La volonté de ne pas savoir

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Pourquoi « ils » ne veulent pas savoir ?…

Quelles sont les raisons profondes du conformisme social, de l’oblitération morale et intellectuelle, du suivisme politique des masses aux cerveaux lessivés par les médias comme jamais auparavant en Occident depuis cette « crise du Covid » ?

Dans une vidéo postée sur un tweet, le Dr. Louis Fouché explique la raison du déni qui touche paradoxalement plus les plus éduqués, les plus diplômés, les plus conformistes, attachés au matérialisme. Une grande partie de la population accepte encore la censure et le narratif officiel des gouvernements et de l’OMS. 70% des individus dans les pays Occidentaux se seront ainsi fait injecter, de gré ou sous la contrainte, un produit expérimental frauduleusement appelé « vaccin », commercialisé de façon illégale par un cartel d’industries pharmaceutiques. Dont une bonne part d’enfants, d’adolescents, de jeunes adultes qui n’ont jamais été concernés par la maladie, et qui ne présentaient aucun risque de la transmettre aux plus vulnérables tant qu’ils n’étaient pas eux-mêmes malades avec des symptômes.

La vérité sort partout (sauf ou si peu en France), mais elle n’est pas audible.

A cette analyse pertinente, j’ajoute qu’il existe chez les personnes les plus fragiles des mécanismes psychologiques du type paranoïaque qui expliquent cette incapacité à voir des faits réels.

Léonard de Vinci observait : « Il y a trois types de personnes : ceux qui voient ; ceux qui voient quand on leur montre ; et il y a ceux qui ne voient pas. » C’est cette dernière forme de cécité psychique plus qu’intellectuelle, pathologique plus que délibérée, systémique plus que personnelle, qu’il faut interroger.

Ce déni obsessionnel qui confine à la schizophrénie poussent ceux qui en sont atteints à réagir souvent sous forme de décompensations violentes et paroxystiques, lorsqu’ils se retrouvent confrontés à des personnes qui les exposent à des vérités dérangeantes. Des vérités factuelles pourtant validées, sourcées, officielles, incontestables.

Comme ces effets secondaires record, ces victimes et ces morts par millions recensés partout dans le monde, et directement imputés aux pseudos « vaccins » anti-Covid. Des informations qui ébranlent leurs certitudes autant que les remparts de la doxa sanitaire. Qui désamorcent des croyances implantées à dessein sur une « pandémie » fantasmée, en grande partie fictive, aussi banale qu’un rhume d’un point de vue infectiologique, épidémiologique et statistique, mais aussi terrifiante que la Grande peste noire, la lèpre, le choléra ou le sida, qui réveillèrent en leur temps des terreurs archaïques, médiévales ou apocalyptiques.

Or cette paranoïa entretenue et même plus contagieuse que le virus est précisément la matrice psychologique des mécanismes de dépendance au pouvoir. Comme l’illusion de toute-puissance quasi divine qui la caractérise, cette hubris bien plus addictive que le vice de l’avarice, cette obsession de l’argent et des richesses. Et cette jouissance perverse, sadique, partagée par tous les hommes de pouvoir (plus rarement des femmes) au niveau le plus élevé. Tous prisonniers de leur propre névrose. Une obsession dévorante qui les conduit à se démarquer radicalement du commun des mortels, de ce qui fonde notre humanité, pour poursuivre un rêve de toute-puissance du haut de leur Olympe. Avec comme fantasme ultime le rêve de pouvoir créer et maîtriser la Vie. Comme ce démiurge Créateur de l’Univers, dont ils jalousent le pouvoir et réfutent l’existence.

C’est la thèse défendue par Ariane Bilherand, psychologue spécialiste des pathologies du pouvoir, qui a étudié dans les moindres détails cette pathologie chez les grands malades qui dirigent le monde, et leur idéologie radicalement inégalitaire, transhumaniste et eugéniste.

Le Covid n’est que la surface visible de ces mécanismes paranoïaques auto-aliénants, qui se déclinent aux plans du savoir, du pouvoir politique, économique, administratif et financier sous les traits d’une perversion radicale des savoirs scientifiques, de l’éthique et des institutions liées à la fabrique du savoir, sa validation et sa transmission, l’ingénierie sociale et la manipulation scientifique des masses, la corruption systémique et systématique de tous les pouvoirs subordonnés au seul pouvoir financier et à ceux qui le contrôlent, la perversion des discours sur le Droit, la Justice, la Démocratie, la Société, leurs fondements philosophiques, institutionnels et même religieux. Y compris les valeurs les plus essentielles. Comme le respect de la vie humaine et des autres formes de vie, de la dignité humaine, de l’identité et de l’intégrité individuelles, de l’inviolabilité du corps humain, des principes humanistes universels, ou des libertés reconnues comme les plus essentielles.

Cette paranoïa est méthodiquement traduite en slogans et formules magiques pour forcer l’adhésion des masses esclavagisées à une propagande, à un discours et à un ordre absurdes.

Lorsque la soumission est acquise, au terme d’intimidations, de menaces, d’injonctions paradoxales, de terrorisme, de chantages et de vaines promesses, ceux qui y succombent se métamorphosent alors en auxiliaires zélés du pouvoir. Ils sont sous une emprise psychologique et spirituelle puissante, prisonniers du chantage qu’ils ont accepté afin de conserver un semblant de liberté, d’autorité, de respectabilité, et quelques avantages conditionnels : sortir, se divertir, voyager, consommer… Presque comme avant.

Dans ce presque, il y a une abdication définitive à tout libre-arbitre, à toute faculté de raisonnement et de jugement autonomes, à tout vraie liberté qui ne soit pas conditionnée par le degré de soumission, au respect de la personne humaine, de l’altérité, et pour finir de toute humanité. Tous sacrifiés au bénéfice d’un conformisme déshumanisant et sacrilège. Une trahison qui nourrit encore plus cette angoisse du Jugement, avec une culpabilité effroyable qui l’accompagne.

Face à des détracteurs « libres », qui n’ont pas peur d’exposer la vérité, de prendre tous les risques pour dénoncer l’imposture, le mensonge et la corruption des prélats de la religion nouvelle, cette pulsion paranoïaque agit telle un réflexe archaïque et irrépressible. Tel un mécanisme de défense propre à tout être vivant face à ce qu’il perçoit comme un danger de « mort imminente ». Et face à un « ennemi » qui menace en profondeur ses structures psychologiques, en brisant l’écran artificiel du mensonge. Un écran constitué par tous ces schémas appris et les discours articulés, qui fondent nos représentations sur la vie, le monde, la société, l’autorité, l’identité collective et leur donnent un sens.

Notamment cette croyance naïve, constamment confortée sous des formes diverses dans les discours politiques, culturels, médiatiques, religieux, que toute autorité est bonne a priori, non corrompue. Et donc qu’il faut absolument lui obéir, la respecter. Impératif moral, social, mais aussi essentiel : « Rendez à César ce qui est à César… » Une affirmation souvent mal interprétée par les églises, catholique surtout, comme un devoir d’obéissance obséquieuse ou calculée, d’attitude « non-violente » vis-à-vis des pouvoirs temporels.

Cette soumission est d’autant plus opérante qu’elle procède d’une projection sur l’autorité de l’image du bon parent protecteur. Et donc de Dieu. Le « bon roi » chrétien qui se soucie bien de ses peuples, le Président élu au suffrage universel, représentant du peuple et de la Nation, vénéré comme un monarque, le brave médecin du roman de Dickens De Grandes espérances qui remplit son devoir comme un sacerdoce en soulageant les corps et les âmes, le chercheur ou le philosophe qui se dévoue à la Science, à la quête de la Sagesse ou de la Vérité…

Autre lieu commun qui façonne les représentations populaires sur le Pouvoir, cette croyance très répandue que tout responsable scientifique, politique, religieux œuvre de son mieux pour le « bien commun », l’intérêt général, la démocratie, la Justice, la défense des plus fragiles et des déshérités. Qu’il multiplie les efforts en faisant don de sa personne au groupe, avec loyauté et intégrité, en mettant de côté tout appétit cupide ou ses intérêts personnels.

La multiplication des révélations, des affaires, l’exposition des conflits d’intérêts, compromissions, mensonges délibérés, privilèges, passe-droits et protections diverses dont jouissent les serviteurs du pouvoir, met à mal cette confiance dans le contrat social. Notamment les fondements de la paix sociale : renoncement à la violence arbitraire pour les dirigeants. Et au devoir d’insurrection contre les oppresseurs du peuple, selon les principes hérités de la Révolution inscrits dans les Droits de l’homme et du citoyen[i].

Cette violence, légitime bien que déclarée illégale, immorale et transgressive, resurgit chez une infime minorité déterminée à abattre le système : black blocs et autres « anarchistes révolutionnaires de l’ultragauche ». Surexposée, unanimement condamnée, elle voile l’incommensurable violence systémique sans cesse travestie en vertu, niée ou occultée, qui manipule l’opinion et la soumet à un chantage insoutenable.

Les mécanismes du refoulement font le reste. L’écrasante majorité plie et obéit, renonce à ses prérogatives les plus essentielles, rejouant toujours plus inlassablement, dramatiquement et coupablement le scénario de la servitude volontaire[ii].

Ce refoulement détruit les corps et les âmes, beaucoup plus sûrement que la pire des pandémies ne menacerait le corps social.

Il produit aussi d’effroyables décompensations sporadiques : meurtres, viols, attentats, saccages et sacrilèges, souvent commis sous l’emprise de psychotropes consommés avec excès pour étourdir la frustration et le désespoir.

Le ressentiment que cette violence sournoise nourrit n’en est pas moins violent chez ceux qui dysfonctionnent et finissent par « pèter un câble », devenant des symptômes des maladies du corps social, et les désignant de fait comme boucs émissaires et parias d’une société agonisante, au même titre que les « complotistes » qui en révèlent les mécanismes d’aliénation et d’autodestruction. De la même façon que les hérétiques et les criminels furent condamnés au bûcher par la Sainte Inquisition pour préserver l’intégrité du dogme et du pouvoir sans partage de l’Eglise catholique.

Le schéma est le même chez ceux qui font mine de refouler cette violence et la travestissent sous le « masque » d’une antimorale puritaine aussi obscène que déstructurante : le wokisme. Une morale du ressentiment fondée sur inversion des valeurs et une obsession de l’anti-normalité érigée en nouvelle norme absolue, poussée à l’extrême. Et qui transforme ceux qui sont victimes en robots dénués de tout libre-arbitre, de toute capacité à juger de façon relative et par eux-mêmes. Des Zélotes fanatiques défendant des causes auxquelles ils ne comprennent rien, mais qui s’y soumettent par obsession du conformisme : leur seul mode d’existence résiduelle, alors qu’ils ont perdu toute capacité à exister, toute identité vraie, toute empathie et toute forme d’humanité.

Ceux-là sont définitivement perdus pour l’humanité. Toute invitation à ouvrir les yeux, à penser par eux-mêmes, à voir la réalité sous un autre angle que le catéchisme délétère débité par les médias, les transforme en chiens enragés. Parce qu’elle les agresse, les excite, pointant directement ce mensonge inavoué qui détruit leur âme mais auquel ils souscrivent. Comme possédés par des puissances sataniques qui leur ont fait signer un Pacte de sang. Les ont poussés à accepter de laisser leur corps violer par des injections. A se laisser inoculer un programme génétique, une arme biologique de destruction massive bien plus mortifère que le virus contre lequel il est censé les protéger. En les exposant à une réaction en chaîne incontrôlable, telle une bombe atomique à retardement. A modifier leur génome et ceux de leurs descendants, les transformant en OGM marqués à jamais du sceau de la Bête.

Que faire pour ceux qui se sont rendus complices d’un projet aussi diabolique ? Par calcul, par peur, par ignorance, ou par désespoir.

Chaque nouvelle révélation vécue comme une agression se retourne contre les lanceurs d’alertes ou les amis bien intentionnés. Aussitôt transformés en boucs émissaires tout désignés pour colmater les brèches dans le Mur du Mensonge, mobiliser l’adhésion volontaire au Mensonge collectif, perpétuer l’illusion démocratique, sanitaire et sécuritaire.

L’ordre, la paix psychique et sociale illusoire, plutôt que la vérité et le chaos.

Ou plutôt, ordo ab chaos : l’ordre à partir chaos. L’antienne des grands prêtres de ce capitalisme du désastre.

Références :

  • Michel Foucault : La volonté de savoir (Gallimard, 1974)
  • Ariane Bilheran : Psychopathologie de la paranoïa (Dunod, 2016)
  • Ariane Bilheran, Vincent Pavan : Le débat interdit – Langage, Covid et totalitarisme (Guy Trédaniel, 2022)

[i] Cf. Article 35 de la Déclaration des Droits de l’homme et du citoyen de 1793, repris dans la Première Constitution de la République :
« Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple, et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs« .

[ii] Cf. Etienne de la Boétie : Discours de la servitude volontaire (1574)

Journée mondiale d’hommage aux victimes des « vaccins » : les dessous d’une hécatombe

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Le 13 mai prochain aura lieu dans plusieurs villes françaises, européennes et du reste du monde, une journée pour dénoncer les effets indésirables des « vaccins » anti-Covid.

Pour dénoncer aussi l’omerta criminelle sur les effets néfastes de ces injections. Notamment dans des pays comme la France où dirigeants politiques et autorités de santé refusent toujours d’admettre leur réalité et leur ampleur, deux ans et demi après le début des campagnes publiques de vaccination de masse.

Des effets niés ou minimisés pour continuer à écouler les doses, bien qu’ils aient causé des millions de décès dans le monde. Du moins partout où ces « vaccins » ont été imposés à des populations désorientées comme le seul remède prétendument efficace contre le Covid. Sans aucun bénéfice objectif pour les protéger des contaminations, des effets de la maladie, y compris les formes les plus graves, empêcher les personnes injectées d’être hospitalisées ou de mourir du Covid.

Plusieurs associations de médecins, des spécialistes, des juristes, des avocats représentant les victimes ou leurs familles, mènent depuis 2021 un combat acharné pour faire valoir ces préjudices, obliger les médecins tétanisés à déclarer ces effets indésirables directement liés aux « vaccins », obliger les responsables corrompus à reconnaître leurs erreurs à vouloir piquer toute la population, faire enfin éclater toute la vérité, et obliger les laboratoires criminels à verser des indemnisations.

Eux qui connaissaient parfaitement les effets désastreux de ces « vaccins », ont menti sur leur efficacité et leur innocuité, et ont continué sciemment à vendre des milliards de doses pour engranger des centaines de milliards de dollars de bénéfices.

Ces effets indésirables sont aujourd’hui parfaitement connus et répertoriés. Ils sont recensés depuis décembre 2020 par les agences de pharmacovigilance, notamment en Europe. 2 millions d’effets indésirables et 20.000 de décès directement liés aux « vaccins » avaient déjà été recensés en juin 2021 par les agences de pharmacovigilance européennes. Soit moins de 6 mois après le début des campagnes de vaccination. On a explosé toutes les statistiques de pharmacovigilance depuis.

Des campagnes lancées tambour battant en Europe en janvier 2021, sous l’égide de la Commission européenne et de son omniprésente Présidente Ursula van der Leyen. Laquelle est aujourd’hui poursuivie pour corruption et dissimulation de preuves (les fameux SMS échangés avec Bourla) par un tribunal belge, pour avoir acheté des milliards de doses au Président de Pfizer (Young global leader comme elle), sans commission scientifique préalable pour statuer sur l’opportunité d’acheter en nombre ces doses, et sans l’accord des autres membres de la Commission sur ce calendrier précipité.

Ces effets indésirables – certains relativement bénins comme des violents maux de tête après l’injection, d’autres fatals comme des thromboses et AVC – sont aujourd’hui reconnus officiellement dans bon nombre d’Etats.
 
Aux États-Unis, le CDC (Center for Disease Control) qui gère la surveillance des maladies au niveau fédéral, et la FDA (Food & Drug Administration) qui délivre aux laboratoires pharmaceutiques les autorisations de délivrance de médicaments, les ont officiellement reconnus depuis plus d’un an.

Le gouverneur de Floride Ron DeSantis a même voulu faire interdire en janvier 2022 le pass sanitaire, l’obligation du port du masque et la vaccination. L’Etat de l’Iowa examine un projet de loi visant à pénaliser tous ceux qui feraient la promotion de ces prétendus « vaccins ».

Leurs effets néfastes et parfois mortels font l’objet d’indemnisations financières versées aux victimes par certains gouvernements.

A Singapour, l’Etat indemnise depuis 2021 avec un fonds spécial les familles des personnes décédées suite aux « vaccins ».

En Allemagne, des citoyens demandent aujourd’hui à l’Etat de faire de même.

Idem en Australie, l’un des pays qui avait pourtant décrété des mesures sanitaires parmi plus dictatoriales pour un pays occidental (comparables à la Chine), avec la Nouvelle-Zélande de l’ex-Première ministre Jacinda Aspern, Young global leader du Forum de Davos, comme Macron, Biden, Trudeau, Scholz, Sunak, Sanchez et bien d’autres dirigeants occidentaux corrompus.

La vérité sur ces effets indésirables et les morts des « vaccins » progresse donc désormais tel un tsunami irrésistible.

De même que la divulgation décomplexée sur les plateaux télé, dans des médias mainstream, dans l’opinion publique intoxiquée par trois ans et demi de propagande insanitaire orchestrée par les laboratoires, leurs actionnaires comme BlackRock, les fondations qui les financent comme la Fondation Gates et les Etats corrompus. Une propagande relayée par des conseils scientifiques bidons, des ministres et des médias, tous corrompus par les mêmes.

Pas un jour aux Etats-Unis sans que la chaîne Fox News, proche des Républicains et critique envers le pouvoir actuel, n’évoque ces nouveaux scandales liés à la gestion de la crise sanitaire, l’origine du virus, les faux « vaccins », les dommages historiques causés aux victimes abusées par leurs dirigeants.

En Allemagne la chaîne publique ZDF a tout récemment consacré une émission entière à ces effets secondaires, et demandé leur indemnisation par l’Etat.

La France fait figure d’exception : un ilot de silence au milieu de l’Europe, plus proche pour la liberté d’expression de la Corée du Nord que de la Suède ou la Norvège. Les choses pourraient rapidement changer avec un Président usé, impopulaire à 90%, emporté par « la foule » vers la sortie, et qui pourra difficilement achever son mandat

Sans parler des nombreux médecins qui évoquent maintenant sans crainte cet effondrement immunitaire comparable au sida dont ils sont témoins chez certains patients injectés à partir de la 3e dose.

Un effondrement immunitaire spectaculaire, au sujet duquel alertait le Professeur Luc Montagnier (qui en a vu d’autres), dans cette déclaration courageuse 5 jours avant de mourir:

« Les personnes vaccinées seraient bien inspirées de faire le test du sida. Elles seraient surprises du résultat, et pourront demander des comptes à leur gouvernement !« 

Certains avaient osé insulter le Prix Nobel découvreur du virus du sida, en le traitant de « complotiste » et de « gâteux« .

Ce que le Professeur a omis volontairement de dire en direct sur ce plateau télé, c’est que les applications civiles et médicales ne constituaient qu’une partie seulement des programmes développés dans ces labos ultra pointus et ultra protégés de recherche en génie génétique.

En effet, une grande part des recherches conduites dans ces laboratoires très surveillés comme le laboratoire P4 de Wuhan construit par la France au nom de la coopération scientifique franco-chinoise, et inauguré en 2011 par le Premier ministre Bertrand Cazeneuve le directeur de l’INSERM Yves Lévy (mari d’Agnès Buzyn), comportent presque toujours un volet de recherche militaire.

Il faut en effet savoir que, bien que les armes bactériologiques soient interdites par la Convention de Genève et qu’elles ne soient pas officiellement développées par les pays signataires de cette Convention comme la France, la majorité des recherches effectuées aujourd’hui dans le monde sur des budgets militaires le sont pour des programmes d’armes non conventionnelles. Car celles-ci sont beaucoup moins coûteuses, tout aussi efficaces mais beaucoup plus discrètes et ciblées que les armes stratégiques (bombe atomique) : armes chimiques, bactériologiques, électromagnétiques (bombes, canons et fusils électromagnétiques de l’US Army), sismiques (séismes déclenchés), climatiques (HAARP et programmes d’ingénierie climatique reconnus officiellement par le Pentagone « pour lutter contre le dérèglement climatique« …), psychédéliques, etc…

Plusieurs spécialistes du génie génétique ont d’ailleurs confirmé depuis le Covid que les laboratoires P4 créés ces dernières années par les Etats-Unis, le Canada, l’Europe, le Royaume-Uni ou la France (et souvent délocalisés vers des pays d’Asie du Sud-Est comme la Corée du Sud, Hong Kong ou la Chine, plus conciliants avec la législation), travaillaient en réalité essentiellement sur des programmes militaires de développement d’armes bactériologiques. Et plus accessoirement sur des programmes civils destinés à mettre au point de nouveaux vaccins.

Les Etats-Unis sont d’ailleurs impliqués dans la genèse du virus SARS-Cov-2, tout comme ils sont dans les recherches menées au laboratoire franco-chinois de Wuhan. Comme l’ont prouvé les mails divulgués lors du Faucigate qui a démontré la responsabilité d’Anthony Fauci, responsable depuis 1984 des programmes de santé publique aux Etats-Unis, dans la préparation et le déclenchement de la crise du Covid.

Quant aux intentions délibérément eugénistes dans cette propagation volontaire du virus à partir de Wuhan (et peut-être dans d’autres foyers simultanés, en Iran et en Italie du Nord), il est assez difficile d’en douter, connaissant les intentions assumées de presque tous les oligarques impliqués dans cette crise.

En tout cas s’agissant des « vaccins », aujourd’hui les faits sont là. Et ce sont les menteurs subventionnés des ministères et des médias redresseurs de « fake news » qui se retrouvent aujourd’hui en situation d’accusés. Alors que ceux qu’ils calomniaient hier en les accusant de « complotistes » sont aujourd’hui réhabilités, écoutés et même remerciés pour leur courage.

A ce sujet, il faut noter le revirement spectaculaire du réseau social LinkedIn, propriété de Microsoft. Un des GAFAM les plus largement impliqués dans le volet numérique de ce cirque covidiste.

Notamment parce qu’il détient depuis 2019 le brevet d’une technologie à base des nanoparticules incluses dans le cocktail vaccinal et destinée au traçage des personnes vaccinées. Développée par le MIT de Boston, elle a fait l’objet de tests officiels en 2020 au Kenya et au Malawi sous l’égide de la Fondation Gates. Comme l’ont rapporté des médias mainstream comme Le Monde, Les Echos ou LCI.

Microsoft est aussi l’un des initiateurs du projet ID 2020. Un conglomérat discret réunissant parmi ses fondateurs la Fondation Rockefeller, la Fondation Gavi (vaccins), Accenture et Microsoft. Avec comme partenaires des multinationales stratégiques comme Facebook, Mastercard et autres géants de la tech. Son but : développer l’identité et le contrôle numériques (des populations) au plan mondial. Et coupler les nouveaux outils de contrôle des données personnelles (état civil, données médicales, carnet de vaccination, données bancaires…) aux monnaies numériques actuellement mises en place partout dans le monde, puis à la future monnaie unique numérique mondiale. L’outil ultime de contrôle des populations.

Un projet qui associe étroitement l’Union européenne, à travers son identité numérique européenne et son portefeuille numérique européen, actuellement mis en place par la Commission européenne. De même que la BCE met en place aujourd’hui son euro numérique, à l’image du dollar, du rouble, du yen ou du yuan numériques. Au passage, la BCE s’est arrogée en 2022 le droit de contrôler toutes les opérations bancaires sur tous les comptes de particuliers gérés par les banques dans tous les Etats membres de la zone euro. En violation complète du droit européen sur le secret bancaire et la vie privée.

Il y a encore deux ans, la censure sur LinkedIn était impitoyable concernant certaines vérités qui dérangent, même sourcées, validées par des experts et publiées dans des médias mainstream. Notamment la réalité sur les tests PCR, l’inefficacité ou la dangerosité des « vaccins ». Relayer de telles infos équivalait à une fermeture arbitraire et immédiate du compte pour non-respect des standards LinkedIn, sans aucune explication ni recours possible.

Même politique de censure arbitraire chez Facebook, réseau asocial champion de la chasse aux « fake news« .

Aujourd’hui, de nombreux décideurs – PDG, banquiers, médecins, généraux – discutent très ouvertement des dérives du Covid et des volets opaques de ce scénario de basculement contrôlé baptisé Great Reset. Un scénario détaillé par Klaus Schwab, Président du Forum de Davos, dans un livre publié en 2020[i], et destiné à nous faire basculer par étapes grâce à des chocs successifs vers une société dystopique, totalitaire, sans libertés, dominée par un Caste élitiste qui contrôle tous les pouvoirs, et gère des populations réduites en esclavage, surveillées par des AI, reformatées par des techniques transhumanistes et vouées à un dégraissage eugéniste « pour sauver la planète ».

Certains qui avaient été accusés de complotisme, ont été suspendus deux ans sans indemnité pour avoir refusé de se faire vacciner, ont perdu leur emploi, ont été condamnés au bûcher professionnel, raillés par les médias, ou qui se sont fait radier par le Conseil de l’Ordre, sont aujourd’hui réhabilités. Comme le Professeur Perronne, débouté de sa chefferie du service de maladies infectieuses à l’hôpital de Garches en 2021, puis réhabilité sans bémol par le Conseil de l’Ordre en 2022, et lavé de tout soupçon de « complotisme ».

Certains d’entre eux ont porté plainte contre les calomniateurs. Ils ont ajouté leur voix aux millions de plaintes dans le monde destinées à faire reconnaître officiellement les préjudices causés par les vaccins de la mort, indemniser les victimes, leurs conjoints ou leurs familles, exposer les crimes, faire condamner les coupables et rétablir la vérité.

Selon les juristes, cela prendra sans doute beaucoup de temps. 10 ans au bas mot, d’après certains. D’autant que la Justice elle aussi est largement corrompue.

Depuis 2020, Reiner Fuellmich, avocat international allemand et d’autres juristes appellent à un Nürnberg du Covid. Afin d’exposer publiquement les crimes, condamner les coupables qui ont imaginé, planifié, déclenché, organisé, couvert cette Shoah mondiale qui cible 8 milliards d’êtres humains.

Et qui se sont enrichis en vendant des vaccins tueurs. En interdisant qu’on hospitalise les malades en détresse respiratoire jugés non prioritaires en raison de leur grand âge, de leur infirmité ou état de santé.

En interdisant qu’on leur délivre autre chose que du Doliprane, et surtout pas ces traitements mis à l’index car réputés pour leur efficacité, et qui auraient permis de les sauver.

En euthanasiant par décret [ii] les vieux dans leur EHPAD. En terrorisant la population avec une fausse « pandémie » fabriquée par l’OMS, et démesurément déformée par les médias alarmistes dès novembre 2019.

En imposant des mesures absurdes, liberticides et contre-productives. Comme la distanciation sociale, le masque, les confinements et couvre-feux à répétition, les milliards de tests PCR utilisés en dépit des méthodes préconisées par leur inventeur et leurs fabricants, la falsification des données épidémiologiques pour faire croire à des « vagues » successives, et justifier le prolongement d’une dictature légale (état d’urgence sanitaire), la fermeture des lieux publics, la surveillance policière des populations, la vaccination obligatoire, le pass sanitaire et le traçage numérique dans le but de fliquer tout le monde…

Comme un symbole de cette folie, le groupe Pfizer, propriété de BlackRock comme la plupart des leaders du secteur pharma, est aujourd’hui sur le banc des accusés. Son PDG Albert Bourla est poursuivi par d’innombrables plaintes pour falsification ou dissimulation d’études scientifiques, concernant l’efficacité et les effets secondaires des injections ARNm, entrave à la Justice, empoisonnement, homicide volontaire, crime contre l’humanité, et corruption.

Cela ne dérange nullement cet homme ni sa firme, qui a déjà accumulé un record de condamnations pour crimes et se voit chaque année obligée de verser des millions d’amendes depuis 10 ans. Une ligne comptable insignifiante dans son business plan highly bankable

C’est pourtant largement à son initiative que débutait fin 2020 la plus grande opération de « guerre » de l’Histoire humaine, annoncée plus d’un an auparavant. Alors qu’il faut au bas mot 20 ans à la recherche pour développer un vaccin efficace contre un nouveau virus. Qui plus est, avec une technologie totalement nouvelle, sans aucun recul ni étude indépendante prouvant son efficacité.

Une opération digne du Débarquement de Juin 1944, préparée dans le plus grand secret et saupoudré de quelques annonces pour tester l’opinion, qui mettait en œuvre des moyens considérables pour terrasser un virus de grippe quasi inoffensif[iii], qui aura causé au total moins de victimes dans le monde que la grippe saisonnière de 2019 !

Une campagne de vaccination massive sur tous les continents, pilotée de main de maître simultanément dans 65 Etats occidentaux par une entreprise privée américaine : le cabinet de conseil McKinsey.

Un véritable Etat dans l’Etat, qui s’est substitué aux conseillers, ministères et services administratifs des Etats concernés, pour la partie conseil comme pour la partie mise en œuvre de la politique vaccinale, pass sanitaire compris. Et dont le dirigeant en France n’est autre que Victor Fabius, fils du Président du Conseil constitutionnel et ancien Premier ministre (condamné dans l’affaire du sang contaminé) Laurent Fabius. Rien que du beau monde.

Un scénario relayé par ces Etats et leurs conseils scientifiques bardés de conflits d’intérêts avec des labos comme Pfizer, Moderna ou Gilead, des agences de santé et des médias subventionnés, tous archi corrompus. Au bénéfice d’une industrie pharmaceutique qui constitue le secteur le plus corrompu et le plus corrupteur de l’économie mondiale.

Une industrie financée par des fondations privées, comme la Fondation Bill & Melinda Gates, la Fondation Gavi pour les vaccins, la Fondation Rockefeller ou la Fondation John Hopkins. Toutes championnes de la corruption et du crime organisé.

Rappelons que le « milliardaire philanthrope » Bill Gates, condamné par la justice américaine au cours de la décennie 1990 pour abus de position dominante de sa firme Microsoft, et violation de la loi antitrust, s’était refait une virginité en léguant une partie de son immense fortune héritée de sa famille et constituée par son empire informatique dans une fondation à son nom, destinée à financer des programmes humanitaires de santé dans les pays du tiers-monde.

Un « investissement » absolument pas désintéressé, mais au contraire extrêmement rentable, qui lui avait notamment permis de s’assurer le quasi contrôle financier d’un des secteurs les plus bankable de l’économie mondiale, en finançant ses labos les plus rentables.

Mais aussi de « racheter » l’OMS : une ONG mondialiste dépendante de l’ONU, jusque-là financée par les subventions de ses Etats membres. A la surprise générale, face à la gabegie corruptive et aux décisions sanitaires iniques de ce « machin » vendu aux firmes pharmaceutiques, Donald Trump avait décidé en 2020 de retirer les Etats-Unis de l’OMS !

Cet organisme est donc désormais sous la coupe majoritaire d’une fondation privée qui en est le principal mécène. Et qui lui dicte ses grandes orientations, pour le plus grand bénéfice des rapaces de Big Pharma et ses actionnaires.

La Fondation Gates s’était singularisée dans les années 2000 et 2010 en lançant des campagnes de vaccination massive et expérimentale sur populations pauvres des continents africain, asiatique et d’Amérique latine. Elle prétendait alors vouloir éradiquer des épidémies comme la méningite, la malaria ou la variole, alors que cette dernière était déjà éteinte quand la campagne de vaccination fut lancée.

Ces campagnes d’apprentis sorciers ont malencontreusement provoqué l’effet inverse de celui escompté. A savoir une reprise spectaculaire de ces épidémies. Au point que les vaccins contre la variole du couple Gates sont aujourd’hui considérés par les épidémiologistes comme le vecteur principal de propagation de cette maladie dans le monde !

Un scénario qui n’est hélas pas nouveau. Et dont les véritables causes ne laissent pas d’interroger.

En effet, en 1919 déjà, une autre fondation célèbre, la Fondation Rockefeller, inventeur et mécène de la toute jeune industrie pharma, avait lancé une campagne de vaccination massive contre la méningite destinée en priorité aux GIs américains à peine revenus du front après l’Armistice de 1918. Des centaines de millions de doses de vaccins à base de virus atténués furent ainsi injectés à toute une population jeune et en bonne santé. Le résultat fut cataclysmique, puisque ces vaccins sont aujourd’hui jugés responsables de la propagation de la bien mal nommée « grippe espagnole« . Laquelle a causé tout de même 50 millions à 100 millions de morts dans le monde en seulement 3 ans. Soit davantage que les deux guerres mondiales réunies.

La Fondation de Bill Gates n’est toutefois pas en reste. Puisque ce sont plusieurs millions d’Africains, d’Indiens ou de Sud-américains parmi les plus pauvres qui ont succombé aux effets secondaires de ses campagnes de vaccination mortifères.

Auxquelles s’ajoutent plusieurs centaines de milliers de femmes indiennes stérilisées par ces injections (chiffres officiels). Ce qui vaut à la fondation Gates d’être interdite de séjour depuis plusieurs années sur le sol indien.

Malgré les preuves et les condamnations, la fondation génocidaire continue toujours bon enfant son travail d’extermination des populations. En toute impunité.

Il faut dire que Bill et ses amis qui ne cachent plus leurs intentions ouvertement eugénistes. Et ne craignent pas la Justice, puisqu’ils ont largement les moyens de corrompre les tribunaux qui pourraient leur réclamer des comptes. A savoir l’ensemble des tribunaux nationaux, européens, ou internationaux, comme la Cour de Justice Internationale.

Cette dernière a d’ailleurs été saisie en 2021 par le Barreau des Avocats Indiens d’une plainte pour crime contre l’humanité à l’encontre de Bill Gates, Anthony Fauci et Tadros Ghebreyesus, directeur de l’OMS, suite à l’interdiction par l’OMS d’utiliser l’ivermectine pour soigner le milliard d’Indiens touchés par le redoutable variant Delta. Après que le gouvernement indien avait décidé de recourir aux traitements plutôt qu’à la stratégie vaccinale, inefficace, pour traiter sa population. Avec un succès qui permit l’écrasement immédiat du pic épidémique du variant Delta, qui atout de même causé des centaines de milliers de morts en quelques mois en Inde.

Quant aux objectifs de dépopulation mondiale liés aux vaccins, Bill Gates en a clairement fait état à plusieurs reprises dans ses déclarations et conférences publiques. Notamment lors d’une conférence Ted Talk aux États-Unis en 2010[iv] sur le thème de la population mondiale. Au cours de cette conférence, le milliardaire philanthrope a brossé un exposé implacable devant un auditoire médusé, en démontrant chiffres et schémas à l’appui que l’économie mondiale ne pourrait plus dans les années à venir nourrir une population dont la croissance démographique exponentielle devenait incontrôlable. Théorie qui paraît plausible, mais ne fait nullement l’unanimité chez les démographes et spécialistes de l’agriculture mondiale. Bill Gates a cependant rassuré son auditoire en indiquant qu’on pouvait résoudre le problème en jouant sur le paramètre « P » – Population – de l’équation. Rires gênés dans l’assistance… Avant d’ajouter :


« Si ont fait un bon boulot, un très bon boulot, on peut réduire de 15% la population mondiale en 10 ans, grâce aux nouveaux vaccins, aux politiques de santé publique, et au contrôle de la procréation ! » (Sic)

Bill Gates n’a jamais démenti cette déclaration de guerre implicite et cynique faite à toute l’humanité.

Une déclaration reprise depuis par lui-même et d’autres oligarques fanatiques des programmes eugénistes de dépopulation mondiale.

Comme George Soros (Open Society), Jacques Attali[v], Elon Musk, ou Laurent Alexandre.

Tous par ailleurs promoteurs infatigables de l’idéologie transhumaniste, dont les nouvelles injections expérimentales à ARNm sont une illustration.

Autre précision importante : l’industrie des vaccins, qui connaît un développement spectaculaire et des investissements records depuis 20 ans, est engagée depuis 1993 dans une compétition féroce mais discrète pour produire de nouveaux vaccins.

Mais surtout pour produire de nouveaux virus par génie génétique. Des virus brevetés, condition nécessaire pour s’en assurer la propriété, et percevoir ainsi des royalties sur les vaccins correspondant produits par ces mêmes labos.

Les progrès dans les techniques de manipulation génétique ont en effet connu un bond de géant ces dernières décennies. Elles permettent aujourd’hui de fabriquer des virus modifiés à partir de souches animales, auxquelles ont ajoute des gains de fonction afin de les rendre ces nouveaux virus compatibles avec l’homme. Ils peuvent alors s’intégrer facilement aux cellules humaines, alors qu’ils seraient normalement rejetés par le système immunitaire, le temps de muter pour s’adapter et trouver la bonne clé pour s’accrocher aux cellules et intégrer leur ADN pour se reproduire. Comme le VIH, à l’origine dérivé du LAV, virus du sida chez certaines espèces de singes.

En 2020, le Professeur Luc Montagnier était venu présenter sur CNews les résultats des travaux de son équipe de recherche sur le séquençage du génome du virus SARS-Cov-2, récemment isolé et tenu pour responsable de l’épidémie de Covid-19. A la stupéfaction générale, il avait présenté la preuve irréfutable que ce virus ne pouvait qu’avoir été fabriqué volontairement en laboratoire à partir de manipulations génétiques. Et que son ARN modifié comportait 4 insertions évidentes du VIH.

Avant d’ajouter pour rassurer un Pascal Praud hagard, que cette méthode était souvent utilisée par les labos de recherche médicale dans l’espoir de mettre au point un vaccin contre des maladies comme le sida. Cette technique vaccinale expérimentale s’appuie non sur des virus atténués, comme pour les vaccins « classiques », mais sur un virus porteur dans lequel on introduit des fragments du virus cible, dans le but hypothétique de provoquer une réponse immunitaire spécifique chez les personnes auxquelles on injecte le cocktail vaccinal.

C’est le principe théorique qui prévaut dans le concept de virus à ARN modifié (ARNm).

Une technologie nouvelle, largement expérimentale, qui consiste à « livrer » à l’intérieur de l’ADN humain une protéine d’enveloppe (Spike) du virus contre lequel on souhaite immuniser les personnes vaccinées. En utilisant par exemple un virus pathogène de chauve-souris, de grippe aviaire ou de grippe porcine génétiquement recombiné, qui va pouvoir s’accrocher aux cellules humaines, et « livrer » à l’intérieur de la cellule une portion du code génétique du virus ciblé. L’ADN humain ainsi piraté fera le reste, transformant la cellule hôte en usine à fabriquer des particules virales, qui seront à leur tour libérées à l’intérieur mais aussi souvent à l’extérieur du corps. Le pari fou de cette technique sophistiquée est que le système immunitaire va produire une réponse immunitaire spécifique dirigée contre le virus que l’on cherche à éradiquer. En se retournant en quelque sorte contre lui-même.

Au passage, le fait de pirater ainsi l’ADN conduit à une mutation irréversible du génome humain, mutation qui s’avère transmissible aux descendants. Il s’agit donc d’une modification délibérée de type transhumaniste de l’espèce humaine.

Pour les labos qui produisent ces chimères, le business model de ces nouveaux « vaccins » est fondé sur un objectif théorique de substitution de l’immunitaire naturelle par une immunité artificielle. La première étant non spécifique et pas toujours efficace immédiatement, le temps que le corps trouve la parade ; la seconde étant en principe spécifique donc efficace. Mais elle oblige les personnes qui mettent le doigt dans cet engrenage vaccinal à devoir se faire injecter des doses de rappel mises à jour tous les trois mois, en espérant être ainsi protégées contre l’apparition inéluctable de nouveaux variants.

Double, triple, quadruple, quintuple bingo !

Sauf que ce beau joujou admirable sur le papier n’a jamais marché ! Pire, ses effets sont catastrophiques.

Malgré les efforts démesurés de la propagande vaccinale, les faits demeurent têtus. Toutes les études indépendantes réalisées depuis plus de deux ans conduisent aux mêmes conclusions.

Tout d’abord il faut savoir que ces « vaccins » anti-Covid ont été commercialisés au prix d’une corruption d’une ampleur inédite dans l’Histoire, par des firmes criminelles pressées d’engranger des bénéfices record, et qu’ils ont été imposés de façon frauduleuse aux populations. Puisqu’il n’est légalement possible d’autoriser de tels essais expérimentaux qu’à condition qu’il n’existe aucun traitement pour soigner la maladie.

Ce qu’on a vainement tenté de nous faire croire par une vaste entreprise de corruption des chercheurs, de la presse scientifique[vi], des médecins, des agences de santé, des gouvernements et des médias. Alors que, selon plus de 200 études scientifiques indépendantes dans le monde, il existe de nombreux traitements, peu coûteux, disponibles et très efficaces contre le Covid, à tous les stades de la maladie : plus de 98% d’efficacité pour l’ivermectine, y compris sur les formes graves.

A l’inverse, les injections imposées de façon souvent obligatoire suite à un terrorisme médiatique doublé d’un matraquage de propagande destiné à donner l’illusion de leur efficacité, d’une chasse aux sorcières contre les propos dissidents et de contraintes dictatoriales sur les populations, n’ont prouvé jusqu’à présent rigoureusement aucune efficacité ! Contrairement à ce qui est martelé comme des mantras par des ministres corrompus comme Olivier Véran, par les labos eux-mêmes et repris en chœur par les journalistes.

En effet, toutes les études et statistiques officielles reprises par les agences de santé du monde entier, en Israël, premier pays à avoir massivement vacciné, aux Etats-Unis, au Canada, en France, le confirment : ces soi-disant « vaccins » n’empêchent aucunement les personnes injectées d’être contaminées. Au contraire ils affaiblissent leur système immunitaire, et les rendent moins résistantes aux nouvelles attaques virales. Selon une étude israélienne, en 2021 les vaccinés ont été 16 fois plus contaminés que les non-vaccinés.

Ces injections n’empêchent pas non plus les personnes injectées de transmettre le virus. Au contraire, elles les transforment en super propagateurs de protéines Spike. Puisque l’organisme qui tente de s’en débarrasser excrète par la peau et par voie aérienne des milliards de particules virales, qui vont infecter à leur tour d’autres personnes autour d’elles. Lesquelles présenteront parfois les mêmes symptômes que le Covid-19, sans qu’on puisse les différencier.

Contrairement aux mensonges martelés par les médias pour tenter de trouver une ultime justification aux doses de rappels destinées à écouler les stocks achetés par la Commission européenne, les vaccins Covid n’ont jamais protégé qui que ce soit des « formes graves ». Ces cas graves tant médiatisés et qui font tant flipper les accros aux messages anxiogènes diffusés à la télé. Toutes les statistiques prouvent aujourd’hui le contraire, à savoir que ceux qui développent des formes graves ou décèdent du Covid depuis 2021 sont majoritairement des personnes vaccinées ! Alors que les non-vaccinés dont le système immunitaire reste intact ont pour la plupart bénéficié d’une immunité collective face à une épidémie qui est aujourd’hui éteinte, et dont les répliques sont insignifiantes et extrêmement peu pathogènes.

En revanche, ceux qui payent depuis deux ans le plus lourd tribut aux vaccins et au Covid sont les jeunes ! Enfants, adolescents, jeunes sportifs et jeunes adultes vaccinés sont ceux qui meurent aujourd’hui le plus du Covid (i.e. des vaccins).

Quant à l’hécatombe produite par les effets secondaires et les décès directement liés aux injections, c’est tout simplement du jamais vu dans toute l’Histoire de la médecine, de la vaccinologie et de la pharmacovigilance !

N’importe quel autre médicament en phase d’essai thérapeutique avec délivrance d’une ATU (Autorisation Temporaire d’Utilisation) sous conditions, aurait été immédiatement stoppé. Et son développement aurait été définitivement abandonné au vu de tels résultats. Mais dans le cas des vaccins anti-Covid, on a continué et on continue toujours d’administrer la mort à des milliards d’êtres humains.

Sans compter que, selon les estimations, à peine 8% de ces effets secondaires redoutables constatés chez les personnes vaccinées seraient déclarés. Par incertitude ou par ignorance des médecins, par incrédulité, parfois par corruption. Et surtout par peur d’être montrés du doigt, de se voir désigné comme un « complotiste« , et pour certains d’être radiés par le Conseil de l’Ordre.

Quels sont ces effets néfastes des « vaccins » ?

L’hyper prolifération anarchique de protéines de pointe baptisées Spike dans l’organisme se traduit rapidement chez beaucoup de personnes injectées par des phénomènes inflammatoires, qui surviennent quelques heures à quelques semaines après l’injection. Et qui peuvent affecter tous les organes, du cerveau aux testicules en passant par le cœur, le foie, les reins, la rate, le pancréas, les intestins, la peau, les yeux, les os…, produisant des effets catastrophiques.

Thromboses, cancers foudroyants, embolies pulmonaires, néphrites, hépatites, pancréatites, troubles circulatoires, cardiaques, neurologiques, cérébraux, ophtalmiques, œdèmes, retards de règles, stérilités définitives chez les jeunes femmes et les jeunes hommes… Sans compter les innombrables morts subites qui affectent des présentateurs télé en direct sur leur plateau, des sportifs de haut niveau foudroyés en plein match, des militaires et policiers durant leur service. Des phénomènes liés à l’effort physique intense, cause de crises cardiaques ou d’AVC. Tous survenant chez des sujets jeunes, en parfaite santé, sans aucun antécédent.

Le 13 mai une partie du monde regardera ailleurs, ou tentera de ridiculiser cette initiative courageuse en la présentant comme « des délires de complotistes ».

Une autre partie du monde ouvrira les yeux et commencera à admettre que les premiers avaient raison. Ils rendront hommage aux victimes décédées à cause de cette politique du Mensonge institutionnalisé et du sacrifice d’une part de l’humanité sur l’autel du dieu Mammon et de ses grands prêtres psychopathes prêts à tout pour obtenir plus de pouvoir.

La vérité mettra encore du temps à gagner toutes les consciences. D’autant qu’entre temps, nos bourreaux nous ont déjà concocté d’autres réjouissances comme autant de « chocs » pour nous asservir : guerre Otano-russe en Ukraine et menace de 3e guerre mondiale, crise énergétique et hyperinflation (prévues par Klaus Schwab dans son livre), crise climatique et autres catastrophes « naturelles », Intelligence artificielle menaçant de prendre le contrôle de l’humanité…

Il ne faut pas nous laisser impressionner par ces mises en scène. Mais rester inflexibles quand il s’agit de défendre l’identité et la dignité humaine violées par les expériences transhumanistes, les libertés et droits individuels saccagés par la dystopie sécuritaire qu’on nous impose « pour notre bien », l’irruption de sentinelles numériques au cœur de nos vies, dans nos corps, nos cellules, nos cerveaux, nos pensées, nos choix personnelles pour éradiquer non pas des virus menaçants, mais notre esprit critique et libre-arbitre.

La seule issue à ce cauchemar réside dans l’élévation et l’unification des consciences au plan mondial. L’exposition des crimes contre l’humanité perpétrés par une poignée de fanatiques depuis 3 ans doit nous inciter non pas à leur faire rendre gorge dans le but de nous venger, mais à poser les garde-fous nécessaires pour qu’une telle horreur ne puisse jamais se reproduire. Et qu’une écrasante majorité d’humains choisissent en conscience de s’engager ensemble dans une autre voie, qu’elle choisisse d’épouser un autre futur.

Alors seulement, quand nous seront sortis des ténèbres, les choses commenceront.


[i] Klaus Schwab & Thierry Malleret : Covid-19, The Great Reset (Forum économique mondial, 2020)

[ii] Décret n° 2020-360 du 28 mars 2020 complétant le décret n° 2020-293 du 23 mars 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire. Ce décret signé Edouard Philippe demandait explicitement aux médecins d’EHPAD de prescrire du Rivotril, un sédatif létal à fortes doses, au titre de « soins palliatifs » aux personnes âges suspectées de Covid et présentant des symptômes d’infection respiratoire.

[iii] Sauf dans de très rares cas ultra médiatisés pour des personnes très âgées ou très malades

[iv] https://www.youtube.com/watch?v=DtkfWaCzsas

[v] Jacques Attali milite depuis 1979 dans ses livres et conférences en faveur de l’euthanasie des vieux qui plombent l’économie française. Ce qu’a par ailleurs confirmé de Christine Deviers-Joncourt dans un livre de témoignage publié récemment où elle évoque des déclarations explicites sur ce sujet au cours de dîners au domicile de Jacques Attali. Cette politique eugéniste défendue par beaucoup d’oligarques dits « progressistes » a d’ailleurs été évoquée quasiment mot pou mot par la très macroniste députée Renaissance Amélie de Montchalin, dans un tweet qu’elle a publié le 23 avril 2023 et qui a fait scandale.

[vi] Cf. le scandale du Lancet en 2021suite à une fausse étude bâclée publié dans la prestigieuse revue afin de discréditer les traitements à base d’hydroxychloroquine et d’azithromycine

INSURRECTION : Pour quoi ? Jusqu’où ?

Mis en avant

« Et je vous le dis : il y aura une révolution dans ce pays avant 2022. Il y AURA une révolution dans ce pays !… »

Jacques Attali en pré-campagne pour son poulain Macron, dans l’émission C politique le 14 avril 2016 sur France 2

Le droit à l’autodéfense fait-il partie des Droits de l’homme ?

Que faire quand un gouvernement maltraite sa population ?

Certaines dictatures n’enferment pas leurs opposants dans des stades, dans des prisons, dans des goulags, ou dans des camps d’extermination. Elles se contentent d’enfermer tous les citoyens chez eux.

Certaines dictatures ne soumettent pas les hérétiques à la question. Elles ne torturent pas leurs dissidents en les plongeant dans l’eau glacée, en leur administrant des chocs électriques, en les engeôlant dans des camisoles chimiques. Elles se contentent de leur rendre la vie impossible, de les emmerder au maximum, de les désigner à la vindicte publique comme seuls responsables du sort injuste infligé au plus grand nombre.

Certaines dictatures ne dressent pas des échafauds, des pelotons d’exécution, des fours crématoires pour se débarrasser des irréductibles, des inutiles, des nuisibles. Elles se contentent de les vacciner, de les pucer, de les tracer, de leur inoculer des poisons mentaux pour qu’ils renoncent à se rebeller, pour qu’ils applaudissent même à leur déshumanisation programmée.

George Orwell avait si parfaitement décrit cette mécanique totalitaire que 70 ans plus tard, dans le sillage de Hannah Arendt, le philosophe Michel Onfray en a tiré une Théorie de la dictature[i].

Et pourtant, le peuple qu’on offense et qu’on maltraite demeure incapable de nommer l’ignominie chez ceux qui le font souffrir.

Haïr un homme et un pouvoir qu’on croit avoir élus, s’en prendre y compris physiquement à l’oppresseur pour lui régler son compte, recouvrer sa dignité et sa liberté, n’est pas chose aisée.

Surtout pour un peuple régicide, qui tente de se réconcilier avec la figure du monarque, comme avec le droit divin qui le sacralise, en faisant mine de révérer un technocrate opportuniste, qui n’a d’autre credo que son ambition, et comme seul catéchisme la doctrine néolibérale progressiste enseignée à Sciences Po et l’ENA.

Alors quand le simulacre de démocratie devient trop oscène, quand le schisme entre les discours et le réel devient insupportable, quand la colère légitime dépasse le sentiment de culpabilité, le peuple sort de sa torpeur et entre en éruption.

Tout devient alors si imprévisible qu’au moindre incendie, au moindre accès de colère qui dégénère en violences dans la rue, les garde-fous du Pouvoir se lèvent comme des digues pour prévenir la réaction en chaîne : « ILLEGITIME ! »

Exprimer sa colère, s’en prendre aux dirigeants ou au régime en place, eussent-il trahi la confiance du peuple, est illégitime.

Et d’invoquer la Constitution, ou les grands principes, pour se justifier. Comme si la démocratie, c’était le monde des Bisounours, sans méchanceté, sans heurts ni aspérités. Et la colère du peuple, un péché synonyme de Chaos.

Illégitime donc.

Vraiment ?…

L’appel à la violence gratuite, dirigée contre des personnes, est certes illégale et répréhensible.

Mais le recours à la violence légitime pour mettre fin à une situation de crise ultime, de blocage destructeur qui menace l’existence du groupe, de la démocratie ou de l’idée qu’on s’en fait, pour renverser une dictature ou un régime populicide, est-ce vraiment si illégitime ?…

Comme Jésus chassant les marchands du temple à coups de fouet, y a-t-il une sainte colère du peuple ?

De Robespierre à Yasser Arafat, en passant par Marx, Lénine, Hitler, Trotski, Mao, Castro, les Brigades rouges ou Khomeini, de nombreux théoriciens politiques ont tenté de justifier le recours à la violence au nom d’une cause supérieure inscrite dans un Idéal qui sacralise le Peuple, et exalte son émancipation face à l’oppression d’une caste dans une optique révolutionnaire. Y compris en ayant recours au meurtre, à la guerre ou à de méthodes terroristes.

Avec le succès qu’on connaît.

Leurs crimes ont-ils pour autant discrédité à jamais tout recours du peuple à la violence subversive afin de vaincre une oppression, et en finir avec un pouvoir devenu illégitime ? La morale et les discours contemporains – pour ne pas dire la République bourgeoise – nous a habitué à penser que c’était le cas. Ouvrant du même coup une voie royale à tous les abus de pouvoir, toutes les dénaturations des grands principes, toutes les instrumentalisations du Droit, pour servir les intérêts d’un pouvoir, d’un homme, d’une caste, et perpétrer un ordre établi aussi injuste qu’insoutenable.

Et pourtant, l’insurrection qui est une forme de violence légitime, du moins pour ceux qui n’ont pas d’autres moyens objectifs que d’y recourir, n’est-elle pas l’un des piliers de notre Démocratie, inscrite dès l’origine dans le marbre par les pères de la République ?


Se libérer de l’oppression est un devoir !

Article 35. – Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.

Constitution du 24 juin 1793, et Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1793

Mais 2023 n’est pas 1793. L’insurrection aujourd’hui est un gros mot, un scandale, un tabou.

Et pour cause : c’est le grand refoulé de notre République, dont elle est paradoxalement l’un des piliers, comme le démontre cet article 35 de la Première Constitution.

Redonner le pouvoir au peuple, y compris le pouvoir d’user de la violence légitime contre ses dirigeants quand ceux-ci bafouent ses droits. Ça n’est pas rien ! Et on gagnerait sûrement à méditer ce principe.

Car quelle alternative pour le peuple quand tous les moyens prévus par la loi – débat parlementaire ou médiatique, recours judiciaire, manifestations, grèves, référendum, élections… ont été épuisés ou empêchés ?

La Constitution de 1793 va bien plus loin, en qualifiant l’insurrection de DROIT le plus sacré, mais aussi de DEVOIR le plus indispensable.

Autrement dit, se dispenser de remplir ce devoir, c’est pour le peuple un suicide, une abdication de sa souveraineté, l’équivalent du régicide dans l’Ancien régime.

Or c’est précisément ce que l’imposture démocratique qu’est la représentativité nationale quand elle s’écarte de sa mission de gouverner AU NOM du peuple et POUR le peuple tend à préserver en s’arrogeant le droit de gouverner le peuple selon son propre libre arbitre, en prorogeant un rapport de forces dirigé CONTRE le peuple, pour servir ses propres intérêts, ou ceux d’une caste qui lui garantit les moyens d’exercer son pouvoir arbitraire.

En d’autres termes, cela s’appelle une dictature par procuration.

« Pour le peuple ou une portion du peuple » : face à des circonstances exceptionnelles qui appellent des réponses exceptionnelles, comme l’oppression du peuple par son gouvernement qui en viole les droits, l’ultime recours DEMOCRATIQUE pour sauver la République, ce n’est pas l’abdication au nom de la peur du chaos, mais l’INSURRECTION au nom du devoir de résistance à un ordre autoritaire ou totalitaire représenté par un pouvoir sacrilège.

On ne peut être plus explicite.

Conçu dans une période de troubles exceptionnels pour sauver une Révolution en péril, ce texte nous interpelle aujourd’hui. Car s’insurger, comme le font les black bocs en s’en prenant physiquement à l’autorité représentée par les forces de l’ordre, c’est selon une interprétation qu’on présente comme unanime, commettre une transgression, un crime.

C’est en tout cas ce que cherchent obstinément à nous faire croire les ventriloques du pouvoir à longueur de reportages sur les nuits d’émeutes sur les chaînes télé. Avec cette idée présentée comme une évidence que le recours à la violence serait en démocratie illégal et illégitime par essence. Pas question d’en discuter.

Mais quelle violence au juste ? Commise par qui ? Au nom de quoi ? Dans quelle situation ? Et surtout pour répondre à quelles autres violences ?

Violence d’Etat, prétendument légale celle-là, commise par un pouvoir désavoué mais prétendument légitime.

Violences sociales, économiques, violences faites à l’identité de la nation, à la mémoire d’un peuple qui se délitent, dont on accélère volontairement la décomposition.

Violences répressives ou coercitives, quand on limite ou suspend des libertés constitutionnelles les plus élémentaires, comme la liberté d’expression, de se réunir, la liberté de manifester, la liberté de se faire soigner, d’élever ses enfants.

Violences policières, quand le pouvoir outrepasse ses droits, brise le contrat social, dévoie sa légitime, lorsqu’il utilise sa police pour se protéger, réprimer toute opposition, et non pour maintenir l’ordre républicain ou protéger les citoyens.

Que faire alors quand est perverti à ce point le principe de la violence légitime indissociable du principe d’Etat de droit ? Un principe fondé sur la délégation de la violence des individus à l’Etat afin de les protéger. Qui veut que l’Etat dispose de la force publique et peut recourir à la violence, mais uniquement dans pour maintenir l’ordre, garantir la sécurité des biens et des citoyens, la paix sociale et l’unité de la nation.

S’agissant du pouvoir en place, cette dénaturation du principe de violence légitime, comme des autres principes démocratiques, suscite de vastes débats. Qui hélas ne s’expriment pas ou peu dans la sphère contingentée des médias officiels, des débats parlementaires, et même des recours en justice intentés par des citoyens lésés par l’Etat, souvent déboutés de leur plainte par une Justice partiale et corrompue.

Alors cette violence refoulée prend parfois la forme d’une révolte d’une partie du peuple. Que le pouvoir tente de réprimer par la force, de disqualifier aux yeux de l’opinion en jouant avec ses peurs. Peur du désordre, du chaos, de l’anarchie, de la « guerre civile », des « factions », des « révolutionnaires », des « extrêmes », auxquels sont assimilés ceux qui contestent de façon trop vive l’ordre établi sur le mode de l’affrontement dans la rue.

Dans un pays comme le nôtre qui a connu beaucoup d’heures sombres et dramatiques, il est facile de jouer avec les références de l’Histoire, récentes ou plus éloignées, pour manipuler le peuple. En lui faisant croire que la République, c’est le pouvoir. Que le pouvoir, c’est l’ordre. Et que le seul ordre possible, c’est l’ordre établi.

Moi ou le chaos : Macron comme d’autres avant lui joue ce chantage populiste, en soufflant à l’occasion sur les braises pour apparaître indispensable.

Plus délicate est la tâche d’un pouvoir autoritaire quand il cesse d’être un recours, et apparaît aux yeux du peuple comme l’oppresseur.

Et surtout quand son obstination à faire adopter une réforme rejetée par 93% des actifs confine au mépris du peuple sinon au défi : gouverner le peuple, mais sans le peuple, contre ses représentants et contre le peuple.

La tentation insurrectionnelle resurgit alors comme un ultime recours, perçu confusément comme transgressif et légitime à la fois.

Certains voudraient faire de l’insurrection – ou de la Révolution – une essence. Ils tentent de faire croire que leur engagement pour abattre un ordre tyrannique relève d’une mission héroïque, que cette mission émancipatrice est leur seule raison d’être, une cause juste, la seule issue possible, face à un ordre oppresseur qu’il faut détruire. Ils se drapent dans des justifications pseudos éthiques au nom d’une logique révolutionnaire de type marxiste pour précipiter l’Histoire.

Mais la plupart de ceux qui descendent dans la rue, déterminés à rompre les digues de la bienséance politique, morale ou sociale, ne sont pas des fanatiques. Simplement des citoyens en colère, parce que plus vulnérables que d’autres. Ou plus jeunes, et donc affranchis des limites communes qui s’imposent aux citoyens installés, davantage enclins à respecter les règles du jeu social.

S’insurger, c’est donc briser un premier tabou, qui assimile les usages dits démocratiques à ceux conformes à l’ordre établi. C’est-à-dire à une conception « bourgeoise » ou élitaire de la démocratie, qui préfère confier les rênes du pouvoir émanant du peuple à une élite, et laisser ce peuple à distance des enjeux de pouvoir.

Surtout quand ce peuple est tenté de faire valoir son hostilité à des mesures qu’il perçoit comme injustes, contraires au contrat social, mais présentées comme indispensables pour préserver l’intérêt général ou poursuivre le bien commun. Buts qui sont la raison d’être de l’Etat de droit.

Dans ce cas, de telles mesures ne sont plus seulement illégitimes, elles sont aussi illégales. Et même antidémocratiques. Quand bien même tel artifice législatif ou telle institution les déclarerait conformes aux grands principes et à la Constitution.


Qu’une portion du peuple se lève pour faire justice

Des sociologues ont étudié les mouvements insurrectionnels qui se sont produits dans le monde au cours des dernières décennies. Notamment cette vague d’émeutes et de troubles sociaux qui ont enflammé 17 pays en 2019, dont la France avec les Gilets jaunes. Et ce jusqu’à l’apparition du Covid.

Parmi les conclusions qu’ils en ont tirées, ils ont mis en lumière un fait intéressant à propos du pouvoir de cette « foule » que semble tant redouter le mari de Brigitte terré dans son Palais de l’Elysée.

Pour faire tomber le pouvoir établi ou un régime impopulaire, il suffit que 3% de la population d’un pays descende dans la rue pendant un temps suffisant. Et ce pouvoir est sûr de tomber.

L’écrasante majorité restante se contente de soutenir le mouvement sans y participer, de laisser faire, ou de s’y opposer sans entrer dans le rapport de forces.

Dans les semaines qui ont précédé le vote prévu au Parlement sur le projet de loi de réforme des retraites, ce sont 3 à 3,5 millions de Français qui sont allés manifester à l’appel des syndicats pour dire NON à cette mesure illégale, inutile, injuste et désavouée par les ¾ de l’opinion.

Un projet que le pouvoir défend avec obstination, devenu le symbole de six années de méthodes de gouvernement cyniques, brutales et arbitraires. Une politique conduite souvent contre le peuple, et non dans son intérêt ou celui du pays, comme nos dirigeants le martèlent. Une politique et des méthodes dont une écrasante majorité aujourd’hui ne veut plus. Et qui plus encore que du rejet, alimentent une véritable haine des Français contre Emmanuel Macron, sa caste et tout ce qu’ils représentent.

Depuis que Macron s’est vu offrir en 2017 une parodie de sacre républicain célébré devant le Palais des rois de France, à la faveur d’élections truquées, grâce à la générosité de ses mentors qui ont acheté les médias, corrompu les institutions, les corps constitués, la Justice, disqualifié les candidats favoris, divisé les autres, détruit les partis de gouvernement, court-circuité le débat, manipulé l’opinion, mis en place un système de fraude institutionnelle, ce pouvoir ne s’est illustré que par une succession de trahisons et de désaveux successifs des principes mêmes de notre démocratie. Laquelle n’était déjà plus depuis longtemps qu’une simple mascarade auxquels tous feignent de se prêter.

Et puis il y a eu en 2018 cette répression brutale du mouvement des Gilets jaunes. Des violences policières que l’on n’avait vues qu’en temps de guerre civile. Ces milliards obscènes finalement jetés pour acheter la paix sociale, dédommager les morts, les bras et les yeux arrachés.

Et puis il y a eu dans la foulée cette répression farouche de la fronde populaire contre le projet de réforme des retraites en 2019. Avec ces mamies, ces infirmières, ces magistrats, ces pompiers tabassés au sol par la Gestapo d’un roitelet d’opérette, qui méprise ouvertement les Gaulois réfractaires et ceux qui ne sont rien.

Le Grand Sacrifice

Il y a eu enfin cette « guerre » providentielle déclarée en mars 2020 contre un virus qui a fait moins de victimes qu’une grippe saisonnière. Avec cette politique sanitaire insensée, pilotée simultanément dans 65 pays par McKinsey, véritable Etat dans l’Etat qui avait créé En Marche, et marketé le triomphe du prodige des médias en 2017. Outre les centaines de milliards de dollars récoltés par les labos mécènes du pouvoir et leurs actionnaires comme BlackRock, cette mascarade sanitaire et sécuritaire aura permis de figer net la grogne des inutiles sous un glacis répressif.

Le monde d’après est entré par effraction dans nos vies comme un rituel macabre, une Grande Terreur. Sur fond de schrizophrénisation des esprits alimentée par une surenchère d’injonctions paradoxales, d’humiliations, de culpabilisations, le gel des libertés, l’interdiction de parler, de bouger, de respirer, et surtout de réfléchir.

Comme au temps des révolutions sanglantes pour mettre à bas l’ordre ancien, on fit place nette pour le Great Reset du gourou des Young global leaders comme Macron, le néonazi Klaus Schwab : destruction de l’initiative individuelle, du petit commerce, des koulaks et des kolkhozes, au profit des multinationales et des banques américaines.

On mit en place un système de surveillance étatique et numérique, dont n’aurait jamais pu rêver la police stalinienne. Inquisition des pensées, instauration du crime d’opinion, persécution des dissidents, création d’un délit de complotisme, avec déchéance des droits civiques, notamment pour les parents déclarés coupables de « dérive sectaire », certains déchus leurs droits parentaux pour avoir critiqué les mesures sanitaires devant leurs enfants.

On multiplia les entraves à la liberté de la presse pour les médias indépendants. On encouragea la chasse aux sorcières et la mise à mort professionnelle pour les scientifiques qui osaient braver la doxa. Les plus gênants, comme le Professeur Bernard Fourtillan, furent arrêtés et internés sans motif.

On mit en place des moyens coercitifs et une surveillance policière dignes d’une dictature totalitaire pour surveiller les citoyens, empêcher les rassemblements, interdire les manifestations, forcer tout le monde à porter en permanence un masque humiliant et inutile, symbole de soumission et d’esclavage. On se mit à ficher les humains comme du bétail. On les força petits et grands à se faire injecter des substances toxiques, inconnues, destructrices pour leur immunité. On mit au ban les contrevenants en leur pourrissant la vie. On exclut des hôpitaux des soignants réfractaires en les montrant du doigt comme des criminels, après les avoir fait applaudir par les moutons bêlants à leurs balcons.

Des dizaines de milliers d’enfants, d’adolescents, de jeunes adultes, de vieux, de malades sont morts depuis trois ans. Parce qu’on leur a refusé des traitements efficaces contre une maladie dont on savait guérir les symptômes. Parce qu’on les a refoulés à l’entrée des hôpitaux publics dont avait préalablement organisé la faillite, la désorganisation et l’engorgement. En forçant les urgentistes à effectuer un tri comme on choisit les bœufs pour l’abattoir.

Parce qu’on a discrètement euthanasié les vieux confinés trois mois dans leur EHPAD. Sans information préalable, sans consentement éclairé, parfois sans test préalable ni présence d’un médecin pour administrer la mort. Et surtout sans prévenir leurs familles, ni leur permettre de dire adieu à proche. Pire encore, on a brûlé les corps par souci prophylactique, et pour ôter toute trace de ce génocide.

Incroyable mais vrai, comme l’attestent les milliers de témoignages et de plaintes contre l’Etat.

Que dire enfin de ces dizaines de milliers de jeunes, victimes de morts subites inexpliquées quelques heures ou semaines après s’être fait « vacciner ». Juste pour pouvoir retourner à la gym ou aller boire une bière en terrasse ? Que dire de ces pompiers, soldats, policiers d’à peine vingt ans, en parfaite santé, de ces sportifs de haut niveau terrassés par une crise cardiaque ou un AVC sur la pelouse du stade en plein match ?

Qui va aller demander des comptes à ces saloperies qui les ont condamnés à mort, parce que l’odeur de leur sang agrée les dieux autoproclamés qu’ils servent ?

L’abomination la plus extrême de ces monstres coupables d’authentiques crimes contre l’humanité, comme Macron, Véran, Philippe, Castex, Buzyn, Delfraissy et autres, c’est d’avoir pris soin de s’autoamnistier collectivement avant de perpétrer ces crimes. Qu’il s’agisse des faux vaccins, des erreurs médicales, des effets secondaires, des fautes commises par les décideurs à chaque échelon, ou des propagateurs de fake news officielles…

Ce n’est pas la Justice, corrompue jusqu’à l’os de Paris à Helsinki, qui ira maintenant les condamner. Malgré les dizaines de milliers de plaintes déposées en France depuis trois ans par des familles de victimes, des médecins, des infirmières, des soignants, des directeurs d’EHPAD, des associations de juristes, des journalistes convoqués à cette ordalie funèbre.

Ce ne sont pas les parlementaires, eux aussi corrompus, réduits à jouer la simagrée d’un débat démocratique écrit d’avance, qui oseront mettre en œuvre l’Article 68 de la Constitution pour voter la destitution d’un tyran coupable de haute trahison.

Ce n’est hélas pas non plus l’armée qui pourra servir de rempart à la démocratie, rétablir l’ordre face au danger de dislocation et de guerre civile. Comme l’avait évoqué une tribune d’officiers en 2021.

Son devoir eût été pourtant d’utiliser la force au nom de l’intérêt supérieur de la nation, et de déposer un Président parjure qui a trahi le peuple et nos institutions, qui a vendu la France à des intérêts privés étrangers comme BlackRock ou ces banquiers qui lui dictent depuis plus de dix ans la politique de la France. L’armée aurait pu rétablir une République kidnappée par cette caste pressée de détruire les Etats-nations, de voler leur souveraineté aux peuples, de démembrer le corps social, de le désunir et de l’affaiblir de l’intérieur pour précipiter l’avènement de cette gouvernance mondiale déjà bien en place, qui est l’aboutissement de sa stratégie et son obsession depuis deux siècles.

Cette armée française pourtant riche d’hommes intègres et respectés, fidèles à leur mission, aux grands principes, à l’esprit du fondateur de notre République, comme le général Pierre de Villiers, est hélas dépassée par les enjeux qui pèsent sur elle, dictent ses orientations et ses moyens, comme toutes les armées du monde occidental. Consciente que son intervention pourrait la discréditer et nuire à la France, elle préfère s rester en retrait et prévenir le pire, sans intervenir directement dans le destin de la France.

Revenir sur cette Histoire récente qu’on voudrait un peu vite nous faire oublier, oser voir en face les zones d’ombres, les crimes d’Etat, permet de relativiser l’enjeu de cette réforme des retraites. Qui n’est somme toute rien d’autre que la nième réédition d’un scénario maintes fois rejoué depuis 40 ans par les gouvernements successifs. Depuis le tournant néolibéral de la rigueur adopté en 1983 par François Mitterrand pour acclimater l’économie, les finances et le budget de la France aux critères de Bruxelles. Et donc du nouvel ordre financier mondial.

Notamment ce fameux système social français, que paraît-il le monde nous envie.

Quand on voit le combat homérique qu’a dû mener Barack Obama pour faire adopter sa réforme de santé de l’Obamacare aux Etats-Unis, et comment ce projet qualifié de communiste par l’opposition républicaine fut démantelé dès que l’hôte de la Maison Blanche eut tourné les talons, on comprend qu’après l’offensive menée sous Nicolas Sarkozy par Malakoff-Médéric et son délégué général Guillaume Sarkozy, frère du Président, pour imposer un système de retraite par capitalisation favorable aux fonds de pension américains à la place du système français par répartition hérité de la Libération, l’adoption de cette réforme des retraites n’est qu’une formalité, secondaire mais non négociable, pour les stratèges de BlackRock qui l’ont soufflée à leur télégraphiste de l’Elysée.

Quand on sait que Larry Fink, CEO de BlackRock, a assisté au Conseil des ministres en 2019 sur la question des retraites, il y a des questions à se poser.

Depuis, les institutions de la République ont été saccagées comme jamais, avec un souci, maniaque au début, bâclé aujourd’hui, d’en préserver les apparences.

Comment expliquer qu’une révolte unanime ne se soit pas déchaînée en 2020 lors de l’instauration de cet état d’urgence sanitaire ?Et plus encore, au moment de sa prolongation, arrachée en procédure d’urgence au Parlement. Et lors de son renforcement par des couvre-feux insensés, ou ces autorisations de sortie autoadministrées, cette décision transgressive, illégale et liberticide d’imposer la vaccination obligatoire, le pass sanitaire, puis le pass vaccinal.

Comment avons-nous pu laisser sacrifier nos enfants sur l’autel du Mammon mondialiste ? Bâillonnés huit heures d’affilée sans pouvoir respirer. Soumis à des sévices physiques et psychologiques par un corps professoral aux ordres, contaminés sous leur masque par leurs propres germes, en état de sous-oxygénation. Isolés dans des boîtes en plastique, interdits de jouer, de parler, de sortir, d’aller pisser. Culpabilisés à l’idée de « tuer papy et mamie », ne pouvant les approcher que derrière une vitre, comme au parloir d’une prison. Ces grands-parents ostracisés, privés d’affection -certains en sont morts – sommés de rester à la cuisine le soir de Noël. Toute une génération de gamins traumatisés à vie, selon les pédiatres.

Il y a bien eu ici ou là quelques appels à la désobéissance civile. Un concept honorable mais un peu vain.

Mais jamais des millions de citoyens dans la rue pour dire STOP à ce massacre. L’écrasante majorité des Français sont sagement restés chez eux, devant leur poste, terrifiés. Ceux qui ont osé braver l’omerta et les mesures insanitaires, sortir sans masque, approcher leurs congénères à moins d’un mètre de distance, s’aventurer seul en forêt, courir sur une plage déserte, se rouler une pelle en public, se virent immédiatement rappelés à l’ordre. Manu militari.

On a même remis au goût du jour une veille coutume française très en vogue durant l’Occupation : la délation. Dénoncer un « complotiste » est devenu un geste exemplaire et courageux. Comme balancer une famille de « Youpins » sous Pétain : un gage de patriotisme, de civisme, et l’assurance d’être bien vu des autorités.

Comme dans l’épisode d’Astérix La Zizanie, chaque village d’irréductibles gaulois, contaminé par les mensonges sournois d’un petit pervers intrigant au service de César, s’est mis à suspecter son voisin, à nuire à ceux déclarés non-conformes. La division a remplacé l’union sacrée contre l’occupant. La haine a remplacé la camaraderie. La fête et les banquets ont été consignés. Les valeureux Gaulois ont fini comme des prisonniers, séparés, bâillonnés, ligotés, réduits à l’immobilité et au silence.


L’état d’urgence ou comment en finir légalement avec la démocratie

Etat d’impuissance plutôt ! Le peuple le plus rebelle du monde réduit à la soumission volontaire. Le coq aphone tremblant comme une cocotte, sans oser risquer un bec hors du poulailler.

Rappelons qu’avant 2020, ce concept d’état d’urgence sanitairen’existait dans aucun texte de loi, français, européen ou international. Il fut d’ailleurs vivement critiqué par les constitutionnalistes.

En toute objectivité, il fut inventé par une sorte de Comité de salut public autoproclamé, en violation flagrante de la Constitution. Un huis clos composé de membres restreints du gouvernement, et d’un pseudo Conseil scientifique sans légitimité, désigné par Macron, bafouant l’éthique médicale et le consensus scientifique, composé de membres peu qualifiés mais bardés de conflits d’intérêts.

L’état d’urgence n’avait qu’un seul but : détourner les institutions pour justifier une authentique dictature sanitaire préservant les apparences de la légalité démocratique. Avec une rhétorique dramatique destinée à subjuguer l’opinion et pirater les institutions.

Une mesure injustifiée pour mener une « guerre » contre un virus et protéger les citoyens contre une infection bénigne.

L’état d’urgence est prévu par la Constitution pour répondre à des circonstances exceptionnelles qui mettent en danger la sécurité du pays ou l’intégrité de la nation. Comme une grave émeute, une guerre civile, une menace contre le territoire national. Les deux seules fois où le général de Gaulle y a eu recours, c’est pendant la guerre d’Algérie et en mai 68.

Les pleins pouvoirs donnés au Président, plus un Conseil de défense opaque qui pendant deux ans a pris des décisions à huis en secret sur tous les sujets importants, court-circuitant le Conseil des ministres et le Parlement, et sans jamais rendre compte au Parlement, aux médias ou à la Justice. Si l’on ajoute la subordination par l’exécutif des pouvoirs législatif, judiciaire, médiatique, médical et administratif, en français cela s’appelle une dictature sacrément musclée. Et c’est ce que nous avons subi pendant deux ans, au prétexte de préserver notre santé et notre sécurité.


Crimes de la Collaboration et mythes de la Résistance

Et vous, vous étiez de quel côté entre 2020 et 2021 ? Du côté du pouvoir, ou des parias ? Du côté des Christophe Barbier, qui trépignait en exigeant que l’Etat dépêchât l’armée pour pénétrer de force dans les maisons et vacciner tout le monde, comme au Mexique ? Comme ceux qui voulaient « emmerder les non-vaccinés », déclarés non-citoyens par un Président garant supposé de l’unité de la nation ?

Ou derrière le Professeur Perronne, et tous ces authentiques médecins qui n’ont jamais renié leur serment d’Hippocrate ? Ces vrais experts qui ne courent pas après les chèques de Pfizer ou sur les plateaux de France 2, mais qui dès le début ont hurlé à l’imposture, au risque de perdre leur boulot, leur honneur, leur liberté, et parfois leur vie.

Comme après les heures sombres de l’Occupation, où la très grande majorité des Français se terraient chez eux en attendant des jours meilleurs, et pour certains traficotaient avec les Schleux, après le traumatisme du Covid la France a vécu une période d’amnistie-amnésie qui n’est pas tout à fait achevée. Et qui laissera encore longtemps des séquelles dans les mémoires.

Mais même si la France de Macron est la lanterne rouge de l’Europe pour ce qui est de faire la lumière sur les crimes des années Covid, même si les procès ici sont davantage étouffés qu’ailleurs (notamment aux Etats-Unis), même si les médias mainstream tiennent encore leur rôle de chiens de garde du pouvoir et continuent de servir la soupe aux fake news, même si l’opinion demeure confuse et perplexe parce qu’elle se sent coupable d’avoir collaboré, gageons que d’ici deux ans tout le monde sera complotiste. Comme tout le monde était résistant le soir du 8 mai 1945.

Le reflux des vagues de plus en plus vagues de variants avait permis la levée opportune des mesures sanitaires les plus restrictives et impopulaires, à six mois des présidentielles. Ce qui permit à la marionnette de Davos de rempiler pour un second mandat.

Depuis, le Covid a été remplacé par d’autres obsessions planifiées, indispensables pour maintenir la plèbe en état de tétanie. 3e guerre mondiale, flambée des prix de l’énergie, hyperinflation… Avec juste une embellie avant la réforme des retraites avec cette Coupe du Monde chez nos amis islamistes de Doha. Et un chapelet de faits divers hebdomadaires pour bien plomber l’ambiance.


Le refoulement et la dictature

Cette nouvelle flambée de violences à laquelle nous assistons suite au débat parlementaire escamoté et l’adoption au forceps de la réforme des retraites agit comme le point focal de cristallisation des ressentiments, des frustrations, des non-dits accumulés pendant six ans de Présidence Macron. Voire plus si l’on remonte aux crises sociales sur fond de crises économiques des décennies 1980 et suivantes.

C’est justement parce que le procès du Covid n’a jamais eu lieu, bien plus encore que le procès facile des répressions policières (surtout pour les gardiens de la morale LFI et consorts), parce que ce sujet a été soigneusement escamoté au cours de la campagne de 2022, que tous les candidats validés par le système, de Poutou à Zemmour, ont marchandé leur ticket électoral contre la promesse de ne pas aborder le sujet, que cette omerta nationale est en train d’exploser derrière le prétexte d’un projet impopulaire. Un projet qui symbolise et résume le meurtre du peuple perpétré par un caste et ses marionnettes dans une parodie de démocratie.

La crise du Covid, apothéose d’une dictature qui ne dit pas son nom, dont l’enjeu dépasse de très loin les gesticulations hexagonales, est comme le meurtre fondateur des sociétés primitives. Comme le cadavre puant du sacrifice antique, cent fois rejoué, mimé, singé, sacralisé mais toujours tu.

Les victimes directes ou indirectes du Covid, et tous ces crimes dont nous sommes tous coresponsables par notre acquiescement et notre silence, sont comme le retour du refoulé qui empuantit la mémoire collective. Il taraude la conscience nationale plus sûrement que le remords qui pèse sur l’âme des violeurs d’enfants après avoir enterré la dépouille de leurs victimes. Et plus ce souvenir nous hante, plus nous nous sentons coupables, et plus nous tentons de le refouler davantage.

La jeunesse est moins sujette à la mauvaise conscience, parce qu’elle est la première victime de ce génocide et qu’elle appartient à une génération sacrifiée. Elle n’a donc aucun scrupule à descendre dans la rue pour tout brûler et tout casser.

Mais qu’on ne se cache pas derrière des ratiocinations politiques : ce ne sont pas les black blocs qui risquent de flanquer la France par terre en criant « Révolution ! ». Ce sont nos propres enfants qui se sentent trahis, vendus, abandonnés. Et qui viennent réclamer des comptes à leurs parents, autant qu’au pouvoir en place pour lequel ils n’ont pour la plupart jamais voté.

C’est cela qui effraie les braves gens. Pas quelques poubelles qui brûlent. Pas quelques vitres cassées. Ni quelques flics qui s’en sont pris une dans une manif. Sur ce sujet, les compteurs affolés depuis les Gilets jaunes laissent un sérieux avantage aux brutes de Macron, en termes de coups et blessures décochés pour protéger une dictature.

Quand on a compris cela, on comprend que tous les facteurs sont réunis pour qu’un scénario insurrectionnel d’une envergure rare éclate en France. Et que le petit poudré de l’Elysée, qui concentre la plus puissante impopularité suscitée par un Président de la République sous la Ve, va devoir d’une façon ou d’une autre payer pour tout ce qui lui et ses prédécesseurs ont fait subir au peuple depuis des décennies.

Non pas au nom d’une idéologie, non pas par esprit cupide ou pour satisfaire son ambition personnelle, mais par entêtement à faire le jeu d’un pouvoir qui l’a adoubé, se sert de lui, l’acclame et le soutient tant qu’il sert ses intérêts. Mais qui l’a déjà lâché et s’apprête à le livrer comme un bouc émissaire expiatoire pour calmer l’ire vengeresse de la plèbe.

Le Grand Soir, la Révolution, la VIe République, tous ces gros mots ne sont que des arguties rhétoriques pour justifier un processus implacable, et pour l’essentiel inconscient, digne d’un film de Wajda.

Quelles seraient les alternatives, les contre-pouvoirs, les organisations qui pourraient récupérer la colère montante sous une forme encore acceptable, et nous épargner tribunaux populaires et guillotines ? Quitte à déplacer le combat sur un autre terrain, à tenter de mobiliser les plus frileux ou se limiter à des sabotages ciblés.

Il est assez troublant que des groupes d’activistes antisystèmes comme les Anonymous, d’habitude si prompts à lancer des cyberattaques furtives contre des cibles bien identifiées, symboles de la corruption étatique, ou des dictatures officielles comme la Chine, se soient si peu illustrés durant la crise du Covid. Ces Robins des bois du cybermonde, experts en virus explosifs, se seraient-ils laissé vaincre par un vulgaire rhume ?

Comme on n’a jamais entendu ces ONG politiquement correctes spécialisées dans la lutte anti-corruption dénoncer ces champions du monde toutes catégories que sont Pfizer-Moderna, BlackRock-Rothschild, la Fondation Bill Gates, l’OMS ou la Commission Européenne.

L’une d’entre elles, très présente en France à l’époque des Nuits debout, est subitement devenue aphone dès que Macron a été élu. Il est vrai que Transparency International, qui s’exporte avec succès dans les démocraties occidentales, a été créée aux Etats-Unis il y a vingt ans par d’anciens salariés de la World Bank. Et qu’elle préfère aujourd’hui se scandaliser sur la toile d’être évincée de Russie par le Kremlin.

Quant à ces antifas et autres révolutionnaires en toc de l’ultragauche qui cèdent à « l’ultraviolence », comme disent les médias après une soirée de manifs sauvages dans Paris, parce qu’ils ont brûlé une poubelle, saccagé un McDo ou cogné sur flic surarmé, ils feraient bien d’avoir un peu plus de jugeotte et de choisir mieux leurs cibles.

Plutôt que de détruire un kiosque à journaux, ou mettre le feu à l’entrée de la Mairie de Bordeaux, ces chevaliers noirs de l’anticapitalisme devraient plutôt s’en prendre au siège de la Banque Rothschild, de BlackRock, de McKinsey France. Ou carrément aller chercher comme il le demande l’imposteur de l’Elysée qui nous nargue depuis l’étranger. Plutôt que de pourrir la vie aux petits commerçants et habitants des quartiers en flammes qui doivent bosser le lendemain.


Du déni au rêve, fuir le réel, fuir la vie

Face à ceux qui collaborent par ignorance, par bêtise, par intérêt ou par cynisme, face à ceux qui courbent le dos en ravalant leur colère, face à ceux qui s’insurgent en relevant la tête et en dressant le poing, il y aussi ceux, plus dangereux encore, qui s’insurgent en rêvant.

Ces idéalistes, ces doux baltringues, ces benêts schizophrènes qui nous appellent à chanter le « Nouveau monde » en faisant abstraction de l’ancien, qui prônent la non-violence ou l’amour universel, y compris envers nos ennemis, en invoquant tantôt Jésus, Gandhi, Martin Luther King, les aliens ou Vishnou.

Ces pacifistes au QI d’huître abrutis de CBD et de fleurs de Bach n’ont rien compris aux paroles des maîtres spirituels auxquels ils croient se référer. Ils les résument à une guimauve flasque et délétère pour justifier leur propre abdication. Ils se projettent dans un monde imaginaire, une dimension qui n’existe pas, en faisant l’économie du discernement, du réel, de la souffrance, du vrai combat spirituel.

Ceux-là sont les alliés implicites de leurs bourreaux, auxquels ils donnent des arguments new age pour ignorer leurs crimes. Car renoncer à accepter la colère, la violence inhérente à la vie, le rapport de forces, la confrontation des egos, des désirs et des excès, le goût du pouvoir, la part obscure et inachevée de notre humanité, ce n’est pas l’aimer, c’est au contraire la nier. Ce n’est pas servir l’humain, c’est lui ôter tout pouvoir créateur, pour l’enchaîner à des aliénations et des mirages.

C’est la politique des faibles, des faux, de l’homme du ressentiment nietzschéen, travesti en prêtre de la morale ascétique, ou en VRP des valeurs pastiches.

On peut accepter la réalité de la violence sans l’alimenter par esprit de haine. On peut accepter qu’une part de cette violence passe par nous, sans s’identifier à elle, en faire le but de toute action politique ou un principe nihiliste.

Il n’est pas étonnant qu’après avoir corrompu par l’argent et subverti de l’intérieur toutes les grandes institutions religieuses du monde, la Caste fasse également la promotion des spiritualités alternatives, du New age, de tout ce qui permet de vendre du rêve aux masses écrasées, de mieux les contrôler, les neutraliser par des illusions de bonheur à la carte.

Non pas que les nouvelles formes de spiritualité qui prônent la Paix, l’Amour universel, l’Unité de l’humanité, son Eveil ou sa Libération soient mauvaises en soi. Bien au contraire. Ce qui est pernicieux, c’est leur instrumentalisation pour servir de narcotique aux foules sentimentales et égarées.

Comme le soma dans le roman dystopique Le Meilleur des mondes d’Aldous Huxley. Cette drogue administrée plusieurs fois par jour à chaque individu pour lui prodiguer un bonheur sédatif instantané et renouvelable.

Il n’est pas facile de tenir le fil entre les extrêmes. De refuser de sombrer dans le déni, la facilité, la dépression, la violence nihiliste ou l’illusion. De garder le cap, d’affronter le réel, les épreuves, en restant éveillés, debout et unis. De prendre sa part de responsabilité au lieu de s’en remettre à une Sécurité ou une Providence illusoires, en renonçant en échange à sa liberté, à son identité, ou contre une fausse promesse de lendemains qui déchantent.

L’insurrection et la violence légitime ne sont pas seulement un moyen pour continuer à exister, pour s’opposer, sinon pour mettre fin à une oppression en renversant un pouvoir illégitime.

Ce peut être aussi un moyen de créer. De faire place là où tout est encombré, contraint, bloqué. D’ouvrir l’espace pour de nouveaux possibles.

Pas forcément, comme en rêvent certains à gauche, pour en finir avec cette Ve République déclarée à bout, et instaurer une illusoire VIe République. L’outil n’est pas la fin. Mais peut-être pour revisiter cette Ve République, et la vivre autrement.

Ou bien passer à quelque chose de radicalement différent.


Penser global, agir national : redonner du sens à l’Universel

Tout sera fonction des évolutions du monde. Le piège des discours politiques et médiatiques en France, comme de presque tous nos intellectuels, c’est de regarder les choses par le petit bout de la lorgnette, avec une perspective strictement franco-française, ou à la rigueur européenne. Alors que les enjeux, comme les solutions, se dessinent à l’échelle mondiale, avec une perspective universelle, dont la mesure sont les peuples, et la perspective l’humanité.

Parce que le Pouvoir qui nous force à accepter son ordre arbitraire en renonçant à qui nous sommes est mondialiste sinon mondial. Il est présent partout, et non lié à un pays, un bloc ou une aire géographique. Il est partout en même temps et apatride. Ce pouvoir de la finance mondiale dématérialisée a déjà gagné. Il a aussi déjà perdu. Parce qu’il représente un monde en récession. Un monde qui n’en finit plus de s’écrouler. Entraînant dans sa chute des états, des institutions, des pouvoirs, des ambitions, des fortunes, des certitudes, des souffrances, des injustices, des scandales, tous attachés à l’ordre ancien.

Un autre futur que cette dystopie totalitaire qu’on nous vend comme inéluctable est déjà là. Il émerge et se réalise sous nos yeux incrédules. Ce n’est pas un autre monde utopique, puisqu’il n’y a qu’un seul monde. Il ne vient pas du Ciel, d’une autre planète où vivraient des aliens plus évolués que nous. Mais d’une dimension supérieure où tous les futurs possibles coexistent en même temps. Où des esprits bienveillants conspirent pour que nous choisissions ensemble le meilleur d’entre eux.

Ce n’est pas un illuminé qui parle ainsi, c’est Philippe Guillemant, l’un de nos plus brillants physiciens, auteur d’une théorie sur le temps[ii].

A n’en point douter, nous, la France et l’humanité tout entière, entrons dans une grande tribulation.

Cette perspective ne doit pas nous effrayer, mais au contraire nous stimuler. Nous avons été assez forts pour traverser les épreuves précédentes. Nous amorçons maintenant la dernière ligne courbe vers la lumière, dans un tunnel sombre. Celui de notre inconnaissance des merveilles qui nous attendent.

Ne nous arrêtons pas aux spectres qu’on agite au-dessus de nos têtes. Ne nous laissons pas distraire par les ombres projetées sur les murs de la caverne, ou intimider par les voix qui cherchent à nous déstabiliser, nous culpabiliser, à anéantir nos capacités d’agir et de créer.

Nous en aurons grandement besoin pour terrasser le Dragon de nos doutes, de nos lâchetés, de nos cupidités, de notre arrogance, de notre hubris de pouvoir, sur les autres, sur la vie, sur le monde.

Ceux qui vivent le Combat comme une violence sont ceux qui veulent y renoncer, se trouver des excuses, se justifier, ou se sanctifier avant l’heure.

Le scénario insurrectionnel que vit la France aujourd’hui est une métaphore miniature de ce que l’humanité traverse face aux pouvoirs qui s’empressent pour la dominer en totalité. En renonçant à toute humanité.

Un accouchement. Une délivrance. Avec son lot de contractions, de douleurs, de cris, de sang, de merde, d’impatiences et d’angoisses.


Révélation et Commencement

Et puis cet Alléluia de la Vie qui donne la vie. Une nouvelle vie, et non juste une vie de plus.

L’heure du choix est arrivée. Quel sera le plus efficace ? Et surtout lequel produira le plus de sens ? Insurrection des armes, insurrection des peuples, insurrection des idées, insurrection des sentiments, ou insurrection des consciences ?…

N’ayons pas peur. Entrons par la Porte étroite. Car c’est ici le Commencement.


[i] Michel Onfray : Théorie de la dictature. Robert Laffont, 2019

[ii] Philippe Guillemant : Le grand virage de l’humanité. Guy Trédaniel 2021

« Vacciner », pour quoi faire ?…

Mis en avant

La vaccination des enfants de moins de 6 ans sera effective en France d’ici la fin de l’année

Alors que des voix s’élèvent en France pour inciter à reprendre la vaccination contre une chimérique « 7e vague » annoncée par quelques experts champions du pronostic il y a déjà quatre mois, alors que la perspective d’une vaccination obligatoire voulue par l’OMS et par l’UE se profile d’ici la fin de l’année, alors que la vaccination des tout petits paraît déjà acquise bien qu’elle suscite l’épouvante chez les immunologues et les pédiatres, alors que cette stratégie vaccinale qu’on nous avait frauduleusement vendue comme la seule possible pour venir à bout du Covid s’avère un échec cuisant, sinon le plus grand crime de toute l’Histoire de l’humanité, il est plus que jamais urgent de s’interroger sur ce qui peut bien motiver les fanatiques qui nous gouvernent et ceux qui les manipulent à vouloir à tout prix vacciner 7,8 milliards d’êtres humains, femmes enceintes, bébés et jeunes en parfaite santé compris.

Un an et demi de campagnes de vaccination massive à l’échelle mondiale, des milliards de doses injectées, cela constitue une certaine masse de données pour évaluer les résultats et décrypter les vrais enjeux.

Surtout si l’on tient compte de l’accumulation de statistiques concernant les incidents et les décès directement liés aux vaccins, répertoriés par les agences de pharmacovigilance. Mais aussi du retour des médecins, des témoignages des plus grands experts internationaux, et de ceux des victimes. Et ce malgré l’omerta entretenue par des gouvernements corrompus.

Un an et demi et plus, si l’on tient compte de l’origine à peu près certaine du virus, et du vaccin originel. Laquelle pointe vers la France et les Etats-Unis pour l’ingénierie génétique, la fabrication du virus SARS-Cov-2 à partir d’une souche animale et de 156 insertions génétiques dont 4 du VIH et 2 de la malaria. Vers l’Institut Pasteur pour les brevets initiaux (sachant qu’il faut 15 à 20 ans de R&D pour produire un vaccin…) Vers le laboratoire P4 (français) de Wuhan pour la dissémination accidentelle du virus à l’été 2019. Vers la Fondation Bill & Melinda Gates pour le financement (partiel), la stratégie vaccinale, la corruption des institutions de santé, des Etats impliqués et des médias occidentaux. Vers les multinationales les plus corrompues du secteur pharma, à commencer par Pfizer, pour la mise en œuvre. Et vers des machins mondialistes comme le Forum Economique Mondial de Klaus Schwab pour le pilotage global du Great Reset, dont cette plandémie est un élément-clé.

F.E.M. dont à peu près tous les leaders politiques, dirigeants d’organisations et de firmes impliqués dans ce scenario sont une émanation : Bill Gates, Tadros Ghebreyesus (directeur général de l’OMS), Joe Biden, Angela Merkel, Ursula van der Leyen, Emmanuel Macron (et ses sous-fifres comme Edouard Philippe ou Gabriel Attal), Justin Trudeau, Jacinda Ardern (Première ministre de la Nouvelle Zélande, l’une des plus terribles dictatures sanitaires après la Chine).

Ce qui est depuis longtemps certain, c’est que ces injections expérimentales, qui ne répondent à aucun des critères permettant de définir scientifiquement un vaccin, n’ont jamais été conçues dans le but de soigner ni de protéger d’une quelconque épidémie.

Tout au plus, le modèle des vaccins ARNm repose sur un pari scientifique qui fonde une stratégie thérapeutique nouvelle, selon une conception transhumaniste du corps humain et de la santé.

Il répond surtout à un business-model extrêmement juteux. Puisque son principe est de détruire l’immunité naturelle, individuelle et collective, pour la remplacer par une immunité artificielle. Autrement dit, détruire les mécanismes naturels de l’immunité humaine qui vise à produire une réponse non-spécifique mais rapide, efficace et durable face à une attaque de l’organisme, par une immunité artificielle, fondée sur une réponse théoriquement « spécifique » à chaque agent pathogène, propre à protéger contre une attaque par ce même agent infectieux. Sauf que cette méthode s’avère peu voire pas du tout efficace, sinon-contre-productive. Et surtout que la protection hypothétique qu’elle engendre reste très éphémère contre un virus par nature très mutagène. Il faut donc renouveler les injections tous les 3 mois, voire tous les mois, dès qu’apparaît un nouveau variant. Entre temps le système immunitaire s’autodétruit de façon irréversible.

Cette destruction rapide et définitive du système immunitaire, notamment à partir de la 3e injection, a été confirmée par de nombreuses études conduites par des laboratoires de recherche indépendants. Les Professeurs Montagnier et Perronne s’en sont notamment fait l’écho.

Quant à l’efficacité théorique de ces injections pour protéger d’une infection, empêcher la contamination, protéger de la maladie, des formes graves, du décès, celle-ci est reconnue aujourd’hui comme nulle.

Au contraire, comme le démontre une étude réalisée en Israël, l’un des pays qui a le plus vacciné, les primo- et triples vaccinés sont 27 fois plus contaminés que les non-vaccinés.

Pire, ces injections sont un facteur de risque et de fragilisation supplémentaire de l’organisme pour les vaccinés. Et un danger pour les non-vaccinés exposés aux personnes vaccinées, transformées en super-propagateurs de protéines Spike, et donc en agents infectants.

Alors pourquoi une telle obstination à vouloir vacciner tout le monde, jamais vue dans l’Histoire de la médecine et de l’humanité ?

La première raison est économique et financière.

Le marché du Covid se chiffre en milliers de milliards de dollars. Autant que le marché des armes. 157 milliards rien que pour les vaccins, selon une estimation publiée par le magazine Les Echo. Une hypothèse pourtant basse mais qu’on ne peut pas soupçonner d’exagération.

Or le marché des vaccins est de loin l’un des plus profitables du secteur pharma, lui-même l’un des plus rentables de toute l’industrie. Pas étonnant qu’il attire des investisseurs plus préoccupés par les tableaux de bord financiers que par l’éthique scientifique, médicale, pharmaceutique ou commerciale de leurs cash-machines. Ou par l’éthique en général dont ils se contrefichent, en champions toutes catégories de la corruption et des condamnations par la Justice pour crimes. Comme le souligne Michael Yeadon, ex-directeur scientifique et ex-directeur général du groupe Pfizer passé dans la « Résistance » après le scandale du Covid, ces inconvénients ne constituent tout au plus qu’une ligne de quelques centaines de millions de dollars de budget dans un compte d’exploitation consolidé…

Aux vaccins eux-mêmes, il faut ajouter les tests, le matériel de stérilisation et de protection (gels, masques, visières, blouses, stérilisateurs…), la signalétique et le matériel lié aux protocoles de distanciation sociale, et le marché en pleine explosion de la sécurité, de la surveillance et des datas numériques.

Tous aussi inutiles qu’inefficaces pour empêcher la progression d’une épidémie virale.  Mais essentiels dans la stratégie d’ingénierie sociale, de conditionnement et de contrôle des populations.

Un marché qui connaîtra une progression sans limite, tant que les populations se plieront aux injonctions sanitaires et jouerons sans broncher le jeu du toujours plus de sécurité pour toujours moins de libertés. Et que le progrès technologique permettra de renforcer l’étendue et la sophistication des outils utilisés pour normaliser et surveiller l’ensemble de la société.

Et encore, ceci n’est rien en comparaison des bénéfices stratégiques et financiers attendus à court et moyen terme pour les grands acteurs de l’économie mondiale, comme les GAFAM, certains leaders qui bénéficient de la recomposition de leur secteur dans le sens d’une plus grande concentration et de rachats massifs d’entreprises en faillite : hôtellerie et restauration, éditeurs et diffuseurs de contenus, culture et loisirs de masse, activités uberisées, etc. Et bien sûr aux actionnaires des banques et fonds d’investissement qui détiennent des parts majoritaires de Big Pharma.

La seconde raison est d’ordre politique et idéologique.

Elle répond à une volonté de la part d’une oligarchie financière de mettre en place d’ici 2030 un nouveau système à l’échelle globale.

Le but : s’assurer le contrôle absolu à la fois de la monnaie, des flux financiers et des économies, des Etats appelés à disparaître au profit d’une gouvernance mondiale, et de tous les leviers décisionnels. Mais aussi des individus, appelés à devenir de simples rouages du Système. Avec un niveau de contrôle, de surveillance et de soumission jamais égalé dans l’Histoire et démultiplié par les nouvelles technologies.

Une telle volonté, comme l’oligarchie qui en est animée, n’est pas nouvelle. On peut la faire remonter au 18e siècle, et même au-delà. Avec l’émergence d’une élite à la fois aristocratique, politique, économique, bancaire et financière au sein de l’Empire britannique, puis de l’empire anglo-américain, et enfin du monde occidental1.

Une oligarchie prétendument éclairée, proche des idées progressistes et des cercles maçonniques, qui s’est peu à peu transformée en un club de super riches, autoreproduit par cooptation. Lesquels gravitent dans de nombreux cercles mondialistes, comme le groupe Bilderberg, la Commission Trilatérale, ou le Forum Economique Mondial.

Cette caste oligarchique occidentale, tête pensante du capitalisme mondialisé, se heurte aujourd’hui dans son projet hégémonique global à d’autres oligarques venus de Russie (d’où la guerre OTAN-Russie en Ukraine), de Chine, d’Inde, voire du monde islamiste non aligné sur les Etats-Unis.

Cette caste qui se pare de toutes les vertus est à l’origine de toutes les grandes institutions mondiales créées depuis le début du 20e siècle pour remplacer les grands empires et mettre fin aux guerres nationalistes qui ont ensanglanté la planète : Société Des Nations, Nations Unies, ou organiser le commerce mondial en déjouant les protectionnismes et en court-circuitant les États-nations selon les canons du libre-échange : Organisation Mondiale du Commerce, Banque des Règlements Internationaux, Fonds Monétaire International, Banque Mondiale, G7, G8, G20, Union Européenne…

Le projet mondialiste se conçoit donc comme la seule alternative possible à l’ambition hégémonique et belliciste des nations et la sanctuarisation du Marché, espace ouvert à toutes les formes de spéculations, garanti par un ensemble de règles et de normes qui ne souffrent aucune exception ni subordination, et conduit un un ordre planétaire néolibérale, ploutocratique et passablement totalitaire dans sa volonté de tout organiser et contrôler.

Il repose sur un modèle dont le concept fut élaboré au 18e siècle : celui du Nouvel Ordre Mondial. Mais il vise en réalité à substituer un pouvoir hégémonique, celui des superpuissances, par un autre, celui du pouvoir financier. Un pouvoir dont l’ambition est pour le moins tout sauf humaniste et pacifique, puisqu’il a toujours spéculé sur les troubles, les révolutions, les guerres, nationales ou mondiales, qu’il a en partie financés : depuis la Révolution française à la guerre contre Daesh et à la guerre en Ukraine, en passant par la Révolution soviétique, les Première et Seconde guerres mondiales, et tous les conflits engagés depuis la Guerre froide, ce sont toujours les mêmes banquiers qui ont plus ou moins discrètement jeté du feu sur les braises en finançant simultanément les belligérants opposés, et en générant ainsi des profits colossaux par la vente d’armements et l’effort de reconstruction des pays détruits.

Pourtant, ces institutions qui se substituent aux Etats-nations pour favoriser la paix et l’harmonie entre les peuples s’appuient toutes sur une rhétorique humaniste, universaliste, pacifique qui ne peut que susciter l’adhésion unanime. Elle promeuvent la vision d’un monde unifié, autour d’une certaine idée du Progrès, matériel, scientifique, éducatif, des bienfaits de la science rationaliste, un modèle de prospérité infinie et partagée, pour le bien des peuples.

Ce que les zélateurs de cette utopie mondialiste oublient cependant de dire, c’est que ce modèle, loin d’éradiquer la pauvreté, la maladie, l’ignorance, de réduire les inégalités, les accroît au contraire et les étend. En creusant les inégalités entre les plus riches et les plus pauvres, en concentrant les richesses entre les mains d’une micro-élite, en rendant l’accès aux ressources les plus essentielles comme l’eau et la nourriture plus difficile pour les populations les plus pauvres, en générant de nouvelles maladies et de nouveaux fléaux, à cause des campagnes humanitaires et sanitaires (contre la variole par exemple) des fondations « philanthropes » supposées les éradiquer, en polluant massivement l’eau, l’air, la haute atmosphère, les sols, les sous-sols, les océans, les rivières, les plantes, en perturbant les grands équilibres climatiques, le champ magnétique terrestre, en faisant disparaître des milliers d’espèces sauvages, des millions de kilomètres-carrés de forêts, en normalisant les modes de production, de consommation, d’échange, de gestion, les cultures, les savoirs, en générant un monde d’abrutis interconnectés qui savent tout sur rien et mesurent leur illusion d’être à leur capacité vaniteuse à consommer et babiller.

Cette oligarchie truste tous les réseaux de pouvoirs. Depuis une dizaine d’années, la concentration financière, ultime étape de la mondialisation, a permis de concentrer à peu près tout le patrimoine mondial dans les mains d’une poignée d’hyper-riches. Notamment grâce à la participation systématique et de plus en plus massive dans le capital de toutes les banques et multinationales de fonds d’investissement titanesques comme BlackRock et Vanguard. Fonds dont les véritables propriétaires restent anonymes, mais pointent vers la famille Rothschild.

Cette élite qui détient aujourd’hui toutes les richesses, contrôle toutes ressources, tous les pouvoirs, tous les Etats par le levier de la dette, se conçoit depuis deux siècles comme une « race » (sic) d’élus, d’êtres supérieurs. Auxquels Dieu aurait confié en raison de leur statut d’exception et de leur supériorité la mission de dominer et d’éduquer les autres. Notamment en régulant la répartition des rôles, des statuts, des richesses, des savoirs. Et en régulant la masse de la population mondiale, devenue aujourd’hui pléthorique et problématique pour la survie de l’espèce et de la planète.

Lors du pic épidémique de mars-juin 2020, on a vu ainsi vu se mettre en place des arbitrages passablement révoltants face à l’afflux de malades dans les hôpitaux. Alors que l’Assistance publique a refusé l’aide proposée par les cliniques privées pour désengorger les urgences des hôpitaux publics officiellement « saturés », l’Etat a exigé des médecins hospitaliers qu’ils effectuent un tri à l’accueil de leur service, de façon à n’admettre que les patients les plus jeunes, les plus valides, en bonne santé. Les vieux, les grands malades, les handicapés, les obèses, les immunodéprimés, même en situation de détresse respiratoire, furent renvoyés chez eux avec une prescription de Doliprane.

Parallèlement, les décrets Véran des 27 mars et 16 octobre 2020 enjoignirent les médecins d’EHPAD et de ville à prescrire du Rivotril en guise de soins palliatifs pour les personnes âgées présentant des symptômes infectieux, ou simplement suspectées de Covid. Une manière de faire le tri entre les bons éléments, utiles au système, et les inutiles.

Cette idéologie fonctionnaliste et utilitariste est essentielle pour comprendre cette nouvelle religion transhumaniste, dans laquelle communient tous les milliardaires oligarques. Comme Bill Gates, George Soros, Anthony Fauci, Mark Zuckerberg, Elon Musk ou Ray Kurzweil, leurs seconds couteaux Jacques Attali ou Laurent Alexandre, et tous les geeks de la Silicon Valley.

Selon cette philosophie qui a toute l’apparence d’une secte pour happy fews, un humain n’est pas un être libre, dépositaire d’une vie sacrée, reflet d’une conscience. C’est une machine biologique, dont l’esprit n’est que la manifestation apparente et temporaire produite par une chaîne de réactions biochimiques logées dans le cerveau.

Par conséquent si cette machine est défaillante, il faut la réparer. En lui adjoignant des prothèses (bras articulés, œil ou organes artificiels). En équipant son cerveau d’outils et de patches numériques pour doper ses performances. En modifiant ses gènes, comme on le fait déjà avec une plante transgénique ou un animal hybride.

Le but n’est pas tant le bonheur individuel que la capacité d’adaptation de l’espèce aux défis à venir : nouvelles épidémies, apocalypse industrielle, climatique, dépassement de l’intelligence humaine par les AI, rencontre avec des aliens…

Un humain n’est donc qu’un numéro, une marchandise, un objet interchangeable dont on peut disposer à loisir des organes comme de pièces détachées, remodeler le fonctionnement pour le perfectionner, ou s’en débarrasser s’il ne remplit plus les fonctions pour lequel il a été conçu.

La vaccination obligatoire de toute l’humanité est l’acte fondateur, presque un rituel initiatique, pour nous entraîner vers la nouvelle société transhumaniste. Et pour cela, nous déshumaniser. A partir de ce qui constitue, au plan biologique, le cœur de notre identité, individuelle et collective, en tant que personne reliée à un corps, une espèce : notre immunité. Le grand absent des discours sur cette pandémie.

C’est pour cette raison, et non simplement pour contrôler les individus de l’intérieur, que chaque dose de vaccin est munie d’une micropuce unique, de la taille d’1/10e de millimètre. Celle-ci ne s’active qu’une fois injectée, en la présence d’oxyde de graphène, un « adjuvant » très toxique ajouté au cocktail vaccinal, sensible à certains rayonnements électromagnétiques et qui une fois activé joue le rôle de batterie, alimentant la puce en énergie.

En présence des ondes 5G, l’oxygène de graphène développe en effet des propriétés électromagnétiques. Il devient décelable dans le corps de la personne injectée, qui réagit alors aux champs électromagnétiques. Des tests réalisés en milieu clinique ont permis de vérifier que le corps des personnes injectées émettait réellement un champ électromagnétique, mesurable avec des appareils de détection.

D’où ces fameux magnet tests diffusés par milliers par des internautes vaccinés sur YouTube, qui consistent à poser une pièce métallique sur la peau à l’endroit précis où l’injection a été réalisée. L’objet reste alors collé à la peau sous l’effet de l’attraction magnétique.

Une fois activée, la puce émet un code Bluetooth repérable à courte distance grâce à un balayage Bluetooth effectué à partir de n’importe quel smartphone. Faites le test dans la rue ou le métro à une heure de fréquentation, vous serez surpris. Le signal émis est suffisant pour être repéré et pouvoir échanger des informations via les objets connectés qui commencent à envahir notre quotidien. Et qui seront des centaines par individu en 2026.

L’un des objectifs de ces doses de rappel régulières auxquelles on veut nous forcer tous les 3 mois est de recharger chaque individu en oxyde de graphène, progressivement éliminé par le corps. Il faut donc entretenir l’illusion des « vagues » successives, en réalisant des vagues massives de tests PCR, positifs – donc faux à 98% (selon les fabricants).

C’est aussi une justification nécessaire pour prolonger ad libitum l’état d’urgence sanitaire (la dictature sanitaire « légale »).

Contrôle transhumaniste, société hyper matérialiste et hyper normative, surveillance omniprésente par des AI : voilà à quoi ressemble pour de vrai le monde d’après.

Mais ça n’est pas tout.

L’un des volets les plus essentiels de ces vaccinations de masse, et sans doute le plus difficile à admettre pour le commun des mortels, est l’eugénisme.

Les preuves indubitables d’une volonté délibérée d’éradiquer une partie de la population mondiale sont pourtant légion. A titre d’exemple, les déclarations parfaitement assumées et réitérées de Jacques Attali, de Bill Gates, d’Anthony Fauci ou d’autres oligarques, ne laissent aucune place au doute.

L’idée est la suivante, elle ne cesse d’être répétée depuis 15, 20 ans, ou plus : la croissance exponentielle de la population mondiale aurait atteint un seuil critique. Bientôt l’économie mondiale ne pourra plus absorber cette croissance. Il y a aura de plus en plus d’êtres humains sur terre, et de moins en moins de ressources à partager. Donc de plus en plus de famines, de tensions, de guerres, mais aussi de maladies. Une situation préoccupante qui met en péril la survie de l’humanité elle-même.

Tout ceci est parfaitement faux. Et invalidé par de nombreux pronostics d’experts, qui affirment au contraire qu’en produisant mieux, en répartissant les ressources de façon plus équitable, on peut largement nourrir toute l’humanité, jusqu’à ce qu’on soit capable de coloniser Mars (à l’horizon 2050), ou des exoplanètes (à l’horizon 2100). Certains affirment même que la terre est tout à fait capable de fournir une alimentation bio et de qualité à 9 milliards d’êtres humains, sans appauvrir les sols.

Mais selon les partisans d’un monde inégalitaire, il faut tailler dans le gras. Faire des choix draconiens. Pour le bien de l’humanité bien sûr. Et surtout de leur portefeuille, déjà obscènement garni. Non seulement il faut freiner la croissance démographique, mais aussi réduire la population actuelle, pour la ramener en-deçà d’un seuil acceptable.

Selon les commandements en 7 langues inscrits sur les Georgia Guidestones, un monument de granit érigé sur une colline dans une forêt dans l’Etat de Géorgie aux Etats-Unis, les générations futures devront veiller à conserver un équilibre harmonieux entre l’homme et la nature. Et pour cela, le premier de ces commandements est de « Maintenir la population mondiale en-dessous du seuil de 500 millions. »

Nul ne connaît l’identité du commanditaire de ce mystérieux monument. Mais Bill Gates, lors d’une conférence Ted Talks sur la population mondiale donnée aux Etats-Unis en 2010, n’a pas hésité à affirmer plus modestement :
 
« Si on fait vraiment un bon boulot avec les nouveaux vaccins, les soins médicaux, le contrôle de la procréation, on devrait pouvoir arriver à réduire la population mondiale de 15% en 10 ans ! »

Ambiance dans la salle…

Autre fervent partisan de l’eugénisme, Jacques Attali n’a jamais cessé de répéter depuis un livre qu’il a publié en 1980 qu’il faudra à l’avenir se débarrasser des vieux. Lesquels « ne produisent rien et constituent une charge pour la société. » Une solution efficace au problème du financement des retraites.

Plus proche de nous (et du Covid), dans une conférence sur le transhumanisme donnée le 16 janvier 2019 à l’Ecole Polytechnique, Laurent Alexandre affirmait très sérieusement : « Dans quelques années l’humanité sera divisée en deux catégories : les dieux – nous, vous peut-être… – et les inutiles : les Gilets jaunes, les chômeurs… »

La solution est donc toute tracée : supprimer la mauvaise graisse : les inutiles, les inadaptés, toutes ces bouches surnuméraires à nourrir qui encombrent les Restos du cœur, les rues, les prisons, les hôpitaux, les files d’attente de Pôle Emploi… Le vaccin est l’une parmi de nombreuses autres solutions eugéniques aux grands défis de l’humanité.  Un moyen propre, sans trace, sans tache, sans cri ni sang versé, radical, progressif, indolore, imperceptible.

D’autant que l’un des effets secondaires non négligeables de ces vaccins, tout comme ceux injectés à des centaines de milliers de femmes indiennes lors des campagnes de vaccination contre la variole réalisées par la Fondation Gates en Inde, et qui ont valu à cette fondation « humanitaire » d’être poursuivie par le gouvernement indien, c’est de stériliser tout bonnement une part importante des jeunes gens et des jeunes femmes vaccinés. Au passage les campagnes de vaccination de cette fondation sont aujourd’hui reconnues comme le premier vecteur du virus de la variole dans le monde, une maladie quasi éradiquée il y a 50 ans, quand le vaccin a été développé et généralisé…

Où sont mes règles ? Tel est le titre d’une campagne de sensibilisation lancée par des milliers de jeunes femmes, en France et dans le monde, qui se sont retrouvées avec un cycle menstruel définitivement arrêté après une ou plusieurs injections. Campagne évidemment passée sous silence par tous les médias subventionnés.

Comment expliquer que la FEMA ait pu depuis deux ou trois décennies créer en pleine nature, dans des zones très peu peuplées loin de toute activité, des camps constitués d’immenses hangars pouvant accueillir chacun des dizaines de milliers de personnes ? Et qu’elle y ait rassemblé des centaines de milliers de cercueils de plastique noir, acheminés par des camions de l’armée, puis empilés sans raison apparente à ciel ouvert ? A la question posée par quelques enquêteurs « complotistes » : A quoi servent ces hangars et ces cercueils ?, la réponse des autorités américaines fut laconique : « C’est en cas de guerre civile ou d’épidémie… »

A noter que l’eugénisme a toujours été, de tous temps et sous toutes les latitudes, une préoccupation constante, sous une forme ou une autre, chez les élites au pouvoir. Pour préserver ce pouvoir, les prérogatives et le sentiment de supériorité qu’il octroie sur la masse des dominés, considérés comme d’autant plus menaçants qu’ils sont nombreux. Quand il s’est attelé dans les années 1920 à la rédaction de Mein Kampf, Adolf Hitler n’a pas eu besoin de chercher bien loin pour puiser son inspiration : il a largement pompé dans les théories racistes et eugénistes américaines, chères à la vieille oligarchie conservatrice.

Fric, Pouvoir, Folie transhumanisme, Contrôle, Normalisation, Dépopulation : voilà les vrais objectifs des vaccins. Tellement incroyables que se réfugier derrière des anathèmes comme « fake news » ou « délire complotiste » est un réflexe de protection bien compréhensible.

Car la conscience ne peut admettre qu’un être humain ait une intention aussi hostile et aussi contraire à l’inclination naturelle à l’empathie et à la solidarité envers autrui.

Face à la gêne que produisent de telles révélations, beaucoup se contentent alors de demi-mesures. Ils minimisent, relativisent, font des concessions. Malheureusement, les gens très riches et très polis, très calmes, souriants et bien élevés, comme l’étaient souvent les officiers nazis (dont l’un des avatars actuels est Klaus Schwab), ne s’embarrassent pas de pudeurs ni de manières pour évoquer ces sujets délicats. Lesquels sont toujours, selon la rhétorique clean des managers efficaces et prévoyants, emballés dans des justifications rationnelles, utilitaires, progressistes. Tout comme l’était la Solution finale.

Il faudra encore plusieurs étapes de réveil à l’humanité avant qu’elle ne parvienne à prendre pleinement conscience que de telles abominations sont bel et bien réelles. Et que ce réveil ne produise un sursaut salutaire des consciences. Non pour se lancer dans un combat frontal perdu d’avance contre ses bourreaux. Lesquels s’effondreront d’eux-mêmes dès lors qu’une masse critique prendra conscience des mécanismes de son aliénation. La servitude volontaire n’a de réalité que dans la mesure où elle se fonde sur le consentement. Si le consentement s’effondre, la servitude disparaît aussitôt avec lui.

L’intoxication des esprits par cette culture mondialiste et pseudo humaniste, qui passe par les médias, la consommation, le simulacre politique, ne tient qu’à un fil. Rompre ce fil et tout s’écroule. La seule question qui vaille est : le voulons-nous vraiment ?

Qu’est-ce qui nous fait le plus peur ? L’aliénation consentie, ou la liberté ? Pilule bleue, ou pilule rouge ?…

Pour chacun d’entre nous comme pour nous tous, c’est précisément l’heure du choix.


1 Cf. Carroll Quigley : Histoire secrète de l’oligarchie anglo-américaine, 1981

La Marque de la Bête – La symbolique des va666ins



Qu’on soit chrétien ou non, il est toujours extrêmement risqué de convoquer un texte biblique aussi complexe, aussi puissant, aussi admonitoire et clivant que l’Apocalypse de Jean (le Livre de la Révélation pour les protestants) pour commenter les tribulations de l’époque que nous vivons.

Ceux qui s’y risquent, surtout quand ils s’arrêtent à une lecture littérale, tombent souvent dans la passion outrancière, le fanatisme, le ridicule et la caricature.

Comme la secte évangélique américaine QAnon, coutumière des amalgames entre délires messianistes, paranoïa apocalyptique, manichéisme opposant les bons – forcément républicains et supporters de Trump, et les méchants – forcément démocrates, corrompus et pédosatanistes. Sur fond de pandémie truquée conçue pour précipiter le règne de l’Antéchrist, rebaptisé Nouvel Ordre Mondial. Et pourquoi pas l’Armageddon entre les anges du Christ revenus chasser les démons et autres Annunakis alliés des puissances sataniques, ou ces Illuminattis judéo-maçonniques qui dominent le monde en se nourrissant du sang des jeunes enfants.

Des outrances qui nous ramènent aux pires fantasmes antisémites qui associaient au Moyen-âge les Juifs à la Grande Peste et autres grands fléaux. Ces Juifs qui avaient tué le Christ, et qui se nourrissaient en secret, comme les pédosatanistes d’aujourd’hui, de la chair et du sang des innocents au cours de sabbats endiablés.

On ne peut que rire ou s’affliger de tels excès. Mais tout de même. Faut-il pour autant tomber dans un autre panneau, qui consiste à souscrire sans broncher à la doxa imposée avec, nous dit-on, l’aval d’une Science toute puissante aux dogmes incontestables ?

Faut-il s’interdire tout regard critique ? Renoncer à poser des questions ? Mettre les discours des uns et des autres en perspective ? Notamment face à une crise inédite par sa forme sinon par son ampleur. Et à des politiques sanitaires qui ne souffrent aucune discussion, aucun examen, aucun discours alternatif. Qui s’affranchissent de tout consensus scientifique ou démocratique, pour n’imposer que des voies thérapeutiques partiales, contestables, de façon brutale et imprescriptible.

Faut-il aussi s’en tenir à cette version a priori scientifique d’une crise qu’on nous présente avant tout comme sanitaire ? Scientifique et donc rationnelle, ou plutôt rationaliste, matérialiste, scientiste. Une science et une médecine sujettes à un niveau de corruption sans précédent, instrumentalisées et financées par les lobbies économiques et financiers symbolisés par Big Pharma.

Une industrie qui a connu au cours de la décennie écoulée une recapitalisation massive. Avec des investisseurs avides comme Vanguard et autres fonds d’investissement qui ont investi des parts majoritaires dans le capital des plus grands laboratoires mondiaux. Un secteur qui, aux dires d’anciens patrons de grands laboratoires comme Pfizer, a vu flamber ses pratiques corruptives tous azimuts.

Le secteur ultra bankable des nouveaux vaccins est quant à lui la cible privilégiée de l’appétit sans limite des nouveaux rois de la finance.

On pourrait citer le cas emblématique du multimilliardaire Bill Gates. Après son procès retentissant à l’aube des années 2000 aux Etats-Unis pour abus de position dominante de la compagnie Microsoft dont il était le fondateur, PDG et principal actionnaire, puis sa déchéance publique qui faillit ruiner sa carrière, Bill s’était refait une virginité en investissant une bonne partie de sa fortune dans une fondation créée à son nom. Son but : financer des programmes de vaccination à grande échelle et autres projets médicaux à visée prétendument « humanitaire ».

On connaît hélas la suite : des millions de morts en Afrique et en Asie suite à ces campagnes de vaccination et autres expérimentations massives destinées aux pauvres du Tiers-monde. Des centaines de milliers de femmes stérilisées par les vaccins toxiques de la fondation en Inde, pays où la Fondation Bill et Melinda Gates est désormais interdite de séjour. Et des millions de nouveaux cas de variole dus aux vaccins qui étaient censés l’éradiquer.

Non content de ce palmarès, Tonton Bill s’est aussi fait ouvertement le champion assumé de la réduction de la population mondiale, fidèle aux thèses eugénistes et transhumanistes de certains de ses amis milliardaires.

C’est ainsi que dans une conférence publique Ted Talk consacrée à la surpopulation mondiale en 2010 aux Etats-Unis, Bill Gates n’a pas hésité à marteler publiquement, devant un parterre d’auditeurs abasourdis :

« Si l’on fait un vraiment bon boulot avec les nouveaux vaccins, le planning familial et le contrôle de la sexualité, on devrait pouvoir réduire la population mondiale de 15% en 20 ans ! » (sic).

Pour les plus dubitatifs, la retranscription intégrale de cette conférence est disponible sur YouTube.

Bill Gates n’est hélas pas le seul à voir dans les vaccins une aubaine pour façonner l’humanité nouvelle. Une humanité réduite, entièrement sous contrôle grâce aux nouvelles technologies, et surtout conforme à leurs desseins. C’est-à-dire disponible, soumise, malléable, transformable, reproductible, commercialisable ou destructible à loisir.

Derrière ce projet fou, il y a une véritable philosophie, presque une nouvelle religion, partagée par tous les geeks et patrons de start-ups de la Côte Ouest : le transhumanisme.

Le transhumanisme procède d’une vision hyper matérialiste de la vie, du corps et de l’humain, héritière de trois siècles de pensée matérialiste, mécaniciste et scientiste, comme le rappelle le physicien Philippe Guillemant dans son dernier ouvrage Le grand virage de l’humanité.

Selon cette vision de la vieille science et de la médecine à Papa, aujourd’hui largement dépassées, l’homme se réduirait à son corps : un amas d’organes et de cellules qui fonctionnerait comme une mécanique. L’esprit ne serait que le produit d’interactions chimiques dans le cerveau, et non un substrat de nature spirituelle, indépendant du corps, qui préexisterait à la matière et survivrait à la vie biologique.

Ce corps est conçu comme une horloge. Si certaines pièces de cette mécanique sont défaillantes, il suffit de les changer. Ce que permet la science aujourd’hui, qui pourvoit bras, jambes, articulations, cœurs, reins, membranes ou cellules toutes neuves pour remplacer efficacement ceux qui seraient manquants ou défaillants.

Mieux encore, la science transhumaniste d’aujourd’hui se propose non seulement de réparer l’humain mais carrément de l’améliorer, de l’augmenter. En augmentant par exemple ses capacités physiques et psychiques. En lui adjoignant des prothèses, des patches, qui vont doper ses capacités ou lui en offrir d’autres. Un peu comme dans le film Matrix, où l’on peut télécharger dans le cerveau d’un homme des programmes qui vont lui permettre de maîtriser instantanément toutes les techniques du kung fu, de léviter dans les airs, d’éviter les balles ou de projeter son énergie à distance. Cool non ?

C’est ainsi que la firme Neuralink du milliardaire Elon Musk, un autre ami de Tonton Bill, a mis au point une puce d’interfaçage bionumérique, fruit d’années de recherche en neuroscience, qui s’insère chirurgicalement à la base du cortex et permet de relier directement le cerveau humain à internet ou à une intelligence artificielle pour en booster les capacités. Plus besoin d’écran tactile ou de souris, il suffit de penser pour être instantanément connecté à internet, communiquer sur les réseaux sociaux, plonger dans une réalité virtuelle pleine de sensations et d’émotions totalement artificielles, mais que le cerveau ne saura pas distinguer de stimuli réels. Le Meilleur des mondes à votre portée.

Cette technologie n’est pas de la science-fiction. Elle existe déjà et son déploiement à grande échelle est prévu à partir de 2026, comme s’en félicite Klaus Schwab, Président du Forum économique mondial, et autre grand pape du transhumanisme, dans une vidéo postée sur YouTube il y a quelques années.

Dans cette vidéo, le père du Great Reset (la Grande Réinitialisation), un changement de paradigme radical à l’échelle mondiale, économique, financier, bancaire, monétaire, politique, sociétal, scientifique, humain, qui a déjà commencé et dont l’épidémie de Covid constitue le levier principal de basculement, vante surtout les mérites des smart dusts, les « poussières intelligentes ». Une autre nouvelle technologie de pointe née des progrès de la physique des nanoparticules et du numérique.

Ces poussières sont des nanoparticules incluses dans les nouveaux vaccins, comme l’a plusieurs fois rappelé Bill Gates. Elles ont été mises au point au MIT de Boston sous l’égide de la Fondation Bill et Melinda Gates, ont été brevetées par Microsoft, et ont été testées avec succès en 2019 et 2020 au Kenya et au Malawi. Même des médias très mainstream comme Le Monde, Les Echos ou LCI s’en sont faits l’écho.

Ces smart dusts ont la particularité de pouvoir être chargées électromagnétiquement. Et donc de pouvoir contenir des données numériques. Le corps de la personne qui s’est vu injecter ces nanoparticules incluses dans un vaccin, souvent à son insu, devient alors une sorte de « portefeuille numérique », dans lequel on peut encrypter toutes sortes de données lisibles à distance par un récepteur numérique : son statut vaccinal, son carnet de santé, son compte bancaire, et pourquoi pas ses habitudes de consommation, ses opinions politiques, ses engagements syndicaux, les sites qu’elle consulte sur internet, les personnes avec lesquelles elle interagit, etc…

Une forme d’hyper surveillance numérique, qui existe déjà sous une forme embryonnaire avec le carnet social chinois. Un système de surveillance total des populations déployé dans tout le pays grâce aux nouveaux outils comme la 5G, les drones, les caméras intelligentes, la reconnaissance faciale ou les algorithmes prédictifs. Le tout couplé à un système de carnet à points qui se remplit ou se vide selon qu’on est un bon ou un mauvais citoyen. Et qui donne droit à certains avantages, ou permet au contraire de supprimer des droits et des libertés.

Ça devrait nous rappeler quelque chose, à nous autres Français. En effet le pass sanitaire imposé à tous par le gouvernement Castex en juillet 2021 sera bientôt remplacé par le pass vaccinal. Lequel n’a rigoureusement aucune efficacité pour faire reculer le terrible « variant Omicron », mais permettra de s’assurer que quasiment 100% de la population soit bien vaccinée.

Et gare à ceux qui voudraient s’y soustraire ! Ils n’auront quasiment plus aucun droit. Sinon d’être conduits dans un centre de confinement où ils seront aussitôt testés, vaccinés, pucés et rééduqués.

Le pass sanitaire était déjà un copier-coller du carnet social chinois. La politique de « prévention » qui s’apprête à accompagner la vaccination pour tous n’aura plus rien à envier à la politique de rééducation des réfractaires au régime de Pékin.

On a tort d’opposer souvent les Etats-Unis à la Chine, dans une guerre pour la domination mondiale qui serait inéluctable au cours de cette décennie.

En vérité ces considérations géopolitiques et géostratégiques n’ont qu’une valeur limitée. Et cachent des réalités autrement plus préoccupantes.

Car l’oligarchie qui gouverne objectivement le monde, qui contrôle tous les pouvoirs par le biais de la dette et de la monnaie, qui fait et défait les états, les succès et défaites, les gloires et les fortunes, n’est plus aujourd’hui liée à un pays ou une nation. Elle est ici et partout à la fois. Son échiquier est la planète tout entière et l’espace qui l’entoure. Elle est hors-sol, comme les flux financiers dont elle se nourrit.

D’ailleurs, comme le rappelait au cours d’une conférence à l’Ecole Polytechnique Laurent Alexandre, fondateur de Doctissimo, patron d’une start-up de génie génétique et pape français du transhumanisme, cette élite toute puissante s’autodésigne comme « les dieux », opposés au reste de l’humanité, c’est-à-dire nous tous : « les inutiles ».

Nul doute que cette élite existe bien, nonobstant les délires de QAnon sur les Illuminattis ou les pédosatanistes.

Et qu’elle est déterminée à faire aboutir un projet de domination du monde amorcé il y a plusieurs siècles. Avec des concepts qui ont fait recette, nés au 18e siècle au sein de la vieille élite aristocratique, bancaire et commerçante anglo-saxonne. Comme la monnaie unique mondiale, en passe de devenir une réalité, sous une forme numérique qui en démultipliera le pouvoir de contrôle, et dont l’euro numérique bientôt lancé par la BCE sera une étape. Ou le Nouvel Ordre Mondial, qui n’est pas né dans l’esprit de George Bush senior au lendemain de la guerre froide et à la veille de la première guerre néoconservatrice en Irak.

Comme l’eugénisme et les projets de dépopulation mondiale également. Un concept indissociable des géostratèges du mondialisme anglo-saxon. Eugénisme dont s’inspira un certain Adolph Hitler dans les années 1920 pour rédiger son fameux best-seller Mein Kampf.

On le voit, il y a quelque chose de profondément « diabolique », au sens le plus étymologique du terne, dans ce projet mondialiste et totalitaire de contrôle absolu des populations, patiemment conçu et déployé par une élite pas si occulte qu’on le dit. Puisque ses membres sont connus, s’expriment publiquement, et agissent au grand jour, en annonçant même leurs projets à l’avance. De façon explicite, dans des rapports, des conférences, des déclarations tout ce qu’il y a de plus officiels. Ou plus subliminale, dans des films d’anticipation à succès concoctés par la grande machine hollywoodienne dont ils contrôlent bien évidemment capitaux et productions.

Leur vision idéale du monde futur s’appuie à l’évidence sur un projet qui vise à s’affranchir de tout déterminisme, de toute allégeance à une quelconque Transcendance ou une Autorité supérieure. C’est l’hubris démesuré de l’homme imbu de lui-même, de son propre orgueil, autosuffisant, tout-puissant, tout-sachant, tout-possédant. Y compris son corps, sa vie et celle de des congénères réduits au rang de choses et de marchandises.

Un projet dia-bolique car il coupe l’humain de ce qui le rend vraiment humain : sa part divine, son âme, son esprit, sa conscience, qui ne procède aucunement des mécanismes de la matière, mais sans laquelle, nous dit la physique quantique, cette dernière n’a aucune existence réelle.

Un projet dia-bolique qui coupe et sépare les humains pour mieux les aliéner et les contrôler : selon leur ethnie, leur origine, leurs croyances, leur religion. Ou leur statut vaccinal comme aujourd’hui.

Un projet dia-bolique qui coupe l’humain d’avec la Source, son Origine, la Conscience supérieure dont procède et à laquelle retourne toute conscience individuée.

Ce projet a pour seul ennemi l’Amour. Qui, selon une théorie de la physique contemporaine, est la matrice de toutes les forces physiques qui font tenir ensemble l’Univers.

Ce projet est tout entier Division, Désunion, Inégalité et Soumission radicales.

Dans les mythes bibliques, une telle entité a un visage et un nom : Satan. Le Diviseur. L’Ennemi (de Dieu, du Christ, des hommes).

Mais pour que la Lumière soit totalement, il faut aussi que les Ténèbres atteignent leur apogée. Comme pour attirer sur elles la puissance d’information et de retournement qui les métamorphosera.

Cette lutte ultime n’est pas un combat manichéen du Bien contre le Mal. De telles notions sont perméables, caduques et relatives. En Dieu tout est UN.

Cette lutte, ou plutôt ces épousailles ultimes, pleines de bruit et de fureur, c’est l’ultime Révélation. Le Grand Eveil de la conscience de l’humanité.

Celle-ci est encore en sommeil mais s’ébroue déjà ici ou là. Les ténèbres de l’ignorance, de la peur, de l’obscurantisme semblent partout la rattraper. Laissant le champ libre à l’appétit des loups et des vautours. Ceux de la haute finance et de ses apprentis sorciers.

Mais rien ne peut empêcher son Eveil. Par endroit des montagnes se lèvent. Que tentent d’ignorer les oracles funestes des médias. Et les montagnes se rejoignent aussi vite qu’elles se dressent. Rien ne peut arrêter ce grand mouvement de réveil qui tend vers l’Unité.

Dans la tradition chrétienne, cette humanité qui vient à un visage : celui du Ressuscité.

Mais son Règne qui advient signe aussi la faillite de tous les pouvoirs, fondés sur la Division.

Alors vient « la Bête ». Et le chiffre de la Bête : 666.

Pour signer l’appartenance de cette humanité qui échappe à ses maîtres, il faut la marquer. Pas seulement sur la peau : au plus intime de son être, dans son sang, ses gênes, son ADN.

C’est le projet des vaccins à ARN messager : remplacer notre immunité naturelle par une immunité artificielle, dont nous-mêmes et nos descendants seront à tout jamais dépendants.

Le système immunitaire, c’est ce qui passe au crible, qui discrimine entre le moi et le non-moi. C’est, au plan biologique, le garant de notre identité existentielle.

Supprimer cette immunité, la remplacer par une immunité du Collectif, une immunité artificielle fondée sur la manipulation de nos gênes, c’est prendre un pouvoir absolu sur Qui nous sommes. Et sur notre capacité à préserver notre intégrité.

Dit plus clairement, se faire vacciner avec les nouveaux vaccins, c’est se faire DESINTEGRER.

D’ailleurs nombreux sont aujourd’hui les scientifiques de par le monde à tenter d’alerter sur le fait qu’à partir de la 3e dose, le sang commence à coaguler partout dans le corps, provoquant thromboses, AVC, embolies et autres cataclysmes. Conséquence de la production anarchique de protéines Spike produites par nos cellules et qui se retournent contre elles une fois notre génome piraté, ces fragments de virus supposés déclencher une réaction immunitaire : veines et artères, organes, poumons, foie, reins, cerveau, organes génitaux, tout se dérègle et se désagrège…

Effets secondaires en série, décès en masse ne sont pas les seules conséquences de ces vaccinations forcées. L’autre but plus inavouable et pourtant bien réel de ces injections justifiées par une psychose pandémique fabriquée, c’est de marquer toute l’humanité. A l’aide de nanopuces invisibles, insensibles et indétectables, sinon grâce aux outils de détection appropriés.

Et une fois que nous serons tous pucés on pourra encrypter ou retirer à loisir toutes les datas possibles dans le corps de chaque individu.

Et sans la marque qui donne droit d’acheter ou de vendre, d’utiliser son argent, de se déplacer, de voyager, d’aller au spectacle, au restaurant, de se faire soigner, aucune vie ne sera désormais plus possible.

Après deux ans de basculement au pas de charge, nous y sommes presque.

La marque ? Un rappel de tel vaccin contre tel virus par exemple. Bien sûr c’est pour notre bien, à chacun et à tous. Quel beau prétexte !

Et elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front, et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. C’est ici la sagesse. Que celui qui a de l’intelligence calcule le nombre de la bête. Car c’est un nombre d’homme, et son nombre est six cent soixante-six.

(Apocalypse 13:16-18)

Pendant longtemps beaucoup ont cru voir dans cette prophétie annonçant la Marque de la Bête la description de la puce RFID. Une puce insérée dans la main, dont la mise au point et le projet d’extension à toute l’humanité remontent à plusieurs décennies. Et dont on reparle aujourd’hui en France comme une alternative plus sûre au QR Code pour le pass vaccinal.

La technique importe peu. Ce qui compte c’est l’intention qui est derrière et ce qu’elle symbolise, de quoi elle est le signe.

Ce qui est sûr, c’est que s’agissant de notre humanité en tourments, en proie à des périls de tous ordres, cette volonté de vacciner et de pucer 8 milliards de Terriens pour lutter contre une épidémie mineure ne va certainement pas dans le sens de son émancipation. Mais plutôt dans le sens de sa régression et de son aliénation aux pouvoirs du temps : les pharaons de l’époque et leur Veau d’or numérique.

Et l’antidote ? Au marquage, au chiffre de la Bête, à l’Antéchrist ?

C’est l’Agneau !

Passons sur la symbolique christique ou celle du sacrifice et concentrons-nous sur celle du Passage : Pessah, sortie de l’esclavage vers la liberté. Puis Pâques, chemin de la Mort à la Vie éternelle, du règne des Ténèbres à celui de la Lumière.

Avec ce thème central du christianisme et de la figure du Christ : la Résurrection.

Ce que nous sommes tous appelés à vivre dans les temps actuels, ce n’est ni plus ni moins que le Grand Passage de l’humanité. Sa Résurrection !

Certains parlent de l’Ascension planétaire, ou du changement de paradigme, d’une élévation inédite de notre niveau d’énergie : celle de nos cellules, de notre ADN, de notre corps physique, appelé à être littéralement sublimé, de notre planète et même du système solaire tout entier.

Tout ceci est bien réel et scientifiquement constaté, qu’il s’agisse de phénomènes cosmiques liés à la rotation cyclique du soleil autour du noyau galactique et de son entrée depuis quelques années dans une zone de l’espace à plus haute énergie, de l’élévation exponentielle de la résonnance de Schumann, cette fréquence vibratoire liée au champ électromagnétique terrestre, de transformations observées au plus intime de nos cellules. Notre réalité change radicalement. Et nos organismes, notre psyché, nos infrastructures tanguent et souffrent des transformations que ce changement produit.

Qui a dit que l’homme Jésus n’a pas souffert avant de ressusciter ?

Comme lui, il va nous falloir accepter de mourir avant de ressusciter. Mourir à notre ego. Mourir à notre étroitesse d’esprit, à nos croyances surannées, à nos peurs et nos illusions. Comme celle d’être de simples mortels qui nous pousse à nous vouloir immortels. Alors que nous sommes fondamentalement des êtres spirituels, et éternels.

La Bête et ses vaccins de la mort veulent nous enfermer dans cette croyance que nous ne sommes que des corps mortels. Et que notre Salut réside uniquement dans la science toute-puissante, à laquelle nous devrions obéir sans broncher.

Peur et soumission, contre une illusion de liberté et la perspective de devenir un jour immortel, si l’on fait partie des élus.

Et de l’autre côté, liberté et création sans limites. Joie infinie. Paix et Unité.

La haine, l’envie, le ressentiment. Ou l’Amour.

Dommage que les élections à venir ne nous présentent pas le choix sous cet angle.

La Résurrection n’est pas un choix, le résultat d’une volonté, mais d’un abandon en toute conscience, qui précède l’Eveil. Une seconde Naissance. Un nouveau soleil.

Naissance, nouveau soleil… N’est-ce pas là l’étymologie du mot Noël ?

JOYEUX NOËL A TOUS !

Quel choix pour l’humanité face à la crise actuelle : le Nouvel Ordre transhumaniste ou le saut de conscience ?

La vaccination obligatoire et le pass sanitaire constituent un point de rupture dans le scénario de réinitialisation de l’humanité vers une société transhumaniste et technosanitaire, dans l’illusion du pacte républicain, et un déclic pour des prises de conscience à venir.

Les annonces d’Emmanuel Macron du 12 juillet sur la vaccination obligatoire et le pass sanitaire ont eu au moins un grand mérite : elles ont permis que les choses soient enfin dites. La tension liée à l’incertitude est donc levée, libérant une grande énergie. Dès lors chacun peut se situer et avancer.

Pour ceux qui ont vraiment compris dans quel scénario ces décisions nous inscrivent, la question qui se pose maintenant est de savoir comment réagir pour faire échouer ce projet, et permettre à un futur alternatif de se mettre en place.

Face à une volonté de l’oligarchie économique, technocratique et financière d’imposer à tout prix la vaccination et le pass sanitaire au niveau mondial, véritables prémices à l’instauration d’une société transhumaniste fondée sur le contrôle de tous grâce aux nouveaux outils technologiques, plusieurs réponses se sont déjà mis en place.

La « stratégie du choc », brutale, fondée sur la manipulation, la répression et la censure a définitivement échoué ! Preuve qu’il est aujourd’hui impossible de contrôler l’information.

Un vaste mouvement de contestation s’est développé depuis plus d’un an, dans le monde anglo-saxon, en Europe, et dans d’autres pays comme l’Inde ou le Brésil. Il associe des médecins réputés, parmi lesquels certains des plus grands épidémiologistes, des pharmaciens, des généticiens, des professionnels hospitaliers, des chercheurs, des juristes, des avocats, des journalistes indépendants, des lanceurs d’alerte, des hommes politiques comme le sénateur démocrate Robert Kennedy Jr., et même d’anciens dirigeants de grands laboratoires pharmaceutiques, comme le Dr Mike Yeadon, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer. Tous témoignent en démontant les statistiques et arguments officiels trompeurs et anxiogènes, alertent quant aux dangers réels des injections actuellement testées, à la corruption et aux crimes commis au cours de cette crise.

La réaction des opinions publiques est néanmoins très variable selon les pays, leur degré d’intoxication par les médias et les discours officiels, le niveau de verrouillage des débats et de censure de l’opinion. La France fait clairement figure de lanterne rouge en Europe et dans le monde occidental, comparée au Royaume-Uni, à l’Italie ou à l’Espagne. Le niveau de verrouillage de l’information dans les médias officiels y est l’un des plus élevés du monde occidental. Parmi les libertés fondamentales, la liberté d’expression est l’une des plus menacées. Certains scientifiques dont les révélations dérangent ont été harcelés et réduits au silence. Certains comme le Professeur Bernard Fourtillan ont même été arrêtés et détenus en hôpital psychiatrique ou incarcérés. De telles méthodes dignes d’une dictature assimilent la France à la répression des opposants dans l’URSS de Staline. Quant aux principaux médias, ils tous détenus par une poignée de milliardaires qui ont fait élire Macron, et sont payés en retour par des subventions versées par l’État à hauteur de 1,2 milliards d’euros en 2020. Auxquelles s’ajoutent celles versés à tous les grands médias par la Fondation Bill Gates (2 millions versés par exemple en 2020 au journal Le Monde). Leur ligne éditoriale à propos du Covid est totalement alignée sur la politique du gouvernement et sur la doxa officielle dictée par les firmes pharmaceutiques, relayées par des experts scientifiques corrompus et qui présentent de hauts conflits d’intérêts. Alors que la mission des médias est en principe d’informer, le rôle actuel se résume à être porte-parole de la doxa officielle et à soutenir la politique du régime, avec une absence manifeste de souci éthique, une violation permamente des codes déontologiques du journalisme, une distorsion des faits et des chiffres et une oblitération systématique des sujets clivants.

Ces pratiques corruptives dans les sociétés libérales dites « démocratiques » ne sont pas nouvelles. Elles sont même une caractéristique du pouvoir médiatique dont les acteurs comme ceux des pouvoirs politique et économique sont contrôlés par les puissances financières, avec une collusion souvent dénoncés entre ces pouvoirs. Ce qui est nouveau, c’est la dérive authentiquement totalitaire, sournoise et subtile, qui s’est mise en place sous couvert de justifications éthiques fallacieuses. Face à la prolifération dans les médias indépendants et sur internet d’informations jugées « déviantes » depuis le début du Covid, une véritable Police de la Pensée s’est ainsi mise en place en France qui n’est pas sans évoquer certaines pratiques totalitaires dans les dictatures classiques. Elle s’appuie sur un groupe de médias acquis au pouvoir tels que l’AFP, deuxième agence de presse mondiale et l’une des plus corrompues, le groupe Radio France (France Inter, France Culture, France TV…), Le Monde, Libération, L’Obs ou Les Echos. Coordonnant leurs actions, ils veillent à vérifier la véracité des informations publiées par les médias indépendants, sur internet et les réseaux sociaux, à repérer celles qui contredisent trop explicitement les messages de la doxa officielle, par exemple à propos de la réalité de l’épidémie, la dangerosité des virus, le nombre de personnes touchées, la mortalité, l’utilité, la pertinence scientifique, l’efficacité et l’innocuité de la stratégie vaccinale dictée par les laboratoires et appliquée par les gouvernements, la justification et l’efficacité réelle des mesures sanitaires (masque, distanciation, confinement, couvre-feu, fermeture des frontières, mise à l’arrêt de l’économie… Toute information non conforme à cette doxa est aussitôt dénoncée, rectifiée, commentée voire éliminée. Leurs auteurs dénoncés et leurs fonctionnalités sur les réseaux réduites ou suspendues. Le but est de décourager tout partage d’information sensible ou « fausse ».

Ce mode de censure très efficace et automatisé s’est mis en place avec le concours actif de réseaux sociaux comme Facebook, dont les algorithmes analysent en temps réel les contenus, repèrent les informations sensibles, alertent les utilisateurs, occultent ou suppriment les publications embarrassantes, et empêchent leur partage. Voire suppriment tout simplement les profils des utilisateurs ou les groupes ne respectant pas les « standards de la communauté ». Une véritable standardisation de la censure.

Cette censure se justifie au nom de la « vérité ». Ce qui constitue un passage à la limite d’autant plus problématique qu’il n’existe pas de « vérité scientifique » absolu, surtout dans une pratique comme la médecine que leur praticiens eux-mêmes décrivent comme un art et non une science, dont la vérité n’est jamais fixe ni absolue mais toujours mouvante, partielle et fondée sur le consensus. A moins de considérer qu’un dogme scientifique est une vérité absolue et universelle. Qui plus est, on l’a vu de façon éclatante avec le scandale du Lancet, la médecine n’est plus un domaine autonome qui élabore des connaissances et une pratiques selon la méthode scientifique et valide ses théories par la praxis clinique. La recherche scientifique et la pratique médicale ont été totalement confisquées par le pouvoir économique et financier qui les subventionnent et orientent sa pratique et ses discours dans un sens qui sert ses intérêts propres et non la science, la santé ou les bénéficiaires que sont les malades : nous tous.

Les méthodes des médias ajoutées à celles des laboratoires et des experts aux mains du pouvoir nuisent considérablement à leur image de sérieux, d’impartialité sinon de désintéressement. Du moins pour ceux qui en ont conscience. Les médias officiels n’apparaissent plus comme les garants d’une pluralité de l’information mais comme les illustrations d’une seule et même Pravda (la Vérité). Avec quelques nuances de positionnement correspondant à la cible visée. Dérive très dommageable car face à cet uniformisation dogmatique, seuls les médias indépendants qui touchent une frange plus marginale de publics peuvent se démarquer en livrant une information plus « objective » ou suivant un axe idéologique particulier. C’est ainsi que face à la propagande officielle du pouvoir établi, les médias affichant des positions plus extrêmes sur le spectre politique endossent un rôle de contre-pouvoir en se positionnant dans le rapport de forces au pouvoir. A titre d’exemple le magazine Valeurs Actuelles considéré come proche de la droite conservatrice voire de l’extrême droite, est l’un des seuls news mags français à défendre un point de vue critique sur le Covid en abordant les questions escamotées par les autres médias. Cette redistribution des médias d’opinion tend à catégoriser les oppositions entre des médias officiels soutenus par le pouvoir qui défendent l’idéologie dominante mondialiste, progressiste et sanitaire, et ceux qui se positionnent sur le une ligne nationaliste, populiste en antisystème, dont antivaccins… Ce schéma est heureusement tempéré par la notoriété des experts scientifiques qui témoignent à visage découverts pour dénoncer les mensonges officiels dans les médias indépendants comme France Soir, Bas les masques, Le Courrier des stratèges, Causeur ou Médiapart… Sans compter les lanceurs d’alertes de plus en plus nombreux qui diffusent les résultats de leurs propres recherches et analyses sur leur blog, chaîne YouTube et sur les réseaux.

Ces réseaux sont assaillis d’informations contredisant les messages officiels et perdent du crédit à mesure qu’ils tentent de les limiter ou de les censures. La firme de Marc Zuckerberg a ainsi perdu beaucoup d’abonnés depuis qu’elle a été vivement critiquée partout dans le monde pour sa censure systématique, et sa collusion avec le pouvoir et sa complaisance à s’aligner la politique de régime dictatoriaux comme la Chine ou de pratiques qui s’en rapprochent come en France. C’est ainsi que la loi Avia votée en 2020 pour lutter en principe contre les propos haineux sur internet a conduit à renforcer la censure de publications qui ne relevait pas de cette loi sous l’impulsion conjuguée du pouvoir et de Facebook. Beaucoup d’internautes lui préfèrent des qui leur préfèrent des sites concurrents comme Odysee sur lequel a été publié l’excellent documentaire à charge Hold Up de Pierre Barnérias, immédiatement censuré sur Facebook et YouTube à sa sortie le 9 décembre dernier, et objet depuis d’un lynchage politico-médiatique alors qu’il ne ressemble que des interviews des plus grands experts. Ou VK, réseau social russe alternatif à Facebook où aucune censure n’est en principe appliquée.

Face au durcissement de cette Ligne Maginot de l’information, un effet plus dommageable est de creuser un fossé croissant dans le rapport à l’information entre ceux qui continuent de faire confiance aux médias traditionnels (notamment les chaînes publiques ou privées relais du pouvoir comme BFM TV, LCI ou CNews) et qui n’osent pas questionner le bien-fondé et de l’honnêteté des informations servies en boucle par ces médias ; et de l’autre côté ceux qui font l’effort de s’informer par eux-mêmes en confrontant les sources et en se posant les bonnes questions. Ces deux catégories de « consommateurs » passifs ou actifs de l’information vivent de plus en plus dans des réalités séparées et défendent des postulats d’autant plus conflictuels que le pouvoir joue sur ces oppositions pour discréditer tout point de vue qui ne coïncide pas avec la doxa du moment, les taxant de théories « complotistes ». Quitte à leur donner raison six mois plus tard en se contredisant totalement. Comme à propos de l’origine humaine du virus désormais avérée. Ou en promettant que jamais la vaccination ne sera obligatoire et en qualifiant le pass de rumeur complotiste, pour se parjurer quelques mois plus tard en voulant l’imposer avec cynisme et brutalité.

A un niveau plus profond, en devenant coacteur du travail d’information, on devient aussi plus éveillé, plus conscient, et acteur de son propre changement de conscience. Et de proche en proche coacteur du changement global de conscience au plan de « ce qui est dit ». L’essentiel des représentations partagées, surtout à l’ère de l’information numérique ou les échanges sont instantanés et s’inscrivent dans un réseau d’interactions infinies qui connecte les consciences, passe par le filtre du langage ou de la communication visuelle sans pour autant ignorer le registre émotionnel, essentiel dans le changement que nous vivons. Il est donc important de se connecté au brouhaha ambiant, en activant les bonnes fréquences selon sa sensibilité et en choisissant de bien positionner le curseur pour savoir à quel niveau et dans quel esprit sinon quel but on partage.

Le rapport de force politique et le combat éthique par la voie judiciaire : un levier de changement qui a ses limites

Autre axe essentiel pour faire évoluer les consciences et parvenir à faire éclater la vérité : la bataille juridique qui s’est engagée dès le début de la crise face aux zones d’ombre, incohérences et autres scandales. Notamment grâce à l’action d’associations de juristes et d’avocats pour défendre les victimes du Covid, faire valoir le caractère illégal au regard de la législation française, européenne ou internationale des mesures sanitaires imposées – vaccins, pass sanitaire, confinements et couvre-feux à répétition – et les dommages causés aux niveaux sanitaire, économique, social, éthique et politique, notamment le recul des libertés fondamentales inédit depuis l’Occupation.

Cette stratégie permet de demander des comptes devant les tribunaux pour les « crimes contre l’humanité » commis et de punir les responsables. En France, même si le pouvoir judiciaire est clairement menacé, le recours devant des juridictions internationales permet de mettre la France en position d’accusée. C’est ainsi qu’une plainte vient d’être déposée le 2 juillet auprès de la CPI (Cour Pénale Internationale) par un collectif de syndicats européens contre des dirigeants français qu’ils accusent d’avoir imposé des mesures liberticides lors de cette pandémie.

De le même esprit, le Barreau des avocats indiens relayé par le gouvernement a récemment saisi la CPI pour faire condamner le directeur général de l’OMS et d’autres personnalités comme Bill Gates ou Anthony Fauci pour avoir fait interdire l’ivermectine. Concurrent des « vaccins », ce médicament est en effet reconnu aujourd’hui comme l’un des plus efficaces pour soigner le Covid. Face à la vague mortelle du variant apparu en Inde en 2021 (appelé aujourd’hui variant Delta), le gouvernement avait opté pour la stratégie des traitements, et obtenu très vite des résultats spectaculaires pour soigner les malades, faire chuter le taux de mortalité et enrayer les contaminations. Jusqu’à ce que l’OMS intervienne pour interdire ce médicament, privant l’Inde d’un remède efficace et peu onéreux contre le Covid. En cas de condamnation, les accusés encourent la peine capitale.

En France l’association Réaction 19 créée à l’initiative de Maître Carlo Brusa, connu comme l’avocat de quelques footballeurs, célébrités et du Professeur Éric Raoult, vient en aide aux personnes victimes du Covid et multiplie les initiatives judiciaires pour dénoncer les crimes commis par l’Etat français depuis 2020. Comme L’injonction lancée à deux reprises par le ministre de la Santé Olivier Véran (décrets du 27 mars et du 16 décembre 2020) pour inciter les généralistes à euthanasier les personnes âgées résidant en EHPAD (puis à domicile) suspectées de Covid, en leur administrant sans leur consentement ni celui de leur famille du Rivotril, un puissant neuroleptique potentiellement létal et formellement déconseillé par le fabricant en cas d’insuffisance respiratoire. Un scandale soigneusement étouffé par les médias officiels.

Cette crise révèle la nature spirituelle de la réalité : un autre futur est déjà là !

Si elles sont utiles, la bataille de l’information, de l’opinion et la bataille juridique ne suffiront pas à infléchir les choses. Elles ne constituent pas le cœur du problème puisqu’elles n’apportent des réponses qu’à un niveau politique et judiciaire. La vraie réponse à cette « crise sanitaire » aussi cruciale qu’unique dans l’Histoire de l’humanité n’est pas d’ordre médical, scientifique, technologique, politique, économique, juridique, encore moins militaire : elle est essentiellement spirituelle.

Comme l’explique fort bien le physicien Philippe Guillemant dans son dernier ouvrage Le grand virage de l’humanité[i], cette crise du coronavirus illustre un combat que se livrent aujourd’hui deux futurs différents pour s’imposer et advenir comme notre réalité future. Selon une théorie du temps dont il est en partie l’auteur, le temps n’existe pas, il n’a aucune réalité intrinsèque comme l’a démontré la physique quantique, seul le Présent existe. Le passé constitue notre « réalité » dans ce versant matériel de la réalité où nous vivons : notre mémoire, la somme des expériences vécues et ordonnées par la conscience humaine et qui conditionnent notre Présent. Le futur n’est pas « déterminé » selon le principe déterministe aujourd’hui caduque hérité de la science classique, il « descend », il se présente à nous pour se réaliser parmi plusieurs futurs possibles, selon ce que nous actualisons de notre mémoire et les choix essentiels que nous faisons. Il existe dans un autre versant de la Réalité, un autre multivers déconnecté du nôtre, un nombre infini de futurs se manifestant sous forme de virtualités (d’informations). Mais un seul futur peut se mettre en place dans notre réalité.

Le coronavirus et la réponse qui nous est imposée aujourd’hui par les multinationales, la logique scientifique qui les inspire et les puissances financières qui les exploitent, est la résultante d’un « ancien futur » généré par plusieurs siècles de pensée rationaliste, matérialiste, positiviste et mécaniste. Une pensée qui a vu éclore la science moderne fondée sur un postulat matérialiste (seule la matière existe) et déterministe (tout dans l’Univers y compris l’homme est lié à un enchaînement logique de causes et d’effets), et une vision mécaniste de l’Univers et de l’homme : l’Univers est une grande mécanique céleste soumise à des lois immuables.

Selon la médecine classique, l’homme est également conçu comme une mécanique, une machine, avec une approche essentiellement fonctionnelle des organes. Il faut donc réparer le corps comme on réparerait une machine, au besoin en remplaçant les organes déficients par des prothèses adaptées (cœur, membres artificiels, cartilages en plastique…), et en lui ajoutant d’autres prothèses pour améliorer ses performances. Quant aux maladies infectieuses, elles sont causées par des germes pathogènes dont il faut se prévenir, notamment quand le système immunitaire (dont le rôle est de les identifier, de les combattre et de les éliminer) peine à jouer son rôle de garde-fou.

La science qui prétend délivrer des « vérités », piégée par sa croyance dans un monde matérialiste et déterministe, corrompue par l’argent et sa vision utilitariste, ignore l’essentielle vérité.

La vision transhumaniste actuelle est l’héritière directe de cette logique à laquelle nous avons cru pendant des siècles. Selon elle, l’évolution humaine est conditionnée par le progrès scientifique. Avec cette idée qu’il faut améliorer l’homme, créer un « homme augmenté » aux performances physiques et psychiques démultipliées par les nouvelles technologies.

Selon cette vision qui privilégie le mental et ignore le cœur, les émotions, l’âme n’existe pas. Quant à l’esprit, il se réduit à sa composante psychique, cognitive, mentale, neurologique, laquelle n’est que la résultante de processus biochimiques dans le cerveau. Comme l’affirme Laurent Alexandre, fondateur de Doctissimo et président d’une start-up de génie génétique : « Nous sommes notre cerveau ». Et donc pour améliorer les capacités de la machine biologique qu’est l’homme il est tout à fait normal de vouloir l’équiper d’autres machines qui le rendront plus performant. Des prothèses numériques externes (ordinateur, smartphone…), puis internes : puces ou programmes implantés dans le cerveau, nanorobots injectés dans le corps pour surveiller les paramètres vitaux, réparer les cellules endommagées, attaquer des germes nocifs ou booster l’influx nerveux. Une fusion parfaite entre l’homme de la machine.

Les nouvelles techniques de vaccins à ARN messager actuellement testés s’inscrivent entièrement dans ce projet. Leur but est de se substituer au système immunitaire pour apporter la réponse spécifique à chaque nouveau virus en injectant à chaque fois le vaccin adapté. En théorie. Sauf que ça ne marche pas et que ces injections provoquent de surcroît de dégâts considérables et irréversibles au plan immunitaire, en plus des effets secondaires parfois mortels.

L’aspect fort contestable de cette logique se corse davantage si l’on tient compte du fait que le marché de l’industrie pharmaceutique, en particulier celui des vaccins, constitue un enjeu économique gigantesque en termes de profits générés. Et ce depuis l’invention de l’industrie pharmaceutique par la famille Rockefeller au début du 20e siècle.

Soucieuse de trouver de nouveaux débouchés à l’industrie du pétrole dont elle était le principal investisseur et à la filière pétrochimique, la famille Rockefeller a en effet développé l’idée de fabriquer de nouveaux médicaments à partir de molécules issues de la pétrochimie. Des médicaments souvent peu coûteux à produire mais extrêmement rentables. Malgré leur efficacité très relative, leurs nombreux effets secondaires et leur toxicité élevée, les Rockefeller ont réussi à imposer peu à peu cette nouvelle médecine en subventionnant des programmes de formation dans les facultés de médecine et de pharmacie, en faisant progressivement interdire les médecines plus anciennes, en discréditant ces médecines devenues « alternatives », en faisant fermer les éditeurs de manuels qui leur étaient consacrés, et bien entendu par un effort de corruption des décideurs politiques et des organisations de santé.

Le même scénario s’est imposé pour les vaccins, avec le développement d’une véritable idéologie vaccinale fondée sur des mythes (celui de Pasteur notamment), sur une exagération de l’efficacité réelle des vaccins et une minimisation ou un déni de leurs risques et effets secondaires. On a vu en France les effets de cette politique avec l’exemple récent des 11 vaccins imposés aux nourrissons en 2018 à l’initiative de Macron, malgré une fronde d’une partie majoritaire du monde médical. Il faut dire que plusieurs laboratoires notamment Giléad sont des mécènes de la campagne présidentielle de Macron en 2017, de son parti LREM, ou subventionnent ses ministres. Sans compter les conflits d’intérêts multiples concernant les hauts responsables des organisations de santé publique : Ordre des Médecins, Santé Publique France, Conseil scientifique, etc… Selon plusieurs anciens dirigeants de grands laboratoires, le secteur pharmaceutique déjà considéré comme l’un des plus corrupteurs a connu au cours de la décennie écoulée une flambée inimaginable des pratiques corruptives tous azimuts : milieu hospitalier, médecins prescripteurs, politiques, organismes de santé publique, médias spécialisés (qu’on songe au scandale du Lancet…), mainstream ou autres. Il n’a aujourd’hui plus rien d’éthique. Cette dérive est due aux évolutions rapides dans la capitalisation du secteur, des investisseurs comme BlackRock, Vanguard ou des grandes banques d’affaires ayant massivement investi dans ce secteur et détenant aujourd’hui la majeure partie du capital des leaders du marché. Sans compter le zèle incomparable de Bill Gates et de sa fondation pour investir dans ce secteur. Notamment en « achetant » l’OMS font sa fondation est l’un des principaux financeurs. Ou en finançant des campagnes massives de vaccination dans des pays du tiers-monde à titre « humanitaire », avec les dégâts collatéraux qu’on connaît pour lesquels sa fondation a été poursuivie : décès surnuméraires, stérilité pour les femmes vaccinées, etc…

Selon cette logique utilitariste et productiviste exclusivement soumise à la rentabilité et destinée à servir les intérêts d’une poignée de milliardaires actionnaires dans ce secteur via des fonds d’investissement, l’hommel n’est même plus qu’une machine à réparer en lui refourguant médicaments coûteux et vaccins, au besoin en créant les maladies selon le principe cher aux théoriciens de l’ingénierie social comme Noam Chomsky : « créer le problème pour apporter la solution ». C’est ainsi qu’un marché discret mais ultra compétitif s’est développé depuis les années 1990 visant à créer et breveter de nouveaux virus par génie génétique et à développer ensuite les vaccins adaptés eux aussi brevetés. Cette stratégie a trouvé sont illustration il y a une douzaine d’année lors du scandale du H1N1, ce virus apparu au Mexique en 2009 et aussitôt présenté comme un virus mortel extrêmement dangereux. Virus très proche de celui de la grippe espagnole disparu depuis près d’un siècle, et pour lequel il n’existait aucun traitement hormis le Tamiflu et les vaccins élaborés par Gilead Sciences, vendus par milliards d’unités au gouvernements paniqués de la planète, pour une épidémie qui n’aura fait au total que 200.000 morts : une broutille comparée aux millions de morts du paludisme, du choléra ou du sida. Une scénario catastrophe soigneusement orchestré qui aura en revanche rapporté des milliards au CEO et principal actionnaire de Gilead, Donald Rumsfeld.

Cash machine, l’homme est aussi transformé en marchandise. C’est le constat auquel nous conduit l’emballement actuel du système, qui doit aujourd’hui se réformer pour survivre mais en privilégiant les intérêts de ceux qui le contrôlent. Et sans aucune préoccupation éthique réelle mis à part des « discours » pseudo scientifiques, pseudos progressistes (sur les droits de l’homme, le progrès social et sanitaire, l’intérêt pour les plus pauvres et les minorités, l’écologie et le développement durable… Une rhétorique qui ne sert qu’à instrumentaliser les principes éthiques démocratiques pour justifier des décisions qui conduisent à l’exact opposé des buts annoncés.

L’avenir de l’humanité n’appartient ni à la science ni à la conscience du Collectif mais à la Conscience collective, celle de l’humanité.

Le Nouvel Ordre Mondial voulu par les oligarques mondialistes, parmi lesquels beaucoup sont transhumanistes, comme Klaus Schwab, Président du Forum Economique Mondial, Anthony Fauci ou Bill Gates, est fondée sur une vision dystopique et totalitaire, mais aussi collectiviste et égalitaire de la société mondialisée. Un monde dans lequel tout serait soumis à un Collectif englobant piloté par l’intelligence artificielle, comme dans le film Matrix. Chaque individu serait connecté de façon égalitaire à ce Collectif, mais dépourvu de réel libre arbitre, de droits et capacités à gouverner sa propre vie. Le contrôle total des individus, comme des structures, des pouvoirs et de l’économie globalisée, s’effectue par le recours aux nouvelles technologies transhumanistes qui permettent de connecter chaque cerveau humain au système via des intelligences artificielles associées à de systèmes de surveillance prédictive et de régulation, actuellement en cours de déploiement à l’échelle planétaire : capteurs, caméras intelligentes, systèmes de reconnaissance faciale, digitale et autre, drones, 5G…

Dans cette dystopie technosécuritaire, l’I.A. serait beaucoup plus consciente des fluctuations de notre propre psyché que nous-mêmes. Et capable d’en infléchir le cours pour nous conditionner mentalement et orienter nos comportements conformément aux normes et modèles établis. Personne ne peut y échapper. Les réfractaires seront reformatés ou éliminés. Et ce bien entendu dans l’intérêt de tous, c’est-à-dire du Collectif, et surtout de ceux qui sont les maîtres de son destin.

Cette vision qui se présente comme hyper moderne, hyper technologique et au service de l’homme, précipite en réalité son asservissement en le transformant en robot. Elle est la conséquence directe et inéluctable de cet ancien futur qui s’était mis en place sous l’impulsion du modèle philosophique hérité du matérialisme et du rationalisme scientifique. Et qui a produit au cours du siècle écoulé les pires totalitarismes également fondés sur ce une approche matérialiste et rationnelle pour édifier une société idéale, utopique, totalisante et totalitaire. Le Reich allemand porté par une race supérieure ou le communisme stalinien ou chinois, fondé sur des principes marxistes-léninistes. Deux exemples dont le modèle orwellien de dictature constitue une synthèse. Le capitalisme néolibéral et son idéologie mondialiste et progressiste est lui aussi fondé sur les mêmes principes, et une prétention émancipatrice analogue à conduire l’humanité vers une même conception du bonheur matérialiste, la conception de l’Etat néolibéral étendue au gouvernement mondial en faisant des tyrans et des pygmalions cyniques au nom des idéaux de liberté, d’égalité, de justice sociale, d’efficacité, etc…

Tout ce que nous visons aujourd’hui résulte d’un choix de modèle, d’un choix de valeurs et de notre adhésion depuis les Lumières à la pensée matérialiste et rationaliste. Comme le dit le proverbe : on récolte ce que l’on sème. La dystopie transhumaniste qui se met en place sous nos yeux est le résultat des graines spirituelles que nous avons semées, cet ancien futur qui se durcit en cherchant à se réaliser.

Car entre temps, une autre vision et un autre futur se sont mis en place pour l’humanité, depuis quelques décennies. Ils se fondent sur les connaissances nouvelles acquises par une nouvelle approche scientifique concernant la vraie nature de la conscience, son origine et ses manifestations. Une approche qui trouve de sérieux échos avec les spiritualités anciennes avec lesquelles elle trouve de convergences inattendues. Cet événement n’est pas que le retour du spirituel prophétisé par Malraux, car en réalité l’esprit n’avait déserté la conscience de l’Occident et désenchanté le monde qu’en apparence. Même s’il aura fallu deux guerres mondiales et un nombre incomparable d’atrocités au cours du siècle passé, ajoutées aux menaces et aux angoisses du siècle présent (crise économique, crise terroriste, crise climatique, crise migratoire, crise identitaire, crise de civilisation…) pour enfin ouvrir les yeux sur nos égarements. La conscience de l’humanité est en crise et crie de partout d’avoir été coupée de ses racines spirituelles : le retour du refoulé se traduit ici ou là par le ressac nauséabond des fondamentalismes de tous ordres, qui tentent d’imposer leur Sens face à ce vide chaotique.

La révolution copernicienne qui s’est amorcée dans le monde scientifique et dont les racines remontent au début du siècle dernier (avec Einstein et la physique quantique notamment) coïncide avec un renouveau spirituel protéiforme et multilocal, qui ne s’enracine pas dans une continuité avec la culture locale où il se manifeste. On peut citer Jung, l’attrait des jeunes occidentaux dans années 1960 et 1970 pour les spiritualités orientales, l’astrologie, le new age, le chamanisme, les expériences psychédéliques californiennes et la psychologie transpersonnelle. Autant d’exemples qui témoignent d’une effloraison de nouvelles formes de spiritualités adogmatiques, expérimentales, souvent empreintes de renouveau et d’un retour à la nature. Autant de tâtonnements pour retrouver le lien avec cette part oubliée de notre humanité et qui en constitue le cœur, sans laquelle nous ne sommes que des équations fonctionnelles dépourvues de sens et de saveur.

La science n’a pas échappé à cet aggiornamento qui a conduit en quelques décennies à l’émergence de nouvelles sciences fondées sur un tout autre type de paradigme et de « rationalité » par rapport au paradigme précédent fondé sur une rationalité matérialiste, déterministe, causale. La physique de la conscience ou la médecine quantique sont deux exemples de ces nouvelles sciences apparues depuis environ trois décennies. Ce progrès a permis d’apporter des explications scientifiques solides à des phénomènes relevant jusqu’à présent de l’irrationnel, et donc souvent ignorés ou rejetés par la science classique. Comme les expériences de mort imminente, les voyages hors du corps, les phénomènes de synchronicité, la communication à distance, les états modifiés de conscience, l’intuition, les expériences chamaniques, les OVNI… Tous ces phénomènes sont aujourd’hui explicables grâce à la physique de la conscience notamment, et font l’objet de recherches scientifiques fécondes à partir une approche globale, holistique et interdisciplinaire qui rompt avec l’hyperspécialisation et le cloisonnement des sciences classiques.

De nouvelles voies s’ouvrent à nous pour réinvestir la Conscience, la nôtre individuellement et la Conscience de l’humanité, qui n’est pas un Collectif englobant imposant son ordre du haut vers le bas, mais un éon supérieur émergeant au fur et à mesure que la conscience collective s’unifie. En tant que conscience individuée, ce n’est pas la même chose d’être soumis de force à une Intelligence qui décrète un Nous englobant qans qu’il soit possible de valoir valoir un Je, ou d’être conscient de faire partie d’une entité supérieure dont on est coacteur, coparticipant. Ce n’est pas la même de prendre conscience que l’humanité est une et indivisible, que nous sommes tous reliés les uns aux autres et interdépendants, coresponsables de notre destinée, ou de faire semblant de sacraliser l’individu, l’ego, pour mieux manipuler les esprits en leur faisant croire que ceux qui les dirigent œuvrent pour leur permettre de s’épanouir dans un bonheur customisé tout en défendant l’intérêt général : le grand mensonge démocratique actuel.

L’urgence d’un recentrage sur le cœur, notre identité commune et les valeurs

Face au basculement imposé vers une société totalitaire fondée sur un contrôle technosécuritaire des individus et leur dépendance absolue à la science, aux technologies numériques et à ceux qui les gouvernent, la stratégie du combat frontal est perdue d’avance. Elle ne peut que renforcer la réalité « dure » d’une société matérialiste fondée sur la conquête de territoire, l’appropriation des richesses, le contrôle des biens, des savoirs, des pouvoirs, avec l’argent comme seule valeur étalon. La stratégie inverse consistant à ne s’investir que dans la démarche spirituelle en feignant d’ignorer les troubles qui nous concernent est également vouée à l’échec. Ce serait une forme de « tentation angélique » de se couper de notre réalité matérielle actuelle.

La seule solution consiste à s’investir dans la dimension du cœur, à travailler sur notre conscience à partir de cette dimension, en tenant les deux bouts de la corde : d’un côté notre Présent actuel avec sa part de mémoires lourdes » qui nous ramènent au passé et nous enchaînent à des logiques caduques, et de l’aura adhérer au nouveau futur beaucoup plus lumineux en le cultivant et en le faisant consciemment advenir dans chaque acte quotidien ou choix essentiel.

La première chose à faire face à cette révélation qui éclate aux yeux de beaucoup de Français et s’impose à eux depuis les annonces de Macron, c’est de garder l’esprit en paix avant de penser à de se mobiliser. Ne pas réagir mais se poser et observer.

Ne céder ni à la peur, ni à la colère, ni à la résignation. Et ne pas rester seul. Mais au contraire se tourner vers les autres, rester unis, vigilants, clairs sur les principes et les objectifs, sur le cap à tenir et ce que l’on souhaite vraiment pour soi et pour l’humanité. Pour ensuite agir intelligemment et en conscience plutôt que sous le coup de l’émotion.

L’attitude juste consterait à ne pas agir. Ne pas vouloir changer de l’extérieur le cours des choses mais se recentrer sur notre intériorité pour prendre conscience et laisser advenir ce nouveau futur que nous espérons. Mais cette attitude méditative qui part du spirituel pour aller vers le matériel n’est pas vraiment dans la mentalité française ou occidentale. Ceux qui prôneraient une telle attitude auraient peu de chances d’être compris et passeraient pour des gourous allumés.

Il n’est plus temps non plus de céder aux chamailleries entre partisans et détracteurs du vaccin, de se jeter à la figure des insultes : moutons contre complotistes. En revanche, au plan social, le basculement initié nous hisse du registre des croyances vers celui des grands principes. La simple foi aveugle foi en une prétendue « vérité scientifique » qui serait détenues par des spécialistes n’est plus une croyance tenable. Car il devient chaque jour de plus en plus clair que ce qui est en jeu avec ces choix politiques, c’est ce qu’il y a de plus essentiel dans notre humanité : notre dignité, notre intégrité, notre liberté, notre identité.

Sommes-nous des choses ou des personnes ? Des marchandises ou des citoyens ? Des êtres libres ou des esclaves ? Des sujets conscients, responsables, capables de décider, de créer, d’inventer leur propre avenir ? Ou des robots dont les actions programmées se résument à une fonction pilotée par l’intelligence artificielle ?

Ces questions capitales sont au cœur des enjeux actuels. Avec ce basculement dorénavant imposé vers une société totalitaire et le Nouvel Ordre technosanitaire, dont la vaccination obligatoire et le pass sanitaire constituent une étape-clé.

Avec en point d’orgue ce questionnement : Qui sommes-nous ? Quel type d’hommes voulons-nous incarner ? Que sera l’humanité future ? Et quel futur se met en place ?

C’est à nous d’inventer les réponses, pas à des pouvoirs ou des sachants extérieurs. Sûrement pas à la science, à la technologie, au pouvoir politique, aux discours ambiants, ou aux puissances de l’argent qui les contrôle tous.

Comment engager sa responsabilité sans rentrer dans le rapport de forces ?

Maintenant que beaucoup sont dégrisés quant à la réalité de la menace qui pèse sur nous, bien plus tangible qu’un nouveau virus ou le vaccin miracle supposé y remédier, le mot d’ordre doit être : RESPONSABILITE.

Chacun à son échelle peut jouer son rôle pour s’opposer au chantage, alerter, mobiliser, refuser d’obéir, enrayer cette mécanique destructrice et faire échouer ce plan diabolique.

Si l’on est versé vers l’activisme, une vieille méthode qui a fait ses preuves consiste à subvertir les systèmes de l’intérieur. A corrompre les différents outils du pouvoir pour les retourner contre lui. Sa rhétorique, son système de valeurs, ses circuits décisionnels, ses représentants, ses moyens logistiques, sa stratégie et ses objectifs pour croître, servir ses intérêts et drainer de nouveaux suffrages.

Inutile de rêver d’un recours politique à cette crise. Les élections ne signifient plus grand-chose, surtout en France, sinon une mascarade démocratique. Cesson de rêver en nous gargarisant avec des grandes idées et des grands principes comme « le peuple », « la démocratie » ou « la République », qui ont été depuis longtemps dévoyés. Soyons objectifs : aucun candidat n’a le désir ni n’aurait la possibilité une fois élu d’infléchir le cap fixé par l’oligarchie. Les pouvoirs réels du Président en France sont devenus trop dérisoires pour peser au niveau politique dans le concert des nations, de toute façon contrôlées par l’oligarchie financière. La France est un petit pays qui ne peut faire cavalier seul en s’isolant du reste du monde et même en cas de Frexit les déterminismes mondialistes continueraient de peser sur notre destin national.

Le rêve d’une aventure révolutionnaire ou d’un coup de force parfois agité par certains élus de gauche et d’extrême gauche – émeutes, insurrection populaire, renversement du gouvernement, destitution du Président – peu de chances de se produire compte tenu de l’état de tétanie du peuple français et de la cicatrice douloureuse que la crise des Gilets jaunes avortée grâce au Covid a laissé dans les esprits. Et puis la France est un pays de petits bourgeois qui répugnent à la violence et vénèrent l’ordre établi tant qu’il lui assure du pain et des jeux : revenu universel et Hanouna.

Idem à droite pour le fantasme d’un coup d’Etat militaire qui viendrait mettre fin à la dictature sanitaire, restaurer la démocratie et les institutions et assurer la paix civile. Même si une partie non négligeable de l’état-major rêvent de dégager Macron et de remettre de l’ordre dans le poulailler. Encore une fois se retrouverait isolée et ceux qui s’aventureraient dans ce scénario n’auraient aucun d’obtenir l’aval des banques pour garantir notre crédibilité budgétaire.

Subvertir la société de consommation

Sur le plan économique en revanche, il est assez facile d’adopter une politique de contre-pouvoir en retournant les consommateurs que nous sommes contre le système qui en dépend. Car ce système tient que par notre collaboration. Si nous cessons de jouer le jeu, il s’effondre. L’analyse marxiste de la société capitaliste l’a très bien compris à propos de la dialectique entre le Capital et le Travail, mais elle s’est arrêtée à une vision idéologique en l’absolutisant comme le moteur de l’Histoire.

Aujourd’hui il ne s’agit pas de renverser la table et de tout casser, mais de subvertir intelligemment ce qui nous lie aux éléments du système. Et donc d’interroger notre rapport à l’argent, valeur et puissance totémique sur laquelle il est entièrement construit. De questionner notre façon de consommer. De céder ou non aux diktats des modes, des tendances, de la publicité. De retrouver le vrai sens des échanges. Pourquoi acheter tel bien ou tel service ? A qui ? Combien ? Pour satisfaire quels besoins, quels désirs, quels manques, quelle soif d’identification ou de reconnaissance ?

On devient ce que l’on mange, dit un proverbe du Talmud. On pourrait ajouter : on devient ce que l’on achète. Acheter, consommer, c’est s’identifier à ce que l’on achète, à ce que l’on consomme. C’est s’incarner dans la matière. Le premier niveau d’être au monde selon la société de consommation c’est l’acte de consommer. Acte incontournable et qui mérite qu’on lui donne du sens.

De la même façon chacun de nos choix individuels qui engagent d’autres personnes confèrent à notre expérience personne et à nos échanges avec le monde un sens particulier. Que ce sens soit défini par l’extérieur, inclus dans les transactions, ou négocié entre des acteurs conscients.

La publicité exploite à fond ces mécanismes en nous vendant avec chaque produit ou service une promesse factice de supplément d’âme : le signe d’une appartenance à un groupe, un style de vie, une éthique, ou simplement l’illusion de se différencier des autres en gratifiant son ego. Rouler en Mercedes, porter un parfum viril, acheter du café solidaire ou manger bio pour sauver la planète, autant d’actes qui nous conduisent à associer des qualités existentielles au fait d’acheter telle marque plutôt qu’une autre.

Une arnaque dont nous sommes conscients mais à laquelle nous cédons, creusant à chaque achat la mauvaise conscience de notre incapacité à devenir qui nous voudrions être par nos propres moyens, et à nous acheter des gratifications pour soulager momentanément notre frustration et combler notre vide existentiel.

Une fois qu’on en a pris conscience, il est très facile de subvertir ce deal fondé sur un marché de dupes. Il suffit de donner du sens à chaque échange sans privilégier l’approche narcissique. Et de se découpler ainsi des jeux mimétiques qui en découlent et entretiennent de besoin de consommer toujours plus dans une compétition avec l’autre.

Pour des raisons de budget, de commodité et de facilité, la plupart d’entre nous faisons nos courses en achetant des produits courants dans des grandes surfaces. En choisissant parmi un panel de produits sélectionnés par les enseignes de la grande distribution, essentiellement des grandes marques industrielles. Dans les grandes villes, ces enseignes ont même remplacé les petits commerces alimentaires, les détaillants, drogueries, quincailleries et autres bazars qui permettaient autrefois aux ménagères d’acheter la nourriture du foyer et les produits pour la maison. Même les magasins bios comme Naturalia ou Bio C’Bon appartiennent quasiment tous à ces enseignes.

Il y a fort à parier que ces enseignes dont les capitaux sont détenus par les mêmes acteurs financiers qui soutiennent le pouvoir actuel seront les premières à se plier aux nouvelles consignes sanitaires si elles sont adoptées, et à exiger le pass sanitaire à l’entrée de leurs hypermarchés. Il suffit donc de les boycotter et de le faire savoir.

Quant aux supérettes de quartier, au cas où elles seront contraintes d’adopter la même politique, autant responsabiliser les dirigeants de ces unités pour faire en sorte qu’ils aient tout intérêt à s’y opposer. Une supérette est un centre de profit plongé dans un contexte de concurrence locale entre les enseignes, mais aussi avec les petits commerces indépendants, boucheries, poissonneries, fruits et légumes, boulangeries… auxquels il faut ajouter les commerçants des marchés, les coopératives bios, les AMAP et tous les nouveaux systèmes alternatifs qui se développent avec les changements d’habitudes alimentaires.

Autant jouer cette concurrence et faire savoir que tout supermarché qui s’alignerait sur la politique d’apartheid sanitaire subirait immédiatement un boycott de son enseigne et de sa marque distributeur. Mis bout à bout, un sérieux manque à gagner. Et pour un directeur de magasin, c’est autant de pourcentage sur le chiffre d’affaires en moins sur son salaire. Avec en supplément l’indignité d’avoir contribué à une politique inhumaine et non éthique. Ou comment de proche en proche inverser le marquage infamant promis aux non-vaccinés.

 Sans ce genre d’initiatives, c’est toute une partie de la population, dont certains de nos parents, nos amis, nos conjoints, nos enfants, nos collègues de travail, qui sera empêchée de se nourrir normalement, de se soigner, de se déplacer, d’avoir une vie sociale, culturelle ou sportive. Ils deviendront des parias, culpabilisés, stigmatisés, à qui on aura ôté tous les droits.

La question des valeurs

Cette crise qui nous bouleverse interroge en profondeur nos valeurs. Qu’est-ce qui compte le plus pour nous ? Notre petit confort matérialiste et intellectuel, notre sécurité, notre bonheur égoïste, notre adhésion conformiste aux discours, aux modèles et aux normes en vigueur ? Tous étayés par notre obéissance au pouvoir qui les instaure.

Ou bien l’essentiel réside-t-il dans notre fidélité à cette conscience commune qui fonde notre identité et notre libre-arbitre ? A cette appartenance à une même espèce intelligente qui oriente ce libre arbitre vers une perspective fondée sur l’expérience collective, la quête de sens concerté, la recherche du bien commun, et qui borne nos aspirations existentielles dans des limites justes et constructives, évolutives plutôt que normatives, éthiques plutôt que dogmatiques.

Dans ce cas refuser d’aller chez Carrefour par facilité alors que mon voisin n’a plus le droit d’y mettre les pieds est une option qui a du sens.

Cela requiert une attention constante pour refuser les habitudes et la facilité. Boycotter les enseignes de restauration rapide comme Burger King qui profite de la crise en vendant de la malbouffe, et collaborent avec les nouveaux modes de surveillance imposés : pass sanitaire, traçage sous forme de registres où inscrire nom, prénom, adresse, téléphone pour pouvoir consommer. Boycotter de même les multinationales de livraison à domicile comme UberEats, grand gagnant des confinements à répétition qui oblige ses livreurs sous-payés à mettre leur vie en danger avec des cadences et une pression infernale. Boycotter la grande distribution qui collabore avec le pouvoir. Et surtout les leaders de la vente en ligne comme Amazon dont l’ex PDG Jeff Bezos s’est hissé grâce au Covid au 1er rang du classement mondial Forbes des milliardaires en 2020, avec une fortune qui a bondi de 113 à 198 milliards de dollars.

Pareil pour les loisirs : boycotter Netflix et préférer aller voir une pièce de théâtre jouée par une troupe ou dans une salle de concert menacée de fermer, ou un film dans cinéma de quartier. Si leur porte reste fermée aux pestiférés, organiser des spectacles privés avec des amis à domicile. Ou une fête clandestine dans un lieu discret pour conjurer l’esprit de mort.

Changer aussi son rapport à l’argent. Sortir de la logique imposée. Comme pour la standardisation des modes de consommation et déchanges, refuser la dématérialisation absolue de la monnaie. Laquelle conduira immanquablement demain à nous aliéner et nous contrôler totalement mais le biais de la monnaie unique numérique encryptée dans des nanoparticules injectées avec les vaccins.

Refuser le paiement par carte pour les petites sommes, chez les commerçants, et préférer l’argent liquide. Ou privilégier quand c’est possible des systèmes de troc, la revente d’objets d’occasion ou l’échange de services entre voisins sur internet.

Chercher à être le plus indépendant possible par rapport aux systèmes tout en développant la solidarité entre personnes. Si l’on habite une maison, produire soi-même son électricité en installant des panneaux solaires sur le toit, pour ne pas dépendre d’EDF qui s’apprête à doubler ses tarifs pour une électricité et un service de piètre qualité. Si l’on habite en appartement, se regrouper entre voisins et faire pression sur son syndic pour faire de même. Si l’on a la chance de disposer d’un jardin, cultiver son potager et partager ses légumes avec ses voisins.

Partout où des solidarités sont possibles, s’engager pour vivre plus intelligemment en suivant ces exemples et en restant à l’affut des nombreuses initiatives qui se multiplient en milieu rural comme en milieu urbain.

Ce qui pouvait encore passer il y a peu pour une simple coquetterie de bobos affectant de se révolter contre la société de consommation est devenu aujourd’hui un changement impératif. Car la dépendance passive au système nous rend dépendant de ses durcissements inéluctables. C’est aussi un puissant levier de transformation si on resitue chaque initiative locale dans une perspective globale, et si l’on se place dans la perspective du nouveau futur, avec une tout autre une vision de l’avenir et du monde que nous léguons aux générations futures.

L’important est de savoir prendre conscience de nos choix individuels et collectifs. De distinguer ce qui sert la logique du système et nous conduit vers l’abîme, ce qui renforce cette logique d’appropriation et de concentration des richesses, de contrôle de tous les pouvoirs par une élite, et de tous les individus par l’argent. Et de privilégier ce qui donne du sens à nos choix en les orientant vers d’autres objectifs plus élevés : le partage, la possibilité pour chacun de recevoir selon ses besoins en réalisant ses aspirations les plus profondes, de manifester Qui il est vraiment, en servant le bien commun, de participer à l’émergence d’une société plus juste, plus fraternelle, où l’argent n’est plus un but et la valeur principale, où la dimension spirituelle et cordiale prime sur l’accumulation de richesses, de biens, de pouvoirs et l’appropriation de savoirs. Un monde où ce n’est plus la compétition de tous contre tous qui sert de moteur à l’économie, avec son lot de violences, de guerres, de souffrances et d’injustices comme salaire, mais où chacun est valorisé en fonction de sa contribution au Bien commun, où toutes les énergies tendent vers l’édification d’une civilisation fondée sur l’amour et tournée vers les plus hautes réalisations humaines. Un monde uni et pacifié, solidaire, respectueux de chacun, de chaque forme de vie, qui développe des relations harmonieuses, fructueuses et synergiques avec l’environnement, avec les autres espèces et toutes les formes de vie avec lesquelles nous interagissons dans l’Univers

Ecouter les symboles

Comparé à cet avenir radieux, le vaccin et le pass sanitaire représentent l’une des étapes pour asservir l’homme et faire régresser au niveau de sous-espèces, d’esclave, de bétail, de marchandises en pièces détachées ou de déchets à éliminer.

Vaccins et pass sanitaires ne sont pas uniquement des moyens pour nous contrôler en prétendant nous protéger, ce sont des symboles qui témoignent de notre entrée libre ou résigné dans un nouveau paradigme : celui d’un monde totalitaire gouverné par l’argent, où la masse des inutiles, des cloportes déambulant sans jamais voir la lumières, est soumise aux élus, aux dieux[ii], l’élite selon les mots de Laurent Alexandre, qui dispose du savoir et contrôlent le reste de la population.

Le vaccin est un symbole de marquage, physique et juridique. Une façon de séparer ceux qui sont reconnus conformes à la nouvelle norme et admis auprès des élus, ou autorisés à vivre « normalement » (mais selon « quelle » norme ?…), et ceux qui s’y refusent et doivent être éliminés. 

Cette dystopie totalitaire n’évoque pas seulement 1984, Le meilleur des mondes ou Matrix. Son origine plonge profondément dans la mémoire collective. Dans la symbolique apocalyptique elle renvoie à la Marque de la Bête évoquée dans les livres de l’Apocalypse et de Daniel. Un symbole du pouvoir politique. Sans ce signe apposé sur le front, nul ne peut vendre ni acheter. Il faut davantage y voir un archétype qu’une prophétie. Tout pouvoir totalitaire tend en effet à apposer sa marque sur des individus transformés en possessions ou en sous-hommes : marquage au fer rouge pour les esclaves ou les prostituées, étoile jaune pour les Juifs…

Et aujourd’hui marquage numérique grâce aux vaccins, qui permettra bientôt de tracer chaque individu, de contrôler les en-cours et les échanges monétaires paour chacun grâce à la monnaie numérique, mais aussi de contrôler à distance certains paramètres de santé grâce à des nanorobots présents dans l’organisme qui surveilleront la pression sanguine, le taux d’insuline, la présence de tel germe ou de tel médiateur chimique. Et même d’influencer nos comportements en modulant nos perceptions et nos émotions grâce à une puce implantée dans le cerveau servant d’interface numérique entre celui-ci et l’I.A.

Cette dystopie technosanitaire n’est pas de la science-fiction. C’est une technologie Microsoft (pour les nanoparticules) et Neuralink (la firme d’Elon Musk), financée par Bill Gates et vantée par Klaus Schwab[iii], Président du Forum Economique Mondial, apôtre du transhumanisme, ardent promoteur du Great Reset, et accessoirement fils d’un ancien officier nazi).

Ne soyons pas incrédules et n’attendons pas d’être réinitialisés, après avoir été vaccinés, tracés et pucés. Redressons-nous pour faire face au futur qui nous attend.

Car par-delà ce cauchemar et cette armée de clones dont le bruit de bottes chromées résonne déjà à l’horizon, une nouvelle humanité émerge, qui n’est ni un artefact ni une parodie. Eveillée, unifiée, pacifiée, consciente d’elle-même et de ses capacités, elle avance vers un tout autre avenir qu’elle s’est choisi.

Comme le souligne le physicien Philippe Guillemant, nous voici confrontés au Grand virage de l’humanité. Et chacun de nos choix individuels nous entraîne et nous conforte sur la voie de ce futur radieux. Ou freine son avènement.

Il ne s’agit pas de vouloir réenchanter le monde de l’extérieur, mais de demeurer le plus possible nous-mêmes dans l’enchantement empressé du nouveau futur qui émerge et existe déjà, même s’il est souvent dissimulé par l’épaisse couche de l’ancien futur et de nos mémoires ternies par les souffrances et les frustrations que nos erreurs de ciblage passées ont engendrées.

Et plus nous nous engageons en étant animés par les mêmes valeurs et en partageant réellement ce sentiment de joie et de fécondité à œuvrer pour le meilleur avenir commun possible, plus nous vérifions dans notre vies que ce futur qui advient n’est pas celui qu’on redoute.

Le mot crise vient du vocabulaire médical[iv]. Crise sanitaire est donc en quelque sorte un terme redondant. Une crise désigne ce moment décisif d’une maladie où le malade ira vers le mieux ou le pire. Nous y sommes ! Le malade ça n’est pas le patient infecté par le Covid, c’est nous tous, l’humanité, et surtout sa conscience en exil d’elle-même.

L’étymologie du mot crise (du grec krisis) donne un tout autre angle de vie. La racine indo-européenne krein signifie discriminer, séparer et, par dérivation : décider après avoir fait passer les choses au crible. Du mot crible dérive les mots décrets, discret, secret, et aussi excrément et crime, puis incriminer, récriminer.

Aujourd’hui tout pousse à nous séparer les uns des autres. Moins qu’une volonté machiavélique de diviser, il faut y voir un moment critique où les esprits tendent à se définir en opposition les uns aux autres : moutons contre complotistes, provax contre antivax… Avec son lot d’incriminations, de récriminations, de décrets, de manipulations secrètes et de corruptions discrètes. Toute cette agitation livre son lot d’excréments de la conscience recyclés dans le brouhaha incessant des médias et des réseaux sociaux. Rien d’étonnant donc à ce que les Européens se soient rués dès le début de la crise sur le PQ, tandis que les Américains se ruaient sur les armes. Cette crise a libéré comme beaucoup d’autres les pulsions anales et phalliques en condamnant au silence de la raison et des émotions les individus muselés par le masque.

Une crise c’est l’irruption de l’avenir dans le présent qui se cristallise sur le passé. Le futur le plus probable n’est pas encore advenu, face au vide de repères la conscience se crispe. Mais la crise rouvre la béance du temps qui n’existe pas sans laquelle aucune création n’est possible.

Chaque crise est l’heure d’un choix, d’une prise de conscience collective et d’un dépassement.

C’est précisément cela que nous sommes en train de vivre, écartelés ou plutôt comprimés entre un ancien futur qui résiste à l’aspiration que le nouveau produit sur nos consciences sans qu’elles parviennent à s’y éveiller. Comme ce moment précis de la naissance où le nouveau ressent les contractions de l’utérus comme une imminence de mort à mesure jusqu’à ce que le col de l’utérus s’ouvre pour lui permettre de passer. Les contractions du nouveau futur baigné de vie qui nous presse pour s’imposer rencontrent la force opposée de l’ancien futur qui résiste en fermant l’issue et nous retenir. Exactement comme quand on s’apprête à prendre une décision importante et que tout semble se bousculer, qu’on cafouille et qu’on risque de rater une occasion unique de vivre un changement de cap dans notre vie.

Le fonctionnement ancien n’accepte pas de ne plus pouvoir tout contrôler. Alors il s’énerve, panique, devient dur et tyrannique. On n’en viendra pas à bout sans lâcher prise. Ayons confiance : le nouveau futur est déjà là. Sachons en décrypter les signes, comme les prémices du printemps et les premières pousses qui percent sous le tapis neigeux.

Les jeunes ont retrouvé d’instincts la voie chamanique pour renouer avec l’invisible : danser sous les étoiles dans des raves parties illégales mais salvatrices. Réflexe issu de la sagesse ancestrale et non caprice adolescent. Ayant à cœur de les imiter en retrouvant cet esprit d’insouciance et d’insolence envers les choses graves et mortifère. Accordons-nous sur les bonnes vibrations et mettons-nous à écouter du chant du firmament et à danser avec les étoiles, dont la seule « science » est de toujours danser dans l’éther infini.

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[i] Philippe Guillemant : Le grand virage de l’humanité. Guy Trédaniel éditeur, 2021

[ii] Laurent Alexandre, créateur de Doctissimo, Président d’une société de génie génétique et défenseur du transhumanisme : propos tenus le 12 février 2019 lors d’une conférence sur le transhumanisme à l’Ecole Polytechnique : https://www.youtube.com/watch?v=FuahyzgAiWE

[iii] https://www.wikistrike.com/2021/01/klaus-schwab-fondateur-du-forum-de-davos-et-promoteur-de-la-grande-reinitialisation-nous-explique-le-projet-d-implantation-de-puces
https://www.youtube.com/watch?app=desktop&v=InJu_Sk1SGQ&feature=share

[iv] Cf. Denys Acker : Vendange tardives – Double abécédaire. Salvator, 2010, p. 30 et 32 : Crise



La Solution vaccinale

Là où le mouton fait défaut
La chèvre est appelée Majesté.

(proverbe turc)

Y aurait-t-il un parallèle effroyable entre la Conférence de Bilderberg et celle de Wannsee ?

Balayons tout de suite les drapeaux « Complotiste ! » qui s’élèvent à cette simple évocation. Et tâchons de décrypter la logique des faits. Retour sur une année et demie de crise du Covid.

D’abord on a terrorisé la planète avec un virus bidon bidouillé en laboratoire.

Ensuite on a agité le spectre d’une pandémie effroyable qui allait décimer une bonne part de l’humanité.

Tout de suite après nous avoir saisis, on nous a assuré que seul un vaccin pourrait un jour nous sauver.

De messages alarmistes en mesures fantaisistes, on nous a interdit de nous approcher les uns des autres sous peine d’être arrêtés, et on a abrégé les souffrances de nos vieux dans leurs EHPAD.

Comme si cela ne suffisait pas, on a interdit aux médecins de prescrire les seuls traitements qui eussent pu nous guérir, sous peine d’être radiés du Conseil de l’Ordre.

Peu après, on s’est acharné à fabriquer de faux « décès » et de faux « cas » pour entretenir la psychose et justifier d’autres mesures insensées. En achetant les médecins et en manipulant les statistiques.

Pour ajouter l’exaspération à la terreur on a supprimé toutes nos libertés, on nous a enfermés durant des mois. Ce qui n’a eu pour seul effet que de faire flamber les contaminations.

On s’est bien efforcé de faire s’effondrer l’économie, de façon à ruiner petits commerces, patrons de restaurants ou de discothèques. Histoire d’assurer un ronflant transfert de richesses vers les grandes multinationales dont la cote a explosé au Dow Jones.

Une fois que nous étions tous bien déprimés, suicidés ou ruinés, on nous a assuré que nous pourrions revenir à une vie normale à condition de nous faire vacciner.

On a soigneusement omis de préciser que ces injections n’étaient en aucun cas des « vaccins ». Qu’elles n’avaient aucune efficacité prouvée, et que de toutes façons il allait falloir rester confinés.  

Cerise sur le gâteau leurs redoutables effets secondaires allaient décimer une partie de la population beaucoup plus rapidement et efficacement que le virus lui-même. Grâce aux adjuvants toxiques inclus dans ces vaccins, et aux variants fabriqué à l’aveugle par notre système immunitaire violé par l’ARN messager. Rendant d’ici l’automne prochain l’épidémie totalement hors de tout contrôle, comme le pronostiquent les épidémiologistes.

Surfant sur la panique liée aux 2e, 3e, 4e vagues, on a accéléré le processus vaccinal à échelle industrielle. Mobilisant jusqu’aux vétérinaires pour administrer la mort en série dans des « vaccinodromes » qui n’ont plus rien à envier aux chambres à gaz.

Des experts de premier plan, des lanceurs d’alertes, des spécialistes en épidémiologie, en génétique, en pharmacie, en économie, en droit ont tenté de nous alerter. De même que les journalistes ou de simples citoyens qui ont relayé leurs publications. Ils ont tous été traqués sans relâche, dénoncés, censurés, intimidés, culpabilisés, pénalisés, jetés en pâture à l’opinion comme de dangereux « complotistes ». Parfois même arrêtés et internés de façon arbitraire, sans aucun procès, comme dans n’importe quelle dictature totalitaire.

Les enfants placés dans les écoles de la République – les seules désormais habilitées à délivrer un enseignement – ont subi dès l’âge de six ans un matraquage idéologique systématique, à un rythme sans nom. Ils ont été empêchés de respirer, de jouer, de se parler, de se toucher, isolés, masqués, testés sans l’accord de leurs parent, torturés physiquement et psychiquement, sommés de dénoncer leurs parents déclarés « sectaires » quand ceux-ci osaient critiquer à la maison la politique actuelle, et parfois retirés de leur famille.

A ceux qu’on a conduits par cohortes entière vers le Saint-Graal, cette piqûre annoncée comme le messie, on n’a surtout pas expliqué que ces faux vaccins allaient permettre de les tracer. Qu’un certificat vaccinal numérique sous forme de nanoparticules encryptables déjà testées était inclus comme cadeau-surprise dans le cocktail qu’on leur a injecté.

Pour les y préparer on leur a fait accepter que désormais ils devraient se munir d’un passeport santé adopté par l’Union Européenne. Une sorte de sésame qui les autoriserait désormais à voyager, à se déplacer, ou à se rendre dans des lieux publics dont l’accès serait réservé à ceux qui pourraient ainsi prouver qu’ils sont bien vaccinés.

On a moins insisté sur le fait que ce nouveau passeport serait bientôt relié à d’autres fichiers, étendu à d’autres fonctions. Comme c’est déjà le cas aux Etats-Unis : état civil, carnet de santé, casier judiciaire, données bancaires et financières, et autres big data pourtant confidentielles livrées à la discrétion de Big Business et de Big Pharma. Un outil de contrôle absolu des populations à l’échelle mondiale, comme il n’en avait jamais été conçu dans aucune dictature auparavant.

Alors que des couples, des familles, des communautés, des nations se déchiraient pour savoir qui avait raison ou tort et ce qu’il fallait faire de ce climat d’extrême confusion, la population a très vite été divisée en deux catégories de citoyens opposés : les bons et les méchants. Les bons ce sont tous ceux qui obéissent sans broncher aux consignes sanitaires et ne posent jamais de questions : masque, distanciation, gestes barrière, confinement, couvre-feu, tests, vaccinations… Les méchants ce sont ceux qui s’émeuvent des libertés saccagées, des effets néfastes de ces mesures absurdes, de leur caractère inutile ou dangereux. Ceux qui refusent d’être transformés en troupeau de moutons sagement conduits à l’abattoir. Ou pire : qui refusent de se soumettre, osent le dire et descendre dans la rue pour défendre les libertés.

Bref, le monde était divisé en deux camps : ceux qui cèdent à la peur et se laissent gentiment humilier, infantiliser, déresponsabiliser, ôter toute dignité, toute liberté, toute humanité. Et ceux qui résistent, refusent de rentrer dans le rang, et luttent à la mesure de leurs moyens contre une dictature infernale qui s’abat chaque jour de plus en plus sur la planète entière.

Aux premiers on remettait des bons points et on promettait le Salut, la Lumière, la « sortie du tunnel » comme le répètent à l’envi les ministres, hélas toujours repoussée à plus tard. Pour finir on les accoutumait par paliers à se laisser glisser vers un asservissement total, à se laisser réduire à l’état de bétail, de marchandise ou de simples esclaves d’un système déshumanisé.

Les autres seraient tout bonnement condamnés à disparaître, d’une façon ou d’une autre. Mis au ban de la société, interdits de tout, ils finiraient par craquer et rentrer dans le rang. Les plus irréductibles parmi les réfractaires aux vaccins seraient emmenés de force dans de véritables camps de concentration baptisés « centres de confinement ». Là ils seraient vaccinés et pucés de force, puis rééduqués. Au pire on n’entendrait plus parler d’eux.

Ne nous leurrons pas, ces camps existent déjà bel et bien ! Beaucoup ont été ouverts en 2020. Aux Etats-Unis, au Québec, en Allemagne, en Australie, en Nouvelle Zélande… Le Danemark pourrait bientôt contourner une loi les autorisant qui avait été retirée après neuf jours de blocus du Parlement par le peuple. Et bien sûr c’est en Chine qu’on compte les plus gigantesques de ces camps. Un pays qui fait figure de modèle à suivre. Ce n’est pas nouveau : David Rockefeller en visite dans la République Populaire du Président Mao au beau milieu des années 1960 s’était enthousiasmé à son retour aux Etats-Unis pour ce régime qui savait si bien s’y prendre pour contrôler ses populations ! La Chine des années 2020 et son système de crédit social qui empêche toute vie possible hors du cadre prévu par le régime est sans équivoque l’exemple à imiter pour toutes les nations occidentales.

Si l’on ajoute à ce tableau sinistre les déclarations appuyées de tel ou tel oligarque comme Bill Gates, Jacques Attali, George Soros ou Klaus Schwab vantant les vertus de l’eugénisme et de la réduction programmée des populations, on comprend qu’on n’a pas du tout affaire à un délire complotiste mais à un authentique programme d’extermination massive à l’échelle mondiale.

Une folie qui n’est pas nouvelle puisque certains théoriciens du libéralisme et oligarques partisans du mondialisme en vantaient déjà les vertus dès le 18e ou 19e siècle.

Aujourd’hui cette oligarchie qui dirige le monde et contrôle absolument tous les pouvoirs dispose de tous les moyens nécessaires pour mener à terme cette stratégie macabre : moyens financiers, économiques, scientifiques, politiques, policiers, industriels, logistiques, administratifs, médiatiques, numériques.

Annette Wievorcka, historienne et scientifique, a écrit : « Auschwitz est le symbole de ce qui peut se passer quand les droits de l’homme ne sont pas respectés. »

Et Imre Ketesk, écrivain et ancien déporté, d’ajouter : « Auschwitz n’a pas été un accident de l’Histoire, et beaucoup de signes montrent que sa répétition est possible […] Auschwitz ne constitue pas un cas d’exception, tel un corps étranger qui se trouverait à l’extérieur de l’Histoire normale du monde occidental, mais bien l’illustration de l’ultime vérité sur la dégradation de l’Homme dans la vie moderne. »

Aujourd’hui non seulement les droits de l’homme ont tous été confisqués, mais pire, ils sont toujours revendiqués chaque jour par cette idéologie progressiste détaillée à toutes les sauces, comble du mensonge et credo des mondialistes. Une idéologie qui prétend œuvrer pour la paix, le bonheur de l’humanité et le sauvetage de la planète. Mais qui avance depuis quarante ans et plus des politiques dont les conséquences sur l’humanité sont l’exact opposé des buts annoncés. Le mensonge absolu.

Quant à une éventuelle Shoah de l’humanité à laquelle il semble difficile de nier que nous assistions aujourd’hui, elle n’est que l’aboutissement final de la logique matérialiste et scientiste qui s’est incarnée du point de vue politique dans ce que le capitalisme et le communiste ont produit de pire. Comme l’avait prophétisé George Orwell dans sa dystopie 1984.

Une logique qui a trouvé son aboutissement et sa justification avec cette idéologie progressiste inventée à partir du 18e siècle par une oligarchie bancaire et financière anglo-américaine. Une oligarchie claire sur sa stratégie et ses buts – conquérir le monde – et qui a réalisé en à peine deux siècles une véritable OPA sur les économies mondiales comme sur tous les pouvoirs politiques. En détruisant patiemment les états-nations, condamnés à être engloutis dans un Nouvel Ordre Mondial totalitaire, technosécuritaire, inégalitaire, ploutocratique et transhumaniste, tout entier contrôlé par une poignée d’oligarques. Un Ordre qui s’apprête à étendre son empire sur chaque individu, et qui entend contrôler grâce aux nouvelles technologies chaque aspect de la vie privée. Jusqu’à nos corps, nos pensées, nos interactions, nos actes et nos mouvements bientôt entièrement pilotés par la Matrice.

Ce n’est pas de la science-fiction. Il suffit pour s’en convaincre d’écouter Klaus Schwab, Président du Forum Economique Mondial et transhumaniste militant, vanter dans une vidéo publiée sur YouTube les mérites de la nouvelle interface numérique développée sous forme de puce implantable dans le cerveau par la firme d’Elon Musk, ainsi que des smart dusts, ces « poussières intelligentes » mises au point sous l’égide de la fondation de Bill Gates et incluses dans les vaccins, qui permettront d’ici à peine dix ans de relier chaque individu à l’Intelligence Artificielle et de contrôler à distance ses émotions, ses réflexes, ses pensées… Le Meilleur des mondes en version XXL.

Le plus cynique et abject, c’est que tout ce cauchemar en cours de réalisation est justifié au nom de valeurs humanistes vidées de leur sens et retournées en arme de destruction massive contre les esprits. Comme les droits de l’homme, la paix, le progrès, la sécurité, le développement durable ou la prévention des risques politiques, économiques, sanitaires.

Cette 3e Guerre mondiale déclarée à l’humanité, cette Shoah planétaire a commencé en 2020. Elle se poursuivra dans les prochaines années si nous ne faisons rien. En commençant par l’élimination médiatique, sociale et politique des brebis galeuses : ces non-vaccinés réfractaires au rouleau compresseur, qui rapidement détruira le reste de l’humanité ou la réduira à un cheptel de robots humains amendables, modifiables et commercialisables en pièces détachées. Puis par leur élimination bactériologique et physique programmée.

Le parallèle entre ce qui nous est présenté aujourd’hui comme une simple « vaccination » et la Solution finale peut évidemment scandaliser. Sauf que cet événement sans doute resté dans la mémoire collective comme le plus dramatique de l’Histoire récente de l’humanité, l’archétype de tous les génocides de masse et de toutes les exterminations au nom d’une idéologie, est en passe d’être largement dépassé.

L’extermination planifiée des Juifs d’Europe par le régime nazi durant la Seconde guerre mondiale n’a en effet concerné « que » 6 millions d’êtres humains sauvagement assassinés dans des conditions d’une barbarie sans nom. Avec application, méthode, persévérance, la complicité des forces vives de toute une nation et la collaboration des pays conquis.

Cette nouvelle extermination de masse que la conscience peine à concevoir ne concerne pas seulement aujourd’hui 6 millions d’êtres humain, mais mille fois plus ! Jusqu’à 6 milliards 300 millions d’hommes, de femmes, d’enfants et de vieillards sur 7,8 milliards de Terriens pourraient être ainsi condamnés à mourir pour satisfaire les délires de milliardaires psychopathes authentiquement diaboliques.

C’est tellement inconcevable que peu arrivent à admettre cette éventualité comme un danger réel et très actuel.

Et pourtant, si l’on se fit à certains objectifs affichés, on pourrait en arriver à des telles extrémités. A titre d’exemple, les Georgia Guidestones souvent cités sont un mystérieux monument de granit érigé le 22 mars 1980 en pleine forêt près d’Elberton en Géorgie aux Etats-Unis. Nul ne sait quelle organisation a passé commande pour ce monument en forme de tabernacle, dont l’origine reste à ce jour officiellement inconnue. Ce qui est certain, c’est qu’il comporte des inscriptions sous la forme de « commandements » adressés à l’humanité et traduits en 8 langues. Des prescriptions destinées à orienter les hommes pour les temps futurs. Le premier de ces commandements est explicite :

« Maintenez l’humanité en dessous de 500 millions d’individus en perpétuel équilibre avec la nature. »

Beaucoup ont tenté de minimiser cet avertissement étrange comme une supercherie ou un cas isolé alimentant les théories du complot. Ou de le réduire à simple un canular imaginé par une quelconque secte de riches allumés.

Sauf qu’un tel objectif de réduction massive des populations décrit dans ce monument est loin d’être un cas isolé. A titre d’exemple le très sérieux milliardaire philanthrope Bill Gates, fondateur de Microsoft et de la fondation qui porte son nom, très actif depuis vingt ans pour financer des programmes de vaccination massive très controversés et responsables de millions de morts dans les pays du tiers-monde, avait prévenu lors d’une conférence publique en 2010 que notre système économique était incapable d’absorber l’augmentation de la population mondiale à son rythme actuel. Et qu’il fallait donc envisager des mesures pour réduire cette augmentation, sinon la population elle-même. Avançant un objectif de réduction de 15% pour les années à venir. Et précisant parmi les moyens permettant d’atteindre cet objectif qu’on pouvait facilement arriver à réduire la population de 15% « grâce aux vaccins ». Vous avez bien lu : grâce aux vaccins !

15% ça n’est certes pas 6 milliards de personnes, mais c’est déjà 1,350 milliard d’âmes (rapportées à la population du monde en 2010). Soit 225 fois plus que la Solution finale tout de même.

On comprend dès lors la raison de cette course contre la montre et de cet acharnement insensé à vouloir vacciner toute la population d’un pays, en France ou ailleurs, en mobilisant tous les moyens de l’Union Européenne, les laboratoires susceptibles de produire en urgence, les moyens médicaux, logistiques, médiatiques, une telle propagande mise en œuvre, et le pognon de dingue que tout cela coûte.

Car il faut faire vite. Avant que le pot-aux-roses ne soit exposé au grand-jour d’une façon tellement obvieuse qu’il devienne possible de le nier. Déjà le barrage se fissure et prend l’eau de partout. Chaque jour des centaines de scientifiques dans le monde alertent l’OMS et les opinions publiques sur les réels dangers de ces faux vaccins, sur les effets secondaires qui aujourd’hui tuent plus de monde que le virus lui-même, sur l’apparition de nouveaux variants de plus en plus dangereux directement dus à ces injections criminelles et à leurs effets incontrôlables sur le système immunitaire. Des médecins « complotistes » avaient alerté dès avril 2020 et expliquant ce qui allait se passer avec ces vaccins. Personne n’avait voulu les écouter. On a même été jusqu’à interner de force l’un d’entre eux, le Professeur Jean-Bernard Fourtillan, dans un H.P., en l’accusant d’être un calomniateur et un fou mystique. Comme au bon vieux temps de Staline.

Me revient comme en écho ces instructions laissées aux directeurs des usines de la mort nazies par des fonctionnaires paniqués face par l’arrivée des troupes russes ou américaines aux frontières du Reich : « Il faut plus ! Plus d’efficacité ! Plus de productivité ! Plus d’unités traitées par jour ! Plus de capsules de Zyklon B ! Plus de trains ! Plus de chambres à gaz pour éliminer les preuves ! Plus !… » On croirait entendre Macron écumer face à ses ministres impuissants et aux lenteurs de la bureaucratie… Tel Hitler réfugié dans son bunker promettant la Cour martiale à des généraux incapables.

Il y a quelque chose de surréaliste, de terrifiant et de dérisoire dans ce parallèle pourtant bien fondé. Sommes-nous vraiment à l’aube d’une telle hécatombe ? La réponse est oui. Aucun doute n’est désormais permis et aucun revers de manche ne pourra en conjurer l’obsédante réalité, en ourdissant quelque procès en hérésie complotiste destiné à évacuer cette mauvaise conscience qui nous taraude.

Et parce que le pire n’est jamais sûr mais demeure toujours une menace, il faut aujourd’hui redoubler d’efforts pour dénoncer preuves à l’appui ces horreurs et faire échouer ce plan diabolique. Car non seulement c’est possible si un nombre critique de citoyens s’engagent dans ce combat, mais c’est la seule voie possible si l’on croit encore en l’humanité. Et si l’on veut que nous restions des humains.

Selon une étude réalisée récemment par un groupe de sociologues à partir de statistiques relatives aux émeutes qui se sont déroulées dans plusieurs pays du monde au cours des décennies écoulées, il suffit que 10% de la population se soulève, en s’engageant dans une insurrection ou dans la désobéissance civile, pour faire tomber un régime.

Il ne s’agit pas seulement de faire tomber la dictature incarnée par une marionnette comme Macron, mais tout un système à l’échelle du monde. Un système qui contrôle tous les pouvoirs par le biais de la finance et de la monnaie.

Il faudra sans doute du temps, des efforts, de la persévérance, du sang et des larmes. Mais la conscience collective a déjà commencé à opérer sa mue et ne pourra plus s’arrêter. La lumière continuera de faire reculer le mensonge et la peur. Partout. Jusqu’à ce que cet empire du Côté obscur, fils maudit de la Raison et de la loi du plus fort, s’effondre de lui-même comme un château de cartes. Il suffit de dire non. De rester éveillés, ouverts, solidaires, de témoigner et de faire front.

Dont acte : « Puisse l’histoire des camps d’extermination retentir pour tous comme un sinistre signal d’alarme. » (Primo Lévi)

Le pangolin, la chauve-souris et le petit Mandarin : les désordres de la nature aux secours de l’Oncle Picsou

La théorie de la transmission « zoonose » du coronavirus (de l’animal à l’humain) est un classique de la littérature scientifique s’agissant des nouvelles épidémies. Mais qui fait rarement l’unanimité des chercheurs. Pour ce qui est du Covid, elle pourrait venir s’ajouter aux œuvres de La Fontaine sous le titre d’une nouvelle fable intitulée « Le pangolin, la chauve-souris et le petit Mandarin« . Une farce tellement échevelée, digne des pires machins complotistes, que plus aucun scientifique sérieux n’ose aujourd’hui l’évoquer, de peur de se ridiculiser.

Plus personne en effet dans le milieu scientifique comme dans les médias ne se risque depuis bientôt un an à évoquer le sujet et à spéculer sur l’origine de ce virus mystérieux, pourtant observé sous toutes les coutures et disséqué en menus morceaux depuis son apparition en Chine à l’été 2019. Un sujet devenu très vite un tabou dans tous les médias mainstream, dès l’extension « pandémique » du virus hors des frontières de la province de Wuhan fin 2019. Silence radio, mieux valait assommer le grand public de commentaires alarmistes en diffusant en boucle les images de Wuhan en état de siège. Et ce bien que le sujet soulève de nombreuses questions à propos de cette grippe dont la cause était unanimement présentée comme un nouveau virus transmis à homme par un innocent fourmiller dont la viande est couramment consommée en Chine. Une grippe présentant dans ses formes les plus graves des symptômes respiratoires sévères et aussitôt transformée en pandémie du siècle.

D’un coronavirus somme toute banal, on est ainsi passé à un « paranovirus », dont le mode de contamination n’était plus les mains mal lavées ou l’air ambiant (encore une fable…) mais les médias entrés en éruption sismique. Un scénario de psychose mondiale provoqué à dessein par quelques lobbies qui y avaient intérêt. Une reproduction en grandeur XXL et en beaucoup plus dramatique de celui qu’on nous avait déjà servi en 2009 lors de l’apparition d’un foyer de grippe H1N1 au Mexique. Un virus qui avait immédiatement enflammé les esprits et les écrans plus que les thermomètres, et ce durant près d’un an. Assurant au passage à Gilead Science (déjà…) la vente très profitable aux gouvernements affolés de la planète de milliards d’unités de vaccin et de Tamiflu, tous aussi inutiles, toxiques et inefficaces que le remdésivir que le même labo a tenté de nous refourguer en 2020 en corrompant au passage les plus grands scientifiques, les gouvernements, les agences de santé et le Lancet, pour couler son principal concurrent l’hydroxychloroquine ! 100 millions de doses de vaccin furent ainsi achetée en 2010 par le gouvernement de Nicolas Sarkozy, lesquelles finirent quasiment toutes à la poubelle, non sans avoir coûté au passage près d’un milliard d’euros au contribuable français.

Même scénario avec le Covid-19 et les petits arrangements entre Macron et ses généreux mécènes pharmaceutiques. Sauf que cette fois le jackpot a fait exploser la banque, la dette de la France, plusieurs secteurs économiques, et la tête des Français.

Mais revenons à la fable du pangolin…

Depuis 2019, les preuves se sont tellement accumulées pour étayer l’hypothèse troublante d’un virus créé artificiellement par l’homme en laboratoire par manipulations génétiques, que même les épidémiologistes et les « experts » autoproclamés les plus corrompus habitués des plateaux télé sont aujourd’hui à court d’arguments sérieux pour étayer la thèse initiale du pangolin. Un pangolin qui figurait pourtant en bonne place sur la couverture du magazine britannique (détenu par les Rothschild) The Economist, dont le très attendu hors-série annuel consacré à l’année suivant mettait en scène fin 2018 et pour l’année 2019 un étrange pangolin glissé au milieu d’autres symboles tout aussi étranges : fragment d’ADN, smartphone (5G), code-barre, etc… Et ce plus de 6 mois avant l’apparition de l’épidémie en Chine.

Le premier en France à avoir enfoncé la digue de la langue de bois à propos de l’origine du coronavirus fut bien entendu le Professeur Luc Montagnier. Célèbre immunologue, empêcheur de tourner en rond, Prix Nobel de médecine et codécouvreur du virus du sida. Lequel n’en était pas à son coup d’essai s’agissant de révélations sulfureuses. Le vieux professeur un brin narquois avait alors jeté un vent polaire en direct sur le plateau de Cnews. Interrogé par Pascal Praud sur l’origine du coronavirus, il avait en effet révélé une découverte stupéfiante de son équipe de recherche : le séquençage du génome du virus SARS-Cov-2 responsable du Covid-19 et son analyse par algorithmes informatiques avaient fourni la preuve irréfutable que ce virus ne pouvait être d’origine naturelle. En effet le génome du SARS-Cov-2, responsable du Covid-19, présente plusieurs « insertions » dont un petit fragment du génome du VIH, rétrovirus responsable du sida. De telles insertions ne peuvent avoir être réalisées qu’en laboratoire ; elles ne peuvent scientifiquement être le résultat d’une mutation ou d’une anomalie génétique d’origine naturelle liée à une quelconque transmission de l’animal à l’homme. Ce type de manipulations est d’ailleurs souvent réalisé par les chercheurs en génie génétique. Notamment dans l’espoir de mettre au point de nouveaux vaccins. Une technique employée depuis des décennies pour tenter de créer un vaccin efficace contre le VIH, en utilisant des composantes de virus courants type coronavirus, et en y insérant un fragment de l’enveloppe du VIH reconnus par les récepteurs des lymphocytes, de façon à produire une réponse immunitaire dirigée contre le VIH en cas d’infection, une fois ce vaccin injecté dans le corps humain.

Le Pr. Montagnier ne fut évidemment pas le seul à larguer une telle bombe. De nombreux scientifiques et équipes de recherche de renom avant et après lui ont également publié les résultats de leurs travaux dans des revues scientifiques mettant en avant les preuves de cette origine humaine du virus. Au point qu’elle apparaît aujourd’hui difficilement contestable. Même des médias officiels comme France l’ont d’ailleurs récemment évoqué comme une hypothèse plausible, levant un voile pudique sur les questions dérangeantes qu’elle soulève : pourquoi cette hypothèse n’a pas été évoquée avant ? Comment le virus a-t-il pu être disséminé depuis un laboratoire de recherche P4 situé à Wuhan : par accident ? Intentionnellement ? Et si oui à quelles fins ?… La France était-elle effectivement impliquée dans la gestion de ce laboratoire de Wuhan ? A quel titre ? Participait-elle aux recherches qui y étaient menées ? Se pourrait-il aussi qu’elle soit impliquée dans cet « accident ». Et pourquoi les autorités chinoises ou françaises n’en auraient-elles rien dit ?

Le spectre de Tchernobyl plane sur ce qui pourrait devenir le plus grand scandale sanitaire du 21e siècle, après le précédent quoi en a connus beaucoup.

Ces révélations, d’abord vite évacuées comme des « thèses complotistes » (le Pr. Montagnier fut accusé d’être un « complotiste gâteux » et ses travaux furent aussitôt discrédités et censurés dans les médias et sur les réseaux sociaux comme Facebook) ressemblent en tout cas à astéroïde géocroiseur qui vient périodiquement menacer la mare aux canards et autres médias alignés sur la doxa scientifique et médiatique officielle. Pour laquelle le coronavirus responsable du Covid, comme tous les autres coronavirus récents, ne peut être que le fruit d’un accident de la nature, une mutation observée lors de sa transmission zoonotique à l’homme : pangolin, chauve-souris, oie sauvage ou autre. Un scénario bien huilé et resservi de nombreuses fois à propos de plusieurs épidémies précédentes plus ou moins dangereuses ou létales, et réputées dues à une transmission zoonotique : grippe aviaire, grippe H1N1, SRAS, MERS, etc… La plupart de ces grippes à coronavirus étant supposées suivre peu ou prou le même modèle, même si cette hypothèse est remise en cause.

Une façon au passage de battre sa coulpe, puisque l’homme est accusé d’être responsable de ces déséquilibres qu’il cause au milieu animal en mettant en péril les grands équilibres écologiques et zoologiques de la planète pas une surproduction, une surconsommation, notamment de viande animale, la déforestation, la destruction des milieux naturels et le déplacement d’espèces animales qu’elles entraînent, exposant dangereusement les villes et les populations au risque de transmission de nouveaux virus véhiculés par certains animaux sauvages. Les sanglots de l’homme blanc en version Avatar

En pointant ainsi la responsabilité de l’homme à propos des mutations génétiques qui engendrent de nouveau virus et des maladies parfois mortelles qui mettent en péril sa santé, on entretient parmi les populations touchées une culpabilité bien utile pour leur imposer ensuite toutes sortes de maltraitements : matraquages médiatiques anxiogènes (l’un des outils de l’ingénierie sociale depuis un siècle), surveillance renforcée, isolement des individus suspects, distanciation sociale, port permanent de la muselière réglementaire, internement à domicile, ou dans de centres de confinement créés pour l’occasion, tests à répétition aussi inutiles qu’inefficaces (mais très rentables), servant à justifier des 2e, 3e ou nième « vagues » imaginaires qui laissent s’étouffer les épidémiologistes sérieux, elles-mêmes servant à justifier des reconfinements et couvre-feux sans fin, les fermetures arbitraires et totalement inutiles de lieux publics, restaurants, salles de sports, de spectacle et autres lieux récréatives qui eussent permis d’alléger le poids des mesures sanitaires, de la déprime générale et de la destruction des économies et des personnes jetées à la rue ou l’extrême pauvreté. Des mesures multipliées jusqu’à exaspérer les populations afin de les contraindre aller se faire tester, vacciner, revacciner, de se faire tracer par des applis de flicage numérique, de signer des attestations absurdes, de se munir d’un passeport santé, demain (ou dès aujourd’hui si l’on en croit Bill Gates) inclus dans les vaccins eux-mêmes grâce aux « smart dusts », puis d’être pucés et encore plus surveillés, de renoncer une à une à toutes leurs libertés.

Tout ça pour servir les intérêts des actionnaires de quelques labos cyniques et criminels. Et ceux des multinationales qui profitent de la redistribution économique et financière (le fameux Great Reset de Klaus Schwab) provoquée par ce choc épidémique.

Le pauvre petit pangolin a bon dos ! Comme toutes ces savantes théories scientifiques qui nous expliquent par le menu détail à propos des mécanismes de mutation génétique comment ce méchant coronavirus serait « apparu ». Face à toutes ces magouilles, ces crimes contre l’humanité et le bon sens, ce cynisme et cette obstination à nous rabaisser au rang chair à pâté pour chien de milliardaire.

L’éthique scientifique, médicale et pharmaceutique, mais aussi politique et médiatique, a du plomb dans l’aile : de nombreux acteurs scientifiques de premier plan comme Raoult, Perronne, Toussaint Toubiana, Fouché, ne cessent de le rappeler de semaines en semaines depuis un an et plus. Et derrière ces exemples flagrants de corruption manifeste se cache d’autres responsabilités : celles de scientifiques qui n’ont pas le courage ou l’intelligence de remettre en cause des théories qu’ils prennent pour acquises. En croyant toujours comme les foules ignares aux mythes de « l’objectivité », de la « rationalité » ou de la « vérité scientifique ».

Trump, Biden, politiques et oligarchie : le monde suspendu entre dictature mondialiste et changement de paradigme

En quoi l’élection américaine est-elle susceptible ou non de changer le cours des choses dans le contexte que nous connaissons aujourd’hui ?

C’est un vaste sujet, hautement manipulé durant la campagne puis la période houleuse de transition entre la victoire (théorique) du Président-élu Joe Biden à l’issue du vote des Grands électeurs le 14 décembre 2020, et son investiture le 20 janvier 2021.

Tout et n’importe quoi aura été à peu près dit par les partisans de l’un ou l’autre candidat à cette occasion, dans un contexte de grande confusion, de contestation des résultats par le camp du Président sortant, des fraudes électorales vraisemblablement massives, et un climat de quasi guerre civile avec le déploiement de l’armée à Washington DC et l’occupation violente du Capitole par les partisans les plus irréductibles de Trump.

Une élection explosive, aux enjeux complexes, écartelée entre des positions extrêmes sur fond de tensions multiples jamais vues aux Etats-Unis, et impossible à saisir à partir d’une lecture française ou européenne.

Il serait vain de vouloir opposer Trump et Biden de façon radicale, en caricaturant les positions, les profils ou les programmes, ou de chercher à les comparer en termes de nuisances maximum pour leur propre pays comme pour le monde.

Si l’on cherche à résumer de façon objective ce qui les oppose, Biden représente indubitablement le pur produit de l’establishment progressiste américain tendance démocrate. Une sorte de joujou de l’oligarchie ou de l’Etat profond, comme l’est à l’évidence Macron. Sauf qu’il a derrière lui une grande expérience de la politique, de la gestion de l’Etat et des institutions : de 2009 à 2017 comme Vice-président aux côtés de Barack Obama, et auparavant comme membre de plusieurs administrations sous différentes présidents américains.

Ce qui n’était aucunement cas ni de Macron ni de Trump.

Rappelons que le « progressisme » est une doctrine d’abord économique puis politique forgée au Royaume-Uni et aux États-Unis, et qui s’est imposée au cours du 20e siècle, en particulier dans les années 1930 avec les politiques keynésianistes du Président Roosevelt. Mais surtout avec succès selon une orientation autant politique et géostratégique que simplement économique après la Guerre froide dès la fin des années 1980, avec ce qu’on a appelé la « mondialisation ».

Mondialisation évidemment qui n’est pas qu’économique, mais aussi et même encore davantage sociale et sociétale, culturelle, politique, juridique, institutionnelle, idéologique, technologique, civilisationnelle, avec les contre-chocs et régressions qu’elle produit. Et bien sûr financière, bancaire et monétaire, puisque cet aspect constitue la clé de voûte stratégique de la conquête de tous les pouvoirs par une oligarchie anglo-américaine depuis au moins deux siècles. Le pouvoir bancaire et la monnaie, mais aussi la dette constituant un levier de pouvoir, de création de valeur et de richesse, mais aussi de contrôle et de surveillance des états, des autres pouvoirs et des individus par le système, et donc par l’élite qui le contrôle, directement ou indirectement.

Le progressisme est aussi devenu une rhétorique politique fondée a priori sur la référence aux principes des droits-de-l’homme, à la paix entre les peuples notamment au lendemain des deux guerres mondiales et de l’affrontement Est-Ouest, plus récemment au thème de l’environnement et du développement durable. Autant de thématiques invoquées pour justifier une ligne politique appliquée indifféremment par tous les dirigeants occidentaux quelle que soit leur appartenance politique officielle, de façon homogène et concertée au plan mondial. Avec des mesures ayant pour objectif final la conquête planétaire du pouvoir par l’oligarchie anglo-américaine, et la normalisation de tous les process à l’échelle du monde.

Une stratégie fondée depuis 4 siècles sur un objectif de contrôle hégémonique par le pouvoir bancaire et monétaire des grands acteurs financiers au plan mondial. Une vision résolument mondialiste et non internationale, inter-étatique ou fédéraliste de l’organisation du monde futur. Avec à la clé une gouvernance mondiale (un vieux thème mondialiste) indépendant des états-nations, des peuples et de tous les pouvoirs locaux, qui ordonnerait et subordonnerait tous les échanges, les flux financiers, la propriété, la production, les réseaux de distribution, les modes de consommation, les politiques et pouvoirs administratifs locaux, l’accès à l’information, la normalisation des savoirs, les relations internationales… Et même l’évolution démographique, la gestion des populations, des flux migratoires, la science, la technologie, la production de discours, les croyances (y compris religieuses) et les modèles dominants. Bref à terme un ordre de type totalitaire avec des moyens inégalés dans l’Histoire, et un fil conducteur : la soumission de la totalité de l’activité humaine au seul pouvoir financier.

Cet objectif de concentration des pouvoirs autour du seul pouvoir bancaire et financier remonte au moins au 16e siècle, époque de l’essor hégémonique des grandes dynasties aristocratiques, bourgeoises et financières alliées des puissantes régnantes au sein des Provinces-Unies (Amsterdam) et du Royaume d’Angleterre. Puis regroupées à Londres avec la création de la City. C’est cette oligarchie qui a inspiré et soutenu quatre siècles plus tard et selon les mêmes principes mondialistes la création des grandes institutions mondiales que nous connaissons aujourd’hui. Depuis la Société Des Nations au lendemain de la Première guerre mondiale remplacée par l’ONU en 1945, et ses nombreux satellites : UNESCO, OMS, UNICEF… Et des institutions de gouvernance économique et financière comme la BRI, le FMI, la Banque mondiale, le Forum économique mondial…

C’est également cette oligarchie qui par le biais d’organisations transnationales indépendantes regroupe des décideurs très impliqués dans les grandes décisions impactant l’avenir du monde, comme la Commission Trilatérale, le groupe Bilderberg ou le Council for Foreign Relations. Autant dci situations éclatés mais dont la coordination constitue l’embryon de la future gouvernance mondiale. Et qui se manifeste aujourd’hui au plan politique par des organes de régulation des politiques intergouvernementales afin de coordonner les actions engagées par les pays riches dans différents domaines, mieux gérer les crises, fixer des grandes orientations communes et harmoniser les politiques économiques, sociales ou environnementales, comme le G8, le G20.

On pourrait aussi citer parmi les institutions mondialistes essentielles outre le Forum Économique Mondial, les forums internationaux réunis successivement autour des grands enjeux climatiques et environnentaux depuis le Sommet de la Terres à Rio en 1992 jusqu’à la Conférence de Paris sur les changements climatiques en 2015. Tous alignés sur un même credo progressiste et œuvrant (en principe) pour la prospérité et la paix entre les peuples, l’intérêt général et le bien de l’humanité. Dans les faits derrière les bonnes intentions affichées réalité clairement au service d’intérêts privés, capitalistiques, bancaires, financiers, économiques ou industriels.

Cette doctrine progressiste a été perfectionnée et infléchie au cours des années 1980 et 1990, décennies phare pour le néolibéralisme triomphant acquis aux thèses de l’économiste Milton Friedman, par certains stratèges néolibéraux, afin d’en faire un outil de conquête du pouvoir politique adapté aux enjeux de l’époque. Dans un contexte d’effondrement du bloc communiste, de fin de la Guerre froide, mais de recul de l’hégémonie de l’empire américain, de l’émergence de puissances rivales en Asie (Chine, Inde, dragons est-asiatiques…), de montée de nouveaux périls au Moyen-Orient : dictature khomeyniste en Iran, concurrence avec la Russie sur le marché du brut, sur fond de conflit israélo-palestinien, de guerre Irak-Iran, de montée du fondamentalisme et du terrorisme islamiste (instrumentalisés voir financés par les Américains et Européens)…

Derrière ce contexte de recomposition d’un monde chaotique post-guerre froide, un objectif s’est vu imposer comme le seul recours souhaitable : la construction d’un Nouvel ordre Mondial appelé de ses vœux par le Président Bush Senior lors d’un discours célèbre à l’ONU à la veille de la première Guerre en Irak (1991).

Un concept très ancien, conçu et porté depuis des siècles par l’oligarchie financière, mais qui a refait officiellement surface à la faveur du vide laissé par la fin de l’affrontement idéologique et politique entre USA et URSS pendant presque huit décennies, depuis Lénine et la Révolution d’Octobre (1917) à la chute du Mur de Berlin en novembre 1989 jusqu’à l’écroulement du bloc de l’Est qui s’en est suivi.

Le but de ce Nouvel Ordre Mondial n’est évidemment pas d’instaurer un monde juste, pacifique, fraternel, célébrant la joie et l’harmonie dans la diversité et la symbiose avec la nature. Son véritable objectif est au contraire le contrôle total puis la disparition des états-nations, remplacés par un découpage du monde en « régions » administratives (cf. les objectifs du Forum Economique Mondial), la subordination absolue au seul pouvoir financier et à une monnaie unique de tous les pouvoirs : politique, juridique, administratif, économique, industriel, scientifique, médical, technologique, numérique, policier, militaire, médiatique, surveillance, renseignement…

La transition en cours vers ce N.O.M. se fait par l’infiltration et le contrôle de tous les partis politiques dans les pays prétendument démocratiques. Notamment grâce à la corruption, au financement occulte, à la cooptation des dirigeants, au pilotage de la démocratie grâce à l’ingénierie sociale, véritable science politique développée aux Etats-Unis dès le début des années 1910, et donc la fabrique de l’opinion, la manipulation des élections par les médias (tous contrôlés par une poignée de milliardaires qui en fixent la ligne éditoriale en favorisent tel ou tel candidat en fonction de leurs intérêts), le transfert des souverainetés nationales vers des institutions régionales ou mondiales (Union Européenne notamment), l’application de politiques de libre-échange et de dérégulation à tous les échelons, avec des institutions qui se substituent aux états et encadrent leur domaine réservé, des juridictions internationales qui limitent le pouvoir législatif et judiciaire des états (Cour Européenne, Cour Internationale…) Et ce jusqu’à l’avènement d’un Nouvel Ordre mondial et d’une gouvernance mondiale présentés comme inéluctables. Et dont le basculement est précipité par des « crises » fabriquées (et annoncées), comme des pandémies comme celle que nous connaissons depuis fin 2019.

Ceci afin de justifier un contrôle progressif total des populations, grâce à des mesures liberticides, la mise en place de moyens de fichage, de traçage et de surveillance numériques, de dissuader ou réprimer les mouvements de révolte et troubles sociaux hostiles aux réformes ultralibérales et aux mesures sécuritaires, et de s’assurer d’une transition douce vers le Meilleur des mondes progressiste. Mais aussi en précipitant et en accélérant les chocs économiques, en provoquant l’effondrement total de certains secteurs condamnés à disparaitre ou à être rachetés par des grandes multinationales, comme les petits commerces et restaurants actuellement détruits par les mesures de confinement à répétition, conformément aux objectifs du Great Reset détaillés par le Président du Forum Economique Mondial Klaus Schwab en 2020.

Mais aussi et surtout en détruisant un système financier obsolète et à bout de souffle depuis la crise financière de 2008, pour le remplacer par un autre système plus concentré, mieux contrôlé, plus efficace et plus profitable. Et finalement en détruisant une à une toutes les monnaies nationales ou internationales comme l’euro, destinées à céder la place in fine à une cryptomonnaie unique mondiale.

Un système qui instaurera prochainement une notion inédite dans l’Histoire de l’humanité : celle de la monnaie numérique comme seule unité de compte pour les règlements et transactions financières. En effet la monnaie avait été inventée comme unité de compte pour fluidifier les échanges et évaluer la valeur des biens et services. Avec une contrepartie : sa propre valeur évaluée dans le cas des monnaies métalliques par le cours des métaux précieux (or, argent), ou une valeur fiduciaire fondée sur une garantie de l’autorité habilitée à frapper monnaie (roi, banque nationale, banque centrale…) sous forme de fonds détenus en or, en valeurs foncières et placements divers…

La monnaie n’était donc jusqu’à présent pas une valeur en elle-même, mais un étalon de la valeur. Avec la monnaie numérique unique, non seulement la monnaie devient une valeur à part entière qui ne repose sur absolument rien sinon un simple jeu d’écritures numérique comptables et numériqued, et la création artificielle et arbitraire de masse monétaire ex nihilo par les banques centrales chaque fois qu’elles octroient des « prêts » aux banques nationales ou aux états. Elle devient la seule et unique valeur dont dépendent absolument toutes les autres. En terme symbolique c’est le règne de Mammon, du nom de cette divinité païenne des richesses et de l’argent citées dans la Bible, symbole de l’idolâtrie suprême. Un véritable culte mondial imposé de facto de l’Argent-roi, des valeurs matérialistes, utilitaristes et consuméristes qui en découlent, auquel tout est désormais soumis, y compris la valeur de la vie et celle de l’être humain dans son substrat biologique ou résumé à sa seule force de travail et de production de plus-value.

En effet ce basculement s’accompagne d’un projet de marchandisation absolue de tous les biens, services, du vivant dans son ensemble, de tout ce qui est produit, fabriqué, échangé ou vivant sur terre, y compris les individus.

Ainsi, avec les nouvelles lois bioéthiques actuellement votées en différents endroits du monde, il deviendra bientôt possible de concevoir, fabriquer, acheter, détruire un embryon humain, de louer un utérus, de fabriquer du matériel génétique ou cellulaire humain, des organes conçus in vitro, de les hybrider avec d’autres espèces vivantes notamment animales en créant des chimères, et ce uniquement à des fins de recherche, de manipulation ou de commercialisation d’outils biologiques. Comme un bébé éprouvette conçu sur mesure où sur catalogue selon des critères précis par manipulations génétiques, PMA ou GPA. Ou comme l’a possibilité d’acheter un bras, un œil, un cœur, un rein ou d’autres organes de rechange à un petit Indien ou un Sénégalais à l’autre bout du globe, pour remplacer un organe abîmé ou déficient, comme on répare sa voiture en l’équipant d’un nouveau moteur, de nouvelles plaquettes de frein, pour changer la couleur de la carrosserie ou remplacer un enjoliveur défectueux.

Plus effrayant encore, tous nos en-cours bancaires, toutes nos économies personnelles seront bientôt encryptées sous la forme d’un « carnet numérique » individuel injecté sous la peau sous forme de nanoparticules pouvant contenir toutes sortes de données numérisées : état civil, carnet de santé, carnet vaccinal, droits en matière de santé, de protection, données bancaires, comportement social, achats, niveau de conformité aux règles et normes sécuritaires, sociales, sanitaires… Un peu à la manière du « carnet social » chinois.

Le contrôle des populations sera alors total et aussi arbitraire qu’absolu. Puisqu’on pourra non seulement se voir interdire de sortir de chez soi, de prendre les transports, d’aller travailler, de faire ses courses ou de voyager, mais aussi d’interagir avec une autre personne, de disposer de son argent, dont l’usage sera subordonné à nos comportements, contrôlé de façon centralisé, et dont les en-cours pourront être à tout moment bloqués ou supprimés.

La monnaie ne sera donc plus un moyen de paiement sur la base contractuelle librement négociée entre des acteurs économiques, mais un outil de contrôle pyramidal assimilable à une forme d’esclavage totalitaire. La propriété privée sera abolie et l’initiative privée totalement subordonnée à une logique de contrôle normatif, dictatorial et arbitraire.

Avant d’en arriver là (très prochainement si l’on en croit l’agenda des mondialistes), l’une des conséquences des objectifs de conquête du pouvoir par l’élite progressiste depuis quelques décennies a consisté en une volonté de diluer les clivages politiques droite-gauche dans les pays occidentaux dits démocratiques. Une stratégie des élites financières répondant à une spécificité au niveau de la doctrine du progressisme, qui est né d’une agrégation de modèles politiques et économiques a priori opposés et artificiellement réconciliés : capitalisme libéral et socialisme étatique, voire communiste. Une union a priori contre-nature pourtant prophétisée dans le roman d’anticipation de George d’Orwell 1984 et résumée sous le terme d’Angsoc, contraction en novlangue de socialisme anglais, une sorte d’hybridation entre le bolchevisme, le labourisme et les dictatures fascistes et nationalistes européennes des années 1930-1940.

Une réconciliation utilitaire de bon aloi qui se traduit dans les discours par la promotion de thématiques et de causes humanistes de pure façade, servant en réalité à assurer la reproduction des élites, le piratage des contre-pouvoirs et les intérêts de la classe dirigeante dans les pays capitalistes, en faisant mine de défendre des politiques allant dans le sens des idéaux humanistes, universalistes, des droits-de-l’homme du Progrès social.

Cette rhétorique érigée en Pensée unique et politiquement correcte sert également d’outil normatif au niveau des discours idéologiques dominants, de normalisation de l’offre politique et idéologique, relayée par des médias de propagande et des pseudos intellectuels de cour au service du pouvoir, de conquête et de reconduction de ce pouvoir aux mains des mêmes élites rompues aux mêmes discours idéologiques, formés dans les mêmes écoles, relayées par les mêmes pouvoirs technocratiques et applaudis indifféremment par les mêmes « électeurs » abusés dans une parodie de démocratie réduite à un spectacle.

Ce glissement s’est traduit notamment par le dévoiement des modèles portés par la gauche progressiste social-démocrate en Europe, incarnée par des dirigeants et des partis prétendument centristes, au bénéfice d’intérêts financiers européistes et d’une mondialisation économique à marche forcée. Avec une construction européenne portée par des radicaux, centristes, sociaux-démocrates ou chrétiens-démocrates, comme Adenauer, Claude Monnet, Chaban-Delmas, Pompidou, Giscard, Schröder, Chirac, Blair, Hollande ou Merkel. Tous servant en réalité de façon inconditionnelle et consensuelle le même projet mondialiste de destruction des souverainetés nationales, des états-nations, de dérégulation et d’uniformisation aux plans institutionnel, juridique, économique, industriel, commercial, bancaire, financier, monétaire, fiscal, éthique, avec un renoncement à l’indépendance des peuples et des nations, et même à l’identité du continent européen transformé en simple satellite de l’Amérique, en grand marché ouvert aux produits nord-américains, ainsi qu’à toutes les revendications communautaristes et séparatistes au nom d’un relativisme délétère. Et promis finalement à une régression identitaire, culturelle et civilisationnelle, sous l’assaut conjugué de politiques migratoires irresponsables et d’une mondialisation sans frein.

Dans les démocraties occidentales, cette doctrine a conduit du point de vue politique à une stratégie de dilution des oppositions droite-gauche qui prévalaient jusqu’à l’Après-guerre, avec des divergences encore claires entre Républicains et Démocrates. Ou en Europe entre les travaillistes ou les socialistes et les conservateurs. Et à un alignement sur une même ligne faite de pragmatisme économique, de politiques de rigueur et d’orthodoxie budgétaire (jusqu’à la crise du Covid), parfois teintées d’une touche de social mais grosso modo analogues, quelles que soient les alternances politiques gauche-droite.

Les Républicains américains s’appuyaient à l’origine sur les valeurs traditionnelles de l’Amérique : unionisme, fédéralisme, patriotisme, nationalisme, isolationnisme et non-interventionnisme, sauf pour des motifs impérialistes. Colonialisme, puritanisme évangélique protestant, suprématisme WASP, ségrégationnisme et opposition conservatrice aux revendications libertaires, égalitaires, antiesclavagistes, émancipatrices des minorités ethniques, notamment afro-américaine, religieuses, sexuelles, à la cause féministe, aux aspirations de changement de la jeunesse, à une application trop « socialiste » des droits humains. Mais favorable à un cloisonnement communautaire sinon une ségrégation étroite de la population en classes opposées ou ignorantes les uns des autres, à rebours de l’American dream et de l’idéal affiché du melting pot. Prépondérance du pouvoir centralisé, de l’Administration fédérale, de l’Armée, du pouvoir des agences de renseignement (CIA, FBI, NSA…), notamment à l’époque de la Guerre froide, du maccarthysme, des guerres de Corée, d’Indochine et du Vietnam. Mais aussi alliance et soutien aux grands conglomérats industriels et stratégiques : militaire et spatial, pétrolier, sidérurgique, automobile, équipements… Liberté d’entreprendre et libre-échangisme comme principes primordiaux d’une nation prospère, matérialiste et impérialiste selon les canon de l’éthique protestante du capitalisme. Climatosepticisme (du fait de l’influence des lobbies industriels mécènes et alliés du pouvoir républicain) et refus de toute subordination des pouvoirs économiques et industriels à la cause environnementale selon une optique ultralibérale. Hégémonisme monétaire du dollar comme seule monnaie de référence pour les échanges au plan mondial. Attachement moral très fort à la spécificité de la nation américaine, à sa mission émancipatrice, civilisatrice et moralisatrice, quasi religieuse voire messianique, pour éclairer le monde et se poser en gardien de la paix et de l’ordre mondial, dominé par les Etats-Unis, mais aussi de l’ordre moral et d’une Amérique leader politique, culture et éthique des autres nations. Une ambition tempérée par un isolationnisme frileux à certaines périodes : America great again, certes, mais aussi America first, thèmes piliers de la politique de Trump et recette de son succès électoral en 2016.

A l’inverse, les Démocrates défendent plutôt une optique humaniste, universaliste voire socialiste, (post)moderniste et cosmopolite dans les grandes villes, relativiste, contractualiste, libertaire, égalitaire, communautariste, proches des minorités, engagée pour le Progrès social, des libertés et des mœurs, en faveur de la coopération des peuples, pour une dérégulation plus encadrée, moins alignée sur une ligne ultralibérale, et tenant compte des retombées sociales de la mondialisation.

Mais aussi paradoxalement une vision très mondialiste, alignée sur le pouvoir de la finance, le recours aux institutions mondiales dont le pouvoir et la stratégie se déploient de façon déguisée sous une rhétorique progressiste, pour la paix, les droits de l’homme, la préservation de la planète et le développement durable (cf. Forum économique mondial et ses 21 Goals). Ce sont plutôt des monétaristes qui prônent l’abandon du dollar comme monnaie de référence mondiale et le recours à une monnaie mondiale, si possible numérique. Ils soutiennent aussi les changements liés à la société du tout numérique et des GAFSA, ces géants de l’informatique qui façonnent nos vies et collectent toutes nos données.

On trouve également parmi eux certains des plus ardents défenseurs de l’utopie transhumaniste, qui inspirent les grandes orientations du Forum Economique Mondial et celles avancées par des grandes fondations investies dans le domaine de la santé, comme la Fondation Rockefeller, Gavi (alliance pour les vaccins) ou la Fondation Bill & Melinda Gates.

Avec cette stratégie progressiste de conquête et de normalisation des pouvoirs, les différences entre les deux camps sont peu à peu gommées. Même si certaines sont préservées pour la forme dans le maintien d’un système bipartisan aux États-Unis, une rhétorique électorale faussement clivante, les candidats étiquetés démocrates ou républicains ont tendance depuis 30 ou 40 ans à promouvoir quasiment les mêmes politiques. Et servent en tout cas les mêmes intérêts qui les soutiennent, les financent et arment leurs campagnes : cette oligarchie financière qui constitue aujourd’hui l’unique et vrai pouvoir.

Cette stratégie a été implémentée avec succès dans d’autres pays alliés des États-Unis : au Royaume-Uni depuis l’élection de Blair, pur produit progressiste. En France avec la dilution des écarts entre les partis de gouvernement, UMP et PS après Mitterrand. Et l’élection du très américain et atlantiste Sarkozy, grand ami des Bush dont le frère Pierre-Oliver Sarkozy est depuis 2008 le Directeur général de Carlyle group, firme pétrolière des familles Bush et Ben Laden basée au Texas et principale bénéficiaire des guerres menées par George W Bush au Moyen-Orient. Sarkozy dont le père du beau-père Franck Gardiner Wisner n’est autre que le principal fondateur et ancien dirigeant de la CIA. Puis la Présidence tourmentée de François Hollande, un apparatchik carriériste très proche des pouvoirs financiers. Tous également très européistes et alignés sur la doxa mondialiste et le même crédo : libre-échange, Marché unique, Monnaie unique, Constitution européenne, signature de traités de libre-échange entre l’Europe et les Etats-Unis ou le Canada, Conférence de Paris sur le climat…

En France, l’idéologie progressiste a trouvé son apothéose avec la création d’En Marche !, parti unique fondé pour servir de tremplin au prodige de l’oligarchie Macron. Sur fond d’affaires de corruption, de scepticisme envers les élites, de désaffection pour la politique et les élections et de dégagisme, sur le thème trompeur du « ni ni« . Un parti en principe créé par Macron après son passage au Ministère de l’Economie, en réalité créé, financé et soutenu par l’oligarchie qui l’a hissé au pouvoir à partir de 2012 comme conseiller de Hollande, puis comme Président de la république « élu » par défaut avec seulement 12,5% du corps électoral si l’on tient compte de l’abstention, face à une rivale attendue au second tour en la personne de l’indispensable Marine Le Pen dans le rôle providentiel de repoussoir utile. Des élections manipulées de A à Z selon un scénario écrit à l’avance, comme les discours du candidat de « la France efficace et juste« .

Une ascension éclair vers le pouvoir qui ne doit rien au hasard et tout à l’argent, pour cet ambitieux inconnu mais habilement formaté de 39 ans, repéré très jeune et formé aux canons mondialistes à Sciences Po-l’ENA, à l’Inspection générale des Finances, puis comme banquier d’affaires à la Banque Rothschild, parrainé par de puissants mécènes et des protecteurs influents, comme la famille Rothschild, le groupe Bilderberg, Peter Brabeck (PDG de Nestlé), Alain Minc, Jacques Attali, Bernard Arnault, Xavier Niel, Arnaud Lagardère, Patrick Drahi, Pierre Bergé, Vincent Bolloré… et tant d’autres.

A l’opposé de cet homme sandwich sous influence de l’oligarchie pressé de renvoyer l’ascenseur à ses mentors en appliquant une politique ultralibérale résolument antirépublicaine, ce ventriloque de l’État profond qui n’hésite pas à subordonner le pouvoir exécutif aux diktats des lobbies, par exemple en invitant le leader des fonds d’investissement américains Black Rock à siéger au Conseil des ministres pour piloter la réforme des retraites, ou en déléguant la gestion de la crise sanitaire à des cabinets conseil en stratégie comme McKinsey, véritable officine du mondialisme, l’élection surprise de Donald Trump en 2016 constitue un cas à part dans une histoire sans accros ou presque de normalisation des pouvoirs sous l’égide du Progressisme triomphant. Et sous le masque trompeur d’un pseudo état de droit fondé sur un pseudo débat et une pseudo alternance démocratiques.

Trump est avant tout un milliardaire autodidacte, un membre de l’élite new yorkaise ayant fait fortune dans l’immobilier avec des succès variables (dont plusieurs sociétés mises en faillite). Un fils-à-papa gâté et nouveau riche, facétieux, incontrôlable, ambitieux, joueur, flambeur, chasseur, et psychopathe notoire selon l’Association des psychiatres américains. Un électron libre raillé et désavoué par ses pairs et avide de revanche. A cause de ses frasques, de son style vulgaire et tape-à-l’œil, de son manque d’intelligence, de culture, son mépris des codes élitistes et de la bonne société démocrate new yorkaise, amateur de provocations bravaches, affichant un mépris des élites, une misogynie crasse, un racisme ulcérant, une homophobie beauf et un populisme calculé, qui lui ont valu d’être soutenu par les pires courants de l’Amérique populiste et réactionnaire : suprémacistes blancs antinoirs, antisémites, anti-Islam, antiféministes, homophobes, anciens du Ku Klux Klan, antiabolitionnistes, opposants aux Droits civiques, lobbies pro-armes, et même néonazis ou autres mouvements nationalistes issus de l’extrême droite américaine, notamment religieuse, parmi lesquels les plus radicaux des évangéliques ultraconservateurs, berceau de la secte QAnon. Plus tous les déclassés de l’Amérique oubliée, enfermés dans un ressentiment anti-establishment, hostiles aux étrangers, aux minorités et tentés par des réflexes émissaires sinon violents.

Trump a mené campagne en 2016 et s’est fait élire sur des thématiques volontairement radicales, clivantes et provocantes, anticonformistes, parfois ouvertement ségrégationnistes, xénophobes ou racistes. Sur un ressentiment anti-establishment dirigé contre toutes les élites dirigeantes et la bienpensance des milieux intellectuels, médiatiques, artistiques et du show biz, tous assimilés de façon manichéenne au Parti démocrate et aux « progressistes », « socialistes » ou « mondialistes », serviteurs zélés de la finance et des lobbies. Tous également accusés derrière un Président Obama haï et calomnié d’être responsables de la crise qui touche des millions d’Américains, notamment après la crise des subprimes de 2008. Alors que c’est précisément Bush Junior, les trillions de dollars dépensés en guerres contre « l’Axe du Mal » (mais qui en ont rapporté bien plus aux oligarques du pétrole et de l’armement qui les ont planifiées) et sa gestion catastrophique de la crise de 2008, qui sont responsables du chaos économique laissé derrière lui, péniblement assaini par l’administration Obama.

Personnage détesté par une grande partie du peuple et des états profonds, sa challenger Hilary Clinton a été présentée (à juste titre) comme le symbole et la marionnette de cette oligarchie. Éloignée du peuple et de ses difficultés malgré un verbe social, hautaine, superficielle et archi corrompue.

Trump avait été aussi élu sur une politique de fermeture de l’Amérique sur elle-même après les années Obama, les crises de 2008 et 2011, l’enlisement dans des guerres hasardeuses et meurtrières en Afghanistan, en Irak et en Syrie, la compétition avec la Chine, les provocations de la Corée du Nord ou de l’Iran. Se faisant ensuite passer de façon caricaturale et mensongère pour un « pacifiste », alors que son désir d’en découdre avec ces états voyous (qui ont entre autres motivé la démission de bon nombre de membres de son administration) n’a été heureusement tempérée que grâce à l’intervention ferme de son état-major pour mettre un terme à ses provocations.

Quant à l’élection de Joe Biden au terme d’un rocambolesque décompte des voix entaché de fraudes, elle ne signe ni un retour à la normale après quatre années d’exception Trump, ni un blanc-seing absolu visant à laisser à l’oligarchie toutes les commandes de l’Amérique et du monde. Comme les fanatiques irréductibles néonazis de QAnon ont tenté de le faire croire aux plus naïfs. Disons que la vérité se situe entre les deux.  

Trump n’aurait certainement pas pu incarner ce messie attendu par ses supporters les plus fanatiques pour dégager l’oligarchie des manettes du pouvoir américain. Une Amérique qui constitue certes un élément-clé du pouvoir stratégique mais qui n’en est ni le cœur ni le périmètre. Puisque cette oligarchie s’est développée indépendamment des jeux de pouvoirs locaux, des états-nations et des empires même si elles les ont un temps servis avant de les mettre en tutelle grâce au levier de la dette publique, tout en les instrumentalisant à son profit. Et surtout à partir d’une approche transnationale, sans enracinement géographique particulier, en étant à la fois nulle et part et partout.

Être le sauveur de l’Amérique face au pouvoir hégémonique de l’Etat profond et des lobbies est un challenge dont Trump n’a lui-même ni l’étoffe, ni l’intelligence, ni les moyens. Même si ce fantasme de mission messianique fabriquée au moment de la campagne pour attiser les oppositions dans une dramaturgie manichéenne et apocalyptique a certainement exacerbé son ego, stimulé son goût de la mise en scène narcissique, et nourri son appétit d’infatigable gamer.

Joe Biden est certainement bien moins enclin à remplir une telle mission, tout comme il paraîtrait étonnant que Macron s’il était réélu s’en prenne soudainement au pouvoir de la finance et des banques, comme Hollande prétendait vouloir s’y attaquer en 2012.

En réalité les choses sont beaucoup plus complexes. Le Président des Etats-Unis est peut-être l’homme le plus puissant de la planète, du moins pour les leaders officiels, mais il ne décide pas de tout et ne contrôle en fait pas grand-chose. Ni dans sa propre administration, ni dans son propre pays, encore moins ailleurs dans le monde. Ce qui va dans le sens des intérêts de l’État profond.

Le rayonnement de l’empire américain continuera de régresser durant le mandat de Joe Biden. A l’image du dollar désormais condamné à disparaître et qui n’est déjà plus la monnaie de référence, supplanté pour les organismes financiers internationaux come le FMI par une nouvelle unité de compte numérique créée sur le modèle du Bitcoin. Son leadership est déjà largement contesté par des rivaux comme la Chine, la Russie, l’Inde, ou d’autres puissances montantes, et qui joueront un rôle prépondérant dans les décennies à venir, notamment en Afrique comme le Nigéria.

Dans le même temps l’Europe, autrefois allié principal des Etats-Unis, continuera de régresser, de s’enfoncer et de se déliter, jusqu’à se décomposer totalement. Sur fond de crise économique et financière inédite aux cours des années 2020-2025, d’une pression migratoire devenue impossible à endiguer, encouragée par la Turquie, ex-allié toujours membre de l’OTAN mais devenue avec Erdogan une authentique dictature islamiste vouée à la propagation de l’idéologie frériste, à la Reconquista militaire et idéologique, à la reconstruction du sultanat et de l’empire ottoman, à l’entrisme et à la promotion du djihadisme islamiste, avec des percées militaires et idéologiques en Grèce et à l’Est de la Méditerranée, dans les Balkans, en Afrique du Nord, au Moyen-Orient et en Arménie, qui subit un second génocide dans le Haut Karabakh. mais aussi en Europe de l’Ouest qui compte les plus importantes communautés turques.

Autre facteur qui verra l’Europe reculer et sombrer : la montée des guerres civiles, sur fond de montée des nationalismes, de réactions antimondialistes et d’hostilités violentes à la dictature sanitaire et sécuritaire, de troubles sociaux, interethniques, religieux, du basculement des territoires perdus dans le chaos, l’anarchie, la ghettoïsation, la criminalité et le non-droit absolu : une balkanisation sombre sur fond de séparatisme islamiste et de défiance envers les autorités de la République.

Des phénomènes prévisibles que rien aujourd’hui ne semble pouvoir endiguer, et que la crise du Covid ne fait que renforcer, tout en les occultant au second rang. Ce qui constitue d’ailleurs un objectif stratégique dans le plan d’effondrement préparatoire à l’instauration du Nouvel Ordre Mondial mis en place par l’élite au pouvoir, afin d’accélérer le basculement et de justifier des mesures sécuritaires encore plus autoritaires pour faire face à ce chaos programmé. Selon une stratégie du choc et un principe éculé, déjà employé dans le cadre de la lutte antiterroriste : créer le problème et apporter la solution.

Il y a fort à parier que ni Joe Biden ni aucun membre politique de l’élite américaine au pouvoir ne pourra ni ne voudra s’opposer à ce changement. Probablement qu’ils accompagneront ce changement avec zèle puisque leur propre pouvoir et leur carrière en dépendent directement.

Le seul changement à espérer ne pourra venir que des peuples. Non pas sous la forme d’une quelconque révolution que certains anticapitalistes nostalgiques du Grand Soir appellent de leurs vœux. Et qui a nourri chez nous les thématiques d’une certaine frange ultragauchiste et anarchiste lors de la crise des Gilets jaunes : black blocks notamment.

Pas plus qu’il ne viendra de mouvements d’insurrection populaire spontanés ou manipulés par quelques activistes pour contrer la dictature sanitaire et tenter de reverser un pouvoir devenu oppresseur, liberticide et populicide. Même si, en France du moins, ce principe de l’insurrection conçue comme un devoir sacré du peuple ou d’une portion du peuple face à l’oppression fait théoriquement partie de nos grands principes, depuis qu’il a été inscrit dans la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1793 (Article 35). Et dans notre première Constitution républicaine adoptée la même année. Celui-ci n’a en fait jamais été vraiment appliqué en tant que tel. Sinon au moment des Trois Glorieuses lors de la Révolution de 1830, ou des Barricades lors de celle de 1848, ainsi que pendant la Libération à l’été 1944. Souvent cité comme le grand mythe révolutionnaire de notre Histoire récente, les événements de mai 1968 n’auront été en comparaison des révolutions françaises des 18e et 19e siècles qu’une sorte de grande récré estudiantine, un défouloir et un charivari libertaire face à une société figée, conservatrice, pudibonde et corsetée depuis la fin de la guerre, plus qu’une véritable révolution politique contre le pouvoir autoritaire du Général de Gaulle ou les institutions de la Ve République. Elle fut d’ailleurs vite avortée par la reprise en mains du pouvoir gaulliste. Et les changements réels qu’elle a inspirés au cours des décennies suivantes sont plus d’ordre sociétaux et sociologiques voire juridiques que proprement politiques ou institutionnels, dans le sens d’une rupture radicale ou d’un renversement du pouvoir en place.

En outre la république bourgeoise dans laquelle nous vivons toujours depuis 1848 n’est pas une République vraiment populaire. Au sens où elle n’est qu’une démocratie représentative (du peuple en principe souverain) et non un vrai « gouvernement du peuple, par le peuple, et pour le peuple », selon l’Art. 2 de la Constitution.

L’insurrection est donc la dernière des options que pourraient choisir ceux qui aujourd’hui sont en mesure d’exercer le pouvoir, de soutenir ou d’incarner des alternatives politiques voire institutionnelles plus en phase avec nos idéaux démocratiques, et susceptibles de restaurer une confiance entre le peuple, ses représentants, ses dirigeants et ses élites.

Enfin l’armée qui serait aujourd’hui la seule force capable d’imposer un changement radical de casting et de projet politique, de provoquer des élections anticipées et de raffermir nos institutions dévoyées par les banksters progressistes et l’élite mondialiste en restaurant la démocratie, constitue un pari hasardeux et une option peu probable dans l’immédiat.

En effet dans aucun pays on n’a vu jusqu’à présent l’armée intervenir pour imposer une vraie démocratie. Quant l’armée prend le pouvoir et renverse un régime, c’est le plus souvent pour remplacer une tyrannie ou un régime honni (communiste) par un autre et imposer une dictature militaire. Comme dans les pays d’Amérique latine dans les années 1970-1980 : renversement avorté de Castro à Cuba, dictatures militaires au Chili, en Argentine, en Bolivie… Avec des dirigeants démocratiquement élus par le peuple comme Salvador Allende au Chili renversés par un coup d’Etat militaire soutenu par la CIA.

Dans d’autres cas plus récents, en Turquie ou en Egypte notamment, tout aussi manipulés à des fins stratégiques par les Américains, l’armée s’est imposée sur une base nationaliste face à des régimes théocratiques (islamistes turcs, Frères musulmans en Egypte). Ou parfois comme recours face à des « révolutions » qui avaient tourné court visant à renverser des dictateurs corrompus comme Hosni Moubarak en Egypte, remplacé par les islamistes, eux-mêmes renversés par les généraux rappelés au pouvoir par le peuple.

Même si certains généraux français ont donné des signes dans ce sens récemment et si certains en rêvent, on voit mal aujourd’hui l’armée française prendre l’initiative de boucler l’Élysée, Matignon, l’Assemblée, le Sénat et les ministères pour exiger la démission de Macron et de son gouvernement.

C’est pourtant avec ce scénario digne des nanars de politique-fiction qu’ont flirté les trumpistes irréductibles entre la défaite électorale de leur champion en décembre dernier et l’investiture de son rival un mois plus tard. En dansant dangereusement au bord de l’abîme. Et en laissant fuiter des rumeurs d’instauration imminente de la loi martiale, d’arrestations massives d’élus démocrates et de dirigeants de l’Etat profond, et de révélations sulfureuses sur fond d’accusations de pédophilie, de crimes, de corruption, d’intelligence avec des pays ennemis, des organisations terroristes, et autres élucubrations délirantes.

La garde nationale pourtant a bien été mobilisée, elle a même paradé dans les avenues de Washington durant l’agonie du mirage entretenu d’un coup de théâtre in extremis et d’une réélection surprise de Trump. Officiellement pour sécuriser les lieux de pouvoir, la transition et la cérémonie d’investiture à haut risque. Officieusement selon certains pour empêcher Biden de prêter serment et procéder à ces arrestations chimériques visant à garantir l’indépendance des institutions et de la nation. On a vu le résultat.

Il est vrai que le clivage s’est durci un peu partout dans le monde entre une courant mondialiste et progressiste implicitement ou explicitement favorable au Nouvel Ordre Mondial et à son modèle totalitaire, et un autre courant réactionnaire déjà ancien opposé à cette évolution, de type néoconservateur, nationaliste, identitaire, voire d’extrême droite, souvent appuyé sur des contre-pouvoirs traditionnels comme l’armée, des mouvements religieux ultraconservateurs, certains groupuscules d’extrême droite, une partie de la vieille élite aristocratique et certaines classes les plus conservatrices attachées à la préservation de l’identité culturelle, nationale, résolument hostiles à ces changements.

Mais ce paysage très classique d’une opposition entre des forces progressistes qui iraient cette fois dans le sens d’une dilution dans un nouvel ordre mondial totalitaire et indifférencié de type orwellien dirigé par une caste de ploutocrates cyniques, et des forces conservatrices déterminées à préserver un modèle fondé sur un narratif national, une culture, une identité, voire un socle ethnique ou religieux particulier, semble aujourd’hui dépassé et peu pertinent pour se confronter aux véritables enjeux actuels.

Le mouvement d’unification et d’intrication des individus, des identités, des modèles et des sociétés au plan mondial est inéluctable. C’est même l’aboutissement d’un vaste processus historique et de toutes les aspirations successives à l’Universel portées par les grands empires, les idéologies, les religions et les modèles unificateurs du passé. On ne pourra jamais revenir à l’époque des empires coloniaux, des états-nations en guerre les uns contre les autres pour étendre leur domination territoriale, encore moins à des tribus ou des communautés religieuses qui luttent pour imposer leur suprématie.

Notre humanité est quasiment arrivée au terme d’un processus de globalisation. Au plan économique certes comme on le répète souvent. Mais surtout au plan humain, social, culturel, civilisationnel et même spirituel. Notre espèce vit aujourd’hui une étape cruciale de son Histoire, caractérisée par l’unification du genre humain. Unification qui n’est nullement une uniformisation : il ne s’agit pas de créer une société mondiale de clones, ou de se caler sur un modèle unique d’homo universalis. Mais au contraire de construire une civilisation globale qui s’appuie sur la conscience de l’appartenance à une entité commune – l’humanité, l’espèce humaine – mais aussi qui reconnaisse le caractère dynamique, fécond, essentiel des différences structurantes entre les individus, leurs origines, les groupes humains qu’ils constituent, les peuples qu’ils forment sur une base d’appartenance, un type, une langue, une mémoire et un territoire communs, voire les nations qui font la diversité et la richesse de notre humanité. Et en dépassant le caractère mimétique qui durant des siècles et des millénaires a enfermé ces différences dans des logiques conflictuelles fondées sur des rivalités mimétiques, la peur ou le rejet de l’altérité, et leur instrumentalisation par des pouvoirs rivaux pour servir des logiques de conquête, d’hégémonie et de domination.

L’universalisme résumé dans les grands principes des droits-de-l’homme a constitué pendant deux siècles une étape féconde et nécessaire pour dépasser le paradigme fondé sur des identités fragmentées et rivales. Ceux-ci ont posé le socle éthique, philosophique et politique pour l’émergence d’une nouvelle identité et d’une nouvelle société humaine, célébrant à la fois l’émancipation de l’individu et sa participation libre à un destin collectif, assis sur des principes universels d’humanisme, de liberté, d’égalité, de fraternité et de justice. Tendus vers un l’édification d’une société unie, ouverte et féconde à l’échelle du monde et du genre humain. L’homme n’y est plus désormais défini selon des logiques de naissance, d’appartenance à une caste, un rang, ou des privilèges. Mais selon une même identité qui l’élève à une même dignité et des m^mes droits partagés.

L’Article 1er de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen institue des fondements radicalement nouveaux et universels pour tout le genre humain : tous les hommes sont déclarés de naissance libres et égaux en droit. Aucun ne peut se prétendre supérieur à l’autre, revendiquer a priori des privilégies spécifiques, ou jouir de droits différents parce qu’il serait né autre, plus estimable ou plus favorisé.

Déclaration essentielle qui remet fondamentalement en cause les écarts objectifs dans les sociétés traditionnelles, en particulier ceux héritées d’un féodalisme fondé sur le servage imposé à la majeure partie de la population (héritage direct de l’esclavage antique), dans des sociétés où le pouvoir est concentré entre les mains d’une caste aristocratique, à l’exception du pouvoir sacerdotal détenu par celle le clergé. Un pouvoir en partie délégué à une élite bourgeoise souvent proche de l’aristocratie dominante développée dans les centres urbains autour des activités de commerce, de finance, de juridiction et d’administration. Cette élite qui constitue justement le berceau historique de l’oligarchie au pouvoir aujourd’hui.

C’est un bouleversement radical dont les répliques continuent de produire des changements. Mais c’est un paradigme en déclin. Notamment depuis que cet idéal humaniste porté notamment par une élite éclairée et franc-maçonne proche du pouvoir politique a été entièrement confisqué par l’élite progressiste formée autour de l’oligarchie financière. Laquelle s’est au fil des siècles appropriée le contrôle de tous les pouvoirs, tout en se drapant en se drapant d’une vertu humaniste et progressiste.

Tout le monde le constate, il y a donc un hiatus profond dans nos « démocraties » entre les discours progressistes et humanistes, et les faits qui les démentent de façon de plus en plus obscène. Pire, ces discours apparaissent de plus en plus aux yeux des observateurs avisés et sont ressentis par l’opinion publique comme des mensonges éhontés qui ne servent plus qu’à justifier pour la forme et à proroger des politiques qui vont résolument à l’encontre des buts affichés.

Il en va ainsi des politiques conduites par Macron pour démanteler notre système de protection sociale et le revendre par appartements au privé. Qu’il s’agisse notamment du régime des retraites, mis à sac par un loi adoptée en catimini en mars 2020 juste après l’instauration du premier confinement, après des mois d’opposition violente de la rue, des syndicats et d’une partie de ce qu’il reste d’opposition. Réforme menée sous l’égide du plus puissant fonds d’investissement mondial, Black Rock, mais présentée frauduleusement comme répondant à un objectif d’orthodoxie budgétaire, d’équilibre des comptes publics et de pérennisation du système de retraites fondé sur le principe égalitaire de répartition. Et donc dans l’intérêt des Français et des futurs retraités que nous sommes. Alors que c’est exactement l’inverse, puisque cette réforme qui en prolonge d’autres conduites auparavant par Nicolas Sarkozy notamment (dont le frère est par ailleurs Président du groupe Malakoff Médéric spécialisé dans les retraites par capitalisation) ne vise qu’à détruire le système de retraites par répartition, et plus généralement le système français de protection sociale (« l’un des meilleurs du monde« ), pour le remplacer par un système libéral de retraite par capitalisation comme aux Etats-Unis, en favorisant ainsi les grands acteurs privés présents sur ce marché.

Une autre raison qui rend ce paradigme humaniste et droit-de-l’hommiste caduque aujourd’hui est que ces grands principes étaient fondés sur une approche philosophique de type essentialiste, rationaliste, positiviste et même scientiste, qui correspond à une paradigme de pensée aujourd’hui dépassé. La définition d’une Essence de l’homme et de l’humanité qui puise largement dans l’esprit des Lumières et la sanctification de la Raison comme principe central dans l’exercice du libre arbitre, de l’action politique, l’édification des sociétés et du Droit positif. Voir comme nouvelle forme de transcendance opposée aux modèles anciens qui définissaient l’homme social, du point de vue essentiels et existentiel, comme le produit d’un Logos, d’un Plan, d’un Ordre conçu par le Créateur divin et présentés comme inamovibles. Avec notamment une organisation de la société et un pouvoir politique centrés sur la personne du monarque de droit divin, dont la légitimité dynastique et l’autorité étaient fondée sur une lignée élective et une sacralité divines, vestiges lointaine du mythe biblique du peuple élu. Et non selon le principe de l’Etat de droit qui s’y oppose radicalement. Dans l’Ancien régime, l’Etat, le Roi, la Foi et le Droit, se confondaient, jusqu’à ce que s’impose le principe de la séparation des pouvoirs, et plus tard celui de laïcité déjà en germe dans le christianisme primitif avec l’opposition entre pouvoir temporel et Royaume des cieux. Un changement qui rompt définitivement avec les sociétés anciennes où les pouvoirs exécutif, législatif, judiciaire et religieux étaient plus ou moins confondus, comme c’est toujours le cas aujourd’hui dans les pays régis par l’Islam fondamentaliste.

Aujourd’hui un nouveau paradigme de conscience émerge. Il englobe et remplace peu à peu le paradigme rationnel dans lequel nous avons vécu depuis l’humanisme de la Renaissance et les temps modernes jusqu’à la Shoah et l’avènement de l’ère atomique au tournant de la Seconde guerre mondiale, traumatismes profonds dans la conscience occidentale dépositaire de ce paradigme, qui ont conduit à une profonde remise en question du pouvoir de la science et des modèles fondés sur la raison positive et scientifique. En passant par les Lumières, la société capitaliste industrielle, les révolutions socialistes ou communistes d’inspiration marxiste, l’avènement de l’ère spatiale, le triomphe de la science, de la technologie, du numérique, mais aussi celui des logiques de marché, de la finance mondialisée, du mondialisme politique et économique au tournant de ce siècle.

Le nouveau paradigme s’appuie sur une unification de la conscience planétaire, l’émergence d’une vraie conscience globale favorisée et récupérée en partie par les médias de masse, internet et les réseaux sociaux, la multiplication des échanges et l’accélération de la mobilité (jusqu’à la crise du Covid qui en marque l’arrêt brutal). Mais aussi sur un renouveau spirituel, l’émergence de nouvelles formes de spiritualités dépassant le clivage classique entre la science rationaliste et les croyances religieuses en l’Irrationnel. Avec en parallèle un déclin accéléré de toutes religions traditionnelles (malgré un essor net de certains fondamentalismes dans le monde juif, chrétien ou musulman notamment), une recrudescence des préoccupations éthiques, sociales, environnementales, une critique radicale de la société industrielle et du matérialisme face aux ravages du productivisme et du pouvoir des lobbies industriels, pharmaceutiques, agroalimentaires, phytosanitaires, du consumérisme effréné, de l’hyperindividualisme destructeur des valeurs, du sens commun, de l’intérêt général, des liens sociaux et des modèles sociétaux, de l’exploitation massive des populations pauvres à des fins de productivité et de rendement, notamment enrôlés dans l’industrie, dans l’armée, dans des réseaux pédophiles ou de prostitution infantile, de la marchandisation du corps, de nouvelles formes d’esclavage économique, social ou sexuel, de la corruption des états et des élites, du pouvoir excessif des médias, des grands acteurs du numérique, de la société de surveillance, du décalage entre les discours et les actes, ou les résultats des politiques liberticides. Autant de dérives qui accroissent la concentration des richesses, creusent les inégalités, nourrissent les conflits, renforcent les violences et les injustices partout sur terre.

Face à ces défis, les droits-de-l’homme n’apparaissent plus que comme une invocation réflexe de principes qui n’agissent que pour mobiliser artificiellement les esprits autour de mantras communs déconnectés su réel.

La religion droitdelhommiste a vécu. Mais aucune autre n’est venue jusqu’à présent lui offrir une alternative. Le pouvoir s’en empare pour justifier son exercice arbitraire en prétendant servir les grands principes et les causes à la mode, comme l’écologie ou la défense des minorités opprimées. La mondialisation économique arrive à son terme, imposée comme une donnée inéluctable avec les modèles et injustices qui l’accompagnent, sans aucune critique ni droit de regard de la part de ceux qui la subissent.

Aucune autre vision globale ne semble pouvoir offrir de perspective commune suffisamment mobilisatrice et susceptible d’être acceptée et partagée par tous. Sinon de grandes antiennes répétées à l’envi pou conjurer l’angoisse sur le climat. Mais dont les objectifs négociés ne sont jamais ou très peu appliqués. Et qui contribuent plutôt à entretenir une sorte de messianisme politique face aux défis apocalyptiques du changement climatique.

Quant aux défis démographiques, rien n’est fait pour y répondre, sinon de la pire façon qui soit : par des politiques eugénistes de contrôle arbitraire et totalitaire des populations. Avec à la clé des objectifs de réduction massive des populations, annoncés par quelques oligarques comme Gates, Soros, Schwab, Attali ou Laurent Alexandre, mais jamais totalement assumés en tant que tels.

Face aux crises qui se conjuguent, aucune sortie par le haut n’est donc envisagée. Pourtant celle-ci finira inéluctablement par s’imposer une fois que la conscience globale sera réellement unifiée et activée. Pour l’heure les peuples demeurent soit soumis et subjugués, soit révoltés et réprimés par des politiques destinées à empêcher toute explosion non contrôlée.

Mais depuis la seconde moitié e l’année 2020, un vaste mouvement de désobéissance civile se met en place, de façon parfois isolée, parfois coordonnée, face aux mesures dictatoriales mises en place au plan mondial pour faire face à l’épidémie de Covid.

Ce n’est qu’un début, timide mais qui s’affirme de jour en jour à mesure que la vérité éclate sur les zones d’ombre d’une gestion de cette crise par les états présentée comme catastrophique, et les enjeux cachés en arrière-plan.

Il ne s’agit pas pur l’avenir de se crisper en s’attaquant de manière frontalement à un système corrompu, criminel, liberticide, et par bien des aspect agonisant, en espérant le pour le détruire de l’extérieur par la force. Peine perdue compte tenu du rapport de forces. Mais de s’opposer à toute collaboration, surtout avec les mesures les plus répressives. Comme le refus du masque obligatoire (inutile selon l’OMS), notamment pour les enfants, symbole de silence, de soumission et d’esclavage, le refus de la distanciation sociale et des gestes barrière, des confinements et couvre-feux (également confirmés comme inutiles voire contre-productifs pour endiguer la propagation d’un virus pas plus dangereux que celui de la grippe, et justifiés uniquement par une volonté d’isoler, de démoraliser et contrôler les populations). Ou encore la réouverture massive et généralisée contre l’interdiction générale des commerces, restaurants, lieux de convivialité, de culture ou de loisirs. Comme c’est le cas en Italie depuis mi-janvier pour tous les bars et restaurants de la Péninsule qui ont décidé de rouvrir comme un seul homme : un mouvement de protestation et de révolte qui a conduit à la démission de quatre ministres. Ou encore le recours à des actions de piratage ou de sabotage en retournant les outils numériques de contrôle des masses contre le système. Comme la neutralisation des caméras de reconnaissance faciale grâce à des stylos lasers utilisés par les manifestants. Un procédé largement employé à lors des grandes manifestations contre le pouvoir chinois à Hong Kong en 2019. Ou le boycott des applications de surveillance et de traçage numérique liées au Covid comme StopAntiCovid. voire de certains réseaux sociaux comme Facebook devenu un outil de censure et de contrôle de l’information au service de la propagande officielle et du pouvoir Et ses applications de messagerie comme WhatsApp ou Messenger destinées à surveiller étroitement toutes les interactions et disséquer toutes conversations audios ou écrites. Cela peut aller jusqu’à des cyberattaques ciblées de la part de mouvements d’activistes comme les Anonymous. Lesquels pourraient tout à fait dans un avenir proche lancer des attaques ciblées contre des centres névralgiques et ultrasensibles du pouvoir, comme les systèmes informatiques de la Banque Mondiale, du FMI, de la BCE, du Forum Economique Mondial, ou d’organismes mondialistes connus pour leur participation ou leur soutien à des actions criminelles : ONU, OMS, fondations Rockefeller, Rothschild, Gates, Gavis. Ou des multinationals stratégiques comme les GAFSA, des sociétés comme Space X (qui déploie actuellement un réseau de plusieurs dizaines de milliers satellites d’observation et de télécommunication reliés au réseau 5G) ou Neuralink (qui développe des applications technologiques transhumanistes comme l’implantation de puces dans le cerveau. Toutes deux propriété du milliardaire Elon Musk. Mais aussi des laboratoires pharmaceutiques impliqués dans les fausses pistes thérapeutiques très lucratives ou la vaccination de masse, comme l’Institut Pasteur, Gilead, Pfizer, BioNTech, Moderna ou Astra Zeneca.

Et bien sûr en refusant de collaborer à toute consigne sanitaire constituant une privation de liberté ou relevant de crimes contre l’humanité. Comme l’administration généralisée imposée de façon obligatoire ou coercitive d’injections géniques expérimentales appelées frauduleusement « vaccins à ARN messager », présentés comme la seule alternative thérapeutique envisageable contre un virus très mutant donc résistant aux vaccins, et une maladie qui se soigne à 95%. Des « vaccinations » réalisées dans l’urgence, sous la contrainte, au terme d’une propagande massive et omniprésente, avec un chantage aux libertés pur inciter les gens à se faire vacciner, mais sans véritable contentement éclairé, notamment pour les plus vulnérables et les moins informés (personnes âgés, enfants, populations pauvres). Des « vaccins » souvent assortis d’un système de traçage numérique des populations appelé certificat vaccinal numérique, annoncé de longue date, et plus récemment dans certains médias officiels, mais dont les populations ne sont aucunement informées .

Cette résistance est essentielle. Une façon incontournable de nous réapproprier notre corps, notre santé, notre immunité, notre identité, menacée par les manipulations de notre ADN qui nous transforment en simples OGM et la dilution dans un indifférencié mondialiste, notre vie privée, nos choix souverains, nos relations, nos activités, nos droits, notre avenir, nos libertés… Une façon de refuser catégoriquement d’être soumis à quelque pouvoir ou autorité que ce soit, à nous définir comme des hommes libres, conscients, doués de libre arbitre, et reconnaissants à tout autre être humain cette même qualité et faculté.

Une façon de redéfinir notre être ensemble sur la base de l’être commun, de l’intérêt général conçu comme l’intérêt du genre humain, et non celui dicté par des officines d’opinion pour servir ceux de l’Etat profond, ou de groupes occultes de quelques privilégiés qui concentreraient et useraient de façon discrétionnaire de tous les pouvoirs.

Une façon de ne pas céder à la tentation rebelle et mimétique de nous définir CONTRE un groupe ou un pouvoir, qui consisterait in fine à le renforcer en l’affrontant dans un rapport de force direct et un combat perdu d’avance qui justifierait en réaction des mesures encore plus coercitives. Mais au contraire en prenant acte que l’humanité est désormais une et indivisible, que ces oligarques se trompent de voie en croyant s’arroger le pouvoir suprême sur 7,8 milliards d’êtres humains, et qu’ils finiront tôt ou tard par scier la branche sur laquelle ils sont assis. Que ce vieux monde à l’agonie fondé sur l’attachement au Pouvoir dont ils représentent l’ultime avatar ne mérite pas qu’on le combatte, mais qu’on le dépasse en œuvrant pour l’avènement du monde futur. Et que résister n’est pas s’acharner contre mais « laisser faire » , laisser mourir et s’écrouler l’absurde sans plus jamais consentir à y collaborer.

La solution n’est donc évidement pas politique. El l’élection de Joe Biden ou Donald Trump à la tête du plus puissant état du monde n’aura que pas de réel impact majeur sur la suite des événements, contrairement aux fantasmes des uns et des autres.

La solution réside dans l’élévation du niveau de conscience collectif, du plan individuel vers plan global. Et sa concrétisation dans l’intégration et l’engagement collectif, conscient, concret et déterminé, au travers d’initiatives multiples et coordonnées qui vont dans le sens de plus d’humanité, d’unité, de paix, de coopération et de solidarité entre les êtres, les groupes, les peuples et les états. Et non dans un rétrécissement sur des identités particulières, disjointes et opposées, ou un repli sur des modèles déjà dépassés. Comme ces identités fondées de façon exclusive sur la race, l’ethnie, la religion, la nation, les vieux empires ou civilisations anciennes. Autant de vestiges de paradigmes anciens, dont la réactivation en réaction aux tentatives de dilution dans un ensemble confus et normatif que serait le Grand Marché unique ou le Nouvel Ordre Mondial n’obéit qu’à des mécanismes de régression, nourris par des peurs face au vaste mouvement d’unification des consciences. Un mouvement et une évolution inéluctables dont cette « mondialisation » promue par les banquiers-commerçants n’est qu’un épiphénomène, relevant d’un accaparement spéculatif et d’une fixation idéologique voués à l’échec.

Pour conclure, l’avenir est beaucoup plus ouvert et nos capacités de création sont beaucoup plus vastes que ce que nous imaginons. Notre principal obstacle n’est pas extérieur à nous-mêmes mais intérieur. Il réside dans l’attachement illusoire à cette croyance en la Séparation. Croyance nourrie par la Peur (de la mort, de l’autre…) et qui nourrit cette peur de façon cyclique. Notamment l’une des peurs les plus stérilisantes qui soit, très largement instrumentalisée par les discours du terrorisme d’Etat à propos du coronavirus : la peur de la Perte. Peur de perdre la vie, la santé, son corps, la sécurité, la stabilité, le confort… Une peur bien supérieure à celle de perdre quelques libertés. Et qui nourrit ce deal machiavélique au cœur du basculement que nous vivons : plus de sécurité en échange de toujours moins de liberté.

Cette peur de la Perte s’enracine notamment dans une peur panique et égotique d’être dépossédé de ce que l’on croit être ou avoir : son identité, son statut, ses privilèges, ce qu’on croit avoir, à commencer par son corps, sa maison, ses biens, ses richesses, sa famille, mais aussi son rang et son pouvoir dans la société, son prestige, son Histoire, son savoir, ses croyances, ses certitudes, sa vision du monde… Face au vertige de la mondialisation et de la perte des repères identitaires, éthiques, sociaux, aux incertitudes liées aux aléas politiques, aux guerres, aux soubresauts économiques, climatiques et aux diverses catastrophes, et à la violence des sociétés qu’ils engendrent, qui nous désunissent, divisent et nous menacent, il peut être rassurant d’adhérer à un modèle présenté comme rationnel, universel, sécurisant, normatif. Même si celui-ci est par ailleurs autoritaire voire totalitaire, déshumanisant et privatif de libertés.

C’est tout l’enjeu de cette crise : continuerons-nous à être les esclaves de nos peurs, et à devenir les esclaves de ceux qui les entretiennent pour mieux nous contrôler ? Ou déciderons-nous enfin d’évoluer, de sortir de l’âge de pierre et de nos cavernes, des prisons psychologiques ou l’on nous a enfermés, pour déployer nos ailes et regarder en face le soleil ?

Il ne s’agit pas de rêver de nous projeter dans cette chimère de transhumain. En épousant la matière, ces machines que nous avons fabriquées pour nous donner l’illusion des êtres des dieux tout puissants, et cette intelligence artificielle qui déjà s’apprête à nous supplanter. Ce rêve transhumaniste, dernier avatar d’une matérialisme rationaliste scientiste totalement dépassé par les nouvelles sciences, est pure folie. Il ne s’agit pas de fantasmer non plus sur un post-humain qui n’aurait plus rien à voir avec l’homme que nous avons été. Il s’agit de passer à un autre stade collectif de notre évolution. De passer de la Préhistoire humaine à l’avènement de l’Humanité comme entité unie, pacifiée, congruente et autonome.

Il n’y a aucune autre voie. Toutes les autres conduiraient immanquablement à la disparition de notre espèce. Et le vertige transhumaniste voulu par les oligarques, ces nouveaux « dieux » autoproclamés qui rêvent d’écraser ou de détruire la majeure partie des sous-humains que nous sommes déclarés « inutiles » pour mieux imposer leur Meilleur des mondes diabolique, est une fable macabre, une folie intégrale, qui signerait s’il était appliqué le suicide collectif de l’ancien monde dans un ultime sursaut d’orgueil, et l’avortement du nouveau dans sa Matrice dont il commençait à s’extirper.  

Après tout c’est juste un vaccin !…

2020 aura été l’année du Choc.
2021 sera l’année de la Révélation.

Le monde entre en ébullition. Il n’est pas un jour sans que des mouvements antivaccins ne secouent la planète.

Ce week-end des dizaines de milliers de manifestants londoniens étaient réunis à Trafalgar Square pour crier leur colère contre le vaccin Pfizer choisi par le gouvernement de Boris Johnson, lui-même rescapé du Covid.

Ensemble ils ont gaillardement entonné ce même refrain sur la mélodie bien connue de Elle descend de la montagne à cheval :

YOU CAN STICK YOUR VACCINE UP YOUR ASS! [i]
YOU CAN STICK YOUR VACCINE UP YOUR ASS!

YOU CAN STICK YOUR VACCINE…
YOU CAN STICK YOUR VACCINE…
YOU CAN STICK TOUR VACCINE UP YOUR ASS!

Les sujets de Sa gracieuse Majesté auraient-ils donc perdu leur flegme ?

Il faut dire que Londres est après Berlin la capitale européenne qui a réuni en août dernier le plus grand nombre de manifestants devant Buckingham Place pour dénoncer la mascarade du coronavirus. Et défendre les libertés saccagées sous prétexte de mettre en place des mesures sanitaires passablement totalitaires.

A Berlin entre 2 et 7 millions de manifestants venus de toute l’Europe avaient défilé toute la journée et applaudi le sénateur démocrate Robert Kennedy Jr., lors d’un discours prononcé devant la foule pour fustiger l’avidité criminelle de Big Pharma, et l’imposture du Nouvel Ordre Mondial. A l’endroit même où son oncle, l’illustre Président John F. Kennedy, avait prononcé son fameux discours contre la dictature communiste face au Mur de la honte : « Ich bin ein Berliner ! »

BFM TV, la chaîne de l’Elysée, avait cru bon de mentionner que « 30.000 complotistes d’extrême droite » avaient défilé pour dénoncer la soi-disant « mise en scène » du coronavirus.

Et la France ? Elle peine à s’éveiller d’une longue torpeur.

Après la répression ultra violente contre le mouvement des Gilets jaunes et les manifestations de 2019 contre la réforme des retraites votée en catimini, la France est encore à moitié groggy.

La Grande Terreur médiatique, le matraquage de la propagande des chiens de garde du régime, associés à une censure sans précédent depuis l’Occupation, ont rendu possible l’Opération Kaa, du nom du serpent hypnotiseur dans Le livre de la jungle, orchestrée par la marionnette Macron.

Telle la Belle au Bois dormant, Marianne tarde à se dégriser d’un songe empoisonné. Et reprend péniblement depuis ce weekend le chemin des manifs, des voitures brûlées, des gaz lacrymos et des tirs de LBD.

Mais la prise de conscience n’est pas encore aujourd’hui, loin de là, le fait majoritaire dans l’opinion.

L’Article 24 de la Loi Sécurité globale exacerbe bien colères, frustrations et ressentiments. Les plus endurcis sont remontés contre la seule « Deuxième vague » existante, celle des violences policières et de La Dictature En Marche.

Mais l’ouverture des esprits face aux véritables enjeux de cette fausse crise sanitaire et de ce vaccin miracle dont on nous rebat les oreilles n’est pas encore à l’ordre du jour.

L’heure est plutôt à la décompensation consumériste à l’approche des fêtes. Encouragée par le gouvernement comme dérivatif à la grogne. Et suivie par le troupeau désireux de se venger d’une année de prison et de privations.

Un leurre de plus.

Car enfin après tout, pourquoi faire un tel foin ? Après tout c’est juste un vaccin ?…

Ignorance et lassitude obligent, beaucoup veulent y croire. Comme une porte de sortie à cette épidémie et son cortège de vexations anxiogènes qui s’éternisent. En faisant semblant de s’accrocher au vaccin, et en faisant semblant d’accepter les propos lénifiants du corps médical.

La plupart se réjouissent à l’avance de cet épilogue qui n’en est pas un, et se cramponnent à ce faux espoir.

Déjà le troupeau s’ébranle bon an mal an pour recevoir la Saint-Sylvestre passée le Saint chrême délivré par Moderna, Pfizer ou Sanofi.

A commencer par « les plus fragiles : nos aînés ». Désignés par un Jupiter soudain magnanime comme cobayes pour tester le machin.

Tout de même. Ne serait-il pas opportun de se poser quelques questions avant de se jeter tête baissée vers le précipice ?

Et si cette « vaccination » globale sinon obligatoire (du moins pour le moment) n’avait absolument pas pour but de nous vacciner ?

Et si notre système immunitaire, dont personne ne parle jamais, nous avait déjà collectivement immunisés contre un virus et une épidémie somme toute très banals et peu dangereux comparés à d’autres ? Comme c’est le cas en Suède, qui n’a pourtant jamais confiné, ni instauré de couvre-feu, ni de gestes barrière, ni obligé à porter le masque.

Et si le but réel de toute cette mascarade était de permettre à quelques grands laboratoires pharmaceutiques de vendre des vaccins durant quelques années pour un marché estimé à 1.000 milliards de dollars ? (On se souvient de Donald Rumsfeld, alors actionnaire principal et CEO de Gilead Science, dont la fortune lors du scandale du H1N1 en 2010 avait bondi suite à la vente de milliards de boîtes de Tamiflu).

Et si derrière ce sordide calcul mercantile, très typique de Big Pharma et de ses mécènes, il y avait d’autres buts encore plus inavouables ?

Et si le fameux « carnet vaccinal numérique » annoncé par Bill Gates il y a 10 ans, mis au point sous l’égide de sa fondation, breveté par Microsoft, testé cette année au Kenya et au Malawi, et dont l’inclusion dans le vaccin anti-Covid a été confirmé récemment sur LCI, était l’un des buts inavoués de ce vaccin ? Avec comme conséquence un traçage numérique ultra précis grâce au nouveau réseau 5G, et la possibilité de contrôler à tout moment le statut vaccinal de n’importe qui. Avec à la clé un apartheid sanitaire et un système de « carnet social » à la chinoise mis en place pour départager les « bons » et les « mauvais » citoyens.

Et si cette injection visait également à réaliser à très grande échelle une expérimentation de nouvelles techniques de génie génétique utilisant des pseudos « vaccins » à ARN messager pour modifier notre ADN ? Et donc pour modifier le génome humain de façon irréversible ? Comme l’ont confirmé Bill Gates et Laurent Alexandre, fondateur de Doctissimo, patron d’une start-up d’ingénierie génétique, et pape français du transhumanisme.

Mais à quelle fin ?…

Et si ces injections successives de nouveaux « vaccins » aux effets totalement inconnus, justifiées pour combattre un virus fabriqué par l’homme, mutant et donc résistant aux vaccins, mais qui contiendrait, aux dires de certains des plus grands épidémiologistes mondiaux, jusqu’à 157 insertions virales inconnues plus 4 séquences du VIH et une de la malaria, étaient conçues pour générer des interactions et pirater les mécanismes naturels de réplication génétique afin de produire de façon sournoise des virus mortels dirigés contre l’organisme lui-même ? Une forme d’eugénisme plus discrète qu’une brise légère.

Et si nous étions en effet à l’aube du plus grand génocide de masse que l’Histoire humaine ait jamais connu ?

Et si les dizaines de procès intentés tout récemment contre Macron, Véran et autres criminels notoires par plusieurs juristes et médecins français pour « génocide » et « crime contre l’humanité » n’étaient pas la résultante d’une paranoïa « complotiste », mais le fait de citoyens éclairés, lucides et courageux ?

Le pire n’est jamais sûr, mais s’y préparer est la meilleure façon d’y échapper.

Aussi invraisemblable que tout cela puisse paraître, les convictions de dizaines de milliers de chercheurs, médecins, experts économiques, financiers, monétaires, juridiques, de magistrats, policiers, journalistes et hommes de médias, de lanceurs d’alerte et d’intellectuels convergent aujourd’hui vers une même certitude : il se passe quelque chose d’excessivement grave à l’échelle de la planète. Et il est urgent d’alerter, de faire bloc et de réagir avant qu’il ne soit trop tard.

Quand les camps d’extermination furent libérés par les soldats russes et américains en 1945, quand l’horreur de la Shoah fut révélée au monde incrédule, beaucoup qui avaient pourtant assumé de lourdes responsabilités durant la guerre n’eurent rien d’autre à dire que « Nous ne savions pas ».

Et nous, que dirons-nous à nos enfants dans 10 ou 20 ans ?…
« Nous ne savions pas » ?…


[i] Vous pouvez vous foutre votre vaccin dans le cul !