C’est depuis longtemps un fait entendu, Macron adore tendre la croupe et cirer les pompes des jeunes bears musulmans barbus et poilus. Mieux encore si ce sont des militants ou mécènes islamistes.
Il aime les serrer dans ses bras en mouillant la pupille et le reste, lors de visites à l’Elysée ou de voyages officiels, en leur jetant du « mon frère ! » énamouré.
Avec les jeunes métis de 20 ans délinquants récidivistes de Saint-Martin, qu’il aime tripoter en faisant des doigts d’honneur à la caméra, et les drag-queens antillaises maquillées à la truelle, invitées à se trémousser en jupe sur de l’électropouffe lors d’une garden-party à l’Elysée (ce qui fait beaucoup rire Brigitte), les Rebeux blindés du Middle-East, et les Blacks sévèrement équipés des anciennes colonies, restent ses préférés.
« La colonisation est un crime contre l’humanité », lançait-il en 2017 à Alger pour flatter ses hôtes algériens. Faire la coquette et lécher le cul des anciens colonisés, voilà une bien curieuse façon de réparer des siècles de crimes coloniaux !
Ainsi Benalla et Belattar (Maroc), Ladj Ly (Mali), réalisateur du navet islamiste Les Misérables qui l’aurait, dit-il, « bouleversé », le tyrannique mais costaud MBS (Arabie Saoudite), Ben Mohamed (Dubaï), Ben Zayed (Abu Dhabi), Ben Haman (Qatar) et d’autres financeurs du PSG et du Djihad, font désormais partie de ses potes intimes. Du moins en rêve-t-il.
L’islamo-gauchisme, c’est faire la chasse aux musulmans pauvres. L’islamo-capitalisme, c’est faire du cirage de pompes aux musulmans riches. Surfeur champion du Et en même temps, Macron cumule les deux. Avec un faible en privé pour les uns, et en public pour les autres.
Un vice qu’il partage avec Justin Trudeau, jeune dirigeant mondialiste « sensible », amateur de poils islamistes et membre comme lui de la secte des Young Global Leaders dirigée par leur cher gourou néonazi Klaus Schwab, Président du Forum économique mondial.
Bien sûr, tout cet aréopage de poilus n’est courtisé que pour servir la France, éponger ses dettes, renflouer des boîtes en difficulté, suppléer aux fournitures déficientes de pétrole et de gaz… Bref, rien que stratégie et diplomatie.
Mais au passage, c’est presque tout ce que l’islamosphère compte de princes héritiers pas assez chère mon fils, d’artistes woke césarisés, de pseudos humoristes fétiches d’Hanouna et sous-marin du CCIF, ou de jeunes frappes aux dents longues devenues agents de sécurité très rapprochée qui lui est passé dessus. Au propre comme au figuré. Que du très beau monde en fait. Le bougre assume et en redemande, crânement.
Respect pour la fonction présidentielle ? Image de la République ? Sens de l’Etat ? Grandeur de la France ? Conscience des limites à ne pas franchir ?… Il n’en a cure. D’ailleurs, selon ses anciens collègues de Rothschild et ceux qui l’ont côtoyé, ce sociopathe pervers narcissique n’a aucune espèce d’éthique républicaine, ni aucune éthique tout court. Seuls comptent ses intérêts, ses privilèges et ses caprices de petite pute dorée, obsédée et cocaïnée, biberonnée et protégée depuis Sciences Po par une caste d’oligarques qui s’en sert comme d’un Pinocchio de luxe pour effectuer le sale boulot (mais pour combien de temps encore ?…)
Même Attali « c’est-moi-qui-l’ai-fait » soulignait en des termes plus convenables quelques années avant son élection que son protégé était une très grande pute. Et qu’il ferait donc un jour un très bon Président. Entendez un caniche de cirque aux ordres.
La France, ou ce qu’il en reste, n’est plus soumise au fait du prince comme sous Mitterrand, mais aux fesses du prince. Le prince qu’on sort de l’anonymat pour mettre à bas la start-up nation. En le flanquant d’une marâtre, de spin doctors, d’un storytelling ronflant et d’un programme bidon made in McKinsey. On est tombé bien bas.
Les frasques de la Macronie, qui ressemble de plus en plus à un repère de pervers, de justiciables et de conflits d’intérêts en tous genres, tiennent lieu de susucre pour services rendus. L’argent n’a pas d’odeur. Et il faut bien flatter ceux qui honorent servilement les dieux, en boostant leurs dividendes.
En d’autres temps on aurait sorti piques et guillotines, dégagé le roi et ses petits mitrons d’un autre lit du Palais pour les parquer à la Conciergerie, le temps qu’ils ruminent leurs péchés envers le peuple. Mais ce peuple, tout le monde s’en fout. Sinon le temps des promesses de campagne, et encore.
Car il y a bien longtemps que la France n’est plus une République ni une démocratie. Même s’il reste essentiel, pour le moment, de faire comme si en ménageant les apparences. Il y a longtemps que l’Etat de droit, les grands principes, les Droits de l’homme, la Constitution, le régime parlementaire, les institutions, la vie politique, les partis, les contre-pouvoirs, la Justice, les médias, et même la science et la médecine sont dévoyés, achetés, corrompus jusqu’à l’os par des marchands de soupe et leurs banquiers-actionnaires.
Nous vivions déjà dans une ploutocratie ; avec le Covid nous avons basculé dans une nouvelle forme de dictature totalitaire qui ne dit pas son nom. Seuls les cons ne l’ont pas encore compris. Avec à sa tête une folle psychopathe adoubée par la secte mondialiste. Comme quasiment tous les dirigeants des Etats et institutions du monde occidental, et leurs acolytes : Biden, Merkel, van der Leyen, Johnson, Drahi, Trudeau, Ardern, Philippe, Borne, Attal… Qui ne sont plus des dirigeants politiques servant leur pays, comme le répète fort justement Valérie Bugault, mais des représentants nommés par une caste oligarchique dans le seul but de défendre ses intérêts économiques et financiers.
Qu’ils soient d’authentiques salopes dégénérées, esclaves de leurs désirs compulsifs, est un excellent atout. Cela les rend plus malléables. D’ailleurs beaucoup de ces marionnettes en apparence surdouées sont sous emprise. Macron en est un cas éloquent, lui chez qui plusieurs spécialistes ont relevé d’authentiques symptômes caractéristiques des personnes reprogrammées selon des méthodes de sujétion type MK Ultra. Ce programme de manipulation mentale mis au point par la CIA à partir des années 1960 afin de soumettre totalement des personnes au profil psychologique fragile, et de les conditionner pour accomplir des tâches précises lors d’opérations spéciales : crimes, meurtres, attentats ciblés ou remplacement de chefs d’Etat destitués…
Bien sûr faute de preuves formelles on dira que tout ça n’est que fake news, calomnies et complotisme. Bien sûr…
Et qu’amalgamer les pratiques sexuelles d’un dirigeant qui se prend pour Jupiter avec ses Ganymède poilus et son absence cynique de sens du bien commun relève de l’homophobie, de l’accusation ad hoc ou du délire obscène. Bien sûr…
Il faudra bien un jour que la France, qui est déjà la risée du monde, de Poutine aux Américains, retrouve le sens des choses, sinon son rang parmi les nations. Faute de quoi la mission principale pour laquelle Macron a été parachuté au sommet de l’Etat au terme d’élections truquées sera pleinement accomplie : en finir définitivement avec l’Etat-nation, avec la France, son exception sociale, sa culture et son rôle d’aiguillon moral parmi les nations. La détruire pour la digérer dans ce Nouvel Ordre Mondial qui avance à grands pas avec le Great Reset.
Quel rapport avec les poilus de Riyad ou de Casablanca ? Ce sont des symboles de notre soumission et de notre démission identitaires. Comme l’immigration pléthorique insoluble dans la République, comme le communautarisme, comme l’islamisme, comme le wokisme, le néoracialisme, le décolonialisme et la cancel culture, comme la théorie du genre et la culpabilisation systématique de la majorité…
Tout ceci sert d’outils pour nourrir la mauvaise conscience, la culpabilité, le ressentiment, la haine de soi, la division, les conflits mimétiques. Désagréger la société de l’intérieur, empêcher toute conscience de faire corps, mais au contraire déconstruire, fragmenter, opposer les identités, dissoudre la nation, le corps social, ruiner ce vivre ensemble qu’on nous a tant vanté pour ne surtout plus parler d’intégration ou de Fraternité républicaines. Des gros mots pour nos maîtres anglo-saxons qui dirigent le monde.
Cette politique du pire, encouragée et soutenue par le gouvernement et l’idéologie ambiante, est une forme de nihilisme. Pas un nihilisme au nom de la révolte. Un nihilisme cynique et froid, instrumentalisé, programmé pour servir un dessein : en finir enfin avec la France. Et préparer l’avènement de l’homme-monde dans un empire mondialisé gouverné par une clique de super-riches tout puissants. Faire de nous des esclaves, des lopettes soumises, à l’image de notre Président d’opérette. Récompensés à proportion qu’ils obéissent, se soumettent, se conforment ou se taisent. Et soumis aux pires opprobres dès qu’ils relèvent la tête, osent penser, refusent de se fondre dans la masse, manifestent pour revendiquer les droits qu’on leur a enlevés.
Voilà le monde vers lequel nous allons toutes et tous, à moins d’un grand réveil, pour l’heure improbable. Un monde d’empaffés, pucés, programmés, contrôlés, rééduqués, et contents de l’être grâce aux différents somas du Système : Meta, Netflix, BFM, McDo, Pfizer, et autres services à la carte ubérisés. Un monde où les petits mobiles moraux de la Génération Macron n’auront même plus besoin de fantasmer sur des poilus islamistes ou des Angelina à gros seins pour tromper leur vie de merde, puisqu’on leur fournira pour pas cher en version siliconée vaccinées et stérilisées. En location bien sûr, quand celle-ci aura replacé la propriété privée. Dixit Klaus Schwab, le Geppetto de Macron à l’accent SS.
Comme votre Président, donnez libre court à vos appétits tarifés ! Et la Matrice qui connaît déjà vos pensées le plus intimes mieux que vous saura les utiliser, en vous vendant du rêve customisé et des produits sur mesure contre davantage d’abdication et de soumission.
Le Meilleur des mondes en France ressemble d’ailleurs plus, pour le moyen terme, à Soumission qu’à Matrix. Le contrôle absolu par les AI, c’est l’étape d’après, horizon 2030-2050.
D’ici-là, 3e guerre mondiale chaude ou larvée aidant, inflation aidant, prédation financière aidant, effondrement en cours de l’euro aidant, crise financière mondiale et Great Reset aidant, on sera tous A POIL pour de bon ! Prêts à nous vendre au premier sauveur ou bonimenteur venu.
Rompu à l’art de se soumettre et de soumettre, Le Grand manipulateur[i] nous aura toutes et tous bien grugés, manipulés, dépossédés, rincés, liquidés. Toute celles et ceux qui ne sont rien à ses yeux, comme aux yeux de ses mentors.
Plus que jamais il est temps de rendre à César ce qui appartient à César, et de reprendre aux traîtres ce que nous n’aurions jamais dû leur laisser nous voler. De la servitude volontaire à la soumission absolue, il n’y a que l’écart d’un renoncement de plus. Celui qui fait encore de nous des humains et non des robots transhumains, si nous refusons d’y consentir.
[i] Titre d’un livre-enquête sur Macron et ses réseaux publié en 2019 par Marc Endeweld, ancien rédacteur en chef du magazine Marianne