aucune limite à ces mécanismes d’asservissement par la peur. Car l’imaginaire est tellement puissant qu’il peut anéantir toute faculté de se reconnecter au réel et entretenir une véritable paranoïa qui nous fait croire à un réel danger face à nous alors qu’il n’y a rien. Ces mécanismes de conditionnement, alliées à l’enfermement, au besoin favorisés par la prise de drogues ou la soumission à divers stimuli, ont été testés et expérimentés à de multiples de reprises, par divers régimes dictatoriaux mais aussi par des agences de renseignement comme la CIA (cf. projet MK Ultra dans les années 1950 à 1970).

Bien au-delà de la réalité ou de la relativité de cette grippe qui grippe nos méninges plus efficacement que notre immunité, il est essentiel si l’on entend préserver sa liberté et sa raison de prendre conscience que nous sommes avant tout victimes d’un conditionnement. Que celui-ci est bien plus puissant que les réflexes naturels de survie que nous aurions développés face à un danger réel. Et que si nous voulons nous en défaire, il faut d’abord entamer un travail en profondeur pour déconstruire les croyances et les représentations qu’on nous a implantées dans la tête.

A commencer par les croyances sur l’immunité. Et cette certitude terriblement fragilisante que nous serions vulnérables et incapables de lutter contre certains agents pathogènes.

Les virus existent depuis la nuit des temps, or aucun virus n’a jamais menacé la survie de notre espèce. Nous avons au contraire toutes les facultés pour nous adapter et éliminer les virus qui pourraient éventuellement nous affaiblir ou nous tuer.

Quant à l’immunité collective, elle n’est pas un concept mais une réalité. Plus il y a d’individus qui s’exposent au même virus dans une population, plus ils développent des anticorps et plus vite la population s’immunise naturellement contre une maladie.

L’immunité ne fonctionne pas de façon cloisonnée. De la même façon que les plantes communiquent par des messages chimiques pour s’alerter de la présence d’un prédateur, un groupe communique aussi grâce à une multitude de signaux inconscients. Notamment en cas d’agression de l’un de ses membres.

Ce n’est donc pas un hasard si ceux qui veulent nous manipuler cherchent aussi à nous isoler, nous empêcher de communiquer, nous bâillonner avec un masque, nous éloigner le plus possible les uns des autres. Une foule est certes statistiquement un vecteur possible de contamination, mais c’est aussi un corps font les membres vibrent ensemble au même diapason. Un concert rock ou un match de foot peuvent ainsi déployer une énergie considérable. Et la façon dont la conscience collective d’une foule s’oriente joue un rôle déterminant sur chaque individu, mais aussi sur l’espace qui l’entoure. Ce que des expériences scientifiques récentes sur les phénomènes de conscience collective ont clairement mis en lumière.

C’est une évidence : le projet mis en œuvre par ceux qui jouent sur la phobie sanitaire est clairement de nature diabolique. C’est-à-dire qu’il vise à diviser (dia-bolos), à semer le doute, à perturber les mécanismes de cohésion et d’adaptation pour figer notre imaginaire, c’est-à-dire notre faculté à créer de nouvelles représentations de nous-mêmes et du monde.

Pas besoin d’évoquer une quelconque secte satanique, cette énergie diabolique (au sens étymologique et non religieux) s’appuie sur les fonctionnements les plus archaïques de notre espèce. Et sur sa faculté à se maintenir éveillée, à créer de nouvelles expériences et réalités, à évoluer. Ou à se laisser piéger par des peurs, à régresser, à se diviser et à s’autodétruire.

Il n’y a aucun être maléfique capable de boire notre vie ou de se nourrir de notre énergie vitale. Sinon ceux que nous créons nous-mêmes en leur donnant de la réalité. Nous sommes Un en tant qu’espèce, en tant qu’humanité. Comme nous sommes Un avec tout l’Univers. Il n’y a aucun méchant virus qui soit capable de nous terrasser et qu’il faudrait éradiquer. L’espèce humaine est faite pour vivre en harmonie avec tous les êtres qui composent l’Univers. Notre corps abrite des milliards de bactéries et de virus sans lesquels nous serions incapables de nous maintenir en vie.

Tout dans l’Univers est affaire d’équilibre, de partenariats, d’homéostasie et d’évolution dynamique. Rien n’est permanent, la vie est perpétuel changement. Ce qui peut nous rendre vulnérables c’est de nous croire séparés. Séparés les uns des autres, séparés des autres espèces, séparés des virus ou des briques de cette vie qui nous sous-tend. Et de commettre l’erreur de considérer que tel autre, tel être vivant ou tel élément nous serait hostile. Ce qu’il ne manquera pas de devenir pour nous si nous le décidons : l’Univers n’est qu’une formidable machine à renvoyer des feedbacks à nos désirs, en agissant comme un miroir.

A nous donc de décider. Si nous voulons construire notre avenir à partir de la peur que le coronavirus et ce qu’on nous en dit nous inspire. Vivre éternellement dans la hantise du Horla. Ou si nous voulons nous délivrer de cette peur que nous nourrissons, et devenir Qui nous voulons être.

Covid-19 : une hallucination qui sonne l’heure du grand réveil

Covid-19 n’est pas le nom d’une épidémie, mais d’une hallucination collective.

Ce n’est pas un phénomène objectif qui relève de la biologie, mais un phénomène subjectif qui relève d’une cristallisation de la conscience.

La particularité d’un virus, c’est qu’il ne se voit pas. Il ne se prouve pas, il ne se démontre pas. Il n’a d’existence que parce que la science prétend l’avoir isolé et rendu responsable d’affections pathogènes.

Certains scientifiques nient pourtant la responsabilité des virus dans le déclenchement de certaines maladies déclarées virales. Certains chercheurs en immunologie parmi les plus éminents s’obstinent même depuis 40 ans à contester l’existence d’un lien direct entre l’infection HIV et le déclenchement du sida.

Ce qui est certain c’est qu’en médecine il n’existe pas de certitudes absolues et immuables. Jusqu’à l’invention du microscope et la découverte des premières bactéries, les maladies et leur mode de contamination étaient attribués à la présence dans les lieux confinés ou insalubres de miasmes pestilentiels. La pestilence se propageait donc par voie aérienne, contaminant les personnes séjournant ou travaillant dans ces lieux mal ventilés.

Dès le début de l’épidémie de coronavirus, on nous a habitués à croire que les cas qui se développaient en Chine puis dans d’autres pays et la propagation de cette maladie étaient dus à un virus baptisé coronavirus, apparu suite à une transmission de l’homme à l’animal. Et que pour s’en protéger il fallait isoler les personnes infectées, confiner les régions où des cas étaient apparus, éviter les contacts, se tenir à distance les uns des autres, se désinfecter souvent les mains et porter un masque.

Ce qui est visible, ce sont les morts ou les malades qui engorgent les hôpitaux. Ce qui donne de la consistance au danger épidémiologique ce sont les symptômes déclarés chez certains patients et qui peuvent entraîner la mort : manifestations inflammatoires, fièvre, éternuements, écoulement nasal, toux, suffocation, détresse respiratoire…

C’est ce qui donne de la réalité à l’épidémie. Car le virus, lui, demeure invisible, sinon pour les rares chercheurs qui prétendent l’avoir identifié. Sur ce sujet pourtant il y a débat, même si celui-ci semble interdit.

En fait, ce qui donne une vraie consistance sociale à la maladie, ce qui la rend sensible, perceptible, et ce qui donne en conséquence une crédibilité et une charge émotionnelle à ce virus, c’est la peur qu’il suscite, nourrie par les discours scientifiques, les alertes médiatiques, les préconisations sanitaires et les recommandations scientifique. Tout un halo de discours entretenu en boucle par une partie du corps scientifique, des médias et du personnel politique.

Pour autant, malgré ce brouhaha permanent autour de l’épidémie, le virus lui demeure totalement invisible dans la vraie vie. Ce qui tend à augmenter la charge fantasmatique qui l’accompagne.

Contrairement aux pestes médiévales on ne croise jamais de cadavres ou d’agonisants dans les rues des grandes villes. Ni de cortèges funèbres conduisant des malheureux entassés à la fosse commune. Pas plus qu’on ne peut détecter une personne contaminée parmi des personnes saines. Pas de membre abîmé, pas de marques sur le visage, pas de pustules sur le corps, pas de perte de cheveux, pas d’amaigrissement spectaculaire comme pour le sida. Rien ne distingue une personne porteuse du virus d’une personne non infectées.

Ce virus est donc d’autant plus effrayant, vecteur de fausses croyances et cause de projections, qu’il est sournois, invisible, inodore, imperceptible.

Pourtant il se répand plus vite qu’une rumeur dans les esprits, à mesure que les médias contribuent à lui donner une existence, une présence, une réalité.

Même quand l’épidémie a disparu comme aujourd’hui, ce virus continue à rester très présent et menaçant dans l’esprit des gens. Comme un mauvais tour de prestidigitateur. Il est vrai que ceux-ci déploient des trésors de persuasion pour arriver à entretenir l’illusion de la persistance d’une menace. Il suffit de multiplier les tests, et d’exposer chaque jour les « nouveaux cas » en les présentant comme une nouvelle progression de la maladie, alors que cette manœuvre ne fait que confirmer l’importance des personnes séropositives et asymptomatiques. Et donc le fait que l’immunité de groupe est une réalité.

Mais un nombre croissant d’esprits lucides refusent d’être pris au piège de cette manipulation grossière.

Alors pour lever les doutes entraîner le plus possible de naïfs dans la spirale de l’effroi, on invente un stratagème machiavélique. Il suffit d’obliger tout le monde à porter un masque en permanence. Y compris et surtout dans les lieux où cette précaution est totalement inutile comme en extérieur.

Ce tour de passe-passe permet ainsi de faire croire à un triple mensonge : il rend le virus visible de façon presque obscène dans tous les actes de la vie quotidienne là où il a déjà disparu de l’espace public depuis des mois. Il le rend présent et menaçant partout, en tout lieu, à tout moment. Ainsi impossible d’y échapper : le virus, et surtout les messages anxiogènes qui l’accompagnent, restent présents au regard et à l’esprit quels que soient les efforts pour s’en distraire. Enfin le virus touche tout le monde, personne ne peut se soustraire à l’obligation de porter le masque, qui créé ainsi dans l’espace social un indifférencié de terreur : une frayeur totalitaire.

Mêmes ceux qui contestent à juste titre ces mensonges et cette manipulation mentale ne peuvent se soustraire au rappel constant, obsédant, du virus. Et à la présence irréductible des messages idéologiques qui le concrétisent.

Le masque est une trouvaille plus efficace et radicale encore que le télécran de Big Brother puisque c’est chaque individu qui est désormais forcé de l’arborer en guise de visage. La reconnaissance de l’altérité ne se fait plus désormais par le faciès, occulté, ni par le bonjour, devenu inaudible, mais par le croisement de regards muets en miroir émergeant de visages barrés par le même symbole de soumission et de renoncement.

Le masque chirurgical renvoie implicitement à l’univers médical, hospitalier. Il fait de tout citoyen un malade en puissance. Comme la privation de vêtements civils au bénéfice du pyjama bleu des hôpitaux prive toute personne hospitalisée d’identité sociale pour lui faire endosser celle de malade, le masque chirurgical prive toute personne qui le porte de visage et de faculté de communiquer.

Le masque est un peu comme l’étoile jaune ou la rouelle. Sauf qu’il ne renvoie pas à une communauté en particulier, ostracisée et désignée comme bouc émissaire. C’est tout le groupe qui est communément bâillonné, stigmatisé. Chaque individu est déclaré suspect a priori.

Dès lors c’est tout l’être social qui est déclaré hors-la-loi. Le port d’un uniforme dans certaines sociétés totalitaires comme la Chine de Mao constituait déjà une méthode d’uniformisation absolue de l’homme et de la société.

Mais le masque va plus loin. Il laisse à chacun l’illusion d’être une personne en autorisant chacun à porter les vêtements qu’il souhaite et en « customisant » le masque selon la fantaisie de chacun. Mais c’est pour mieux faire oublier que l’obligation de porter le masque symbolise l’acceptation de renoncement à sa propre identité, à sa propre liberté, y compris celle de penser différemment de ce que la propagande officielle déclare vrai, et de renoncer à toute interaction intime, privée, ou simplement rapprochée avec un autre, à tout échange prolongé qui ne soit pas dicté par les impératifs de la vie économique ou les nécessités élémentaires de la vie courante.

Nul besoin remettre en question la réalité du coronavirus et de l’épidémie. Ces considérations sont on ne peut plus relatives. Pour preuve, l’écart colossal qui sépare selon les spécialistes la faible dangerosité relative de cette maladie comparée à d’autres épisodes épidémiques et le phénomène d’hystérisation collective provoqué totalement inédit dans l’Histoire que ce banal virus aura suscitée.

Nous sommes donc bien en présence d’un phénomène d’emballement et d’hallucination provoqués. Provoqués à des fins connues : vendre médicaments et vaccins déclarés efficaces et instaurer une dictature au plan mondial.

Ce qui importe ce n’est pas la fin mais cette capacité inouïe à créer de la réalité à partir du néant. De même que le virus n’est pas un organisme vivant et ne peut se répliquer sans contaminer un organisme vivant, les psychoses qui façonnent instrumentalisées notre réalité collective n’ont aucun fondement ni aucune réalité. Aucune efficacité sinon celle que nous leur donnons en y apportant du crédit.

Être ou ne pas croire. Croire ou ne pas croire. Tel est l’enjeu. Désormais c’est à nous qu’il appartient de choisir. Allons-nous continuer de laisser cette société de consommation fondée sur le mensonge et l’aliénation et ceux qui la contrôlent nous dicter comment il faut désirer, penser, agir ? Ou allons-nous reprendre en mains notre destin et notre faculté de créer ?

Allons-nous continuer à vivre dans des mirages, des réalités fabriquées et augmentées bidouillées par d’autres pour nous maintenir en état de peur, de transe et de soumission ? Ou allons-nous enfin décider ce qui est bon pour nous et la façon dont nous voulons évoluer ?

Il n’y a pas de totalitarisme sans nécessaire abdication à un moment donné de la faculté des peuples de conduire leur destinée.

Renoncer à son identité et à sa faculté de créer, de choisir Qui nous sommes et voulons être, cela revient à affaiblir notre immunité. Plus nous laissons à d’autres le pouvoir de nous définir en tant que personnes, peuple ou humanité, et plus nous affaiblissons notre capacité à nous défendre et nous maintenir dans un état de cohérence et de vitalité. Plus nous donnons la chance à des virus réels ou imaginaires de nous affaiblir.

Comme d’autres phénomènes auxquels notre humanité fait face, la « crise » du Covid-19 n’est rien d’autre qu’une épreuve dans le processus d’éveil progressif de notre conscience.

A ce titre, le masque est le symbole de notre peur, de notre incapacité ou de notre renoncement à créer, c’est à dire à nous parler nous-mêmes.