A bout de souffle !

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Pour la 2e fois en 2 ans, j’ai bien cru que j’allais crever comme un chien tout seul la nuit dans ma chambre. A cause de cette maudite toux si particulière que provoque le Covid !


Un premier épisode Covid en juillet 2021, déclaré pendant un voyage en Normandie pour rechercher des maisons. Un pis-aller (pis-à-lait…) aux douces Charentes où je ne trouvais que tchi. A cause de ces maudites sauterelles parisiennes qui ont fait flamber l’immobilier après avoir dévoré le reste de la France tranquille.

J’avais failli me faire jeter en pleine nuit de ma chambre par ce loueur Airbnb très désagréable sis dans un quartier pourri de Rennes, qui avait paniqué en m’entendant tousser comme un damné à travers la cloison.

J’avais pourtant pris soin avant de partir de consulter le remplaçant de mon médecin pour balayer ces symptômes inquiétants d’infection respiratoire. Lequel m’avait assuré mordicus mais sans faire aucun test que « Non Monsieur, vous n’avez pas le Covid !« 

Aussitôt rentré, mon médecin avait repris les choses en mains, et mis illico sous protocole Raoult, expédié au lit pour 10 jours avec 39° de fièvre, des suées dignes du Niagara, une fatigue à ramper aux chiottes… Et une toux !…

Ceux qui ont bidouillé cette arme bactériologique sophistiquée dans leurs éprouvettes à Wuhan, en y glissant discrétos un soupçon de sida et de malaria, n’ont pas fait les choses à moitié.

Et ce variant Delta, le pire de tous les avatars du rejeton d’un pangolin alien et d’une chauve-souris mongole, qui a tué plusieurs centaines de milliers de petits Indiens privés d’ivermectine par les Trois mousquetaires satanistes – Bill Gates, Tadros Ghebreyesus et Anthony Fauci (traînés depuis devant la Cour de Justice Internationale par le Barreau des avocats indiens pour crime contre l’humanité) – aura rempli ses bons offices en liquidant une partie des indésirables et autres réfractaires. Dont j’ai bien failli faire partie.

Car j’ai découvert à cette occasion ce qu’est l’amorce d’une détresse respiratoire.

L’amorce seulement. J’imagine combien ceux qui sont morts dans d’atroces souffrances physiques et psychologiques, notamment les malades qui avaient eu la bonne idée de se faire piquouzer (« parce que ça évite les formes graves blablabla »…) ont pu endurer !

Tous ces petits vieux refoulés des hôpitaux parce qu’improductifs pour l’économie, des charges pour la société qu’il fallait bien un jour se résoudre à éliminer, comme nous l’a maintes fois claironné depuis 40 ans ce cher Jacques Attali. Et puis ces cancéreux incurables, ces diabétiques, ces mongoliens, ces sidéens qui grèvent les comptes de la Sécu !

Au vu de mes nombreuses tares et étant assez proche de l’âge de la retraite, j’aurais tout aussi bien pu faire partie d’une charrette.

Car quand les quintes de toux s’enchaînent à un rythme accéléré au point de devenir incontrôlables, surtout en pleine nuit, on s’épuise très vite. On n’arrive plus à reprendre son souffle entre deux toux, le taux d’oxygène s’amenuise dans le sang, les muscles de la poitrine se tétanisent. Et puis surtout la dilation des petits vaisseaux pulmonaires due à l’inflammation provoquée par le virus, ajoutée à l’irritation provoquée par l’air expulsé de façon réflexe pendant des heures que dure la toux, font que votre corps devient subitement incapable de fixer l’oxygène vital qui fait défaut.

Ajouté à cela l’effet panique de ne plus arriver à respirer, et de se retrouver seul avec l’éventualité de faire un malaise, voire de mourir bêtement sans pouvoir appeler les secours… Je ne souhaite à personne de vivre cela.

Pour couronner le tout, 9 mois après cette première expérience in vivo du Terminator de la série Covid, je n’avais toujours pas complètement retrouvé ni goût ni odorat, totalement zappés les 3 premiers mois.

Cette fois-ci je ne m’étais pas préparé. Toute la complosphère dont je fais partie répétait à l’envi depuis cet été que ce nouveau variant saisonnier du Covid annoncé pour la rentrée était un petit joueur avec des symptômes anodins.

Affaibli depuis le début de l’automne, très affecté par les évènements du 7 octobre puis le décès de ma mère à la Toussaint, épuisé par les préparatifs de la cérémonie prévue le 8 décembre en son hommage à Paris, je me sentais tout patraque à l’approche du départ. J’avais pris soin de consulter mon médecin, qui m’avait assuré que je n’avais pas le Covid. Donc en voiture, Simone !

De retour à la maison 8 jours plus tard, me voici avec des pluies diluviennes, un toit en mode passoire, et l’eau qui pisse sur mon lit. Et un diagnostic imparable : 2 autotests positifs ! Re-médecin, ivermectine, azithromycine, artémisia, Vitamine C, Vitamine D, Zinc, Aspégic, collutoire, gouttes dans le nez, huiles essentielles… Toute la pharmacopée anti-Covid y passe !

Sauf que cette maudite toux, elle, ne passe pas. Et rebelote : 2 nuits avec un réveil subit, pris par une quinte irrépressible. Et 30 secondes plus tard, la panique : impossible d’arrêter de tousser. Et surtout impossible de respirer.

On tente de se calmer, on convoque tous les dieux de l’Olympe, on appelle sa mère… La crise finit par passer… Avant de reprendre une heure plus tard.

J’ignore pourquoi spécialistes, médecins et pharmaciens ne donnent pas la recette à suivre lorsque survient une telle crise de toux, suivie en général d’une bonne crise de panique. Ou un spray de Ventoline au cas où.

Quoi qu’il en soit, au cas où je ne l’aurais pas encore compris, au cas où je ne l’aurais pas assez côtoyée dans ma vie notamment ces 5 dernières années, je sais que je suis mortel. Je sais que la mort peut intervenir à tout moment. Et je sais que ça n’est pas vraiment une partie de plaisir.

Pourquoi le pass vaccinal de l’OMS inaugure le Nouvel ordre mondial sous la forme d’une dictature sanitaire mondiale

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Cela fait déjà plusieurs mois que je tente d’alerter quant au projet qui se dessine d’instaurer ce qu’il faut bien se résoudre à appeler une dictature sanitaire mondiale, dont l’OMS est l’un des artisans majeurs.

En cause ce « traité pandémique », aussi appelé « loi vaccinale », mis en place par l’OMS cette année, et qui entrera en vigueur en 2024.

Ces informations, pour anxiogènes qu’elles puissent paraître aux personnes peu informées, ne doivent pas vous démoraliser. Des solutions existent pour contourner les logiques du système. Les capacités de résilience, d’intelligence et surtout de créativité de l’être humain sont infinies. Un autre monde est en marche, il existe déjà, même si les médias tentent de l’occulter sous des divertissements et fascinations diverses. Ce qui est pointé ici, pour fascinatoire qu’il puisse paraître, n’est que le chant du cygne d’un monde corrompu, matérialiste, violent, ignorant de la vraie nature de la vie et de la conscience. Un monde à l’agonie. Une ultime tentative de psychopathes pour étendre leur pouvoir chimérique sur ce qui leur échappe.


Pourquoi l’OMS est un problème ?

Cette agence de santé publique mondiale, créée en 1948 parmi d’autres institutions de l’ONU (et qui dépend de son Conseil économique et social), était autrefois une institution plutôt respectable et respectée.

Pour autant que l’idéologie mondialiste dont elle est l’émanation ne soit pas synonyme de corruption institutionnelle, voire d’eugénisme de masse, à en croire ses historiens les plus éminents, comme Carroll Quigley[i]. Et comme en témoigne cet événement éloquent que fut la « grippe espagnole » de 1918 qui décima la moitié de l’Europe (50 à 100 millions de morts dans le monde). Une pandémie aujourd’hui reconnue comme la conséquence directe de la campagne de vaccination des GIs américains contre la méningite au lendemain de l’Armistice, sous l’égide de la Fondation Rockefeller et du Comité d’hygiène de la Société des Nations, ancêtre de l’OMS.

Elle est en tout cas l’une des concrétisations contemporaines à l’échelle mondiale de ce biopouvoir dénoncé par Michel Foucault.

A l’origine, l’OMS était financée par les subventions versées par ses Etats membres. Au fil du temps, et surtout au cours de la décennie écoulée, l’OMS est devenue un véritable outil institutionnel au service de l’industrie pharmaceutique, qui la contrôle par le biais de fondations privées.

Déjà en 2018, les deux grandes fondations privées Bill & Melinda Gates et GAVI Alliance, qui comptent parmi les plus gros mécènes de Big Pharma, représentaient à elles deux 40% des dons versés par les 4 principaux contributeurs. Les deux principaux Etats donateurs étant les USA et le Royaume-Uni.

Cette dérive, ajoutée à un manque de transparence souvent dénoncé quant au financement de son budget, a conduit Donald Trump en 2020 à suspendre les versements des Etats-Unis à l’OMS. Au point que la part des dons des Etats membres dans le budget de l’OMS s’était réduite à 16% en 2020, conduisant son directeur général Tadros Ghebreyesus à déclarer vouloir la ramener à 50% d’ici 2028. Un vœu pieux pour tenter de rétablir la crédibilité de son institution en pleine crise du Covid.

Ce contrôle quasi-total de l’OMS par Big Pharma n’est pas anodin. Il intervient dans un contexte de recapitalisation sans précédent des principaux leaders du secteur pharmaceutique au cours de la décennie 2010, avec des prises de participation massives de fonds d’investissement américains géants comme BlackRock ou Vanguard. Et il s’accompagne d’une intensification sans précédent des pratiques corruptives de Big Pharma vis-à-vis de toutes les institutions de santé publique, dénoncée notamment par Michael Yeadon, l’ex-DG de Pfizer : Etats, ministères, agences de santé publique, agences du médicament, conseils scientifiques, académies et facultés de médecine ou de pharmacie, médias scientifiques…

Des pratiques qui remontent à l’origine du secteur pharmaceutique sous sa forme industrielle, et qui font même partie de son business model. Un secteur faut-il le rappeler créé de toutes pièces dans les années 1920 par la famille Rockefeller, alors principal actionnaire de l’industrie du pétrole, comme débouché à l’industrie pétrochimique. Avec une volonté délibérée de ruiner, d’interdire la pratique et l’enseignement de toutes les médecines autres que la seule médecine allopathique issue de la pétrochimie : avec des molécules brevetables et renouvelables, faciles à produire, très toxiques et peu efficaces, mais hyper rentables.

C’est ce business model aux antipodes de l’éthique scientifique, médicale et pharmaceutique qui dicte depuis un siècle les grandes orientations stratégiques et les choix thérapeutiques, y compris aux Etats, sans considération autre qu’accessoire pour les impératifs humains, sociaux, scientifiques, prophylactiques, épidémiologiques. Malgré une volonté affichée de servir le bien commun, de lutter pour le progrès médical et social, de faire reculer la maladie, d’améliorer l’hygiène, l’accès aux soins et le confort de vie partout dans le monde.

Comment la « crise du Covid » a aggravé les choses

La crise du Covid, comme le virus SARS-Cov-2 responsable du Covid-19, ne sont pas arrivés par hasard. Ils font suite à une longue série d’épidémies instrumentalisées sinon provoquées par une conjonction d’intérêts politiques, stratégiques, économiques, industriels et financiers autour de l’industrie pharmaceutique, et de l’industrie des vaccins en particulier.

Parmi elles, on pourrait citer la grippe H1N1 de 2009-2010, qui fait figure a posteriori de répétition en miniature du vaste scénario de la plandémie de Covid. Même type d’agent viral, même mode de transmission prétendument zoonose, mêmes modes opératoires, même quasi absence de dangerosité et de létalité, même utilisation des médias pour créer une psychose orchestrée autour d’un fantasme pandémique, mêmes pratiques archi corruptives et même chantage sur les scientifiques et gouvernements occidentaux pour faire acheter en hâte des traitements (Tamiflu) et des vaccins, tous inefficaces, toxiques, mais très rentables. Et mêmes jackpots records pour les leaders du marché : Gilead en 2010, Pfizer-Moderna en 2021-22.

Les leçons du passé aidant, cette plandémie de Covid a toutefois été soigneusement préparée. Pour preuve notamment la simulation Event 201 réalisée en octobre 2019, soit un mois avant le déclenchement officiel de l’épidémie de Covid-19 à Wuhan, sous l’égide de multiples fondations, parmi lesquelles Bill & Melinda Gates, Rockefeller, John Hopkins, GAVI, UPS, Vodafone… Avec un souci du détail tel qu’il a fait dire aux épidémiologistes qu’il était impossible que cette épidémie n’ait pas été planifiée, car la nature effectue des sauts et ignore de telles prévisions.

Cette plandémie a toutefois été un événement unique dans l’Histoire de l’humanité. Par sa forme, par le choc qu’elle a constitué, par les réactions qu’elle a suscitées, par les décisions prises à l’échelle mondiale et les contraintes qui ont pesé sur les populations. Et surtout par l’impact qu’elle a généré et les changements qu’elle a justifiés, irréversibles pour certains. Certainement pas par son intensité du point de vue épidémique, qui l’assimile plutôt à une banale grippe saisonnière, statistiquement moins létale que la grippe de 2018[ii].

Le rôle joué par l’OMS durant cette crise unique est essentiel. En amont de la crise, celle-ci a arbitrairement révisé certains principes et notions-clé de l’épidémiologie traditionnelle. Comme la définition d’une « pandémie », redéfinie par l’OMS le 11 mars 2020 comme « la propagation mondiale d’une nouvelle maladie », et non plus comme une épidémie se déployant sur un vaste territoire en causant un grand nombre de victimes. Comme la peste noire, le choléra, le sida ou Ebola.

Puisque le nombre de morts déclarés du Covid restait insuffisant pour entretenir la psychose, et ce malgré des chiffres manipulés (parfois à l’aide de primes versées par les gouvernements aux médecins, comme en France, pour les inciter à multiplier les fausses déclarations), l’OMS a engagé les gouvernements à « tester, tester, tester ! » Une façon de créer artificiellement des « cas Covid » : une notion nouvelle qui ne repose sur aucune réalité médicale ni épidémiologique, comme l’a maintes fois dénoncé Kary Mullis, l’inventeur des tests PCR, outré par l’utilisation frauduleuse de ces tests pour fabriquer des « cas » à la chaîne. Des tests qui reposent sur une évaluation probabiliste, et qui réalisés en France avec plus de 45 cycles d’amplification (contre 25 en Allemagne) sont faux à 98% quand ils sont déclarés « positifs » !

L’OMS s’est donc appliquée à mentir et travestir la réalité pour imposer l’illusion d’une pandémie incontrôlable, d’un scénario apocalyptique justifiant que les décideurs politiques adoptassent des mesures exceptionnelles, missent en sommeil la vie sociale, économique et démocratique, imposassent le shunt des processus décisionnels, octroyant les pleins pouvoirs à l’exécutif comme en tant de guerre (sur le modèle de la dictature romaine).

Réfutant toute forme de débat ou de consensus scientifique, bafouant toutes les règles déontologiques de la recherche, de la médecine, de la pharmacovigilance, mettant à l’index tous ses détracteurs, pourchassant les réfractaires à l’ordre imposé, l’OMS a imposé une doxa sanitaire unique dans le seul but de servir les intérêts des labos qui la financent. Tentant d’imposer par l’intimidation et le rapport de forces la même politique à tous les Etats du monde. Une façon autoritaire de faire basculer une large partie du monde dans une forme inédite de contrôle et de répression technosanitaires. En utilisant les citoyens comme des cobayes.

Non sans avoir multiplié les rétractations et revirements incessants au cours de l’épidémie : masques ou pas masques, confinements ou pas confinements… Des hésitations calculées qui relèvent de l’ingénierie sociale (injonctions paradoxales) pour accentuer l’effet de sidération panique.

Mais elle n’est jamais parvenue jusqu’à présent au succès escompté. Beaucoup de pays d’Afrique, d’Asie, d’Amérique du Sud ou même d’Europe du Nord n’ont pas suivi ses recommandations. Pour leur plus grand bien.

Tests, interdictions criminelles de sauver des malades en leur administrant les seuls traitements avérés efficaces par des centaines d’études indépendantes[iii] (ivermectine, hydroxychloroquine, azithromycine, artemisia, vitamine C…), distanciation sociale, gestes barrière, confinements, masques, « vaccins », pass sanitaire… Toutes ces mesures aussi inutiles, inefficaces, contre-productives, et surtout extrêmement liberticides, ont été préconisées par l’OMS. Et mises en place en même temps dans 65 Etats par McKinsey. Avec certains pays particulièrement zélés comme le Vatican (premier pays au monde à avoir imposé la vaccination obligatoire à la suite de quatre dictatures islamistes !), l’Australie et la Nouvelle Zélande (authentiques dictatures sanitaires), le Canada, l’Italie ou la France. Et d’autres beaucoup plus retors, comme le Brésil, la Suède, la Norvège, la Hongrie ou la Russie.

L’OMS est devenue aujourd’hui un outil coercitif au service du Nouvel ordre mondial plus qu’une agence de santé publique au service de l’humanité. Une agence qui impose selon une justification sanitaire de pure façade pour répondre à des pandémies planifiées majoritairement fictives des mesures de restriction des libertés essentielles, la mise en place de systèmes de contrôle numérique des populations, la limitation et le contrôle des déplacements, la subordination les droits élémentaires à une conformité normative à des critères arbitraires dans toutes les anciennes « démocraties ».

Le pass sanitaire européen, imposé par la Commission européenne aux Etats membres en 2021, en dépit de l’avis négatif des scientifiques, des épidémiologistes et de bon nombre de politiques non corrompus, ressemble donc, malgré la convergence des études qui prouvent son inefficacité, à une répétition à l’échelle d’un continent. Afin d’évaluer son efficacité, la compliance et les résistances à une mesure sans justification sanitaire, et qui s’avère n’être qu’un outil d’asservissement à un nouvel ordre fondé sur le contrôle numérique, imposé par le chantage, la contrainte et la peur.   

Un arsenal de mesures qui n’auraient jamais été acceptées sans cette stratégie du choc parfaitement décrite par Naomi Klein[iv]. Et abondamment reprise par Klaus Schwab, Président du Forum économique mondial (nommé à ce poste en 1972 par Henry Kissinger, fondateur du groupe Bilberger). Lequel qualifie la pandémie de Covid-19 de « fenêtre d’opportunité » (ouverte par qui ?…) pour engager son fameux Great Reset[v].


L’OMS, prélude à la dictature mondiale

Avec son nouveau traité pandémique, déjà dénoncé par plusieurs Etats, l’OMS s’apprête à franchir une étape-clé dans l’instauration d’une gouvernance mondiale déjà bien installée, et qui prend les traits d’une dictature sanitaire mondiale.

L’OMS, dont aucun membre rappelons-le n’est élu ou nommé par des représentants d’un collège mondial de citoyens, mais qui prétend néanmoins dicter la politique de santé publique applicable pour toute l’humanité, agit donc comme le ferait un ministère de la Santé d’un gouvernement mondial autoritaire.

Désormais les priorités sanitaires, stratégiques, écologiques et militaires se confondent selon un même impératif d’urgence, justifiant les mesures les plus exceptionnelles appelées à devenir progressivement définitives. Cet impératif prime sur tous les principes démocratiques, au point qu’on peut objectivement parler d’une dictature sanitaire qui s’institutionnalise au plan mondial, et dont l‘OMS est le maître d’œuvre, entre les mains de fondations ou d’organisations privées mondialistes, comme le Forum économique mondial ou le groupe de Bilberger, et de leurs relais comme l’Union européenne. Avec en arrière-plan le pouvoir financier et les grandes dynasties bancaires, acteurs indirects et discrets des grands bouleversements mondiaux depuis deux siècles et plus.

Si ce traité pandémique entre en vigueur comme cela est prévu en 2024, l’OMS pourra décider unilatéralement de la politique sanitaire qui s’appliquera sans dérogation possible à tous les Etats membres. Or quand on sait que la disparition progressive des Etats au bénéfice de « régions administratives » du Nouvel ordre mondial est déjà bien actée (elle est déjà largement effective dans de nombreux domaines décisionnels dans des zones relais comme l’Union européenne), la résistance de quelques Etats croupions au Nouvel ordre sanitaire a peu de chance de construire un rapport de forces qui leur soit favorable.

Dès 2024, l’OMS pourra donc ainsi imposer pléthore de nouveaux vaccins obligatoires auxquels chaque individu devra se soumettre. Bill Gates a d’ailleurs annoncé cette année (et l’OMS a repris cette information le mois dernier) que la prochaine pandémie serait beaucoup plus terrible que le Covid… Mais que les vaccins seraient près !

Aucun moyen cette fois de se soustraire à l’obligation vaccinale, qui sera imposée au niveau mondial. Cette obligation sera assortie de la délivrance d’un passeport vaccinal mondial, déjà en filigrane avant 2020, mais annoncé avec une insistance croissante ces derniers mois. Un passeport numérique qui pourra ouvrir ou fermer des droits, selon la conformité au profil vaccinal exigé, pour tel ou tel acte de la vie quotidienne : se rendre dans des lieux publics, prendre les transports, se rendre dans une autre région, travailler, étudier, voyager, vendre, acheter, bénéficier de tel service, être soigné, voter… 

Les choses vont devenir encore plus contraignantes à mesure que s’achèvera la mise en place des outils du contrôle numérique absolu actuellement déployés : identité et wallet numériques (de l’Union européenne), carnet citoyen (version européenne du crédit social chinois), euro numérique, avant la convergence à l’horizon 2030 de toutes les monnaies numériques en une seule et unique monnaie numérique mondiale gérée par une banque centrale unique.

La convergence parfaite entre biopouvoir, argopouvoir (pouvoir de l’argent) et digitopouvoir (pouvoir numérique et des IA).

Cette convergence avance à très grands pas. Certains l’observent et la dénoncent, la plupart des médias subventionnés l’ignorent, préférant nous distraire avec le réchauffement climatique, la guerre en Ukraine, l’insécurité et la litanie sans fin des faits divers.

Voir notamment quelques articles récents :

·         Pétition de Réinfo Santé Suisse Stop the treaty! (avec extraits du Sommet international du Covid qui s’est tenu le 12 mai 2022)

·         L’OMS tire un trait sur le Covid mais table sur une nouvelle pandémie (Le Courrier des Stratèges, 23 mai 2023)
Système de santé : contrôle total par la technostructure ? (Le Courrier des Stratèges, 19 mai 2023)

·         Jean-Dominique Michel (anthropologue de la santé) : OMS et Nouvel ordre mondial (Anthropo-Logiques, 20 février 2023

·         Francis Boyle (professeur de droit) : Le Traité sur les pandémies de l’OMS instaurera un État mondial, policier, médical et scientifique (France Soir, 23 février 2023)

 


[i] Cf. Carroll Quigley : Histoire secrète de l’oligarchie anglo-américaine (1980, 2020 pour l’édition française)
Professeur d’Histoire à Georgetown et Princetown, conseiller de Bill Clinton, de l’US Army et de la NASA.

[ii] Sans tenir compte du fait que selon les statisticiens les chiffres de mortalité ont été artificiellement gonflés dans un rapport de 1 à 10 voire 1 à 100.
Dès juin 2020, le CDC (Center for Disease Control), l’agence américaine de contrôle des épidémies, a ainsi publié un rectificatif sur son site officiel indiquant que sur 200.000 décès attribués au Covid alors répertoriés aux USA, seuls 8% à peine étaient réellement dus au Covid.
D’après une analyse des chiffres officiels réalisée par le statisticien Pierre Chaillot (Covid-19, ce que révèlent les chiffres officiels, avril 2023), ce chiffre serait même inférieur à 1%. Si l’on est rigoureux et honnête, presque personne ne serait directement mort « DU » Covid entre 2019 et aujourd’hui !

[iii] Tadros Ghebreyesus, directeur général de l’OMS, Bill Gates et Anthony Fauci, font l’objet d’une plainte du Barreau des avocats indiens auprès de la Cour pénale internationale pour crime contre l’humanité, pour avoir fait interdire la prescription d’ivermectine qui avait permis de sauver des millions d’Indiens après l’apparition du terrible variant Delta apparu début 2021.

[iv] Naomi Klein : La stratégie du choc – Le capitalisme du désastre (2007)

[v] Klaus Schwab : Covid-19, The Great Reset (2020)

Journée mondiale d’hommage aux victimes des « vaccins » : les dessous d’une hécatombe

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Le 13 mai prochain aura lieu dans plusieurs villes françaises, européennes et du reste du monde, une journée pour dénoncer les effets indésirables des « vaccins » anti-Covid.

Pour dénoncer aussi l’omerta criminelle sur les effets néfastes de ces injections. Notamment dans des pays comme la France où dirigeants politiques et autorités de santé refusent toujours d’admettre leur réalité et leur ampleur, deux ans et demi après le début des campagnes publiques de vaccination de masse.

Des effets niés ou minimisés pour continuer à écouler les doses, bien qu’ils aient causé des millions de décès dans le monde. Du moins partout où ces « vaccins » ont été imposés à des populations désorientées comme le seul remède prétendument efficace contre le Covid. Sans aucun bénéfice objectif pour les protéger des contaminations, des effets de la maladie, y compris les formes les plus graves, empêcher les personnes injectées d’être hospitalisées ou de mourir du Covid.

Plusieurs associations de médecins, des spécialistes, des juristes, des avocats représentant les victimes ou leurs familles, mènent depuis 2021 un combat acharné pour faire valoir ces préjudices, obliger les médecins tétanisés à déclarer ces effets indésirables directement liés aux « vaccins », obliger les responsables corrompus à reconnaître leurs erreurs à vouloir piquer toute la population, faire enfin éclater toute la vérité, et obliger les laboratoires criminels à verser des indemnisations.

Eux qui connaissaient parfaitement les effets désastreux de ces « vaccins », ont menti sur leur efficacité et leur innocuité, et ont continué sciemment à vendre des milliards de doses pour engranger des centaines de milliards de dollars de bénéfices.

Ces effets indésirables sont aujourd’hui parfaitement connus et répertoriés. Ils sont recensés depuis décembre 2020 par les agences de pharmacovigilance, notamment en Europe. 2 millions d’effets indésirables et 20.000 de décès directement liés aux « vaccins » avaient déjà été recensés en juin 2021 par les agences de pharmacovigilance européennes. Soit moins de 6 mois après le début des campagnes de vaccination. On a explosé toutes les statistiques de pharmacovigilance depuis.

Des campagnes lancées tambour battant en Europe en janvier 2021, sous l’égide de la Commission européenne et de son omniprésente Présidente Ursula van der Leyen. Laquelle est aujourd’hui poursuivie pour corruption et dissimulation de preuves (les fameux SMS échangés avec Bourla) par un tribunal belge, pour avoir acheté des milliards de doses au Président de Pfizer (Young global leader comme elle), sans commission scientifique préalable pour statuer sur l’opportunité d’acheter en nombre ces doses, et sans l’accord des autres membres de la Commission sur ce calendrier précipité.

Ces effets indésirables – certains relativement bénins comme des violents maux de tête après l’injection, d’autres fatals comme des thromboses et AVC – sont aujourd’hui reconnus officiellement dans bon nombre d’Etats.
 
Aux États-Unis, le CDC (Center for Disease Control) qui gère la surveillance des maladies au niveau fédéral, et la FDA (Food & Drug Administration) qui délivre aux laboratoires pharmaceutiques les autorisations de délivrance de médicaments, les ont officiellement reconnus depuis plus d’un an.

Le gouverneur de Floride Ron DeSantis a même voulu faire interdire en janvier 2022 le pass sanitaire, l’obligation du port du masque et la vaccination. L’Etat de l’Iowa examine un projet de loi visant à pénaliser tous ceux qui feraient la promotion de ces prétendus « vaccins ».

Leurs effets néfastes et parfois mortels font l’objet d’indemnisations financières versées aux victimes par certains gouvernements.

A Singapour, l’Etat indemnise depuis 2021 avec un fonds spécial les familles des personnes décédées suite aux « vaccins ».

En Allemagne, des citoyens demandent aujourd’hui à l’Etat de faire de même.

Idem en Australie, l’un des pays qui avait pourtant décrété des mesures sanitaires parmi plus dictatoriales pour un pays occidental (comparables à la Chine), avec la Nouvelle-Zélande de l’ex-Première ministre Jacinda Aspern, Young global leader du Forum de Davos, comme Macron, Biden, Trudeau, Scholz, Sunak, Sanchez et bien d’autres dirigeants occidentaux corrompus.

La vérité sur ces effets indésirables et les morts des « vaccins » progresse donc désormais tel un tsunami irrésistible.

De même que la divulgation décomplexée sur les plateaux télé, dans des médias mainstream, dans l’opinion publique intoxiquée par trois ans et demi de propagande insanitaire orchestrée par les laboratoires, leurs actionnaires comme BlackRock, les fondations qui les financent comme la Fondation Gates et les Etats corrompus. Une propagande relayée par des conseils scientifiques bidons, des ministres et des médias, tous corrompus par les mêmes.

Pas un jour aux Etats-Unis sans que la chaîne Fox News, proche des Républicains et critique envers le pouvoir actuel, n’évoque ces nouveaux scandales liés à la gestion de la crise sanitaire, l’origine du virus, les faux « vaccins », les dommages historiques causés aux victimes abusées par leurs dirigeants.

En Allemagne la chaîne publique ZDF a tout récemment consacré une émission entière à ces effets secondaires, et demandé leur indemnisation par l’Etat.

La France fait figure d’exception : un ilot de silence au milieu de l’Europe, plus proche pour la liberté d’expression de la Corée du Nord que de la Suède ou la Norvège. Les choses pourraient rapidement changer avec un Président usé, impopulaire à 90%, emporté par « la foule » vers la sortie, et qui pourra difficilement achever son mandat

Sans parler des nombreux médecins qui évoquent maintenant sans crainte cet effondrement immunitaire comparable au sida dont ils sont témoins chez certains patients injectés à partir de la 3e dose.

Un effondrement immunitaire spectaculaire, au sujet duquel alertait le Professeur Luc Montagnier (qui en a vu d’autres), dans cette déclaration courageuse 5 jours avant de mourir:

« Les personnes vaccinées seraient bien inspirées de faire le test du sida. Elles seraient surprises du résultat, et pourront demander des comptes à leur gouvernement !« 

Certains avaient osé insulter le Prix Nobel découvreur du virus du sida, en le traitant de « complotiste » et de « gâteux« .

Ce que le Professeur a omis volontairement de dire en direct sur ce plateau télé, c’est que les applications civiles et médicales ne constituaient qu’une partie seulement des programmes développés dans ces labos ultra pointus et ultra protégés de recherche en génie génétique.

En effet, une grande part des recherches conduites dans ces laboratoires très surveillés comme le laboratoire P4 de Wuhan construit par la France au nom de la coopération scientifique franco-chinoise, et inauguré en 2011 par le Premier ministre Bertrand Cazeneuve le directeur de l’INSERM Yves Lévy (mari d’Agnès Buzyn), comportent presque toujours un volet de recherche militaire.

Il faut en effet savoir que, bien que les armes bactériologiques soient interdites par la Convention de Genève et qu’elles ne soient pas officiellement développées par les pays signataires de cette Convention comme la France, la majorité des recherches effectuées aujourd’hui dans le monde sur des budgets militaires le sont pour des programmes d’armes non conventionnelles. Car celles-ci sont beaucoup moins coûteuses, tout aussi efficaces mais beaucoup plus discrètes et ciblées que les armes stratégiques (bombe atomique) : armes chimiques, bactériologiques, électromagnétiques (bombes, canons et fusils électromagnétiques de l’US Army), sismiques (séismes déclenchés), climatiques (HAARP et programmes d’ingénierie climatique reconnus officiellement par le Pentagone « pour lutter contre le dérèglement climatique« …), psychédéliques, etc…

Plusieurs spécialistes du génie génétique ont d’ailleurs confirmé depuis le Covid que les laboratoires P4 créés ces dernières années par les Etats-Unis, le Canada, l’Europe, le Royaume-Uni ou la France (et souvent délocalisés vers des pays d’Asie du Sud-Est comme la Corée du Sud, Hong Kong ou la Chine, plus conciliants avec la législation), travaillaient en réalité essentiellement sur des programmes militaires de développement d’armes bactériologiques. Et plus accessoirement sur des programmes civils destinés à mettre au point de nouveaux vaccins.

Les Etats-Unis sont d’ailleurs impliqués dans la genèse du virus SARS-Cov-2, tout comme ils sont dans les recherches menées au laboratoire franco-chinois de Wuhan. Comme l’ont prouvé les mails divulgués lors du Faucigate qui a démontré la responsabilité d’Anthony Fauci, responsable depuis 1984 des programmes de santé publique aux Etats-Unis, dans la préparation et le déclenchement de la crise du Covid.

Quant aux intentions délibérément eugénistes dans cette propagation volontaire du virus à partir de Wuhan (et peut-être dans d’autres foyers simultanés, en Iran et en Italie du Nord), il est assez difficile d’en douter, connaissant les intentions assumées de presque tous les oligarques impliqués dans cette crise.

En tout cas s’agissant des « vaccins », aujourd’hui les faits sont là. Et ce sont les menteurs subventionnés des ministères et des médias redresseurs de « fake news » qui se retrouvent aujourd’hui en situation d’accusés. Alors que ceux qu’ils calomniaient hier en les accusant de « complotistes » sont aujourd’hui réhabilités, écoutés et même remerciés pour leur courage.

A ce sujet, il faut noter le revirement spectaculaire du réseau social LinkedIn, propriété de Microsoft. Un des GAFAM les plus largement impliqués dans le volet numérique de ce cirque covidiste.

Notamment parce qu’il détient depuis 2019 le brevet d’une technologie à base des nanoparticules incluses dans le cocktail vaccinal et destinée au traçage des personnes vaccinées. Développée par le MIT de Boston, elle a fait l’objet de tests officiels en 2020 au Kenya et au Malawi sous l’égide de la Fondation Gates. Comme l’ont rapporté des médias mainstream comme Le Monde, Les Echos ou LCI.

Microsoft est aussi l’un des initiateurs du projet ID 2020. Un conglomérat discret réunissant parmi ses fondateurs la Fondation Rockefeller, la Fondation Gavi (vaccins), Accenture et Microsoft. Avec comme partenaires des multinationales stratégiques comme Facebook, Mastercard et autres géants de la tech. Son but : développer l’identité et le contrôle numériques (des populations) au plan mondial. Et coupler les nouveaux outils de contrôle des données personnelles (état civil, données médicales, carnet de vaccination, données bancaires…) aux monnaies numériques actuellement mises en place partout dans le monde, puis à la future monnaie unique numérique mondiale. L’outil ultime de contrôle des populations.

Un projet qui associe étroitement l’Union européenne, à travers son identité numérique européenne et son portefeuille numérique européen, actuellement mis en place par la Commission européenne. De même que la BCE met en place aujourd’hui son euro numérique, à l’image du dollar, du rouble, du yen ou du yuan numériques. Au passage, la BCE s’est arrogée en 2022 le droit de contrôler toutes les opérations bancaires sur tous les comptes de particuliers gérés par les banques dans tous les Etats membres de la zone euro. En violation complète du droit européen sur le secret bancaire et la vie privée.

Il y a encore deux ans, la censure sur LinkedIn était impitoyable concernant certaines vérités qui dérangent, même sourcées, validées par des experts et publiées dans des médias mainstream. Notamment la réalité sur les tests PCR, l’inefficacité ou la dangerosité des « vaccins ». Relayer de telles infos équivalait à une fermeture arbitraire et immédiate du compte pour non-respect des standards LinkedIn, sans aucune explication ni recours possible.

Même politique de censure arbitraire chez Facebook, réseau asocial champion de la chasse aux « fake news« .

Aujourd’hui, de nombreux décideurs – PDG, banquiers, médecins, généraux – discutent très ouvertement des dérives du Covid et des volets opaques de ce scénario de basculement contrôlé baptisé Great Reset. Un scénario détaillé par Klaus Schwab, Président du Forum de Davos, dans un livre publié en 2020[i], et destiné à nous faire basculer par étapes grâce à des chocs successifs vers une société dystopique, totalitaire, sans libertés, dominée par un Caste élitiste qui contrôle tous les pouvoirs, et gère des populations réduites en esclavage, surveillées par des AI, reformatées par des techniques transhumanistes et vouées à un dégraissage eugéniste « pour sauver la planète ».

Certains qui avaient été accusés de complotisme, ont été suspendus deux ans sans indemnité pour avoir refusé de se faire vacciner, ont perdu leur emploi, ont été condamnés au bûcher professionnel, raillés par les médias, ou qui se sont fait radier par le Conseil de l’Ordre, sont aujourd’hui réhabilités. Comme le Professeur Perronne, débouté de sa chefferie du service de maladies infectieuses à l’hôpital de Garches en 2021, puis réhabilité sans bémol par le Conseil de l’Ordre en 2022, et lavé de tout soupçon de « complotisme ».

Certains d’entre eux ont porté plainte contre les calomniateurs. Ils ont ajouté leur voix aux millions de plaintes dans le monde destinées à faire reconnaître officiellement les préjudices causés par les vaccins de la mort, indemniser les victimes, leurs conjoints ou leurs familles, exposer les crimes, faire condamner les coupables et rétablir la vérité.

Selon les juristes, cela prendra sans doute beaucoup de temps. 10 ans au bas mot, d’après certains. D’autant que la Justice elle aussi est largement corrompue.

Depuis 2020, Reiner Fuellmich, avocat international allemand et d’autres juristes appellent à un Nürnberg du Covid. Afin d’exposer publiquement les crimes, condamner les coupables qui ont imaginé, planifié, déclenché, organisé, couvert cette Shoah mondiale qui cible 8 milliards d’êtres humains.

Et qui se sont enrichis en vendant des vaccins tueurs. En interdisant qu’on hospitalise les malades en détresse respiratoire jugés non prioritaires en raison de leur grand âge, de leur infirmité ou état de santé.

En interdisant qu’on leur délivre autre chose que du Doliprane, et surtout pas ces traitements mis à l’index car réputés pour leur efficacité, et qui auraient permis de les sauver.

En euthanasiant par décret [ii] les vieux dans leur EHPAD. En terrorisant la population avec une fausse « pandémie » fabriquée par l’OMS, et démesurément déformée par les médias alarmistes dès novembre 2019.

En imposant des mesures absurdes, liberticides et contre-productives. Comme la distanciation sociale, le masque, les confinements et couvre-feux à répétition, les milliards de tests PCR utilisés en dépit des méthodes préconisées par leur inventeur et leurs fabricants, la falsification des données épidémiologiques pour faire croire à des « vagues » successives, et justifier le prolongement d’une dictature légale (état d’urgence sanitaire), la fermeture des lieux publics, la surveillance policière des populations, la vaccination obligatoire, le pass sanitaire et le traçage numérique dans le but de fliquer tout le monde…

Comme un symbole de cette folie, le groupe Pfizer, propriété de BlackRock comme la plupart des leaders du secteur pharma, est aujourd’hui sur le banc des accusés. Son PDG Albert Bourla est poursuivi par d’innombrables plaintes pour falsification ou dissimulation d’études scientifiques, concernant l’efficacité et les effets secondaires des injections ARNm, entrave à la Justice, empoisonnement, homicide volontaire, crime contre l’humanité, et corruption.

Cela ne dérange nullement cet homme ni sa firme, qui a déjà accumulé un record de condamnations pour crimes et se voit chaque année obligée de verser des millions d’amendes depuis 10 ans. Une ligne comptable insignifiante dans son business plan highly bankable

C’est pourtant largement à son initiative que débutait fin 2020 la plus grande opération de « guerre » de l’Histoire humaine, annoncée plus d’un an auparavant. Alors qu’il faut au bas mot 20 ans à la recherche pour développer un vaccin efficace contre un nouveau virus. Qui plus est, avec une technologie totalement nouvelle, sans aucun recul ni étude indépendante prouvant son efficacité.

Une opération digne du Débarquement de Juin 1944, préparée dans le plus grand secret et saupoudré de quelques annonces pour tester l’opinion, qui mettait en œuvre des moyens considérables pour terrasser un virus de grippe quasi inoffensif[iii], qui aura causé au total moins de victimes dans le monde que la grippe saisonnière de 2019 !

Une campagne de vaccination massive sur tous les continents, pilotée de main de maître simultanément dans 65 Etats occidentaux par une entreprise privée américaine : le cabinet de conseil McKinsey.

Un véritable Etat dans l’Etat, qui s’est substitué aux conseillers, ministères et services administratifs des Etats concernés, pour la partie conseil comme pour la partie mise en œuvre de la politique vaccinale, pass sanitaire compris. Et dont le dirigeant en France n’est autre que Victor Fabius, fils du Président du Conseil constitutionnel et ancien Premier ministre (condamné dans l’affaire du sang contaminé) Laurent Fabius. Rien que du beau monde.

Un scénario relayé par ces Etats et leurs conseils scientifiques bardés de conflits d’intérêts avec des labos comme Pfizer, Moderna ou Gilead, des agences de santé et des médias subventionnés, tous archi corrompus. Au bénéfice d’une industrie pharmaceutique qui constitue le secteur le plus corrompu et le plus corrupteur de l’économie mondiale.

Une industrie financée par des fondations privées, comme la Fondation Bill & Melinda Gates, la Fondation Gavi pour les vaccins, la Fondation Rockefeller ou la Fondation John Hopkins. Toutes championnes de la corruption et du crime organisé.

Rappelons que le « milliardaire philanthrope » Bill Gates, condamné par la justice américaine au cours de la décennie 1990 pour abus de position dominante de sa firme Microsoft, et violation de la loi antitrust, s’était refait une virginité en léguant une partie de son immense fortune héritée de sa famille et constituée par son empire informatique dans une fondation à son nom, destinée à financer des programmes humanitaires de santé dans les pays du tiers-monde.

Un « investissement » absolument pas désintéressé, mais au contraire extrêmement rentable, qui lui avait notamment permis de s’assurer le quasi contrôle financier d’un des secteurs les plus bankable de l’économie mondiale, en finançant ses labos les plus rentables.

Mais aussi de « racheter » l’OMS : une ONG mondialiste dépendante de l’ONU, jusque-là financée par les subventions de ses Etats membres. A la surprise générale, face à la gabegie corruptive et aux décisions sanitaires iniques de ce « machin » vendu aux firmes pharmaceutiques, Donald Trump avait décidé en 2020 de retirer les Etats-Unis de l’OMS !

Cet organisme est donc désormais sous la coupe majoritaire d’une fondation privée qui en est le principal mécène. Et qui lui dicte ses grandes orientations, pour le plus grand bénéfice des rapaces de Big Pharma et ses actionnaires.

La Fondation Gates s’était singularisée dans les années 2000 et 2010 en lançant des campagnes de vaccination massive et expérimentale sur populations pauvres des continents africain, asiatique et d’Amérique latine. Elle prétendait alors vouloir éradiquer des épidémies comme la méningite, la malaria ou la variole, alors que cette dernière était déjà éteinte quand la campagne de vaccination fut lancée.

Ces campagnes d’apprentis sorciers ont malencontreusement provoqué l’effet inverse de celui escompté. A savoir une reprise spectaculaire de ces épidémies. Au point que les vaccins contre la variole du couple Gates sont aujourd’hui considérés par les épidémiologistes comme le vecteur principal de propagation de cette maladie dans le monde !

Un scénario qui n’est hélas pas nouveau. Et dont les véritables causes ne laissent pas d’interroger.

En effet, en 1919 déjà, une autre fondation célèbre, la Fondation Rockefeller, inventeur et mécène de la toute jeune industrie pharma, avait lancé une campagne de vaccination massive contre la méningite destinée en priorité aux GIs américains à peine revenus du front après l’Armistice de 1918. Des centaines de millions de doses de vaccins à base de virus atténués furent ainsi injectés à toute une population jeune et en bonne santé. Le résultat fut cataclysmique, puisque ces vaccins sont aujourd’hui jugés responsables de la propagation de la bien mal nommée « grippe espagnole« . Laquelle a causé tout de même 50 millions à 100 millions de morts dans le monde en seulement 3 ans. Soit davantage que les deux guerres mondiales réunies.

La Fondation de Bill Gates n’est toutefois pas en reste. Puisque ce sont plusieurs millions d’Africains, d’Indiens ou de Sud-américains parmi les plus pauvres qui ont succombé aux effets secondaires de ses campagnes de vaccination mortifères.

Auxquelles s’ajoutent plusieurs centaines de milliers de femmes indiennes stérilisées par ces injections (chiffres officiels). Ce qui vaut à la fondation Gates d’être interdite de séjour depuis plusieurs années sur le sol indien.

Malgré les preuves et les condamnations, la fondation génocidaire continue toujours bon enfant son travail d’extermination des populations. En toute impunité.

Il faut dire que Bill et ses amis qui ne cachent plus leurs intentions ouvertement eugénistes. Et ne craignent pas la Justice, puisqu’ils ont largement les moyens de corrompre les tribunaux qui pourraient leur réclamer des comptes. A savoir l’ensemble des tribunaux nationaux, européens, ou internationaux, comme la Cour de Justice Internationale.

Cette dernière a d’ailleurs été saisie en 2021 par le Barreau des Avocats Indiens d’une plainte pour crime contre l’humanité à l’encontre de Bill Gates, Anthony Fauci et Tadros Ghebreyesus, directeur de l’OMS, suite à l’interdiction par l’OMS d’utiliser l’ivermectine pour soigner le milliard d’Indiens touchés par le redoutable variant Delta. Après que le gouvernement indien avait décidé de recourir aux traitements plutôt qu’à la stratégie vaccinale, inefficace, pour traiter sa population. Avec un succès qui permit l’écrasement immédiat du pic épidémique du variant Delta, qui atout de même causé des centaines de milliers de morts en quelques mois en Inde.

Quant aux objectifs de dépopulation mondiale liés aux vaccins, Bill Gates en a clairement fait état à plusieurs reprises dans ses déclarations et conférences publiques. Notamment lors d’une conférence Ted Talk aux États-Unis en 2010[iv] sur le thème de la population mondiale. Au cours de cette conférence, le milliardaire philanthrope a brossé un exposé implacable devant un auditoire médusé, en démontrant chiffres et schémas à l’appui que l’économie mondiale ne pourrait plus dans les années à venir nourrir une population dont la croissance démographique exponentielle devenait incontrôlable. Théorie qui paraît plausible, mais ne fait nullement l’unanimité chez les démographes et spécialistes de l’agriculture mondiale. Bill Gates a cependant rassuré son auditoire en indiquant qu’on pouvait résoudre le problème en jouant sur le paramètre « P » – Population – de l’équation. Rires gênés dans l’assistance… Avant d’ajouter :


« Si ont fait un bon boulot, un très bon boulot, on peut réduire de 15% la population mondiale en 10 ans, grâce aux nouveaux vaccins, aux politiques de santé publique, et au contrôle de la procréation ! » (Sic)

Bill Gates n’a jamais démenti cette déclaration de guerre implicite et cynique faite à toute l’humanité.

Une déclaration reprise depuis par lui-même et d’autres oligarques fanatiques des programmes eugénistes de dépopulation mondiale.

Comme George Soros (Open Society), Jacques Attali[v], Elon Musk, ou Laurent Alexandre.

Tous par ailleurs promoteurs infatigables de l’idéologie transhumaniste, dont les nouvelles injections expérimentales à ARNm sont une illustration.

Autre précision importante : l’industrie des vaccins, qui connaît un développement spectaculaire et des investissements records depuis 20 ans, est engagée depuis 1993 dans une compétition féroce mais discrète pour produire de nouveaux vaccins.

Mais surtout pour produire de nouveaux virus par génie génétique. Des virus brevetés, condition nécessaire pour s’en assurer la propriété, et percevoir ainsi des royalties sur les vaccins correspondant produits par ces mêmes labos.

Les progrès dans les techniques de manipulation génétique ont en effet connu un bond de géant ces dernières décennies. Elles permettent aujourd’hui de fabriquer des virus modifiés à partir de souches animales, auxquelles ont ajoute des gains de fonction afin de les rendre ces nouveaux virus compatibles avec l’homme. Ils peuvent alors s’intégrer facilement aux cellules humaines, alors qu’ils seraient normalement rejetés par le système immunitaire, le temps de muter pour s’adapter et trouver la bonne clé pour s’accrocher aux cellules et intégrer leur ADN pour se reproduire. Comme le VIH, à l’origine dérivé du LAV, virus du sida chez certaines espèces de singes.

En 2020, le Professeur Luc Montagnier était venu présenter sur CNews les résultats des travaux de son équipe de recherche sur le séquençage du génome du virus SARS-Cov-2, récemment isolé et tenu pour responsable de l’épidémie de Covid-19. A la stupéfaction générale, il avait présenté la preuve irréfutable que ce virus ne pouvait qu’avoir été fabriqué volontairement en laboratoire à partir de manipulations génétiques. Et que son ARN modifié comportait 4 insertions évidentes du VIH.

Avant d’ajouter pour rassurer un Pascal Praud hagard, que cette méthode était souvent utilisée par les labos de recherche médicale dans l’espoir de mettre au point un vaccin contre des maladies comme le sida. Cette technique vaccinale expérimentale s’appuie non sur des virus atténués, comme pour les vaccins « classiques », mais sur un virus porteur dans lequel on introduit des fragments du virus cible, dans le but hypothétique de provoquer une réponse immunitaire spécifique chez les personnes auxquelles on injecte le cocktail vaccinal.

C’est le principe théorique qui prévaut dans le concept de virus à ARN modifié (ARNm).

Une technologie nouvelle, largement expérimentale, qui consiste à « livrer » à l’intérieur de l’ADN humain une protéine d’enveloppe (Spike) du virus contre lequel on souhaite immuniser les personnes vaccinées. En utilisant par exemple un virus pathogène de chauve-souris, de grippe aviaire ou de grippe porcine génétiquement recombiné, qui va pouvoir s’accrocher aux cellules humaines, et « livrer » à l’intérieur de la cellule une portion du code génétique du virus ciblé. L’ADN humain ainsi piraté fera le reste, transformant la cellule hôte en usine à fabriquer des particules virales, qui seront à leur tour libérées à l’intérieur mais aussi souvent à l’extérieur du corps. Le pari fou de cette technique sophistiquée est que le système immunitaire va produire une réponse immunitaire spécifique dirigée contre le virus que l’on cherche à éradiquer. En se retournant en quelque sorte contre lui-même.

Au passage, le fait de pirater ainsi l’ADN conduit à une mutation irréversible du génome humain, mutation qui s’avère transmissible aux descendants. Il s’agit donc d’une modification délibérée de type transhumaniste de l’espèce humaine.

Pour les labos qui produisent ces chimères, le business model de ces nouveaux « vaccins » est fondé sur un objectif théorique de substitution de l’immunitaire naturelle par une immunité artificielle. La première étant non spécifique et pas toujours efficace immédiatement, le temps que le corps trouve la parade ; la seconde étant en principe spécifique donc efficace. Mais elle oblige les personnes qui mettent le doigt dans cet engrenage vaccinal à devoir se faire injecter des doses de rappel mises à jour tous les trois mois, en espérant être ainsi protégées contre l’apparition inéluctable de nouveaux variants.

Double, triple, quadruple, quintuple bingo !

Sauf que ce beau joujou admirable sur le papier n’a jamais marché ! Pire, ses effets sont catastrophiques.

Malgré les efforts démesurés de la propagande vaccinale, les faits demeurent têtus. Toutes les études indépendantes réalisées depuis plus de deux ans conduisent aux mêmes conclusions.

Tout d’abord il faut savoir que ces « vaccins » anti-Covid ont été commercialisés au prix d’une corruption d’une ampleur inédite dans l’Histoire, par des firmes criminelles pressées d’engranger des bénéfices record, et qu’ils ont été imposés de façon frauduleuse aux populations. Puisqu’il n’est légalement possible d’autoriser de tels essais expérimentaux qu’à condition qu’il n’existe aucun traitement pour soigner la maladie.

Ce qu’on a vainement tenté de nous faire croire par une vaste entreprise de corruption des chercheurs, de la presse scientifique[vi], des médecins, des agences de santé, des gouvernements et des médias. Alors que, selon plus de 200 études scientifiques indépendantes dans le monde, il existe de nombreux traitements, peu coûteux, disponibles et très efficaces contre le Covid, à tous les stades de la maladie : plus de 98% d’efficacité pour l’ivermectine, y compris sur les formes graves.

A l’inverse, les injections imposées de façon souvent obligatoire suite à un terrorisme médiatique doublé d’un matraquage de propagande destiné à donner l’illusion de leur efficacité, d’une chasse aux sorcières contre les propos dissidents et de contraintes dictatoriales sur les populations, n’ont prouvé jusqu’à présent rigoureusement aucune efficacité ! Contrairement à ce qui est martelé comme des mantras par des ministres corrompus comme Olivier Véran, par les labos eux-mêmes et repris en chœur par les journalistes.

En effet, toutes les études et statistiques officielles reprises par les agences de santé du monde entier, en Israël, premier pays à avoir massivement vacciné, aux Etats-Unis, au Canada, en France, le confirment : ces soi-disant « vaccins » n’empêchent aucunement les personnes injectées d’être contaminées. Au contraire ils affaiblissent leur système immunitaire, et les rendent moins résistantes aux nouvelles attaques virales. Selon une étude israélienne, en 2021 les vaccinés ont été 16 fois plus contaminés que les non-vaccinés.

Ces injections n’empêchent pas non plus les personnes injectées de transmettre le virus. Au contraire, elles les transforment en super propagateurs de protéines Spike. Puisque l’organisme qui tente de s’en débarrasser excrète par la peau et par voie aérienne des milliards de particules virales, qui vont infecter à leur tour d’autres personnes autour d’elles. Lesquelles présenteront parfois les mêmes symptômes que le Covid-19, sans qu’on puisse les différencier.

Contrairement aux mensonges martelés par les médias pour tenter de trouver une ultime justification aux doses de rappels destinées à écouler les stocks achetés par la Commission européenne, les vaccins Covid n’ont jamais protégé qui que ce soit des « formes graves ». Ces cas graves tant médiatisés et qui font tant flipper les accros aux messages anxiogènes diffusés à la télé. Toutes les statistiques prouvent aujourd’hui le contraire, à savoir que ceux qui développent des formes graves ou décèdent du Covid depuis 2021 sont majoritairement des personnes vaccinées ! Alors que les non-vaccinés dont le système immunitaire reste intact ont pour la plupart bénéficié d’une immunité collective face à une épidémie qui est aujourd’hui éteinte, et dont les répliques sont insignifiantes et extrêmement peu pathogènes.

En revanche, ceux qui payent depuis deux ans le plus lourd tribut aux vaccins et au Covid sont les jeunes ! Enfants, adolescents, jeunes sportifs et jeunes adultes vaccinés sont ceux qui meurent aujourd’hui le plus du Covid (i.e. des vaccins).

Quant à l’hécatombe produite par les effets secondaires et les décès directement liés aux injections, c’est tout simplement du jamais vu dans toute l’Histoire de la médecine, de la vaccinologie et de la pharmacovigilance !

N’importe quel autre médicament en phase d’essai thérapeutique avec délivrance d’une ATU (Autorisation Temporaire d’Utilisation) sous conditions, aurait été immédiatement stoppé. Et son développement aurait été définitivement abandonné au vu de tels résultats. Mais dans le cas des vaccins anti-Covid, on a continué et on continue toujours d’administrer la mort à des milliards d’êtres humains.

Sans compter que, selon les estimations, à peine 8% de ces effets secondaires redoutables constatés chez les personnes vaccinées seraient déclarés. Par incertitude ou par ignorance des médecins, par incrédulité, parfois par corruption. Et surtout par peur d’être montrés du doigt, de se voir désigné comme un « complotiste« , et pour certains d’être radiés par le Conseil de l’Ordre.

Quels sont ces effets néfastes des « vaccins » ?

L’hyper prolifération anarchique de protéines de pointe baptisées Spike dans l’organisme se traduit rapidement chez beaucoup de personnes injectées par des phénomènes inflammatoires, qui surviennent quelques heures à quelques semaines après l’injection. Et qui peuvent affecter tous les organes, du cerveau aux testicules en passant par le cœur, le foie, les reins, la rate, le pancréas, les intestins, la peau, les yeux, les os…, produisant des effets catastrophiques.

Thromboses, cancers foudroyants, embolies pulmonaires, néphrites, hépatites, pancréatites, troubles circulatoires, cardiaques, neurologiques, cérébraux, ophtalmiques, œdèmes, retards de règles, stérilités définitives chez les jeunes femmes et les jeunes hommes… Sans compter les innombrables morts subites qui affectent des présentateurs télé en direct sur leur plateau, des sportifs de haut niveau foudroyés en plein match, des militaires et policiers durant leur service. Des phénomènes liés à l’effort physique intense, cause de crises cardiaques ou d’AVC. Tous survenant chez des sujets jeunes, en parfaite santé, sans aucun antécédent.

Le 13 mai une partie du monde regardera ailleurs, ou tentera de ridiculiser cette initiative courageuse en la présentant comme « des délires de complotistes ».

Une autre partie du monde ouvrira les yeux et commencera à admettre que les premiers avaient raison. Ils rendront hommage aux victimes décédées à cause de cette politique du Mensonge institutionnalisé et du sacrifice d’une part de l’humanité sur l’autel du dieu Mammon et de ses grands prêtres psychopathes prêts à tout pour obtenir plus de pouvoir.

La vérité mettra encore du temps à gagner toutes les consciences. D’autant qu’entre temps, nos bourreaux nous ont déjà concocté d’autres réjouissances comme autant de « chocs » pour nous asservir : guerre Otano-russe en Ukraine et menace de 3e guerre mondiale, crise énergétique et hyperinflation (prévues par Klaus Schwab dans son livre), crise climatique et autres catastrophes « naturelles », Intelligence artificielle menaçant de prendre le contrôle de l’humanité…

Il ne faut pas nous laisser impressionner par ces mises en scène. Mais rester inflexibles quand il s’agit de défendre l’identité et la dignité humaine violées par les expériences transhumanistes, les libertés et droits individuels saccagés par la dystopie sécuritaire qu’on nous impose « pour notre bien », l’irruption de sentinelles numériques au cœur de nos vies, dans nos corps, nos cellules, nos cerveaux, nos pensées, nos choix personnelles pour éradiquer non pas des virus menaçants, mais notre esprit critique et libre-arbitre.

La seule issue à ce cauchemar réside dans l’élévation et l’unification des consciences au plan mondial. L’exposition des crimes contre l’humanité perpétrés par une poignée de fanatiques depuis 3 ans doit nous inciter non pas à leur faire rendre gorge dans le but de nous venger, mais à poser les garde-fous nécessaires pour qu’une telle horreur ne puisse jamais se reproduire. Et qu’une écrasante majorité d’humains choisissent en conscience de s’engager ensemble dans une autre voie, qu’elle choisisse d’épouser un autre futur.

Alors seulement, quand nous seront sortis des ténèbres, les choses commenceront.


[i] Klaus Schwab & Thierry Malleret : Covid-19, The Great Reset (Forum économique mondial, 2020)

[ii] Décret n° 2020-360 du 28 mars 2020 complétant le décret n° 2020-293 du 23 mars 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire. Ce décret signé Edouard Philippe demandait explicitement aux médecins d’EHPAD de prescrire du Rivotril, un sédatif létal à fortes doses, au titre de « soins palliatifs » aux personnes âges suspectées de Covid et présentant des symptômes d’infection respiratoire.

[iii] Sauf dans de très rares cas ultra médiatisés pour des personnes très âgées ou très malades

[iv] https://www.youtube.com/watch?v=DtkfWaCzsas

[v] Jacques Attali milite depuis 1979 dans ses livres et conférences en faveur de l’euthanasie des vieux qui plombent l’économie française. Ce qu’a par ailleurs confirmé de Christine Deviers-Joncourt dans un livre de témoignage publié récemment où elle évoque des déclarations explicites sur ce sujet au cours de dîners au domicile de Jacques Attali. Cette politique eugéniste défendue par beaucoup d’oligarques dits « progressistes » a d’ailleurs été évoquée quasiment mot pou mot par la très macroniste députée Renaissance Amélie de Montchalin, dans un tweet qu’elle a publié le 23 avril 2023 et qui a fait scandale.

[vi] Cf. le scandale du Lancet en 2021suite à une fausse étude bâclée publié dans la prestigieuse revue afin de discréditer les traitements à base d’hydroxychloroquine et d’azithromycine

INSURRECTION : Pour quoi ? Jusqu’où ?

Mis en avant

« Et je vous le dis : il y aura une révolution dans ce pays avant 2022. Il y AURA une révolution dans ce pays !… »

Jacques Attali en pré-campagne pour son poulain Macron, dans l’émission C politique le 14 avril 2016 sur France 2

Le droit à l’autodéfense fait-il partie des Droits de l’homme ?

Que faire quand un gouvernement maltraite sa population ?

Certaines dictatures n’enferment pas leurs opposants dans des stades, dans des prisons, dans des goulags, ou dans des camps d’extermination. Elles se contentent d’enfermer tous les citoyens chez eux.

Certaines dictatures ne soumettent pas les hérétiques à la question. Elles ne torturent pas leurs dissidents en les plongeant dans l’eau glacée, en leur administrant des chocs électriques, en les engeôlant dans des camisoles chimiques. Elles se contentent de leur rendre la vie impossible, de les emmerder au maximum, de les désigner à la vindicte publique comme seuls responsables du sort injuste infligé au plus grand nombre.

Certaines dictatures ne dressent pas des échafauds, des pelotons d’exécution, des fours crématoires pour se débarrasser des irréductibles, des inutiles, des nuisibles. Elles se contentent de les vacciner, de les pucer, de les tracer, de leur inoculer des poisons mentaux pour qu’ils renoncent à se rebeller, pour qu’ils applaudissent même à leur déshumanisation programmée.

George Orwell avait si parfaitement décrit cette mécanique totalitaire que 70 ans plus tard, dans le sillage de Hannah Arendt, le philosophe Michel Onfray en a tiré une Théorie de la dictature[i].

Et pourtant, le peuple qu’on offense et qu’on maltraite demeure incapable de nommer l’ignominie chez ceux qui le font souffrir.

Haïr un homme et un pouvoir qu’on croit avoir élus, s’en prendre y compris physiquement à l’oppresseur pour lui régler son compte, recouvrer sa dignité et sa liberté, n’est pas chose aisée.

Surtout pour un peuple régicide, qui tente de se réconcilier avec la figure du monarque, comme avec le droit divin qui le sacralise, en faisant mine de révérer un technocrate opportuniste, qui n’a d’autre credo que son ambition, et comme seul catéchisme la doctrine néolibérale progressiste enseignée à Sciences Po et l’ENA.

Alors quand le simulacre de démocratie devient trop oscène, quand le schisme entre les discours et le réel devient insupportable, quand la colère légitime dépasse le sentiment de culpabilité, le peuple sort de sa torpeur et entre en éruption.

Tout devient alors si imprévisible qu’au moindre incendie, au moindre accès de colère qui dégénère en violences dans la rue, les garde-fous du Pouvoir se lèvent comme des digues pour prévenir la réaction en chaîne : « ILLEGITIME ! »

Exprimer sa colère, s’en prendre aux dirigeants ou au régime en place, eussent-il trahi la confiance du peuple, est illégitime.

Et d’invoquer la Constitution, ou les grands principes, pour se justifier. Comme si la démocratie, c’était le monde des Bisounours, sans méchanceté, sans heurts ni aspérités. Et la colère du peuple, un péché synonyme de Chaos.

Illégitime donc.

Vraiment ?…

L’appel à la violence gratuite, dirigée contre des personnes, est certes illégale et répréhensible.

Mais le recours à la violence légitime pour mettre fin à une situation de crise ultime, de blocage destructeur qui menace l’existence du groupe, de la démocratie ou de l’idée qu’on s’en fait, pour renverser une dictature ou un régime populicide, est-ce vraiment si illégitime ?…

Comme Jésus chassant les marchands du temple à coups de fouet, y a-t-il une sainte colère du peuple ?

De Robespierre à Yasser Arafat, en passant par Marx, Lénine, Hitler, Trotski, Mao, Castro, les Brigades rouges ou Khomeini, de nombreux théoriciens politiques ont tenté de justifier le recours à la violence au nom d’une cause supérieure inscrite dans un Idéal qui sacralise le Peuple, et exalte son émancipation face à l’oppression d’une caste dans une optique révolutionnaire. Y compris en ayant recours au meurtre, à la guerre ou à de méthodes terroristes.

Avec le succès qu’on connaît.

Leurs crimes ont-ils pour autant discrédité à jamais tout recours du peuple à la violence subversive afin de vaincre une oppression, et en finir avec un pouvoir devenu illégitime ? La morale et les discours contemporains – pour ne pas dire la République bourgeoise – nous a habitué à penser que c’était le cas. Ouvrant du même coup une voie royale à tous les abus de pouvoir, toutes les dénaturations des grands principes, toutes les instrumentalisations du Droit, pour servir les intérêts d’un pouvoir, d’un homme, d’une caste, et perpétrer un ordre établi aussi injuste qu’insoutenable.

Et pourtant, l’insurrection qui est une forme de violence légitime, du moins pour ceux qui n’ont pas d’autres moyens objectifs que d’y recourir, n’est-elle pas l’un des piliers de notre Démocratie, inscrite dès l’origine dans le marbre par les pères de la République ?


Se libérer de l’oppression est un devoir !

Article 35. – Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.

Constitution du 24 juin 1793, et Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1793

Mais 2023 n’est pas 1793. L’insurrection aujourd’hui est un gros mot, un scandale, un tabou.

Et pour cause : c’est le grand refoulé de notre République, dont elle est paradoxalement l’un des piliers, comme le démontre cet article 35 de la Première Constitution.

Redonner le pouvoir au peuple, y compris le pouvoir d’user de la violence légitime contre ses dirigeants quand ceux-ci bafouent ses droits. Ça n’est pas rien ! Et on gagnerait sûrement à méditer ce principe.

Car quelle alternative pour le peuple quand tous les moyens prévus par la loi – débat parlementaire ou médiatique, recours judiciaire, manifestations, grèves, référendum, élections… ont été épuisés ou empêchés ?

La Constitution de 1793 va bien plus loin, en qualifiant l’insurrection de DROIT le plus sacré, mais aussi de DEVOIR le plus indispensable.

Autrement dit, se dispenser de remplir ce devoir, c’est pour le peuple un suicide, une abdication de sa souveraineté, l’équivalent du régicide dans l’Ancien régime.

Or c’est précisément ce que l’imposture démocratique qu’est la représentativité nationale quand elle s’écarte de sa mission de gouverner AU NOM du peuple et POUR le peuple tend à préserver en s’arrogeant le droit de gouverner le peuple selon son propre libre arbitre, en prorogeant un rapport de forces dirigé CONTRE le peuple, pour servir ses propres intérêts, ou ceux d’une caste qui lui garantit les moyens d’exercer son pouvoir arbitraire.

En d’autres termes, cela s’appelle une dictature par procuration.

« Pour le peuple ou une portion du peuple » : face à des circonstances exceptionnelles qui appellent des réponses exceptionnelles, comme l’oppression du peuple par son gouvernement qui en viole les droits, l’ultime recours DEMOCRATIQUE pour sauver la République, ce n’est pas l’abdication au nom de la peur du chaos, mais l’INSURRECTION au nom du devoir de résistance à un ordre autoritaire ou totalitaire représenté par un pouvoir sacrilège.

On ne peut être plus explicite.

Conçu dans une période de troubles exceptionnels pour sauver une Révolution en péril, ce texte nous interpelle aujourd’hui. Car s’insurger, comme le font les black bocs en s’en prenant physiquement à l’autorité représentée par les forces de l’ordre, c’est selon une interprétation qu’on présente comme unanime, commettre une transgression, un crime.

C’est en tout cas ce que cherchent obstinément à nous faire croire les ventriloques du pouvoir à longueur de reportages sur les nuits d’émeutes sur les chaînes télé. Avec cette idée présentée comme une évidence que le recours à la violence serait en démocratie illégal et illégitime par essence. Pas question d’en discuter.

Mais quelle violence au juste ? Commise par qui ? Au nom de quoi ? Dans quelle situation ? Et surtout pour répondre à quelles autres violences ?

Violence d’Etat, prétendument légale celle-là, commise par un pouvoir désavoué mais prétendument légitime.

Violences sociales, économiques, violences faites à l’identité de la nation, à la mémoire d’un peuple qui se délitent, dont on accélère volontairement la décomposition.

Violences répressives ou coercitives, quand on limite ou suspend des libertés constitutionnelles les plus élémentaires, comme la liberté d’expression, de se réunir, la liberté de manifester, la liberté de se faire soigner, d’élever ses enfants.

Violences policières, quand le pouvoir outrepasse ses droits, brise le contrat social, dévoie sa légitime, lorsqu’il utilise sa police pour se protéger, réprimer toute opposition, et non pour maintenir l’ordre républicain ou protéger les citoyens.

Que faire alors quand est perverti à ce point le principe de la violence légitime indissociable du principe d’Etat de droit ? Un principe fondé sur la délégation de la violence des individus à l’Etat afin de les protéger. Qui veut que l’Etat dispose de la force publique et peut recourir à la violence, mais uniquement dans pour maintenir l’ordre, garantir la sécurité des biens et des citoyens, la paix sociale et l’unité de la nation.

S’agissant du pouvoir en place, cette dénaturation du principe de violence légitime, comme des autres principes démocratiques, suscite de vastes débats. Qui hélas ne s’expriment pas ou peu dans la sphère contingentée des médias officiels, des débats parlementaires, et même des recours en justice intentés par des citoyens lésés par l’Etat, souvent déboutés de leur plainte par une Justice partiale et corrompue.

Alors cette violence refoulée prend parfois la forme d’une révolte d’une partie du peuple. Que le pouvoir tente de réprimer par la force, de disqualifier aux yeux de l’opinion en jouant avec ses peurs. Peur du désordre, du chaos, de l’anarchie, de la « guerre civile », des « factions », des « révolutionnaires », des « extrêmes », auxquels sont assimilés ceux qui contestent de façon trop vive l’ordre établi sur le mode de l’affrontement dans la rue.

Dans un pays comme le nôtre qui a connu beaucoup d’heures sombres et dramatiques, il est facile de jouer avec les références de l’Histoire, récentes ou plus éloignées, pour manipuler le peuple. En lui faisant croire que la République, c’est le pouvoir. Que le pouvoir, c’est l’ordre. Et que le seul ordre possible, c’est l’ordre établi.

Moi ou le chaos : Macron comme d’autres avant lui joue ce chantage populiste, en soufflant à l’occasion sur les braises pour apparaître indispensable.

Plus délicate est la tâche d’un pouvoir autoritaire quand il cesse d’être un recours, et apparaît aux yeux du peuple comme l’oppresseur.

Et surtout quand son obstination à faire adopter une réforme rejetée par 93% des actifs confine au mépris du peuple sinon au défi : gouverner le peuple, mais sans le peuple, contre ses représentants et contre le peuple.

La tentation insurrectionnelle resurgit alors comme un ultime recours, perçu confusément comme transgressif et légitime à la fois.

Certains voudraient faire de l’insurrection – ou de la Révolution – une essence. Ils tentent de faire croire que leur engagement pour abattre un ordre tyrannique relève d’une mission héroïque, que cette mission émancipatrice est leur seule raison d’être, une cause juste, la seule issue possible, face à un ordre oppresseur qu’il faut détruire. Ils se drapent dans des justifications pseudos éthiques au nom d’une logique révolutionnaire de type marxiste pour précipiter l’Histoire.

Mais la plupart de ceux qui descendent dans la rue, déterminés à rompre les digues de la bienséance politique, morale ou sociale, ne sont pas des fanatiques. Simplement des citoyens en colère, parce que plus vulnérables que d’autres. Ou plus jeunes, et donc affranchis des limites communes qui s’imposent aux citoyens installés, davantage enclins à respecter les règles du jeu social.

S’insurger, c’est donc briser un premier tabou, qui assimile les usages dits démocratiques à ceux conformes à l’ordre établi. C’est-à-dire à une conception « bourgeoise » ou élitaire de la démocratie, qui préfère confier les rênes du pouvoir émanant du peuple à une élite, et laisser ce peuple à distance des enjeux de pouvoir.

Surtout quand ce peuple est tenté de faire valoir son hostilité à des mesures qu’il perçoit comme injustes, contraires au contrat social, mais présentées comme indispensables pour préserver l’intérêt général ou poursuivre le bien commun. Buts qui sont la raison d’être de l’Etat de droit.

Dans ce cas, de telles mesures ne sont plus seulement illégitimes, elles sont aussi illégales. Et même antidémocratiques. Quand bien même tel artifice législatif ou telle institution les déclarerait conformes aux grands principes et à la Constitution.


Qu’une portion du peuple se lève pour faire justice

Des sociologues ont étudié les mouvements insurrectionnels qui se sont produits dans le monde au cours des dernières décennies. Notamment cette vague d’émeutes et de troubles sociaux qui ont enflammé 17 pays en 2019, dont la France avec les Gilets jaunes. Et ce jusqu’à l’apparition du Covid.

Parmi les conclusions qu’ils en ont tirées, ils ont mis en lumière un fait intéressant à propos du pouvoir de cette « foule » que semble tant redouter le mari de Brigitte terré dans son Palais de l’Elysée.

Pour faire tomber le pouvoir établi ou un régime impopulaire, il suffit que 3% de la population d’un pays descende dans la rue pendant un temps suffisant. Et ce pouvoir est sûr de tomber.

L’écrasante majorité restante se contente de soutenir le mouvement sans y participer, de laisser faire, ou de s’y opposer sans entrer dans le rapport de forces.

Dans les semaines qui ont précédé le vote prévu au Parlement sur le projet de loi de réforme des retraites, ce sont 3 à 3,5 millions de Français qui sont allés manifester à l’appel des syndicats pour dire NON à cette mesure illégale, inutile, injuste et désavouée par les ¾ de l’opinion.

Un projet que le pouvoir défend avec obstination, devenu le symbole de six années de méthodes de gouvernement cyniques, brutales et arbitraires. Une politique conduite souvent contre le peuple, et non dans son intérêt ou celui du pays, comme nos dirigeants le martèlent. Une politique et des méthodes dont une écrasante majorité aujourd’hui ne veut plus. Et qui plus encore que du rejet, alimentent une véritable haine des Français contre Emmanuel Macron, sa caste et tout ce qu’ils représentent.

Depuis que Macron s’est vu offrir en 2017 une parodie de sacre républicain célébré devant le Palais des rois de France, à la faveur d’élections truquées, grâce à la générosité de ses mentors qui ont acheté les médias, corrompu les institutions, les corps constitués, la Justice, disqualifié les candidats favoris, divisé les autres, détruit les partis de gouvernement, court-circuité le débat, manipulé l’opinion, mis en place un système de fraude institutionnelle, ce pouvoir ne s’est illustré que par une succession de trahisons et de désaveux successifs des principes mêmes de notre démocratie. Laquelle n’était déjà plus depuis longtemps qu’une simple mascarade auxquels tous feignent de se prêter.

Et puis il y a eu en 2018 cette répression brutale du mouvement des Gilets jaunes. Des violences policières que l’on n’avait vues qu’en temps de guerre civile. Ces milliards obscènes finalement jetés pour acheter la paix sociale, dédommager les morts, les bras et les yeux arrachés.

Et puis il y a eu dans la foulée cette répression farouche de la fronde populaire contre le projet de réforme des retraites en 2019. Avec ces mamies, ces infirmières, ces magistrats, ces pompiers tabassés au sol par la Gestapo d’un roitelet d’opérette, qui méprise ouvertement les Gaulois réfractaires et ceux qui ne sont rien.

Le Grand Sacrifice

Il y a eu enfin cette « guerre » providentielle déclarée en mars 2020 contre un virus qui a fait moins de victimes qu’une grippe saisonnière. Avec cette politique sanitaire insensée, pilotée simultanément dans 65 pays par McKinsey, véritable Etat dans l’Etat qui avait créé En Marche, et marketé le triomphe du prodige des médias en 2017. Outre les centaines de milliards de dollars récoltés par les labos mécènes du pouvoir et leurs actionnaires comme BlackRock, cette mascarade sanitaire et sécuritaire aura permis de figer net la grogne des inutiles sous un glacis répressif.

Le monde d’après est entré par effraction dans nos vies comme un rituel macabre, une Grande Terreur. Sur fond de schrizophrénisation des esprits alimentée par une surenchère d’injonctions paradoxales, d’humiliations, de culpabilisations, le gel des libertés, l’interdiction de parler, de bouger, de respirer, et surtout de réfléchir.

Comme au temps des révolutions sanglantes pour mettre à bas l’ordre ancien, on fit place nette pour le Great Reset du gourou des Young global leaders comme Macron, le néonazi Klaus Schwab : destruction de l’initiative individuelle, du petit commerce, des koulaks et des kolkhozes, au profit des multinationales et des banques américaines.

On mit en place un système de surveillance étatique et numérique, dont n’aurait jamais pu rêver la police stalinienne. Inquisition des pensées, instauration du crime d’opinion, persécution des dissidents, création d’un délit de complotisme, avec déchéance des droits civiques, notamment pour les parents déclarés coupables de « dérive sectaire », certains déchus leurs droits parentaux pour avoir critiqué les mesures sanitaires devant leurs enfants.

On multiplia les entraves à la liberté de la presse pour les médias indépendants. On encouragea la chasse aux sorcières et la mise à mort professionnelle pour les scientifiques qui osaient braver la doxa. Les plus gênants, comme le Professeur Bernard Fourtillan, furent arrêtés et internés sans motif.

On mit en place des moyens coercitifs et une surveillance policière dignes d’une dictature totalitaire pour surveiller les citoyens, empêcher les rassemblements, interdire les manifestations, forcer tout le monde à porter en permanence un masque humiliant et inutile, symbole de soumission et d’esclavage. On se mit à ficher les humains comme du bétail. On les força petits et grands à se faire injecter des substances toxiques, inconnues, destructrices pour leur immunité. On mit au ban les contrevenants en leur pourrissant la vie. On exclut des hôpitaux des soignants réfractaires en les montrant du doigt comme des criminels, après les avoir fait applaudir par les moutons bêlants à leurs balcons.

Des dizaines de milliers d’enfants, d’adolescents, de jeunes adultes, de vieux, de malades sont morts depuis trois ans. Parce qu’on leur a refusé des traitements efficaces contre une maladie dont on savait guérir les symptômes. Parce qu’on les a refoulés à l’entrée des hôpitaux publics dont avait préalablement organisé la faillite, la désorganisation et l’engorgement. En forçant les urgentistes à effectuer un tri comme on choisit les bœufs pour l’abattoir.

Parce qu’on a discrètement euthanasié les vieux confinés trois mois dans leur EHPAD. Sans information préalable, sans consentement éclairé, parfois sans test préalable ni présence d’un médecin pour administrer la mort. Et surtout sans prévenir leurs familles, ni leur permettre de dire adieu à proche. Pire encore, on a brûlé les corps par souci prophylactique, et pour ôter toute trace de ce génocide.

Incroyable mais vrai, comme l’attestent les milliers de témoignages et de plaintes contre l’Etat.

Que dire enfin de ces dizaines de milliers de jeunes, victimes de morts subites inexpliquées quelques heures ou semaines après s’être fait « vacciner ». Juste pour pouvoir retourner à la gym ou aller boire une bière en terrasse ? Que dire de ces pompiers, soldats, policiers d’à peine vingt ans, en parfaite santé, de ces sportifs de haut niveau terrassés par une crise cardiaque ou un AVC sur la pelouse du stade en plein match ?

Qui va aller demander des comptes à ces saloperies qui les ont condamnés à mort, parce que l’odeur de leur sang agrée les dieux autoproclamés qu’ils servent ?

L’abomination la plus extrême de ces monstres coupables d’authentiques crimes contre l’humanité, comme Macron, Véran, Philippe, Castex, Buzyn, Delfraissy et autres, c’est d’avoir pris soin de s’autoamnistier collectivement avant de perpétrer ces crimes. Qu’il s’agisse des faux vaccins, des erreurs médicales, des effets secondaires, des fautes commises par les décideurs à chaque échelon, ou des propagateurs de fake news officielles…

Ce n’est pas la Justice, corrompue jusqu’à l’os de Paris à Helsinki, qui ira maintenant les condamner. Malgré les dizaines de milliers de plaintes déposées en France depuis trois ans par des familles de victimes, des médecins, des infirmières, des soignants, des directeurs d’EHPAD, des associations de juristes, des journalistes convoqués à cette ordalie funèbre.

Ce ne sont pas les parlementaires, eux aussi corrompus, réduits à jouer la simagrée d’un débat démocratique écrit d’avance, qui oseront mettre en œuvre l’Article 68 de la Constitution pour voter la destitution d’un tyran coupable de haute trahison.

Ce n’est hélas pas non plus l’armée qui pourra servir de rempart à la démocratie, rétablir l’ordre face au danger de dislocation et de guerre civile. Comme l’avait évoqué une tribune d’officiers en 2021.

Son devoir eût été pourtant d’utiliser la force au nom de l’intérêt supérieur de la nation, et de déposer un Président parjure qui a trahi le peuple et nos institutions, qui a vendu la France à des intérêts privés étrangers comme BlackRock ou ces banquiers qui lui dictent depuis plus de dix ans la politique de la France. L’armée aurait pu rétablir une République kidnappée par cette caste pressée de détruire les Etats-nations, de voler leur souveraineté aux peuples, de démembrer le corps social, de le désunir et de l’affaiblir de l’intérieur pour précipiter l’avènement de cette gouvernance mondiale déjà bien en place, qui est l’aboutissement de sa stratégie et son obsession depuis deux siècles.

Cette armée française pourtant riche d’hommes intègres et respectés, fidèles à leur mission, aux grands principes, à l’esprit du fondateur de notre République, comme le général Pierre de Villiers, est hélas dépassée par les enjeux qui pèsent sur elle, dictent ses orientations et ses moyens, comme toutes les armées du monde occidental. Consciente que son intervention pourrait la discréditer et nuire à la France, elle préfère s rester en retrait et prévenir le pire, sans intervenir directement dans le destin de la France.

Revenir sur cette Histoire récente qu’on voudrait un peu vite nous faire oublier, oser voir en face les zones d’ombres, les crimes d’Etat, permet de relativiser l’enjeu de cette réforme des retraites. Qui n’est somme toute rien d’autre que la nième réédition d’un scénario maintes fois rejoué depuis 40 ans par les gouvernements successifs. Depuis le tournant néolibéral de la rigueur adopté en 1983 par François Mitterrand pour acclimater l’économie, les finances et le budget de la France aux critères de Bruxelles. Et donc du nouvel ordre financier mondial.

Notamment ce fameux système social français, que paraît-il le monde nous envie.

Quand on voit le combat homérique qu’a dû mener Barack Obama pour faire adopter sa réforme de santé de l’Obamacare aux Etats-Unis, et comment ce projet qualifié de communiste par l’opposition républicaine fut démantelé dès que l’hôte de la Maison Blanche eut tourné les talons, on comprend qu’après l’offensive menée sous Nicolas Sarkozy par Malakoff-Médéric et son délégué général Guillaume Sarkozy, frère du Président, pour imposer un système de retraite par capitalisation favorable aux fonds de pension américains à la place du système français par répartition hérité de la Libération, l’adoption de cette réforme des retraites n’est qu’une formalité, secondaire mais non négociable, pour les stratèges de BlackRock qui l’ont soufflée à leur télégraphiste de l’Elysée.

Quand on sait que Larry Fink, CEO de BlackRock, a assisté au Conseil des ministres en 2019 sur la question des retraites, il y a des questions à se poser.

Depuis, les institutions de la République ont été saccagées comme jamais, avec un souci, maniaque au début, bâclé aujourd’hui, d’en préserver les apparences.

Comment expliquer qu’une révolte unanime ne se soit pas déchaînée en 2020 lors de l’instauration de cet état d’urgence sanitaire ?Et plus encore, au moment de sa prolongation, arrachée en procédure d’urgence au Parlement. Et lors de son renforcement par des couvre-feux insensés, ou ces autorisations de sortie autoadministrées, cette décision transgressive, illégale et liberticide d’imposer la vaccination obligatoire, le pass sanitaire, puis le pass vaccinal.

Comment avons-nous pu laisser sacrifier nos enfants sur l’autel du Mammon mondialiste ? Bâillonnés huit heures d’affilée sans pouvoir respirer. Soumis à des sévices physiques et psychologiques par un corps professoral aux ordres, contaminés sous leur masque par leurs propres germes, en état de sous-oxygénation. Isolés dans des boîtes en plastique, interdits de jouer, de parler, de sortir, d’aller pisser. Culpabilisés à l’idée de « tuer papy et mamie », ne pouvant les approcher que derrière une vitre, comme au parloir d’une prison. Ces grands-parents ostracisés, privés d’affection -certains en sont morts – sommés de rester à la cuisine le soir de Noël. Toute une génération de gamins traumatisés à vie, selon les pédiatres.

Il y a bien eu ici ou là quelques appels à la désobéissance civile. Un concept honorable mais un peu vain.

Mais jamais des millions de citoyens dans la rue pour dire STOP à ce massacre. L’écrasante majorité des Français sont sagement restés chez eux, devant leur poste, terrifiés. Ceux qui ont osé braver l’omerta et les mesures insanitaires, sortir sans masque, approcher leurs congénères à moins d’un mètre de distance, s’aventurer seul en forêt, courir sur une plage déserte, se rouler une pelle en public, se virent immédiatement rappelés à l’ordre. Manu militari.

On a même remis au goût du jour une veille coutume française très en vogue durant l’Occupation : la délation. Dénoncer un « complotiste » est devenu un geste exemplaire et courageux. Comme balancer une famille de « Youpins » sous Pétain : un gage de patriotisme, de civisme, et l’assurance d’être bien vu des autorités.

Comme dans l’épisode d’Astérix La Zizanie, chaque village d’irréductibles gaulois, contaminé par les mensonges sournois d’un petit pervers intrigant au service de César, s’est mis à suspecter son voisin, à nuire à ceux déclarés non-conformes. La division a remplacé l’union sacrée contre l’occupant. La haine a remplacé la camaraderie. La fête et les banquets ont été consignés. Les valeureux Gaulois ont fini comme des prisonniers, séparés, bâillonnés, ligotés, réduits à l’immobilité et au silence.


L’état d’urgence ou comment en finir légalement avec la démocratie

Etat d’impuissance plutôt ! Le peuple le plus rebelle du monde réduit à la soumission volontaire. Le coq aphone tremblant comme une cocotte, sans oser risquer un bec hors du poulailler.

Rappelons qu’avant 2020, ce concept d’état d’urgence sanitairen’existait dans aucun texte de loi, français, européen ou international. Il fut d’ailleurs vivement critiqué par les constitutionnalistes.

En toute objectivité, il fut inventé par une sorte de Comité de salut public autoproclamé, en violation flagrante de la Constitution. Un huis clos composé de membres restreints du gouvernement, et d’un pseudo Conseil scientifique sans légitimité, désigné par Macron, bafouant l’éthique médicale et le consensus scientifique, composé de membres peu qualifiés mais bardés de conflits d’intérêts.

L’état d’urgence n’avait qu’un seul but : détourner les institutions pour justifier une authentique dictature sanitaire préservant les apparences de la légalité démocratique. Avec une rhétorique dramatique destinée à subjuguer l’opinion et pirater les institutions.

Une mesure injustifiée pour mener une « guerre » contre un virus et protéger les citoyens contre une infection bénigne.

L’état d’urgence est prévu par la Constitution pour répondre à des circonstances exceptionnelles qui mettent en danger la sécurité du pays ou l’intégrité de la nation. Comme une grave émeute, une guerre civile, une menace contre le territoire national. Les deux seules fois où le général de Gaulle y a eu recours, c’est pendant la guerre d’Algérie et en mai 68.

Les pleins pouvoirs donnés au Président, plus un Conseil de défense opaque qui pendant deux ans a pris des décisions à huis en secret sur tous les sujets importants, court-circuitant le Conseil des ministres et le Parlement, et sans jamais rendre compte au Parlement, aux médias ou à la Justice. Si l’on ajoute la subordination par l’exécutif des pouvoirs législatif, judiciaire, médiatique, médical et administratif, en français cela s’appelle une dictature sacrément musclée. Et c’est ce que nous avons subi pendant deux ans, au prétexte de préserver notre santé et notre sécurité.


Crimes de la Collaboration et mythes de la Résistance

Et vous, vous étiez de quel côté entre 2020 et 2021 ? Du côté du pouvoir, ou des parias ? Du côté des Christophe Barbier, qui trépignait en exigeant que l’Etat dépêchât l’armée pour pénétrer de force dans les maisons et vacciner tout le monde, comme au Mexique ? Comme ceux qui voulaient « emmerder les non-vaccinés », déclarés non-citoyens par un Président garant supposé de l’unité de la nation ?

Ou derrière le Professeur Perronne, et tous ces authentiques médecins qui n’ont jamais renié leur serment d’Hippocrate ? Ces vrais experts qui ne courent pas après les chèques de Pfizer ou sur les plateaux de France 2, mais qui dès le début ont hurlé à l’imposture, au risque de perdre leur boulot, leur honneur, leur liberté, et parfois leur vie.

Comme après les heures sombres de l’Occupation, où la très grande majorité des Français se terraient chez eux en attendant des jours meilleurs, et pour certains traficotaient avec les Schleux, après le traumatisme du Covid la France a vécu une période d’amnistie-amnésie qui n’est pas tout à fait achevée. Et qui laissera encore longtemps des séquelles dans les mémoires.

Mais même si la France de Macron est la lanterne rouge de l’Europe pour ce qui est de faire la lumière sur les crimes des années Covid, même si les procès ici sont davantage étouffés qu’ailleurs (notamment aux Etats-Unis), même si les médias mainstream tiennent encore leur rôle de chiens de garde du pouvoir et continuent de servir la soupe aux fake news, même si l’opinion demeure confuse et perplexe parce qu’elle se sent coupable d’avoir collaboré, gageons que d’ici deux ans tout le monde sera complotiste. Comme tout le monde était résistant le soir du 8 mai 1945.

Le reflux des vagues de plus en plus vagues de variants avait permis la levée opportune des mesures sanitaires les plus restrictives et impopulaires, à six mois des présidentielles. Ce qui permit à la marionnette de Davos de rempiler pour un second mandat.

Depuis, le Covid a été remplacé par d’autres obsessions planifiées, indispensables pour maintenir la plèbe en état de tétanie. 3e guerre mondiale, flambée des prix de l’énergie, hyperinflation… Avec juste une embellie avant la réforme des retraites avec cette Coupe du Monde chez nos amis islamistes de Doha. Et un chapelet de faits divers hebdomadaires pour bien plomber l’ambiance.


Le refoulement et la dictature

Cette nouvelle flambée de violences à laquelle nous assistons suite au débat parlementaire escamoté et l’adoption au forceps de la réforme des retraites agit comme le point focal de cristallisation des ressentiments, des frustrations, des non-dits accumulés pendant six ans de Présidence Macron. Voire plus si l’on remonte aux crises sociales sur fond de crises économiques des décennies 1980 et suivantes.

C’est justement parce que le procès du Covid n’a jamais eu lieu, bien plus encore que le procès facile des répressions policières (surtout pour les gardiens de la morale LFI et consorts), parce que ce sujet a été soigneusement escamoté au cours de la campagne de 2022, que tous les candidats validés par le système, de Poutou à Zemmour, ont marchandé leur ticket électoral contre la promesse de ne pas aborder le sujet, que cette omerta nationale est en train d’exploser derrière le prétexte d’un projet impopulaire. Un projet qui symbolise et résume le meurtre du peuple perpétré par un caste et ses marionnettes dans une parodie de démocratie.

La crise du Covid, apothéose d’une dictature qui ne dit pas son nom, dont l’enjeu dépasse de très loin les gesticulations hexagonales, est comme le meurtre fondateur des sociétés primitives. Comme le cadavre puant du sacrifice antique, cent fois rejoué, mimé, singé, sacralisé mais toujours tu.

Les victimes directes ou indirectes du Covid, et tous ces crimes dont nous sommes tous coresponsables par notre acquiescement et notre silence, sont comme le retour du refoulé qui empuantit la mémoire collective. Il taraude la conscience nationale plus sûrement que le remords qui pèse sur l’âme des violeurs d’enfants après avoir enterré la dépouille de leurs victimes. Et plus ce souvenir nous hante, plus nous nous sentons coupables, et plus nous tentons de le refouler davantage.

La jeunesse est moins sujette à la mauvaise conscience, parce qu’elle est la première victime de ce génocide et qu’elle appartient à une génération sacrifiée. Elle n’a donc aucun scrupule à descendre dans la rue pour tout brûler et tout casser.

Mais qu’on ne se cache pas derrière des ratiocinations politiques : ce ne sont pas les black blocs qui risquent de flanquer la France par terre en criant « Révolution ! ». Ce sont nos propres enfants qui se sentent trahis, vendus, abandonnés. Et qui viennent réclamer des comptes à leurs parents, autant qu’au pouvoir en place pour lequel ils n’ont pour la plupart jamais voté.

C’est cela qui effraie les braves gens. Pas quelques poubelles qui brûlent. Pas quelques vitres cassées. Ni quelques flics qui s’en sont pris une dans une manif. Sur ce sujet, les compteurs affolés depuis les Gilets jaunes laissent un sérieux avantage aux brutes de Macron, en termes de coups et blessures décochés pour protéger une dictature.

Quand on a compris cela, on comprend que tous les facteurs sont réunis pour qu’un scénario insurrectionnel d’une envergure rare éclate en France. Et que le petit poudré de l’Elysée, qui concentre la plus puissante impopularité suscitée par un Président de la République sous la Ve, va devoir d’une façon ou d’une autre payer pour tout ce qui lui et ses prédécesseurs ont fait subir au peuple depuis des décennies.

Non pas au nom d’une idéologie, non pas par esprit cupide ou pour satisfaire son ambition personnelle, mais par entêtement à faire le jeu d’un pouvoir qui l’a adoubé, se sert de lui, l’acclame et le soutient tant qu’il sert ses intérêts. Mais qui l’a déjà lâché et s’apprête à le livrer comme un bouc émissaire expiatoire pour calmer l’ire vengeresse de la plèbe.

Le Grand Soir, la Révolution, la VIe République, tous ces gros mots ne sont que des arguties rhétoriques pour justifier un processus implacable, et pour l’essentiel inconscient, digne d’un film de Wajda.

Quelles seraient les alternatives, les contre-pouvoirs, les organisations qui pourraient récupérer la colère montante sous une forme encore acceptable, et nous épargner tribunaux populaires et guillotines ? Quitte à déplacer le combat sur un autre terrain, à tenter de mobiliser les plus frileux ou se limiter à des sabotages ciblés.

Il est assez troublant que des groupes d’activistes antisystèmes comme les Anonymous, d’habitude si prompts à lancer des cyberattaques furtives contre des cibles bien identifiées, symboles de la corruption étatique, ou des dictatures officielles comme la Chine, se soient si peu illustrés durant la crise du Covid. Ces Robins des bois du cybermonde, experts en virus explosifs, se seraient-ils laissé vaincre par un vulgaire rhume ?

Comme on n’a jamais entendu ces ONG politiquement correctes spécialisées dans la lutte anti-corruption dénoncer ces champions du monde toutes catégories que sont Pfizer-Moderna, BlackRock-Rothschild, la Fondation Bill Gates, l’OMS ou la Commission Européenne.

L’une d’entre elles, très présente en France à l’époque des Nuits debout, est subitement devenue aphone dès que Macron a été élu. Il est vrai que Transparency International, qui s’exporte avec succès dans les démocraties occidentales, a été créée aux Etats-Unis il y a vingt ans par d’anciens salariés de la World Bank. Et qu’elle préfère aujourd’hui se scandaliser sur la toile d’être évincée de Russie par le Kremlin.

Quant à ces antifas et autres révolutionnaires en toc de l’ultragauche qui cèdent à « l’ultraviolence », comme disent les médias après une soirée de manifs sauvages dans Paris, parce qu’ils ont brûlé une poubelle, saccagé un McDo ou cogné sur flic surarmé, ils feraient bien d’avoir un peu plus de jugeotte et de choisir mieux leurs cibles.

Plutôt que de détruire un kiosque à journaux, ou mettre le feu à l’entrée de la Mairie de Bordeaux, ces chevaliers noirs de l’anticapitalisme devraient plutôt s’en prendre au siège de la Banque Rothschild, de BlackRock, de McKinsey France. Ou carrément aller chercher comme il le demande l’imposteur de l’Elysée qui nous nargue depuis l’étranger. Plutôt que de pourrir la vie aux petits commerçants et habitants des quartiers en flammes qui doivent bosser le lendemain.


Du déni au rêve, fuir le réel, fuir la vie

Face à ceux qui collaborent par ignorance, par bêtise, par intérêt ou par cynisme, face à ceux qui courbent le dos en ravalant leur colère, face à ceux qui s’insurgent en relevant la tête et en dressant le poing, il y aussi ceux, plus dangereux encore, qui s’insurgent en rêvant.

Ces idéalistes, ces doux baltringues, ces benêts schizophrènes qui nous appellent à chanter le « Nouveau monde » en faisant abstraction de l’ancien, qui prônent la non-violence ou l’amour universel, y compris envers nos ennemis, en invoquant tantôt Jésus, Gandhi, Martin Luther King, les aliens ou Vishnou.

Ces pacifistes au QI d’huître abrutis de CBD et de fleurs de Bach n’ont rien compris aux paroles des maîtres spirituels auxquels ils croient se référer. Ils les résument à une guimauve flasque et délétère pour justifier leur propre abdication. Ils se projettent dans un monde imaginaire, une dimension qui n’existe pas, en faisant l’économie du discernement, du réel, de la souffrance, du vrai combat spirituel.

Ceux-là sont les alliés implicites de leurs bourreaux, auxquels ils donnent des arguments new age pour ignorer leurs crimes. Car renoncer à accepter la colère, la violence inhérente à la vie, le rapport de forces, la confrontation des egos, des désirs et des excès, le goût du pouvoir, la part obscure et inachevée de notre humanité, ce n’est pas l’aimer, c’est au contraire la nier. Ce n’est pas servir l’humain, c’est lui ôter tout pouvoir créateur, pour l’enchaîner à des aliénations et des mirages.

C’est la politique des faibles, des faux, de l’homme du ressentiment nietzschéen, travesti en prêtre de la morale ascétique, ou en VRP des valeurs pastiches.

On peut accepter la réalité de la violence sans l’alimenter par esprit de haine. On peut accepter qu’une part de cette violence passe par nous, sans s’identifier à elle, en faire le but de toute action politique ou un principe nihiliste.

Il n’est pas étonnant qu’après avoir corrompu par l’argent et subverti de l’intérieur toutes les grandes institutions religieuses du monde, la Caste fasse également la promotion des spiritualités alternatives, du New age, de tout ce qui permet de vendre du rêve aux masses écrasées, de mieux les contrôler, les neutraliser par des illusions de bonheur à la carte.

Non pas que les nouvelles formes de spiritualité qui prônent la Paix, l’Amour universel, l’Unité de l’humanité, son Eveil ou sa Libération soient mauvaises en soi. Bien au contraire. Ce qui est pernicieux, c’est leur instrumentalisation pour servir de narcotique aux foules sentimentales et égarées.

Comme le soma dans le roman dystopique Le Meilleur des mondes d’Aldous Huxley. Cette drogue administrée plusieurs fois par jour à chaque individu pour lui prodiguer un bonheur sédatif instantané et renouvelable.

Il n’est pas facile de tenir le fil entre les extrêmes. De refuser de sombrer dans le déni, la facilité, la dépression, la violence nihiliste ou l’illusion. De garder le cap, d’affronter le réel, les épreuves, en restant éveillés, debout et unis. De prendre sa part de responsabilité au lieu de s’en remettre à une Sécurité ou une Providence illusoires, en renonçant en échange à sa liberté, à son identité, ou contre une fausse promesse de lendemains qui déchantent.

L’insurrection et la violence légitime ne sont pas seulement un moyen pour continuer à exister, pour s’opposer, sinon pour mettre fin à une oppression en renversant un pouvoir illégitime.

Ce peut être aussi un moyen de créer. De faire place là où tout est encombré, contraint, bloqué. D’ouvrir l’espace pour de nouveaux possibles.

Pas forcément, comme en rêvent certains à gauche, pour en finir avec cette Ve République déclarée à bout, et instaurer une illusoire VIe République. L’outil n’est pas la fin. Mais peut-être pour revisiter cette Ve République, et la vivre autrement.

Ou bien passer à quelque chose de radicalement différent.


Penser global, agir national : redonner du sens à l’Universel

Tout sera fonction des évolutions du monde. Le piège des discours politiques et médiatiques en France, comme de presque tous nos intellectuels, c’est de regarder les choses par le petit bout de la lorgnette, avec une perspective strictement franco-française, ou à la rigueur européenne. Alors que les enjeux, comme les solutions, se dessinent à l’échelle mondiale, avec une perspective universelle, dont la mesure sont les peuples, et la perspective l’humanité.

Parce que le Pouvoir qui nous force à accepter son ordre arbitraire en renonçant à qui nous sommes est mondialiste sinon mondial. Il est présent partout, et non lié à un pays, un bloc ou une aire géographique. Il est partout en même temps et apatride. Ce pouvoir de la finance mondiale dématérialisée a déjà gagné. Il a aussi déjà perdu. Parce qu’il représente un monde en récession. Un monde qui n’en finit plus de s’écrouler. Entraînant dans sa chute des états, des institutions, des pouvoirs, des ambitions, des fortunes, des certitudes, des souffrances, des injustices, des scandales, tous attachés à l’ordre ancien.

Un autre futur que cette dystopie totalitaire qu’on nous vend comme inéluctable est déjà là. Il émerge et se réalise sous nos yeux incrédules. Ce n’est pas un autre monde utopique, puisqu’il n’y a qu’un seul monde. Il ne vient pas du Ciel, d’une autre planète où vivraient des aliens plus évolués que nous. Mais d’une dimension supérieure où tous les futurs possibles coexistent en même temps. Où des esprits bienveillants conspirent pour que nous choisissions ensemble le meilleur d’entre eux.

Ce n’est pas un illuminé qui parle ainsi, c’est Philippe Guillemant, l’un de nos plus brillants physiciens, auteur d’une théorie sur le temps[ii].

A n’en point douter, nous, la France et l’humanité tout entière, entrons dans une grande tribulation.

Cette perspective ne doit pas nous effrayer, mais au contraire nous stimuler. Nous avons été assez forts pour traverser les épreuves précédentes. Nous amorçons maintenant la dernière ligne courbe vers la lumière, dans un tunnel sombre. Celui de notre inconnaissance des merveilles qui nous attendent.

Ne nous arrêtons pas aux spectres qu’on agite au-dessus de nos têtes. Ne nous laissons pas distraire par les ombres projetées sur les murs de la caverne, ou intimider par les voix qui cherchent à nous déstabiliser, nous culpabiliser, à anéantir nos capacités d’agir et de créer.

Nous en aurons grandement besoin pour terrasser le Dragon de nos doutes, de nos lâchetés, de nos cupidités, de notre arrogance, de notre hubris de pouvoir, sur les autres, sur la vie, sur le monde.

Ceux qui vivent le Combat comme une violence sont ceux qui veulent y renoncer, se trouver des excuses, se justifier, ou se sanctifier avant l’heure.

Le scénario insurrectionnel que vit la France aujourd’hui est une métaphore miniature de ce que l’humanité traverse face aux pouvoirs qui s’empressent pour la dominer en totalité. En renonçant à toute humanité.

Un accouchement. Une délivrance. Avec son lot de contractions, de douleurs, de cris, de sang, de merde, d’impatiences et d’angoisses.


Révélation et Commencement

Et puis cet Alléluia de la Vie qui donne la vie. Une nouvelle vie, et non juste une vie de plus.

L’heure du choix est arrivée. Quel sera le plus efficace ? Et surtout lequel produira le plus de sens ? Insurrection des armes, insurrection des peuples, insurrection des idées, insurrection des sentiments, ou insurrection des consciences ?…

N’ayons pas peur. Entrons par la Porte étroite. Car c’est ici le Commencement.


[i] Michel Onfray : Théorie de la dictature. Robert Laffont, 2019

[ii] Philippe Guillemant : Le grand virage de l’humanité. Guy Trédaniel 2021

L’été sera chaud ! Vers la société du contrôle total

« Vous êtes en infraction. Votre pass a été désactivé par le Système. Vous ne pouvez plus utiliser votre ID pour entrer dans un lieu réglementé, utiliser les transports, vous connecter à Meta ou effectuer une transaction. Un agent-robot va intervenir dans 47 secondes. Il vous conduira vers un centre citoyen où vous serez reprogrammé et vacciné. Pour votre sécurité, n’opposez aucune résistance. Je répète… »

Cette scène digne d’un film de science-fiction pourrait bientôt être notre réalité quotidienne. L’immense majorité d’entre nous n’a absolument aucune idée des capacités offertes par les nouvelles technologies développées et testées ces dernières années. Comme des moyens effectifs aujourd’hui déployés en vue de permettre une surveillance totale des populations.

Un projet qui n’est pourtant ni secret ni « complotiste ». Il suffit pour s’en convaincre de lire des rapports publiés au cours de ces 10 dernières années par des d’organisations mondialistes on ne peut plus officielles comme l’ONU (Agenda 2030 et 17 Goals pour un développement durable), le Forum Economique Mondial (Great Reset), ID 2020 (consortium mondial public/privé réunissant des sociétés comme Microsoft, Accenture, Price Waterhouse, Cisco Systems…), la Fondation Rockefeller (rapport prospectif de 2015 sur l’avenir du monde), la Fondation Hopkins ou la Fondation Bill & Melinda Gates.

Ou d’écouter certaines conférences (consultables sur YouTube) sur les nouvelles technologies en informatique, télématique, robotique, monétique, nanotechnologies, neurosciences réalisées par de riches et prestigieux intervenants, oligarques multimilliardaires et autres gourous de la Silicon Valley, promoteurs du transhumanisme et du contrôle de masse. Comme Klaus Schwab, Président du Forum Economique Mondial ; Bill Gates, fondateur de Microsoft et d’une fondation « humanitaire » à son nom qui est le principal financeur de l’OMS et de Big Pharma ; George Soros, financier et fondateur de l’Open Society, plusieurs fois condamné pour délits d’initiés et corruption ; Mark Zuckerberg, patron de Meta/Facebook et grand apôtre du transhumanisme ; Elon Musk, première fortune mondiale à la tête d’une kyrielle de multinationales hi-tech ou transhumanistes comme PayPal, SpaceX, Neuralink, Starlink, Tesla, Hyperloop, OpenAI, Twitter… ; Ray Kurzweil, innovateur hi-tech et futurologue transhumaniste ; Jacques Attali, infatigable évangéliste du mondialisme, du transhumaniste et de l’eugénisme depuis plus de 40 ans ; ou encore Laurent Alexandre, fondateur de Doctissimo et d’une start-up de neurosciences, conférencier, promoteur des nouvelles technologies et du transhumanisme…

Nouveaux vaccins, nanopuces, capteurs numériques, reconnaissance faciale, systèmes et algorithmes de surveillance de masse, identité numérique, passeport sanitaire, portefeuille numérique, monnaie numérique, crédit social sur le modèle chinois… Toute cette panoplie se met gentiment en place en ce moment même, pendant qu’on nous endort avec Mélenchon et sa NUPES, qu’on dissèque la dernière petite phrase insignifiante d’un intellectuel de plateau, ou qu’on disserte sur la légitimité d’utiliser la force face à une émeute dans un stade…

Profitez à fond de la trêve estivale après la dernière farce « électorale », dont le tsunami programmé continue de saturer vos esprits connectés pour ne pas vous égarer vers d’autres sujets embarrassants. Pendant que d’autres préparent pour vous la rentrée et la mise au pas des réfractaires, avec la phase 5 de cette plandémie.

En effet, dès juillet grâce à l’Union européenne et à cette chère Fräulein Ursula, sera introduite dans tous les pays membres de l’Union notamment la France la nouvelle norme appelée identité numérique européenne.

Un outil d’identification, de contrôle et de traçage individuel imparable, couplé aux nouvelles technologies.

Et aux nouveaux moyens de paiement : l’euro numérique, actuellement mis en place par la BCE : Une ultime étape avant l’introduction prévue à l’horizon 2030 de la monnaie unique numérique mondiale. Un projet dont le concept élaboré par l’élite bancaire et oligarchique anglo-américaine remonte au moins au 18e siècle ! Tout comme celui de gouvernance mondiale chère à Jacques Attali, dont il est le maillon essentiel pour permettre un contrôle progressif et absolu des économies, des flux financiers, des états et des individus par le levier de la dette, le contrôle de la monnaie et de toutes les transactions financières. Selon la formule célèbre de Mayer Amshel Rothschild : « Donnez-moi le contrôle sur la monnaie d’une nation, et je n’aurai pas à me soucier de ceux qui font ses lois. »

Ceux qui depuis le Covid ont essayé de renouveler leur carte d’identité plastifiée auprès du commissariat de Police de leur quartier ont dû être surpris par l’allongement anormal des délais d’attente : de quelques semaines, on est passé à plus de 6 mois. Motif : « le Covid » (bien pratique), qui entrainerait des restrictions de personnel et ralentirait le traitement administratif des demandes.

Pour info, il faut quelques minutes à l’administration suisse pour délivrer un permis de conduire ou une nouvelle carte grise au comptoir du Service des Autos…

La raison véritable de cet allongement inadmissible, hormis l’inefficacité légendaire des services publics français, est de vous dissuader d’utiliser votre carte d’identité classique : trop archaïque, falsifiable, sujette à des pertes et vols. Et manipulable donc « sale ».

Pour toutes ces bonnes raisons, elle sera bientôt définitivement remplacée par le tout nouveau portefeuille numérique européen. Quel progrès !

Toutes les informations concernant votre état civil, votre domiciliation, vos coordonnées bancaires, et bientôt tous vos paiements autorisés ou réalisés, y seront consignés, sans erreur ni sans falsification possible.

La BCE a d’ailleurs cette année revendiqué le droit d’enregistrer à des fins d’analyse toutes les transactions bientôt exclusivement numériques et fondées sur la technologie Blockchains (au cœur de l’ID 2020) qui seront effectuées sur votre compte. Un moyen (illégal et contraire à tous les règlements nationaux et internationaux sur la protection de la vie privée) de tracer tous les citoyens de l’UE à partir des transactions qu’ils effectuent, datées, géolocalisées, validées et contrôlées.

Dans le même esprit, le sans-contact permet depuis le Covid d’effectuer des achats à partir d’1€ et jusqu’à 50€ dans n’importe quel magasin muni d’un terminal (soit 99,99% des commerces en France). Plutôt que d’utiliser des liquidités, espèces ou chèques, ou d’introduire votre carte dans le lecteur en manipulant le pavé numérique, ce qui constitue un vecteur potentiel de propagation de germes pathogènes.

Grâce à cette justification « sanitaire », on vous a ainsi peu à peu habitués depuis 2 ans et plus à renoncer aux anciens moyens de paiement. Et à basculer vers un mode de paiement plus « light », plus « sûr » et plus rapide. Donc plus pratique. « L’argent, c’est sale », comme on nous l’a toujours appris…

Le sans-contact sera d’ailleurs bientôt étendu à des achats jusqu’à 200€, puis jusqu’au plafond de paiement individuel, grâce à cette ID numérique qui permettra une meilleure sécurisation dans l’utilisation de votre carte bancaire. Merveilleux !

Une étape importante vers la disparition définitive des moyens de paiement physiques. Puisque d’ici peu le seul moyen de paiement admis, ce sera… vous ! Toutes les données personnelles contenues dans votre portefeuille numérique seront encryptées dans votre corps, plus précisément dans des micro et nanopuces communicantes d’un taille inférieure à 1/10e de millimètre voire 1/1000e de millimètre, détectables et lisibles par des capteurs numériques qui échangeront en temps réel avec des AI et des serveurs à distance, via les innombrables objets connectés déployés dans notre quotidien, les antennes 5G et satellites Starlink de Tonton Musk (40.000 en orbite géostationnaire pour un accès gratuit partout à internet…) : Star wars, Matrix, le Meilleur des mondes et Minority Report réunis.

D’ici 2030, peut-être même 2026, les euros en liquide, pièces et billets, les chèques (trop coûteux à traiter), et même les cartes bancaires auront définitivement disparu. Tout comme les achats sur internet par carte ou IBAN bancaire, imparfaitement sécurisés, ciblés par les phishers et hackers de datas bancaires, et objet d’un volume croissant de fraudes.

Tout sera remplacé par le paiement en ligne sécurisé par l’ID numérique, et doublement sécurisé par des paramètres de contrôle biométriques, comme la reconnaissance faciale, l’empreinte digitale, vocale, etc… Et par un système de traçage numérique, actuellement mis en place et généralisé progressivement à toute la population grâce aux campagnes de vaccination.

Invraisemblable mais vrai.

Lisez notamment cet article sérieux et détaillé sur la présence effective de micropuces détectées dans les injections appelées « vaccins » commercialisées depuis fin 2020 par une poignée de labos champions toutes catégories de la corruption et condamnés à des peines record au pénal, comme Pfizer ou Moderna. Et découvrez les prouesses géniales de ce système de traçage inclus dans les injections, dont vous êtes peut-être l’un des tout premiers cobayes à être équipés si vous êtes vacciné. Ce système permet notamment d’assigner un code Bluetooth individuel à chaque personne injectée (n’ayez pas peur, ça ne fait pas mal… du moins au début) et donc de vous identifier facilement comme de lires des informations numériques confidentielles vous concernant.

Pour information, ce système de traçage implique des firmes leaders des nouvelles technologies comme Microsoft (on s’en serait douté) ou Hitachi. Il concerne tous les « vaccins Covid » actuellement sur le marché. Et bien sûr les futurs rappels et vaccins relais destinés à vous recharger en oxyde de graphène peu à peu éliminé par le corps. Comme le nouveau vaccin déjà préconisé par l’OMS contre le monkeypox (la variole du singe), ou de futures épidémies inconnues mais déjà prévues par des « spécialistes » comme Bill Gates.

Cette technologie a d’ailleurs fait l’objet de tests important en 2019-2020 au Kenya et au Malawi sur des petits Africains à peu près consentants, sous l’égide de fondations mondiales « humanitaires » comme la Fondation Bill & Melinda Gates.

Les résultats très positifs de ces tests à grande échelle ont fait l’objet de publications dans des médias français très officiels, comme Le Monde, les Echos ou LCI. Sa réalité ne peut donc être mise en doute.

Cette technologie nouvelle permettra notamment dès qu’elle sera officialisée de vérifier sans possibilité de falsification si vous êtes vacciné ou non, avec quel vaccin, combien de doses vous avez reçu et quand. Et donc de vous vacciner de gré ou de force si vous ne l’étiez pas avant. Au risque si vous vous y opposiez de vous voir supprimer tous vos moyens de paiement et vos droits essentiels, comme la possibilité de vous déplacer, de voyager, d’utiliser les transports, de vous rendre dans une administration, de voter, de vous réunir avec d’autres personnes (que vous pourriez contaminer), de rentrer dans un hôpital (où sont soignées des personnes fragiles), d’accéder aux soins et à tout lieu public sécurisé. Avec comme seule alternative la mise en quarantaine et la rééducation forcées, ou le confinement obligatoire dans une pièce isolée de votre domicile, sans contact et sans droit d’en sortir.

A ceux qui estiment tout cela ahurissant et impossible, je conseille d’aller voir ce qui se passe depuis 2 ans en Australie ou en Nouvelle Zélande, pays dirigé par la jeune et ravissante Jacinda Ardern, Young Global Leader du World Economic Forum, la secte de scouts mondialistes de Klaus Schwab, dont font également partie entre autres Bill Gates, Angela Merkel, Emmanuel Macron, Justin Trudeau, Ursula van der Leyen, Edouard Philippe, Gabriel Attal, Valérie Pécresse et Xavier Bertrand. Un pays parmi les plus répressifs au monde, comparable aux dictatures islamistes qui furent les première (après le Vatican) à imposer la vaccination obligatoire, mais qui n’a pourtant comptabilisé que 57 décès du Covid pendant le pic épidémique du printemps 2020. Trouvez l’erreur.

Quant à l’Australie, on a peu entendu les médias français pourtant si prompts à défendre les « droits de l’homme » quand ce pays a pris l’une des mesures coercitives les plus extrêmes et révoltantes de ce début de siècle. A savoir rassembler l’an dernier quelques 24.000 enfants dans un stade à Sydney pour les vacciner de force. Avec interdiction pour leurs parents de s’y opposer, et même de pénétrer dans l’enceinte. C’est beau la démocratie !

Inutile de commenter les exploits en matière de dictature sanitaire réalisés par la Chine, encore tout récemment. On a tous en tête ces images horribles de camps de concentration improvisés pour rassembler de force « malades » (les cas positifs ou suspectés de l’être) et les réfractaires au vaccin en situation d’illégalité. Ces milliers de citoyens chinois arrêtés le soir à leur domicile, la porte de leur appartement défoncée à coups de masse par la Police ou la milice sanitaire, et enfermés de force dans des cages à lapins pendant des semaines.

Tout cela prouve que cette dérive totalitaire qui ne touche pas que des pays isolés, est tout sauf une fiction complotiste.

Et ne vous y trompez pas : la France, pays de la démocratie et des droits de l’homme de notre cher sociopathe-Président n’y fait pas exception. Les enfermistes comme Christophe Barbier, conseiller du Président, réfléchissent depuis 2 ans à la meilleure manière de surveiller et punir, c’est à dire de contrôler, vacciner, enfermer et contraindre tout le monde, en faisant totalement abstraction des liberté constitutionnelles, et en ayant recours à la force publique (Police, armée), et la contrainte physique s’il le faut. Comme cela se fait par exemple au Mexique où des populations entières ont été vaccinées de force dès 2020 par des patrouilles de l’armée venant dans les rues frapper aux portes des maisons.

Emmanuel Macron lui-même l’a très clairement laisser entendre au cours de son allocution télévisée de décembre 2020, au début du second confinement, dans un passage bizarrement passé inaperçu parmi les commentateurs d’habitude cramponnés à la moindre de ses déclarations :

« Il faudra réfléchir [terme utilisée systématiquement depuis 5 ans pour annoncer les mesures impopulaires à venir] à l’avenir à créer des centres de quarantaine où l’on pourra orienter les personnes contaminées, sans doute au niveau de chaque commune. » Qu’en termes élégants ces choses-là sont dites ! En gros, il ne s’agit ni plus ni moins que de rouvrir le Vel d’Hiv pour les non-vax.

A bon entendeur…

Une fois rangés tracts et affiches de ces élections-divertissement, et maintenant que le pantin a la caution des urnes pour un second round pour calmer toute velléité insurrectionnelle pourtant légitime, le cirque sanitaire va bientôt pouvoir reprendre. Et être même être renforcé, en France comme ailleurs dans toute l’Europe.

La vaccination obligatoire pour tous, y compris pour les nouveau-nés, est un principe déjà acquis par l’OMS au cours de ce premier semestre 2022. OMS, organisation privée financée en majorité par des fondations privées comme la Fondation Gates qui contrôle l’industrie pharmaceutique, qui s’est vu octroyer cette année le droit de statuer sur les futures lois imposées à tous les pays en matière sanitaire ! Une forme de totalitarisme sanitaire avec une façade légale.

Cette vaccination obligatoire devrait entrer en vigueur en France vers la fin de l’année. Comme l’a clairement annoncé Macron, juste avant le premier tour des présidentielles (au conditionnel bien sûr, pour ne pas effrayer les inutiles appelés à « faire barrage à l’extr^me droite »…

De façon prévisible, les médias mainstream commencent déjà à débattre depuis une semaine du retour des mesures sanitaires sur les plateaux télé : réintroduction prochaine du pass, opportunité de rétablir le masque dans les transports, de rendre obligatoires les rappels désormais trimestriels, voire de rétablir le confinement : toutes les options sont sur la table.

Entre temps, le pass sanitaire européen, obligatoire pour tous, va bientôt remplacer le pass vaccinal puis sanitaire inauguré il y a tout juste un an. Et mis en berne il y a 3 mois pour cause d’élections. Avec l’arrivée en octobre des nouveaux variants très méchants, annoncée depuis 3 mois par les autorités sanitaires à peine corrompues, Conseil Scientifique et ANRS en tête.

Restons donc extrêmement vigilants et préparons-nous à devoir nous engager dans des actions massives de désobéissance civile et de sabotage, si nous ne voulons pas de cette dictature sanitaire mondiale et transhumaniste ! Et ayons le courage de dire NON à ce nouveau durcissement du totalitarisme technosécuritaire et sanitaire, vers lequel on nous embarque à un rythme accéléré grâce à des pandémies contrôlées (cf. déclarations de Jacques Attali, et « Covid-19, The Great Reset » de Klaus Schwab et Thierry Malleret (2020 : à télécharger en français et en pdf gratuit sur internet).

Au nom de la liberté, de la dignité humaine et de l’avenir de nos enfants, opposons-nous à cette mise au pas totalitaire des individus, de la société, des états condamnés à disparaître d’ici le milieu de ce siècle, dilués dans ce Nouvel Ordre Mondial imaginé par une clique d’oligarques sociopathes et déterminés. Et mis en place par des marionnettes comme Macron, van der Leyen et d’autres, qui osent prétendent agir au nom du Progrès, de l’efficacité, pour notre sécurité et pour le bien de l’humanité.

La Société de l’Obscène, mirage des papillons

Babylone, la grande prostituée

Qu’est-ce que l’Etat de droit ?

Selon une conception qu’on fait souvent remonter, du moins en France, à Montesquieu, l’Etat de droit est un principe juridique, philosophique et politique qui suppose la prééminence du Droit sur le pouvoir politique. Il s’oppose à la monarchie ou au despotisme, lequel fonde le pouvoir politique sur l’arbitraire d’un seul homme ou d’une caste, seul détenteur de l’autorité, seule source du Droit, et seul arbitre des autres pouvoirs.

Selon ce principe d’Etat de droit, la loi s’applique à tous, de la puissance publique aux individus. Personnes physiques ou morales, tous sont égaux devant la loi et doivent se conformer à la même norme juridique de façon égale, du chef de l’Etat au simple citoyen, et même au prisonnier déchu de ses droits.

La France est-elle encore aujourd’hui une démocratie ou un Etat de droit ?

Qu’on se place d’un point de vie juridique, constitutionnel, institutionnel, social ou politique, la réponse à ces deux questions est évidemment non.

L’abandon de la souveraineté nationale au bénéfice d’institutions européennes de type fédéralistes, le transfert progressif des pouvoirs législatif, exécutif et judiciaire nationaux vers des instances communautaires comme l’Union Européenne, la Commission Européenne, le Parlement européen, le Conseil des ministres européen, la Cour européenne de Justice ou la Cour européenne des droits de l’homme, pour n’en citer que quelques-unes, sans compter les institutions non élues qui constituent la matrice de la future gouvernance mondiale, officielles (G7, G8, G20, Conseil de Sécurité, ONU, OMC, FMI, Banque mondiale…), ou plus opaques (groupe Bilderberg, Commission Trilatérale, Forum économique mondial et think tanks divers…), la substitution du principe démocratique central dans notre Constitution du gouvernement du peuple, par le peuple, et pour le peuple par une pseudo démocratie représentative constituée d’élus sélectionnés et financés par les mêmes lobbies, la dérive technocratique et élitaire de la société et des modes de décision, la corruption de tous les pouvoirs par des puissances économiques et financières étrangères qui contrôlent leur financement, leurs actions et les élites en place, ont peu à peu révélé l’imposture qui se cache derrière une utopie démocratique qu’on agite encore pour se rassurer ou pour tromper les masses.

Quant au Droit, il est devenu avant tout un instrument pour contrôler les autres pouvoirs. La judiciarisation de la politique répond à une dérégulation et une subordination de l’économie grâce aux nouvelles normes juridiques supranationales en faveur de la dérégulation et du libre-échange imposées de façon sournoise grâce aux traités transatlantiques notamment par les partisans d’un mondialisme sauvage où l’Argent-roi, le Marché tout puissant et la loi du plus fort balayent peu à peu tous les garde-fous démocratiques et juridiques qui protégeaient jusqu’à présent les plus faibles contre l’avidité sans limite des plus forts.

Non que la France soit devenue une République des juges, où l’hystérisation moralisatrice, l’obsession de la norme, l’exhibition plébéienne et la judiciarisation permanente des comportements déviants auraient remplacé la vertu, l’exemplarité ou le devoir moral des élites envers le peuple. Mais cette tendance est au contraire surjouée pour maquiller l’absence de vraie justice. Dans les discours politiques et médiatiques, dans ces nouvelles normes morales woke agitées par les intellectuels de cour comme Enthoven pour traquer les écarts, crucifier les fautifs et les jeter en pâture à l’opprobre public. Et laisser soigneusement dans le même temps les élites les moins suspectées de duperie poursuivre leur petit commerce sordide, protégées par l’obscurité coupable et la confusion générées par le tumulte ambiant.

La France de 2022, comme toutes les autres démocraties occidentales à un titre ou un autre, ressemble plus à la Rome des empereurs décadents qu’à un parangon de vertu démocratique. Un empire qui se pare d’autant plus de vertu que celle-ci a déserté le sérail depuis plusieurs générations. Un empire qui se délite par la tête, poreux aux invasions barbares, culturelles et spirituelles plus qu’avant tout démographiques.

Contrairement aux obsessions zemmouriennes, la France serait moins menacée par le Grand remplacement sous les coups de boutoir des hordes barbares venues de l’Islam ou de l’Afrique que par le Great Reset. La grande aspiration qui précède la Grande Réinitialisation mondialiste.

Et pour accélérer ce phénomène de dislocation des structures étatiques, institutionnelles, éthiques et culturelles dont le roi-Pinocchio Emmanuel II a le secret, l’Islam et tous les communautarismes propres à démanteler l’unité nationale sont des alliés de choix, plus qu’un but en soi.

Car tous seront promis au même sort une fois les réduits identitaires et démocratiques tombés : passés par l’aspirateur et la moulinette du grand laminoir mondialiste, cette machine infernale à broyer les identités, les aspirations libertaires ou communautaires, pour les assimiler dans le grand Collectif indifférencié : celui des esclaves consentants du monde d’après. Avec ses promesses de vie meilleure, virtuelle et connectée ; du moins pour ceux qui n’auront pas été entre temps éliminés après avoir été déclarés non conformes, dangers potentiels, réfractaires au bonheur imposé, antivax, complotistes ou contaminés.

Notre société ne repose évidemment plus sur le Droit. Même si elle fait mine d’être obsédée par le Droit. Ou plutôt obsédée par une conformité purement formelle à la seule norme faussement structurante qui subsiste une fois l’éthique vidée de son sens : La norme juridique. Ce qui est permis ou interdit selon l’arbitraire du pouvoir, justifié par une logique de l’efficacité ou des discours « progressistes » qui ne sont qu’un simple emballage rhétorique pour faire passer la pilule.

Un nouveau totalitarisme s’est ainsi mis en place de façon tellement subtile que certains n’en ont même pas encore conscience. Il s’appuie pour s’imposer sur un terrorisme permanent, lui-même justifié par une morale qui se résume à un conformisme comportemental, intellectuel et discursif. Et surtout sur une transparence de tous les instants, qui n’est même plus une injonction ou une exigence à tout dire et tout montrer au nom de l’intérêt général ou d’un impératif catégorique (la lutte contre le terrorisme). Depuis que les nouvelles technologies ont transformé la vie cognitive, la vie privée, intime, interpersonnelle, relationnelle et non seulement la vie sociale, professionnelle, économique, en tribunal inquisitorial permanent, traquant nos moindres faits et gestes, nos pensées, émotions et intentions, avant même que nous prenions nous-mêmes conscience.

Une telle dérive, ajoutée aux frayeurs essentiellement irrationnelles entretenues par les médias sur l’apocalypse climatique, chimique, virologique et autres fléaux qui conduisent l’humanité vers sa disparition annoncée, nous ont enfermés dans une paranoïa collective qui est devenue aujourd’hui notre seule manière collective d’être au monde.

Elles nous poussent à suivre de façon moutonnière toutes les injonctions absurdes supposées garantir notre sécurité, sans voir qu’elles nous précipitent au contraire vers le Néant. Avec comme corollaire pour nous assujettir tout un tas de dérivatifs et de divertissements, de potions toxiques pour nous abrutir davantage, de baumes hyper customisés pour dorloter notre ego, nous faire oublier nos frustrations le temps d’un épisode Netflix, et renoncer à toute envie de réfléchir par nous-mêmes. Ce qui risquerait de nous faire prendre conscience de l’obscénité du chantage dont nous sommes l’objet, et de ce monde qu’on nous vend comme le meilleur possible.

Terrifier, soumettre, contrôler. Tels sont les mots d’ordre des maîtres du monde, qui tirent les ficelles de ce grand marché de dupes.

Le maître mot de cette magistrale imposture, ce n’est pas le Droit, le Bien, le Juste, le Vrai, le Beau ou même le secure, c’est l’Illusion.

La Société du spectacle chère à Guy Debord est devenue une société de l’Obscène, travesti en apothéose de la vertu.

Comme dans le roman d’Orwell, le mensonge c’est la vérité.

Ainsi en va-t-il de cette « Justice » aussi absurde qu’injuste. Cela vaut pour la Justice française comme pour la Justice internationale. Et cela augure de ce que sera le monde futur. Ce Nouvel Ordre Mondial qu’on nous promet aussi proche qu’inéluctable, apte à arracher l’humanité à tous les cataclysmes environnementaux, sanitaires, industriels, économiques, monétaires, nationalistes ou religieux qui la menacent. Une assurance multicarte contre toutes les turpitudes apocalyptiques. Le messianisme technologique à porter de clic.

Aujourd’hui, sous les caméras du monde entier, se tient le procès d’un homme seul face à ses juges. Un soldat russe, donc doublement méchant par nature, accusé de crime de guerre pour avoir tué un civil. Un comble pour un soldat !

Il est vrai que depuis l’invention par les faucons néoconservateurs du Pentagone lors de la première guerre en Irak de 1991 du concept de frappes chirurgicales, la guerre ne tue plus jamais d’innocents. On passera donc sous silence les 200.000 civils tués durant les guerres au Moyen-Orient du très consensuel Obama. Pas grave, c’étaient des Bougnouls. Pardon, des islamistes.

Un gamin de 20 ans qui exécute un ordre idiot et fait une victime non programmée est donc désormais déclaré criminel de guerre. C’est facile, c’est pas cher, c’est énorme mais ça empêche de penser. C’est en effet un bouc émissaire parfait pour concentrer le désir légitime de vengeance de tous les crétins lobotomisés par BFM TV, qu’on fait aboyer depuis trois mois contre le nouveau Diable russe.

Une façon habile de faire oublier tous les crimes commis à notre encontre depuis cinq ans par le petit dictateur en herbe qui s’agite à l’Elysée en obéissant aux ordres de ses mentors qui en veulent toujours plus. Pour le coup les plus criminels qui soient dans l’Histoire, comme l’avenir le révélera bientôt. Et ce devant la Shoah, Staline, Pol Pot ou la Révolution culturelle.

La société du spectacle jette donc aux fauves anémiés d’une opinion émasculée ces menues croquettes en guise de consolation pour toutes les humiliations infligées.

Et pendant que la basse-cour merdiatique s’agite sur ce minuscule crime de guerre faute de mieux, personne ne parle des milliers de plaintes déposées depuis deux ans pour crimes contre l’humanité. Génocides, euthanasie des résidents en EHPAD, empoisonnements volontaires, mise en danger de la vie d’autrui, non-assistance à personnes en danger, falsification de données médicales officielles, primes au parjure et au mensonge, interdiction de prescrire, trafic d’influence, conflits d’intérêts et corruption aggravée, exercice illégal de la médecine, subornation d’autorité scientifique, fraude fiscale. Macron, Philippe, Castex, Buzyn, Véran, Delfraissy et autres tartufes cyniques et sanguinaires pourraient se retrouver dans le box des accusés. Sans parler des violences policières, des crimes de haute trahison, du démantèlement de l’Etat, des services publics et des administrations au profit d’entreprises privées comme BlackRock, la Banque Rothschild ou McKinsey. Ou de certaines firmes championnes des condamnations pour crimes comme Pfizer, mécène comme d’autres laboratoires pharmaceutiques de LREM ou de certains ministres macronistes.

Des plaintes qui seront évidemment toutes déboutées pour vice de forme ou autre alibi. Comme l’ont été celles pour crime contre l’humanité déposées mi-2021 par le Barreau des avocats indiens contre Bill Gates et sa fondation criminelle, Anthony Fauci et Tedros Ghebreyesus, directeur général de l’OMS, après l’interdiction faite au gouvernement indien en pleine flambée épidémique de délivrer de l’ivermectine aux personnes touchées par le variant Delta. Et alors que plusieurs millions d’Indiens avaient justement pu être sauvés grâce à l’administration précoce de ce traitement, parmi les plus efficaces contre le Covid.

A la notion de crime contre l’humanité il va bientôt ajouter celle de crime d’obscénité, tant celle qui caractérise la caste au pouvoir ne semble plus connaître de limites.

Mais précisément, nous obséder à notre tour avec ce désir de juger ces criminels et leur faire rendre gorge, n’est-ce pas précisément rentrer dans le piège tendu par la Bête ? Nous laisser vaincre par cet appétit mimétique de revanche. Et nous abaisser à n’être que des suppôts de la Bête.

La question n’est pas tant ici celle de la Justice. Justice humaine et institutionnelle, au nom d’une certaine conception du Droit, des droits humains, du meilleur modèle d’exercice du pouvoir ou de la meilleure façon d’être en société. Sinon d’un renoncement temporel à la logique du Talion qui nous exonérerait de la mécanique sacrificielle en renvoyant nos bourreaux à un quelconque Jugement dernier. La vraie question n’est pas non plus comment gouverner au mieux le monde, selon quels principes universels, quel modèle, ou même au service de qui.

La seule question essentielle est celle de notre identité et de notre avenir commun. QUI voulons-nous devenir collectivement ? A quoi ressemblera cette humanité future qui émerge actuellement, et qu’on force à rentrer dans le moule mensonger des mondialistes ? Quelle sera la Conscience collective qui adviendra ? Et qui constituera une fois le brouillard de la confusion dissipé l’Âme de l’Humanité ?

A toutes ces questions, on ne peut répondre en nous définissant contre ou à partir d’un contre-modèle que nous réprouvons viscéralement. Ce qui reviendrait à le créditer sinon à l’adopter. On ne peut sortir du rapport de forces qui empêche notre humanité d’achever son unification de façon congruente et féconde en nous enfermant dans un autre rapport de forces : celui qui nous pousse à nous opposer à une tentative de réduire l’humain à un objet, une marchandise, un esclave, un robot ou un déchet, tout juste bon à satisfaire l’arbitraire de ceux qui s’en déclarent eux-mêmes les dieux.

Plus que jamais, face au piège des normes destinées à asservir et stériliser toute capacité de dépassement créateur, face la perversion mondialiste ou « progressiste » qui réduit le principe d’Etat de droit au mensonge de l’état de non-droit, face à l’obscénité des crimes liés au pouvoir qui ne sont plus des déviances à une norme éthique ou juridique mais ressemblent quasiment une Essence de volonté perverse, il faut remettre l’imagination au pouvoir.

Car ce que l’on cherche à tuer en nous, ce n’est pas tant la vie, la santé physique ou mentale, le discernement ou l’esprit critique. C’est notre faculté à créer, qui est une autre définition de la liberté. Pas à créer des objets, à satisfaire notre désir narcissique en nous projetant dans des créations extérieures. Mais cette capacité à NOUS créer, c’est-à-dire à choisir collectivement et en conscience l’expérience que nous voulons faire de nous-mêmes, qui fait au mieux sens commun et nous qualifie le mieux en tant qu’êtres humains.

Pas pour nous prendre pour des dieux à la place d’un quelconque dieu créateur. Mais pour être réellement à son image. C’est-à-dire des consciences issues de la Conscience, à la fois autonomes et indissolublement reliées. Et qui participent à ce Grand-Œuvre de création d’une Réalité toujours transformée, en unissant leurs consciences vers un désir libre d’incarnation collective d’une certaine réalité. En lien avec toutes les autres formes de conscience qui nous constituent et auxquelles nous sommes reliés. C’est-à-dire à l’Univers tout entier.

N’y a-t-il pas meilleure définition contemporaine de cet universalisme qui inspire nos idéaux humanistes ?

Il est temps de nous élever, de nous hisser hors de la matrice, de sortir des confusions et des pièges du Collectif quand celui-ci est plaqué du dehors par des discours collectivisants et totalitaires. Et de vivre enfin l’expérience collective, en laissant naître cette humanité au lieu de projeter sur elle nos manques, nos rêves et nos illusions.

A l’Obscénité victorieuse et scandaleuse succéderont alors Paix, Joie partagée, Fécondité et Harmonie.

On pourrait douter que ces belles paroles ne soient autre chose qu’un vœu pieu au milieu d’horreurs. Et pourtant. C’est parce que la chenille meurt qu’elle peut devenir papillon. Mais qu’en est-il de la conscience d’une chenille qui meurt et ignore tout de ce qu’est un papillon ?…

Perversité suprême, le monarque, une espèce de papillon exotique, est le nom choisi pour désigner les victimes d’un programme d’expérimentations secrètes conduites à des fins de manipulation mentale par la CIA à partir des années 1950 (projet Monarch ou Monark en anglais). Il consistait à choisir le profil de cobayes humains fragiles, et à en remodeler totalement la personnalité en les soumettant à des chocs traumatisants, dans le but de les rendre totalement malléables et propres accomplir sous emprise des missions criminelles que leur conscience les aurait obligées à refuser autrement.

Ces papillons monarques sous l’influence d’une autorité machiavélique sont un peu à l’image de nos âmes suppliciées, terrorisées, contraintes de tous côtés, jusqu’à nous forcer à rentrer dans le moule et aller là où nous ne voudrions pas aller, en faisant le contraire exact de ce qui est bon pour nous. Et pour cela il faut anéantir en nous toute esprit critique, toute résilience, toute capacité de réaction, et même toute conscience individuelle et tout principe éthique. Toute humanité. Pour devenir des robots compatibles avec les AI, nos nouveaux geôliers.

Sauf que le grand papillon qui va sortir de ce supplice pourrait s’avérer – ô surprise – l’inverse du but attendu.

Deviens qui tu es ! Fais ce que toi seul peut faire.

Alors que l’humanité se débat dans les ténèbres, nous devrions plus que jamais faire de cette maxime de Nietzsche notre premier commandement : prendre pleinement conscience, devenir vraiment et librement Qui nous sommes. Des êtres « divins », infinis reliés à l’Infini, aussi insignifiants dans notre prétention à nous élever par nous-mêmes que tout-puissants.dans notre aspiration à rejoindre les cimes de cette force matrice de l’Univers qu’on appelle l’Amour. Et non ce à quoi voudraient nous réduire de faux dieux enchaînés par leur ego à leur volonté de puissance, à leur orgueil, à leur enveloppe mortelle et à leur vanité.

Pourquoi l’écrasante majorité de nos concitoyens refusent de se réveiller ?

Au début de cette année 2022, après plus de deux ans de crise du Covid et alors que les révélations se multiplient partout dans le monde pour faire la lumière sur la face cachée de cette crise et les crimes commis, beaucoup d’observateurs conscients des enjeux s’interrogent sur les raisons de cette lenteur de l’opinion à admettre la vérité.

Pourquoi les esprits semblent-ils lents à se dégriser ? Alors que les preuves de la manipulation dont ils sont s’objet depuis deux ans s’exposent de plus en plus clairement au grand jour, y compris dans les médias mainstream qui ont le plus contribué à créer et entretenir la confusion.

Pourquoi les positions se durcissent au point que certains se laissent enfermer dans des discours et des positions radicales conformes aux mesures sanitaires les plus absurdes, quand bien même les mesures liberticides qu’elles comportent contredisent fondamentalement leurs principes éthiques ?

L’opposition de la masse à s’ouvrir à d’autres discours que ceux de la propagande officielle relève-t-elle vraiment d’une incapacité à comprendre ? L’immense masse du troupeau serait-elle stupide, abêtie à cause de décennies d’ingénierie sociale qui auraient annihilé toute capacité à raisonner hors des schémas officiels, comme le leur reprochent ceux qui cherchent à les alerter ?

Ou bien ne s’agirait-il pas plutôt d’un refus de se remettre en cause et de remettre en cause des modèles, des discours, des schémas intellectuels faux, trompeurs, mais finalement sécurisants ?

Les gens ne sont pas idiots ou ignorants. Le problème ne vient pas d’un seuil critique d’information nécessaire pour qu’une masse critique ouvre les yeux. Mais d’un refus volontaire de la majorité d’exercer son esprit critique et de faire face à la réalité.

Le problème est donc autre. Et la solution ne réside pas dans un surcroit de preuves ou d’informations pour dissiper la confusion. Les blocages sont subjectifs, irrationnels, et donc beaucoup plus difficiles à faire tomber.

La vraie nature de la réalité

La réalité objective n’existe pas : nous vivons dans un « hologramme » fabriqué pour nous et qui nous masque en permanence la vraie nature de la réalité.

Selon la physique quantique, ce que nous appelons habituellement réalité objective n’a aucune existence intrinsèque. Tout ce que nous appelons le réel, avec lequel nous interagissons, en particulier la réalité physique dans laquelle nous croyons évoluer, n’a pas d’existence en tant que tel. Ou plutôt il n’a aucune existence sans une conscience pour le faire exister.

 Cette vérité très étonnante résulte d’une propriété essentielle des particules élémentaires. Une particule peut se définir à la fois comme de l’énergie et de la matière. A l’état naturel, une particule est définie par ses propriétés vibratoires. Elle n’a aucune masse et est entièrement énergie. De même il est impossible de déterminer a priori avec certitude à la fois la position dans l’espace et la vitesse d’une particule. Une même particule se situe en termes probabilistes EN MEME TEMPS à plusieurs points de l’espace. Et c’est précisément l’observation dans le cadre d’une expérience scientifique qui fait perdre à une particule son caractère ondulatoire pour la faire devenir un grain de matière avec une masse et une position dans l’espace. Dès qu’une conscience observe une particule, celle-ci échappe aux principes d’incertitude et de multilocalisation pour prendre la forme d’une particule de matière dont on peut mesurer avec certitude la position.

Cette particularité fait dire aux scientifiques que la réalité matérielle telle que nous la concevons n’existe pas en tant que telle, comme un donné ad hoc qui existerait avec certaines propriétés indépendamment de nous. Et que rien dans l’Univers n’a d’existence sans une conscience pour interagir avec lui.

Tout ce qui semble exister indépendamment de nous n’a de fait qu’une existence relative. La réalité n’est qu’un sous-produit de la conscience. L’approche neuroscientifique inspirée des théories quantiques appliquées à la compréhension de la conscience et de ses manifestations dans le cerveau va plus loin en démontrant que tout ce qui nous percevons autour de nous comme « réel » résulte en réalité d’interactions entre notre conscience et des perceptions, des sensations, des images mentales qui se forment dans notre cerveau. En réalité le réel est fabriqué à chaque instant par nos représentations mentales.

D’ailleurs notre cerveau ne fait a priori aucune différence entre des stimuli « réels » qui seraient produits par des éléments extérieurs, des images, des sons, des sensations, et des stimuli virtuels produits par notre imagination ou des hallucinations mentales.

Ce qui nous conduit à conférer à certaines perceptions la qualité de « réelles » résulte en fait d’habitus, de repères acquis et organisés depuis notre naissance, de conventions qui relèvent d’une culture commune.

Nous voyons une table et nous l’identifions aussitôt comme une « table » : sa forme, ses dimensions, sa consistance, sa position dans l’espace évoquent aussitôt le concept de table et sa fonction.

Il en va de même pour tout ce que nous avons l’habitude de considérer comme réel et ce que nous considérons comme irréel ou imaginaire selon nos propres croyances.

Si nous sommes des êtres matérialistes et rationnels nous sommes par exemple persuadés que les fantômes n’existent pas. Par conséquent ceux qui disent avoir vu des fantômes ne peuvent qu’être victimes d’hallucinations, d’altérations de leurs sens, de leur esprit trop crédule, ou d’un imaginaire trop fertile. Tout ceci N’EST PAS réel.

Ce sont donc nos croyances et nos représentations, personnelles et surtout collectives, qui déterminent ce que nous sommes enclins à considérer comme réel et ce qui ne l’est pas.

Les recherches en neurosciences sur le fonctionnement du cerveau montrent que celui-ci n’agit pas comme un décodeur du réel, mais plutôt comme un filtre qui isole certains canaux. La fonction du cerveau n’est pas de convertir des stimuli extérieurs en images mentales, de les décoder pour les transformer en informations intelligibles, mais plutôt d’agir comme un filtre qui oriente notre conscience sur certaines fréquences parmi la masse quasi infinie d’informations quantiques avec lesquelles nous interagissons en permanence inconsciemment.

Si ce rôle de filtre n’était pas assuré, notre conscience serait subitement submergée par un flot d’informations qu’il lui serait impossible de gérer. Ce qui nous plongerait immanquablement dans un état de psychose insupportable. C’est exactement le type d’expériences vécues lors de certains états modifiés de conscience induits par la prise de substances psychotropes, lors de rites chamaniques ou d’expériences psychédéliques. Comme l’ayahuesca, mélange de substances végétales utilisé par certains chamanes d’Amazonie. Ou le LSD et la DMT utilisés dans le cadre d’expériences cliniques en psychologie transpersonnelle.

La tradition biblique offre un écho de ces expériences. Dans le livre de l’Exode (Ex 30:19-20), le prophète Moïse demande à Dieu de lui révéler son visage. Ce à quoi Dieu lui répond :

« Je ferai passer devant toi toute ma bonté, et je proclamerai devant toi le nom de l’Eternel ; je fais grâce à qui je fais grâce, et miséricorde à qui je fais miséricorde. L’Eternel dit : Tu ne pourras pas voir ma face, car l’homme ne peut me voir et vivre. »

En d’autres termes, il est impossible de « voir » comme de concevoir la Réalité ultime telle qu’elle est. On ne peut qu’interagir, entrer en relation avec elle. Et cela ne peut passer que par le filtre de notre écran mental qui scinde cette réalité indissociable en un sujet conscient et une « réalité » qu’il construit comme extérieure à lui et avec laquelle il interagit. Notre mode de connaissance le plus commun de l’autre est celui d’une communication consciente entre un sujet en un autre sujet. De même notre connaissance de l’Univers et de ses multiples réalités passe par le rapport entre un observateur conscient et un objet construit par lui comme son champ d’observation.

Le conditionnement, matrice de la condition humaine

Fondamentalement, chacun d’entre nous est une conscience individuée issue de la Conscience universelle. Cette conscience individuelle est incorporée dans un corps physique durant toute la durée de son existence qui va de la vie intra-utérine à la mort.

Cette expérience d’incarnation que nous désignons communément comme « la vie » définie notre identité d’êtres humains. Elle borne notre existence en nous conférant un certain nombre d’attributs qui définissent notre condition humaine, faite de potentialités et de limites. Attributs physiques, liés aux facultés de notre corps physique ; psychiques, liés au fonctionnement de notre cerveau ; et spirituels, liés au sens que nous donnons aux expériences vécues par notre âme au cours de cette existence incarnée. C’est-à-dire à cette expérience particulière d’être au monde, à la conscience d’être soi, interagissant avec d’autres consciences et usant de notre potentiel individuel et collectif de création de réalités.

Dans cette expérience de la condition humaine, notre expérience de la réalité s’organise sur la base d’un consensus qui confère une valeur particulière aux expériences vécues collectivement.

Ainsi dans le domaine de la connaissance scientifique, c’est le consensus, toujours flexible, relatif et évolutif, qui confère une valeur de vérité à des lois, des théories, des modèles sensés donner une certaine intelligibilité au réel construit comme objet de connaissance.

De même, d’un point de vue anthropologique, nos modèles comportementaux, nos schémas culturels, discursifs, sont définis par une culture commune, des lois sociales, un vocabulaire commun. Nous ne naissons pas et ne grandissons pas avec une faculté de toute puissance. Dès la naissance et dès que notre psyché se forme, nous faisons l’expérience de la limite. Nous apprenons, souvent douloureusement, à reconnaître ce qui distingue notre être du reste du monde. Puis nous apprenons à nous adapter, à nous comporter, à identifier ce qui est possible ou permis et ce qui ne l’est pas. Tout cet apprentissage de la vie en société façonne notre identité individuelle, notre personnalité.

Dès lors notre représentation du monde, de nous-mêmes, de l’Univers, de l’humanité diffère selon notre culture d’origine. Un Américain qui a grandi à Manhattan et un Amérindien qui a grandi dans une tribu yanomami dans la forêt équatoriale, tous deux confrontés à la même expérience, n’auront pas le même vécu de cette expérience. Parce qu’ils ne vivent pas dans la même réalité.

Plus encore, il n’existe aucune réalité objective qui puisse servir de dénominateur commun ou de référent pour évaluer leurs expériences relatives. Confrontés l’un à l’autre, leur expérience commune du réel ne peut émerger que d’une confrontation de leurs expériences individuelles, subjectives, et de l’élaboration d’un consensus sur ce qui fait sens pour tous les deux.

Au travers de cet exemple on comprend l’importance cruciale des référents culturels dans notre expérience de la réalité.

Nous sommes tous conditionnés par notre culture d’origine. Par les schémas mentaux implantés dans notre esprit depuis le plus jeune âge par nos parents, notre famille et notre milieu d’origine, le système éducatif, la société, le milieu professionnel, les discours politiques, médiatiques, scientifiques, culturels, juridiques, philosophiques, éthiques ou religieux. Par nos habitudes de consommation conditionnées par le marketing, la publicité, etc.

L’expérience humaine est donc d’abord une expérience du Collectif. Une expérience de la reconnaissance du soi comme se conformant à un modèle collectif. Une totalité qui nous conditionne en tant que membre appartenant à une communauté humaine, une famille, un clan, un groupe, une tribu, une ethnie, une nation… ou l’idée universelle que l’on se fait de l’humanité.

Mais cette expérience particulière n’aurait aucun sens sans l’émergence dialectique de la conscience individuelle. On ne naît pas au monde en sortant du ventre de sa mère ; on naît véritablement au monde quand la conscience s’érige et s’affirme à la face du monde en tant qu’individu pour dire « je ».

On a souvent l’habitude de considérer que la notion d’individu est une invention de la culture occidentale. Il y a lieu cependant de relativiser cette croyance. Dans presque toutes les cultures on retrouve des mythes similaires dans lesquels un individu se distingue du groupe, se sépare ou s’oppose à la masse, aux croyances et aux habitudes communes, pour suivre son propre destin. Cette séparation est souvent liée à la rencontre avec le divin.

Ainsi dans les mythes fondateurs de la Genèse, Abraham, le premier des croyants, répond à l’appel de Dieu qui lui ordonne de quitter son pays, sa famille et d’aller vers le pays qu’il lui montrera :

« L’Eternel dit à Abram : Va-t’en de ton pays, de ta patrie, et de la maison de ton père, dans le pays que je te montrerai. »

On retrouve des mythes comparables dans la pensée primitive, avec des héros qui choisissent de quitter leur tribu pour s’aventurer dans la forêt et entament ainsi une initiation personnelle qui leur révélera les secrets des dieux, la vraie nature de la réalité et qui ils sont vraiment.

Cette expérience est une constante inscrite au cœur de notre nature humaine : on ne devient vraiment soi qu’en rompant, au moins temporairement, avec le reste du groupe. Et donc avec ce qui nous définit en tant qu’humain selon les critères transmis par la culture commune.

Tout Eveil de la conscience est d’abord un arrachement douloureux. Il n’est donc pas étonnant que peu d’entre nous aient vraiment le désir de faire cette expérience. Devenir soi est un processus. Qui suppose de mourir à celui qu’on était ou qu’on croyait être. Et se lancer vers l’Inconnu. Tout le monde n’a pas l’esprit aventurier ou la vocation à devenir un héros solitaire.

C’est pourquoi dans toutes les cultures ce processus d’individuation est longtemps resté l’apanage d’êtres d’exception, tour à tour objets de fascination ou de rejet.

Celui qui choisit de quitter sa propre famille, de renoncer à son statut et à ses privilèges pour suivre sa propre route, est aussitôt perçu comme une menace pour la cohésion du groupe. C’est le cas de tous les êtres d’exception, les éveillés, les ermites, les prophètes, les messies, qui choisissent ce destin et répondent à cet appel particulier. Et qui bien souvent sont raillés, persécutés, pourchassés, parce qu’ils sont accusés d’être des profanateurs, des sacrilèges, des dangers, des traîtres ou des renégats.

Se séparer du groupe, remettre en cause ses fondements, partir à la recherche d’une autre vérité, puis témoigner en prétendant inciter les autres membres à s’éveiller à leur tour, c’est assurément s’exposer à devenir la proie des mécanismes de bouc émissaire.

Face aux crises qui les menacent, face à la violence nourrie par les conflits mimétiques qui mettent en péril leur existence, la tentation pour les sociétés est de retrouver leur équilibre en désignant une personne ou une minorité chargée d’endosser la culpabilité et la violence du groupe.

Bien souvent les pouvoirs en place, le roi, la caste dirigeante, ceux qui incarnent l’ordre établi, et qui peuvent se retrouver eux-mêmes désignés comme des boucs émissaires par le groupe en période de crise, choisissent de détourner l’attention du groupe et de canaliser la violence qui les menace en désignant tel individu ou telle catégorie comme bouc émissaire. Et le contrat qui lie la masse à ceux qui exercent le pouvoir se renouvelle grâce au sacrifice d’un seul ou de quelques-uns désignés comme coupables expiatoires des désordres auxquels il est aussitôt mis fin.

L’exemple de Jésus constitue une sorte de passage à la limite de ce mécanisme. Car si Jésus passait beaucoup de temps à s’isoler, à se « ressourcer », à se retrancher du groupe pour aller prier au désert, jamais il ne fit acte de rupture par rapport à son groupe d’origine, à son statut de membre du peuple élu ou à son rang lié à sa fonction rabbinique ou son ascendance royale. Jamais non plus il n’a appelé ses disciples à prendre les armes ni à se rebeller contre les autorités. Jamais il n’a remis en cause la Loi ou les pouvoirs établis, pas même celui de l’occupant romain. Au contraire, le message de Jésus vise à témoigner, exhorter, confronter, révéler les lâchetés, les hypocrisies, les logiques de pouvoir. Et à les reconnaître pour ce qu’elles sont, sans les combattre mais en choisissant d’autres voies. Tout en privilégiant sa relation directe et intime avec le Divin à toute forme de médiation selon une logique politique, juridique, économique, théologique ou sacerdotale qui s’érigerait en pouvoir.

Jésus guérit les corps, rétablit les esprit malades, restaure la dignité des rejetés, mais surtout il libère les consciences de toutes les geôles spirituelles, de toutes les assignations identitaires, de toutes les formes de domination ou de pouvoir. Ce faisant, il restaure le lien d’amour primordial entre chaque être et la Conscience divine d’où il est issu.

Cette attitude constitue précisément pour tous les pouvoirs fondés sur une appropriation identitaire, éthique et spirituelle le scandale absolu qui causera sa perte. Le pouvoir politique d’une dynastie hérodienne corrompue qui confisque l’identité nationale du peuple élu et s’associe aux persécutions de l’occupant romain. Le pouvoir religieux incarné par les grands prêtres qui s’approprie l’accès au Salut et au divin par une codification jalouse des modèles liturgiques. Le pouvoir des scribes et des pharisiens qui s’arrogent le droit exclusif d’interpréter la Loi, de déclarer qui est pur ou impur, d’inclure ou d’exclure selon des critères identitaires, législatifs et normatifs.

Jésus court-circuite tous ces pouvoirs. Il en révèle l’imposture flagrante. Il doit donc être mis à mort afin de préserver l’autorité mensongère de ces pouvoirs, de maintenir le peuple dans la peur et la soumission.

Les choses n’ont pas fondamentalement changé depuis 2000 ans. Seuls les discours et les modèles ont changé. Aujourd’hui le pouvoir capitaliste de la société ultralibérale mondialisée a remplacé la Promesse du Salut par le vertige hédoniste et matérialiste aux artefacts sans cesse renouvelés. Le pouvoir est plus concentré que jamais. Il contrôle tous les états, tous les empires, l’économie, la science, la médecine, la technologie. Il choisit et finance les dirigeants de chaque pays, appelé à renoncer à son identité et sa souveraineté pour se fondre dans le Nouvel Ordre Mondial. Il fait et défait la politique, les gloires et les fortunes, façonne nos modèles de consommation, nos comportements, nos croyances et nos pensées. Il contrôle chacun de nos mouvements, chacune de nos actions. Bientôt il contrôlera même grâce à l’AI chacune nos moindres pensées, de nos émotions ou réactions.

Démontrant une perversité et un cynisme absolus, ce système contrôlé par une poignée de banquiers et multimilliardaires se drape pourtant dans la plus parfaite des vertus. Il prétend même œuvrer pour le bonheur de tous. Pour cela il instrumentalise jusqu’à les vider totalement de leur sens les idéaux des droits de l’homme, les préoccupations contemporaines à propos du climat, du développement durable, de la paix dans le monde ou du droit des minorités.

Aucune alternative ne semble envisageable pour l’avenir de l’humanité que de devenir des esclaves, du bétail, des marchandises ou des déchets, de la mauvaise graisse improductive à éliminer drastiquement pour permettre un meilleur contrôle du reliquat totalement soumis.

Mais nul messie semble être en mesure de nous délivrer de cet asservissement total. Aucun homme providentiel, aucun leader charismatique, aucun prophète, aucun deus ex machina. Nous sommes seuls. Livrés à nous-mêmes. Avec comme seule alternative que de nous éveiller ou nous laisser exterminer.

La logique de la terreur

Aucune force au monde n’est autant susceptible d’annihiler notre capacité de création et de réflexion que la peur.

Que nous ayons ou non conscience des enjeux terribles qui nous menacent, nous sommes tous les victimes d’un véritable terrorisme conçu et entretenu pour annihiler toute capacité de réaction.

Il faut un énorme courage pour vouloir s’éveiller et se délivrer de cette emprise avant tout spirituelle. La plupart d’entre nous ne l’ont pas et ne l’auront jamais. Ils ne savent que suivre et se soumettre.

En dépit des mythes que nous nous plaisons à cultiver sur les héros rebelles ou la Révolution, la propension à la révolte ne fait pas partie des constantes de notre humanité. Les forces centripètes qui nous poussent à rester sagement dans le troupeau, à obéir et à nous conformer aux injonctions et modèles imposés, sont beaucoup plus puissants que les forces centrifuges qui mous poussent à remettre en cause l’ordre établi et la place qu’on nous assigne dans la société pour écrire nous-mêmes notre propre avenir.

Beaucoup d’entre nous jouent à être des ados rebelles, des indignés, des insoumis. Nous trépignons, nous râlons, nous manifestons, mais c’est presque toujours pour mieux retourner ensuite à nos habitudes sans rien changer à nos modes de vie.

Il faut un courage hors norme (ou beaucoup de folie) pour oser aller au bout de nos pulsions rebelles, nous désassimiler de tous les conditionnements que nous avons subis, et mener notre existence selon notre libre arbitre, en faisant fi de tous les assignats et de toutes les injonctions à la conformité. Surtout en ce qui concerne notre vision du monde, de la vie, de l’humanité et de son avenir.

Il est beaucoup plus confortable, rassurant et moins fatigant de recherche l’assentiment d’autrui, de consentir, de renoncer, d’appliquer des lois et modèles conçus pour nous et déjà éprouvés. Aller travailler le matin en arborant une tenue vestimentaire totalement originale plutôt qu’un costume cravate est un défi impensable pour la quasi-totalité des cadres qui travaillent dans une entreprise. Alors penser et s’exprimer par soi-même en refusant les discours ambiants, choisir un mode de vie totalement à l’opposé des modèles de la vie urbaine, postmoderne, consumériste, relève de la pure folie.

Nos sociétés tolèrent un certain degré de marginalité. A l’occasion elles récupèrent même certains exemples pour en faire des antinormes transgressives aussitôt transformées par le jeu de l’assimilation et de la mise en scène médiatique en nouvelles normes destinées à canaliser les désirs émancipateurs ou centrifuges des plus originaux d’entre nous. Mais tout ceci relève de la manipulation mentale, de l’ingénierie sociale, pas d’un principe libertaire ou émancipateur.

C’est ainsi qu’il existe de multiples façons d’être ou d’apparaître comme un rebelle. Des moyens très commodes de manifester notre singularité de canaliser notre désir de marginalité, de rébellion, d’émancipation à peu de frais. Sans vraiment remettre en cause les fondamentaux, prendre des risques ou se mettre en marge du troupeau. Cela donne un sentiment passager d’individualité, de marginalité, un supplément d’âme qui permet de customiser sa façon d’être au monde, de donner l’illusion qu’on « se construit sa propre identité » selon un catalogue de permissions sagement nomenclaturé.

Cette idéologie constructiviste très en vogue aujourd’hui est pourtant le contraire exact de l’Eveil de la conscience et de l’émergence d’une vraie individualité, libre et pleinement maîtresse de son pouvoir de création. Ce n’est qu’un processus de segmentation égotique du conformisme selon des normes préétablies et toujours recyclées. Le contraire de l’acte créateur.

Ce qui rend possible de tels mécanismes d’identification à des normes, c’est une soumission inconsciente aux pouvoirs, fondée sur une nouvelle forme de sacralité qui utilise la terreur pour empêcher tout libre arbitre.

Nous prétendons vivre dans des sociétés rationnelles alors qu’en vérité nos comportements obéissent à des mécanismes totalement irrationnels. Ainsi nous idolâtrons la science et la technique qui nous donnent une illusion de toute puissance comme des petits enfants qui jouent à se jeter des sorts et à proférer des incantations magiques. Jamais nous ne pensons un seul instant à remettre en cause les postulats de cette science ou les vérités que certains experts scientifiques nous présentent comme des vérités incontestables. Il ne nous viendrait jamais à l’esprit de remettre en cause le magistère de ces nouveaux gourous qui nous expliquent comment tourne l’Univers ou comment se propagent les nouveaux virus. La science est une nouvelle religion dont les hommes en blouse blanche sont les grands prêtres. Au nom de la Raison qui en serait la déesse, nous nous laissons déposséder de notre raison pour devenir des croyants bien observants.

Remettre en cause les discours et le pouvoir des sachants, scientifiques et médias qui en divulguent les vérités, est une transgression assimilée à un sacrilège. Tenir des propos qui contredisent la doxa officielle, voilà la forme contemporaine de l’hérésie ! Ceux qui commettent un tel péché ne sont plus accusés d’être des sorciers ou des impies, mais pire : des complotistes. Une déviance, une maladie, un crime à la fois dogmatique, psychologique, social, politique, éthique et spirituel. Les complotistes sont à la fois des déviants intellectuels et sociaux, des fous victimes de délires paranoïaques, des pervers narcissiques manipulateurs, des sociopathes qui mettent gravement en danger la santé physique et mentale de leurs congénères, l’ordre social et la démocratie. En France, leurs discours sont même désormais assimilés par la loi à des dérives sectaires, dont il faudrait protéger leur famille et leurs enfants en les déchoyant de leur autorité parentale.

L’invention de l’antimodèle du complotiste est l’un des outil des dictatures totalitaires modernes qui remonte aux dictatures communistes. Il est aujourd’hui revisité par la nouvelle dictature ploutocratique et technocratique, sanitaire et technosécuritaire, transhumaniste et eugéniste, qui n’a rien à envier à ses modèles communistes. Selon les mêmes méthodes, celles-ci cristallise les tensions sociales et l’angoisse des individus en les concentrant sur les sujets réfractaires présentés comme hostiles et même responsables des malheurs du groupe.

Ainsi le pouvoir détourne toute pulsion agressive qui serait légitimement dirigée contre lui sur des victimes expiatoires faciles à identifier. Les « complotistes » et les « non-vaccinés » ont ainsi remplacé les Juifs désignés comme fauteurs de troubles du Moyen-âge aux bûchers nazis. Ils sont les nouveaux parias sociaux indispensable au pouvoir pour se maintenir et justifier son régime de terreur au nom du bien commun, de la santé et de la sécurité du plus grand nombre. Et renforcer sa doxa en dépit de ses incohérences sans jamais laisser aucune prise à la contestation frontale.

Si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu.

Les plus grandes frayeurs partagées par tous les humains sont celles liées à la mort et à la naissance qui est son pendant. Se retrouver subitement séparé de son corps est sans doute la plus grande peur commune à toute l’humanité. Et la matrice de toute les autres peurs. D’autant que l’idée de la mort est souvent associée à celle de la souffrance physique, de l’agonie, et plus encore à celle de l’anéantissement du moi.

A la racine de cette peur il y a un archétype universel : l’illusion de la Séparation. La hantise d’être un jour séparé de son corps, qui fait pendant au traumatisme de la naissance où le nouveau-né est subitement séparé, expulsé du corps de sa mère avec lequel il ne faisait qu’un, est indissociable avec la terreur que suggère la perspective de l’anéantissement physique, mais aussi psychique.

Mourir est fantasmé comme la perte de tout contrôle, de toute identité, de toute faculté à agir. D’être séparé de soi-même et finalement désagrégé.

Cette peur procède d’une illusion fondamentale quant à notre vraie nature : celle d’être des êtres essentiellement séparés les uns des autres, comme l’individu que je suis vit une existence séparée du corps de sa mère qui l’a porté pendant neuf mois.

Or cette séparation n’est qu’illusoire. Elle est liée au fait que nous nous identifions à notre corps physique, dont nous expérimentons chaque jour les limites autant que les capacités.

Le traumatisme de la naissance vécu par toute conscience comme une expérience de douleur paroxystique et même de mort imminente lors des contractions qui précèdent le passage du col de l’utérus, traumatisme qui nous projetons cette expérience antagoniste tant redoutée de la sortie du corps au moment de la mort, entretient cette illusion commune que nous sommes des êtres finis, mortels et séparés. Alors qu’en réalité c’est tout le contraire : nous sommes des êtres spirituels, éternels et reliés de façon indissociable les uns aux autres parce que nous provenons tous d’une même Conscience dont rien ne peut nous séparer, d’où nous tirons notre vie et notre substance et à laquelle nous retournons.

Cette nostalgie, et pour beaucoup d’entre nous cette amnésie de l’Origine, nourrit en nous cette angoisse existentielle, ce sentiment d’un arrachement qui transparaît notamment dans les mythes de la Création comme celui de la Chute dans la Genèse.

A cause de ce double traumatisme, et de l’illusion qu’ils entretiennent, nous passons notre existence à rechercher des moyens pour conforter notre petit « moi », à nous rassurer en nous persuadant que nous sommes « quelqu’un » à nos propres yeux, de courir après des modèles, des gratifications, des consolations, au lieu de nous contenter simplement de faire pleinement l’expérience de QUI nous sommes, ici et maintenant.

Nous en venons à accorder beaucoup plus de valeur à cet ego, à ce moi illusoire qui n’est qu’une coquille vide, une timbale qui résonne, plutôt qu’à jouir simplement du simple fait d’être et d’exister, c’est-à-dire d’être perpétuellement créateurs et cocréateurs de notre réalité.

Cette expérience redoutable de la mort n’est cependant pas un mythe ou une illusion. C’est une réalité. Ou plutôt une expérience que beaucoup d’entre nous vivent réellement. Car mourir ce n’est seulement se séparer définitivement de son corps physique, voué à la putréfaction, c’est surtout passer par l’expérience terrifiante de la mort de l’ego.

Pour retrouver notre vraie nature originelle, il faut en passer par la mort de ce moi que l’on croyait être, et qui nous a donné l’apparence d’une épaisseur, d’une consistance tout au long de notre existence.

Ce moi, cet ego qui constitue notre personnalité, est précisément ce qui nous donne l’illusion d’exister, un sentiment de permanence dans un monde profondément impermanent. C’est aussi ce qui nous permet de porter un masque social et d’entrer en relation avec les autres dans cette existence incarnée. Or au cœur de l’expérience de la mort il y a cette expérience très déroutante de la mort de l’ego. L’âme se trouve subitement propulsée dans un état de conscience où tout en restant consciente, elle n’a plus conscience d’être un « moi ». Elle prend alors conscience de cette vérité qui est le plus grand paradoxe de l’existence, à savoir que nous sommes des consciences individuées mais son séparées des autres consciences. Bien au contraire, nous formons une entité indissociable, un Tout cohérent. Et tout ce qu’une conscience expérimente à son propre niveau d’existence impacte les autres consciences.

Certaines personnes qui ont vécu des états modifiés de conscience provoqués par certaines drogues comme le LSD décrivent une expérience similaire. La conscience du « moi », d’être un individu, se trouve de façon momentanée, quelques heures tout au plus, complètement dissoute. Et l’on accède à un mode de conscience universelle proche de la folie, qui se situe au-delà des notions de l’espace et du temps. On peut ainsi faire l’expérience d’être la conscience d’une plante, d’un animal disparu depuis des millions d’années, d’une montagne, ou de Dieu lui-même.

Ces expériences peuvent s’avérer très paniquantes pour ceux qui s’identifient à leur ego ou qui cherchent à contrôler ce qu’ils vivent à partir de celui-ci. Et qui ont l’impression terrifiante d’être anéantis.

Pourtant, on ne peut accéder à l’Eveil spirituel, naître de nouveau ou plutôt naître d’en-haut ou de l’esprit, sans accepter de perdre notre identité, ce que l’on croyait être.

Notre ego est constitué par l’agrégat de toutes les croyances que nous nourrissons à notre propos, auxquelles on nous a habitués ou que nous nous sommes habitués à considérer comme ce qui nous définit. Comme le fait d’être un homme ou une femme, jeune ou vieux, fort ou faible, beau ou moche, intelligent ou non, d’avoir telle ou telle qualité, telle connaissance ou telle capacité sanctionnée par les expériences que nous nous remémorons, les diplômes ou les réalisations que nous revendiquons.

Si nous cessons d’adhérer à ces croyances, nous cessons tout simplement d’exister. C’est pourquoi nous nous cramponnons souvent à nos certitudes sur nous-mêmes, comme à tous les miroirs que nous renvoient nos proches, nos amis, nos collègues, ceux nous ressemblent, ou la société, par peur de nous perdre.

Sortir de la Matrice

La saga de science-fiction Matrix ne décrit rien d’autre sous une forme allégorique que le monde dans lequel nous vivons aujourd’hui. Du moins celui dans lequel les maîtres du monde veulent nous enfermer.

Dans cette série, la quasi-totalité de l’humanité vit dans un état narcotique artificielle entièrement sous le contrôle des machines, des AI. Les êtres humains croient vivre une existence normale, avec une famille, un travail, des divertissements et des attributs reconnus par la société. Mais en vérité ils ne vivent que dans un état embryonnaire, sous cloche, plongé dans un état végétatif et dans une sorte de tube à essai ou de chrysalide géante. Leur corps est relié à des tuyaux qui pourvoient à leurs besoins physiques, et leur cerveau est relié aux machines, à la Matrice, une sorte de méta intelligence artificielle et de modélisation complexe au sein de laquelle interagit avec des programmes de simulation leur permettant de vivre une expérience totalement artificielle et interconnectée, qu’ils perçoivent comme la seule et unique réalité. Cette vie végétative où les humains sont « cultivés » dans des immenses champs par les machines permet à celles-ci de puiser leur énergie vitale indispensable pour alimenter leur fonctionnement.

Ce modèle fictif est exactement celui développé par la firme Méta, successeur de Facebook : un réseau social en 3D et une réalité virtuelle d’une infinie complexité où les consciences peuvent vivre une vie immersive, se connecter les unes aux autres et vivre une multitude d’expériences au travers d’avatars exactement comme dans le monde réel. Cette immersion permet aussi au système de collecter un nombre illimité de données personnelles, de connaître dans les moindres détails ses émotions et réactions à divers stimuli en analysant notamment ses mouvements oculaires les plus imperceptibles, de sonder son esprit, et donc de prévoir ou de piloter ses comportements pour un contrôle total.

Comme ceux qui sont plongés dans la Matrice sans le savoir, la plupart d’entre nous n’ont pas conscience du monde réel. Ils croient vivre une expérience réelle dans laquelle ils sont des sujets autonomes, alors qu’en réalité tout ce qu’ils vivent depuis leur naissance est conditionné de l’extérieur.

Dans le film Matrix, il y a parmi les habitants de Sion, la ville sous-terraine où vivent les rebelles qui sont sortis de la Matrice, un personnage très important : celui du traître qui choisit de trahir ses semblables en pactisant avec les Smith, des programmes autonomes chargés de traquer les réfractaires. Bien qu’étant éveillé et conscient de la nature de la Matrice, il choisir de conclure un pacte avec l’ennemi. Son choix au moment de vendre ses amis aux agents Smith est particulièrement éloquent : son plus cher désir est d’être réintégré dans la Matrice, de n’avoir plus aucun souvenir de sa vie passée, et de devenir quelqu’un de très riche et d’important.

Le message est clair : s’éveiller demande beaucoup de courage, comporte beaucoup de souffrances et de désillusion. Il faut notamment renoncer à tout ce que l’on croyait être, à tout ce que l’on était habitué à considérer comme vrai, à concevoir la Réalité comme totalement relative. Il faut faire preuve en permanence de discernement et de libre arbitre pour créer sa propre réalité, sans s’arrêter aux limites imposées par les croyances communes. Mais ce choix n’est jamais totalement définitif. Cette liberté que confère l’Eveil peut s’avérer insupportable. Et on peut en venir à préférer revenir à son aliénation antérieure à son écrasante liberté. Vouloir retourner à sa condition d’esclave ignorant, à une vie de mensonges et d’artifices, plutôt que d’être écrasé par la responsabilité de son libre arbitre.

C’est ainsi que beaucoup aujourd’hui qui sont au seuil de l’Eveil, qui comprennent que quelque chose ne tourne pas rond dans ce monde tel qu’on nous le présente, que la vérité est ailleurs, sont trop terrifiés par ce qu’ils commencent à entrevoir et préfèrent faire machine arrière, renoncer en chemin et refermer le couvercle.

Préférer le confort du mensonge, de l’hallucination collective à laquelle nous participons, est une tentation très commune. Ceux qui entrevoient la réalité du mensonge et de l’aliénation sont souvent ceux qui mettent le plus d’énergie à l’entretenir, en traquant et condamnant ceux qui osent lever le voile.

Certains croient pouvoir trouver ainsi un apaisement à leur conscience écartelée. D’autres font un pacte avec ceux qui les manipulent pour obtenir des avantages matériels, un meilleur statut, une plus grande reconnaissance, ou simplement pour ne pas perdre leur job.

Il faut comprendre que tous ceux qui travaillent à un degré ou un autre pour le pouvoir sont les premiers manipulés. Du simple fonctionnaire au chef d’Etat, il n’est pas un rouage du système qui ne soit méticuleusement contrôlé par lui.

Pourtant, parmi ceux qui occupent les plus hautes fonctions au sein d’une multinationale, comme dirigeant de leur pays ou comme sommité scientifique mondialement reconnue, il en est des courageux pour dire non aux manipulations dont ils sont l’objet et se retourner contre ceux qui veulent les contrôler. Certains le payent de leur vie. Et se retrouvent assassinés, suicidés, déchus de leur rang social, de leur statut professionnel, de leurs privilèges, leur réputation salie à jamais.

Evoluer ou renoncer

L’évolution est un processus continu, mais dont la trajectoire n’est pas rectiligne et qui connaît parfois des à-coup. Qu’il s’agisse de l’évolution des individus, des espèces vivantes ou de la conscience globale, l’évolution est une caractéristique indissociable de la vie. Vivre c’est évoluer en permanence. Pour déjouer les attaques des prédateurs, s’adapter aux modifications de son environnement, inventer des solutions plus efficaces pour tirer parti d’une situation donnée, faire reculer les limites de ce qui est possible…

Ainsi notre ADN où sont encryptées toutes caractéristiques de notre espèce, toute la mémoire de l’espèce, de la lignée et de chaque individu, ne connaît pas seulement des mutations dues à des erreurs de transcription ou à l’apparence de phénomènes nouveaux qui modifient nos caractéristiques génétiques. Selon les découvertes les plus récentes de l’épigénétique, notre ADN serait en perpétuelle évolution. A chaque minute il enregistrerait des modifications en fonction des expériences que nous vivons et des traces qu’elles impriment en nous.

Il existe pourtant des situations ou l’évolution semble se figer, et même régresser. Face à des crises d’une intensité particulière, les individus come les groupes peuvent paraître momentanément incapables d’inventer les réponses adaptées, comme tétanisés, figés par une menace imminente.

Face à l’accumulation des crises que nous subissons, nos sociétés peuvent paraître incapables de réagir et de trouver des solutions. Exactement comme un animal ou un individu pétri de peur face à un danger auquel il est subitement incapable de répondre. Cet état de tétanie peut durer un temps indéfini, selon que la peur et l’incapacité qu’elle engendre sont nourries par d’autres menaces qui maintiennent l’individu dans un état d’hyper vigilance passive.

Cette attitude qui consiste à appuyer sur le bouton Pause pour faire taire une menace est une stratégie archaïque pour ne pas être englouti par la terreur qu’inspire un danger. Une façon pour la conscience de se dissocier pour échapper à un ressenti trop douloureux et imparable.

Nous sommes en guerre !

Si cette déclaration en forme de mobilisation générale du Président Macron lors de son allocution télévisée du 16 mars 2020 a tout d’une magistrale imposture, elle résonne aussi comme un aveu : oui, on nous a bien déclaré la guerre ! Mais ce n’est pas la science ni ses héros de Big Pharma qui sont en guerre contre un méchant virus pour sauver l’humanité, non : c’est un pouvoir occulte qui a déclaré la guerre à l’humanité.

Et cette guerre n’est pas uniquement une guerre bactériologique destinée à exterminer une partie de l’humanité. Encore que cet objectif eugéniste de réduction de la population grâce à des virus, des épidémies contrôlées et de vaccins tueurs selon la stratégie du soft killing, la mort lente, se précise de jour en jour.

Cette guerre n’est pas non plus seulement une guerre psychologique d’extrême manipulation, une guerre terroriste de masse destinée à nous sidérer, à annihiler nos capacités de réaction par la peur afin de nous asservir.

Cette guerre est avant tout une guerre contre la conscience. Une guerre destinée à détruire les consciences individuelles, c’est-à-dire qui nous sommes vraiment, notre identité ontologique, à nous réduire à de simples objets, des machines biologiques parfaitement obéissantes, sans esprit autonome, sans libre arbitre, mais au contraire entièrement assimilées dans un Collectif où ne subsisterait aucune parole libre ni individualité.

C’est le rêve du totalitarisme absolu : la guerre totale contre la conscience.

A ce titre, la dictature mondiale qui se dessine actuellement réunit et synthétise tous les aspects des dictatures antérieures. Lesquelles sont parfaitement résumées dans l’œuvre de George Orwell.

Comme les anciennes dictatures militaires, la nouvelle dictature transhumaniste s’appuie sur des pouvoirs autoritaires et l’usage arbitraire de la force pour soumettre les masses, interdire toute réaction, toute revendication et noyer toute opposition ou tentative d’insurrection dans la violence et le sang. On l’a vu en France avec la crise des Gilets Jaunes et la réponse ultra violente, disproportionnée du pouvoir à un mouvement social somme toute assez banal et légitime qui a cristallisé en quelques mois tout le ressentiment populaire. L’usage de la force critiqué y compris dans les rangs de la Police s’est renforcé avec la crise sanitaire, qui a permis d’apporter une justification au muselage de toute expression critique envers les mesures liberticides imposées pour des raisons sanitaires. Aux violences policières se sont alors ajoutées celles de milices privées chargées du tabassage en règle d’infirmières, d’avocats, de mères de famille et de personnes âgées, dont le seul crime était de ne pas être d’accord avec des mesures attentatoires aux libertés publiques et à cet enterrement en direct de la démocratie imposés au pas de charge.

Comme les dictatures fascistes du 20e siècle, la nouvelle dictature poursuit ce rêve d’inventer un Homme Nouveau, d’imposer à tous un Ordre Nouveau. Un ordre totalitaire – le Nouvel Ordre Mondial – un ordre inéluctable auquel « personne, je dis bien personne ne pourra échapper », selon les mots de Nicolas Sarkozy lors de la présentation de ses vœux du Corps diplomatique à Paris le 16 janvier 2009). Cet ordre prétend s’imposer comme l’unique solution face au désordre pour le plus grand bien de l’humanité. Comme les dictatures fascistes nées d’une réaction à l’humanisme, la nouvelle dictature s’oppose radicalement aux valeurs humanistes mais avance masquée (!) Puisqu’elle reprend systématiquement à son compte en la vidant de son contenu toute la rhétorique humaniste, droits-de-l’hommiste, égalitaire, pacifiste et écologique dans un projet dont les buts lui sont totalement opposés puisqu’ils visent à supprimer tous les droits, à détruire les Etats-nations et la démocratie, à instaurer une société hyper inégalitaire où une poignée d’individus disposeront de tous les droits, de tous les pouvoirs, de toutes les richesses, de toutes les ressources et contrôleront l’immense masse des autres humains réduits en esclavage, concentrés dans des mégalopoles, et ne disposant plus d’aucun droit, d’aucune propriété privée et de ressources très limitées. Tout ceci dans le but d’éviter le chaos et l’apocalypse climatique.

Comme les dictatures communistes, ce Nouvel Ordre Mondial est aussi un projet d’appropriation collectiviste des biens et des richesses et de suppression radicale de toute forme d’individualité. Chaque personne n’aura plus aucune autre légitimité hormis d’être un maillon du Collectif, comme une pièce d’une grande machine. Sa seule justification sera de servir le Collectif, et non de recherche un épanouissement personnel. Dans sa Théorie de la dictature, Michel Onfray souligne que la dictature décrite dans son œuvre est une synthèse parfaite entre les dictatures du 20e qui servent de modèle au roman 1984. Mais c’est aussi une synthèse parfaite entre le capitalisme et le communisme, entre l’enfer néolibéral et l’enfer collectiviste.

Et c’est précisément l’objectif de ceux qui ont conçu et planifié ce basculement que nous visons actuellement vers le Nouvel Ordre Mondial. Un mix parfait entre la société capitaliste hyper individualiste, consumériste et hédoniste incarnée par les Etats-Unis, et la société totalitaire, collectiviste, hyper égalitaire est de surveillance totale incarnée par la Chine de Mao. Laquelle ne manquait pas d’ailleurs de fasciner David Rockefeller, l’un des fondateurs du groupe Bilderberg.

Enfin cette dictature empreinte aussi certaines caractéristiques aux dictatures islamistes et au totalitarisme des régimes théocratiques. La même prétention à imposer une religion et un dieu unique. Ici la religion transhumaniste qui est le dernier avatar du matérialisme scientiste, positiviste et rationaliste, lequel nie toute existence à l’esprit, la conscience et veut réduire l’homme à une simple mécanique d’horlogerie que l’on pourrait modifier, augmenter et dont on pourrait disposer à loisir comme des pièces détachées ou du matériau biologique. Cette religion utilitariste ne reconnaît qu’un seul dieu, qu’une seule valeur, celle de l’Argent. Enfin cette religion veut imposer à tous de façon autoritaire ses croyances, ses principes, ses lois et ses modèles, en contrôlant tous les aspects de la vie sociale. Aucune interaction ne peut exister qui ne soit surveillée, modélisée, ordonnée par un Collectif englobant, la Matrice, auquel rien n’échappe, pas même la plus intime de nos pensées. Cette Matrice impose sa charia à tous les échelons de la société par l’intermédiaire des AI chargées de surveiller tout le monde. Et de punir le cas échéant ceux qui voudraient se soustraire à ses règles en les déconnectant purement et simplement et en leur ôtant toute capacité d’action.

Nous sommes en guerre contre ce cauchemar. Nous sommes en guerre oui, mais la plupart d’entre nous ne le savent pas ou ne veulent pas y croire. Ils continuent de penser que la technologie est une bénédiction qui nous sauvera des maladies, de la famine, de l’ignorance, du terrorisme, des dérèglements climatiques, du chaos. Et qu’il faut faire une totale confiance à ceux qui en détiennent les clés.

Or les GAFAM et leurs milliardaires qui investissent massivement dans l’industrie du numérique, des neurosciences, de la génétique et autres nouvelles technologies, sont précisément sont qui ambitionnent de nous transformer en rats de laboratoire, qui déploient des moyens considérables pour promouvoir leur religion transhumaniste, à l’instar de la nouvelle plateforme Méta de Facebook, prototype de la futur Matrice destinée à remplacer la réalité dans laquelle nous visons, en établissant un fossé radical entre eux, « les dieux », et la masse des « inutiles » que nous sommes[i].

C’est donc bien une guerre totale contre la conscience et toute forme de liberté qui est menée aujourd’hui avec notre étroite collaboration. Une dictature totalitaire déjà prophétisée en 1979 par Jacques Attali dans une interview où il expose les conditions de l’aliénation la plus complète dans un monde de normes imposées où chacun collabore activement à sa propre aliénation en cherchant à se plier aux nouvelles normes.

C’est précisément ce qui se produit aujourd’hui avec cette étape clé que constitue l’imposition du pass vaccinal. Le pass vaccinal n’a aucune efficacité en terme sanitaire. Il ne permet en rien de limiter la propagation du virus. Au contraire les pays où l’épidémie se propage le mieux sont précisément ceux qui ont opté pour le pass sanitaire et imposé les mesures les plus restrictives. Le vaccin lui-même ne protège en rien ceux qui acceptent de se faire injecter une, deux ou trois doses. Il n’éviter ni d’être contaminé, ni de contaminer les autres, ni les formes graves, ni d’être hospitalisé en réa, ni de mourir du Covid. Au contraire, selon des épidémiologistes comme les Professeurs Raoult ou Montagnier, les vaccins sont responsables de l’apparition de nouveaux variants, les personnes vaccinées sont celles qui propagent le virus et entretiennent l’épidémie, celles qui tombent le plus malades, et dans un pays comme le Royaume-Uni 90% des décès du variant Delta sont des doubles ou triples vaccinés.

Ces faits sont aujourd’hui accessibles sinon connus du grand public. Et pourtant l’écrasante majorité d’entre nous collabore au cirque du pass vaccinal, dont la seule fonction est de réduire nos libertés, de les subordonner à la soumission aveugle à des consignes absurdes, de nous surveiller, et d’imposer un apartheid injuste entre ceux qui accepteront de se faire injecter tous les trois mois des substances inefficaces, toxiques, responsables de nombreux effets secondaires et de nombreux décès, dont la composition réelle reste totalement inconnue y compris des agences du médicament chargées de les autoriser.

Certains comparent le génocide vaccinal actuel au suicide collectif de tous les adeptes du Temple du Peuple le 18 novembre 1978 au Guyana. Une secte fondée par le révérend Jim Jones qui avait réussi à fanatiser ses adeptes au point de les convaincre de la nécessité de se suicider en buvant un breuvage contenant du curare après avoir patiemment tué leurs propres enfants en les forçant à ingérer ce poison.

Nous acceptons de nous diriger comme un seul homme vers l’abattoir, de nous laisser déposséder de toutes nos libertés, demain de tous nos biens, de tuer nos propres enfants en les empêchant de respirer, en les poussant au désespoir et au suicide, et en les forçant à se faire injecter des substances mortelles dont ils n’ont absolument pas besoin. Et ce sans aucune réaction, sans aucun mouvement de révolte, en renonçant totalement à exercer notre esprit critique. Simplement par un désir fanatique de conformité. Il y a quelque chose de l’ordre de la fascination démoniaque dans cette forme extrême d’emprise psychologique et d’anéantissement de toute forme de réflexe de survie ou de sens humain.


Le choix de la servitude volontaire

C’est cet état de dissociation psychique que vivent les cobayes dans les expériences de manipulation mentales du type MK Ultra, du nom d’un programme secret développé par la CIA à partir des années 1950. Les personnes soumises à ce programme sont soumises à un stress très intense, souvent lié à diverses formes de tortures physiques ou psychologiques qui peuvent aller de contraintes physiques à des abus sexuels. Pour échapper à l’extrême violence subie, la conscience se scinde alors en deux parties : l’une quitte le corps physique s’extraire des souffrances subies, et l’autre reste présente sous une forme anesthésiée, ne ressentant plus aucune sensation ni émotion et donnant l’impression que le sujet est évanoui ou endormi.

D’une façon allégorique, c’est exactement la situation où se trouve la conscience collective aujourd’hui. Soumis à une avalanche de stress, de messages anxiogènes, de contraintes physiques et psychiques et de privations de libertés savamment entretenus, beaucoup se réfugient dans un état d’apathie, de soumission, de déconnection volontaire par rapport à la réalité qu’ils vivent. Et ce alors même que leur conscience leur intime pour beaucoup de réagir, de fuir, de désobéir, de se rebeller et de faire valoir leur droit à revendique leur libre arbitre.

C’est la posture de la proie fascinée par son prédateur, tout entière dépossédée par la peur de toute capacité à avancer, reculer, se défendre ou réagir.

Les choses se compliquent encore quand ceux qui nous menacent, mettent en péril notre vie et nous liberté et nous interdisent de nous exprimer sont aussi ceux qui se présentent comme les seuls à mêmes d’assurer notre sécurité, de garantir nos droits et notre intégrité, de nous assurer la vie, la santé et le bonheur. Parce qu’ils détiendraient à eux seuls les clés du savoir, du pouvoir, les moyens pour répondre à nos aspirations et assurer le bien commun.

Les pouvoirs auxquels nous acceptons de nous remettre jouent alors le rôle pervers en ambigu de parents toxiques auxquels nous choisissons volontairement d’obéir alors que nous savons qu’ils nous font du mal. A qui nous remettons le pouvoir d’arbitrer à notre place les choix qui nous concernent en faisant semblant de croire qu’ils œuvrent sincèrement pour notre bonheur, alors que tout nous porte à croire le contraire.

Nous devenons alors les prisonniers volontaires de nous-mêmes autant que de ceux qui nous asservissent. Et nous revendiquons même cette servitude volontaire comme un libre choix.

Etienne de la Boétie avait parfaitement analysé ce mécanisme de la soumission dans un essai publié en 1576 à l’âge de 18 ans intitulé Discours sur la servitude volontaire. Selon lui toute soumission d’un individu ou d’un groupe à une autorité ne résulte pas de l’exercice d’un pouvoir autoritaire, d’une forme d’abus qui s’exprimerait dans un rapport de forces entre un pouvoir et ses sujets, mais d’un asservissement volontaire de chaque sujet à l’autorité qui l’asservit. Plus encore, aucun pouvoir ne pourrait s’exercer sans cette adhésion volontaire de chacun au processus d’asservissement.

Ce qui valait pour le pouvoir des monarchies absolues vaut aussi aujourd’hui pour la dictature que nous subissons. Quelle que soit la sophistication de ses méthodes de fascination et de manipulation, quelle que soit son degré de maîtrise des outils scientifiques et technologiques destinés à nous contrôler, celle-ci n’aurait aucun pouvoir sur nous si nous ne consentions à nous laisser asservir.

Ce que nous subissons, et cette incapacité des masses à s’éveiller et se dresser contre une imposture et un pouvoir illégitime, ne résulte donc pas d’une faiblesse, d’un rapport de forces qui nous rendrait vulnérables et malléables par la contrainte, mais d’un refus de la liberté. Et d’un consentement volontaire au sort qui nous est fait.

Malgré toutes les souffrances, toutes les humiliations que la soumission volontaire à une autorité induit, celle-ci est en effet beaucoup plus confortable à assumer pour un très grand nombre que le choix de faire usage de sa liberté et de sa capacité à créer de la réalité pour s’inventer un autre destin commun.

En d’autres termes une majorité d’entre nous aujourd’hui préfèrent reproduire le schéma qui consiste à abdiquer de son libre arbitre pour s’en remettre entièrement à une autorité, en acceptant le jeu de dupes selon lequel celle-ci nous promet d’assurer notre subsistance, de garantir notre santé, notre sécurité et nos droits élémentaires. Nous sommes conscients que nous avons plus à y perdre qu’à y gagner, mais nous acceptons ce deal mensonger par paresse, par lassitude, par défaitisme ou par duplicité. Et beaucoup se joignent à la chasse aux sorcières qui désignent ceux qui s’insurgent contre ce marchandage comme les vrais responsables des malheurs et humiliations que nous consentons à subir.

Qu’avons-nous à gagner en rendant complices de cette magistrale imposture ? Plus encore qu’une illusoire sécurité, ce que nous tentons de nous acheter dans ce marché de faux-semblants c’est une sorte d’impossible absolution pour la culpabilité qu’une telle trahison de nous-mêmes engendre.

Car beaucoup savent au fond d’eux-mêmes qu’ils collaborent volontairement à un mensonge. Mais comme dans toutes les dystopies orwelliennes fondées sur une inversion complète des valeurs où le mensonge, c’est la vérité[i], on ne peut se libérer de la culpabilité qu’engendre le crime de complicité à un mensonge d’Etat qu’en surajoutant un autre mensonge. Jusqu’à renoncer totalement à toute capacité de discernement éthique au profit d’une fidélité aveugle à la Pravda définie par le pouvoir. La soumission absolue devient alors la marque de l’existence sociale. Car il n’est aucune réalité individuelle, aucune identité, aucune vérité qui ne puisse se définir à partir du libre arbitre individuel, en opposition au Collectif englobant, à la Pensée unique totalitaire et totalisante.

Acquiescer volontairement à ce marchandage, c’est renoncer définitivement à toute individualité. Et donc à toute conscience qui procède du soi et non d’une assignation identitaire.

L’esclavagisme transhumaniste

C’est exactement ce qui au cœur du projet transhumaniste. Lequel n’est pas seulement une volonté de réduire toute expérience humaine à sa part matérialiste et fonctionnelle, mais aussi de nier toute réalité à ce qu’on nomme l’esprit. De réduire la conscience humaine à une somme d’interactions chimiques dans le cerveau, et donc à des mécanismes parfaitement contrôlables, assimilables et façonnables selon une vision utilitariste. Réduire l’homme à une fonction. Nier toute part d’identité individuelle qui ne soit pas subordonnée au Collectif. Et interdire tout exercice de la conscience selon le libre arbitre. Et pour cela contrôler chaque conscience individuelle grâce aux intelligences artificielles pour en cartographier et en ordonner les moindres recoins.

Ce rêve fou qui est au cœur de l’expérience de Matrix, c’est l’avenir que certains rêvent pour nous. Et dans lequel nous nous laissons assimiler en collaborant par nos lâchetés et nos renoncements à cette folie. C’est la fin programmée de toute humanité. Et surtout du dépassement des consciences individuelles prisonnières des conflits mimétiques dans une entité beaucoup plus vaste qui est la conscience collective.

L’assimilation dans la conscience du Collectif, et la fusion avec l’intelligence artificielle qui en constitue l’aliénation et la caricature, c’est le contraire exact du saut qualitatif que nous sommes sur le point de réaliser collectivement, à savoir l’Eveil et l’unification de la conscience collective. Et pour que chacun puisse être assimilé à ce collectif, il faut que chacun renonce à son pouvoir créateur de réalité, c’est-à-dire à se définir comme une conscience et non une fonction.

Loin de nous assurer la paix en nous exonérant de toute responsabilité et de toute culpabilité, l’alternative qui se présente à nous en définitive se résume à un choix très étroit : faire le pari de la vie, en nous laissant dépasser par la conscience supérieure qui nous englobe tout en nous maintenant libres, collaborer consciemment à un devenir commun en renonçant à la prétention égotique de nous ériger comme source unique de notre identité. Ou signer purement et simplement notre arrêt de mort en tant qu’êtres conscients en nous rendant esclaves d’une infime minorité qui nous contrôle sans jamais se révéler ouvertement, puisque ce contrôle s’exerce par le pouvoir anonyme des intelligences artificielles qui pilotent le système dans lequel nous ne sommes plus que des fonctions interchangeables.

Au milieu de ce carrefour existentiel, de cette crise identitaire où nous nous sentons tous prisonniers, le transhumanisme représente la voie la plus sûre vers la déshumanisation la plus absolue. Certainement pas une voie vers la survie de la conscience dans une illusoire « immortalité » permise par le progrès de la technique, ni la promesse d’un dépassement des limites de l’humain par l’adjonction de nouvelles facultés sous l’angle de l’utilité ou de la fonctionnalité matérielle. Son contraire exact, c’est la sublimation de la conscience individuelle dans l’expérience vécue collectivement et en pleine conscience de la vraie nature de la réalité dans laquelle tout est relié, non-séparé et donc sans rivalité mimétique, mais au contraire uni, participant et signifiant, créateur de sens et de réalités toujours plus complexes et élevés.

Refuser de reconnaître cet enjeu, c’est refuser tout simplement de vivre, d’êtres humains, de faire corps avec l’aventure de toute l’humanité, renoncer à tout devenir collectif et nous assimiler au non-être, c’est-à-dire à la matière qui n’a aucune existence, aucune réalité sans une conscience pour la nommer, l’observer, la contempler, lui donner du sens et interagir avec elle.

Retrouver le Sens

Science sans conscience n’est que ruine de l’âme. Tout savoir, toute pratique qui prétend imposer au réel sa logique ou le contraindre à ses fins est vaine si elle nie la conscience qui lui préexiste. Et tout savoir qui se limite à une technique selon des critères d’utilité et d’efficacité sans poser la question du sens finit par ruiner notre partie sensible qui est notre vraie nature. Car l’existence est avant tout le lieu de l’expérience, de l’épreuve. Celui où nous faisons l’expérience consciente de Qui nous sommes et éprouvant notre rapport à la réalité que nous faisons exister par nos choix.

Si nous renonçons à être des créateurs de sens nous devenons de simples robots. Des robots qui peuvent s’avérer très performants dans l’ordre de la production et de la transformation formelle, mais qui jamais ne pourront accoucher d’un semblant de sens, de valeur.

Plus que jamais n’ayons pas peur. Embrassons le réel à bras le corps. Epousons la réalité dans tous ses aspects les plus enthousiasmants et les plus terrifiants au lieu de nous réfugier dans des mondes virtuels auxquels nous donnons une consistance illusoires en renonçant à notre âme. En créant des égrégores immatériels en lieu et place de toutes les réalités vivantes que nous côtoyons. En créant des illusions de plus en plus complexes pour nous évier de nous confronter aux réalités bien vivantes que nous appréhendons. Et en donnant au Néant l’apparence de la vie par crainte de nous jeter dans la vraie Vie. Avec comme seule valeur étalon de toutes les autres valeurs mais que nous ne pouvons posséder ni contrôler nous-même le dieu Argent. Un dieu immatériel, sans aucune consistance et totalement arbitraire, mais en qui nous acceptons de remettre nos vies, nos identités, notre avenir et même nos corps.

L’humanité est aujourd’hui à ce point crucial où elle doit décider d’assumer consciemment son pouvoir de créateur de valeurs pour le bien de tous. Ou de renoncer à ce pouvoir pour s’en remettre totalement à une Antivaleur et à ceux qui en sont les maîtres. Elle doit choisir entre la fascination de l’abîme qui l’aspire vers le Néant ou l’appel des cimes qui l’attirent vers les plus hautes réalisations spirituelles et une conscience plus large, plus unifiée et pacifiée d’elle-même.

Quelle est la conscience d’une chenille au moment d’entrer dans sa chrysalide, et qui ne sait pas encore qu’un jour elle deviendra papillon ? Suit-elle son inclination naturelle vers la transformation, qui est le principe-même de la vie ? Ou bien se crispe-t-elle, refuse-t-elle d’entrer dans sa chrysalide, et prétend-elle rester toujours une chenille rampante, alors qu’elle ne l’est déjà plus ? Au risque en s’accrochant à sa tige de se faire vite gober par le premier oiseau qui passe à sa portée.

Nous sommes des chenilles dont beaucoup ignorent qu’ils seront un jour des papillons. Ils l’ignorent ou refusent de le savoir parce qu’ils n’en ont pas conscience de leur vraie nature. Ils croient être destinés à n’être éternellement que des êtres rampant maladroitement à la surface de la terre, alors qu’ils sont promis à rejoindre les cieux. Ou bien parce qu’on les trompe, qu’on leur ment en leur faisant croire que les cieux n’existent pas, qu’aucune chenille de s’y est aventurée, que toute volonté de les rejoindre est vouée à l’échec. A moins peut-être qu’ils ne fassent allégeance et qu’on les équipe d’ailes artificielles en métal, dont ils apprendront à se servir pour mimer le vol des espèces conçues pour vivre dans les airs. Mais ils retomberont fatalement sitôt qu’ils cesseront de faire allégeance au Collectif qui leur garantit de telles prouesses pour dépasser les limites de leur condition naturelle.

Choisir d’être asservi au Collectif plutôt qu’à la Nature et à ses lois, voilà le rêve au cœur de l’utopie transhumaniste.

La seule manière d’échapper à ce piège c’est de renouer avec notre part divine et son potentiel infinie de création. Nous en nous érigeant comme des dieux comme la Nature et contre son Créateur. Mais en reconnaissant que nous sommes de dieux créateurs à l’image du Dieu Créateur. Des origines à l’image de l’Origine et jamais séparées d’elle.

Refuser d’acquiescer à cette réalité, c’est renoncer à Qui nous sommes. Renoncer à notre capacité à faire reculer nos limites apparentes pour nous réinventer dans un devenir commun plus grand, plus libre, plus fécond et plus riche de sens.

Cet avenir existe déjà. Pour le réaliser, il nous suffit de dire Oui. Car comme l’asservissement la fin de l’asservissement, le Salut ne peut ne peut procéder que d’un consentement. Toutes les virtualités sont à notre portée, les meilleurs comme les pires. Il nous suffit de les identifier et de faire ce choix conscient de dire Oui à l’une en renonçant aux autres pour que celle-ci devienne notre expérience commune.

Alors qu’on y croit fermement ou non, tant qu’à faire, choisissons le meilleur avenir possible plutôt qu’une illusion et un mensonge auxquels nous faisons semblant d’adhérer en cédant au cynisme et au désespoir.


[i] L’un des fondements idéologiques de l’asservissement des individus propre à la dictature totalitaire dépeinte dans le roman de George Orwell 1984. Repris dans l’analyse qu’en fait Michel Onfray dans son essai Théorie de la dictature.

[i] Expression reprise de l’historien Yuval Noah Harari pour parler de l’avenir de l’humanité et utilisée par Laurent Alexandre lors d’une conférence à l’Ecole Polytechnique sur le transhumanisme (2019).

La Marque de la Bête – La symbolique des va666ins



Qu’on soit chrétien ou non, il est toujours extrêmement risqué de convoquer un texte biblique aussi complexe, aussi puissant, aussi admonitoire et clivant que l’Apocalypse de Jean (le Livre de la Révélation pour les protestants) pour commenter les tribulations de l’époque que nous vivons.

Ceux qui s’y risquent, surtout quand ils s’arrêtent à une lecture littérale, tombent souvent dans la passion outrancière, le fanatisme, le ridicule et la caricature.

Comme la secte évangélique américaine QAnon, coutumière des amalgames entre délires messianistes, paranoïa apocalyptique, manichéisme opposant les bons – forcément républicains et supporters de Trump, et les méchants – forcément démocrates, corrompus et pédosatanistes. Sur fond de pandémie truquée conçue pour précipiter le règne de l’Antéchrist, rebaptisé Nouvel Ordre Mondial. Et pourquoi pas l’Armageddon entre les anges du Christ revenus chasser les démons et autres Annunakis alliés des puissances sataniques, ou ces Illuminattis judéo-maçonniques qui dominent le monde en se nourrissant du sang des jeunes enfants.

Des outrances qui nous ramènent aux pires fantasmes antisémites qui associaient au Moyen-âge les Juifs à la Grande Peste et autres grands fléaux. Ces Juifs qui avaient tué le Christ, et qui se nourrissaient en secret, comme les pédosatanistes d’aujourd’hui, de la chair et du sang des innocents au cours de sabbats endiablés.

On ne peut que rire ou s’affliger de tels excès. Mais tout de même. Faut-il pour autant tomber dans un autre panneau, qui consiste à souscrire sans broncher à la doxa imposée avec, nous dit-on, l’aval d’une Science toute puissante aux dogmes incontestables ?

Faut-il s’interdire tout regard critique ? Renoncer à poser des questions ? Mettre les discours des uns et des autres en perspective ? Notamment face à une crise inédite par sa forme sinon par son ampleur. Et à des politiques sanitaires qui ne souffrent aucune discussion, aucun examen, aucun discours alternatif. Qui s’affranchissent de tout consensus scientifique ou démocratique, pour n’imposer que des voies thérapeutiques partiales, contestables, de façon brutale et imprescriptible.

Faut-il aussi s’en tenir à cette version a priori scientifique d’une crise qu’on nous présente avant tout comme sanitaire ? Scientifique et donc rationnelle, ou plutôt rationaliste, matérialiste, scientiste. Une science et une médecine sujettes à un niveau de corruption sans précédent, instrumentalisées et financées par les lobbies économiques et financiers symbolisés par Big Pharma.

Une industrie qui a connu au cours de la décennie écoulée une recapitalisation massive. Avec des investisseurs avides comme Vanguard et autres fonds d’investissement qui ont investi des parts majoritaires dans le capital des plus grands laboratoires mondiaux. Un secteur qui, aux dires d’anciens patrons de grands laboratoires comme Pfizer, a vu flamber ses pratiques corruptives tous azimuts.

Le secteur ultra bankable des nouveaux vaccins est quant à lui la cible privilégiée de l’appétit sans limite des nouveaux rois de la finance.

On pourrait citer le cas emblématique du multimilliardaire Bill Gates. Après son procès retentissant à l’aube des années 2000 aux Etats-Unis pour abus de position dominante de la compagnie Microsoft dont il était le fondateur, PDG et principal actionnaire, puis sa déchéance publique qui faillit ruiner sa carrière, Bill s’était refait une virginité en investissant une bonne partie de sa fortune dans une fondation créée à son nom. Son but : financer des programmes de vaccination à grande échelle et autres projets médicaux à visée prétendument « humanitaire ».

On connaît hélas la suite : des millions de morts en Afrique et en Asie suite à ces campagnes de vaccination et autres expérimentations massives destinées aux pauvres du Tiers-monde. Des centaines de milliers de femmes stérilisées par les vaccins toxiques de la fondation en Inde, pays où la Fondation Bill et Melinda Gates est désormais interdite de séjour. Et des millions de nouveaux cas de variole dus aux vaccins qui étaient censés l’éradiquer.

Non content de ce palmarès, Tonton Bill s’est aussi fait ouvertement le champion assumé de la réduction de la population mondiale, fidèle aux thèses eugénistes et transhumanistes de certains de ses amis milliardaires.

C’est ainsi que dans une conférence publique Ted Talk consacrée à la surpopulation mondiale en 2010 aux Etats-Unis, Bill Gates n’a pas hésité à marteler publiquement, devant un parterre d’auditeurs abasourdis :

« Si l’on fait un vraiment bon boulot avec les nouveaux vaccins, le planning familial et le contrôle de la sexualité, on devrait pouvoir réduire la population mondiale de 15% en 20 ans ! » (sic).

Pour les plus dubitatifs, la retranscription intégrale de cette conférence est disponible sur YouTube.

Bill Gates n’est hélas pas le seul à voir dans les vaccins une aubaine pour façonner l’humanité nouvelle. Une humanité réduite, entièrement sous contrôle grâce aux nouvelles technologies, et surtout conforme à leurs desseins. C’est-à-dire disponible, soumise, malléable, transformable, reproductible, commercialisable ou destructible à loisir.

Derrière ce projet fou, il y a une véritable philosophie, presque une nouvelle religion, partagée par tous les geeks et patrons de start-ups de la Côte Ouest : le transhumanisme.

Le transhumanisme procède d’une vision hyper matérialiste de la vie, du corps et de l’humain, héritière de trois siècles de pensée matérialiste, mécaniciste et scientiste, comme le rappelle le physicien Philippe Guillemant dans son dernier ouvrage Le grand virage de l’humanité.

Selon cette vision de la vieille science et de la médecine à Papa, aujourd’hui largement dépassées, l’homme se réduirait à son corps : un amas d’organes et de cellules qui fonctionnerait comme une mécanique. L’esprit ne serait que le produit d’interactions chimiques dans le cerveau, et non un substrat de nature spirituelle, indépendant du corps, qui préexisterait à la matière et survivrait à la vie biologique.

Ce corps est conçu comme une horloge. Si certaines pièces de cette mécanique sont défaillantes, il suffit de les changer. Ce que permet la science aujourd’hui, qui pourvoit bras, jambes, articulations, cœurs, reins, membranes ou cellules toutes neuves pour remplacer efficacement ceux qui seraient manquants ou défaillants.

Mieux encore, la science transhumaniste d’aujourd’hui se propose non seulement de réparer l’humain mais carrément de l’améliorer, de l’augmenter. En augmentant par exemple ses capacités physiques et psychiques. En lui adjoignant des prothèses, des patches, qui vont doper ses capacités ou lui en offrir d’autres. Un peu comme dans le film Matrix, où l’on peut télécharger dans le cerveau d’un homme des programmes qui vont lui permettre de maîtriser instantanément toutes les techniques du kung fu, de léviter dans les airs, d’éviter les balles ou de projeter son énergie à distance. Cool non ?

C’est ainsi que la firme Neuralink du milliardaire Elon Musk, un autre ami de Tonton Bill, a mis au point une puce d’interfaçage bionumérique, fruit d’années de recherche en neuroscience, qui s’insère chirurgicalement à la base du cortex et permet de relier directement le cerveau humain à internet ou à une intelligence artificielle pour en booster les capacités. Plus besoin d’écran tactile ou de souris, il suffit de penser pour être instantanément connecté à internet, communiquer sur les réseaux sociaux, plonger dans une réalité virtuelle pleine de sensations et d’émotions totalement artificielles, mais que le cerveau ne saura pas distinguer de stimuli réels. Le Meilleur des mondes à votre portée.

Cette technologie n’est pas de la science-fiction. Elle existe déjà et son déploiement à grande échelle est prévu à partir de 2026, comme s’en félicite Klaus Schwab, Président du Forum économique mondial, et autre grand pape du transhumanisme, dans une vidéo postée sur YouTube il y a quelques années.

Dans cette vidéo, le père du Great Reset (la Grande Réinitialisation), un changement de paradigme radical à l’échelle mondiale, économique, financier, bancaire, monétaire, politique, sociétal, scientifique, humain, qui a déjà commencé et dont l’épidémie de Covid constitue le levier principal de basculement, vante surtout les mérites des smart dusts, les « poussières intelligentes ». Une autre nouvelle technologie de pointe née des progrès de la physique des nanoparticules et du numérique.

Ces poussières sont des nanoparticules incluses dans les nouveaux vaccins, comme l’a plusieurs fois rappelé Bill Gates. Elles ont été mises au point au MIT de Boston sous l’égide de la Fondation Bill et Melinda Gates, ont été brevetées par Microsoft, et ont été testées avec succès en 2019 et 2020 au Kenya et au Malawi. Même des médias très mainstream comme Le Monde, Les Echos ou LCI s’en sont faits l’écho.

Ces smart dusts ont la particularité de pouvoir être chargées électromagnétiquement. Et donc de pouvoir contenir des données numériques. Le corps de la personne qui s’est vu injecter ces nanoparticules incluses dans un vaccin, souvent à son insu, devient alors une sorte de « portefeuille numérique », dans lequel on peut encrypter toutes sortes de données lisibles à distance par un récepteur numérique : son statut vaccinal, son carnet de santé, son compte bancaire, et pourquoi pas ses habitudes de consommation, ses opinions politiques, ses engagements syndicaux, les sites qu’elle consulte sur internet, les personnes avec lesquelles elle interagit, etc…

Une forme d’hyper surveillance numérique, qui existe déjà sous une forme embryonnaire avec le carnet social chinois. Un système de surveillance total des populations déployé dans tout le pays grâce aux nouveaux outils comme la 5G, les drones, les caméras intelligentes, la reconnaissance faciale ou les algorithmes prédictifs. Le tout couplé à un système de carnet à points qui se remplit ou se vide selon qu’on est un bon ou un mauvais citoyen. Et qui donne droit à certains avantages, ou permet au contraire de supprimer des droits et des libertés.

Ça devrait nous rappeler quelque chose, à nous autres Français. En effet le pass sanitaire imposé à tous par le gouvernement Castex en juillet 2021 sera bientôt remplacé par le pass vaccinal. Lequel n’a rigoureusement aucune efficacité pour faire reculer le terrible « variant Omicron », mais permettra de s’assurer que quasiment 100% de la population soit bien vaccinée.

Et gare à ceux qui voudraient s’y soustraire ! Ils n’auront quasiment plus aucun droit. Sinon d’être conduits dans un centre de confinement où ils seront aussitôt testés, vaccinés, pucés et rééduqués.

Le pass sanitaire était déjà un copier-coller du carnet social chinois. La politique de « prévention » qui s’apprête à accompagner la vaccination pour tous n’aura plus rien à envier à la politique de rééducation des réfractaires au régime de Pékin.

On a tort d’opposer souvent les Etats-Unis à la Chine, dans une guerre pour la domination mondiale qui serait inéluctable au cours de cette décennie.

En vérité ces considérations géopolitiques et géostratégiques n’ont qu’une valeur limitée. Et cachent des réalités autrement plus préoccupantes.

Car l’oligarchie qui gouverne objectivement le monde, qui contrôle tous les pouvoirs par le biais de la dette et de la monnaie, qui fait et défait les états, les succès et défaites, les gloires et les fortunes, n’est plus aujourd’hui liée à un pays ou une nation. Elle est ici et partout à la fois. Son échiquier est la planète tout entière et l’espace qui l’entoure. Elle est hors-sol, comme les flux financiers dont elle se nourrit.

D’ailleurs, comme le rappelait au cours d’une conférence à l’Ecole Polytechnique Laurent Alexandre, fondateur de Doctissimo, patron d’une start-up de génie génétique et pape français du transhumanisme, cette élite toute puissante s’autodésigne comme « les dieux », opposés au reste de l’humanité, c’est-à-dire nous tous : « les inutiles ».

Nul doute que cette élite existe bien, nonobstant les délires de QAnon sur les Illuminattis ou les pédosatanistes.

Et qu’elle est déterminée à faire aboutir un projet de domination du monde amorcé il y a plusieurs siècles. Avec des concepts qui ont fait recette, nés au 18e siècle au sein de la vieille élite aristocratique, bancaire et commerçante anglo-saxonne. Comme la monnaie unique mondiale, en passe de devenir une réalité, sous une forme numérique qui en démultipliera le pouvoir de contrôle, et dont l’euro numérique bientôt lancé par la BCE sera une étape. Ou le Nouvel Ordre Mondial, qui n’est pas né dans l’esprit de George Bush senior au lendemain de la guerre froide et à la veille de la première guerre néoconservatrice en Irak.

Comme l’eugénisme et les projets de dépopulation mondiale également. Un concept indissociable des géostratèges du mondialisme anglo-saxon. Eugénisme dont s’inspira un certain Adolph Hitler dans les années 1920 pour rédiger son fameux best-seller Mein Kampf.

On le voit, il y a quelque chose de profondément « diabolique », au sens le plus étymologique du terne, dans ce projet mondialiste et totalitaire de contrôle absolu des populations, patiemment conçu et déployé par une élite pas si occulte qu’on le dit. Puisque ses membres sont connus, s’expriment publiquement, et agissent au grand jour, en annonçant même leurs projets à l’avance. De façon explicite, dans des rapports, des conférences, des déclarations tout ce qu’il y a de plus officiels. Ou plus subliminale, dans des films d’anticipation à succès concoctés par la grande machine hollywoodienne dont ils contrôlent bien évidemment capitaux et productions.

Leur vision idéale du monde futur s’appuie à l’évidence sur un projet qui vise à s’affranchir de tout déterminisme, de toute allégeance à une quelconque Transcendance ou une Autorité supérieure. C’est l’hubris démesuré de l’homme imbu de lui-même, de son propre orgueil, autosuffisant, tout-puissant, tout-sachant, tout-possédant. Y compris son corps, sa vie et celle de des congénères réduits au rang de choses et de marchandises.

Un projet dia-bolique car il coupe l’humain de ce qui le rend vraiment humain : sa part divine, son âme, son esprit, sa conscience, qui ne procède aucunement des mécanismes de la matière, mais sans laquelle, nous dit la physique quantique, cette dernière n’a aucune existence réelle.

Un projet dia-bolique qui coupe et sépare les humains pour mieux les aliéner et les contrôler : selon leur ethnie, leur origine, leurs croyances, leur religion. Ou leur statut vaccinal comme aujourd’hui.

Un projet dia-bolique qui coupe l’humain d’avec la Source, son Origine, la Conscience supérieure dont procède et à laquelle retourne toute conscience individuée.

Ce projet a pour seul ennemi l’Amour. Qui, selon une théorie de la physique contemporaine, est la matrice de toutes les forces physiques qui font tenir ensemble l’Univers.

Ce projet est tout entier Division, Désunion, Inégalité et Soumission radicales.

Dans les mythes bibliques, une telle entité a un visage et un nom : Satan. Le Diviseur. L’Ennemi (de Dieu, du Christ, des hommes).

Mais pour que la Lumière soit totalement, il faut aussi que les Ténèbres atteignent leur apogée. Comme pour attirer sur elles la puissance d’information et de retournement qui les métamorphosera.

Cette lutte ultime n’est pas un combat manichéen du Bien contre le Mal. De telles notions sont perméables, caduques et relatives. En Dieu tout est UN.

Cette lutte, ou plutôt ces épousailles ultimes, pleines de bruit et de fureur, c’est l’ultime Révélation. Le Grand Eveil de la conscience de l’humanité.

Celle-ci est encore en sommeil mais s’ébroue déjà ici ou là. Les ténèbres de l’ignorance, de la peur, de l’obscurantisme semblent partout la rattraper. Laissant le champ libre à l’appétit des loups et des vautours. Ceux de la haute finance et de ses apprentis sorciers.

Mais rien ne peut empêcher son Eveil. Par endroit des montagnes se lèvent. Que tentent d’ignorer les oracles funestes des médias. Et les montagnes se rejoignent aussi vite qu’elles se dressent. Rien ne peut arrêter ce grand mouvement de réveil qui tend vers l’Unité.

Dans la tradition chrétienne, cette humanité qui vient à un visage : celui du Ressuscité.

Mais son Règne qui advient signe aussi la faillite de tous les pouvoirs, fondés sur la Division.

Alors vient « la Bête ». Et le chiffre de la Bête : 666.

Pour signer l’appartenance de cette humanité qui échappe à ses maîtres, il faut la marquer. Pas seulement sur la peau : au plus intime de son être, dans son sang, ses gênes, son ADN.

C’est le projet des vaccins à ARN messager : remplacer notre immunité naturelle par une immunité artificielle, dont nous-mêmes et nos descendants seront à tout jamais dépendants.

Le système immunitaire, c’est ce qui passe au crible, qui discrimine entre le moi et le non-moi. C’est, au plan biologique, le garant de notre identité existentielle.

Supprimer cette immunité, la remplacer par une immunité du Collectif, une immunité artificielle fondée sur la manipulation de nos gênes, c’est prendre un pouvoir absolu sur Qui nous sommes. Et sur notre capacité à préserver notre intégrité.

Dit plus clairement, se faire vacciner avec les nouveaux vaccins, c’est se faire DESINTEGRER.

D’ailleurs nombreux sont aujourd’hui les scientifiques de par le monde à tenter d’alerter sur le fait qu’à partir de la 3e dose, le sang commence à coaguler partout dans le corps, provoquant thromboses, AVC, embolies et autres cataclysmes. Conséquence de la production anarchique de protéines Spike produites par nos cellules et qui se retournent contre elles une fois notre génome piraté, ces fragments de virus supposés déclencher une réaction immunitaire : veines et artères, organes, poumons, foie, reins, cerveau, organes génitaux, tout se dérègle et se désagrège…

Effets secondaires en série, décès en masse ne sont pas les seules conséquences de ces vaccinations forcées. L’autre but plus inavouable et pourtant bien réel de ces injections justifiées par une psychose pandémique fabriquée, c’est de marquer toute l’humanité. A l’aide de nanopuces invisibles, insensibles et indétectables, sinon grâce aux outils de détection appropriés.

Et une fois que nous serons tous pucés on pourra encrypter ou retirer à loisir toutes les datas possibles dans le corps de chaque individu.

Et sans la marque qui donne droit d’acheter ou de vendre, d’utiliser son argent, de se déplacer, de voyager, d’aller au spectacle, au restaurant, de se faire soigner, aucune vie ne sera désormais plus possible.

Après deux ans de basculement au pas de charge, nous y sommes presque.

La marque ? Un rappel de tel vaccin contre tel virus par exemple. Bien sûr c’est pour notre bien, à chacun et à tous. Quel beau prétexte !

Et elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front, et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. C’est ici la sagesse. Que celui qui a de l’intelligence calcule le nombre de la bête. Car c’est un nombre d’homme, et son nombre est six cent soixante-six.

(Apocalypse 13:16-18)

Pendant longtemps beaucoup ont cru voir dans cette prophétie annonçant la Marque de la Bête la description de la puce RFID. Une puce insérée dans la main, dont la mise au point et le projet d’extension à toute l’humanité remontent à plusieurs décennies. Et dont on reparle aujourd’hui en France comme une alternative plus sûre au QR Code pour le pass vaccinal.

La technique importe peu. Ce qui compte c’est l’intention qui est derrière et ce qu’elle symbolise, de quoi elle est le signe.

Ce qui est sûr, c’est que s’agissant de notre humanité en tourments, en proie à des périls de tous ordres, cette volonté de vacciner et de pucer 8 milliards de Terriens pour lutter contre une épidémie mineure ne va certainement pas dans le sens de son émancipation. Mais plutôt dans le sens de sa régression et de son aliénation aux pouvoirs du temps : les pharaons de l’époque et leur Veau d’or numérique.

Et l’antidote ? Au marquage, au chiffre de la Bête, à l’Antéchrist ?

C’est l’Agneau !

Passons sur la symbolique christique ou celle du sacrifice et concentrons-nous sur celle du Passage : Pessah, sortie de l’esclavage vers la liberté. Puis Pâques, chemin de la Mort à la Vie éternelle, du règne des Ténèbres à celui de la Lumière.

Avec ce thème central du christianisme et de la figure du Christ : la Résurrection.

Ce que nous sommes tous appelés à vivre dans les temps actuels, ce n’est ni plus ni moins que le Grand Passage de l’humanité. Sa Résurrection !

Certains parlent de l’Ascension planétaire, ou du changement de paradigme, d’une élévation inédite de notre niveau d’énergie : celle de nos cellules, de notre ADN, de notre corps physique, appelé à être littéralement sublimé, de notre planète et même du système solaire tout entier.

Tout ceci est bien réel et scientifiquement constaté, qu’il s’agisse de phénomènes cosmiques liés à la rotation cyclique du soleil autour du noyau galactique et de son entrée depuis quelques années dans une zone de l’espace à plus haute énergie, de l’élévation exponentielle de la résonnance de Schumann, cette fréquence vibratoire liée au champ électromagnétique terrestre, de transformations observées au plus intime de nos cellules. Notre réalité change radicalement. Et nos organismes, notre psyché, nos infrastructures tanguent et souffrent des transformations que ce changement produit.

Qui a dit que l’homme Jésus n’a pas souffert avant de ressusciter ?

Comme lui, il va nous falloir accepter de mourir avant de ressusciter. Mourir à notre ego. Mourir à notre étroitesse d’esprit, à nos croyances surannées, à nos peurs et nos illusions. Comme celle d’être de simples mortels qui nous pousse à nous vouloir immortels. Alors que nous sommes fondamentalement des êtres spirituels, et éternels.

La Bête et ses vaccins de la mort veulent nous enfermer dans cette croyance que nous ne sommes que des corps mortels. Et que notre Salut réside uniquement dans la science toute-puissante, à laquelle nous devrions obéir sans broncher.

Peur et soumission, contre une illusion de liberté et la perspective de devenir un jour immortel, si l’on fait partie des élus.

Et de l’autre côté, liberté et création sans limites. Joie infinie. Paix et Unité.

La haine, l’envie, le ressentiment. Ou l’Amour.

Dommage que les élections à venir ne nous présentent pas le choix sous cet angle.

La Résurrection n’est pas un choix, le résultat d’une volonté, mais d’un abandon en toute conscience, qui précède l’Eveil. Une seconde Naissance. Un nouveau soleil.

Naissance, nouveau soleil… N’est-ce pas là l’étymologie du mot Noël ?

JOYEUX NOËL A TOUS !

Le Fusible

En quoi l’affaire Benalla est-elle un élément révélateur plus que dissimulateur des vices de la Macronie

Le très regretté Jean-Paul Belmondo, longtemps acteur préféré des Français, avait multiplié dans sa carrière les films d’action et d’humour où il incarnait tour à tour des personnages de truand, de policier, de héros, d’aventurier, aussi séducteurs que hâbleurs et cascadeurs. Des films souvent résumés à un surnom emblématique : Le Magnifique, Le Professionnel, l’Alpagueur, le Marginal, l’Animal, le Solitaire…

Alexandre Benalla, beau gosse ambitieux et discret mais simple figurant de la Macronie devenu malgré lui une vedette des médias, pourrait voir sa carrière résumée à un titre : Le Fusible.

On pourrait presque dire Le Vieux fusible, tant il a servi et resservi, si le héros en question n’était pas un tout jeune homme, presque un gamin un peu pataud avec des gros muscles et une grosse barbe, au moment des faits qui le rendirent célèbre.

Poursuivi dans l’affaire qui porte son nom pour des faits relativement anodins (comparés à d’autres commis par son mentor aux commandes de l’Etat), Alexandre Benalla est en effet devenu depuis quatre ans le fusible le plus utile de la Macronie, sans cesse ressorti pour faire diversion.

Limogé du service de sécurité de l’Elysée, lâché par un Emmanuel Macron qui le qualifiait pourtant d’ami, le jeune Benalla a fait office de bouc émissaire tout désigné dès le déclenchement de l’affaire à l’été 2018. Une façon habituelle de protéger le Président et son image de gagnant ternie par le scandale médiatique.

Chouchou du Président (certains ajoutent même qu’il était son mignon), enfant « issu de la diversité », symbole d’ambition, de réussite sociale et d’ascension fulgurante à l’image de son modèle, garde du corps personnel et confident (intime) du chef de l’Etat, le jeune homme aux dents longues n’a cependant jamais été défendu par son parrain, l’actuel locataire de l’Elysée. Lequel s’est toujours abstenu de commenter l’affaire et n’a pas hésiter à le lourder, contrairement à certains de ses ministres beaucoup plus corrompus ou incompétents notoires.

Quant à la Macronie, elle s’est empressée de se rassembler pour protéger le Président, et de jeter cet histrion encombrant aux loups voraces des médias et de l’opinion publique, trop contente qu’on lui jette un os à ronger pour se venger du Mozart de la finance imposé un an plus tôt comme Président du ni ni face à la Maléficia ricanante du Manoir de Montretout.

Les faits reprochés à l’impétrant, accusé d’avoir outrepassé ses fonctions de garde du corps présidentiel en malmenant quelques manifestants lors des manifestations du 1er mai 2018, puis d’avoir utilisé deux passeports diplomatiques lors de voyages après s’être fait viré de l’Elysée, ont été abondamment disséqués, commentés, exagérés, exploités, jetées en pâture à la plèbe friande de ce genre de scoops compromettants montés en « affaires ».

Objectivement sur le fond, pas de quoi fouetter un chat. Certes, tabasser un syndicaliste avec des méthodes du GIGN quand on n’est que garde du corps, c’est relou. Une impulsivité coupable qui fait plus gorille que bodyguard. Et surtout qui fait tache quand on est membre du staff très rapproché du nouveau petit prodige bien propret des médias, dont l’image est soigneusement calibrée par un aréopage de coaches en communication. Mais bon… Comparé aux morts, aux yeux crevés, aux mains arrachées volontairement par les gestapistes envoyés quelques mois plus tard pour massacrer les Gilets jaunes ou les infirmières, ce dérapage ressemble plus à une bourde qu’à une affaire d’Etat.

Quant aux passeports diplomatiques, l’Etat produit tellement de vrais-faux passeports pour ses agents, y compris des anciens caïds du Milieu reconvertis en barbouzes, que ça prête à rire.

Il faudrait plutôt y voir chez le jeune Benalla trop fier de sa réussite et des missions qu’on lui confie une sorte de blessure narcissique et de dépit d’un jeune-homme issu de l’immigration et d’un quartier sensible d’Evreux, d’un milieu plutôt modeste, fils d’un père marocain prof de lycée qu’il décrit comme violent, ayant entamé un master en sécurité publique, entré aux jeunesses socialistes, membre du service d’ordre de Martine Aubry puis chauffeur d’Arnaud Montebourg, initié à la Grande Loge Nationale de France en 2017 où il fut repéré par ses frères et propulsé dans la garde rapprochée du futur Jupiter. Et nommé à 26 ans directeur de la sécurité d’En Marche.

Un parcours hors normes pour un garçon électrisé par les sommets, fasciné par le maintien de l’ordre et qui a cru en son étoile. Séduit, cajolé puis trahi par un jeune produit de luxe coopté par l’élite pour occuper les plus hautes fonctions. Un homme plus ambitieux que lui, manipulateur, cynique et sans cœur.

Se servir de passeports diplomatiques qu’il aurait dû restituer après avoir usurpé les fonctions de policier est sans doute une façon de se donner l’illusion qu’il était encore le chouchou du Prince, une prima donna du sérail ayant accès au corps du Président (au moins pour le protéger), alors que la Cour lui crachait déjà au visage. Plus qu’une intention frauduleuse délibérée.

Quant aux « missions » diplomatiques occultes que lui aurait confiées l’Elysée, il faut plus y voir un fantasme de journaliste qu’une affaire sérieuse. Objectivement ça ne tient pas la route.

Alors pourquoi tant d’acharnement ? Ceux qui ont un peu de jugeotte et ont été témoin de cet enflammement médiatique mi-2018 autour de Benalla ont à l’époque hurlé de rire en entendant parler d’une nouvelle « affaire » pour une simple bavure d’un gros bras du Monarque sur la personne de deux ou trois syndicalistes un peu agités. Une bavure qui fait tache mais une bavure. Point barre.

Mais ça c’était avant une autre crise, d’une toute autre gravité celle-là, et qui allait faire beaucoup parler d’elle. Et puis une autre encore, qui mit un coup d’arrêt brutal à la première et allait tout balayer.

2018-2021 : on est passé du monde d’avant au monde d’après. L’affaire Cahuzac, une vulgaire histoire de gros sous impliquant un ministre socialiste et non des moindres oublieux de déclarer ses millions au fisc, c’est du passé. De la gnognotte. Aujourd’hui on est passé du Guignolo à Matrix, des petites magouilles entre amis à l’asservissement total de l’humanité par les artisans du Nouvel Ordre Mondial. Dont notre Macrounet en bon banquier de chez Rothschild est l’un des thuriféraires les plus empressés. O tempora, o mores…

A l’automne 2018, soit deux mois seulement après le début de l’affaire Benalla, le mouvement des Gilets jaunes n’était pas encore une « crise » mais un simple mouvement social. Sporadique, non structuré, et surtout non-violent. Emmené par quelques pauvres hères de la France d’en-bas, « des gens qui ne sont rien » selon l’expression éloquente du banquier-Président. La plupart étaient camionneurs ou conducteurs de véhicules professionnels, et arboraient donc des gilets de sécurité routière jaune fluorescent en guise de signe de ralliement pour se rassembler chaque samedi et manifester contre l’augmentation du prix des carburants due à la hausse de la taxe sur les produits énergétiques.

De simples manifs comme on avait vues tant sur des ronds-points. Mais qui allaient vite dégénérer en jacquerie d’un genre nouveau. Et entraîner dans leur sillage un mouvement national et populaire de contestation hargneuse anti-Macron, antisystème, anti-caste, anti-réforme des retraites. Une marée grossissante de braillards jaune canari déferla ainsi le jour des courses à l’appel du mouvement sur les grandes villes. Drainant son lot de sauvageons des banlieues, de casseurs et d’anars révolutionnaires, comme au temps des manifs étudiantes de 2005. Mais aussi des faux black blocs : ces policiers en civil infiltrés en marge des cortèges pour semer la pagaille et discréditer le mouvement. Les commerçants aux vitrines saccagées furent les premiers à s’indigner, suivis par une partie de la population inquiète et excédée.

La réponse du pouvoir jupitérien fut implacable : des consignes pour repousser et matraquer sans retenue les manifestants furent données au nouveau Préfet de Police Didier Lallement et à ses bataillons. Lallement le bien nommé : un sosie de Heinrich Himmler, chef de la Gestapo et ministre de l’intérieur du Reich, que les gazettes ne tardèrent pas à brocarder. Aussi méprisant de la populace que son modèle et que son mentor jupitérien. Loin de faire plier les manifestants, ces violences dénoncées par l’opinion et quelques politiques de l’opposition contribuèrent à fédérer et pérenniser un mouvement par ailleurs plutôt faible en revendications. Et à le durcir davantage.

On vit alors se multiplier de façon presque rituelle les cassages en série, les violences sur les Champs-Elysées, le saccage de l’Arc-de-Triomphe et d’autres monuments républicains, le chaos dans les rues, les flammes, la fumée grise des lacrymos qui étouffe et s’élève au-dessus des toits comme au-dessus d’une ville bombardée, les hommes et les femmes à terre, en sang, pleurant et gémissant, les blessés et mutilé par dizaines, et même les morts… Des répressions policières arbitraires et systématiques, aussi méthodique qu’inexorables. Une violence inouïe, inédite, et surtout scandaleusement disproportionnée. A l’image de ce pouvoir brutal, de ce Président déshonoré, impatient de dissuader les manifestants et de casser le mouvement pour poursuivre son agenda.

Parti de revendications catégorielles sur le prix des carburants, le mouvement de Gilets jaunes devint en quelques mois le symbole d’une opposition massive à tout ce que Macron et son régime représentent toujours aujourd’hui. Et que le peuple dans une écrasante majorité occultée par des sondages falsifiés rejette viscéralement, dans un sursaut commun pour survivre face au laminoir de la mondialisation, de la normalisation En Marche, du Nouvel Ordre Mondial et du Covid.

Conscient des enjeux et sans doute mal conseillé, le banquier-Président en mission pour la Caste mondialiste prit l’initiative de convoquer des Etats généraux de la Plèbe, sous forme d’un grand débat national aussi futile que burlesque. Sentant son pouvoir vaciller et ne tenant plus que par sa Police, il fit mine de privilégier la négociation au rapport de forces avec la rue qui réclamait sa destitution et accrochait son portrait sur des piques comme au temps des ci-devant et de la guillotine : une première pour un Président de la Ve. Macron crut qu’il suffisait de dresser des cahiers de doléances dans toutes les mairies de France pour engager le dialogue et convoquer la France en guenilles à un brain-storming civilisé afin de mettre un baume sur ses malheurs. Symptomatique d’un énarque hors-sol. Il se déplaça même dans l’Hexagone pour écouter ses sujets, tel un monarque en campagne visitant ses provinces. Et cru que le bon peuple allait l’applaudir. Avant de finalement lâcher quelques belles paroles à son habitude, puis quelques milliards pour calmer les gueux. Espérant ainsi les corrompre et les faire rentrer sagement dans leurs gourbis.

Echec retentissant. Malgré les tentatives de récupération de l’extrême droite et de l’extrême gauche, la division de l’opinion entretenue par le pouvoir entre ceux qui condamnent les violences et ceux qui soutiennent les manifestants, les tentatives de corruption des figures du mouvement, et les 17 milliards balancés sur la plèbe, le mouvement ne s’est jamais tari. Reprenant même du souffle avec la très impopulaire réforme des retraites engagée en 2019. La goutte qui fit déborder le vase.

Le Covid, le confinement et les lois liberticides portèrent d’abord un coup d’arrêt net au mouvement des Gilets jaunes. Mais ils donnèrent a posteriori raison aux Gilets jaunes quant à la nature tyrannique du régime. A peine déconfiné, le mouvement se fondit plus ou moins dans une vague de contestations bien plus ample et plus profonde, creusée dans l’opinion par les humiliations subies durant les confinements. Une lame de fond lente à démarrer mais inexorable contre la nouvelle dictature sanitaire d’un Président autocrate flanqué des pleins pouvoirs et entêté dans une politique de plus en plus tyrannique.

Malgré l’interdiction initiale des rassemblements publics et des manifestations « pour raisons sanitaires », cette nouvelle fronde se personnalisa davantage contre ce Président haï, la dérive dictatoriale de son régime incarnée par des violences policières toujours plus dures et injustes, des mesures sanitaires absurdes et inefficaces, un contrôle médical, numérique et policier des populations symbolisé par la vaccination obligatoire et le pass sanitaire imposés à tous ; ce qu’aucun pays au monde n’avait fait.

La planète s’était émue en décembre 2018 de ces violences policières, face aux images de Paris en guerre et d’une France sombrant dans le chaos. A propos de ces violences inédites puis de la censure mise en place après le Covid, des ONG comme Amnesty International ou Human Rights Watch ont même comparé les méthodes du régime de Macron avec celle des pires dictatures comme la Corée du Nord, reléguant la France loin derrière dans le classement des « démocraties » qui respectent le mieux les droits de l’homme et la liberté de la presse.

Pourtant, en 2019 le monde tout entier entra en ébullition : des mouvements de contestation violents et de revendications antigouvernementales, antisystèmes, anti-corruption, contre l’augmentation du coût de la vie et les violences policières, éclatèrent de Hong Kong à Santiago, de Beyrouth à Barcelone… Jusqu’à ce qu’un petit virus de pangolin renvoie tous ces excités à la maison.

L’affaire Benalla fut juste une vilaine tache sur le costume ; la crise des Gilets jaunes fut la première vraie grosse crise du régime Macron, qui fit même basculer certains fanatiques de la première heure dans le camp des antimacronistes résolus à le dégager par tous les moyens : démission, destitution au tite de l’article 68 de la Constitution, déposition par l’armée, révolution ou pire…, tous les scénarios furent tour à tour évoqués, au nom de la République, de la démocratie et du peuple bafoués.

Une crise qui rompit le pacte, fût-il fictif et mensonger, établi entre le nouveau joujou des médias et le peuple français. Un peuple éreinté par les crises, désabusé par les promesses, les tromperies, les affaires de corruption qui décrédibilisent tout le staff politique. Une crise qui révéla l’absence totale d’éthique républicaine chez ce Président-banquier propulsé par une oligarchie d’affaires plus soucieuse de ses intérêts que du peuple qu’elle exploite. Une crise révélatrice de la peur qu’inspire clairement le peuple incontrôlable et irascible à ces élites et à leur hochet. Une crise qui trahit le Pacte républicain fondé sur des idéaux de Liberté, de Fraternité et de Justice sociale. Une crise qui révèle le mépris du peuple et le cynisme d’une marionnette programmée pour dérouler un agenda liberticide, populicide et antidémocratique : celui de cette caste financière, ultralibérale et mondialiste qui a « fabriqué Macron« , comme s’en est vanté Jacques Attali.

Alors, Benalla, fusible de la Macronie ? Ou simple croupion déchu du pouvoir jeté dans l’arène pour occuper la plèbe ?

Cela paraît presque une évidence après quatre ans de crise sociale et politique, de saccage méthodique du service public, de notre système de protection sociale, de violences policières extrêmes et inédites depuis la Milice et l’Occupation. Et à sept mois des élections présidentielles, à propos desquelles le Président sortant le plus haï et le plus illégitime de toute l’Histoire républicaine, soutenu par seulement 5% de l’électorat (aux dernières élections régionales), semble osciller entre une apparente impatience à battre à nouveau campagne (sans doute pour échapper aux innombrables plaintes pour « crimes contre l’humanité » commis durant la crise du Covid), et la résignation. Avec des déclarations sibyllines saupoudrées ici ou là :

« Peut-être que je ne serai pas candidat… Peut-être que je ne pourrai pas me représenter, parce que je devrai prendre des décisions très dures dans les derniers mois de mon mandat… » (décembre 2020 et juin 2021).

Jamais un Président de la République française n’avait été élu de façon aussi frauduleuse et illégitime, au terme d’élections manipulées, émaillées de fraudes avérées (mais jamais commentées dans les médias officiels), pilotées par des médias aux mains de milliardaires unanimes à soutenir sa candidature. Quitte à détruire méthodiquement la respectabilité de ses concurrents. Comme lors de cette affaire Fillon montée de toutes pièces deux mois avant le premier tour de 2017 pour torpiller le favori des sondages et ouvrir un boulevard au nouveau prodige.

Jamais un Président ne s’était aussi peu soucié d’une France qu’il ignore, lui préférant l’échiquier bankable de ses mentors mondialistes, de sa souveraineté qu’il bafoue plus que ne l’ont fait tous ses prédécesseurs, de sa culture dont il nie l’existence, de son peuple qu’il méprise, pourchasse et matraque via ses milices privées, nouveau rempart de La Dictature En Marche : honnêtes citoyens, mères de famille, retraités, syndicalistes, avocats, infirmières et médecins confondus.

Jamais une marionnette de l’oligarchie financière et du groupe Bilderberg (à la réunion duquel il fut invité à participer en 2014), par ailleurs toujours directeur associé de la Banque Rothschild, inconnu du grand public quatre ans auparavant, sans aucune expérience de la politique, parachuté comme conseiller spécial à la tête de l’État par des conseillers opaques, n’avait gravi aussi vite les échelons du pouvoir. Jusqu’à se faire élire deux ans plus tard après un court passage à Bercy contre un épouvantail de circonstance incapable de débattre la veille du scrutin, pour cause d’alcoolémie et de vulgarité patentes.

Jamais un programme de destruction massive formaté par les grandes écoles, looké comme un premier de la classe et bardé de spécialistes du marketing politique, arrogant et crâneur, n’avait en si peu de temps détruit tout ce qui faisait naguère la France : son Etat de droit résumé à une dictature qui n’ose s’avouer, son modèle de République une et indivisible laminée par le multilatéralisme, le communautarisme et l’islamisme, instruments chouchoutés par les progressistes pour détruire les états-nations et imposer leur Nouvel Ordre Mondial. En dépit de l’attentat de la Préfecture, de la décapitation d’un professeur de lycée par un islamiste tchétchène sans papiers, et autres attentats « isolés », des profanations de lieux de culte chrétiens, des provocations et agressions islamistes, d’un débat concédé à une opinion excédée par tant d’inaction et de duplicité, et finalement d’une loi bidon sur le « séparatisme » qui n’ose même pas dire son vrai nom (l’Islam radical), le CCIF et les Frères musulmans ont continué comme par le passé d’être été cajolés et encouragés par les élites au pouvoir. Pour ne pas froisser l’électorat musulman, mais aussi par calcul stratégique inavouable à plus long terme. Une constante des gouvernements successifs, aveugles ou duplices depuis Sarkozy, qui avait fait rentrer les Frères musulmans au CFCM contre l’avis de son parti.

Macron s’est même abaissé à s’exhiber de façon obscène, dégradant la fonction présidentielle, en compagnie de militants islamistes portés aux nues par les médias « progressistes » gangrenés par la culture woke. Certain appelé « mon frère » par le Président comme Yassine Belattar, pseudo humoriste et sous-marin des Frères musulmans. Ou Ladj Ly, réalisateur des Misérables, un navet césarisé sur la misère des cités et les idiotes voilées, qui aurait « bouleversé » Macron. Il est vrai que le Président le plus sensible de la Ve République a aussi quelques faiblesses assumées pour les Blacks et Beurs, jeunes délinquants de préférence…

Sur le volet social et économique, Macron s’est employé à détruire méthodiquement ce qu’il restait du système public de protection sociale, des services publics, à démanteler au profit de concurrents étrangers les entreprises françaises stratégiques, y compris des firmes ultra rentables comme Aéroports de Paris : assurance retraite, chômage, maladie, SNCF, EDF, Police nationale (en partie remplacée par des milices privées), et même l’Armée si on le laisse faire : tout doit disparaître, soldé au privé !

La casse et « LE » casse du siècle, commandité par une oligarchie prédatrice représentée notamment par des fonds d’investissement comme BlackRock (invité à siéger au Conseil des ministres sur la réforme des retraites). Avec en prime le plus grand nombre de conflits d’intérêts de tous les gouvernements de la Ve République entre les ministres des gouvernements Philippe et Castex et certains lobbies privés.

Une marche forcée vers la normalisation ultralibérale engagée au détriment des Français, dans l’intérêt exclusif du secteur privé, d’une poignée de multimilliardaires amis et mécènes du Président, des grandes priorités de son programme ultralibéral, de son parti composé de clampins trentenaires inexpérimentés et aux ordres. Une marche conduite avec un mépris assumé du peuple. Sur fond de répressions, de muselage de l’opinion et de violences policières jamais vues en France depuis l’Occupation, même durant la guerre d’Algérie.

L’apothéose aura été atteinte avec la « crise sanitaire » du Covid. Une opération de grande envergure imaginée, planifiée, mise au point, simulée (deux mois avant le début de l’épidémie lors d’un exercice de simulation baptisé Event 201 et organisé par plusieurs fondations privées), puis mise en œuvre comme une campagne militaire par les plus grandes institutions mondiales (OMS, ONU, Forum Économique Mondial…), avec le concours de fondations privées (Rockefeller, Rothschild, Bill & Melinda Gates, Gavi, John Hopkins…) Un scénario minutieux répondant à une stratégie du basculement visant à instrumentaliser les chocs, les épidémies et le chaos qu’elles engendrent, afin de mettre en place un système de contrôle intégral des populations au niveau mondial : création d’un nouveau système financier mondial en remplacement de l’ancien, exsangue, instauration d’une monnaie unique numérique mondiale, établissement d’un système de surveillance numérique omniprésente et décentralisée, généralisation du crédit social à la chinoise pour tous les humains, restriction de toutes les libertés… Et bien sûr instauration d’une gouvernance mondiale entièrement contrôlée par les oligarques : un concept très ancien qui remonte au 18e siècle, une nécessité obsessionnelle selon les maîtres du monde dont Macron est le pantin.

Le scénario de ce basculement appelé Great Reset, qui instrumentalise la cause de l’écologie et du développement durable, mais les préoccupations sanitaires et sécuritaires grâce à des pandémies contrôlées utilisées comme leviers de changement, est désormais bien connu, au moins des esprits lucides. S’agissant des sombres objectifs que cache la crise sanitaire du Covid, les étapes du scénario de transition vers le nouveau paradigme, une nouvelle forme de dystopie totalitaire, de dictature sanitaire, policière, technosécuritaire, numérique, mondialiste, transhumaniste et eugéniste, annoncée longtemps à l’avance sont maintenant en majeure partie connues : « découverte ‘un nouveau coronavirus zoonose, psychose médiatique mondiale, mise en place de mesures d’exception uniformisées par les états…

Et puis s’agissant de la France, modèle en la matière au plan mondial : distanciation sociale, état d’urgence reconduit indéfiniment de façon totalement inconstitutionnelle, abolition drastique de toutes les libertés individuelles, confiscation de la démocratie, du débat parlementaire, nomination d’un « Conseil de défense » comme en temps de conflit armé (pour une simple grippe…), abolition du principe de séparation des pouvoirs avec une subordination totale du Parlement et partielle de la Justice au pouvoir exécutif réuni autour d’un seul homme, neutralisation de tous les partis politiques, du débat démocratique (par les médias) et des contre-pouvoirs, instauration d’une véritable Police de la Pensée (Checknews) composée de médias officiels subventionnés par l’Etat (à hauteur d’un milliard d’euros en 2020) et la Fondation Bill & Melinda Gates, censure des médias indépendants et des réseaux sociaux, pénalisation des propos déviants (« fake » ou « haineux« ), déchéance des droits parentaux pour les parents accusés de « déviance sectaire » (simple contestation de mesures sanitaires injustes et liberticides), incitation à la délation, arrestation et incarcération arbitraires sans aucun motif de scientifiques dénonçant les mensonges et crimes d’Etat, fermeture des frontières, enfermement de toute la population grâce aux confinements et couvre-feux à répétition, imposition d’un laisser-passer pour sortir de chez soi, gel de l’économie nationale et destruction volontaire de secteurs entiers au profit de multinationales (Uber, Netflix, Amazon…), mise sous tutelle du pouvoir médical, suppression de la vie privée et du secret médical, interdiction de prescrire certains médicaments efficaces sous AMM (pour favoriser des « vaccins » au stade expérimental, inefficaces, ultra toxiques voire létaux et sans AMM), interdiction de soigner des malades et de les admettre en services d’urgences, arrêt et interdiction de certains protocoles de recherche médicale, port obligatoire de masques inutiles et dangereux y compris pour les enfants avec risques élevés de suffocations, de réactions allergiques et d’autocontaminations bactériennes, interdiction aux enfants de jouer, de s’approcher, de se parler, de se toucher, enfermement et endoctrinement dans les écoles, tests et vaccins réalisés sur des enfants sans l’accord e leur parents, obligation de se faire tester pour pouvoir travailler dans certaines entreprises et services publics (bien qu’illégal), se déplacer, voyager, avec des tests PCR inutiles (selon leur inventeur) et faux à 98% si positifs (selon les fabricants et épidémiologistes), vaccination obligatoire indirecte et parjure, pass sanitaire étendu de façon parjure, inconstitutionnelle et totalitaire à tous les actes de la vie civile, etc…

La France de Macron a ainsi servi de modèle et de tête de proue européenne de la Dictature En Marche. Le Président le plus zélé et servile de l’Oligarchie a ainsi osé prendre des décisions criminelles qu’aucun chef d’Etat ailleurs dans le monde n’a jamais osé prendre. Comme l’interdictions faite aux médecins de soigner les malades et l’interdiction des médicaments comme l’hydroxychloroquine du Professeur Raoult, l’ivermectine ou l’artemisia annua (armoise), dont l’efficacité est avérée par des centaines d’études et qui ont été utilisés par de nombreux pays (USA, Royaume Uni, Chine, Russie, pays africains…) pour guérir rapidement les malades du Covid. Un cas unique dans l’Histoire et un authentique crime contre l’humanité qui a engendré des sizaines de milliers de plaintes contre l’Etat français, son Président et les ministres concernés auprès de la Cour de Justice de la République, de la Cour européenne de Justice ou de la Cour pénale internationale. Comme Agnès Buzyn, actuellement sous le coup d’une mise en examen.

Macron ne s’est cependant pas arrêté là. Au plus fort de l’épidémie les malades les plus fragiles (trop âgés, atteints de maladies chroniques…) ont été empêchés d’accéder aux hôpitaux prétendument « saturés », obligeant les médecins urgentistes à effectuer une sélection cornélienne entre ceux qui devaient vivre et ceux qui devaient mourir, renvoyés chez eux avec une boîte de Doliprane. Pire encore, l’Etat français a fait volontairement euthanasier plusieurs milliers de personnes âgées en EHPAD et à leur domicile, grâce aux décrets Véran des 28 mars et 16 décembre 2020 enjoignant les médecins à prescrire du Rivotril, un neuroleptique létal formellement contre-indiqué en cas d’insuffisance respiratoire et produit par Roche (mécène de LREM…), aux personnes âgées simplement suspectées de Covid. Sans consentement éclairé, sans avertir les familles, interdites de visites pendant trois mois, et parfois sans aucun test préalable. Une performance macabre réitérée aussi discrètement et sans état d’âme durant l’été 2021 en Martinique, à la faveur d’une « 4e vague » punitive et totalement fictive.

L’Etat a aussi refusé l’aide proposée par les cliniques privées aux hôpitaux publics en plein pic épidémique (entre mars et mai 2020). Il a refusé l’offre gratuite de respirateurs proposés par certains fabricants de matériel médical à l’Assistance publique. Il a refusé de transférer certains malades surnuméraires dans des hôpitaux de province totalement vides. Et préféré mettre en scène la « pénurie de lits » grâce à un transfert coûteux des malades digne d’une campagne militaire dans des services de réanimation situés à l’autre bout de la France, à coup de TGV spécialement affrétés et en convoquant les médias…

Si l’on se penche sur aux conflits d’intérêts entre la Macronie et l’industrie pharmaceutique, notamment le lobby vaccinal, on ne les compte plus tant ils sont légion. Agnès Buzyn, ministre de la Santé de 2017 à 2020, est aussi l’ex-épouse d’Yves Lévy, PDG de L’INSERM et dirigeant de l’Institut Pasteur. Yves Lévy a par ailleurs contribué en 2011 à l’inauguration du laboratoire P4 de Wuhan, fruit d’une étroite collaboration scientifique franco-chinoise, et considéré aujourd’hui presque unanimement par les épidémiologistes comme l’origine du coronavirus responsable du Covid. C’est aussi le plus farouche ennemi du Professeur Didier Raoult, l’un des premiers avoir a expérimenté sur les malades du Covid soignés à l’IHU de Marseille et avec un succès spectaculaire confirmé par de multiples études mondiales un traitement à base d’hydroxychloroquine et d’azithromycine avéré auparavant efficace sur plusieurs infections à coronavirus.

L’une des décisions les plus surprenantes de la ministre a été d’interdire la libre délivrance sans ordonnance de l’hydroxychloroquine, un médicament produit en France et très peu coûteux, administré à plus de 2 milliards de patients dans le monde depuis 70 ans sans aucun effet secondaire, en l’inscrivant au Tableau des substances vénéneuses en janvier 2020. Soit 2 mois avant l’arrivée de l’épidémie en France !

Après avoir quitté Matignon, Edouard Philippe, Premier ministre au début de l’épidémie, a aussitôt pris la direction d’une société de services numériques, laquelle est aujourd’hui en charge… du QR code !

Bien que totalement inconnu du grand public, sans aucun charisme ni expérience gouvernementale, son remplaçant Jean Castex n’a pas été choisi par hasard. Ex-directeur administratif et financier de l’Institut Pasteur. Pasteur est le laboratoire crédité preuves à l’appui par certains spécialistes comme le Professeur Jean-Bernard Fourtillan comme étant le créateur et le détenteur de l’unique brevet au monde du virus SARS-COV-2 responsable du Covid-19 (et du brevet du vaccin correspondant). Ce qui n’a jamais été officiellement démenti par le laboratoire. Castex fut par ailleurs conseiller en 2009 de Nicolas Sarkozy en pleine crise du H1N1, en charge de la vaccination ! Et aux côtés d’une certaine Roselyne Bachelot, ministre de la Santé, accusée par la suite de conflit d’intérêts, sagement retraitée de la politique et reconverti dans le show biz, mais pourtant nommée ministre de la culture du gouvernement Castex en 2020. Simples coïncidences.

Si l’on remonte à la campagne du candidat Macron en 2017 et à la création de LREM, on découvre qu’au moins 4 grands laboratoires français et internationaux ont contribué au financement de sa campagne et de son nouveau parti (prétendument uniquement financé par les dons des adhérents). Ces labos ont même financé certains ministres à partir de 2017. Quoi de plus normal que Macron ait pris la décision 6 mois après son élection de rendre obligatoires 11 nouveaux vaccins pour les nourrissons. Et ce contre l’avis d’une majorité de médecins français, y compris des provax. Simple retour sur investissement.

L’Histoire s’est depuis répétée à plus grande échelle avec la vaccination rendue de fait obligatoire contre le Covid pour toute la population française (sauf quelques exceptions ciblées comme les policiers…) : personnes âgées, personnels soignants, adultes, employés de certains services, adolescents, et bientôt jeunes enfants et nourrissons si rien n’est fait pour éviter ce crime. Une spécificité française parmi les pays développés, puisqu’à ce jour seuls le Turkménistan, le Tadjikistan, l’Arabie Saoudite et le Pakistan, 4 dictatures islamistes, ont opté pour la vaccination obligatoire.

En effet, ces prétendus « vaccins » qui ne sont que des injections géniques expérimentales très contestées par une part croissante du corps médical, accumulent les fiascos retentissants à mesure que les études tombent : inefficacité quasi-totale à protéger des contaminations en provoquant une réponse immunitaire adaptée et durable (même contre les formes les plus graves du Covid contrairement à ce que la propagande des labos affirme), contaminations de plus en plus élevées chez les personnes vaccinées et supérieures aux personnes non-vaccinées, effets secondaires  graves à très graves exponentiels et inédits dans toute l’Histoire de la pharmacovigilance : 2 millions répertoriés en 6 mois par l’agence de pharmacovigilance européenne, décès directement liés aux vaccins supérieurs au décès du Covid, décès du Covid chez les vaccinés 8 à 13 fois plus importants que chez les non-vaccinés, 44 fois plus de décès de thrombose chez les enfants vaccinés… Une vraie catastrophe humanitaire !

Alors que les virus mutants sont selon les épidémiologistes de moins en moins contagieux et dangereux (contrairement aux mensonges officiels), le vrai danger c’est aujourd’hui le vaccin ! L’idéologie du tout vaccinal propre à satisfaire les lobbies est pourtant la seule stratégie appliquée de façon autiste et monomaniaque par Macron et son gouvernement, de plus en plus déterminés à faire taire et punir les experts, médecins et journalistes courageux qui osent braver la censure et dire la vérité.

« Le mensonge, c’est la vérité. » (Orwell, 1984) Il semble que le régime actuel, de plus en plus enfermé dans un glissement dictatorial, ait fait sienne cette maxime, bien décidé à combler le plus vite possible l’écart entre la France autrefois « patrie des droits de l’homme et de la démocratie » avec la dictature chinoise et ses outils numériques de surveillance et de contrôle des masses : drones, robots policiers, reconnaissance faciale, algorithmes prédictifs, 5G, crédit social… D’autant qu’avec le tout nouveau pass sanitaire (mis au point et imposé par l’Europe), et son extension à tous les actes de la vie quotidienne, 1984 sera bientôt un vieux compte pour enfants.

Ce pass vient pourtant aujourd’hui d’être abandonné par le Royaume Uni car totalement inutile et inapplicable. Si les choses évoluent selon l’obstination de Macron à transformer le France en nouvelle Corée du Nord, il sera sans doute bientôt une exclusivité française, totalement calquée sur son modèle chinois.

L’obstination de Macron, de ses sbires et complices corrompus – politiques, journalistes, pseudos scientifiques, médecins achetés par les labos, Ordre des Médecins et agences de santé archi corrompus… – à poursuivre une politique insensée, meurtrière, liberticide, quasi génocidaire, à liquider la démocratie et l’identité française dans le seul intérêt de ses mécènes, avec un cynisme effrayant déguisé en amateurisme, constitue le plus grand crime commis par des dirigeants politiques démocratiquement élus dans notre Histoire. Et apparente le régime de Macron aux pires heures de Vichy.

Face à tous ces crimes, l’affaire Benalla ressortie à la rentrée 2021 alors que démarre la campagne des présidentielles semble une peccadille ! Et un paravent bien maigre pour faire oublier ce que les médias qualifient pudiquement d’ « erreurs de gestion » ou d’ « incohérences ».

Mais l’opinion intoxiquée par la propagande omniprésente des médias, et dépossédée de son libre arbitre par des décennies d’ingénierie sociale, est aujourd’hui dans sa grande majorité incapable de discerner le vrai du faux, de se faire un avis précis à partir de faits établis et non de slogans ou de rumeurs matraqués quotidiennement. Ne lui reste comme unique choix qu’à ravaler ses frustrations et voter Macron une seconde fois en 2022.

L’affaire Benalla dont reparlent les médias à la faveur de l’ouverture du procès est l’un de ces dérivatifs commodes agités pour détourner l’attention du public des sujets importants qui risqueraient de le mécontenter. L’été 2021 a eu son lot : Euro 2020, Tour de France, J.O. de Tokyo pour amuser la galerie et distraire les inutiles après des mois d’humiliations. Et pour entretenir la peur tout en canalisant les ressentiments, ouverture en septembre du procès des attentats parisiens de Novembre 2015 et célébrations des 20 ans du prototype inégalé, ceux du 11 Septembre :  quelle magnifique coïncidence !…

Aussi incroyable que cela puisse paraître, l’homme le plus haï de France pourrait donc se voir réélire par défaut face à une Marine Le Pen inexistante lui servant de marchepied, comme en 2017. Les sorciers du marketing politique et de médias spécialistes de manipulation mentale devront alors user de toutes leurs ruses pour redonner une crédibilité, du peps et du sexy à ce véritable tyran. Celui-ci pourra alors achever son Grand Œuvre macabre et faire basculer la France, puis l’Europe et enfin le monde dans la plus effroyable dystopie jamais imaginée par les pires films de science-fiction.

Tout ça en prétendant œuvrer pour la santé, la sécurité et le bonheur de « la France efficace et juste » [ii].

Après tout, comme le disait un Goebbels expert en la matière : « Plus un mensonge est gros, et plus ça passe !« 



[i] Cf. le livre de Klaus Schwab, Président du Forum Economique Mondial, et Thierry Malleret : Covid-19, The Great Reset, publié en 2020.

[ii] L’un des slogans du candidat Macron en 2017.

Qui aurait pu croire ?…



Qui aurait pu croire qu’un jour en France des policiers tireraient avec des armes de guerre sur des infirmières désarmées, mais laisseraient des truands et des fichés S se balader en toute impunité dans les quartiers perdus de la République ?

Qui aurait pu croire qu’un jour en France on mourrait dans la rue, qu’on perdrait une main, un œil pour avoir osé défendre la liberté ?

Qui aurait pu croire qu’un grand laboratoire (Pasteur), engagé dans une compétition mondiale farouche pour produire de nouveaux virus et de nouveaux vaccins, choisirait de disséminer un virus mortel sous faux drapeau chinois à l’autre bout du globe pour déclencher une pandémie, un mois à peine après avoir participé à sa simulation (Event 201) ?

Qui aurait pu croire qu’un jour en France on interdirait du jour au lendemain aux gens de se parler, de s’approcher, de se toucher, de s’embrasser, qu’on les obligerait à porter un masque inutile y compris à leur domicile, puis qu’on les enfermerait chez eux pendant plusieurs mois à cause d’une simple grippe ?

Qui aurait pu croire qu’un jour on arracherait des enfants à leur famille, qu’on fermerait des écoles privées, qu’on interdirait l’éducation à la maison, qu’on les endoctrinerait de force, qu’on les obligerait à porter un masque toute la journée, qu’en les empêcherait de jouer, de s’approcher, qu’on les enfermerait dans des cages, qu’on les testerait et vaccinerait sans l’accord de leurs parents, et qu’on les obligerait à les dénoncer s’ils disent du mal de l’Etat à la maison ?

Qui aurait pu croire qu’un gouvernement collaborerait à un programme mondial de destruction de secteurs entiers de l’économie dont les seuls bénéficiaires sont les actionnaires de quelques multinationales (Great Reset), condamnant à la faillite et au chômage des millions de petits commerçants, d’indépendants, d’autoentrepreneurs, de cafetiers, restaurateurs, patrons d’entreprises du spectacle, de discothèques… ?

Qui aurait pu croire qu’un jour en France un organisme composé de grands médias corrompus détenus par quelques milliardaires (et financés par l’Etat à hauteur de 1,2 milliards d’euros sur un an) serait chargé de surveiller toutes les publications des autres médias indépendants et des particuliers sur internet, de supprimer les propos jugés non conformes sur les réseaux sociaux, et de pénaliser les contrevenants ?

Qui aurait pu croire qu’un jour en France en arrêterait un professeur de médecine qui ose dénoncer les choix sanitaires du gouvernement, la corruption du système de santé, et révéler les crimes des labos ? Qu’on l’enfermerait de force en hôpital psychiatrique comme au temps de Staline, puis en prison, sans aucun motif et dans le silence absolu des médias ?

Qui aurait pu croire qu’un jour en France on pousserait les citoyens à la délation, à dénoncer un fils, un parent, un ami, un collègue qui refuse de se plier aux consignes sanitaires, immédiatement accusé d’être un mauvais citoyen mettant en danger la communauté ?

Qui aurait pu croire qu’un jour en France on interdirait aux médecins de prescrire, y compris en milieu hospitalier ou à titre expérimental, des traitements réputés efficaces contre une infection par des centaines d’études dans le monde, afin de favoriser le lobby des vaccins ?
Qui aurait pu croire qu’un jour en France toutes les institutions de santé, une partie du corps médical et de la recherche, les politiques, les médias, seraient tous corrompus par les laboratoires pharmaceutiques et ceux qui les contrôlent ?

Qui aurait pu croire qu’un jour en France on obligerait toute la population, y compris les enfants, les adolescents, les personnes fragiles ou immunodéprimées, à se faire injecter des substances hautement toxiques, sans aucune efficacité, qui détruisent leur système immunitaire, modifient de façon irréversible leur génome, provoquent des effets secondaires gravissimes, et même plus de morts que le virus contre lequel elles sont censés protéger ?
Qui aurait pu croire qu’un jour en France un gouvernement instaurerait avec l’aval du Parlement, du Conseil d’Etat et du Conseil Constitutionnel un authentique régime d’apartheid visant à isoler les personnes vaccinées et non vaccinées, avec des droits très restreints et une interdiction de fréquenter les lieux publics pour ces derniers ?
Qui aurait pu croire qu’un jour des hôpitaux refuseraient d’accueillir des patients s’ils n’ont pas de pass sanitaire, de les soigner, au risque de se rendre coupables de refus de soin et de non-assistance à personne en danger ?

Qui aurait pu croire qu’un jour des citoyens seraient employés bénévolement pour surveiller leurs semblables, comme au bon vieux temps de la Collaboration ?

Qui aurait pu croire qu’un jour des hôpitaux préfèreraient embaucher des vigiles pour contrôler les pass sanitaires plutôt que d’engager du personnel soignant ? Qui aurait pu croire qu’un jour vous pourriez être licencié sans indemnités si vous refuser de vous faire vacciner pour aller travailler ?

Qui aurait pu croire qu’un jour on nous dirait que les services hospitaliers sont débordés alors que dans le même temps on ferme des milliers de lits ?

Qui aurait pu croire qu’un gouvernement au plus fort du pic épidémique refuse l’aide proposée par les cliniques privées pour soulager les services hospitaliers débordés ? Et qu’il refuse les respirateurs proposés gratuitement par certains fabricants qui auraient pu sauver des milliers de vie ?

Qui aurait pu croire qu’un ministre de la Santé lui-même médecin ose signer deux décrets (le 28 mars 2020 et le 16 octobre 2020) pour enjoindre les médecins d’EHPAD à prescrire un neuroleptique létal formellement déconseillé par le fabricant en cas d’insuffisance respiratoire (Rivotril) afin d’euthanasier 3.000 personnes âgées simplement suspectées de Covid ? Et ce sans test, sans consentement préalable des intéressés et ni celui de leur famille.

Qui aurait pu croire qu’un jour en France on demanderait à des restaurateurs ou autres commerçants de trier leurs clients et refuser les personnes non vaccinées, comme les Juifs sous Vichy ?

Qui aurait pu croire qu’un jour la SNCF délivrerait des brassards bleus aux clients qui présentent un pass sanitaire en règle et refoule à l’entrée des gares ceux qui ne sont vaccinés, comme on imposait l’étoile jaune aux Juifs sous l’Occupation pour les stigmatiser ?

Qui aurait pu croire qu’un jour un Président illégitime, tyrannique et ultra impopulaire, qui concentre tous les pouvoirs depuis un an et demi, a vidé la Constitution et les institutions de la République de leur substance pour les vendre à des fonds d’investissement, et qui gouverne grâce à sa Police depuis 4 ans en méprisant ouvertement le peuple, ose encore parler « démocratie », alors que tant d’observateurs étrangers comparent la France à une dictature ?

Qui aurait pu croire qu’un jour on imposerait des lois anti constitutionnelles sans que personne ou si peu n’ose broncher ?

Qui aurait pu croire qu’un jour une si écrasante majorité accepte des dérives aussi graves sans réagir ?

Nous ne vivons pas dans un rêve.
Nous vivons dans une dystopie.

1984, Le Meilleur des mondes ou Matrix, peu importe : il est temps de se réveiller !

Le futur qui se met en place aujourd’hui n’est pas écrit à l’avance, il ne dépend que de nous. De notre capacité à refuser celui qu’on nous impose, à dire non, à en inventer un autre, plus fraternel, plus lumineux, plus solidaire, plus uni.

Ou à renoncer, à subir, à courber l’échine et à accepter d’être réduits à l’état d’esclaves, de robots, de marchandises, d’« inutiles », de déchets à éliminer.

Ne nous laissons pas dicter notre avenir. Sans nous, rien n’est possible. Avec nous, tout devient possible.