En quoi l’affaire Benalla est-elle un élément révélateur plus que dissimulateur des vices de la Macronie
Le très regretté Jean-Paul Belmondo, longtemps acteur préféré des Français, avait multiplié dans sa carrière les films d’action et d’humour où il incarnait tour à tour des personnages de truand, de policier, de héros, d’aventurier, aussi séducteurs que hâbleurs et cascadeurs. Des films souvent résumés à un surnom emblématique : Le Magnifique, Le Professionnel, l’Alpagueur, le Marginal, l’Animal, le Solitaire…
Alexandre Benalla, beau gosse ambitieux et discret mais simple figurant de la Macronie devenu malgré lui une vedette des médias, pourrait voir sa carrière résumée à un titre : Le Fusible.
On pourrait presque dire Le Vieux fusible, tant il a servi et resservi, si le héros en question n’était pas un tout jeune homme, presque un gamin un peu pataud avec des gros muscles et une grosse barbe, au moment des faits qui le rendirent célèbre.
Poursuivi dans l’affaire qui porte son nom pour des faits relativement anodins (comparés à d’autres commis par son mentor aux commandes de l’Etat), Alexandre Benalla est en effet devenu depuis quatre ans le fusible le plus utile de la Macronie, sans cesse ressorti pour faire diversion.
Limogé du service de sécurité de l’Elysée, lâché par un Emmanuel Macron qui le qualifiait pourtant d’ami, le jeune Benalla a fait office de bouc émissaire tout désigné dès le déclenchement de l’affaire à l’été 2018. Une façon habituelle de protéger le Président et son image de gagnant ternie par le scandale médiatique.
Chouchou du Président (certains ajoutent même qu’il était son mignon), enfant « issu de la diversité », symbole d’ambition, de réussite sociale et d’ascension fulgurante à l’image de son modèle, garde du corps personnel et confident (intime) du chef de l’Etat, le jeune homme aux dents longues n’a cependant jamais été défendu par son parrain, l’actuel locataire de l’Elysée. Lequel s’est toujours abstenu de commenter l’affaire et n’a pas hésiter à le lourder, contrairement à certains de ses ministres beaucoup plus corrompus ou incompétents notoires.
Quant à la Macronie, elle s’est empressée de se rassembler pour protéger le Président, et de jeter cet histrion encombrant aux loups voraces des médias et de l’opinion publique, trop contente qu’on lui jette un os à ronger pour se venger du Mozart de la finance imposé un an plus tôt comme Président du ni ni face à la Maléficia ricanante du Manoir de Montretout.
Les faits reprochés à l’impétrant, accusé d’avoir outrepassé ses fonctions de garde du corps présidentiel en malmenant quelques manifestants lors des manifestations du 1er mai 2018, puis d’avoir utilisé deux passeports diplomatiques lors de voyages après s’être fait viré de l’Elysée, ont été abondamment disséqués, commentés, exagérés, exploités, jetées en pâture à la plèbe friande de ce genre de scoops compromettants montés en « affaires ».
Objectivement sur le fond, pas de quoi fouetter un chat. Certes, tabasser un syndicaliste avec des méthodes du GIGN quand on n’est que garde du corps, c’est relou. Une impulsivité coupable qui fait plus gorille que bodyguard. Et surtout qui fait tache quand on est membre du staff très rapproché du nouveau petit prodige bien propret des médias, dont l’image est soigneusement calibrée par un aréopage de coaches en communication. Mais bon… Comparé aux morts, aux yeux crevés, aux mains arrachées volontairement par les gestapistes envoyés quelques mois plus tard pour massacrer les Gilets jaunes ou les infirmières, ce dérapage ressemble plus à une bourde qu’à une affaire d’Etat.
Quant aux passeports diplomatiques, l’Etat produit tellement de vrais-faux passeports pour ses agents, y compris des anciens caïds du Milieu reconvertis en barbouzes, que ça prête à rire.
Il faudrait plutôt y voir chez le jeune Benalla trop fier de sa réussite et des missions qu’on lui confie une sorte de blessure narcissique et de dépit d’un jeune-homme issu de l’immigration et d’un quartier sensible d’Evreux, d’un milieu plutôt modeste, fils d’un père marocain prof de lycée qu’il décrit comme violent, ayant entamé un master en sécurité publique, entré aux jeunesses socialistes, membre du service d’ordre de Martine Aubry puis chauffeur d’Arnaud Montebourg, initié à la Grande Loge Nationale de France en 2017 où il fut repéré par ses frères et propulsé dans la garde rapprochée du futur Jupiter. Et nommé à 26 ans directeur de la sécurité d’En Marche.
Un parcours hors normes pour un garçon électrisé par les sommets, fasciné par le maintien de l’ordre et qui a cru en son étoile. Séduit, cajolé puis trahi par un jeune produit de luxe coopté par l’élite pour occuper les plus hautes fonctions. Un homme plus ambitieux que lui, manipulateur, cynique et sans cœur.
Se servir de passeports diplomatiques qu’il aurait dû restituer après avoir usurpé les fonctions de policier est sans doute une façon de se donner l’illusion qu’il était encore le chouchou du Prince, une prima donna du sérail ayant accès au corps du Président (au moins pour le protéger), alors que la Cour lui crachait déjà au visage. Plus qu’une intention frauduleuse délibérée.
Quant aux « missions » diplomatiques occultes que lui aurait confiées l’Elysée, il faut plus y voir un fantasme de journaliste qu’une affaire sérieuse. Objectivement ça ne tient pas la route.
Alors pourquoi tant d’acharnement ? Ceux qui ont un peu de jugeotte et ont été témoin de cet enflammement médiatique mi-2018 autour de Benalla ont à l’époque hurlé de rire en entendant parler d’une nouvelle « affaire » pour une simple bavure d’un gros bras du Monarque sur la personne de deux ou trois syndicalistes un peu agités. Une bavure qui fait tache mais une bavure. Point barre.
Ladj Ly (réalisateur du film Les Misérables), Gérald Darmanin (ministre de l’Intérieur), drag queens invitées à l’Elysée lors de la Fête de la Musique le 22 juin 2018, Olivier Véran (ministre de la Santé), Jacques Attali (conseiller de Présidents, écrivain, conférencier), Didier Lallement (Préfet de Police de Paris), Agnès Buzyn (ministre de la Santé du gouvernement d’Edouard Philippe), Yassine Belattar (humoriste et militant islamiste), Léa Salamé (journaliste France Télévision, France Inter), Eric Dupont-Moretti (ministre de la Justice), Sibeth Ndiaye (porte-parole du gouvernement d’Edouard Philippe), Christophe Barbier (ancien rédacteur en chef de L’Express), Laurent Delahousse (présentateur du Journal de France 2), Apolline de Malherbe (journaliste BFM TV), jeunes Noirs délinquants photographiés avec Macron lors d’une visite en 2018 à Saint-Martin (Antilles françaises), Jean Castex (Premier ministre)
Mais ça c’était avant une autre crise, d’une toute autre gravité celle-là, et qui allait faire beaucoup parler d’elle. Et puis une autre encore, qui mit un coup d’arrêt brutal à la première et allait tout balayer.
2018-2021 : on est passé du monde d’avant au monde d’après. L’affaire Cahuzac, une vulgaire histoire de gros sous impliquant un ministre socialiste et non des moindres oublieux de déclarer ses millions au fisc, c’est du passé. De la gnognotte. Aujourd’hui on est passé du Guignolo à Matrix, des petites magouilles entre amis à l’asservissement total de l’humanité par les artisans du Nouvel Ordre Mondial. Dont notre Macrounet en bon banquier de chez Rothschild est l’un des thuriféraires les plus empressés. O tempora, o mores…
A l’automne 2018, soit deux mois seulement après le début de l’affaire Benalla, le mouvement des Gilets jaunes n’était pas encore une « crise » mais un simple mouvement social. Sporadique, non structuré, et surtout non-violent. Emmené par quelques pauvres hères de la France d’en-bas, « des gens qui ne sont rien » selon l’expression éloquente du banquier-Président. La plupart étaient camionneurs ou conducteurs de véhicules professionnels, et arboraient donc des gilets de sécurité routière jaune fluorescent en guise de signe de ralliement pour se rassembler chaque samedi et manifester contre l’augmentation du prix des carburants due à la hausse de la taxe sur les produits énergétiques.
De simples manifs comme on avait vues tant sur des ronds-points. Mais qui allaient vite dégénérer en jacquerie d’un genre nouveau. Et entraîner dans leur sillage un mouvement national et populaire de contestation hargneuse anti-Macron, antisystème, anti-caste, anti-réforme des retraites. Une marée grossissante de braillards jaune canari déferla ainsi le jour des courses à l’appel du mouvement sur les grandes villes. Drainant son lot de sauvageons des banlieues, de casseurs et d’anars révolutionnaires, comme au temps des manifs étudiantes de 2005. Mais aussi des faux black blocs : ces policiers en civil infiltrés en marge des cortèges pour semer la pagaille et discréditer le mouvement. Les commerçants aux vitrines saccagées furent les premiers à s’indigner, suivis par une partie de la population inquiète et excédée.
La réponse du pouvoir jupitérien fut implacable : des consignes pour repousser et matraquer sans retenue les manifestants furent données au nouveau Préfet de Police Didier Lallement et à ses bataillons. Lallement le bien nommé : un sosie de Heinrich Himmler, chef de la Gestapo et ministre de l’intérieur du Reich, que les gazettes ne tardèrent pas à brocarder. Aussi méprisant de la populace que son modèle et que son mentor jupitérien. Loin de faire plier les manifestants, ces violences dénoncées par l’opinion et quelques politiques de l’opposition contribuèrent à fédérer et pérenniser un mouvement par ailleurs plutôt faible en revendications. Et à le durcir davantage.
On vit alors se multiplier de façon presque rituelle les cassages en série, les violences sur les Champs-Elysées, le saccage de l’Arc-de-Triomphe et d’autres monuments républicains, le chaos dans les rues, les flammes, la fumée grise des lacrymos qui étouffe et s’élève au-dessus des toits comme au-dessus d’une ville bombardée, les hommes et les femmes à terre, en sang, pleurant et gémissant, les blessés et mutilé par dizaines, et même les morts… Des répressions policières arbitraires et systématiques, aussi méthodique qu’inexorables. Une violence inouïe, inédite, et surtout scandaleusement disproportionnée. A l’image de ce pouvoir brutal, de ce Président déshonoré, impatient de dissuader les manifestants et de casser le mouvement pour poursuivre son agenda.
Parti de revendications catégorielles sur le prix des carburants, le mouvement de Gilets jaunes devint en quelques mois le symbole d’une opposition massive à tout ce que Macron et son régime représentent toujours aujourd’hui. Et que le peuple dans une écrasante majorité occultée par des sondages falsifiés rejette viscéralement, dans un sursaut commun pour survivre face au laminoir de la mondialisation, de la normalisation En Marche, du Nouvel Ordre Mondial et du Covid.
Conscient des enjeux et sans doute mal conseillé, le banquier-Président en mission pour la Caste mondialiste prit l’initiative de convoquer des Etats généraux de la Plèbe, sous forme d’un grand débat national aussi futile que burlesque. Sentant son pouvoir vaciller et ne tenant plus que par sa Police, il fit mine de privilégier la négociation au rapport de forces avec la rue qui réclamait sa destitution et accrochait son portrait sur des piques comme au temps des ci-devant et de la guillotine : une première pour un Président de la Ve. Macron crut qu’il suffisait de dresser des cahiers de doléances dans toutes les mairies de France pour engager le dialogue et convoquer la France en guenilles à un brain-storming civilisé afin de mettre un baume sur ses malheurs. Symptomatique d’un énarque hors-sol. Il se déplaça même dans l’Hexagone pour écouter ses sujets, tel un monarque en campagne visitant ses provinces. Et cru que le bon peuple allait l’applaudir. Avant de finalement lâcher quelques belles paroles à son habitude, puis quelques milliards pour calmer les gueux. Espérant ainsi les corrompre et les faire rentrer sagement dans leurs gourbis.
Echec retentissant. Malgré les tentatives de récupération de l’extrême droite et de l’extrême gauche, la division de l’opinion entretenue par le pouvoir entre ceux qui condamnent les violences et ceux qui soutiennent les manifestants, les tentatives de corruption des figures du mouvement, et les 17 milliards balancés sur la plèbe, le mouvement ne s’est jamais tari. Reprenant même du souffle avec la très impopulaire réforme des retraites engagée en 2019. La goutte qui fit déborder le vase.
Le Covid, le confinement et les lois liberticides portèrent d’abord un coup d’arrêt net au mouvement des Gilets jaunes. Mais ils donnèrent a posteriori raison aux Gilets jaunes quant à la nature tyrannique du régime. A peine déconfiné, le mouvement se fondit plus ou moins dans une vague de contestations bien plus ample et plus profonde, creusée dans l’opinion par les humiliations subies durant les confinements. Une lame de fond lente à démarrer mais inexorable contre la nouvelle dictature sanitaire d’un Président autocrate flanqué des pleins pouvoirs et entêté dans une politique de plus en plus tyrannique.
Malgré l’interdiction initiale des rassemblements publics et des manifestations « pour raisons sanitaires », cette nouvelle fronde se personnalisa davantage contre ce Président haï, la dérive dictatoriale de son régime incarnée par des violences policières toujours plus dures et injustes, des mesures sanitaires absurdes et inefficaces, un contrôle médical, numérique et policier des populations symbolisé par la vaccination obligatoire et le pass sanitaire imposés à tous ; ce qu’aucun pays au monde n’avait fait.
La planète s’était émue en décembre 2018 de ces violences policières, face aux images de Paris en guerre et d’une France sombrant dans le chaos. A propos de ces violences inédites puis de la censure mise en place après le Covid, des ONG comme Amnesty International ou Human Rights Watch ont même comparé les méthodes du régime de Macron avec celle des pires dictatures comme la Corée du Nord, reléguant la France loin derrière dans le classement des « démocraties » qui respectent le mieux les droits de l’homme et la liberté de la presse.
Pourtant, en 2019 le monde tout entier entra en ébullition : des mouvements de contestation violents et de revendications antigouvernementales, antisystèmes, anti-corruption, contre l’augmentation du coût de la vie et les violences policières, éclatèrent de Hong Kong à Santiago, de Beyrouth à Barcelone… Jusqu’à ce qu’un petit virus de pangolin renvoie tous ces excités à la maison.
L’affaire Benalla fut juste une vilaine tache sur le costume ; la crise des Gilets jaunes fut la première vraie grosse crise du régime Macron, qui fit même basculer certains fanatiques de la première heure dans le camp des antimacronistes résolus à le dégager par tous les moyens : démission, destitution au tite de l’article 68 de la Constitution, déposition par l’armée, révolution ou pire…, tous les scénarios furent tour à tour évoqués, au nom de la République, de la démocratie et du peuple bafoués.
Une crise qui rompit le pacte, fût-il fictif et mensonger, établi entre le nouveau joujou des médias et le peuple français. Un peuple éreinté par les crises, désabusé par les promesses, les tromperies, les affaires de corruption qui décrédibilisent tout le staff politique. Une crise qui révéla l’absence totale d’éthique républicaine chez ce Président-banquier propulsé par une oligarchie d’affaires plus soucieuse de ses intérêts que du peuple qu’elle exploite. Une crise révélatrice de la peur qu’inspire clairement le peuple incontrôlable et irascible à ces élites et à leur hochet. Une crise qui trahit le Pacte républicain fondé sur des idéaux de Liberté, de Fraternité et de Justice sociale. Une crise qui révèle le mépris du peuple et le cynisme d’une marionnette programmée pour dérouler un agenda liberticide, populicide et antidémocratique : celui de cette caste financière, ultralibérale et mondialiste qui a « fabriqué Macron« , comme s’en est vanté Jacques Attali.
Alors, Benalla, fusible de la Macronie ? Ou simple croupion déchu du pouvoir jeté dans l’arène pour occuper la plèbe ?
Cela paraît presque une évidence après quatre ans de crise sociale et politique, de saccage méthodique du service public, de notre système de protection sociale, de violences policières extrêmes et inédites depuis la Milice et l’Occupation. Et à sept mois des élections présidentielles, à propos desquelles le Président sortant le plus haï et le plus illégitime de toute l’Histoire républicaine, soutenu par seulement 5% de l’électorat (aux dernières élections régionales), semble osciller entre une apparente impatience à battre à nouveau campagne (sans doute pour échapper aux innombrables plaintes pour « crimes contre l’humanité » commis durant la crise du Covid), et la résignation. Avec des déclarations sibyllines saupoudrées ici ou là :
« Peut-être que je ne serai pas candidat… Peut-être que je ne pourrai pas me représenter, parce que je devrai prendre des décisions très dures dans les derniers mois de mon mandat… » (décembre 2020 et juin 2021).
Jamais un Président de la République française n’avait été élu de façon aussi frauduleuse et illégitime, au terme d’élections manipulées, émaillées de fraudes avérées (mais jamais commentées dans les médias officiels), pilotées par des médias aux mains de milliardaires unanimes à soutenir sa candidature. Quitte à détruire méthodiquement la respectabilité de ses concurrents. Comme lors de cette affaire Fillon montée de toutes pièces deux mois avant le premier tour de 2017 pour torpiller le favori des sondages et ouvrir un boulevard au nouveau prodige.
Jamais un Président ne s’était aussi peu soucié d’une France qu’il ignore, lui préférant l’échiquier bankable de ses mentors mondialistes, de sa souveraineté qu’il bafoue plus que ne l’ont fait tous ses prédécesseurs, de sa culture dont il nie l’existence, de son peuple qu’il méprise, pourchasse et matraque via ses milices privées, nouveau rempart de La Dictature En Marche : honnêtes citoyens, mères de famille, retraités, syndicalistes, avocats, infirmières et médecins confondus.
Jamais une marionnette de l’oligarchie financière et du groupe Bilderberg (à la réunion duquel il fut invité à participer en 2014), par ailleurs toujours directeur associé de la Banque Rothschild, inconnu du grand public quatre ans auparavant, sans aucune expérience de la politique, parachuté comme conseiller spécial à la tête de l’État par des conseillers opaques, n’avait gravi aussi vite les échelons du pouvoir. Jusqu’à se faire élire deux ans plus tard après un court passage à Bercy contre un épouvantail de circonstance incapable de débattre la veille du scrutin, pour cause d’alcoolémie et de vulgarité patentes.
Jamais un programme de destruction massive formaté par les grandes écoles, looké comme un premier de la classe et bardé de spécialistes du marketing politique, arrogant et crâneur, n’avait en si peu de temps détruit tout ce qui faisait naguère la France : son Etat de droit résumé à une dictature qui n’ose s’avouer, son modèle de République une et indivisible laminée par le multilatéralisme, le communautarisme et l’islamisme, instruments chouchoutés par les progressistes pour détruire les états-nations et imposer leur Nouvel Ordre Mondial. En dépit de l’attentat de la Préfecture, de la décapitation d’un professeur de lycée par un islamiste tchétchène sans papiers, et autres attentats « isolés », des profanations de lieux de culte chrétiens, des provocations et agressions islamistes, d’un débat concédé à une opinion excédée par tant d’inaction et de duplicité, et finalement d’une loi bidon sur le « séparatisme » qui n’ose même pas dire son vrai nom (l’Islam radical), le CCIF et les Frères musulmans ont continué comme par le passé d’être été cajolés et encouragés par les élites au pouvoir. Pour ne pas froisser l’électorat musulman, mais aussi par calcul stratégique inavouable à plus long terme. Une constante des gouvernements successifs, aveugles ou duplices depuis Sarkozy, qui avait fait rentrer les Frères musulmans au CFCM contre l’avis de son parti.
Macron s’est même abaissé à s’exhiber de façon obscène, dégradant la fonction présidentielle, en compagnie de militants islamistes portés aux nues par les médias « progressistes » gangrenés par la culture woke. Certain appelé « mon frère » par le Président comme Yassine Belattar, pseudo humoriste et sous-marin des Frères musulmans. Ou Ladj Ly, réalisateur des Misérables, un navet césarisé sur la misère des cités et les idiotes voilées, qui aurait « bouleversé » Macron. Il est vrai que le Président le plus sensible de la Ve République a aussi quelques faiblesses assumées pour les Blacks et Beurs, jeunes délinquants de préférence…
Sur le volet social et économique, Macron s’est employé à détruire méthodiquement ce qu’il restait du système public de protection sociale, des services publics, à démanteler au profit de concurrents étrangers les entreprises françaises stratégiques, y compris des firmes ultra rentables comme Aéroports de Paris : assurance retraite, chômage, maladie, SNCF, EDF, Police nationale (en partie remplacée par des milices privées), et même l’Armée si on le laisse faire : tout doit disparaître, soldé au privé !
La casse et « LE » casse du siècle, commandité par une oligarchie prédatrice représentée notamment par des fonds d’investissement comme BlackRock (invité à siéger au Conseil des ministres sur la réforme des retraites). Avec en prime le plus grand nombre de conflits d’intérêts de tous les gouvernements de la Ve République entre les ministres des gouvernements Philippe et Castex et certains lobbies privés.
Une marche forcée vers la normalisation ultralibérale engagée au détriment des Français, dans l’intérêt exclusif du secteur privé, d’une poignée de multimilliardaires amis et mécènes du Président, des grandes priorités de son programme ultralibéral, de son parti composé de clampins trentenaires inexpérimentés et aux ordres. Une marche conduite avec un mépris assumé du peuple. Sur fond de répressions, de muselage de l’opinion et de violences policières jamais vues en France depuis l’Occupation, même durant la guerre d’Algérie.
L’apothéose aura été atteinte avec la « crise sanitaire » du Covid. Une opération de grande envergure imaginée, planifiée, mise au point, simulée (deux mois avant le début de l’épidémie lors d’un exercice de simulation baptisé Event 201 et organisé par plusieurs fondations privées), puis mise en œuvre comme une campagne militaire par les plus grandes institutions mondiales (OMS, ONU, Forum Économique Mondial…), avec le concours de fondations privées (Rockefeller, Rothschild, Bill & Melinda Gates, Gavi, John Hopkins…) Un scénario minutieux répondant à une stratégie du basculement visant à instrumentaliser les chocs, les épidémies et le chaos qu’elles engendrent, afin de mettre en place un système de contrôle intégral des populations au niveau mondial : création d’un nouveau système financier mondial en remplacement de l’ancien, exsangue, instauration d’une monnaie unique numérique mondiale, établissement d’un système de surveillance numérique omniprésente et décentralisée, généralisation du crédit social à la chinoise pour tous les humains, restriction de toutes les libertés… Et bien sûr instauration d’une gouvernance mondiale entièrement contrôlée par les oligarques : un concept très ancien qui remonte au 18e siècle, une nécessité obsessionnelle selon les maîtres du monde dont Macron est le pantin.
Le scénario de ce basculement appelé Great Reset, qui instrumentalise la cause de l’écologie et du développement durable, mais les préoccupations sanitaires et sécuritaires grâce à des pandémies contrôlées utilisées comme leviers de changement, est désormais bien connu, au moins des esprits lucides. S’agissant des sombres objectifs que cache la crise sanitaire du Covid, les étapes du scénario de transition vers le nouveau paradigme, une nouvelle forme de dystopie totalitaire, de dictature sanitaire, policière, technosécuritaire, numérique, mondialiste, transhumaniste et eugéniste, annoncée longtemps à l’avance sont maintenant en majeure partie connues : « découverte ‘un nouveau coronavirus zoonose, psychose médiatique mondiale, mise en place de mesures d’exception uniformisées par les états…
Et puis s’agissant de la France, modèle en la matière au plan mondial : distanciation sociale, état d’urgence reconduit indéfiniment de façon totalement inconstitutionnelle, abolition drastique de toutes les libertés individuelles, confiscation de la démocratie, du débat parlementaire, nomination d’un « Conseil de défense » comme en temps de conflit armé (pour une simple grippe…), abolition du principe de séparation des pouvoirs avec une subordination totale du Parlement et partielle de la Justice au pouvoir exécutif réuni autour d’un seul homme, neutralisation de tous les partis politiques, du débat démocratique (par les médias) et des contre-pouvoirs, instauration d’une véritable Police de la Pensée (Checknews) composée de médias officiels subventionnés par l’Etat (à hauteur d’un milliard d’euros en 2020) et la Fondation Bill & Melinda Gates, censure des médias indépendants et des réseaux sociaux, pénalisation des propos déviants (« fake » ou « haineux« ), déchéance des droits parentaux pour les parents accusés de « déviance sectaire » (simple contestation de mesures sanitaires injustes et liberticides), incitation à la délation, arrestation et incarcération arbitraires sans aucun motif de scientifiques dénonçant les mensonges et crimes d’Etat, fermeture des frontières, enfermement de toute la population grâce aux confinements et couvre-feux à répétition, imposition d’un laisser-passer pour sortir de chez soi, gel de l’économie nationale et destruction volontaire de secteurs entiers au profit de multinationales (Uber, Netflix, Amazon…), mise sous tutelle du pouvoir médical, suppression de la vie privée et du secret médical, interdiction de prescrire certains médicaments efficaces sous AMM (pour favoriser des « vaccins » au stade expérimental, inefficaces, ultra toxiques voire létaux et sans AMM), interdiction de soigner des malades et de les admettre en services d’urgences, arrêt et interdiction de certains protocoles de recherche médicale, port obligatoire de masques inutiles et dangereux y compris pour les enfants avec risques élevés de suffocations, de réactions allergiques et d’autocontaminations bactériennes, interdiction aux enfants de jouer, de s’approcher, de se parler, de se toucher, enfermement et endoctrinement dans les écoles, tests et vaccins réalisés sur des enfants sans l’accord e leur parents, obligation de se faire tester pour pouvoir travailler dans certaines entreprises et services publics (bien qu’illégal), se déplacer, voyager, avec des tests PCR inutiles (selon leur inventeur) et faux à 98% si positifs (selon les fabricants et épidémiologistes), vaccination obligatoire indirecte et parjure, pass sanitaire étendu de façon parjure, inconstitutionnelle et totalitaire à tous les actes de la vie civile, etc…
La France de Macron a ainsi servi de modèle et de tête de proue européenne de la Dictature En Marche. Le Président le plus zélé et servile de l’Oligarchie a ainsi osé prendre des décisions criminelles qu’aucun chef d’Etat ailleurs dans le monde n’a jamais osé prendre. Comme l’interdictions faite aux médecins de soigner les malades et l’interdiction des médicaments comme l’hydroxychloroquine du Professeur Raoult, l’ivermectine ou l’artemisia annua (armoise), dont l’efficacité est avérée par des centaines d’études et qui ont été utilisés par de nombreux pays (USA, Royaume Uni, Chine, Russie, pays africains…) pour guérir rapidement les malades du Covid. Un cas unique dans l’Histoire et un authentique crime contre l’humanité qui a engendré des sizaines de milliers de plaintes contre l’Etat français, son Président et les ministres concernés auprès de la Cour de Justice de la République, de la Cour européenne de Justice ou de la Cour pénale internationale. Comme Agnès Buzyn, actuellement sous le coup d’une mise en examen.
Macron ne s’est cependant pas arrêté là. Au plus fort de l’épidémie les malades les plus fragiles (trop âgés, atteints de maladies chroniques…) ont été empêchés d’accéder aux hôpitaux prétendument « saturés », obligeant les médecins urgentistes à effectuer une sélection cornélienne entre ceux qui devaient vivre et ceux qui devaient mourir, renvoyés chez eux avec une boîte de Doliprane. Pire encore, l’Etat français a fait volontairement euthanasier plusieurs milliers de personnes âgées en EHPAD et à leur domicile, grâce aux décrets Véran des 28 mars et 16 décembre 2020 enjoignant les médecins à prescrire du Rivotril, un neuroleptique létal formellement contre-indiqué en cas d’insuffisance respiratoire et produit par Roche (mécène de LREM…), aux personnes âgées simplement suspectées de Covid. Sans consentement éclairé, sans avertir les familles, interdites de visites pendant trois mois, et parfois sans aucun test préalable. Une performance macabre réitérée aussi discrètement et sans état d’âme durant l’été 2021 en Martinique, à la faveur d’une « 4e vague » punitive et totalement fictive.
L’Etat a aussi refusé l’aide proposée par les cliniques privées aux hôpitaux publics en plein pic épidémique (entre mars et mai 2020). Il a refusé l’offre gratuite de respirateurs proposés par certains fabricants de matériel médical à l’Assistance publique. Il a refusé de transférer certains malades surnuméraires dans des hôpitaux de province totalement vides. Et préféré mettre en scène la « pénurie de lits » grâce à un transfert coûteux des malades digne d’une campagne militaire dans des services de réanimation situés à l’autre bout de la France, à coup de TGV spécialement affrétés et en convoquant les médias…
Si l’on se penche sur aux conflits d’intérêts entre la Macronie et l’industrie pharmaceutique, notamment le lobby vaccinal, on ne les compte plus tant ils sont légion. Agnès Buzyn, ministre de la Santé de 2017 à 2020, est aussi l’ex-épouse d’Yves Lévy, PDG de L’INSERM et dirigeant de l’Institut Pasteur. Yves Lévy a par ailleurs contribué en 2011 à l’inauguration du laboratoire P4 de Wuhan, fruit d’une étroite collaboration scientifique franco-chinoise, et considéré aujourd’hui presque unanimement par les épidémiologistes comme l’origine du coronavirus responsable du Covid. C’est aussi le plus farouche ennemi du Professeur Didier Raoult, l’un des premiers avoir a expérimenté sur les malades du Covid soignés à l’IHU de Marseille et avec un succès spectaculaire confirmé par de multiples études mondiales un traitement à base d’hydroxychloroquine et d’azithromycine avéré auparavant efficace sur plusieurs infections à coronavirus.
L’une des décisions les plus surprenantes de la ministre a été d’interdire la libre délivrance sans ordonnance de l’hydroxychloroquine, un médicament produit en France et très peu coûteux, administré à plus de 2 milliards de patients dans le monde depuis 70 ans sans aucun effet secondaire, en l’inscrivant au Tableau des substances vénéneuses en janvier 2020. Soit 2 mois avant l’arrivée de l’épidémie en France !
Après avoir quitté Matignon, Edouard Philippe, Premier ministre au début de l’épidémie, a aussitôt pris la direction d’une société de services numériques, laquelle est aujourd’hui en charge… du QR code !
Bien que totalement inconnu du grand public, sans aucun charisme ni expérience gouvernementale, son remplaçant Jean Castex n’a pas été choisi par hasard. Ex-directeur administratif et financier de l’Institut Pasteur. Pasteur est le laboratoire crédité preuves à l’appui par certains spécialistes comme le Professeur Jean-Bernard Fourtillan comme étant le créateur et le détenteur de l’unique brevet au monde du virus SARS-COV-2 responsable du Covid-19 (et du brevet du vaccin correspondant). Ce qui n’a jamais été officiellement démenti par le laboratoire. Castex fut par ailleurs conseiller en 2009 de Nicolas Sarkozy en pleine crise du H1N1, en charge de la vaccination ! Et aux côtés d’une certaine Roselyne Bachelot, ministre de la Santé, accusée par la suite de conflit d’intérêts, sagement retraitée de la politique et reconverti dans le show biz, mais pourtant nommée ministre de la culture du gouvernement Castex en 2020. Simples coïncidences.
Si l’on remonte à la campagne du candidat Macron en 2017 et à la création de LREM, on découvre qu’au moins 4 grands laboratoires français et internationaux ont contribué au financement de sa campagne et de son nouveau parti (prétendument uniquement financé par les dons des adhérents). Ces labos ont même financé certains ministres à partir de 2017. Quoi de plus normal que Macron ait pris la décision 6 mois après son élection de rendre obligatoires 11 nouveaux vaccins pour les nourrissons. Et ce contre l’avis d’une majorité de médecins français, y compris des provax. Simple retour sur investissement.
L’Histoire s’est depuis répétée à plus grande échelle avec la vaccination rendue de fait obligatoire contre le Covid pour toute la population française (sauf quelques exceptions ciblées comme les policiers…) : personnes âgées, personnels soignants, adultes, employés de certains services, adolescents, et bientôt jeunes enfants et nourrissons si rien n’est fait pour éviter ce crime. Une spécificité française parmi les pays développés, puisqu’à ce jour seuls le Turkménistan, le Tadjikistan, l’Arabie Saoudite et le Pakistan, 4 dictatures islamistes, ont opté pour la vaccination obligatoire.
En effet, ces prétendus « vaccins » qui ne sont que des injections géniques expérimentales très contestées par une part croissante du corps médical, accumulent les fiascos retentissants à mesure que les études tombent : inefficacité quasi-totale à protéger des contaminations en provoquant une réponse immunitaire adaptée et durable (même contre les formes les plus graves du Covid contrairement à ce que la propagande des labos affirme), contaminations de plus en plus élevées chez les personnes vaccinées et supérieures aux personnes non-vaccinées, effets secondaires graves à très graves exponentiels et inédits dans toute l’Histoire de la pharmacovigilance : 2 millions répertoriés en 6 mois par l’agence de pharmacovigilance européenne, décès directement liés aux vaccins supérieurs au décès du Covid, décès du Covid chez les vaccinés 8 à 13 fois plus importants que chez les non-vaccinés, 44 fois plus de décès de thrombose chez les enfants vaccinés… Une vraie catastrophe humanitaire !
Alors que les virus mutants sont selon les épidémiologistes de moins en moins contagieux et dangereux (contrairement aux mensonges officiels), le vrai danger c’est aujourd’hui le vaccin ! L’idéologie du tout vaccinal propre à satisfaire les lobbies est pourtant la seule stratégie appliquée de façon autiste et monomaniaque par Macron et son gouvernement, de plus en plus déterminés à faire taire et punir les experts, médecins et journalistes courageux qui osent braver la censure et dire la vérité.
« Le mensonge, c’est la vérité. » (Orwell, 1984) Il semble que le régime actuel, de plus en plus enfermé dans un glissement dictatorial, ait fait sienne cette maxime, bien décidé à combler le plus vite possible l’écart entre la France autrefois « patrie des droits de l’homme et de la démocratie » avec la dictature chinoise et ses outils numériques de surveillance et de contrôle des masses : drones, robots policiers, reconnaissance faciale, algorithmes prédictifs, 5G, crédit social… D’autant qu’avec le tout nouveau pass sanitaire (mis au point et imposé par l’Europe), et son extension à tous les actes de la vie quotidienne, 1984 sera bientôt un vieux compte pour enfants.
Ce pass vient pourtant aujourd’hui d’être abandonné par le Royaume Uni car totalement inutile et inapplicable. Si les choses évoluent selon l’obstination de Macron à transformer le France en nouvelle Corée du Nord, il sera sans doute bientôt une exclusivité française, totalement calquée sur son modèle chinois.
L’obstination de Macron, de ses sbires et complices corrompus – politiques, journalistes, pseudos scientifiques, médecins achetés par les labos, Ordre des Médecins et agences de santé archi corrompus… – à poursuivre une politique insensée, meurtrière, liberticide, quasi génocidaire, à liquider la démocratie et l’identité française dans le seul intérêt de ses mécènes, avec un cynisme effrayant déguisé en amateurisme, constitue le plus grand crime commis par des dirigeants politiques démocratiquement élus dans notre Histoire. Et apparente le régime de Macron aux pires heures de Vichy.
Face à tous ces crimes, l’affaire Benalla ressortie à la rentrée 2021 alors que démarre la campagne des présidentielles semble une peccadille ! Et un paravent bien maigre pour faire oublier ce que les médias qualifient pudiquement d’ « erreurs de gestion » ou d’ « incohérences ».
Mais l’opinion intoxiquée par la propagande omniprésente des médias, et dépossédée de son libre arbitre par des décennies d’ingénierie sociale, est aujourd’hui dans sa grande majorité incapable de discerner le vrai du faux, de se faire un avis précis à partir de faits établis et non de slogans ou de rumeurs matraqués quotidiennement. Ne lui reste comme unique choix qu’à ravaler ses frustrations et voter Macron une seconde fois en 2022.
L’affaire Benalla dont reparlent les médias à la faveur de l’ouverture du procès est l’un de ces dérivatifs commodes agités pour détourner l’attention du public des sujets importants qui risqueraient de le mécontenter. L’été 2021 a eu son lot : Euro 2020, Tour de France, J.O. de Tokyo pour amuser la galerie et distraire les inutiles après des mois d’humiliations. Et pour entretenir la peur tout en canalisant les ressentiments, ouverture en septembre du procès des attentats parisiens de Novembre 2015 et célébrations des 20 ans du prototype inégalé, ceux du 11 Septembre : quelle magnifique coïncidence !…
Aussi incroyable que cela puisse paraître, l’homme le plus haï de France pourrait donc se voir réélire par défaut face à une Marine Le Pen inexistante lui servant de marchepied, comme en 2017. Les sorciers du marketing politique et de médias spécialistes de manipulation mentale devront alors user de toutes leurs ruses pour redonner une crédibilité, du peps et du sexy à ce véritable tyran. Celui-ci pourra alors achever son Grand Œuvre macabre et faire basculer la France, puis l’Europe et enfin le monde dans la plus effroyable dystopie jamais imaginée par les pires films de science-fiction.
Tout ça en prétendant œuvrer pour la santé, la sécurité et le bonheur de « la France efficace et juste » [ii].
Après tout, comme le disait un Goebbels expert en la matière : « Plus un mensonge est gros, et plus ça passe !«
[i] Cf. le livre de Klaus Schwab, Président du Forum Economique Mondial, et Thierry Malleret : Covid-19, The Great Reset, publié en 2020.
[ii] L’un des slogans du candidat Macron en 2017.