De quoi la « Décivilisation » est-elle le nom ?

Mis en avant

Ce qu’il y a d’assez stupéfiant aujourd’hui, c’est la rapidité avec laquelle les discours et les repères sémantiques et idéologiques sont récupérés, déconstruits, réassemblés d’une façon totalement perverse par les agences en charge de la doctrine de la foi et de la propagande libérale-progressiste comme McKinsey, dans un but évident d’égarer les esprits, de jouer sur les peurs et les amalgames, d’inverser les valeurs et de semer la confusion, avec un art consommé de l’hypocrisie et de la manipulation.

On connaissait l’habileté avec laquelle le concept de « théories conspirationnistes » ou de « complotisme », inventé par la CIA dans les années 1960 pour discréditer toute personne remettant en cause le rapport officiel sur l’attentat de JK Kennedy, avait été appliqué au Covid, après le succès qu’on lui connut à propos du 11 Septembre.

On sait aussi que la captation des discours officiels et des esprits par la doxa libérale-progressiste au profit d’une politique présentée comme réaliste, gestionnaire et « la seule possible » constitue une forme de totalitarisme fondé sur une inversion des principes humanistes, égalitaires, universalistes, pacifistes, écologistes, de justice sociale, sécuritaires, etc, pour servir des desseins à l’exact opposé des buts annoncés.

Avec cette réappropriation du concept de « décivilisation » dans la déclaration en off de Macron durant le conseil des ministres fuitée volontairement dans « Le Pharisien« , on atteint un autre degré de brouillage éthique et discursif.

Rappelons que la décivilisation est un concept inventé par Renaud Camus, écrivain d’extrême droite a priori très éloigné du puritanisme macronien présenté frauduleusement à chaque scrutin comme le seul rempart efficace contre la Peste brune prétendument incarnée par Marine Le Pen.

Ce même Renaud Camus qui avait popularisé dans les années 1990 le concept de « grand remplacement » forgé par l’extrême droite française au début du 20e siècle. Un concept en passe de devenir une réalité tellement criante, que bientôt même Mélenchon sera contraint de l’intégrer dans son logiciel.

Ce qui est intéressant ici, ce n’est pas tant l’instrumentalisation de thématiques recouvertes sous des néologismes savants, qui reflètent de réelles préoccupations des Français révélés par les sondages d’opinion, face à une actualité brûlante que les médias jettent à la figure du peuple pour le détourner de la tentation insurrectionnelle et canaliser son ressentiment légitime sur des boucs émissaires plus commodes que la marionnette de Davos qui squatte l’Elysée en les maltraitant depuis 6 ans.

Mais plutôt le glissement systématique des tropismes politiques pour couvrir une large palette d’items et de mots-valises, et permettre à un pouvoir exsangue de réinvestir frauduleusement l’image du Pouvoir, de l’Autorité, de l’Ordre et du Pacte républicains.

« Républicain », « démocratie », des mots scandés comme des formules magiques, des mantras qui ne dupent personne. Et dont la fonction exclusive est d’inscrire la logorrhée verbale qui tient lieu à Macron de parole présidentielle et la gesticulation qui lui tient lieu de politique dans une sacralité fictive, et une légitimité éthique purement déclarative.

Alors que tous les grands principes, tous les symboles, toutes les valeurs, toutes les institutions qui fondent notre République ont été méthodiquement profanés par l’imposteur qui nous gouverne.

C’est d’ailleurs pour cette raison précise, non seulement stratégique et politique, mais aussi symbolique et spirituelle, que le Mozart de la Casse a été propulsé là où il est par ses mentors : pour détruire ce qui fait depuis 1500 ans « la France » et qu’incarnait de Gaulle, bien au-delà des ruptures apparentes entre l’Ancien régime et la Révolution.

La France, c’est-à-dire une culture, un art de vivre, une civilisation, une âme. Cet esprit français dans tous les sens du mot, saccagé par 40 ans de décadence culturelle, d’avilissement consumériste et de déconstructionnisme suicidaire, continue de rayonner dans le monde. Notamment au travers de la francophonie, et dans les universités de la Côte Est où l’on enseigne avec passion Molière, Racine, Camus, Foucault ou René Girard.

Car la décivilisation n’est pas un constat camusien assimilable au retour de la barbarie, à la submersion migratoire, au triomphe des racailles, des caïds, dealers, terroristes antisémites fumeurs de shit, chauffards alcoolisés et autres violeurs cocaïnés. Une réalité certes préoccupante, mais qui n’est qu’un symptôme d’un mal plus profond.

Elle n’est pas non plus ce reflux nostalgique angoissé chez les réacs cultivés comme Zemmour d’une grandeur passée, en grande partie mythique, chère aux historiens classiques et aux académiciens.

Détruire la civilisation est en vérité un projet stratégique global et délibéré, orchestré par ceux qui ont intérêt à précipiter la ruine de toute forme de civilisation hégémonique liée à une culture propre, à une nation ou un empire. Pour faire advenir leur rêve de nouvel ordre néofasciste, totalitaire, technosécuritaire, transhumaniste et eugéniste. Un cauchemar en passe de devenir réalité grâce au Great Reset du Nazi de Davos, dont Macron est le meilleur élève, à l’image et à la ressemblance des dystopies de « fiction », comme Le Meilleur des mondes, Matrix, Soleil Vert ou Zardoz.

Macron est donc une sorte d’Antéchrist de l’âme française télécommandé, qui navigue au gré des vents et des instructions de ses maîtres relayées par McKinsey. Hier il publiait un essai de campagne baptisé « Révolution ». Aujourd’hui il recycle Camus. Demain pourquoi pas Bakounine, Pierre Laval, Alain Krivine ou Madame Soleil. Selon le CAC 40 des obsessions du moment, et comment les affects font tourner la girouette de l’opinion. Une sorte de Société du spectacle interactive, où l’hologramme présidentiel s’adapte en direct à ce qui est in ou out pour tenter de proroger l’illusion démocratique.

Cynisme serait un mot trop doux pour qualifier une telle attitude de la part d’un soi-disant chef de l’Etat. Une absence de rigueur morale et surtout de respect élémentaire pour le pays et pour son peuple. Diabolisme conviendrait mieux. Au sens le plus littéral : celui du Divise.

Macron, une fois de plus, se révèle comme l’avatar de son illustre homonyme, Naevius Sutorius Macron, dit Macron. Prêteur romain du 1er siècle, ami de Caligula, expert en traîtrise, et assassin présumé de Tibère. Tombé en disgrâce et désavoué par l’empereur, il voulut fuir Rome avec sa femme, mais ils furent arrêtés et obligés de se suicider.

Souhaitons-leur de partager semblable gloire.

La volonté de ne pas savoir

Mis en avant

Pourquoi « ils » ne veulent pas savoir ?…

Quelles sont les raisons profondes du conformisme social, de l’oblitération morale et intellectuelle, du suivisme politique des masses aux cerveaux lessivés par les médias comme jamais auparavant en Occident depuis cette « crise du Covid » ?

Dans une vidéo postée sur un tweet, le Dr. Louis Fouché explique la raison du déni qui touche paradoxalement plus les plus éduqués, les plus diplômés, les plus conformistes, attachés au matérialisme. Une grande partie de la population accepte encore la censure et le narratif officiel des gouvernements et de l’OMS. 70% des individus dans les pays Occidentaux se seront ainsi fait injecter, de gré ou sous la contrainte, un produit expérimental frauduleusement appelé « vaccin », commercialisé de façon illégale par un cartel d’industries pharmaceutiques. Dont une bonne part d’enfants, d’adolescents, de jeunes adultes qui n’ont jamais été concernés par la maladie, et qui ne présentaient aucun risque de la transmettre aux plus vulnérables tant qu’ils n’étaient pas eux-mêmes malades avec des symptômes.

La vérité sort partout (sauf ou si peu en France), mais elle n’est pas audible.

A cette analyse pertinente, j’ajoute qu’il existe chez les personnes les plus fragiles des mécanismes psychologiques du type paranoïaque qui expliquent cette incapacité à voir des faits réels.

Léonard de Vinci observait : « Il y a trois types de personnes : ceux qui voient ; ceux qui voient quand on leur montre ; et il y a ceux qui ne voient pas. » C’est cette dernière forme de cécité psychique plus qu’intellectuelle, pathologique plus que délibérée, systémique plus que personnelle, qu’il faut interroger.

Ce déni obsessionnel qui confine à la schizophrénie poussent ceux qui en sont atteints à réagir souvent sous forme de décompensations violentes et paroxystiques, lorsqu’ils se retrouvent confrontés à des personnes qui les exposent à des vérités dérangeantes. Des vérités factuelles pourtant validées, sourcées, officielles, incontestables.

Comme ces effets secondaires record, ces victimes et ces morts par millions recensés partout dans le monde, et directement imputés aux pseudos « vaccins » anti-Covid. Des informations qui ébranlent leurs certitudes autant que les remparts de la doxa sanitaire. Qui désamorcent des croyances implantées à dessein sur une « pandémie » fantasmée, en grande partie fictive, aussi banale qu’un rhume d’un point de vue infectiologique, épidémiologique et statistique, mais aussi terrifiante que la Grande peste noire, la lèpre, le choléra ou le sida, qui réveillèrent en leur temps des terreurs archaïques, médiévales ou apocalyptiques.

Or cette paranoïa entretenue et même plus contagieuse que le virus est précisément la matrice psychologique des mécanismes de dépendance au pouvoir. Comme l’illusion de toute-puissance quasi divine qui la caractérise, cette hubris bien plus addictive que le vice de l’avarice, cette obsession de l’argent et des richesses. Et cette jouissance perverse, sadique, partagée par tous les hommes de pouvoir (plus rarement des femmes) au niveau le plus élevé. Tous prisonniers de leur propre névrose. Une obsession dévorante qui les conduit à se démarquer radicalement du commun des mortels, de ce qui fonde notre humanité, pour poursuivre un rêve de toute-puissance du haut de leur Olympe. Avec comme fantasme ultime le rêve de pouvoir créer et maîtriser la Vie. Comme ce démiurge Créateur de l’Univers, dont ils jalousent le pouvoir et réfutent l’existence.

C’est la thèse défendue par Ariane Bilherand, psychologue spécialiste des pathologies du pouvoir, qui a étudié dans les moindres détails cette pathologie chez les grands malades qui dirigent le monde, et leur idéologie radicalement inégalitaire, transhumaniste et eugéniste.

Le Covid n’est que la surface visible de ces mécanismes paranoïaques auto-aliénants, qui se déclinent aux plans du savoir, du pouvoir politique, économique, administratif et financier sous les traits d’une perversion radicale des savoirs scientifiques, de l’éthique et des institutions liées à la fabrique du savoir, sa validation et sa transmission, l’ingénierie sociale et la manipulation scientifique des masses, la corruption systémique et systématique de tous les pouvoirs subordonnés au seul pouvoir financier et à ceux qui le contrôlent, la perversion des discours sur le Droit, la Justice, la Démocratie, la Société, leurs fondements philosophiques, institutionnels et même religieux. Y compris les valeurs les plus essentielles. Comme le respect de la vie humaine et des autres formes de vie, de la dignité humaine, de l’identité et de l’intégrité individuelles, de l’inviolabilité du corps humain, des principes humanistes universels, ou des libertés reconnues comme les plus essentielles.

Cette paranoïa est méthodiquement traduite en slogans et formules magiques pour forcer l’adhésion des masses esclavagisées à une propagande, à un discours et à un ordre absurdes.

Lorsque la soumission est acquise, au terme d’intimidations, de menaces, d’injonctions paradoxales, de terrorisme, de chantages et de vaines promesses, ceux qui y succombent se métamorphosent alors en auxiliaires zélés du pouvoir. Ils sont sous une emprise psychologique et spirituelle puissante, prisonniers du chantage qu’ils ont accepté afin de conserver un semblant de liberté, d’autorité, de respectabilité, et quelques avantages conditionnels : sortir, se divertir, voyager, consommer… Presque comme avant.

Dans ce presque, il y a une abdication définitive à tout libre-arbitre, à toute faculté de raisonnement et de jugement autonomes, à tout vraie liberté qui ne soit pas conditionnée par le degré de soumission, au respect de la personne humaine, de l’altérité, et pour finir de toute humanité. Tous sacrifiés au bénéfice d’un conformisme déshumanisant et sacrilège. Une trahison qui nourrit encore plus cette angoisse du Jugement, avec une culpabilité effroyable qui l’accompagne.

Face à des détracteurs « libres », qui n’ont pas peur d’exposer la vérité, de prendre tous les risques pour dénoncer l’imposture, le mensonge et la corruption des prélats de la religion nouvelle, cette pulsion paranoïaque agit telle un réflexe archaïque et irrépressible. Tel un mécanisme de défense propre à tout être vivant face à ce qu’il perçoit comme un danger de « mort imminente ». Et face à un « ennemi » qui menace en profondeur ses structures psychologiques, en brisant l’écran artificiel du mensonge. Un écran constitué par tous ces schémas appris et les discours articulés, qui fondent nos représentations sur la vie, le monde, la société, l’autorité, l’identité collective et leur donnent un sens.

Notamment cette croyance naïve, constamment confortée sous des formes diverses dans les discours politiques, culturels, médiatiques, religieux, que toute autorité est bonne a priori, non corrompue. Et donc qu’il faut absolument lui obéir, la respecter. Impératif moral, social, mais aussi essentiel : « Rendez à César ce qui est à César… » Une affirmation souvent mal interprétée par les églises, catholique surtout, comme un devoir d’obéissance obséquieuse ou calculée, d’attitude « non-violente » vis-à-vis des pouvoirs temporels.

Cette soumission est d’autant plus opérante qu’elle procède d’une projection sur l’autorité de l’image du bon parent protecteur. Et donc de Dieu. Le « bon roi » chrétien qui se soucie bien de ses peuples, le Président élu au suffrage universel, représentant du peuple et de la Nation, vénéré comme un monarque, le brave médecin du roman de Dickens De Grandes espérances qui remplit son devoir comme un sacerdoce en soulageant les corps et les âmes, le chercheur ou le philosophe qui se dévoue à la Science, à la quête de la Sagesse ou de la Vérité…

Autre lieu commun qui façonne les représentations populaires sur le Pouvoir, cette croyance très répandue que tout responsable scientifique, politique, religieux œuvre de son mieux pour le « bien commun », l’intérêt général, la démocratie, la Justice, la défense des plus fragiles et des déshérités. Qu’il multiplie les efforts en faisant don de sa personne au groupe, avec loyauté et intégrité, en mettant de côté tout appétit cupide ou ses intérêts personnels.

La multiplication des révélations, des affaires, l’exposition des conflits d’intérêts, compromissions, mensonges délibérés, privilèges, passe-droits et protections diverses dont jouissent les serviteurs du pouvoir, met à mal cette confiance dans le contrat social. Notamment les fondements de la paix sociale : renoncement à la violence arbitraire pour les dirigeants. Et au devoir d’insurrection contre les oppresseurs du peuple, selon les principes hérités de la Révolution inscrits dans les Droits de l’homme et du citoyen[i].

Cette violence, légitime bien que déclarée illégale, immorale et transgressive, resurgit chez une infime minorité déterminée à abattre le système : black blocs et autres « anarchistes révolutionnaires de l’ultragauche ». Surexposée, unanimement condamnée, elle voile l’incommensurable violence systémique sans cesse travestie en vertu, niée ou occultée, qui manipule l’opinion et la soumet à un chantage insoutenable.

Les mécanismes du refoulement font le reste. L’écrasante majorité plie et obéit, renonce à ses prérogatives les plus essentielles, rejouant toujours plus inlassablement, dramatiquement et coupablement le scénario de la servitude volontaire[ii].

Ce refoulement détruit les corps et les âmes, beaucoup plus sûrement que la pire des pandémies ne menacerait le corps social.

Il produit aussi d’effroyables décompensations sporadiques : meurtres, viols, attentats, saccages et sacrilèges, souvent commis sous l’emprise de psychotropes consommés avec excès pour étourdir la frustration et le désespoir.

Le ressentiment que cette violence sournoise nourrit n’en est pas moins violent chez ceux qui dysfonctionnent et finissent par « pèter un câble », devenant des symptômes des maladies du corps social, et les désignant de fait comme boucs émissaires et parias d’une société agonisante, au même titre que les « complotistes » qui en révèlent les mécanismes d’aliénation et d’autodestruction. De la même façon que les hérétiques et les criminels furent condamnés au bûcher par la Sainte Inquisition pour préserver l’intégrité du dogme et du pouvoir sans partage de l’Eglise catholique.

Le schéma est le même chez ceux qui font mine de refouler cette violence et la travestissent sous le « masque » d’une antimorale puritaine aussi obscène que déstructurante : le wokisme. Une morale du ressentiment fondée sur inversion des valeurs et une obsession de l’anti-normalité érigée en nouvelle norme absolue, poussée à l’extrême. Et qui transforme ceux qui sont victimes en robots dénués de tout libre-arbitre, de toute capacité à juger de façon relative et par eux-mêmes. Des Zélotes fanatiques défendant des causes auxquelles ils ne comprennent rien, mais qui s’y soumettent par obsession du conformisme : leur seul mode d’existence résiduelle, alors qu’ils ont perdu toute capacité à exister, toute identité vraie, toute empathie et toute forme d’humanité.

Ceux-là sont définitivement perdus pour l’humanité. Toute invitation à ouvrir les yeux, à penser par eux-mêmes, à voir la réalité sous un autre angle que le catéchisme délétère débité par les médias, les transforme en chiens enragés. Parce qu’elle les agresse, les excite, pointant directement ce mensonge inavoué qui détruit leur âme mais auquel ils souscrivent. Comme possédés par des puissances sataniques qui leur ont fait signer un Pacte de sang. Les ont poussés à accepter de laisser leur corps violer par des injections. A se laisser inoculer un programme génétique, une arme biologique de destruction massive bien plus mortifère que le virus contre lequel il est censé les protéger. En les exposant à une réaction en chaîne incontrôlable, telle une bombe atomique à retardement. A modifier leur génome et ceux de leurs descendants, les transformant en OGM marqués à jamais du sceau de la Bête.

Que faire pour ceux qui se sont rendus complices d’un projet aussi diabolique ? Par calcul, par peur, par ignorance, ou par désespoir.

Chaque nouvelle révélation vécue comme une agression se retourne contre les lanceurs d’alertes ou les amis bien intentionnés. Aussitôt transformés en boucs émissaires tout désignés pour colmater les brèches dans le Mur du Mensonge, mobiliser l’adhésion volontaire au Mensonge collectif, perpétuer l’illusion démocratique, sanitaire et sécuritaire.

L’ordre, la paix psychique et sociale illusoire, plutôt que la vérité et le chaos.

Ou plutôt, ordo ab chaos : l’ordre à partir chaos. L’antienne des grands prêtres de ce capitalisme du désastre.

Références :

  • Michel Foucault : La volonté de savoir (Gallimard, 1974)
  • Ariane Bilheran : Psychopathologie de la paranoïa (Dunod, 2016)
  • Ariane Bilheran, Vincent Pavan : Le débat interdit – Langage, Covid et totalitarisme (Guy Trédaniel, 2022)

[i] Cf. Article 35 de la Déclaration des Droits de l’homme et du citoyen de 1793, repris dans la Première Constitution de la République :
« Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple, et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs« .

[ii] Cf. Etienne de la Boétie : Discours de la servitude volontaire (1574)

La pire des dictatures est celle qui ne se voit pas

Il y a deux sortes de dictatures : oldschool et newschool. La première en voie de disparition, la seconde en voie de généralisation.

La République romaine avait inventé cette disposition radicale qui consiste à remettre temporairement les pleins pouvoirs à un seul homme nommé « dictateur » (celui qui décide), pour faire face à une situation exceptionnelle.

Le 20e siècle nous avait habitués à quatre formes modernes de dictature, assez évidentes et triviales, dans lesquelles un pouvoir brutal incarné par un homme, un parti ou une secte théocratique imposait par la violence et la terreur un ordre totalitaire : fasciste et militaire, communiste, nazie, islamiste.

Orwell (selon Michel Onfray dans Théorie de la dictature, 2019) a tiré de ces formes modernes de la dictature un modèle de dystopie politique, idéologique et sociétale, qui préfigure la dictature postmoderne ou intégrale. Cf. 1984 et La Ferme des animaux.

Le 21e siècle a vu naître cette nouvelle forme de dictature qu’Orwell avait prophétisée. Une dictature si insidieuse, si intelligente et sophistiquée, que la plupart sont incapables de l’identifier comme telle, et même y collaborent volontairement.

Une dictature qui se pare de toutes les vertus de la démocratie, dont elle encense les principes pour mieux les vider de toute substance. Et dont elle préserve les formes institutionnelles pour mieux s’étendre sans susciter de réaction : cette dictature qui ne dit pas sont nom, mais qui constitue l’apothéose du totalitarisme, selon la définition qu’en donne Hannah Arendt : « international dans son organisation, universel dans sa visée idéologique, planétaire dans ses aspirations politiques ».

Cette dictature mondialiste, « progressiste », ploutocratique, technocratique, sanitaire et sécuritaire, numérique, transhumaniste et eugéniste, est donc la nouvelle forme indépassable de la dictature contemporaine. Elle utilise toutes les autres formes résiduelles de dictature, en particulier l’islamisme et le djihadisme, pour perpétrer le chaos, la division, et progresser dans ses desseins stratégiques.

Une dictature que nous voyons se déployer aujourd’hui sous la forme d’un ordre totalitaire (le Nouvel ordre mondial). Et qui avance en instrumentalisant des chocs qu’elle provoque, déforme ou entretient : politiques, stratégiques et militaires, économiques et financiers, sociaux, civilisationnels et communautaires, sanitaires, climatiques et écologiques.

Une dictature qui obéit à une stratégie élaborée par l’élite bancaire et financière anglo-saxonne dès le 18e siècle, fondée sur le contrôle des monnaies, des flux financiers, de la dette et des États-nations, de la vie politique par la corruption et le financement des partis dans tous les pays dits « démocratiques », de l’économie mondialisée, de la science et des savoirs, des médias, des institutions religieuses qu’elle finance, et pour finir des individus grâce aux nouvelles technologies de surveillance numérique.

Avec pour objectif final le contrôle absolu de tous les pouvoirs, fondé sur des concepts inventés au 18e siècle comme la monnaie unique mondiale et de Nouvel ordre mondial.

Une dictature qui est en passe de finaliser un ordre dystopique totalitaire, et d’instaurer une société planétaire collectiviste, radicalement inégalitaire, un Etat policier mondial, technocratique, hypernormatif, coercitif et sanitaire, ouvertement transhumaniste et eugéniste, avec des objectifs de dépopulation mondiale clairement revendiqués au nom de la sauvegarde de la planète.

Journée mondiale d’hommage aux victimes des « vaccins » : les dessous d’une hécatombe

Mis en avant

Le 13 mai prochain aura lieu dans plusieurs villes françaises, européennes et du reste du monde, une journée pour dénoncer les effets indésirables des « vaccins » anti-Covid.

Pour dénoncer aussi l’omerta criminelle sur les effets néfastes de ces injections. Notamment dans des pays comme la France où dirigeants politiques et autorités de santé refusent toujours d’admettre leur réalité et leur ampleur, deux ans et demi après le début des campagnes publiques de vaccination de masse.

Des effets niés ou minimisés pour continuer à écouler les doses, bien qu’ils aient causé des millions de décès dans le monde. Du moins partout où ces « vaccins » ont été imposés à des populations désorientées comme le seul remède prétendument efficace contre le Covid. Sans aucun bénéfice objectif pour les protéger des contaminations, des effets de la maladie, y compris les formes les plus graves, empêcher les personnes injectées d’être hospitalisées ou de mourir du Covid.

Plusieurs associations de médecins, des spécialistes, des juristes, des avocats représentant les victimes ou leurs familles, mènent depuis 2021 un combat acharné pour faire valoir ces préjudices, obliger les médecins tétanisés à déclarer ces effets indésirables directement liés aux « vaccins », obliger les responsables corrompus à reconnaître leurs erreurs à vouloir piquer toute la population, faire enfin éclater toute la vérité, et obliger les laboratoires criminels à verser des indemnisations.

Eux qui connaissaient parfaitement les effets désastreux de ces « vaccins », ont menti sur leur efficacité et leur innocuité, et ont continué sciemment à vendre des milliards de doses pour engranger des centaines de milliards de dollars de bénéfices.

Ces effets indésirables sont aujourd’hui parfaitement connus et répertoriés. Ils sont recensés depuis décembre 2020 par les agences de pharmacovigilance, notamment en Europe. 2 millions d’effets indésirables et 20.000 de décès directement liés aux « vaccins » avaient déjà été recensés en juin 2021 par les agences de pharmacovigilance européennes. Soit moins de 6 mois après le début des campagnes de vaccination. On a explosé toutes les statistiques de pharmacovigilance depuis.

Des campagnes lancées tambour battant en Europe en janvier 2021, sous l’égide de la Commission européenne et de son omniprésente Présidente Ursula van der Leyen. Laquelle est aujourd’hui poursuivie pour corruption et dissimulation de preuves (les fameux SMS échangés avec Bourla) par un tribunal belge, pour avoir acheté des milliards de doses au Président de Pfizer (Young global leader comme elle), sans commission scientifique préalable pour statuer sur l’opportunité d’acheter en nombre ces doses, et sans l’accord des autres membres de la Commission sur ce calendrier précipité.

Ces effets indésirables – certains relativement bénins comme des violents maux de tête après l’injection, d’autres fatals comme des thromboses et AVC – sont aujourd’hui reconnus officiellement dans bon nombre d’Etats.
 
Aux États-Unis, le CDC (Center for Disease Control) qui gère la surveillance des maladies au niveau fédéral, et la FDA (Food & Drug Administration) qui délivre aux laboratoires pharmaceutiques les autorisations de délivrance de médicaments, les ont officiellement reconnus depuis plus d’un an.

Le gouverneur de Floride Ron DeSantis a même voulu faire interdire en janvier 2022 le pass sanitaire, l’obligation du port du masque et la vaccination. L’Etat de l’Iowa examine un projet de loi visant à pénaliser tous ceux qui feraient la promotion de ces prétendus « vaccins ».

Leurs effets néfastes et parfois mortels font l’objet d’indemnisations financières versées aux victimes par certains gouvernements.

A Singapour, l’Etat indemnise depuis 2021 avec un fonds spécial les familles des personnes décédées suite aux « vaccins ».

En Allemagne, des citoyens demandent aujourd’hui à l’Etat de faire de même.

Idem en Australie, l’un des pays qui avait pourtant décrété des mesures sanitaires parmi plus dictatoriales pour un pays occidental (comparables à la Chine), avec la Nouvelle-Zélande de l’ex-Première ministre Jacinda Aspern, Young global leader du Forum de Davos, comme Macron, Biden, Trudeau, Scholz, Sunak, Sanchez et bien d’autres dirigeants occidentaux corrompus.

La vérité sur ces effets indésirables et les morts des « vaccins » progresse donc désormais tel un tsunami irrésistible.

De même que la divulgation décomplexée sur les plateaux télé, dans des médias mainstream, dans l’opinion publique intoxiquée par trois ans et demi de propagande insanitaire orchestrée par les laboratoires, leurs actionnaires comme BlackRock, les fondations qui les financent comme la Fondation Gates et les Etats corrompus. Une propagande relayée par des conseils scientifiques bidons, des ministres et des médias, tous corrompus par les mêmes.

Pas un jour aux Etats-Unis sans que la chaîne Fox News, proche des Républicains et critique envers le pouvoir actuel, n’évoque ces nouveaux scandales liés à la gestion de la crise sanitaire, l’origine du virus, les faux « vaccins », les dommages historiques causés aux victimes abusées par leurs dirigeants.

En Allemagne la chaîne publique ZDF a tout récemment consacré une émission entière à ces effets secondaires, et demandé leur indemnisation par l’Etat.

La France fait figure d’exception : un ilot de silence au milieu de l’Europe, plus proche pour la liberté d’expression de la Corée du Nord que de la Suède ou la Norvège. Les choses pourraient rapidement changer avec un Président usé, impopulaire à 90%, emporté par « la foule » vers la sortie, et qui pourra difficilement achever son mandat

Sans parler des nombreux médecins qui évoquent maintenant sans crainte cet effondrement immunitaire comparable au sida dont ils sont témoins chez certains patients injectés à partir de la 3e dose.

Un effondrement immunitaire spectaculaire, au sujet duquel alertait le Professeur Luc Montagnier (qui en a vu d’autres), dans cette déclaration courageuse 5 jours avant de mourir:

« Les personnes vaccinées seraient bien inspirées de faire le test du sida. Elles seraient surprises du résultat, et pourront demander des comptes à leur gouvernement !« 

Certains avaient osé insulter le Prix Nobel découvreur du virus du sida, en le traitant de « complotiste » et de « gâteux« .

Ce que le Professeur a omis volontairement de dire en direct sur ce plateau télé, c’est que les applications civiles et médicales ne constituaient qu’une partie seulement des programmes développés dans ces labos ultra pointus et ultra protégés de recherche en génie génétique.

En effet, une grande part des recherches conduites dans ces laboratoires très surveillés comme le laboratoire P4 de Wuhan construit par la France au nom de la coopération scientifique franco-chinoise, et inauguré en 2011 par le Premier ministre Bertrand Cazeneuve le directeur de l’INSERM Yves Lévy (mari d’Agnès Buzyn), comportent presque toujours un volet de recherche militaire.

Il faut en effet savoir que, bien que les armes bactériologiques soient interdites par la Convention de Genève et qu’elles ne soient pas officiellement développées par les pays signataires de cette Convention comme la France, la majorité des recherches effectuées aujourd’hui dans le monde sur des budgets militaires le sont pour des programmes d’armes non conventionnelles. Car celles-ci sont beaucoup moins coûteuses, tout aussi efficaces mais beaucoup plus discrètes et ciblées que les armes stratégiques (bombe atomique) : armes chimiques, bactériologiques, électromagnétiques (bombes, canons et fusils électromagnétiques de l’US Army), sismiques (séismes déclenchés), climatiques (HAARP et programmes d’ingénierie climatique reconnus officiellement par le Pentagone « pour lutter contre le dérèglement climatique« …), psychédéliques, etc…

Plusieurs spécialistes du génie génétique ont d’ailleurs confirmé depuis le Covid que les laboratoires P4 créés ces dernières années par les Etats-Unis, le Canada, l’Europe, le Royaume-Uni ou la France (et souvent délocalisés vers des pays d’Asie du Sud-Est comme la Corée du Sud, Hong Kong ou la Chine, plus conciliants avec la législation), travaillaient en réalité essentiellement sur des programmes militaires de développement d’armes bactériologiques. Et plus accessoirement sur des programmes civils destinés à mettre au point de nouveaux vaccins.

Les Etats-Unis sont d’ailleurs impliqués dans la genèse du virus SARS-Cov-2, tout comme ils sont dans les recherches menées au laboratoire franco-chinois de Wuhan. Comme l’ont prouvé les mails divulgués lors du Faucigate qui a démontré la responsabilité d’Anthony Fauci, responsable depuis 1984 des programmes de santé publique aux Etats-Unis, dans la préparation et le déclenchement de la crise du Covid.

Quant aux intentions délibérément eugénistes dans cette propagation volontaire du virus à partir de Wuhan (et peut-être dans d’autres foyers simultanés, en Iran et en Italie du Nord), il est assez difficile d’en douter, connaissant les intentions assumées de presque tous les oligarques impliqués dans cette crise.

En tout cas s’agissant des « vaccins », aujourd’hui les faits sont là. Et ce sont les menteurs subventionnés des ministères et des médias redresseurs de « fake news » qui se retrouvent aujourd’hui en situation d’accusés. Alors que ceux qu’ils calomniaient hier en les accusant de « complotistes » sont aujourd’hui réhabilités, écoutés et même remerciés pour leur courage.

A ce sujet, il faut noter le revirement spectaculaire du réseau social LinkedIn, propriété de Microsoft. Un des GAFAM les plus largement impliqués dans le volet numérique de ce cirque covidiste.

Notamment parce qu’il détient depuis 2019 le brevet d’une technologie à base des nanoparticules incluses dans le cocktail vaccinal et destinée au traçage des personnes vaccinées. Développée par le MIT de Boston, elle a fait l’objet de tests officiels en 2020 au Kenya et au Malawi sous l’égide de la Fondation Gates. Comme l’ont rapporté des médias mainstream comme Le Monde, Les Echos ou LCI.

Microsoft est aussi l’un des initiateurs du projet ID 2020. Un conglomérat discret réunissant parmi ses fondateurs la Fondation Rockefeller, la Fondation Gavi (vaccins), Accenture et Microsoft. Avec comme partenaires des multinationales stratégiques comme Facebook, Mastercard et autres géants de la tech. Son but : développer l’identité et le contrôle numériques (des populations) au plan mondial. Et coupler les nouveaux outils de contrôle des données personnelles (état civil, données médicales, carnet de vaccination, données bancaires…) aux monnaies numériques actuellement mises en place partout dans le monde, puis à la future monnaie unique numérique mondiale. L’outil ultime de contrôle des populations.

Un projet qui associe étroitement l’Union européenne, à travers son identité numérique européenne et son portefeuille numérique européen, actuellement mis en place par la Commission européenne. De même que la BCE met en place aujourd’hui son euro numérique, à l’image du dollar, du rouble, du yen ou du yuan numériques. Au passage, la BCE s’est arrogée en 2022 le droit de contrôler toutes les opérations bancaires sur tous les comptes de particuliers gérés par les banques dans tous les Etats membres de la zone euro. En violation complète du droit européen sur le secret bancaire et la vie privée.

Il y a encore deux ans, la censure sur LinkedIn était impitoyable concernant certaines vérités qui dérangent, même sourcées, validées par des experts et publiées dans des médias mainstream. Notamment la réalité sur les tests PCR, l’inefficacité ou la dangerosité des « vaccins ». Relayer de telles infos équivalait à une fermeture arbitraire et immédiate du compte pour non-respect des standards LinkedIn, sans aucune explication ni recours possible.

Même politique de censure arbitraire chez Facebook, réseau asocial champion de la chasse aux « fake news« .

Aujourd’hui, de nombreux décideurs – PDG, banquiers, médecins, généraux – discutent très ouvertement des dérives du Covid et des volets opaques de ce scénario de basculement contrôlé baptisé Great Reset. Un scénario détaillé par Klaus Schwab, Président du Forum de Davos, dans un livre publié en 2020[i], et destiné à nous faire basculer par étapes grâce à des chocs successifs vers une société dystopique, totalitaire, sans libertés, dominée par un Caste élitiste qui contrôle tous les pouvoirs, et gère des populations réduites en esclavage, surveillées par des AI, reformatées par des techniques transhumanistes et vouées à un dégraissage eugéniste « pour sauver la planète ».

Certains qui avaient été accusés de complotisme, ont été suspendus deux ans sans indemnité pour avoir refusé de se faire vacciner, ont perdu leur emploi, ont été condamnés au bûcher professionnel, raillés par les médias, ou qui se sont fait radier par le Conseil de l’Ordre, sont aujourd’hui réhabilités. Comme le Professeur Perronne, débouté de sa chefferie du service de maladies infectieuses à l’hôpital de Garches en 2021, puis réhabilité sans bémol par le Conseil de l’Ordre en 2022, et lavé de tout soupçon de « complotisme ».

Certains d’entre eux ont porté plainte contre les calomniateurs. Ils ont ajouté leur voix aux millions de plaintes dans le monde destinées à faire reconnaître officiellement les préjudices causés par les vaccins de la mort, indemniser les victimes, leurs conjoints ou leurs familles, exposer les crimes, faire condamner les coupables et rétablir la vérité.

Selon les juristes, cela prendra sans doute beaucoup de temps. 10 ans au bas mot, d’après certains. D’autant que la Justice elle aussi est largement corrompue.

Depuis 2020, Reiner Fuellmich, avocat international allemand et d’autres juristes appellent à un Nürnberg du Covid. Afin d’exposer publiquement les crimes, condamner les coupables qui ont imaginé, planifié, déclenché, organisé, couvert cette Shoah mondiale qui cible 8 milliards d’êtres humains.

Et qui se sont enrichis en vendant des vaccins tueurs. En interdisant qu’on hospitalise les malades en détresse respiratoire jugés non prioritaires en raison de leur grand âge, de leur infirmité ou état de santé.

En interdisant qu’on leur délivre autre chose que du Doliprane, et surtout pas ces traitements mis à l’index car réputés pour leur efficacité, et qui auraient permis de les sauver.

En euthanasiant par décret [ii] les vieux dans leur EHPAD. En terrorisant la population avec une fausse « pandémie » fabriquée par l’OMS, et démesurément déformée par les médias alarmistes dès novembre 2019.

En imposant des mesures absurdes, liberticides et contre-productives. Comme la distanciation sociale, le masque, les confinements et couvre-feux à répétition, les milliards de tests PCR utilisés en dépit des méthodes préconisées par leur inventeur et leurs fabricants, la falsification des données épidémiologiques pour faire croire à des « vagues » successives, et justifier le prolongement d’une dictature légale (état d’urgence sanitaire), la fermeture des lieux publics, la surveillance policière des populations, la vaccination obligatoire, le pass sanitaire et le traçage numérique dans le but de fliquer tout le monde…

Comme un symbole de cette folie, le groupe Pfizer, propriété de BlackRock comme la plupart des leaders du secteur pharma, est aujourd’hui sur le banc des accusés. Son PDG Albert Bourla est poursuivi par d’innombrables plaintes pour falsification ou dissimulation d’études scientifiques, concernant l’efficacité et les effets secondaires des injections ARNm, entrave à la Justice, empoisonnement, homicide volontaire, crime contre l’humanité, et corruption.

Cela ne dérange nullement cet homme ni sa firme, qui a déjà accumulé un record de condamnations pour crimes et se voit chaque année obligée de verser des millions d’amendes depuis 10 ans. Une ligne comptable insignifiante dans son business plan highly bankable

C’est pourtant largement à son initiative que débutait fin 2020 la plus grande opération de « guerre » de l’Histoire humaine, annoncée plus d’un an auparavant. Alors qu’il faut au bas mot 20 ans à la recherche pour développer un vaccin efficace contre un nouveau virus. Qui plus est, avec une technologie totalement nouvelle, sans aucun recul ni étude indépendante prouvant son efficacité.

Une opération digne du Débarquement de Juin 1944, préparée dans le plus grand secret et saupoudré de quelques annonces pour tester l’opinion, qui mettait en œuvre des moyens considérables pour terrasser un virus de grippe quasi inoffensif[iii], qui aura causé au total moins de victimes dans le monde que la grippe saisonnière de 2019 !

Une campagne de vaccination massive sur tous les continents, pilotée de main de maître simultanément dans 65 Etats occidentaux par une entreprise privée américaine : le cabinet de conseil McKinsey.

Un véritable Etat dans l’Etat, qui s’est substitué aux conseillers, ministères et services administratifs des Etats concernés, pour la partie conseil comme pour la partie mise en œuvre de la politique vaccinale, pass sanitaire compris. Et dont le dirigeant en France n’est autre que Victor Fabius, fils du Président du Conseil constitutionnel et ancien Premier ministre (condamné dans l’affaire du sang contaminé) Laurent Fabius. Rien que du beau monde.

Un scénario relayé par ces Etats et leurs conseils scientifiques bardés de conflits d’intérêts avec des labos comme Pfizer, Moderna ou Gilead, des agences de santé et des médias subventionnés, tous archi corrompus. Au bénéfice d’une industrie pharmaceutique qui constitue le secteur le plus corrompu et le plus corrupteur de l’économie mondiale.

Une industrie financée par des fondations privées, comme la Fondation Bill & Melinda Gates, la Fondation Gavi pour les vaccins, la Fondation Rockefeller ou la Fondation John Hopkins. Toutes championnes de la corruption et du crime organisé.

Rappelons que le « milliardaire philanthrope » Bill Gates, condamné par la justice américaine au cours de la décennie 1990 pour abus de position dominante de sa firme Microsoft, et violation de la loi antitrust, s’était refait une virginité en léguant une partie de son immense fortune héritée de sa famille et constituée par son empire informatique dans une fondation à son nom, destinée à financer des programmes humanitaires de santé dans les pays du tiers-monde.

Un « investissement » absolument pas désintéressé, mais au contraire extrêmement rentable, qui lui avait notamment permis de s’assurer le quasi contrôle financier d’un des secteurs les plus bankable de l’économie mondiale, en finançant ses labos les plus rentables.

Mais aussi de « racheter » l’OMS : une ONG mondialiste dépendante de l’ONU, jusque-là financée par les subventions de ses Etats membres. A la surprise générale, face à la gabegie corruptive et aux décisions sanitaires iniques de ce « machin » vendu aux firmes pharmaceutiques, Donald Trump avait décidé en 2020 de retirer les Etats-Unis de l’OMS !

Cet organisme est donc désormais sous la coupe majoritaire d’une fondation privée qui en est le principal mécène. Et qui lui dicte ses grandes orientations, pour le plus grand bénéfice des rapaces de Big Pharma et ses actionnaires.

La Fondation Gates s’était singularisée dans les années 2000 et 2010 en lançant des campagnes de vaccination massive et expérimentale sur populations pauvres des continents africain, asiatique et d’Amérique latine. Elle prétendait alors vouloir éradiquer des épidémies comme la méningite, la malaria ou la variole, alors que cette dernière était déjà éteinte quand la campagne de vaccination fut lancée.

Ces campagnes d’apprentis sorciers ont malencontreusement provoqué l’effet inverse de celui escompté. A savoir une reprise spectaculaire de ces épidémies. Au point que les vaccins contre la variole du couple Gates sont aujourd’hui considérés par les épidémiologistes comme le vecteur principal de propagation de cette maladie dans le monde !

Un scénario qui n’est hélas pas nouveau. Et dont les véritables causes ne laissent pas d’interroger.

En effet, en 1919 déjà, une autre fondation célèbre, la Fondation Rockefeller, inventeur et mécène de la toute jeune industrie pharma, avait lancé une campagne de vaccination massive contre la méningite destinée en priorité aux GIs américains à peine revenus du front après l’Armistice de 1918. Des centaines de millions de doses de vaccins à base de virus atténués furent ainsi injectés à toute une population jeune et en bonne santé. Le résultat fut cataclysmique, puisque ces vaccins sont aujourd’hui jugés responsables de la propagation de la bien mal nommée « grippe espagnole« . Laquelle a causé tout de même 50 millions à 100 millions de morts dans le monde en seulement 3 ans. Soit davantage que les deux guerres mondiales réunies.

La Fondation de Bill Gates n’est toutefois pas en reste. Puisque ce sont plusieurs millions d’Africains, d’Indiens ou de Sud-américains parmi les plus pauvres qui ont succombé aux effets secondaires de ses campagnes de vaccination mortifères.

Auxquelles s’ajoutent plusieurs centaines de milliers de femmes indiennes stérilisées par ces injections (chiffres officiels). Ce qui vaut à la fondation Gates d’être interdite de séjour depuis plusieurs années sur le sol indien.

Malgré les preuves et les condamnations, la fondation génocidaire continue toujours bon enfant son travail d’extermination des populations. En toute impunité.

Il faut dire que Bill et ses amis qui ne cachent plus leurs intentions ouvertement eugénistes. Et ne craignent pas la Justice, puisqu’ils ont largement les moyens de corrompre les tribunaux qui pourraient leur réclamer des comptes. A savoir l’ensemble des tribunaux nationaux, européens, ou internationaux, comme la Cour de Justice Internationale.

Cette dernière a d’ailleurs été saisie en 2021 par le Barreau des Avocats Indiens d’une plainte pour crime contre l’humanité à l’encontre de Bill Gates, Anthony Fauci et Tadros Ghebreyesus, directeur de l’OMS, suite à l’interdiction par l’OMS d’utiliser l’ivermectine pour soigner le milliard d’Indiens touchés par le redoutable variant Delta. Après que le gouvernement indien avait décidé de recourir aux traitements plutôt qu’à la stratégie vaccinale, inefficace, pour traiter sa population. Avec un succès qui permit l’écrasement immédiat du pic épidémique du variant Delta, qui atout de même causé des centaines de milliers de morts en quelques mois en Inde.

Quant aux objectifs de dépopulation mondiale liés aux vaccins, Bill Gates en a clairement fait état à plusieurs reprises dans ses déclarations et conférences publiques. Notamment lors d’une conférence Ted Talk aux États-Unis en 2010[iv] sur le thème de la population mondiale. Au cours de cette conférence, le milliardaire philanthrope a brossé un exposé implacable devant un auditoire médusé, en démontrant chiffres et schémas à l’appui que l’économie mondiale ne pourrait plus dans les années à venir nourrir une population dont la croissance démographique exponentielle devenait incontrôlable. Théorie qui paraît plausible, mais ne fait nullement l’unanimité chez les démographes et spécialistes de l’agriculture mondiale. Bill Gates a cependant rassuré son auditoire en indiquant qu’on pouvait résoudre le problème en jouant sur le paramètre « P » – Population – de l’équation. Rires gênés dans l’assistance… Avant d’ajouter :


« Si ont fait un bon boulot, un très bon boulot, on peut réduire de 15% la population mondiale en 10 ans, grâce aux nouveaux vaccins, aux politiques de santé publique, et au contrôle de la procréation ! » (Sic)

Bill Gates n’a jamais démenti cette déclaration de guerre implicite et cynique faite à toute l’humanité.

Une déclaration reprise depuis par lui-même et d’autres oligarques fanatiques des programmes eugénistes de dépopulation mondiale.

Comme George Soros (Open Society), Jacques Attali[v], Elon Musk, ou Laurent Alexandre.

Tous par ailleurs promoteurs infatigables de l’idéologie transhumaniste, dont les nouvelles injections expérimentales à ARNm sont une illustration.

Autre précision importante : l’industrie des vaccins, qui connaît un développement spectaculaire et des investissements records depuis 20 ans, est engagée depuis 1993 dans une compétition féroce mais discrète pour produire de nouveaux vaccins.

Mais surtout pour produire de nouveaux virus par génie génétique. Des virus brevetés, condition nécessaire pour s’en assurer la propriété, et percevoir ainsi des royalties sur les vaccins correspondant produits par ces mêmes labos.

Les progrès dans les techniques de manipulation génétique ont en effet connu un bond de géant ces dernières décennies. Elles permettent aujourd’hui de fabriquer des virus modifiés à partir de souches animales, auxquelles ont ajoute des gains de fonction afin de les rendre ces nouveaux virus compatibles avec l’homme. Ils peuvent alors s’intégrer facilement aux cellules humaines, alors qu’ils seraient normalement rejetés par le système immunitaire, le temps de muter pour s’adapter et trouver la bonne clé pour s’accrocher aux cellules et intégrer leur ADN pour se reproduire. Comme le VIH, à l’origine dérivé du LAV, virus du sida chez certaines espèces de singes.

En 2020, le Professeur Luc Montagnier était venu présenter sur CNews les résultats des travaux de son équipe de recherche sur le séquençage du génome du virus SARS-Cov-2, récemment isolé et tenu pour responsable de l’épidémie de Covid-19. A la stupéfaction générale, il avait présenté la preuve irréfutable que ce virus ne pouvait qu’avoir été fabriqué volontairement en laboratoire à partir de manipulations génétiques. Et que son ARN modifié comportait 4 insertions évidentes du VIH.

Avant d’ajouter pour rassurer un Pascal Praud hagard, que cette méthode était souvent utilisée par les labos de recherche médicale dans l’espoir de mettre au point un vaccin contre des maladies comme le sida. Cette technique vaccinale expérimentale s’appuie non sur des virus atténués, comme pour les vaccins « classiques », mais sur un virus porteur dans lequel on introduit des fragments du virus cible, dans le but hypothétique de provoquer une réponse immunitaire spécifique chez les personnes auxquelles on injecte le cocktail vaccinal.

C’est le principe théorique qui prévaut dans le concept de virus à ARN modifié (ARNm).

Une technologie nouvelle, largement expérimentale, qui consiste à « livrer » à l’intérieur de l’ADN humain une protéine d’enveloppe (Spike) du virus contre lequel on souhaite immuniser les personnes vaccinées. En utilisant par exemple un virus pathogène de chauve-souris, de grippe aviaire ou de grippe porcine génétiquement recombiné, qui va pouvoir s’accrocher aux cellules humaines, et « livrer » à l’intérieur de la cellule une portion du code génétique du virus ciblé. L’ADN humain ainsi piraté fera le reste, transformant la cellule hôte en usine à fabriquer des particules virales, qui seront à leur tour libérées à l’intérieur mais aussi souvent à l’extérieur du corps. Le pari fou de cette technique sophistiquée est que le système immunitaire va produire une réponse immunitaire spécifique dirigée contre le virus que l’on cherche à éradiquer. En se retournant en quelque sorte contre lui-même.

Au passage, le fait de pirater ainsi l’ADN conduit à une mutation irréversible du génome humain, mutation qui s’avère transmissible aux descendants. Il s’agit donc d’une modification délibérée de type transhumaniste de l’espèce humaine.

Pour les labos qui produisent ces chimères, le business model de ces nouveaux « vaccins » est fondé sur un objectif théorique de substitution de l’immunitaire naturelle par une immunité artificielle. La première étant non spécifique et pas toujours efficace immédiatement, le temps que le corps trouve la parade ; la seconde étant en principe spécifique donc efficace. Mais elle oblige les personnes qui mettent le doigt dans cet engrenage vaccinal à devoir se faire injecter des doses de rappel mises à jour tous les trois mois, en espérant être ainsi protégées contre l’apparition inéluctable de nouveaux variants.

Double, triple, quadruple, quintuple bingo !

Sauf que ce beau joujou admirable sur le papier n’a jamais marché ! Pire, ses effets sont catastrophiques.

Malgré les efforts démesurés de la propagande vaccinale, les faits demeurent têtus. Toutes les études indépendantes réalisées depuis plus de deux ans conduisent aux mêmes conclusions.

Tout d’abord il faut savoir que ces « vaccins » anti-Covid ont été commercialisés au prix d’une corruption d’une ampleur inédite dans l’Histoire, par des firmes criminelles pressées d’engranger des bénéfices record, et qu’ils ont été imposés de façon frauduleuse aux populations. Puisqu’il n’est légalement possible d’autoriser de tels essais expérimentaux qu’à condition qu’il n’existe aucun traitement pour soigner la maladie.

Ce qu’on a vainement tenté de nous faire croire par une vaste entreprise de corruption des chercheurs, de la presse scientifique[vi], des médecins, des agences de santé, des gouvernements et des médias. Alors que, selon plus de 200 études scientifiques indépendantes dans le monde, il existe de nombreux traitements, peu coûteux, disponibles et très efficaces contre le Covid, à tous les stades de la maladie : plus de 98% d’efficacité pour l’ivermectine, y compris sur les formes graves.

A l’inverse, les injections imposées de façon souvent obligatoire suite à un terrorisme médiatique doublé d’un matraquage de propagande destiné à donner l’illusion de leur efficacité, d’une chasse aux sorcières contre les propos dissidents et de contraintes dictatoriales sur les populations, n’ont prouvé jusqu’à présent rigoureusement aucune efficacité ! Contrairement à ce qui est martelé comme des mantras par des ministres corrompus comme Olivier Véran, par les labos eux-mêmes et repris en chœur par les journalistes.

En effet, toutes les études et statistiques officielles reprises par les agences de santé du monde entier, en Israël, premier pays à avoir massivement vacciné, aux Etats-Unis, au Canada, en France, le confirment : ces soi-disant « vaccins » n’empêchent aucunement les personnes injectées d’être contaminées. Au contraire ils affaiblissent leur système immunitaire, et les rendent moins résistantes aux nouvelles attaques virales. Selon une étude israélienne, en 2021 les vaccinés ont été 16 fois plus contaminés que les non-vaccinés.

Ces injections n’empêchent pas non plus les personnes injectées de transmettre le virus. Au contraire, elles les transforment en super propagateurs de protéines Spike. Puisque l’organisme qui tente de s’en débarrasser excrète par la peau et par voie aérienne des milliards de particules virales, qui vont infecter à leur tour d’autres personnes autour d’elles. Lesquelles présenteront parfois les mêmes symptômes que le Covid-19, sans qu’on puisse les différencier.

Contrairement aux mensonges martelés par les médias pour tenter de trouver une ultime justification aux doses de rappels destinées à écouler les stocks achetés par la Commission européenne, les vaccins Covid n’ont jamais protégé qui que ce soit des « formes graves ». Ces cas graves tant médiatisés et qui font tant flipper les accros aux messages anxiogènes diffusés à la télé. Toutes les statistiques prouvent aujourd’hui le contraire, à savoir que ceux qui développent des formes graves ou décèdent du Covid depuis 2021 sont majoritairement des personnes vaccinées ! Alors que les non-vaccinés dont le système immunitaire reste intact ont pour la plupart bénéficié d’une immunité collective face à une épidémie qui est aujourd’hui éteinte, et dont les répliques sont insignifiantes et extrêmement peu pathogènes.

En revanche, ceux qui payent depuis deux ans le plus lourd tribut aux vaccins et au Covid sont les jeunes ! Enfants, adolescents, jeunes sportifs et jeunes adultes vaccinés sont ceux qui meurent aujourd’hui le plus du Covid (i.e. des vaccins).

Quant à l’hécatombe produite par les effets secondaires et les décès directement liés aux injections, c’est tout simplement du jamais vu dans toute l’Histoire de la médecine, de la vaccinologie et de la pharmacovigilance !

N’importe quel autre médicament en phase d’essai thérapeutique avec délivrance d’une ATU (Autorisation Temporaire d’Utilisation) sous conditions, aurait été immédiatement stoppé. Et son développement aurait été définitivement abandonné au vu de tels résultats. Mais dans le cas des vaccins anti-Covid, on a continué et on continue toujours d’administrer la mort à des milliards d’êtres humains.

Sans compter que, selon les estimations, à peine 8% de ces effets secondaires redoutables constatés chez les personnes vaccinées seraient déclarés. Par incertitude ou par ignorance des médecins, par incrédulité, parfois par corruption. Et surtout par peur d’être montrés du doigt, de se voir désigné comme un « complotiste« , et pour certains d’être radiés par le Conseil de l’Ordre.

Quels sont ces effets néfastes des « vaccins » ?

L’hyper prolifération anarchique de protéines de pointe baptisées Spike dans l’organisme se traduit rapidement chez beaucoup de personnes injectées par des phénomènes inflammatoires, qui surviennent quelques heures à quelques semaines après l’injection. Et qui peuvent affecter tous les organes, du cerveau aux testicules en passant par le cœur, le foie, les reins, la rate, le pancréas, les intestins, la peau, les yeux, les os…, produisant des effets catastrophiques.

Thromboses, cancers foudroyants, embolies pulmonaires, néphrites, hépatites, pancréatites, troubles circulatoires, cardiaques, neurologiques, cérébraux, ophtalmiques, œdèmes, retards de règles, stérilités définitives chez les jeunes femmes et les jeunes hommes… Sans compter les innombrables morts subites qui affectent des présentateurs télé en direct sur leur plateau, des sportifs de haut niveau foudroyés en plein match, des militaires et policiers durant leur service. Des phénomènes liés à l’effort physique intense, cause de crises cardiaques ou d’AVC. Tous survenant chez des sujets jeunes, en parfaite santé, sans aucun antécédent.

Le 13 mai une partie du monde regardera ailleurs, ou tentera de ridiculiser cette initiative courageuse en la présentant comme « des délires de complotistes ».

Une autre partie du monde ouvrira les yeux et commencera à admettre que les premiers avaient raison. Ils rendront hommage aux victimes décédées à cause de cette politique du Mensonge institutionnalisé et du sacrifice d’une part de l’humanité sur l’autel du dieu Mammon et de ses grands prêtres psychopathes prêts à tout pour obtenir plus de pouvoir.

La vérité mettra encore du temps à gagner toutes les consciences. D’autant qu’entre temps, nos bourreaux nous ont déjà concocté d’autres réjouissances comme autant de « chocs » pour nous asservir : guerre Otano-russe en Ukraine et menace de 3e guerre mondiale, crise énergétique et hyperinflation (prévues par Klaus Schwab dans son livre), crise climatique et autres catastrophes « naturelles », Intelligence artificielle menaçant de prendre le contrôle de l’humanité…

Il ne faut pas nous laisser impressionner par ces mises en scène. Mais rester inflexibles quand il s’agit de défendre l’identité et la dignité humaine violées par les expériences transhumanistes, les libertés et droits individuels saccagés par la dystopie sécuritaire qu’on nous impose « pour notre bien », l’irruption de sentinelles numériques au cœur de nos vies, dans nos corps, nos cellules, nos cerveaux, nos pensées, nos choix personnelles pour éradiquer non pas des virus menaçants, mais notre esprit critique et libre-arbitre.

La seule issue à ce cauchemar réside dans l’élévation et l’unification des consciences au plan mondial. L’exposition des crimes contre l’humanité perpétrés par une poignée de fanatiques depuis 3 ans doit nous inciter non pas à leur faire rendre gorge dans le but de nous venger, mais à poser les garde-fous nécessaires pour qu’une telle horreur ne puisse jamais se reproduire. Et qu’une écrasante majorité d’humains choisissent en conscience de s’engager ensemble dans une autre voie, qu’elle choisisse d’épouser un autre futur.

Alors seulement, quand nous seront sortis des ténèbres, les choses commenceront.


[i] Klaus Schwab & Thierry Malleret : Covid-19, The Great Reset (Forum économique mondial, 2020)

[ii] Décret n° 2020-360 du 28 mars 2020 complétant le décret n° 2020-293 du 23 mars 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire. Ce décret signé Edouard Philippe demandait explicitement aux médecins d’EHPAD de prescrire du Rivotril, un sédatif létal à fortes doses, au titre de « soins palliatifs » aux personnes âges suspectées de Covid et présentant des symptômes d’infection respiratoire.

[iii] Sauf dans de très rares cas ultra médiatisés pour des personnes très âgées ou très malades

[iv] https://www.youtube.com/watch?v=DtkfWaCzsas

[v] Jacques Attali milite depuis 1979 dans ses livres et conférences en faveur de l’euthanasie des vieux qui plombent l’économie française. Ce qu’a par ailleurs confirmé de Christine Deviers-Joncourt dans un livre de témoignage publié récemment où elle évoque des déclarations explicites sur ce sujet au cours de dîners au domicile de Jacques Attali. Cette politique eugéniste défendue par beaucoup d’oligarques dits « progressistes » a d’ailleurs été évoquée quasiment mot pou mot par la très macroniste députée Renaissance Amélie de Montchalin, dans un tweet qu’elle a publié le 23 avril 2023 et qui a fait scandale.

[vi] Cf. le scandale du Lancet en 2021suite à une fausse étude bâclée publié dans la prestigieuse revue afin de discréditer les traitements à base d’hydroxychloroquine et d’azithromycine

Saintes, la cité des Gaulois réfractaires

Mis en avant

C’est une foule compacte qui était venue ce matin accueillir Macron, venu pour la journée en visite officielle à Saintes.

Dès 8 heures du matin, les manifestants réunis à l’appel de la CGT avaient pris place à quelques mètres du Lycée Bernard Palissy, où le Président accompagné de son ministre de l’Education Pap Ndiaye était venu présenter son projet de réforme des lycées.

Retranché à l’intérieur, protégé par un périmètre de sécurité vidé de tout véhicule la veille, bouclé par un cordon de policiers, le Président des lobbies a sans doute prêté peu d’attention à ces manifestants qui bloquaient la rue et vociféraient devant le siège de la Coop Atlantique.

Tout avait été minutieusement prévu pour éviter tout débordement. Après les concerts de casseroles et les invectives peu aimables adressées par les manifestants lors des premiers déplacements de cette tournée des 100 Jours aux allures de campagne électorale, imaginée pour tenter de regagner un semblant de popularité alors que Macron s’enfonce dans les sondages.

Les lycéens avaient été renvoyés chez eux mercredi après-midi, personne ne pouvait pénétrer dans ce périmètre sacré sans accréditation, pièce d’identité et fouille complète.

Beaucoup de salariés du lycée s’étaient mis en grève pour protester contre cette visite inopinée, annoncée la veille et ressentie ici comme une provocation de trop.

9 heures. Contenus par les barrages de Police, ils sont tous là : Gilets jaunes rassemblés aux cris de « On est là !« , syndicalistes CGT en nombre, et bien visibles avec leurs gilets rouge fluo. Plus quelques syndicalistes FO, SUD, FSU, UNSA, CNT et SNETAP, venus à titre individuel puisqu’aucun syndicat à part la CGT n’a voulu se mouiller pour s’opposer à la réforme des retraites promulguée le 15 avril dernier. Un seul drapeau LFI dans la foule, un autre d’ATTAC. Des collectifs et beaucoup de simples citoyens de tous âges, hostiles à cette réforme volée au Parlement et promulguée aux forceps. Comme à ce régime détesté et ses méthodes dictatoriales.

Des casseroles, des drapeaux, des banderoles et de belles couleurs : jaune fluo, rouge révolutionnaire, noir anar, vert espérance…

Et surtout des hommes, des femmes, et quelques rares lycéens en colère, qui en ont tous plus que marre et veulent à tout prix dégager l’imposteur en fin de course de l’Elysée.

Macron Démission !
Macron Destitution !
Macron Dictateur !


Les slogans fusent, rageurs et déterminés. Pas vraiment de mot d’ordre ni de meneurs pour cette manif organisée au pied levé.

Une première tout de même : depuis mai 68 c’est la première fois à ma connaissance qu’un Président en exercice se fait traiter de « dictateur« .

Les yeux s’ouvriraient-ils enfin ?

En tout cas, aucun signe d’apaisement, pourtant recherché désespérément par Macron avec cette initiative cocasse des 100 jours.

Une façon grandiloquente, totalement contreproductive, d’occuper le terrain. En s’exposant aux projecteurs et aux quolibets, avec ce narcissisme, ce dédain habituel et cette indifférence feinte pour les coups reçus. Une occasion pour ce masochiste ébloui par son propre génie de faire semblant de reprendre la main après le fiasco des retraites.

Mais manifestement ce baroud de déshonneur ne fait que creuser sa tombe. Car la marionnette semble décidément usée, vidée, exténuée. Elle ne tient plus que par le cordon sanitaire formé par ses milices gestapistes qui le mettent à l’abri du désir de vengeance de la foule. Tout comme ses chiens de garde médiatiques sommés d’aboyer sur les fauteurs de troubles, et qui survictimisent les policiers en fabriquant des scoops sensationnalistes à chaque manif.

Pour le côté backstage, il lui reste toujours les flatteries hypocrites d’une cour de plus en plus clairsemée.

La Chute est donc annoncée. Et déjà en partie consommée. Reste à définir la forme qu’elle prendra dans les prochaines semaines ou prochains mois.

Des manifs qui se répètent : contre les retraites, mais aussi contre d’autres projets de loi tout aussi impopulaires (Education nationale, Travail, Immigration…), déjà alignés sur le tarmac pour un décollage immédiat.

Une colère qui se durcit et vire à l’émeute d’ici l’été. Des affrontements de plus en plus violents entre black blocs et forces de l’ordre. Avec des blessés, et même des morts. Un scénario possible, qui peut vite dégénérer en guerre civile.

Ou une intervention de l’armée pour sonner la fin de la récré, déposer la Macronniette, provoquer des présidentielles et des législatives anticipées, et rétablir enfin la démocratie dans ce pays déchiré, en proie au chaos le plus total. C’est en tout cas l’avertissement très clair qu’avaient lancé certains officiers en 2019 et 2021.

Quant à la destitution par le Parlement selon l’article 68 de la Constitution, elle paraît extrêmement peu probable. Députés et sénateurs, pour l’essentiel corrompus, ne prendront jamais un tel risque.

En tout cas, cette manif qui a réuni plus d’un millier de manifestants à Saintes (une performance pour une petite ville de province plutôt sage de 25.000 habitants) ne ressemble absolument pas aux images dignes de Mad Max des manifs récentes à Paris. Et qui sont diffusées en boucle par les médias aux ordres, afin de dissuader les Français de descendre dans la rue crier leur colère.

La France n’est donc pas ce pays ravagé par une violence paroxystique, en proie à des hordes d’anarchistes qui saccageraient les vitrines des magasins et transformeraient les flics en torches vivantes. Encore une manip d’ingénierie sociale pour calibrer l’opinion.

Lesquels flics, même s’ils démissionnent en masse depuis deux mois, sont au passage volontaires et payés pour cette mission de maintien de l’ordre, qui les expose par définition à prendre des coups.

Cette soi-disant « violence inadmissible » envers les policiers, qui est très exceptionnelle et uniquement limitée à quelques grandes villes, n’est d’ailleurs qu’une broutille pour amuser la galerie comparée à la véritable violence, jamais montrée ni commentée par les médias, qui sévit 365 jours par an dans ces 1.500 Territoires perdus de la République officiellement recensés qui réunissent 5,5 millions d’habitants. Des quartiers où la Police ne met plus jamais les pieds. Où pompiers et ambulanciers se font régulièrement caillasser. Des ghettos de non-droit où la France, la République et la démocratie ont été remplacé par la loi de la jungle, le banditisme et la voyoucratie.

Des quartiers tenus par des milices et des caïds du crime organisé, qui protègent leurs spots de deal de coke, la vente d’armes et de produits illégaux, rackettent et terrorisent les populations excédées, font régner la charia et le chaos en lieu et place des lois de la République. Face à des élus impuissants qui ferment les yeux pour conserver leurs sièges de maires ou de députés, et qui sont abondamment arrosés par les mafias et les islamistes.

Mais ça c’est un autre sujet. Et aucune réformette sur le « séparatisme » ne viendra changer le cours des choses, sur un sujet aussi brûlant. Déconstruire le modèle social français, vendre la France par appartements aux lobbies, c’est tellement plus facile et plus rentable pour un petit technocrate ambitieux et obéissant, formé sur les rangs de Sciences Po, de l’ENA, et derrière les tableurs de la Banque Rothschild !

Juparterre 1er chez les Schtroumpfs !

Mis en avant

Macron vient à Saintes le 4 mai !

C’est en soi un événement. Surtout dans le contexte actuel.

Pas pour déguster du cognac ou assister à un concert à l’Abbaye, mais pour visiter un lycée, le bougre !

Quelle idée !

Nous allons lui faire regretter…

Président illégitime « élu » en 2017, parachuté par la Caste au bénéfice de fraudes massives (merci Dominion !…), d’une campagne menée par toute la presse mainstream rassemblée derrière son chouchou, d’un pool inédit de mécènes milliardaires qui ont transformé cet obligé des lobbies en homme sandwich, d’un scénario électoral rondement pipé, sur fond de dégagisme, de querelles d’egos et d’affaires, bidouillées pour virer les concurrents encombrants (Juppé, Fillon, Valls), de siphonnage des deux partis de gouvernement, PS et UMP, de division de la gauche savamment entretenue par les médias pour l’empêcher de figurer au second tour…

Tout ça orchestré par ses amis de McKinsey, fondateur du parti fantoche En Marche, et véritable Etat dans l’Etat.

Avec le suspense final tant attendu de la méchante sorcière subventionnée, échappée de son manoir hanté de Montretout pour servir de repoussoir utile et de tremplin au jeune premier, inconnu des Français six mois auparavant.

Mais équipé d’un programme bidon, bidouillé lui aussi par McKinsey comme une enquête conso, un storytelling digne d’un conte de fées (Brigitte, le théâtre, Paul Ricœur, la famille recomposée, le profil impeccable de surdoué)… Et ce malgré quelques rumeurs vite démenties de vie en couple caché avec Matthieu Gallet (Président de Radio France), de partouzes VIP avec des ex-stars du porno gay, et autres fantaisies cocaïnées.

Avec ces éléments de langage impayables, aussi racoleurs que mensongers : Le Mozart de la finance, Ni de droite ni de gauche, La France efficace et juste, La Start-up nation, Et en même temps, Car c’est notre Projeeeeeeet !…

En à peine un an, la vedette des tabloïds et le gendre idéal des mamies est devenue le Président le plus impopulaire de la Ve.

L’homme de la France apaisée est devenu le Président des riches.

« Jupiter » est devenu le symbole d’un pouvoir injuste, brutal, qualifié par les plus frileux de « centre autoritaire » (Natacha Polony dans Marianne).

Une sorte de petit tyran pervers narcissique manipulateur, hargneux et haineux, terré dans son Palais avec sa mère incestueuse (ou son père transgenre selon certains), ses mignons, ses drag queens, ses muslim bears qu’il collectionne compulsivement (Benalla, Belattar…), ses people décadents et dérisoires (Ladj Ly, McFly et Carlito…)

L’homme des violences policières, d’un pouvoir arbitraire pressé de tabasser les Gilets jaunes, les avocats, les infirmières, les pompiers et les grands-mères qui osent manifester leur colère contre des mesures impopulaires, liberticides et inutiles. Comme cette réforme des retraites à laquelle il s’accroche comme la vérole sur le bas clergé breton, uniquement destinée à satisfaire l’agenda de saccage de la France de ses mentors.

Des mentors qu’il chouchoute plus que ces « Gaulois réfractaires » qui lui donnent de l’urticaire et dont il n’a rien à foutre, pas plus que ce vieux pays ringard qu’est la France, lui qui se rêve en Président de l’Europe.

Mentors qui siègent à l’occasion en toute illégalité au Conseil des ministres, pour dicter la politique sociale et industrielle de la France. Comme Larry Fink, CEO de BlackRock invité à l’Elysée en pleines échauffourées contre la réforme des retraites en 2019.

Mais aussi pour sacrifier ses fleurons industriels, la santé des Français, et tout ce qu’il reste encore de République sociale : un scandale pour la Caste ultralibérale. Tout ça bien sûr pour arrondir les bénéfices déjà record de BlackRock, Pfizer, GAFAM et autres.

Comme ces 4 labos français et étrangers sponsors d’En Marche en 2017, remerciés quelques mois après le couronnement de leur marionnette par cette décision inique de rendre obligatoires 11 nouveaux « vaccins » (soit 50 injections au total) pour les nourrissons, contre l’avis des pédiatres.

L’homme qui a dévoyé comme aucun Président avant lui – pas même Sarkozy – la fonction présidentielle en l’abaissant au rang de gadget people pour contenter son narcissisme, son exhibitionnisme, avec un cynisme affiché et un mépris du peuple jamais vu auparavant.

Le hochet de la haute finance mondialiste, repéré par les scouters de la CIA dès sa sortie de Science Po, biberonné au bon lolo néolibéral « progressiste » par un aréopage de bonnes fées comme Jacques Attali, la famille Rothschild, Peter Brabeck (PDG de Nestlé), Bernard Arnault, Patrick Drahi, Xavier Niel, Pierre Bergé, Larry Fink ou Vincent Bolloré.

L’homme qui a osé nous vendre une « guerre » contre une simple grippe, moins létale que la précédente, et une fausse « pandémie » planifiée par ses mentors (Klaus Schwab du WEF, Bill Gates, l’OMS, Big Pharma…) Afin de kidnapper nos institutions et imposer une authentique dictature sanitaire, transhumaniste et eugéniste.

Etat d’urgence sanitaire, conseil de défense, court-circuitage du Parlement, subordination de la Justice, corruption des médias (2,5 milliards versés à la presse mainstream en 2020-2021, au titre du « soutien économique en période de Covid »), enfermement autoritaire et totalement contre-productif mais traumatisant des citoyens, distanciation « sociale » (et non « physique« , les mots ont un sens…) obligatoire, avec patrouilles de policiers en armes aux terrasses pour contrôler les récalcitrants au-delà de l’heure légale de sortie, port du masque obligatoire pour tous, partout, tout le temps, une mesure inutile en population générale pour les infections à coronavirus (selon les épidémiologistes), mais humiliante à souhait et utilisée comme une injonction au silence, persécution des enfants dans les écoles, censure de la presse et des réseaux sociaux, suppression des libertés publiques, incarcération sommaire de scientifiques dissidents (comme le Professeur Bernard Fourtillan), criminalisation des discours jugées « complotistes », assimilées comme au Moyen-âge à des « dérives sectaires« (!), terrorisme médiatique, division et culpabilisation permanente des citoyens pendant trois ans, interdiction d’hospitaliser les vieux, les cancéreux, les obèses, les immunodéprimés, soi-disant pour « désengorger les hôpitaux », dont la désorganisation avait été savamment planifiée, interdiction de délivrer des traitements avérés efficaces, décrets (du 27 mars et du 16 octobre 2020) ordonnant aux médecins d’euthanasier 30.000 vieux en EHPAD puis à leur domicile, multiplication des tests PCR coûteux et faux à 98% en cas de résultat positif à 45 cycles d’amplification (selon leur inventeur et leurs fabricants) pour fabriquer des « cas« , et falsification des statistiques épidémiologiques pour donner l’illusion d’une épidémie hors de contrôle, primes versées aux médecins pour les dizaines de milliers de fausses déclarations de décès Covid, interdiction de tout consensus scientifique, chasse aux hérétiques parmi les médecins demeurés intègres, absence d’information préalable et de consentement éclairé pour les patients forcés de participer à des essais expérimentaux inefficaces et lourdement toxiques, parfois létaux, mais vendus comme des panacées, vaccination obligatoire de certains professionnels, et exclusion sans compensation des réfractaires, imposition du pass sanitaire à tous, traçage (appli TousAntiCovid, flicage des « cas contacts« …), puçage (QR code) et surveillance numérique des populations, persécution des non-vaccinés « emmerdés jusqu’au bout« …

Cette ordure a transgressé toutes nos lois dans la plus parfaite impunité ! Se prévenant même de toute poursuite, lui, ses ministres et son « Conseil scientifique » archi corrompu, par une loi d’amnistie préventive votée en 2020.

Et il y en a encore qui osent prétendre que la France de Macron est une démocratie ! Ou qui osent le soutenir d’après les sondages !

Pourtant même le très libéral magazine The Economist (dont la famille Rothschild est actionnaire) vient de rétrograder la France dans son classement, en la qualifiant de « démocratie défaillante ». Ce qui en langage poli signifie que même ses mentors reconnaissent désormais que la France est une dictature (ou une démocrature) libérale.

L’homme symbole du parjure, du mensonge, de la violence et du mépris de tout un Système, qui considère l’être humain comme un esclave, un objet, une marchandise dont on peut disposer, qu’on peut transformer, vendre ou dont on peut se débarrasser à loisir, sera à Saintes jeudi.

Narcisse-le -Grand croit encore pouvoir se refaire une virginité en osant s’exhiber ainsi et provoquer gueux et leurs moufflets. Malgré un fin règne pathétique et inédite, et alors que 90% des Français le poussent vers la sortie.

Il osera donc parader au Lycée Palissy, s’adresser à des jeunes et à leurs familles.

Ne le laissons pas tenter une fois de plus de nous manipuler. Sachons lui rendre l’accueil qu’il mérite.

A lui et à son Sinistre de l’éducation nationale – le très woke Pap N’Diaye – artisan de la déconstruction des enfants, des savoirs et de cette culture française qui n’a jamais existé.

Casseroles, banderoles et quolibets seront au rendez-vous.

Nous avons tous le devoir impérieux de nous réunir en nombre ce jeudi pour dire bien en face à ce foutriquet ce que nous pensons de lui.

Sans peur, sans haine, sans excès, mais clairement et avec détermination !

Je vous embrasse tous.

Christophe