La pire des dictatures est celle qui ne se voit pas

Il y a deux sortes de dictatures : oldschool et newschool. La première en voie de disparition, la seconde en voie de généralisation.

La République romaine avait inventé cette disposition radicale qui consiste à remettre temporairement les pleins pouvoirs à un seul homme nommé « dictateur » (celui qui décide), pour faire face à une situation exceptionnelle.

Le 20e siècle nous avait habitués à quatre formes modernes de dictature, assez évidentes et triviales, dans lesquelles un pouvoir brutal incarné par un homme, un parti ou une secte théocratique imposait par la violence et la terreur un ordre totalitaire : fasciste et militaire, communiste, nazie, islamiste.

Orwell (selon Michel Onfray dans Théorie de la dictature, 2019) a tiré de ces formes modernes de la dictature un modèle de dystopie politique, idéologique et sociétale, qui préfigure la dictature postmoderne ou intégrale. Cf. 1984 et La Ferme des animaux.

Le 21e siècle a vu naître cette nouvelle forme de dictature qu’Orwell avait prophétisée. Une dictature si insidieuse, si intelligente et sophistiquée, que la plupart sont incapables de l’identifier comme telle, et même y collaborent volontairement.

Une dictature qui se pare de toutes les vertus de la démocratie, dont elle encense les principes pour mieux les vider de toute substance. Et dont elle préserve les formes institutionnelles pour mieux s’étendre sans susciter de réaction : cette dictature qui ne dit pas sont nom, mais qui constitue l’apothéose du totalitarisme, selon la définition qu’en donne Hannah Arendt : « international dans son organisation, universel dans sa visée idéologique, planétaire dans ses aspirations politiques ».

Cette dictature mondialiste, « progressiste », ploutocratique, technocratique, sanitaire et sécuritaire, numérique, transhumaniste et eugéniste, est donc la nouvelle forme indépassable de la dictature contemporaine. Elle utilise toutes les autres formes résiduelles de dictature, en particulier l’islamisme et le djihadisme, pour perpétrer le chaos, la division, et progresser dans ses desseins stratégiques.

Une dictature que nous voyons se déployer aujourd’hui sous la forme d’un ordre totalitaire (le Nouvel ordre mondial). Et qui avance en instrumentalisant des chocs qu’elle provoque, déforme ou entretient : politiques, stratégiques et militaires, économiques et financiers, sociaux, civilisationnels et communautaires, sanitaires, climatiques et écologiques.

Une dictature qui obéit à une stratégie élaborée par l’élite bancaire et financière anglo-saxonne dès le 18e siècle, fondée sur le contrôle des monnaies, des flux financiers, de la dette et des États-nations, de la vie politique par la corruption et le financement des partis dans tous les pays dits « démocratiques », de l’économie mondialisée, de la science et des savoirs, des médias, des institutions religieuses qu’elle finance, et pour finir des individus grâce aux nouvelles technologies de surveillance numérique.

Avec pour objectif final le contrôle absolu de tous les pouvoirs, fondé sur des concepts inventés au 18e siècle comme la monnaie unique mondiale et de Nouvel ordre mondial.

Une dictature qui est en passe de finaliser un ordre dystopique totalitaire, et d’instaurer une société planétaire collectiviste, radicalement inégalitaire, un Etat policier mondial, technocratique, hypernormatif, coercitif et sanitaire, ouvertement transhumaniste et eugéniste, avec des objectifs de dépopulation mondiale clairement revendiqués au nom de la sauvegarde de la planète.

Journée mondiale d’hommage aux victimes des « vaccins » : les dessous d’une hécatombe

Mis en avant

Le 13 mai prochain aura lieu dans plusieurs villes françaises, européennes et du reste du monde, une journée pour dénoncer les effets indésirables des « vaccins » anti-Covid.

Pour dénoncer aussi l’omerta criminelle sur les effets néfastes de ces injections. Notamment dans des pays comme la France où dirigeants politiques et autorités de santé refusent toujours d’admettre leur réalité et leur ampleur, deux ans et demi après le début des campagnes publiques de vaccination de masse.

Des effets niés ou minimisés pour continuer à écouler les doses, bien qu’ils aient causé des millions de décès dans le monde. Du moins partout où ces « vaccins » ont été imposés à des populations désorientées comme le seul remède prétendument efficace contre le Covid. Sans aucun bénéfice objectif pour les protéger des contaminations, des effets de la maladie, y compris les formes les plus graves, empêcher les personnes injectées d’être hospitalisées ou de mourir du Covid.

Plusieurs associations de médecins, des spécialistes, des juristes, des avocats représentant les victimes ou leurs familles, mènent depuis 2021 un combat acharné pour faire valoir ces préjudices, obliger les médecins tétanisés à déclarer ces effets indésirables directement liés aux « vaccins », obliger les responsables corrompus à reconnaître leurs erreurs à vouloir piquer toute la population, faire enfin éclater toute la vérité, et obliger les laboratoires criminels à verser des indemnisations.

Eux qui connaissaient parfaitement les effets désastreux de ces « vaccins », ont menti sur leur efficacité et leur innocuité, et ont continué sciemment à vendre des milliards de doses pour engranger des centaines de milliards de dollars de bénéfices.

Ces effets indésirables sont aujourd’hui parfaitement connus et répertoriés. Ils sont recensés depuis décembre 2020 par les agences de pharmacovigilance, notamment en Europe. 2 millions d’effets indésirables et 20.000 de décès directement liés aux « vaccins » avaient déjà été recensés en juin 2021 par les agences de pharmacovigilance européennes. Soit moins de 6 mois après le début des campagnes de vaccination. On a explosé toutes les statistiques de pharmacovigilance depuis.

Des campagnes lancées tambour battant en Europe en janvier 2021, sous l’égide de la Commission européenne et de son omniprésente Présidente Ursula van der Leyen. Laquelle est aujourd’hui poursuivie pour corruption et dissimulation de preuves (les fameux SMS échangés avec Bourla) par un tribunal belge, pour avoir acheté des milliards de doses au Président de Pfizer (Young global leader comme elle), sans commission scientifique préalable pour statuer sur l’opportunité d’acheter en nombre ces doses, et sans l’accord des autres membres de la Commission sur ce calendrier précipité.

Ces effets indésirables – certains relativement bénins comme des violents maux de tête après l’injection, d’autres fatals comme des thromboses et AVC – sont aujourd’hui reconnus officiellement dans bon nombre d’Etats.
 
Aux États-Unis, le CDC (Center for Disease Control) qui gère la surveillance des maladies au niveau fédéral, et la FDA (Food & Drug Administration) qui délivre aux laboratoires pharmaceutiques les autorisations de délivrance de médicaments, les ont officiellement reconnus depuis plus d’un an.

Le gouverneur de Floride Ron DeSantis a même voulu faire interdire en janvier 2022 le pass sanitaire, l’obligation du port du masque et la vaccination. L’Etat de l’Iowa examine un projet de loi visant à pénaliser tous ceux qui feraient la promotion de ces prétendus « vaccins ».

Leurs effets néfastes et parfois mortels font l’objet d’indemnisations financières versées aux victimes par certains gouvernements.

A Singapour, l’Etat indemnise depuis 2021 avec un fonds spécial les familles des personnes décédées suite aux « vaccins ».

En Allemagne, des citoyens demandent aujourd’hui à l’Etat de faire de même.

Idem en Australie, l’un des pays qui avait pourtant décrété des mesures sanitaires parmi plus dictatoriales pour un pays occidental (comparables à la Chine), avec la Nouvelle-Zélande de l’ex-Première ministre Jacinda Aspern, Young global leader du Forum de Davos, comme Macron, Biden, Trudeau, Scholz, Sunak, Sanchez et bien d’autres dirigeants occidentaux corrompus.

La vérité sur ces effets indésirables et les morts des « vaccins » progresse donc désormais tel un tsunami irrésistible.

De même que la divulgation décomplexée sur les plateaux télé, dans des médias mainstream, dans l’opinion publique intoxiquée par trois ans et demi de propagande insanitaire orchestrée par les laboratoires, leurs actionnaires comme BlackRock, les fondations qui les financent comme la Fondation Gates et les Etats corrompus. Une propagande relayée par des conseils scientifiques bidons, des ministres et des médias, tous corrompus par les mêmes.

Pas un jour aux Etats-Unis sans que la chaîne Fox News, proche des Républicains et critique envers le pouvoir actuel, n’évoque ces nouveaux scandales liés à la gestion de la crise sanitaire, l’origine du virus, les faux « vaccins », les dommages historiques causés aux victimes abusées par leurs dirigeants.

En Allemagne la chaîne publique ZDF a tout récemment consacré une émission entière à ces effets secondaires, et demandé leur indemnisation par l’Etat.

La France fait figure d’exception : un ilot de silence au milieu de l’Europe, plus proche pour la liberté d’expression de la Corée du Nord que de la Suède ou la Norvège. Les choses pourraient rapidement changer avec un Président usé, impopulaire à 90%, emporté par « la foule » vers la sortie, et qui pourra difficilement achever son mandat

Sans parler des nombreux médecins qui évoquent maintenant sans crainte cet effondrement immunitaire comparable au sida dont ils sont témoins chez certains patients injectés à partir de la 3e dose.

Un effondrement immunitaire spectaculaire, au sujet duquel alertait le Professeur Luc Montagnier (qui en a vu d’autres), dans cette déclaration courageuse 5 jours avant de mourir:

« Les personnes vaccinées seraient bien inspirées de faire le test du sida. Elles seraient surprises du résultat, et pourront demander des comptes à leur gouvernement !« 

Certains avaient osé insulter le Prix Nobel découvreur du virus du sida, en le traitant de « complotiste » et de « gâteux« .

Ce que le Professeur a omis volontairement de dire en direct sur ce plateau télé, c’est que les applications civiles et médicales ne constituaient qu’une partie seulement des programmes développés dans ces labos ultra pointus et ultra protégés de recherche en génie génétique.

En effet, une grande part des recherches conduites dans ces laboratoires très surveillés comme le laboratoire P4 de Wuhan construit par la France au nom de la coopération scientifique franco-chinoise, et inauguré en 2011 par le Premier ministre Bertrand Cazeneuve le directeur de l’INSERM Yves Lévy (mari d’Agnès Buzyn), comportent presque toujours un volet de recherche militaire.

Il faut en effet savoir que, bien que les armes bactériologiques soient interdites par la Convention de Genève et qu’elles ne soient pas officiellement développées par les pays signataires de cette Convention comme la France, la majorité des recherches effectuées aujourd’hui dans le monde sur des budgets militaires le sont pour des programmes d’armes non conventionnelles. Car celles-ci sont beaucoup moins coûteuses, tout aussi efficaces mais beaucoup plus discrètes et ciblées que les armes stratégiques (bombe atomique) : armes chimiques, bactériologiques, électromagnétiques (bombes, canons et fusils électromagnétiques de l’US Army), sismiques (séismes déclenchés), climatiques (HAARP et programmes d’ingénierie climatique reconnus officiellement par le Pentagone « pour lutter contre le dérèglement climatique« …), psychédéliques, etc…

Plusieurs spécialistes du génie génétique ont d’ailleurs confirmé depuis le Covid que les laboratoires P4 créés ces dernières années par les Etats-Unis, le Canada, l’Europe, le Royaume-Uni ou la France (et souvent délocalisés vers des pays d’Asie du Sud-Est comme la Corée du Sud, Hong Kong ou la Chine, plus conciliants avec la législation), travaillaient en réalité essentiellement sur des programmes militaires de développement d’armes bactériologiques. Et plus accessoirement sur des programmes civils destinés à mettre au point de nouveaux vaccins.

Les Etats-Unis sont d’ailleurs impliqués dans la genèse du virus SARS-Cov-2, tout comme ils sont dans les recherches menées au laboratoire franco-chinois de Wuhan. Comme l’ont prouvé les mails divulgués lors du Faucigate qui a démontré la responsabilité d’Anthony Fauci, responsable depuis 1984 des programmes de santé publique aux Etats-Unis, dans la préparation et le déclenchement de la crise du Covid.

Quant aux intentions délibérément eugénistes dans cette propagation volontaire du virus à partir de Wuhan (et peut-être dans d’autres foyers simultanés, en Iran et en Italie du Nord), il est assez difficile d’en douter, connaissant les intentions assumées de presque tous les oligarques impliqués dans cette crise.

En tout cas s’agissant des « vaccins », aujourd’hui les faits sont là. Et ce sont les menteurs subventionnés des ministères et des médias redresseurs de « fake news » qui se retrouvent aujourd’hui en situation d’accusés. Alors que ceux qu’ils calomniaient hier en les accusant de « complotistes » sont aujourd’hui réhabilités, écoutés et même remerciés pour leur courage.

A ce sujet, il faut noter le revirement spectaculaire du réseau social LinkedIn, propriété de Microsoft. Un des GAFAM les plus largement impliqués dans le volet numérique de ce cirque covidiste.

Notamment parce qu’il détient depuis 2019 le brevet d’une technologie à base des nanoparticules incluses dans le cocktail vaccinal et destinée au traçage des personnes vaccinées. Développée par le MIT de Boston, elle a fait l’objet de tests officiels en 2020 au Kenya et au Malawi sous l’égide de la Fondation Gates. Comme l’ont rapporté des médias mainstream comme Le Monde, Les Echos ou LCI.

Microsoft est aussi l’un des initiateurs du projet ID 2020. Un conglomérat discret réunissant parmi ses fondateurs la Fondation Rockefeller, la Fondation Gavi (vaccins), Accenture et Microsoft. Avec comme partenaires des multinationales stratégiques comme Facebook, Mastercard et autres géants de la tech. Son but : développer l’identité et le contrôle numériques (des populations) au plan mondial. Et coupler les nouveaux outils de contrôle des données personnelles (état civil, données médicales, carnet de vaccination, données bancaires…) aux monnaies numériques actuellement mises en place partout dans le monde, puis à la future monnaie unique numérique mondiale. L’outil ultime de contrôle des populations.

Un projet qui associe étroitement l’Union européenne, à travers son identité numérique européenne et son portefeuille numérique européen, actuellement mis en place par la Commission européenne. De même que la BCE met en place aujourd’hui son euro numérique, à l’image du dollar, du rouble, du yen ou du yuan numériques. Au passage, la BCE s’est arrogée en 2022 le droit de contrôler toutes les opérations bancaires sur tous les comptes de particuliers gérés par les banques dans tous les Etats membres de la zone euro. En violation complète du droit européen sur le secret bancaire et la vie privée.

Il y a encore deux ans, la censure sur LinkedIn était impitoyable concernant certaines vérités qui dérangent, même sourcées, validées par des experts et publiées dans des médias mainstream. Notamment la réalité sur les tests PCR, l’inefficacité ou la dangerosité des « vaccins ». Relayer de telles infos équivalait à une fermeture arbitraire et immédiate du compte pour non-respect des standards LinkedIn, sans aucune explication ni recours possible.

Même politique de censure arbitraire chez Facebook, réseau asocial champion de la chasse aux « fake news« .

Aujourd’hui, de nombreux décideurs – PDG, banquiers, médecins, généraux – discutent très ouvertement des dérives du Covid et des volets opaques de ce scénario de basculement contrôlé baptisé Great Reset. Un scénario détaillé par Klaus Schwab, Président du Forum de Davos, dans un livre publié en 2020[i], et destiné à nous faire basculer par étapes grâce à des chocs successifs vers une société dystopique, totalitaire, sans libertés, dominée par un Caste élitiste qui contrôle tous les pouvoirs, et gère des populations réduites en esclavage, surveillées par des AI, reformatées par des techniques transhumanistes et vouées à un dégraissage eugéniste « pour sauver la planète ».

Certains qui avaient été accusés de complotisme, ont été suspendus deux ans sans indemnité pour avoir refusé de se faire vacciner, ont perdu leur emploi, ont été condamnés au bûcher professionnel, raillés par les médias, ou qui se sont fait radier par le Conseil de l’Ordre, sont aujourd’hui réhabilités. Comme le Professeur Perronne, débouté de sa chefferie du service de maladies infectieuses à l’hôpital de Garches en 2021, puis réhabilité sans bémol par le Conseil de l’Ordre en 2022, et lavé de tout soupçon de « complotisme ».

Certains d’entre eux ont porté plainte contre les calomniateurs. Ils ont ajouté leur voix aux millions de plaintes dans le monde destinées à faire reconnaître officiellement les préjudices causés par les vaccins de la mort, indemniser les victimes, leurs conjoints ou leurs familles, exposer les crimes, faire condamner les coupables et rétablir la vérité.

Selon les juristes, cela prendra sans doute beaucoup de temps. 10 ans au bas mot, d’après certains. D’autant que la Justice elle aussi est largement corrompue.

Depuis 2020, Reiner Fuellmich, avocat international allemand et d’autres juristes appellent à un Nürnberg du Covid. Afin d’exposer publiquement les crimes, condamner les coupables qui ont imaginé, planifié, déclenché, organisé, couvert cette Shoah mondiale qui cible 8 milliards d’êtres humains.

Et qui se sont enrichis en vendant des vaccins tueurs. En interdisant qu’on hospitalise les malades en détresse respiratoire jugés non prioritaires en raison de leur grand âge, de leur infirmité ou état de santé.

En interdisant qu’on leur délivre autre chose que du Doliprane, et surtout pas ces traitements mis à l’index car réputés pour leur efficacité, et qui auraient permis de les sauver.

En euthanasiant par décret [ii] les vieux dans leur EHPAD. En terrorisant la population avec une fausse « pandémie » fabriquée par l’OMS, et démesurément déformée par les médias alarmistes dès novembre 2019.

En imposant des mesures absurdes, liberticides et contre-productives. Comme la distanciation sociale, le masque, les confinements et couvre-feux à répétition, les milliards de tests PCR utilisés en dépit des méthodes préconisées par leur inventeur et leurs fabricants, la falsification des données épidémiologiques pour faire croire à des « vagues » successives, et justifier le prolongement d’une dictature légale (état d’urgence sanitaire), la fermeture des lieux publics, la surveillance policière des populations, la vaccination obligatoire, le pass sanitaire et le traçage numérique dans le but de fliquer tout le monde…

Comme un symbole de cette folie, le groupe Pfizer, propriété de BlackRock comme la plupart des leaders du secteur pharma, est aujourd’hui sur le banc des accusés. Son PDG Albert Bourla est poursuivi par d’innombrables plaintes pour falsification ou dissimulation d’études scientifiques, concernant l’efficacité et les effets secondaires des injections ARNm, entrave à la Justice, empoisonnement, homicide volontaire, crime contre l’humanité, et corruption.

Cela ne dérange nullement cet homme ni sa firme, qui a déjà accumulé un record de condamnations pour crimes et se voit chaque année obligée de verser des millions d’amendes depuis 10 ans. Une ligne comptable insignifiante dans son business plan highly bankable

C’est pourtant largement à son initiative que débutait fin 2020 la plus grande opération de « guerre » de l’Histoire humaine, annoncée plus d’un an auparavant. Alors qu’il faut au bas mot 20 ans à la recherche pour développer un vaccin efficace contre un nouveau virus. Qui plus est, avec une technologie totalement nouvelle, sans aucun recul ni étude indépendante prouvant son efficacité.

Une opération digne du Débarquement de Juin 1944, préparée dans le plus grand secret et saupoudré de quelques annonces pour tester l’opinion, qui mettait en œuvre des moyens considérables pour terrasser un virus de grippe quasi inoffensif[iii], qui aura causé au total moins de victimes dans le monde que la grippe saisonnière de 2019 !

Une campagne de vaccination massive sur tous les continents, pilotée de main de maître simultanément dans 65 Etats occidentaux par une entreprise privée américaine : le cabinet de conseil McKinsey.

Un véritable Etat dans l’Etat, qui s’est substitué aux conseillers, ministères et services administratifs des Etats concernés, pour la partie conseil comme pour la partie mise en œuvre de la politique vaccinale, pass sanitaire compris. Et dont le dirigeant en France n’est autre que Victor Fabius, fils du Président du Conseil constitutionnel et ancien Premier ministre (condamné dans l’affaire du sang contaminé) Laurent Fabius. Rien que du beau monde.

Un scénario relayé par ces Etats et leurs conseils scientifiques bardés de conflits d’intérêts avec des labos comme Pfizer, Moderna ou Gilead, des agences de santé et des médias subventionnés, tous archi corrompus. Au bénéfice d’une industrie pharmaceutique qui constitue le secteur le plus corrompu et le plus corrupteur de l’économie mondiale.

Une industrie financée par des fondations privées, comme la Fondation Bill & Melinda Gates, la Fondation Gavi pour les vaccins, la Fondation Rockefeller ou la Fondation John Hopkins. Toutes championnes de la corruption et du crime organisé.

Rappelons que le « milliardaire philanthrope » Bill Gates, condamné par la justice américaine au cours de la décennie 1990 pour abus de position dominante de sa firme Microsoft, et violation de la loi antitrust, s’était refait une virginité en léguant une partie de son immense fortune héritée de sa famille et constituée par son empire informatique dans une fondation à son nom, destinée à financer des programmes humanitaires de santé dans les pays du tiers-monde.

Un « investissement » absolument pas désintéressé, mais au contraire extrêmement rentable, qui lui avait notamment permis de s’assurer le quasi contrôle financier d’un des secteurs les plus bankable de l’économie mondiale, en finançant ses labos les plus rentables.

Mais aussi de « racheter » l’OMS : une ONG mondialiste dépendante de l’ONU, jusque-là financée par les subventions de ses Etats membres. A la surprise générale, face à la gabegie corruptive et aux décisions sanitaires iniques de ce « machin » vendu aux firmes pharmaceutiques, Donald Trump avait décidé en 2020 de retirer les Etats-Unis de l’OMS !

Cet organisme est donc désormais sous la coupe majoritaire d’une fondation privée qui en est le principal mécène. Et qui lui dicte ses grandes orientations, pour le plus grand bénéfice des rapaces de Big Pharma et ses actionnaires.

La Fondation Gates s’était singularisée dans les années 2000 et 2010 en lançant des campagnes de vaccination massive et expérimentale sur populations pauvres des continents africain, asiatique et d’Amérique latine. Elle prétendait alors vouloir éradiquer des épidémies comme la méningite, la malaria ou la variole, alors que cette dernière était déjà éteinte quand la campagne de vaccination fut lancée.

Ces campagnes d’apprentis sorciers ont malencontreusement provoqué l’effet inverse de celui escompté. A savoir une reprise spectaculaire de ces épidémies. Au point que les vaccins contre la variole du couple Gates sont aujourd’hui considérés par les épidémiologistes comme le vecteur principal de propagation de cette maladie dans le monde !

Un scénario qui n’est hélas pas nouveau. Et dont les véritables causes ne laissent pas d’interroger.

En effet, en 1919 déjà, une autre fondation célèbre, la Fondation Rockefeller, inventeur et mécène de la toute jeune industrie pharma, avait lancé une campagne de vaccination massive contre la méningite destinée en priorité aux GIs américains à peine revenus du front après l’Armistice de 1918. Des centaines de millions de doses de vaccins à base de virus atténués furent ainsi injectés à toute une population jeune et en bonne santé. Le résultat fut cataclysmique, puisque ces vaccins sont aujourd’hui jugés responsables de la propagation de la bien mal nommée « grippe espagnole« . Laquelle a causé tout de même 50 millions à 100 millions de morts dans le monde en seulement 3 ans. Soit davantage que les deux guerres mondiales réunies.

La Fondation de Bill Gates n’est toutefois pas en reste. Puisque ce sont plusieurs millions d’Africains, d’Indiens ou de Sud-américains parmi les plus pauvres qui ont succombé aux effets secondaires de ses campagnes de vaccination mortifères.

Auxquelles s’ajoutent plusieurs centaines de milliers de femmes indiennes stérilisées par ces injections (chiffres officiels). Ce qui vaut à la fondation Gates d’être interdite de séjour depuis plusieurs années sur le sol indien.

Malgré les preuves et les condamnations, la fondation génocidaire continue toujours bon enfant son travail d’extermination des populations. En toute impunité.

Il faut dire que Bill et ses amis qui ne cachent plus leurs intentions ouvertement eugénistes. Et ne craignent pas la Justice, puisqu’ils ont largement les moyens de corrompre les tribunaux qui pourraient leur réclamer des comptes. A savoir l’ensemble des tribunaux nationaux, européens, ou internationaux, comme la Cour de Justice Internationale.

Cette dernière a d’ailleurs été saisie en 2021 par le Barreau des Avocats Indiens d’une plainte pour crime contre l’humanité à l’encontre de Bill Gates, Anthony Fauci et Tadros Ghebreyesus, directeur de l’OMS, suite à l’interdiction par l’OMS d’utiliser l’ivermectine pour soigner le milliard d’Indiens touchés par le redoutable variant Delta. Après que le gouvernement indien avait décidé de recourir aux traitements plutôt qu’à la stratégie vaccinale, inefficace, pour traiter sa population. Avec un succès qui permit l’écrasement immédiat du pic épidémique du variant Delta, qui atout de même causé des centaines de milliers de morts en quelques mois en Inde.

Quant aux objectifs de dépopulation mondiale liés aux vaccins, Bill Gates en a clairement fait état à plusieurs reprises dans ses déclarations et conférences publiques. Notamment lors d’une conférence Ted Talk aux États-Unis en 2010[iv] sur le thème de la population mondiale. Au cours de cette conférence, le milliardaire philanthrope a brossé un exposé implacable devant un auditoire médusé, en démontrant chiffres et schémas à l’appui que l’économie mondiale ne pourrait plus dans les années à venir nourrir une population dont la croissance démographique exponentielle devenait incontrôlable. Théorie qui paraît plausible, mais ne fait nullement l’unanimité chez les démographes et spécialistes de l’agriculture mondiale. Bill Gates a cependant rassuré son auditoire en indiquant qu’on pouvait résoudre le problème en jouant sur le paramètre « P » – Population – de l’équation. Rires gênés dans l’assistance… Avant d’ajouter :


« Si ont fait un bon boulot, un très bon boulot, on peut réduire de 15% la population mondiale en 10 ans, grâce aux nouveaux vaccins, aux politiques de santé publique, et au contrôle de la procréation ! » (Sic)

Bill Gates n’a jamais démenti cette déclaration de guerre implicite et cynique faite à toute l’humanité.

Une déclaration reprise depuis par lui-même et d’autres oligarques fanatiques des programmes eugénistes de dépopulation mondiale.

Comme George Soros (Open Society), Jacques Attali[v], Elon Musk, ou Laurent Alexandre.

Tous par ailleurs promoteurs infatigables de l’idéologie transhumaniste, dont les nouvelles injections expérimentales à ARNm sont une illustration.

Autre précision importante : l’industrie des vaccins, qui connaît un développement spectaculaire et des investissements records depuis 20 ans, est engagée depuis 1993 dans une compétition féroce mais discrète pour produire de nouveaux vaccins.

Mais surtout pour produire de nouveaux virus par génie génétique. Des virus brevetés, condition nécessaire pour s’en assurer la propriété, et percevoir ainsi des royalties sur les vaccins correspondant produits par ces mêmes labos.

Les progrès dans les techniques de manipulation génétique ont en effet connu un bond de géant ces dernières décennies. Elles permettent aujourd’hui de fabriquer des virus modifiés à partir de souches animales, auxquelles ont ajoute des gains de fonction afin de les rendre ces nouveaux virus compatibles avec l’homme. Ils peuvent alors s’intégrer facilement aux cellules humaines, alors qu’ils seraient normalement rejetés par le système immunitaire, le temps de muter pour s’adapter et trouver la bonne clé pour s’accrocher aux cellules et intégrer leur ADN pour se reproduire. Comme le VIH, à l’origine dérivé du LAV, virus du sida chez certaines espèces de singes.

En 2020, le Professeur Luc Montagnier était venu présenter sur CNews les résultats des travaux de son équipe de recherche sur le séquençage du génome du virus SARS-Cov-2, récemment isolé et tenu pour responsable de l’épidémie de Covid-19. A la stupéfaction générale, il avait présenté la preuve irréfutable que ce virus ne pouvait qu’avoir été fabriqué volontairement en laboratoire à partir de manipulations génétiques. Et que son ARN modifié comportait 4 insertions évidentes du VIH.

Avant d’ajouter pour rassurer un Pascal Praud hagard, que cette méthode était souvent utilisée par les labos de recherche médicale dans l’espoir de mettre au point un vaccin contre des maladies comme le sida. Cette technique vaccinale expérimentale s’appuie non sur des virus atténués, comme pour les vaccins « classiques », mais sur un virus porteur dans lequel on introduit des fragments du virus cible, dans le but hypothétique de provoquer une réponse immunitaire spécifique chez les personnes auxquelles on injecte le cocktail vaccinal.

C’est le principe théorique qui prévaut dans le concept de virus à ARN modifié (ARNm).

Une technologie nouvelle, largement expérimentale, qui consiste à « livrer » à l’intérieur de l’ADN humain une protéine d’enveloppe (Spike) du virus contre lequel on souhaite immuniser les personnes vaccinées. En utilisant par exemple un virus pathogène de chauve-souris, de grippe aviaire ou de grippe porcine génétiquement recombiné, qui va pouvoir s’accrocher aux cellules humaines, et « livrer » à l’intérieur de la cellule une portion du code génétique du virus ciblé. L’ADN humain ainsi piraté fera le reste, transformant la cellule hôte en usine à fabriquer des particules virales, qui seront à leur tour libérées à l’intérieur mais aussi souvent à l’extérieur du corps. Le pari fou de cette technique sophistiquée est que le système immunitaire va produire une réponse immunitaire spécifique dirigée contre le virus que l’on cherche à éradiquer. En se retournant en quelque sorte contre lui-même.

Au passage, le fait de pirater ainsi l’ADN conduit à une mutation irréversible du génome humain, mutation qui s’avère transmissible aux descendants. Il s’agit donc d’une modification délibérée de type transhumaniste de l’espèce humaine.

Pour les labos qui produisent ces chimères, le business model de ces nouveaux « vaccins » est fondé sur un objectif théorique de substitution de l’immunitaire naturelle par une immunité artificielle. La première étant non spécifique et pas toujours efficace immédiatement, le temps que le corps trouve la parade ; la seconde étant en principe spécifique donc efficace. Mais elle oblige les personnes qui mettent le doigt dans cet engrenage vaccinal à devoir se faire injecter des doses de rappel mises à jour tous les trois mois, en espérant être ainsi protégées contre l’apparition inéluctable de nouveaux variants.

Double, triple, quadruple, quintuple bingo !

Sauf que ce beau joujou admirable sur le papier n’a jamais marché ! Pire, ses effets sont catastrophiques.

Malgré les efforts démesurés de la propagande vaccinale, les faits demeurent têtus. Toutes les études indépendantes réalisées depuis plus de deux ans conduisent aux mêmes conclusions.

Tout d’abord il faut savoir que ces « vaccins » anti-Covid ont été commercialisés au prix d’une corruption d’une ampleur inédite dans l’Histoire, par des firmes criminelles pressées d’engranger des bénéfices record, et qu’ils ont été imposés de façon frauduleuse aux populations. Puisqu’il n’est légalement possible d’autoriser de tels essais expérimentaux qu’à condition qu’il n’existe aucun traitement pour soigner la maladie.

Ce qu’on a vainement tenté de nous faire croire par une vaste entreprise de corruption des chercheurs, de la presse scientifique[vi], des médecins, des agences de santé, des gouvernements et des médias. Alors que, selon plus de 200 études scientifiques indépendantes dans le monde, il existe de nombreux traitements, peu coûteux, disponibles et très efficaces contre le Covid, à tous les stades de la maladie : plus de 98% d’efficacité pour l’ivermectine, y compris sur les formes graves.

A l’inverse, les injections imposées de façon souvent obligatoire suite à un terrorisme médiatique doublé d’un matraquage de propagande destiné à donner l’illusion de leur efficacité, d’une chasse aux sorcières contre les propos dissidents et de contraintes dictatoriales sur les populations, n’ont prouvé jusqu’à présent rigoureusement aucune efficacité ! Contrairement à ce qui est martelé comme des mantras par des ministres corrompus comme Olivier Véran, par les labos eux-mêmes et repris en chœur par les journalistes.

En effet, toutes les études et statistiques officielles reprises par les agences de santé du monde entier, en Israël, premier pays à avoir massivement vacciné, aux Etats-Unis, au Canada, en France, le confirment : ces soi-disant « vaccins » n’empêchent aucunement les personnes injectées d’être contaminées. Au contraire ils affaiblissent leur système immunitaire, et les rendent moins résistantes aux nouvelles attaques virales. Selon une étude israélienne, en 2021 les vaccinés ont été 16 fois plus contaminés que les non-vaccinés.

Ces injections n’empêchent pas non plus les personnes injectées de transmettre le virus. Au contraire, elles les transforment en super propagateurs de protéines Spike. Puisque l’organisme qui tente de s’en débarrasser excrète par la peau et par voie aérienne des milliards de particules virales, qui vont infecter à leur tour d’autres personnes autour d’elles. Lesquelles présenteront parfois les mêmes symptômes que le Covid-19, sans qu’on puisse les différencier.

Contrairement aux mensonges martelés par les médias pour tenter de trouver une ultime justification aux doses de rappels destinées à écouler les stocks achetés par la Commission européenne, les vaccins Covid n’ont jamais protégé qui que ce soit des « formes graves ». Ces cas graves tant médiatisés et qui font tant flipper les accros aux messages anxiogènes diffusés à la télé. Toutes les statistiques prouvent aujourd’hui le contraire, à savoir que ceux qui développent des formes graves ou décèdent du Covid depuis 2021 sont majoritairement des personnes vaccinées ! Alors que les non-vaccinés dont le système immunitaire reste intact ont pour la plupart bénéficié d’une immunité collective face à une épidémie qui est aujourd’hui éteinte, et dont les répliques sont insignifiantes et extrêmement peu pathogènes.

En revanche, ceux qui payent depuis deux ans le plus lourd tribut aux vaccins et au Covid sont les jeunes ! Enfants, adolescents, jeunes sportifs et jeunes adultes vaccinés sont ceux qui meurent aujourd’hui le plus du Covid (i.e. des vaccins).

Quant à l’hécatombe produite par les effets secondaires et les décès directement liés aux injections, c’est tout simplement du jamais vu dans toute l’Histoire de la médecine, de la vaccinologie et de la pharmacovigilance !

N’importe quel autre médicament en phase d’essai thérapeutique avec délivrance d’une ATU (Autorisation Temporaire d’Utilisation) sous conditions, aurait été immédiatement stoppé. Et son développement aurait été définitivement abandonné au vu de tels résultats. Mais dans le cas des vaccins anti-Covid, on a continué et on continue toujours d’administrer la mort à des milliards d’êtres humains.

Sans compter que, selon les estimations, à peine 8% de ces effets secondaires redoutables constatés chez les personnes vaccinées seraient déclarés. Par incertitude ou par ignorance des médecins, par incrédulité, parfois par corruption. Et surtout par peur d’être montrés du doigt, de se voir désigné comme un « complotiste« , et pour certains d’être radiés par le Conseil de l’Ordre.

Quels sont ces effets néfastes des « vaccins » ?

L’hyper prolifération anarchique de protéines de pointe baptisées Spike dans l’organisme se traduit rapidement chez beaucoup de personnes injectées par des phénomènes inflammatoires, qui surviennent quelques heures à quelques semaines après l’injection. Et qui peuvent affecter tous les organes, du cerveau aux testicules en passant par le cœur, le foie, les reins, la rate, le pancréas, les intestins, la peau, les yeux, les os…, produisant des effets catastrophiques.

Thromboses, cancers foudroyants, embolies pulmonaires, néphrites, hépatites, pancréatites, troubles circulatoires, cardiaques, neurologiques, cérébraux, ophtalmiques, œdèmes, retards de règles, stérilités définitives chez les jeunes femmes et les jeunes hommes… Sans compter les innombrables morts subites qui affectent des présentateurs télé en direct sur leur plateau, des sportifs de haut niveau foudroyés en plein match, des militaires et policiers durant leur service. Des phénomènes liés à l’effort physique intense, cause de crises cardiaques ou d’AVC. Tous survenant chez des sujets jeunes, en parfaite santé, sans aucun antécédent.

Le 13 mai une partie du monde regardera ailleurs, ou tentera de ridiculiser cette initiative courageuse en la présentant comme « des délires de complotistes ».

Une autre partie du monde ouvrira les yeux et commencera à admettre que les premiers avaient raison. Ils rendront hommage aux victimes décédées à cause de cette politique du Mensonge institutionnalisé et du sacrifice d’une part de l’humanité sur l’autel du dieu Mammon et de ses grands prêtres psychopathes prêts à tout pour obtenir plus de pouvoir.

La vérité mettra encore du temps à gagner toutes les consciences. D’autant qu’entre temps, nos bourreaux nous ont déjà concocté d’autres réjouissances comme autant de « chocs » pour nous asservir : guerre Otano-russe en Ukraine et menace de 3e guerre mondiale, crise énergétique et hyperinflation (prévues par Klaus Schwab dans son livre), crise climatique et autres catastrophes « naturelles », Intelligence artificielle menaçant de prendre le contrôle de l’humanité…

Il ne faut pas nous laisser impressionner par ces mises en scène. Mais rester inflexibles quand il s’agit de défendre l’identité et la dignité humaine violées par les expériences transhumanistes, les libertés et droits individuels saccagés par la dystopie sécuritaire qu’on nous impose « pour notre bien », l’irruption de sentinelles numériques au cœur de nos vies, dans nos corps, nos cellules, nos cerveaux, nos pensées, nos choix personnelles pour éradiquer non pas des virus menaçants, mais notre esprit critique et libre-arbitre.

La seule issue à ce cauchemar réside dans l’élévation et l’unification des consciences au plan mondial. L’exposition des crimes contre l’humanité perpétrés par une poignée de fanatiques depuis 3 ans doit nous inciter non pas à leur faire rendre gorge dans le but de nous venger, mais à poser les garde-fous nécessaires pour qu’une telle horreur ne puisse jamais se reproduire. Et qu’une écrasante majorité d’humains choisissent en conscience de s’engager ensemble dans une autre voie, qu’elle choisisse d’épouser un autre futur.

Alors seulement, quand nous seront sortis des ténèbres, les choses commenceront.


[i] Klaus Schwab & Thierry Malleret : Covid-19, The Great Reset (Forum économique mondial, 2020)

[ii] Décret n° 2020-360 du 28 mars 2020 complétant le décret n° 2020-293 du 23 mars 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire. Ce décret signé Edouard Philippe demandait explicitement aux médecins d’EHPAD de prescrire du Rivotril, un sédatif létal à fortes doses, au titre de « soins palliatifs » aux personnes âges suspectées de Covid et présentant des symptômes d’infection respiratoire.

[iii] Sauf dans de très rares cas ultra médiatisés pour des personnes très âgées ou très malades

[iv] https://www.youtube.com/watch?v=DtkfWaCzsas

[v] Jacques Attali milite depuis 1979 dans ses livres et conférences en faveur de l’euthanasie des vieux qui plombent l’économie française. Ce qu’a par ailleurs confirmé de Christine Deviers-Joncourt dans un livre de témoignage publié récemment où elle évoque des déclarations explicites sur ce sujet au cours de dîners au domicile de Jacques Attali. Cette politique eugéniste défendue par beaucoup d’oligarques dits « progressistes » a d’ailleurs été évoquée quasiment mot pou mot par la très macroniste députée Renaissance Amélie de Montchalin, dans un tweet qu’elle a publié le 23 avril 2023 et qui a fait scandale.

[vi] Cf. le scandale du Lancet en 2021suite à une fausse étude bâclée publié dans la prestigieuse revue afin de discréditer les traitements à base d’hydroxychloroquine et d’azithromycine

Le « printemps français »

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C’est tout de même d’une ironie stupéfiante !

Quand la CIA orchestre en sous-main des soulèvements populaires pour dégager des dirigeants autoritaires pas assez conciliants avec les intérêts de l’Empire, on parle de « printemps arabes », de « printemps des peuples », et pourquoi pas de « révolutions arabes » ou de « révolutions de la jeunesse ».

Mais quand la France, « pays des droits de l’homme, etc » se retrouve confrontée à un soulèvement aussi massif, avec les mêmes accès de violences de rue, conduit par un peuple ou une fraction du peuple dressé contre une réforme unanimement impopulaire, un Président très majoritairement désavoué, déconnecté du pays réel, un pouvoir à bout de souffle, une dérive autoritaire sinon dictatoriale, voire un régime républicain et des institutions qui ne fonctionnent plus parce que ceux qui dirigent ont trahi ses fondamentaux, alors les mêmes se scandalisent et crient au chaos, au désordre, à l’anarchie !

De 2010 à 2014, Ben-Ali en Tunisie, Bouteflika en Algérie, Saleh au Yémen, le roi Abdallah de Jordanie, Moubarak en Egypte, Bachar el-Assad en Syrie, le roi Mohammed VI au Maroc, le sultan Al-Khalifa à Bahreïn, Kadhafi en Lybie, et d’autres dirigeants arabes, virent leur pouvoir chanceler. Ils durent réprimer des mouvements de contestation importants, parfois des émeutes monstres, comme ces millions de manifestants sur la Place Tahrir au Caire lors de la révolution de lotus réclamant le départ de Moubarak.

Certains durent céder le pouvoir, ou furent assassinés par leurs opposants. Comme Kadhafi en 2011, lâché par les Etats-Unis et la France retournés contre lui.

Ces dirigeants symbole d’un pouvoir arbitraire, autoritaire, népotique, accrochés à leur trône, furent qualifiés de « dictateurs » et d’oppresseurs du peuple, réfractaires au grand mouvement de l’Histoire qui va de l’obscurantisme vers le Firmament démocratique, dont l’Amérique est le fer de lance et le gardien élu.

Dans une rhétorique quasi marxiste d’un romantisme échevelé, la doxa progressiste occidentale relayée par les dirigeants, les intellectuels, les médias, se mit à célébrer ces peuples qui s’émancipaient eux-mêmes et spontanément de leurs tyrans. La réalité est sensiblement différente, mais le mythe a fonctionné à plein.

C’est avec un lyrisme burlesque que toute la presse de gauche comme Le Monde se mit à entonner des cantiques droits-de-l’hommistes sur cette grande Marche de l’Histoire universelle, rejointe désormais par les peuples arabes se libérant du joug de l’infâmie.

Un sursaut inattendu qui succédait à des siècles d’obscurantisme et d’arriérisme (selon la mythologie impérialiste traditionnelle), de tutelle impérialiste durant la période coloniale, puis de dictature nationaliste, laïque, moderne mais qui finissait par échapper à l’orbite de la superpuissance dominante pour sombrer dans l’autoritarisme clanique, et pour beaucoup cet abîme djihadiste et islamiste incarné par les Frères musulmans (d’abord soutenus par la CIA) qui engloutit un à un depuis un siècle tous les pays musulmans.

Un processus révolutionnaire que les lumières officielles occidentales assimilèrent au Risorgimento italien (seconde moitié du 19e siècle), ou à la chute du Rideau de fer en 1989.

L’Amérique vertueuse ne serait donc bien évidemment pas la cause du malheur des peuples, étranglés par des régimes autoritaires mis en place ou confortés par elle. Mais l’incarnation messianique du Salut pour tous ces peuples aux marches de l’Empire, invités à entrer d’eux-mêmes dans le Royaume universel de paix et de justice résumé par les idéaux démocratiques.

Idéaux qui ne sont dans tous les pays dits démocratiques qu’un mensonge, une imposture, ou une invocation-réflexe de moins en moins crédible destinée à subjuguer des masses de plus en plus dégrisées.

La France est dirigée depuis six ans par un pur produit de la technocratie mondialiste et européiste, manipulé les lobbies de Bruxelles, l’élite financière de Davos, Bilderberg ou BlackRock-Rothschild dont la politique est conçue, cadrée et pilotée par McKinsey.

Cet imposteur qui jouit des apparences de la légitimité démocratique gouverne une véritable dictature avec un rare mépris, une rare brutalité, ignorant et maltraitant son peuple. Le voici moins d’un an après sa « réélection » face à un soulèvement qu’on n’ose qualifier d’émeute, d’insurrection ou de guerre civile.

Si l’on est honnête, du point de vue politique le schéma est exactement le même que celui des « révolutions arabes », même si les acteurs diffèrent.

D’un côté un pouvoir autoritaire, discrétionnaire, arbitraire, soumis cette fois non pas à son propre libre arbitre mais à une Caste oligarchique dont il sert les intérêts. Une Caste qui a confisqué la souveraineté au peuple et dirige l’Etat par procuration, qui impose les grandes orientations stratégiques, les normes éthiques, juridiques, administratives, budgétaires, fiscales, gestionnaires, qui instrumentalise le Droit, cannibalise les institutions, corrompt le système et tous les acteurs politiques, infiltre et neutralise tous les contre-pouvoirs, uniformise tous les discours selon la même logique de pouvoir et la même rhétorique néolibérale-progressiste comme une quasi religion, qui exige une orthodoxie de pensée et une orthopraxie dans la façon de gouverner, sous peine de censure, d’exclusion du jeu politique (disqualification, affaires, renvoi aux extrêmes, diabolisation), de discrédit et de mort sociale (pour les « complotistes »).

Bref, une authentique dictature, sournoise, subtile, omniprésente, totalitaire, qui garde les apparences et les usages de pure forme d’une République démocratique, mais qui aujourd’hui ne prend même plus la peine de simuler.

Et de l’autre côté, un peuple écrasé par un pouvoir qui déploie tout l’arsenal coercitif et répressif, de l’ingénierie sociale de masse aux violences policières. Et qui instrumentalise des chocs souvent programmés pour permettre des basculements systémiques : crises économiques, sociales, climatique, hausse des prix, chômage, destructions sectorielles, tensions sociales, communautaires, suppression des libertés, accumulation de normes, contrôle bureaucratique, surveillance numérique…

Jouant sur cette stratégie du choc, le pouvoir manipule les aspirations d’une part majoritaire du peuple à la paix sociale, au retour à l’ordre républicain. Le pouvoir rejette alors la responsabilité des déflagrations de violences et la perspective du désastre sur « les excrèmes » (contraction de excréments et extrêmes) que sont la gauche et la droite canal historique. Sociale et contestataire pour l’une, souverainiste, nationaliste, conservatrice ou gaulliste pour l’autre. Rejet des discours populistes, Neutralisation des oppositions face au chantage résumé par l’équation le chaos ou le système, donc Moi ou le chaos. Et diabolisation de ceux qui refusent ce chantage comme des extrêmes facteur de chaos, rejetés hors du champ mythique de la République ou de la démocratie.

Dans cette logique, le Système se confond avec l’adhésion ou la compatibilité des « partis de gouvernement » (aujourd’hui « le centre », ou plutôt le Parti unique Renaissance et ses hochets LR ou Modem) avec les règles, les méthodes et les objectifs dictés par le Système.

C’est très habile et ça fonctionne très bien, depuis que le paysage traditionnel français organisé autour du bipartisme a explosé, avec la torpille Macron qui a dynamité le PS et réduit en lambeaux l’UMP.

Sauf que le peuple comprend de plus en plus cette grande manipulation systémique pour le faire voter pour ses bourreaux en les remerciant. Et cela donne une vraie révolution, au sens étymologique de retournement : le peuple aspire à revenir aux fondamentaux républicains, fondés non seulement sur un contrat social ou institutionnel, aujourd’hui caduque, mais sur une alchimie entre le Chef suprême et le peuple.

Si les Français étaient cohérents avec eux-mêmes, ils militeraient en masse pour l’instauration d’une monarchie parlementaire comme en Espagne. Et non pour cette utopique VIe République agitée comme un talisman vide par les partisans de LFI. D’ailleurs jamais les références pertinentes à de Gaulle n’ont été si nombreuses parmi les politiques critiques envers ce système mortifère comme parmi les intellectuels, droite et gauche confondues.

Mais la France est encore traumatisée par ce meurtre fondateur qui hante sa mémoire, à savoir le régicide de Louis XVI guillotiné par la Convention en 1792. Tant que les élections au suffrage universel jouaient leur rôle de guillotine électorale, les Français pouvaient toujours exercer un chantage sur leur monarque élu. Mais les usages républicains qui permettent de renouveler le contrat de confiance entre le peuple et son monarque ont tous été délaissés par des technocrates pressés d’entériner leur adhésion au Système sans demander l’avis du peuple.

La dernière dissolution de l’Assemblée par Chirac en 1997 a conduit à une catastrophe, avec la troisième cohabitation en 10 ans et une incapacité à gouverner. Quant au référendum, qui permet aussi de renvoyer la parole au peuple, il n’a quasiment jamais été utilisé par les successeurs du fondateur de la Ve. Sa logique, sa sacralité, ont été profanées depuis le Non à 55% à la Constitution européenne lors du référendum de 2005, désavoué par un Traité de Lisbonne ratifié par le Parlement en 2007 contre l’avis du peuple.

Avec Macron, le divorce entre le peuple, le Président, son gouvernement et le type de régime objectivement dictatorial qu’il incarne, est consommé.

Nous vivons donc aujourd’hui un authentique printemps français auquel les médias subventionnés font mine de ne rien comprendre et de ne même pas voir, préférant nous intoxiquer avec les images en boucle du war game de Sainte-Soline entre des policiers et des émeutiers qui trustent les manifs.

Mais cette nouvelle trahison des médias, qui commençaient pourtant à se lâcher un peu à propos des crimes du Covid ou des dérives du pouvoir, finira par leur retomber sur la figure. Le Vieux cordelier fut bien interdit, et Camille Desmoulins guillotiné avec Danton par son ami Robespierre, lui-même guillotiné trois mois plus tard. Alors il est tout à fait envisageable que le peuple ayant recouvré ses droits, les criminels du Système soient un jour jugés et condamnés.

Pour l’heure, on doit souhaiter que la révolution en cours ne dégénère pas dans la violence pour la violence, expiatoire ou décompensatoire. Et qu’elle ne soit pas récupérée par ces pseudos défenseurs du peuple que sont les mélenchonistes et leur bouffon qui singe un peuple dont il se contrefiche en beuglant : « La République, c’est moi ! » Car on sait où mène le mirage révolutionnaire version marxiste-léniniste.

Peu de chances de voir non plus les phalanges fascistes resurgir du ventre lepéniste. D’ailleurs Marine après avoir viré les fachos de la boutique a depuis longtemps été récupérée par le système.

Reste ce « centre » invisible. Pas l’arnaque Renaissance. Ni les Modem vendus au Veau d’or macroniste. Mais les invisibles. Comme cette Plaine constituée des députés du centre passés par tous les tourments révolutionnaires, qui après la folie d’épuration de la Terreur émergèrent des décombres d’une France en lambeaux en 1794, et ramenèrent le pays vers la paix et la concorde.

Soleil noir

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« Mensonges ». C’est le mot qui revient le plus souvent dans la bouche des politiques et des journalistes mal en cour à propos de l’intervention post-prandiale de Macron sur la réforme des retraites.

Le Président des EHPAD s’est donc fendu d’un discours rassurant à ses électeurs plongés dans une torpeur sédative devant leur poste ce mercredi, entre baba au rhum et concours de charades.

Du moins aux rescapés de la campagne de « soins palliatifs » mise en place trois ans auparavant par son premier ministre pour abréger leur détresse supposée.

C’est donc avec un sens aigu de la démocratie que notre sauveur a rendu hommage au dernier quarteron de son électorat, à savoir les retraités. Plutôt qu’aux 93% des actifs qui rejettent en bloc sa réforme, parce qu’ils peinent à comprendre cette mission assumée avec courage et brio, dont l’objectif est de sauver notre système social en faillite.

Notre héros national s’est ainsi dressé en ultime rempart contre les assauts de la foule. Cette masse hideuse, informe, illégitime selon lui. Cette plèbe menaçante et arrogante, qui devrait se contenter d’acquiescer avec grâce ce que l’élite éclairée par la crème des experts McKinsey a jugé bon pour elle et pour l’avenir du pays.

Mais plutôt que de réitérer son jupitérien « Qu’ils viennent me chercher ! », le maître des horloges et des tableurs a préféré rappeler qu’en vertu de sa conception de la règle démocratique, seule la représentation nationale pouvait arbitrer.

Une représentation qu’il n’a pourtant cessé de piétiner depuis 9 mois. Puisqu’il vient de fêter la 100e édition du 49.3, avec cette réforme des retraites expédiée comme un clystère avec un bras d’honneur lancé au peuple, aux syndicats et aux parlementaires privés de débats.

Un curieux détail a pourtant échappé à son auguste intelligence : si « la foule » est illégitime, puisque la foule, c’est le peuple, et que c’est en principe ce peuple qui l’a élu, alors il n’est pas Président, et n’a donc aucune légitimité. En parfait démocrate, il doit donc se retirer séant, et laisser au peuple le soin de se choisir un monarque plus à sa convenance.

Le niveau d’imposture et d’obscénité atteint par la caste qui nous gouverne et dont Macron est l’instrument serait-il donc si élevé, notre parodie de démocratie si criante, que la maladie d’Alzheimer serait devenue l’unique allié d’un pantin illégitime ? Et le Rivotril ou la protéine Spike, son meilleur outil pour tailler dans la mauvaise graisse d’un électorat trop pléthorique ?

Bientôt le plus grand illusionniste de l’Histoire n’aura plus que des applaudissements enregistrés pour lui servir de claque. Et des figurants en carton comme public.

Bientôt le buste d’Ursula van der Leyen remplacera celui de Marianne à l’Elysée. A moins que le gouvernement ne se soit entre temps transféré à Vichy pour échapper à la marée noire de poubelles et de black blocks qui auront englouti la capitale.

Bientôt les statues de Larry Fink et Klaus Schwab remplaceront celles de Colbert et de Sully sur le parvis du Palais Bourbon. Plus besoin de députés télégraphistes pour prendre les ordres. Ceux-ci seront directement transmis à des IA comme chatGPT, qui les traduiront instantanément en textes de lois prêts à promulguer. Plus de salive ni de temps perdus de façon coûteuse et inutile, plus d’erreur humaine ni de rues encombrées par ceux qui ne sont rien mais emmerdent tout le monde.

La démocratie fluide et parfaite, pilotée par les dieux au service du bien commun.

Bientôt il n’y aura même plus besoin d’aller chercher des électeurs dans les EHPAD. Grâce au crédit-temps qui aura remplacé les retraites, dès qu’ils ne seront plus fonctionnels les collaborateurs qui auront travaillé toute leur vie équipés de patches numériques et surveillés par des algorithmes pour justifier leur revenu universel, seront déconnectés et terminés. Leurs extensions organiques seront réparées et recyclées. Et leur matériau biologique servira d’engrais pour nourrir des plantations dans des fermes automatisées. Pour le plus grand bien de la société et de la planète.

Dans un ouvrage paru en 1982, ce grand visionnaire qu’est Jacques Attali, mentor de notre bien-aimé Président, avait déjà parfaitement analysé ce problème du grand âge :

« La logique du système marchand condamne les vieillards soit à rester solvables, soit à subir l’euthanasie […] Les deux tiers des dépenses de santé étant concentrées dans les derniers mois de la vie, la nature même de la société capitaliste la pousse à ne plus rechercher l’espérance de vie, mais la seule durée de vie sans maladie […] L’acharnement gérontologique masque les vrais problèmes de santé publique, qui, dans l’état actuel des choses conduisent à une véritable euthanasie pour les classes les plus laborieuses. »*

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« – Eh, pourquoi font-ils cela ?
– Parce que c’est plus facile. Je pense que plus pratique serait le mot juste. »
(Soleil Vert, de Richard Fleischer, 1973)

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* À propos de Jacques Attali et de l’euthanasie : les chemins du déshonneur
Le Monde, 28 mars 1982

Les Chrétiens qui croient à la résurrection de Jésus sont-ils des complotistes ?

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Ceux qui professent la Résurrection contre le Zeitgeist sont-ils complotistes ? Ou Jésus qui s’oppose à tous les pouvoirs, dénonce tous les discours officiels aliénants est-il le premier complotiste de l’Histoire ?

Judée, An 30 (ou 39)

La Palestine, cette petite province romaine aux confins orientaux de l’Empire, vit sous la férule d’un roi autoritaire, dépravé et corrompu. Hérode Antipas n’a pas la carrure de son père, Hérode le Grand, roi bâtisseur et mégalomaniaque, célèbre dans le monde entier pour avoir fait construire le plus grand temple de tous les temps. Mais il est plus cynique, arrogant et intrigant. Plus lâche aussi. Entouré d’une cour d’aristocrates cupides et d’opportunistes corrompus, il partage le pouvoir politique avec un jeune procurateur nommé Pilate, fraîchement nommé par l’empereur Tibère pour gouverner cette contrée.

Une tâche difficile. Car la Judée a la réputation d’être particulièrement rebelle à l’autorité de Rome. Depuis sa conquête en -63 par Pompée, vainqueur de la dynastie hasmonéenne, les légions romaines y stationnent pour prévenir les troubles, fréquents dans la région. Malgré cela, des émeutes populaires et autres mouvements séditieux éclatent sporadiquement, nourris par la haine de l’occupant.

Ecrasé de taxes, humilié par Rome, méprisé par ses propres élites, ce peuple fier et insoumis est prêt à suivre le moindre agitateur, le moindre « prophète » autoproclamé qui lui promet de chasser les Païens, de renverser ce roi corrompu, de rétablir l’indépendance et la royauté d’Israël comme au temps de la splendeur de Salomon.

Si le peuple souffre beaucoup, à en croire certains il n’a qu’à s’en prendre qu’à soi-même, se repentir de ses péchés qui ont attiré sur lui la colère divine, au point d’être livré à ses ennemis.

Les plus déterminés et dangereux parmi ces fauteurs de troubles sont ces Zélotes. Une secte nationaliste d’extrême droite qui passe son temps à exciter le peuple, à ourdir des complots et fomenter des révoltes. Des terroristes révolutionnaires embringués dans une croisade messianique et politique pour libérer la terre d’Israël de l’occupant impie.

Certains parmi les religieux les soutiennent. Quant aux dignitaires tsadoukim qui contrôlent de temple, ils préfèrent rester discrets, conforter leur autorité en attendant des jours meilleurs. Ceux-là, le peuple et les rabbins les craignent. Et souvent les haïssent. Certains qui enseignent de la Loi osent braver leur autorité. Mais ces grands prêtres veillent jalousement sur leur pouvoir. Ils sont alliés d’Hérode, et donc implicitement des Romains, bien qu’ils les détestent autant que les autres, et ne leur reconnaissent aucune autorité pour administrer cette terre sacrée.

Il faut dire qu’à l’époque où le Temple avait été saccagé par les Grecs, le culte avait été interrompu, les prêtres dispersés et l’esprit du peuple ébranlé. Et si Dieu nous avait abandonné ?… Et si le peuple élu venait à disparaître ?… Et si la Promesse ne pouvait s’accomplir, comme l’affirment les Ecritures ?…

Pour combler ce doute, on avait introduit dans le canon théologique des croyances empruntées aux nations païennes. Comme ce Paradis qui rassemble les justes après leur mort. Et non plus simplement le Shéol, où se réunissent toutes les âmes dans l’attente du Messie.

La croyance en la résurrection connut alors un succès inédit. Désormais plus question seulement d’engendrer des fils pour assurer au peuple une persistance, et à la Loi sa transmission de génération en génération. Même si par le plus grand des malheurs le peuple disparaissait sous les assauts de ses ennemis, on pouvait toujours garder l’espoir d’une vie nouvelle quand le Messie viendrait, une fois les méchants condamnés et les justes relevés.

La Justice, celle des hommes comme celle de Dieu dans la perspective d’un hypothétique Jugement dernier, devenait une affaire de foi, pas d’un simple combat les armes à la main. Mais tous ne l’entendaient pas de cette oreille. L’attente messianique nourrissait encore plus de manques, de frustrations, de spéculations apocalyptiques et politiques.

Toutes ces histoires laissaient Rome de marbre, qui croyait bien plus aux vertus terrestres, au pouvoir de la volonté, à la force virile de ses armées, à ce nouvel ordre mondial imposé par la Pax romana. Et à son Empereur, dieu palpable égal des dieux, et flambeau civilisateur pour le monde.

Messianisme religieux et politique allaient de pair parmi les fanatiques : ils croyaient qu’un nouveau Moïse allait venir les délivrer, les appeler à prendre les armes, déclarer la guerre à Rome. Avec pour armure de vieux rouleaux poussiéreux et pour glaive leur ferveur mystique. Sortilèges de sorcières ! Paroles d’insensées !…

Depuis l’époque des Séleucides, et surtout après que les armées de Rome eurent remplacé Athènes, on ne comptait plus ces fous furieux qui arpentaient places et campagnes. Avec leurs harangues ténébreuses, leurs prêches d’apocalypse, leurs promesses de messie et autres fadaises. Quand ils ne se prenaient pas eux-mêmes pour le Messie.

Égaré par la rancœur et la confusion, le peuple était toujours prompt à se rallier au premier de ces hystériques.

Hérode, comme Pilate, mais aussi Caïphe le grand prêtre jaloux de son pouvoir, restaient toujours sur leur garde. Ils faisaient surveiller ces meneurs par leurs espions ou leurs milices, veillaient à faire arrêter les imposteurs, châtier les blasphémateurs qui osaient se prendre pour Dieu, et tuer dans l’œuf toute insurrection.

Parmi eux, certains gagnaient chaque jour un peu plus les faveurs du peuple. Comme ce jeune rabbin nommé Yeshoua, un fils de charpentier venu d’un petit bled de Galilée. Toujours suivi par un troupeau de fidèles, il sillonnait le pays et galvanisait les foules. Notamment les rejetés, les déshérités à qui il promettait la lune. Ses belles patoles et ses fables au sujet d’un Royaume à venir fait d’amour et de justice fascinaient les plus naïfs d’entre eux. Il était aussi très habile pour les subjuguer avec ses tours de magie, qui faisaient partout sa réputation. Comme changer l’eau en vin, multiplier les pains, guérir les aveugles, les culs-de-jatte ou les lépreux. Ou plus spectaculaire encore, ressusciter les morts.

Il osait même parfois s’en prendre à l’autorité des prêtres, malmener les changeurs du Temple, critiquer Hérode parce qu’il avait fait tuer son cousin Jean le baptiste. Un psychopathe dérangé, hirsute, à moitié nu, mangeur de sauterelles et hurlant dans le désert, qui attirait les foules pour les plonger dans le Jourdain pour les laver de leurs péchés.

Jésus était bien plus malin. Par exemple, jamais il ne critiquait ouvertement les Romains ni l’Empereur. Certains d’entre eux venaient même à lui pour entendre ses sermons ou se faire guérir. Ce qui scandalisait les puristes parmi les membres de sa secte.

Certains d’entre eux le pressaient de passer à l’action, de dresser le peuple pour chasser l’occupant et de rétablir enfin le Royaume d’Israël. Mais lui faisait mine de les corriger, et parlait d’un sacrifice mystérieux qui allait tout résoudre.

Alors que sa popularité commençait à poser problème, les grands prêtres, Hérode et Pilate se mirent d’accord pour le faire arrêter, le firent juger sommairement, l’humilièrent face au peuple remonté, et finalement le mirent à mort en le suspendant à une croix sous les quolibets et les crachats.

C’était en avril, juste avant la grande fête de Pessah.

On trouva un traître parmi ses proches pour le livrer, un de ces Zélotes lassés d’attendre que leur « messie » se révèle publiquement. Et ce fut vite expédié.

Jésus mourut la veille du grand Shabbat, flanqué de deux criminels condamnés à mort quelques jours plus tôt. A sa place, on remit en liberté un agitateur pour calmer le peuple. Et tout rentra dans l’ordre.

On pensait ne plus jamais entendre parler de cet hurluberlu et de sa secte maudite. Mais deux jours plus tard, certains de ses adeptes répandirent des mensonges parmi le peuple. Sa compagne, une putain repentie nommée Myriam, et ses plus proches adeptes s’étaient cachés juste après son arrestation, par crainte d’être arrêtés. Mais à peine enterré, ils firent croire qu’ils l’avaient aperçu vivant, qu’il leur avait parlé, notamment dans cette salle sur la colline de Sion où ils avaient partagé leur dernier repas.

D’autres prétendirent l’avoir vu au même moment en Galilée. Preuve s’il en fallait de cette grossière mystification.

Mais la machine infernale était lancée. La rumeur se propagea très vite. Impossible de l’arrêter. Elle entraîna même un schisme parmi les Juifs à Jérusalem. Certains restèrent fidèles au culte orthodoxe, mais de plus en plus se rallièrent à cette secte.

Dans ce climat confus et éruptif, les plus enragés tentèrent de se rebeller par les armes. Mais ils furent tous tués. Le Temple fut détruit par Titus, Jérusalem quasiment rasée, comme l’avait annoncé le jeune rabbin mythomane. La plupart des Judéens furent dispersés. Même le petit groupe de fidèles restés à Jérusalem finit par disparaître.

Entre temps, un autre fanatique, un Juif qui parlait grec et persécutait les adeptes de ce Yeshoua, s’était subitement converti à la secte. Il sillonnait tout l’Empire pour répandre ses croyances, semant des germes de corruption qui allaient contaminer tout l’Empire et précipiter sa chute. Assailli sur son flanc ouest par les Barbares, l’empire fut divisé. Ultime traîtrise, l’empereur Constantin lui-même finit par rejoindre la secte et abolir les anciens cultes.

Tout ceci est la preuve évidente qu’il faut se méfier comme de la peste des mythes et des rumeurs. Car une seule d’entre elles peut fédérer plus d’adeptes qu’un général d’armée, et détruire un empire plus sûrement que la plus puissante d’entre elles.

États-Unis, 22 novembre 1963

Le Président John Fitzgerald Kennedy, élu deux ans auparavant, est assassiné au milieu de la foule venue l’acclamer lors d’un défilé à Dallas.

Un homme est arrêté sur les lieux du crime. Aussitôt déclaré suspect. Ancien Marine, Lee Harley Oswald est un loup solitaire. Atteint de troubles schizophrènes, il est très agressif. Il a déjà tenté d’assassiner un général. Emmené au QG de la Police de Dallas, il est assassiné deux jours plus tard par Jack Ruby, un justicier solitaire.

Le Vice-Président Lyndon Johnson prête serment et succède au Président assassiné.

Le 29 novembre, il nomme la Commission Warren pour enquêter sur son assassinat. Celle-ci remet son rapport le 27 septembre 1964, juste avant les élections présidentielles, qui consacrent Johnson comme 36e Président des Etats-Unis.

La Commission Warren conclut que Lee Harvey Oswald est le seul assassin. Et qu’aucun complot, ni de la mafia, ni des Soviétiques, si des services secrets n’est responsable de la mort de Kennedy. Malgré d’innombrables invraisemblances dans le rapport officiel qui alimenteront la polémique jusqu’à aujourd’hui.

Mise en cause par ces rumeurs, la CIA invente alors le terme de « théorie du complot » pour disqualifier toute théorie qui s’écarterait du rapport Warren et remettrait en cause ses conclusions à propos de l’assassinat de Kennedy. Et réduire au silence ceux qui les répandent.

Un concept promis par la suite à un grand succès. Systématiquement repris pour écarter tout argument contraire à une théorie officielle.

Comme l’implication de la CIA dans le coup d’Etat du 11 septembre 1973 au Chili, afin de renverser le Président Salvador Allende et mettre à sa place le dictateur Pinochet.

Ou son implication dans bon nombre d’opérations de déstabilisation de régimes hostiles aux intérêts américains, à Cuba, en Amérique du Sud ou en Asie.

Ou son implication aux côtés de l’US Army dans la création, le financement et la formation d’organisations terroristes islamistes, comme Al Qaeda ou Daesh.

Ou son implication dans les « attentats » du 11 septembre 2001 à New York et Washington.

Ou son implication dans divers assassinats de chefs d’Etat étrangers.

Ou son implication dans les « Printemps arabes » de 2011, en Tunisie, en Egypte, en Lybie, en Syrie, au Yémen, à Bahreïn.

Ou son implication dans des programmes expérimentaux secrets ayant recours à des armes non conventionnelles, des méthodes de manipulation psychologique, ou de contrainte physique, toutes illégales, sur des populations civiles, aux Etats-Unis comme à l’étranger : torture, LSD, Programme MK Ultra, armes chimiques ou bactériologiques…

Bien entendu, toutes ces rumeurs n’ont rigoureusement aucun fondement. Cela a été prouvé à de multiples reprises. Mais elles continuent d’enflammer l’imagination du public, et de faire le succès des conspirationnistes et autres complotistes.

16 décembre 2022 : amorcée sous la Présidence Trump, la déclassification de certains dossiers secrets des JFK Files accrédite enfin la théorie selon laquelle la CIA a bel et bien participé à un complot en vue d’assassiner le Président Kennedy.

Fermeture du ban.

Qu’est-ce que la vérité ?

Quel rapport y a-t-il entre Jésus et la CIA ?

Entre ceux qui sont persuadés que Jésus est ressuscité et qui en font le fondement de leur vie, et les complotistes qui croient que la CIA a participé à des complots et des opérations criminelles, et qui pourchassent le gouvernement pour dénoncer crimes et mensonges officiels ?

Aucun, bien entendu !

Le premier cas relève de la religion, du mythe et de croyances obscurantistes. Le second relève de l’Histoire, des faits avérés et incontestables.

La résurrection n’a jamais existé. Par contre, tous les faits retenus par l’Histoire se sont bien déroulés comme la version officielle l’atteste. What else ?… Tout le reste n’est qu’affabulation, mensonges, délires mythomaniaques pour égarer l’opinion.

Un tombeau vide ? Un crime d’Etat ?

Circulez y a rien à voir !

Qu’est-ce que la vérité ?

Existe-t-elle vraiment ?

Y en a-t-il une ou plusieurs ?

En ce bas monde, la Vérité (avec un grand « V ») n’existe pas. Il y a DES vérités. Souvent contradictoires, selon les points de vue. Et le système de valeurs auquel elles se réfèrent. C’est bien pour cela que les hommes se battent. Pour faire valoir LEUR vérité. Leur vision. Leurs croyances. Leurs modèles et leurs représentations.

Lesquels fondent leur identité, leur existence, leur idéal. Leur religion. Ou leur civilisation.

On ne peut pas vivre sans croire à quelque chose. Croire que quelque chose est vrai. Et être prêt à se battre pour défendre cette certitude. Je suis ce que je croie que je suis. Ce que je vis, et qui a du prix à mes yeux, c’est que ce que croie qui est vrai pour moi.

Et la Vérité dans tout ça ?

Dieu est-il vraiment le détenteur de l’Ultime Vérité ? Si cette Vérité existe (en lui), est-elle unique, définitive, inamovible, universelle, incontestable ? Ou bien n’est-elle pas plutôt paradoxale ? Une chose et son contraire ne peuvent-ils pas coexister en Dieu ? Comme le bien et le mal par exemple ? 

Discerner le bien du mal, le vrai du faux, n’est-il pas la conséquence de la Chute ? C’est-à-dire du désir, qui nous pousse à nous incarner ?

Pour faire l’expérience du réel, éprouver les choses, les nommer, réaliser Qui nous sommes vraiment, et devenir à notre tour créateurs de sens. Cette fameuse connaissance du bien et du mal dont parle la Genèse. Que procure le fruit défendu mais très appétissant quand on le consomme.

Exister, c’est connaître. Exister, c’est se révéler à soi-même dans le rapport dialectique à l’autre et aux choses. S’ériger comme sujet communiquant, connaissant, nommant telle expérience comme bonne, et telle autre comme mauvaise.

Quant aux réalités plus triviales, comme le fait de savoir si Oswald a bien buté ou non Kennedy, ce qui permet de démêler la vérité du mythe complotiste, c’est le consensus. Car les faits n’existent pas en tant que tels.

Toutes vérités en ce bas monde sont conciliaires.

Mais que se passe-t-il quand une autorité, un pouvoir, s’arroge le privilège de fixer les modalités de cette conciliation ? Ou l’escamote ? Quand un pouvoir autoritaire et arbitraire s’érige pour dire le vrai et bannir le faux, en lieu et place du consensus commun.

C’est bien le problème de toutes ces « commissions d’enquête officielles » qui n’ont d’officiel que le nom, parce qu’elles dépendent du pouvoir en place.

Leur légitimité éventuelle, comme celle du pouvoir en place, n’est garantie que par le contrat social qui fixe les liens entre un groupe et une autorité censée le représenter et œuvrer pour son bien.

Quand la quête du bien commun et le sens de l’intérêt général sont détournés par une faction pour servir sa cause ou l’intérêt d’un petit nombre, le contrat est rompu, même s’il conserve les apparences de la légitimité.

Le pourvoir est alors une imposture, fondée sur un mensonge. Et plus il se drape dans la vertu dont il se réclame, plus cette imposture est scandaleuse.

César, c’est le pouvoir arbitraire et autoritaire réuni dans les mains d’un seul homme. Et poussé à son paroxysme, au point de se diviniser.

A l’origine, César n’est qu’un dictateur (« celui qui dit »), nommé temporairement par le Sénat, et muni des pleins pouvoirs pour faire face à une situation exceptionnelle. Mais quand cette autorité se pare elle-même d’une sacralité, elle échappe à sa mission qui est de servir le Sénat et le peuple romain (SPQR). Elle devient sa propre finalité : devenir une dynastie, une divinité, pour se perpétuer au point de se croire immortelle.


Le seul pouvoir, le pouvoir divin, c’est le pouvoir de créer.
Et celui-ci ne se conquiert pas : il s’exerce.

Il en va de même pour tout pouvoir qui s’essentialise pour devenir le Pouvoir par essence. Qu’il soit politique, aristocratique, institutionnel, économique, religieux : c’est le même phénomène.

Jésus a choisi d’affronter tous ces pouvoirs : Hérode, Caïphe, Pilate, représentant du « divin » César. Avec en arrière-plan la figure mythique de Pharaon, homme-dieu, chef religieux, chef militaire et chef d’empire, qui maintient en son pouvoir un peuple réduit en esclavage en refusant obstinément de le libérer.

Le mythe de la Pâque juive, la nuit de la Libération, et celle de la Pâque chrétienne, la résurrection au terme de l’agonie et de la mort, sont indissociables.

Ce n’est pas seulement une libération de l’asservissement social, économique et politique, ni seulement de l’asservissement aux formes religieuses, théologiques ou sacerdotales temporelles, ni encore la libération des geôles physiques, psychiques et spirituelles que sont tous ces shéols qui symbolisent l’oppression des puissances sur les âmes possédées.

C’est la Libération dans son acception la plus absolue. C’est l’acte de Création par excellence d’un Dieu qui se retire totalement pour donner tout pouvoir à sa créature. Qui renonce à tout commandement, à tout Jugement, à toute intention, à tout projet, et qui la laisse libre d’expérimenter cette liberté jusqu’à l’absurde, l’abandon, la mort, pour devenir pleinement créateur de Sens, pleinement divin.

Folie !

Il est beaucoup plus confortable de croire aux théories complotistes selon lesquelles Dieu serait un dieu jaloux, un dieu terrible, un dieu qui surveille, qui juge ou qui sauve, comme un gentil Papa. Ou encore croire qu’il n’existe pas, tant son idée obsédante est insupportable aux êtres justement épris de liberté.

C’est pourquoi toutes les religions sont complotistes. Comme la CIA, elles passent leur temps à fabriquer des complots pour retenir prisonnières les âmes piégées. A inventer des « lois », des morales rétributives, des schmilblicks théologiques pour piéger les esprits.

Alors que l’Esprit, lui, souffle où il veut.

Si Jésus n’est pas un scandale, alors il n’est pas Dieu.

Et si ceux qui s’autoproclament ses disciples ne sont pas « complotistes », alors ce sont des mous, des fades, des imposteurs, des apôtres du Néant !

Démocratie française : entre crépuscule funeste et bacchanale cynique

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Hier sur le réseau professionnel LinkedIn, un PDG s’émouvait de l’image pitoyable donnée par Macron lors de sa visite officielle en Afrique. De ces festoiements exhibitionnistes en compagnie de people locaux, alors que la France d’en-bas occupe la rue depuis un mois pour faire valoir ses droits, crier sa colère et son mal-être, et faire reculer cette réforme des retraites ultra impopulaire qui vire au fiasco parlementaire et au casse-pipe pour la Macronie.

Jérôme Bosch : Le Jardin des délices – L’Enfer

Ou comment la société du spectacle tourne à cette bouffonnerie funèbre où s’excitent et caracolent sur le bûcher des vanités des fossoyeurs grimaçants d’une démocratie exténuée.

« Notre Président s’amuse et se donne en spectacle, voire se ridiculise, nos députés dérapent, la France souffre et se discrédite… Que nous arrive-t-il ??? »[i]

Oui, que nous arrive-t-il ?

La France, tout simplement, comme la plupart des « démocraties » occidentales, n’est plus dirigée par des « élus », issus du monde politique, portés par de solides convictions, l’amour de leur pays, le désir de servir leurs concitoyens, l’intérêt général ou le bien commun.

Mais par des opportunistes « délégués », repérés, adoubés, promus et financés par une Caste qui n’a d’autre ambition que de les utiliser pour servir ses propres intérêts.[ii]

Les candidats aux postes de responsabilité ne sont, en France comme ailleurs en Occident, plus désignés par le peuple souverain, selon un processus démocratique devenu aujourd’hui une pure mascarade.

Ces jeunes professionnels issus de « la société civile« , souvent de lobbies économiques ou financiers selon diverses collusions d’intérêts, sont cooptés sous les ors du Pouvoir parce qu’ils sont efficaces et dévoués, parfois brillants, capables de mettre en œuvre des politiques utiles au système.

Politiques dont ils ne sont jamais les inspirateurs ni les maîtres d’ouvrage puisque, comme on l’a vu avec la politique sanitaire mise en place de façon identique au même moment dans 65 États par McKinsey pendant la crise du Covid, ce sont des cabinets privés qui désormais se substituent à l’appareil d’Etat pour définir les orientations stratégiques, et les appliquer au sein des ministères concernés. Y compris dans les domaines régaliens, comme la sécurité ou la défense nationale.

Ces soi-disant « chefs d’Etats« , ou d’institutions mondialistes, la plupart de leurs ministres et leurs remplaçants potentiels, sont tout le contraire d’authentiques hommes d’Etat, avec une vraie vision, un sens aigu de l’Etat, de l’intérêt général, conscient de leur rôle, tenus par leur statut et leur fonction d’honorer le pays et le peuple qu’ils sont censés représenter, d’honorer leur fonction par une attitude constante de retenue, de dignité, d’honorabilité, sinon de hauteur, notamment lors de visites d’Etat à l’étranger.

Ces pseudos dirigeants ne sont en vérité que de simples acteurs. Comme Volodymyr Zelensky, qui a fait ses classes comme clown de téléréalité avant d’être propulsé par la CIA et les oligarques ukrainiens qui l’ont soutenu Président fantoche d’un Etat fantoche, sans aucune expérience politique préalable.

Ou comme Macron : une exception dans toute l’Histoire républicaine.

Inconnu du grand public quelques mois avant son élection, dépourvu de toute expérience politique de terrain, de tout engagement autre que purement formel dans un parti, pur produit de la technocratie et de la méritocratie, récitant une doxa néolibérale apprise à Sciences Po et l’ENA, appliquée à l’Inspection des Finances, puis comme dirigeant de la Banque Rothschild, biberonné par des bonnes fées mondialistes comme Jacques Attali, Bernard Arnault ou Peter Brabeck, le PDG de Nestlé, propulsé à 34 ans au sommet de l’Etat en tant que secrétaire général de l’Elysée pour souffler à l’oreille de François Hollande la politique économique de la France, puis nommé Ministre de l’Economie, de l’Industrie et du Numérique au sein du gouvernement Valls, en charge de de négocier de juteux contrats de rachat et de fusion au profit de multinationales américaines. Puis chef d’un parti fantoche créé de toutes pièces par McKinsey, sans vrais adhérents, candidat « surprise » à la magistrature suprême soutenu par un aréopage impressionnant de sponsors venus du monde économique et financier, par la totalité des médias subventionnés qui ont fait campagne pour lui, notamment les chaînes du service public, sans aucun programme concret mais équipé de discours rodés et d’un catalogue créé par McKinsey sur le modèle d’un enquête consommateurs. Aucune vision, aucun parti pour le soutenir, juste un achat d’impulsion programmé par les officines du marketing politique.

Aucune légitimité républicaine, aucun projet pour la France sinon celui de la dépecer pour l’offrir en pièces détachées à ses mentors, aucune éthique, aucun enracinement dans la France réelle… Juste un candidat pschitttt gonflé par la plus grande opération de propagande politique et médiatique jamais orchestrée sous la Ve.

Et pourtant cet homme-là nous a été présenté au terme d’un scénario planifié comme un jeune messie au verbe creux mais séduisant, débarqué d’on ne sait où pour sauver la République du péril imminent de « l’extrême droite ». Avec comme challenger une satanique échappée de son manoir hanté de Montretout, propulsée elle aussi par les médias pour servir de repoussoir utile et de marchepied au jeune prodige.

On pourrait multiplier les exemples à l’infini. Tous ces acteurs sont choisis, formés et coachés pour jouer un script. Ce sont des emballages, des illusionnistes, des coquilles vides, des marionnettes manipulées par la Caste, érigées en mirages désirables, selon une logique d’identification des consommateurs à un « produit ».

Et surtout, selon des critères de conformité, de loyauté et d’utilité envers leurs mécènes, d’habileté à conduire des réformes en passant à travers les orages de l’opinion, de capacité à séduire, manipuler, mentir et incarner un consensus totalement factice fabriqué par les médias et les agences de sondages, selon les canons éprouvés de l’ingénierie sociale chers à Noam Chomsky[iii].

Mais ce sont aussi le plus souvent des profils malléables, souvent narcissiques, cyniques, sociopathes, sans colonne vertébrale éthique, mais au contraire des êtres dévorés d’ambitions, déterminés, vénaux, sensibles aux flatteries mais résistants aux critiques, et redoutables pervers manipulateurs.[iv]

Macron, Biden, Trudeau, van der Leyen, Scholtz, Sunak, Aspern, et avant eux Clinton, Merkel ou Sarkozy, font partie de ces « Global leaders », ces scouts du mondialisme labeliséés par la Secte de Davos et son gourou Klaus Schwab, appelés à constituer l’élite dirigeante des Etats-nations promis à disparition. Des procurateurs-exterminateurs envoyés dans les provinces de l’Empire mondialisé pour soumettre les peuples réfractaires au nouvel ordre concocté pour sauver la planète et assurer leur bonheur malgré eux.


[i] Jean-Emmanuel Devienne, PDG de DASCO sur LinkedIn le 9/3/2023
https://www.linkedin.com/feed/update/urn:li:activity:7039552178239238144/

[ii] Cf. Valérie Bugault : Les raisons cachées du désordre mondial, Tomes 1 et 2 (Sigest, 2019)

[iii] Noam Chomsky : La fabrication du consentement : De la propagande médiatique (2008)

[iv] Cf. notamment ces deux enquêtes sur Emmanuel Macron :
– Juan Branco : Crépuscule (Points, 2019)
– Marc Endeweld : Le grand manipulateur (Seuil, 2016)
Et pour les pathologies du pouvoir : Ariane Bilheran : Psychopathologie de l’autorité (Dunod, 2020)

Le monument « Georgia Guidestones » détruit par une explosion !

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Lire l’article de Fox 7 (en anglais) : Explosion ‘destroyed’ portion of Georgia Guidestones, GBI says


Une explosion d’origine inconnue survenue aujourd’hui a détruit une large portion du Georgia Guidestones, relançant les spéculations sur l’origine et le propriétaire de ce monument énigmatique érigé il y a 42 ans aux Etats-Unis.

La presse américaine est en ébullition contrôlée pour commenter cet événement, qui résonne d’une étonnante manière comme un « attentat » dirigé contre un symbole sombre de l’Amérique, sans raison précise, au milieu de nulle part. Un attentat qui n’a causé aucune victime, sinon cet empilement de granit qualifié par certains de « satanique »… Et ce 21 ans après les attentats du 11 Septembre dirigés contre le World Trade Center, le Pentagone et la Maison Blanche, et attribués à l’époque au milliardaire saoudien Oussama Ben Laden et à son organisation « terroriste » Al Qaeda (créée à l’origine avec l’aide de la CIA pour contrer l’armée soviétique en Afghanistan).

Soyons clairs : il ne s’agit pas d’un simple fait divers sans intérêt, qui se serait produit à 7.000 km de chez nous, dans une obscure forêt de Géorgie.

Ceci est une déclaration de guerre ! Et un acte symbolique d’une puissance imprévisible.

Peu de Français connaissent l’existence et la signification du Georgia Guidestones. Hormis quelques fans de scoops « complotistes« .

Le Georgia Guidestones est un monument érigé en 1980 aux Etats-Unis dans l’Etat de Géorgie, sur une colline en pleine nature. Il est formé de 4 mégalithes de granit gris posés debout vers le ciel, surmontés d’un chapiteau. La forme de ces mégalithes et leur disposition rappellent un peu le mégalithe noir qui apparaît plusieurs fois dans film « 2001 Odyssée de l’espace » de Stanley Kubrick.

Hormis sa disposition qui en fait une horloge astronomique marquant avec précision les solstices, et qui l’assimile pour certains au site de Stonehenge, ce monument comporte des inscriptions gravées dans la pierre, qui se présentent comme une série de 10 « commandements », des « guides » pour un avenir radieux adressés aux générations futures. Ces commandements sont rédigés en 7 langues : anglais, espagnol, swahili, hindi, hébreu, arabe, mandarin et russe.

Le premier de ces commandements précise : « Maintenez l’humanité en-dessous du seuil de 500 millions afin de préserver un bon équilibre avec la nature. »

Les autres sont du même acabit : bien gérer la reproduction et améliorer l’espèce, unir l’humanité grâce à une nouvelle langue, réguler les passions, équilibrer les droits individuels avec les devoirs collectifs… En enfin : « Ne soyez pas un cancer pour la terre. Laissez de la place à la nature. Laissez de la place à la nature« …

Un mélange d’écologie, de mysticisme new age et d’eugénisme. On croirait presque entendre le grand gourou planétaire Klaus Schwab s’adresser au public du Forum de Davos.

Pourtant, personne ne connaît l’identité du commanditaire de ce monument, aussi coûteux que mystérieux, érigé pour le compte d’un groupe qui a tenu a rester anonyme. Ce qui autorise toutes les spéculations. Mais la façon particulière dont ces commandements ont été rédigés et disposés évoque une sorte de secte millénariste obsédée par des périls qui menaceraient la planète et l’humanité, et pétrie d’une spiritualité new age, pseudo pacifiste et inquiétante. Ou bien un milliardaire illuminé pétri d’eugénisme.

Pris séparément, tout porterait à croire à un mauvais gag. Ou au projet d’un fêlé. Mais rapproché avec d’autres injonctions du même style, on peut aisément imaginer que ce monument s’inscrit bel et bien dans un projet macabre pour l’humanité en des temps apocalyptiques.

Un projet qui fait écho par exemple à ceux élaborés depuis quelques décennies par des membres de l’élite financière au pouvoir. Comme celui de « Great Reset« , publié par Klaus Schwab, Président du le Forum Economique Mondial, six mois après le début de l’épidémie de Covid. Mais aussi à d’autres prospectives stratégiques pour l’avenir conçus par des officines mondialistes, comme des grandes fondations privées telles que la Fondation Rockefeller, Rothschild, Bill Clinton, John Hopkins ou Bill & Melinda Gates. Ou encore des organismes plus officiels comme l’ONU, avec son Agenda 2030.

Un Agenda 2030 pétri de bons sentiments écologistes et axé autour de 17 Objectifs mondiaux pour un développement durable. Lesquels prévoient notamment qu’à l’avenir l’humanité devra être concentrée dans des grandes mégalopoles de 100 millions d’habitants, afin de laisser de vastes zones livrées à la nature, interdites de toute habitation, activité ou circulation. Du moins pour le commun des mortels que nous sommes. Ceci afin de préserver la nature et la biodiversité, donc de sauver la planète. Nul mention du contrôle des populations qui est évidemment l’objectif de ce projet orwellien de type écolo-fasciste : à la lettre près les recommandations des fameux commandements du Georgia Guidestones, érigé 40 ans plus tôt.

Faut-il également rappeler les déclarations de certains oligarques, apôtres infatigables du Nouvel Ordre Mondial, de la monnaie unique, du transhumanisme… et de l’eugénisme ? Comme Tonton Bill Gates, le « milliardaire philanthrope« , comme aiment le nurnommer affectueusement les journalistes mainstream. Ou Jacques Attali, et d’autres, tous militants dévoués en faveur d’une politique mondiale de réduction de la population. Ces imprécations ne peuvent que rappeler les commandements étranges gravés dans la pierre au milieu de nulle-part par une secte inconnue.

Quoi qu’il en soit, ce Georgia Guidestones est devenu un symbole pour la « Résistance« . En effet, pour beaucoup de citoyens mobilisés contre le projet d’asservissement de l’humanité par une élite, résumé dans le projet de Great Reset du Forum économique mondial, ce monument représente, à tort ou à raison, le totem de la dictature mondialiste, technosanitaire, transhumaniste et eugéniste, qui avance à grand pas depuis le début du Covid.

Parvenir à le détruire est donc un acte fondateur et admonitoire, qui signe un renversement de tendance.

Un peu comme dans le film Terminator, l’objectif numéro 1 de la Résistance était de détruire Skynet. Ce super-réseau planétaire qui avait été piraté pour déclencher « Le Jugement Dernier« , une attaque simultanée sur toutes les villes de la planète à partir de tous les missiles nucléaires, afin de détruire ce cancer qu’est l’humanité, et permettre ainsi à la vie de repartir à zéro, dans un monde désormais régi par les machines.

Soit dit en passant, ce scénario est à peine une métaphore du projet transhumaniste actuel, qui ambitionne d’éradiquer une bonne part de l’humanité jugée inutile, trop maligne ou inadaptée, et de soumettre le reste du troupeau à un contrôle total par des AI, grâce aux nouvelles technologies.

Détruire le Georgia Guidestones, c’est un peu comme si en 1941, alors que les Etats-Unis venaient d’entrer en guerre et de faire basculer la balance des forces en présence, un commando allié était parvenu à faire exploser l’immense croix nazie qui ornait la toit du Reichstag.

« Vacciner », pour quoi faire ?…

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La vaccination des enfants de moins de 6 ans sera effective en France d’ici la fin de l’année

Alors que des voix s’élèvent en France pour inciter à reprendre la vaccination contre une chimérique « 7e vague » annoncée par quelques experts champions du pronostic il y a déjà quatre mois, alors que la perspective d’une vaccination obligatoire voulue par l’OMS et par l’UE se profile d’ici la fin de l’année, alors que la vaccination des tout petits paraît déjà acquise bien qu’elle suscite l’épouvante chez les immunologues et les pédiatres, alors que cette stratégie vaccinale qu’on nous avait frauduleusement vendue comme la seule possible pour venir à bout du Covid s’avère un échec cuisant, sinon le plus grand crime de toute l’Histoire de l’humanité, il est plus que jamais urgent de s’interroger sur ce qui peut bien motiver les fanatiques qui nous gouvernent et ceux qui les manipulent à vouloir à tout prix vacciner 7,8 milliards d’êtres humains, femmes enceintes, bébés et jeunes en parfaite santé compris.

Un an et demi de campagnes de vaccination massive à l’échelle mondiale, des milliards de doses injectées, cela constitue une certaine masse de données pour évaluer les résultats et décrypter les vrais enjeux.

Surtout si l’on tient compte de l’accumulation de statistiques concernant les incidents et les décès directement liés aux vaccins, répertoriés par les agences de pharmacovigilance. Mais aussi du retour des médecins, des témoignages des plus grands experts internationaux, et de ceux des victimes. Et ce malgré l’omerta entretenue par des gouvernements corrompus.

Un an et demi et plus, si l’on tient compte de l’origine à peu près certaine du virus, et du vaccin originel. Laquelle pointe vers la France et les Etats-Unis pour l’ingénierie génétique, la fabrication du virus SARS-Cov-2 à partir d’une souche animale et de 156 insertions génétiques dont 4 du VIH et 2 de la malaria. Vers l’Institut Pasteur pour les brevets initiaux (sachant qu’il faut 15 à 20 ans de R&D pour produire un vaccin…) Vers le laboratoire P4 (français) de Wuhan pour la dissémination accidentelle du virus à l’été 2019. Vers la Fondation Bill & Melinda Gates pour le financement (partiel), la stratégie vaccinale, la corruption des institutions de santé, des Etats impliqués et des médias occidentaux. Vers les multinationales les plus corrompues du secteur pharma, à commencer par Pfizer, pour la mise en œuvre. Et vers des machins mondialistes comme le Forum Economique Mondial de Klaus Schwab pour le pilotage global du Great Reset, dont cette plandémie est un élément-clé.

F.E.M. dont à peu près tous les leaders politiques, dirigeants d’organisations et de firmes impliqués dans ce scenario sont une émanation : Bill Gates, Tadros Ghebreyesus (directeur général de l’OMS), Joe Biden, Angela Merkel, Ursula van der Leyen, Emmanuel Macron (et ses sous-fifres comme Edouard Philippe ou Gabriel Attal), Justin Trudeau, Jacinda Ardern (Première ministre de la Nouvelle Zélande, l’une des plus terribles dictatures sanitaires après la Chine).

Ce qui est depuis longtemps certain, c’est que ces injections expérimentales, qui ne répondent à aucun des critères permettant de définir scientifiquement un vaccin, n’ont jamais été conçues dans le but de soigner ni de protéger d’une quelconque épidémie.

Tout au plus, le modèle des vaccins ARNm repose sur un pari scientifique qui fonde une stratégie thérapeutique nouvelle, selon une conception transhumaniste du corps humain et de la santé.

Il répond surtout à un business-model extrêmement juteux. Puisque son principe est de détruire l’immunité naturelle, individuelle et collective, pour la remplacer par une immunité artificielle. Autrement dit, détruire les mécanismes naturels de l’immunité humaine qui vise à produire une réponse non-spécifique mais rapide, efficace et durable face à une attaque de l’organisme, par une immunité artificielle, fondée sur une réponse théoriquement « spécifique » à chaque agent pathogène, propre à protéger contre une attaque par ce même agent infectieux. Sauf que cette méthode s’avère peu voire pas du tout efficace, sinon-contre-productive. Et surtout que la protection hypothétique qu’elle engendre reste très éphémère contre un virus par nature très mutagène. Il faut donc renouveler les injections tous les 3 mois, voire tous les mois, dès qu’apparaît un nouveau variant. Entre temps le système immunitaire s’autodétruit de façon irréversible.

Cette destruction rapide et définitive du système immunitaire, notamment à partir de la 3e injection, a été confirmée par de nombreuses études conduites par des laboratoires de recherche indépendants. Les Professeurs Montagnier et Perronne s’en sont notamment fait l’écho.

Quant à l’efficacité théorique de ces injections pour protéger d’une infection, empêcher la contamination, protéger de la maladie, des formes graves, du décès, celle-ci est reconnue aujourd’hui comme nulle.

Au contraire, comme le démontre une étude réalisée en Israël, l’un des pays qui a le plus vacciné, les primo- et triples vaccinés sont 27 fois plus contaminés que les non-vaccinés.

Pire, ces injections sont un facteur de risque et de fragilisation supplémentaire de l’organisme pour les vaccinés. Et un danger pour les non-vaccinés exposés aux personnes vaccinées, transformées en super-propagateurs de protéines Spike, et donc en agents infectants.

Alors pourquoi une telle obstination à vouloir vacciner tout le monde, jamais vue dans l’Histoire de la médecine et de l’humanité ?

La première raison est économique et financière.

Le marché du Covid se chiffre en milliers de milliards de dollars. Autant que le marché des armes. 157 milliards rien que pour les vaccins, selon une estimation publiée par le magazine Les Echo. Une hypothèse pourtant basse mais qu’on ne peut pas soupçonner d’exagération.

Or le marché des vaccins est de loin l’un des plus profitables du secteur pharma, lui-même l’un des plus rentables de toute l’industrie. Pas étonnant qu’il attire des investisseurs plus préoccupés par les tableaux de bord financiers que par l’éthique scientifique, médicale, pharmaceutique ou commerciale de leurs cash-machines. Ou par l’éthique en général dont ils se contrefichent, en champions toutes catégories de la corruption et des condamnations par la Justice pour crimes. Comme le souligne Michael Yeadon, ex-directeur scientifique et ex-directeur général du groupe Pfizer passé dans la « Résistance » après le scandale du Covid, ces inconvénients ne constituent tout au plus qu’une ligne de quelques centaines de millions de dollars de budget dans un compte d’exploitation consolidé…

Aux vaccins eux-mêmes, il faut ajouter les tests, le matériel de stérilisation et de protection (gels, masques, visières, blouses, stérilisateurs…), la signalétique et le matériel lié aux protocoles de distanciation sociale, et le marché en pleine explosion de la sécurité, de la surveillance et des datas numériques.

Tous aussi inutiles qu’inefficaces pour empêcher la progression d’une épidémie virale.  Mais essentiels dans la stratégie d’ingénierie sociale, de conditionnement et de contrôle des populations.

Un marché qui connaîtra une progression sans limite, tant que les populations se plieront aux injonctions sanitaires et jouerons sans broncher le jeu du toujours plus de sécurité pour toujours moins de libertés. Et que le progrès technologique permettra de renforcer l’étendue et la sophistication des outils utilisés pour normaliser et surveiller l’ensemble de la société.

Et encore, ceci n’est rien en comparaison des bénéfices stratégiques et financiers attendus à court et moyen terme pour les grands acteurs de l’économie mondiale, comme les GAFAM, certains leaders qui bénéficient de la recomposition de leur secteur dans le sens d’une plus grande concentration et de rachats massifs d’entreprises en faillite : hôtellerie et restauration, éditeurs et diffuseurs de contenus, culture et loisirs de masse, activités uberisées, etc. Et bien sûr aux actionnaires des banques et fonds d’investissement qui détiennent des parts majoritaires de Big Pharma.

La seconde raison est d’ordre politique et idéologique.

Elle répond à une volonté de la part d’une oligarchie financière de mettre en place d’ici 2030 un nouveau système à l’échelle globale.

Le but : s’assurer le contrôle absolu à la fois de la monnaie, des flux financiers et des économies, des Etats appelés à disparaître au profit d’une gouvernance mondiale, et de tous les leviers décisionnels. Mais aussi des individus, appelés à devenir de simples rouages du Système. Avec un niveau de contrôle, de surveillance et de soumission jamais égalé dans l’Histoire et démultiplié par les nouvelles technologies.

Une telle volonté, comme l’oligarchie qui en est animée, n’est pas nouvelle. On peut la faire remonter au 18e siècle, et même au-delà. Avec l’émergence d’une élite à la fois aristocratique, politique, économique, bancaire et financière au sein de l’Empire britannique, puis de l’empire anglo-américain, et enfin du monde occidental1.

Une oligarchie prétendument éclairée, proche des idées progressistes et des cercles maçonniques, qui s’est peu à peu transformée en un club de super riches, autoreproduit par cooptation. Lesquels gravitent dans de nombreux cercles mondialistes, comme le groupe Bilderberg, la Commission Trilatérale, ou le Forum Economique Mondial.

Cette caste oligarchique occidentale, tête pensante du capitalisme mondialisé, se heurte aujourd’hui dans son projet hégémonique global à d’autres oligarques venus de Russie (d’où la guerre OTAN-Russie en Ukraine), de Chine, d’Inde, voire du monde islamiste non aligné sur les Etats-Unis.

Cette caste qui se pare de toutes les vertus est à l’origine de toutes les grandes institutions mondiales créées depuis le début du 20e siècle pour remplacer les grands empires et mettre fin aux guerres nationalistes qui ont ensanglanté la planète : Société Des Nations, Nations Unies, ou organiser le commerce mondial en déjouant les protectionnismes et en court-circuitant les États-nations selon les canons du libre-échange : Organisation Mondiale du Commerce, Banque des Règlements Internationaux, Fonds Monétaire International, Banque Mondiale, G7, G8, G20, Union Européenne…

Le projet mondialiste se conçoit donc comme la seule alternative possible à l’ambition hégémonique et belliciste des nations et la sanctuarisation du Marché, espace ouvert à toutes les formes de spéculations, garanti par un ensemble de règles et de normes qui ne souffrent aucune exception ni subordination, et conduit un un ordre planétaire néolibérale, ploutocratique et passablement totalitaire dans sa volonté de tout organiser et contrôler.

Il repose sur un modèle dont le concept fut élaboré au 18e siècle : celui du Nouvel Ordre Mondial. Mais il vise en réalité à substituer un pouvoir hégémonique, celui des superpuissances, par un autre, celui du pouvoir financier. Un pouvoir dont l’ambition est pour le moins tout sauf humaniste et pacifique, puisqu’il a toujours spéculé sur les troubles, les révolutions, les guerres, nationales ou mondiales, qu’il a en partie financés : depuis la Révolution française à la guerre contre Daesh et à la guerre en Ukraine, en passant par la Révolution soviétique, les Première et Seconde guerres mondiales, et tous les conflits engagés depuis la Guerre froide, ce sont toujours les mêmes banquiers qui ont plus ou moins discrètement jeté du feu sur les braises en finançant simultanément les belligérants opposés, et en générant ainsi des profits colossaux par la vente d’armements et l’effort de reconstruction des pays détruits.

Pourtant, ces institutions qui se substituent aux Etats-nations pour favoriser la paix et l’harmonie entre les peuples s’appuient toutes sur une rhétorique humaniste, universaliste, pacifique qui ne peut que susciter l’adhésion unanime. Elle promeuvent la vision d’un monde unifié, autour d’une certaine idée du Progrès, matériel, scientifique, éducatif, des bienfaits de la science rationaliste, un modèle de prospérité infinie et partagée, pour le bien des peuples.

Ce que les zélateurs de cette utopie mondialiste oublient cependant de dire, c’est que ce modèle, loin d’éradiquer la pauvreté, la maladie, l’ignorance, de réduire les inégalités, les accroît au contraire et les étend. En creusant les inégalités entre les plus riches et les plus pauvres, en concentrant les richesses entre les mains d’une micro-élite, en rendant l’accès aux ressources les plus essentielles comme l’eau et la nourriture plus difficile pour les populations les plus pauvres, en générant de nouvelles maladies et de nouveaux fléaux, à cause des campagnes humanitaires et sanitaires (contre la variole par exemple) des fondations « philanthropes » supposées les éradiquer, en polluant massivement l’eau, l’air, la haute atmosphère, les sols, les sous-sols, les océans, les rivières, les plantes, en perturbant les grands équilibres climatiques, le champ magnétique terrestre, en faisant disparaître des milliers d’espèces sauvages, des millions de kilomètres-carrés de forêts, en normalisant les modes de production, de consommation, d’échange, de gestion, les cultures, les savoirs, en générant un monde d’abrutis interconnectés qui savent tout sur rien et mesurent leur illusion d’être à leur capacité vaniteuse à consommer et babiller.

Cette oligarchie truste tous les réseaux de pouvoirs. Depuis une dizaine d’années, la concentration financière, ultime étape de la mondialisation, a permis de concentrer à peu près tout le patrimoine mondial dans les mains d’une poignée d’hyper-riches. Notamment grâce à la participation systématique et de plus en plus massive dans le capital de toutes les banques et multinationales de fonds d’investissement titanesques comme BlackRock et Vanguard. Fonds dont les véritables propriétaires restent anonymes, mais pointent vers la famille Rothschild.

Cette élite qui détient aujourd’hui toutes les richesses, contrôle toutes ressources, tous les pouvoirs, tous les Etats par le levier de la dette, se conçoit depuis deux siècles comme une « race » (sic) d’élus, d’êtres supérieurs. Auxquels Dieu aurait confié en raison de leur statut d’exception et de leur supériorité la mission de dominer et d’éduquer les autres. Notamment en régulant la répartition des rôles, des statuts, des richesses, des savoirs. Et en régulant la masse de la population mondiale, devenue aujourd’hui pléthorique et problématique pour la survie de l’espèce et de la planète.

Lors du pic épidémique de mars-juin 2020, on a vu ainsi vu se mettre en place des arbitrages passablement révoltants face à l’afflux de malades dans les hôpitaux. Alors que l’Assistance publique a refusé l’aide proposée par les cliniques privées pour désengorger les urgences des hôpitaux publics officiellement « saturés », l’Etat a exigé des médecins hospitaliers qu’ils effectuent un tri à l’accueil de leur service, de façon à n’admettre que les patients les plus jeunes, les plus valides, en bonne santé. Les vieux, les grands malades, les handicapés, les obèses, les immunodéprimés, même en situation de détresse respiratoire, furent renvoyés chez eux avec une prescription de Doliprane.

Parallèlement, les décrets Véran des 27 mars et 16 octobre 2020 enjoignirent les médecins d’EHPAD et de ville à prescrire du Rivotril en guise de soins palliatifs pour les personnes âgées présentant des symptômes infectieux, ou simplement suspectées de Covid. Une manière de faire le tri entre les bons éléments, utiles au système, et les inutiles.

Cette idéologie fonctionnaliste et utilitariste est essentielle pour comprendre cette nouvelle religion transhumaniste, dans laquelle communient tous les milliardaires oligarques. Comme Bill Gates, George Soros, Anthony Fauci, Mark Zuckerberg, Elon Musk ou Ray Kurzweil, leurs seconds couteaux Jacques Attali ou Laurent Alexandre, et tous les geeks de la Silicon Valley.

Selon cette philosophie qui a toute l’apparence d’une secte pour happy fews, un humain n’est pas un être libre, dépositaire d’une vie sacrée, reflet d’une conscience. C’est une machine biologique, dont l’esprit n’est que la manifestation apparente et temporaire produite par une chaîne de réactions biochimiques logées dans le cerveau.

Par conséquent si cette machine est défaillante, il faut la réparer. En lui adjoignant des prothèses (bras articulés, œil ou organes artificiels). En équipant son cerveau d’outils et de patches numériques pour doper ses performances. En modifiant ses gènes, comme on le fait déjà avec une plante transgénique ou un animal hybride.

Le but n’est pas tant le bonheur individuel que la capacité d’adaptation de l’espèce aux défis à venir : nouvelles épidémies, apocalypse industrielle, climatique, dépassement de l’intelligence humaine par les AI, rencontre avec des aliens…

Un humain n’est donc qu’un numéro, une marchandise, un objet interchangeable dont on peut disposer à loisir des organes comme de pièces détachées, remodeler le fonctionnement pour le perfectionner, ou s’en débarrasser s’il ne remplit plus les fonctions pour lequel il a été conçu.

La vaccination obligatoire de toute l’humanité est l’acte fondateur, presque un rituel initiatique, pour nous entraîner vers la nouvelle société transhumaniste. Et pour cela, nous déshumaniser. A partir de ce qui constitue, au plan biologique, le cœur de notre identité, individuelle et collective, en tant que personne reliée à un corps, une espèce : notre immunité. Le grand absent des discours sur cette pandémie.

C’est pour cette raison, et non simplement pour contrôler les individus de l’intérieur, que chaque dose de vaccin est munie d’une micropuce unique, de la taille d’1/10e de millimètre. Celle-ci ne s’active qu’une fois injectée, en la présence d’oxyde de graphène, un « adjuvant » très toxique ajouté au cocktail vaccinal, sensible à certains rayonnements électromagnétiques et qui une fois activé joue le rôle de batterie, alimentant la puce en énergie.

En présence des ondes 5G, l’oxygène de graphène développe en effet des propriétés électromagnétiques. Il devient décelable dans le corps de la personne injectée, qui réagit alors aux champs électromagnétiques. Des tests réalisés en milieu clinique ont permis de vérifier que le corps des personnes injectées émettait réellement un champ électromagnétique, mesurable avec des appareils de détection.

D’où ces fameux magnet tests diffusés par milliers par des internautes vaccinés sur YouTube, qui consistent à poser une pièce métallique sur la peau à l’endroit précis où l’injection a été réalisée. L’objet reste alors collé à la peau sous l’effet de l’attraction magnétique.

Une fois activée, la puce émet un code Bluetooth repérable à courte distance grâce à un balayage Bluetooth effectué à partir de n’importe quel smartphone. Faites le test dans la rue ou le métro à une heure de fréquentation, vous serez surpris. Le signal émis est suffisant pour être repéré et pouvoir échanger des informations via les objets connectés qui commencent à envahir notre quotidien. Et qui seront des centaines par individu en 2026.

L’un des objectifs de ces doses de rappel régulières auxquelles on veut nous forcer tous les 3 mois est de recharger chaque individu en oxyde de graphène, progressivement éliminé par le corps. Il faut donc entretenir l’illusion des « vagues » successives, en réalisant des vagues massives de tests PCR, positifs – donc faux à 98% (selon les fabricants).

C’est aussi une justification nécessaire pour prolonger ad libitum l’état d’urgence sanitaire (la dictature sanitaire « légale »).

Contrôle transhumaniste, société hyper matérialiste et hyper normative, surveillance omniprésente par des AI : voilà à quoi ressemble pour de vrai le monde d’après.

Mais ça n’est pas tout.

L’un des volets les plus essentiels de ces vaccinations de masse, et sans doute le plus difficile à admettre pour le commun des mortels, est l’eugénisme.

Les preuves indubitables d’une volonté délibérée d’éradiquer une partie de la population mondiale sont pourtant légion. A titre d’exemple, les déclarations parfaitement assumées et réitérées de Jacques Attali, de Bill Gates, d’Anthony Fauci ou d’autres oligarques, ne laissent aucune place au doute.

L’idée est la suivante, elle ne cesse d’être répétée depuis 15, 20 ans, ou plus : la croissance exponentielle de la population mondiale aurait atteint un seuil critique. Bientôt l’économie mondiale ne pourra plus absorber cette croissance. Il y a aura de plus en plus d’êtres humains sur terre, et de moins en moins de ressources à partager. Donc de plus en plus de famines, de tensions, de guerres, mais aussi de maladies. Une situation préoccupante qui met en péril la survie de l’humanité elle-même.

Tout ceci est parfaitement faux. Et invalidé par de nombreux pronostics d’experts, qui affirment au contraire qu’en produisant mieux, en répartissant les ressources de façon plus équitable, on peut largement nourrir toute l’humanité, jusqu’à ce qu’on soit capable de coloniser Mars (à l’horizon 2050), ou des exoplanètes (à l’horizon 2100). Certains affirment même que la terre est tout à fait capable de fournir une alimentation bio et de qualité à 9 milliards d’êtres humains, sans appauvrir les sols.

Mais selon les partisans d’un monde inégalitaire, il faut tailler dans le gras. Faire des choix draconiens. Pour le bien de l’humanité bien sûr. Et surtout de leur portefeuille, déjà obscènement garni. Non seulement il faut freiner la croissance démographique, mais aussi réduire la population actuelle, pour la ramener en-deçà d’un seuil acceptable.

Selon les commandements en 7 langues inscrits sur les Georgia Guidestones, un monument de granit érigé sur une colline dans une forêt dans l’Etat de Géorgie aux Etats-Unis, les générations futures devront veiller à conserver un équilibre harmonieux entre l’homme et la nature. Et pour cela, le premier de ces commandements est de « Maintenir la population mondiale en-dessous du seuil de 500 millions. »

Nul ne connaît l’identité du commanditaire de ce mystérieux monument. Mais Bill Gates, lors d’une conférence Ted Talks sur la population mondiale donnée aux Etats-Unis en 2010, n’a pas hésité à affirmer plus modestement :
 
« Si on fait vraiment un bon boulot avec les nouveaux vaccins, les soins médicaux, le contrôle de la procréation, on devrait pouvoir arriver à réduire la population mondiale de 15% en 10 ans ! »

Ambiance dans la salle…

Autre fervent partisan de l’eugénisme, Jacques Attali n’a jamais cessé de répéter depuis un livre qu’il a publié en 1980 qu’il faudra à l’avenir se débarrasser des vieux. Lesquels « ne produisent rien et constituent une charge pour la société. » Une solution efficace au problème du financement des retraites.

Plus proche de nous (et du Covid), dans une conférence sur le transhumanisme donnée le 16 janvier 2019 à l’Ecole Polytechnique, Laurent Alexandre affirmait très sérieusement : « Dans quelques années l’humanité sera divisée en deux catégories : les dieux – nous, vous peut-être… – et les inutiles : les Gilets jaunes, les chômeurs… »

La solution est donc toute tracée : supprimer la mauvaise graisse : les inutiles, les inadaptés, toutes ces bouches surnuméraires à nourrir qui encombrent les Restos du cœur, les rues, les prisons, les hôpitaux, les files d’attente de Pôle Emploi… Le vaccin est l’une parmi de nombreuses autres solutions eugéniques aux grands défis de l’humanité.  Un moyen propre, sans trace, sans tache, sans cri ni sang versé, radical, progressif, indolore, imperceptible.

D’autant que l’un des effets secondaires non négligeables de ces vaccins, tout comme ceux injectés à des centaines de milliers de femmes indiennes lors des campagnes de vaccination contre la variole réalisées par la Fondation Gates en Inde, et qui ont valu à cette fondation « humanitaire » d’être poursuivie par le gouvernement indien, c’est de stériliser tout bonnement une part importante des jeunes gens et des jeunes femmes vaccinés. Au passage les campagnes de vaccination de cette fondation sont aujourd’hui reconnues comme le premier vecteur du virus de la variole dans le monde, une maladie quasi éradiquée il y a 50 ans, quand le vaccin a été développé et généralisé…

Où sont mes règles ? Tel est le titre d’une campagne de sensibilisation lancée par des milliers de jeunes femmes, en France et dans le monde, qui se sont retrouvées avec un cycle menstruel définitivement arrêté après une ou plusieurs injections. Campagne évidemment passée sous silence par tous les médias subventionnés.

Comment expliquer que la FEMA ait pu depuis deux ou trois décennies créer en pleine nature, dans des zones très peu peuplées loin de toute activité, des camps constitués d’immenses hangars pouvant accueillir chacun des dizaines de milliers de personnes ? Et qu’elle y ait rassemblé des centaines de milliers de cercueils de plastique noir, acheminés par des camions de l’armée, puis empilés sans raison apparente à ciel ouvert ? A la question posée par quelques enquêteurs « complotistes » : A quoi servent ces hangars et ces cercueils ?, la réponse des autorités américaines fut laconique : « C’est en cas de guerre civile ou d’épidémie… »

A noter que l’eugénisme a toujours été, de tous temps et sous toutes les latitudes, une préoccupation constante, sous une forme ou une autre, chez les élites au pouvoir. Pour préserver ce pouvoir, les prérogatives et le sentiment de supériorité qu’il octroie sur la masse des dominés, considérés comme d’autant plus menaçants qu’ils sont nombreux. Quand il s’est attelé dans les années 1920 à la rédaction de Mein Kampf, Adolf Hitler n’a pas eu besoin de chercher bien loin pour puiser son inspiration : il a largement pompé dans les théories racistes et eugénistes américaines, chères à la vieille oligarchie conservatrice.

Fric, Pouvoir, Folie transhumanisme, Contrôle, Normalisation, Dépopulation : voilà les vrais objectifs des vaccins. Tellement incroyables que se réfugier derrière des anathèmes comme « fake news » ou « délire complotiste » est un réflexe de protection bien compréhensible.

Car la conscience ne peut admettre qu’un être humain ait une intention aussi hostile et aussi contraire à l’inclination naturelle à l’empathie et à la solidarité envers autrui.

Face à la gêne que produisent de telles révélations, beaucoup se contentent alors de demi-mesures. Ils minimisent, relativisent, font des concessions. Malheureusement, les gens très riches et très polis, très calmes, souriants et bien élevés, comme l’étaient souvent les officiers nazis (dont l’un des avatars actuels est Klaus Schwab), ne s’embarrassent pas de pudeurs ni de manières pour évoquer ces sujets délicats. Lesquels sont toujours, selon la rhétorique clean des managers efficaces et prévoyants, emballés dans des justifications rationnelles, utilitaires, progressistes. Tout comme l’était la Solution finale.

Il faudra encore plusieurs étapes de réveil à l’humanité avant qu’elle ne parvienne à prendre pleinement conscience que de telles abominations sont bel et bien réelles. Et que ce réveil ne produise un sursaut salutaire des consciences. Non pour se lancer dans un combat frontal perdu d’avance contre ses bourreaux. Lesquels s’effondreront d’eux-mêmes dès lors qu’une masse critique prendra conscience des mécanismes de son aliénation. La servitude volontaire n’a de réalité que dans la mesure où elle se fonde sur le consentement. Si le consentement s’effondre, la servitude disparaît aussitôt avec lui.

L’intoxication des esprits par cette culture mondialiste et pseudo humaniste, qui passe par les médias, la consommation, le simulacre politique, ne tient qu’à un fil. Rompre ce fil et tout s’écroule. La seule question qui vaille est : le voulons-nous vraiment ?

Qu’est-ce qui nous fait le plus peur ? L’aliénation consentie, ou la liberté ? Pilule bleue, ou pilule rouge ?…

Pour chacun d’entre nous comme pour nous tous, c’est précisément l’heure du choix.


1 Cf. Carroll Quigley : Histoire secrète de l’oligarchie anglo-américaine, 1981

Dies dementiae dies illa ! [i]

Dies dementiae dies illa ! [i]

Gustave Courbet : Le Désespéré

Ainsi donc, aujourd’hui, 58% des Gaulois réfractaires qui ont voté au second tour auraient renouvelé leur confiance au Procurateur des Gaules de l’Empire mondialiste, leur bourreau honni qui est le plus grand djihadiste européen du Nouvel Ordre Mondial et du Great Reset en marche. Au terme, sans doute, de la plus grande mascarade électorale depuis mai 2017, et de l’Histoire de France depuis la Révolution.

A supposer que ce score n’ait pas été massivement « redressé » par Dominion, le logiciel américain de consolidation des votes qui autorise toutes les fraudes, cette victoire de pure façade du « Président » le plus illégitime et le plus impopulaire de toute la République française, dont le parti fantoche LREM avait culminé faut-il le rappeler à 5% des suffrages exprimés aux dernières régionales, sonne comme un avertissement.

Ce score ubuesque, si l’on remet en perspective ce qu’aura été pour les Français le premier quinquennat Macron, est le fruit d’un lavage de cerveaux radical de plusieurs mois et années de la part des médias contrôlés par la Caste mondialiste pour faire oublier comme par magie les crimes du petit tyran accumulés depuis 5 ans : affaires d’Etat, destruction méthodique de l’Etat et de l’unité de la nation, du système social français unique au monde, vente par appartements aux multinationales et fonds d’investissement américains de certains de nos plus grands fleurons industriels et entreprises stratégiques, répression féroce et violences policières sans équivalent depuis l’Occupation envers les manifestants et le peuple hostile à juste titre à une politique injuste, populicide, inégalitaire et antidémocratique, mise à sac de l’Etat de droit et des fondements de la démocratie, du principe de séparation des pouvoirs, mise sous tutelle et corruption massive par l’exécutif et ses sponsors de tous les corps constitués de la République, Parlement, Conseil d’Etat, Conseil Constitutionnel, et de la Justice, suppression inédite et durable en tant de paix des libertés publiques et constitutionnelles, abandon du pilotage stratégique de la France sur les dossiers les plus essentiels et conflits d’intérêts aggravés avec des cabinets conseil privés étrangers comme McKinsey, ou alliances stratégiques de nature corruptive avec des fonds d’investissement comme BlackRock (sur les retraites), hypothèque placée sur les générations futures et l’épargne des Français avec une augmentation de la dette publique de 600 milliards et 20 points de PIB en seulement deux ans de crise Covid, une situation dramatique qui justifiera bientôt juridiquement l’expropriation immédiate de tous lors du crash financier mondial pronostiqué par les économistes…

Il faudrait y ajouter les accusations de crimes contre l’humanité et de haute trahison, pour lesquels Emmanuel Macron, ses gouvernements, ministres successifs et son conseil scientifique formés de pseudos experts corrompus, sont aujourd’hui poursuivis par des milliers de plaintes auprès de la Haute Cour de la République, de la Cour de Justice Européenne, de la Cour Européenne des Droits de l’Homme et de la Cour Pénale Internationale. Crimes qui l’exposent en principe à titre personnel aux plus lourdes sanctions pénales, s’il n’était protégé pour 5 ans encore par son immunité présidentielle, avant qu’il ne rejoigne la direction d’un « machin » mondialiste, ou quelque paradis fiscal pour une retraite dorée préparée par ses amis. Crimes dont il n’aura jamais à rendre compte devant les juges puisque toutes ces juridictions sont largement corrompues par les mêmes qui l’ont hissé au pouvoir.

Mais bien que cette accumulation de forfaitures, de parjures, de trahisons, de mensonges et de crimes commis froidement donne à glacer le sang, aucune mention n’en a été faite durant toute cette campagne émasculée et de pure principe. Ni Alsthom, ni la SNCF, EDF, Aéroport de Paris, ni la réforme des retraites pilotée au sein même du conseil des ministres par les agents de son ami Larry Fink (CEO de BlackRock), ni la crise des Gilets jaunes, avec ses morts, ses bras arrachés, ses yeux éborgnés, ses grands-mères, infirmières, avocats et pompiers massacrés à 20 contre un au sol par la nouvelle milice, ni les faux Black Blocs infiltrés dans les manifs pour décrédibiliser les manifestations… Ni l’interdiction faite aux médecins de soigner, ni les milliers de morts sacrifiés pour du chiffre, ni les 3.000 vieux euthanasiés dans les EHPAD ou à leur domicile grâce aux décrets Véran invitant le corps médical à les expédier ad patrem à coup de Rivotril, ni les masques inutiles et les traumatismes infligés à toute une génération d’enfants dans les écoles contre l’avis de leurs parents déchus de leurs droits, avec des conséquences dramatiques sur leur santé et leur psychisme, ni les milliers de jeunes enfants, d’adolescents ou d’étudiants qui se sont suicidés durant les confinements, ni le million de chômeurs supplémentaires mis sur la paille en 2020, ni les salariés et fonctionnaires qui ont perdu leur emploi sans indemnité parce qu’ils ont refusé d’être transformés en cobayes et de mettre leur vie en danger, ni les milliers de PME, d’artisans, d’autoentrepreneurs, d’indépendants condamnés à disparaître pour satisfaire les objectifs de concentration sectorielle du Great Reset, ni le pass vaccinal qui n’a rien de « sanitaire » car sans aucune efficacité prophylactique, une mesure aussi discriminatoire que totalitaire, prémisse à l’instauration d’une société du contrôle numérique absolu, ni les enfants et bientôt les nourrissons condamnés à recevoir leurs doses régulières, sachant que les plus jeunes payent le plus lourd tribu en terme de décès à ces campagnes génocidaires financées par la fondation criminelle de l’eugéniste revendiqué Bill Gates…  

Sans même évoquer ces réalités aussi sordides qu’incroyables, à tel point que beaucoup d’imbéciles moutonisés par BFM-France 2 les considèrent encore deux ans après en bêlant comme des « théories complotistes », la France des cons, qui croit avoir échappé à la Peste brune après avoir survécu à « la plus grande épidémie qu’ait connue le monde depuis un siècle » (sic, sans sourciller et 3 reprises lors du Grand débat, alors que les chiffres réels l’assimilent à une banale grippe saisonnière avec quelques rares formes graves…), est aujourd’hui la proie consentante des deux seuls vrais fascismes qui auront définitivement raison de la France d’ici quelques années. Le fascisme maastrichtien et mondialiste, transhumaniste et eugéniste, déployé par le Forum Economique Mondial et autres sectes dont Macron est le disciple le plus zélé. Et le spectre vert-noir de l’extrême droite islamiste, qui compte en France deux fidèles alliés comme on l’a vérifié durant cette campagne avec l’instrumentalisation du votre musulman par LFI et Macron : l’islamogauchisme, incarné par le grand mufti Mélenchon, allié objectif et totalement assumé des Frères musulmans de l’ex UOIF et du CCIF, et ses affidés, avatars et rivaux de l’extrême gauche (alliée depuis les années 1980 de l’islamisme djihadiste et révolutionnaire comme substitut au Grand soir anticapitaliste), plus les égarés à l’éthique malléable : Verts, PC, PS et autres reliefs de feu la gauche.

Le deuxième allié objectif (et le premier historiquement), plus discret, plus hypocrite, plus machiavélique, est bien entendu la vieille oligarchie anglo-américaine néoconservatrice ou progressiste. Ce « Grand Satan » capitaliste, dont les stratèges et services secrets ont abondamment nourri, financé, formé, armé et équipé les cadres du terrorisme islamiste sunnite, des moudjahidines en Afghanistan (et même avant pour contingenter l’expansionnisme soviétique) à Daesh en Syrie, en passant par Al Qaeda. Et ce à des fins stratégiques diverses, directement ou indirectement par Saoudiens interposés.

Après Sarkozy l’Américain, quasi agent de la CIA et du lobby pétrolier texan, Macron est évidemment l’héritier de cette alliance contre-nature, du moins pour la frange dite « progressiste » de l’Etat profond contrôlée par la haute finance. Et le fer de lance en Europe, délégué par son grand-maître Klaus Schwab, du changement de paradigme baptisé Great Reset. Un changement radical de système et de société l’échelle mondiale, dont la stratégie passe par l’abandon définitif des souverainetés nationales et l’arrimage définitif des pays comme la France à la plus grande arme de destruction massive américaine vis-à-vis des Etats-nations européens : L’Union Européenne et la Banque Centrale Européenne. Lesquelles marqueront d’ici quelques mois une étape décisive dans la normalisation et la vassalisation complète des Etats comme des individus de notre continent, avec l’introduction de l’identité numérique européenne pour tous, et le lancement de l’euro numérique par la BCE. C’est à dire la dématérialisation progressive et totale des monnaies et des flux financiers. Un pas de géant vers la future monnaie unique numérique programmée pour d’ici quelques années (un concept de l’élite bancaire qui remonte au 18e siècle) , et qui sera la clé de voûte d’un nouveau système de contrôle absolu des économies, des Etats appelés à laisser la place à des régions administratives contrôlées par un gouvernement mondial, et des individus totalement sous contrôle des AI, grâce aux nouveaux outils informatiques, robotiques, télématiques, des nanotechnologies et neurosciences à visée transhumaniste. Dont les nouveaux « vaccins » sont un maillon fort.

Macron n’est donc pas seulement un faux Président, un criminel notoire comparable aux pires criminels de l’Histoire, il a aussi sciemment accepté de vendre son pays, son peuple, sa souveraineté, son indépendance, ses libertés, sa culture, ses richesses sur l’autel du Nouvel Ordre Mondial. Cette dimension sacrificielle est d’ailleurs très prisée dans les hautes sphères, avec une dimension symbolique et spirituelle qui en surprendraient plus d’un. Il suffit de voir l’accoutrement favori de Klaus Schwab, plus proche d’un gourou de l’Ordre du Temple solaire que d’un ingénieur ou d’un chef d’Etat, pour comprendre que cet homme de nationalité suisse, fils d’un industriel nazi, n’est pas que le maître des maîtres du monde, avec son armée de Global Leaders, ces petits scouts aux ordres dont Macron, Justin Trudeau, Boris Johnson, Christine Lagarde, Tadros Gebreyesus (Président de l’OMS), mais aussi Valérie Pécresse ou Xavier Bertrand sont les fantassins zélés, hommes de paille aux commandes d’Etats ou d’organisations mondiales pour le compte de la Secte. C’est aussi un mentor et un gourou qui maintient ses troupes en ordre avec une emprise de type sectaire.

Klaus Schwab, fondateur du Forum de Davos et Président du Forum Economique Mondial

Si la loi et la Justice passaient, et si nous étions aux Etats-Unis, Macron aurait déjà fini sur la chaise électrique. Ce pays a déjà assassiné des Présidents en exercice pour moins que ça. Mais seuls les bons finissent ainsi tragiquement ; les salauds, eux, s’en sortent toujours. Ainsi va le monde… A moins qu’une majorité de consciences éveillées n’en décident autrement. Et choisissent de ne plus rentrer dans ce jeu de dupes.

Car aussi étonnant que cela puisse paraître, et ce sera tout l’enjeu du nouveau quinquennat qui s’ouvre, aussi fictif soit-il car il y a bien longtemps que nous nous sommes plus en démocratie sinon selon les apparences, défaire cette mécanique implacable qui nous mène tout droit vers la pire dystopie que le monde et l’humanité aient jamais connue n’est pas chose impossible. Il suffit de dire NON.

Ceux qui se croient les maîtres du monde et sont résolus à nous asservir totalement, à nous transformer au mieux en vaches à lait pour nous vendre leurs merdes et nous faire crever à petit feux, au pire en esclaves, en marchandises, en pièces détachées pour rafistoler les immortels, en inutiles, en mauvaise graisse ou en déchets à éliminer, ne nous tiennent que par la PEUR. Ils vivent eux-mêmes dans la peur la plus psychopathique de perdre ce qu’ils croient avoir : argent, pouvoir. Et ce pouvoir n’existe que parce que nous consentons à leur obéir.

La Boétie, un jeune-homme de 16 ans né il y a presque 500 ans, avait déjà parfaitement exposé ces mécanismes qui unissent les maîtres à leurs esclaves ou à leurs serfs, maintenus dans une servitude volontaire[ii].

Il suffit de dire non. Mais nous préférons souvent bien plus les avantages et le confort de l’abdication, de l’obéissance, de l’insouciance, de la passivité, du suivisme, du conformisme que nous donne gratis cette société individualiste, matérialiste et hédoniste, où il n’est même plus besoin de penser puisque toutes les causes sont déjà livrées sur catalogue. Il suffit de cliquer pour celle qui nous convient le mieux parmi un éventail merchandisé par d’autres. Et de faire semblant de s’acheter une bonne conscience. Ou d’aller voter comme BFM, BHL ou le dernier candidat à l’Eurovision nous dit de voter. En traitant d’horribles « fascistes », de « racistes », de « complotistes », de « mauvais citoyens », de « criminels » tous ceux qui ne marchent pas droit, qui refusent de se faire tatouer comme du bétail, qui osent réfléchir et contredire ce que nous disent les sachants, les puissants, la télé-poubelle, ou telle starlette du show biz qui récite comme une dinde son catéchisme woke.

Alors allons enfants !Aux armes intellectuelles, citoyens ! Aux armes spirituelles ! Plutôt qu’aux armes tout court. Car en cas de troisième tour dans la rue à la rentrée ou d’insurrection pourtant légitime (puisque l’insurrection quand elle est justifiée, loin d’être un crime, est un devoir et un principe oublié fondateur de notre démocratie : le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs[iii]), l’issue serait catastrophique et justifierait une répression plus musclée qui hâterait le basculement vers le but attendu : une dictature planétaire implacable.

Alors de grâce, boycottez les monologues interminables du grand manipulateur pervers narcissique Macron. Eteignez votre télé. Méditer. Réfléchissez. Aérez-vous les méninges. Et allez à la rencontre de vos concitoyens. De visu plutôt que sur le Metaverse des transhumanistes qui vous isolent avec leur monde en toc et en paillettes.

Et branchez-vous sur les bonnes fréquences du seul monde qui vaille, le monde qui vient, le vrai, le seul, notre avenir à tous, ce futé lumineux[iv] déjà là qui nous aspire à lui. Et qui est l’antipode du vieux monde d’aliénations, de souffrances et de mensonges des césars du Néant.


[i] Jour de démence que ce jour-là !

[ii] Etienne de La Boétie : Discours de la servitude volontaire, 1574

[iii] Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs. (Art. 38 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen et de la Constitution de 1793)

[iv] Cf. Philippe Guillemant : Le grand virage de l’humanité. Trédaniel, 2021

Nous tous : le parjure récidiviste

Je viens de prendre conscience de ce qui représente sans doute le plus grand crime d’Emmanuel Macron depuis qu’il est au pouvoir : son slogan de campagne.

Nous tous : voilà qui résonne comme une trahison absolue des fausses valeurs consensuelles du candidat. Et qui révèle en filigrane la face cachée de son projet machiavélique.

Nous tous qui a vite remplacé le slogan initial du Président-candidat toujours présent sur le site de LREM Avec vous, suite aux multiples détournements du type : Avec votre argent

Nous tous, slogan burlesque pour un chef de parti bidon créé par McKinsey, qui compte moins de 20.000 membres et n’a jamais pris comme vrai parti, car machine taillée pour soutenir un seul homme, sans aucune autre personnalité ni dynamique politique propre.

Quand Hollande balançait sans rire en 2012 : « Mon ennemi, c’est la finance ! », Macron pourrait avouer sans surprendre personne en 2022 : « Mon parti, c’est la finance ! » Car c’est bien la haute finance qui est derrière LREM et son banquier-Président.

Nous tous donc, et non plus « toutes et tous », selon sa formule fétiche, mimée et rabâchée à l’envi comme un mantra inclusif, égalitariste et politiquement correct.

Un mantra qui traduit moins la sincérité d’un ralliement de pure façade à la cause féministe et aux canons idéologiques égalitaires, une formule-gadget passablement ridicule qui n’est pas non plus qu’un pied de nez affecté à la syntaxe, un tic générationnel caractéristique de cette génération momo, ces mobiles moraux angoissés par la crise, ultra conformistes, formatés par le wokisme, que le symptôme indélébile d’une ambiguïté morale et psychologique, une posture indifférenciée et androgyne pour avancer masqué, comme un charmeur fluide et équivoque, qui surfe sur le et en même temps.

Jeune-homme marié à une cougar élégante et discrète, pastichant sur les covers people le sketch du parfait petit couple hétéro…, et en même temps fin débauché amateur de chairs masculines, jeunes, musclées et métissées, rehaussées de cocaïne et de scénars pervers, aux dires des participants aux parties fines du roitelet maudit qui ont balancé.

Ces scandales graveleux mis à part, Macron représente selon les psys spécialistes des pathologies du pouvoir le profil type du pervers polymorphe narcissique et manipulateur, tourné uniquement vers lui-même, et draguant tous azimuts sans tolérer aucune opposition, controverse ou blessure narcissique. Un profil de petit tyran séducteur déguisé en éternel premier de la classe dans le regard de sa maîtresse, ni homme ni femme, ni homo ni hétéro, ni bi ni trans, mais un peu tout ça à la fois.

Une vraie pute, à en croire ses anciens collègues de Rothschild et son mentor Attali, qui décrivaient en des termes moins cash un expert dans l’art de séduire, de raconter des histoires et d’embobiner tout le monde, totalement dépourvu d’éthique personnelle ou républicaine. La proie idéale pour le formatage MK Ultra des futurs exécuteurs de basses besognes de l’oligarchie.

Son « programme » ni de droite ni de gauche car « je m’en fous », élaboré par McKinsey comme un packaging marketé à partir d’enquêtes clients, est lui aussi un patchwork hétéroclite et homologué, un jeu de miroirs narcissique, comme en 2017, ou les plus naïfs peuvent toujours se projeter : Nous tous. Sur le mode Je dis ça, je dis rien. Un slogan attrape-tout, attrape-cons, en creux, sans perspective ni profondeur.

Et bien sûr l’apothéose du mensonge absolu, puisque le quinquennat du jeune prodige aura été placé comme aucun Président avant lui sous le signe de la Division : ultrariches contre classes moyennes et nouveaux pauvres ; communautaristes choyés par le régime contre identitaires d’extrême droite conspués ; « ceux qui réussissent » contre « ceux qui ne sont rien », ou « les dieux » contre « les inutiles » pour reprendre l’expression de son ami Laurent Alexandre ; les Gilets jaunes et les Black Blocs contre l’élite éclairée gardienne de la démocratie ; ceux qui appliquent sans broncher les diktats du pouvoir contre les « complotistes », ces nouveaux hérétiques assimilés à une secte et promis au bûcher ; les bons citoyens contre les « antivax » ou les « non-vaccinés » déchus de leur citoyenneté et promis à un emmerdement maximum. Etc…

Nous tous ment deux fois. Nous pour dire Je. Jupiter auréolé du sacre de la Transcendance élitaire. Et tous pour dire les élus d’une oligarchie opaque.

Tout le monde connaît la définition de Lincoln, reprise par les pères de notre Constitution :

La démocratie est le gouvernement du peuple, par le peuple, et pour le peuple.

Le Projet Macron est la perversion absolue de ce principe. L’asservissement de tous par une élite, et le gouvernement apparent du peuple par des représentants choisis, corrompus et manipulés par une élite qui en a les moyens pour satisfaire ses objectifs exclusifs et ménager ses intérêts. Avec un habillage institutionnel et rhétorique de pure façade qui résume la démocratie à un théâtre d’illusions : cette fameuse Société du spectacle analysée par Guy Debord en 1967.

Nous tous pourris résumerait avec plus d’honnêteté et dans un langage populaire l’imposture éthique et politique de la Caste qui agite les ficelles de la marionnette Macron.

Même l’euphonie nous tous sonne comme du mou et du vent. Un doudou, une marotte pour les électeurs énucléés et lobotomisés par les médias qui flippent à l’idée du spectre de l’extrême droite.

Face au loup on se rabiboche, on se serre, on se blottit, on se réchauffe dans un nous-nous qui répond d’autant plus à un besoin individuel et collectif que celui qui scande cet appel au fusionnel indifférencié est précisément celui qui a le plus attisé les conflits mimétiques, instrumentalisé les forces centrifuges, trahi la République une et indivisible, divisé et malmené les Français, dissout l’Etat-nation et le peuple souverain dans le grand charivari mondialiste.

Qui peut encore en être dupe ?

Le manipulateur est un dealer, il vous livre ses doses, vous rend dépendant et s’enrichit en vous méprisant (J. Eldi).

Ceux qui ne seront pas à temps désintoxiqués et contribueront à faire réélire le grand manipulateur doivent s’attendre aux lendemains du 24 avril à être douloureusement dégrisés.